Rapport sur l'efficacité énergétique des serveurs

RAPPORT SUR L'EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE DES SERVEURS EN 2009

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Rapport 2009 sur l'efcacité énergétique des serveurs de 1E L'exploitation de chaque serveur coûte chaque année plusieurs milliers de dollars. Et ce coût ne se résume pas à l'achat de matériel. Il comprend également les licences logicielles, le support et la consommation d'énergie. Vous souhaitez que chacun de vos serveurs soit utile ? Parmi les résultats pour le moins surprenants de cette étude : la part des serveurs non productifs dans votre entreprise. Elle serait d'un sixième. Les économies potentielles sont énormes : elles pourraient en effet s'élever à 3,8 milliards pour les seules dépenses énergétiques et à 24,7 milliards de dollars pour ce qui est de l'exploitation des serveurs non productifs. i. Si vous vous sentez concerné, lisez ce qui suit. Depuis ses débuts il y a 11 ans, 1E s'engage à aider ses clients à réduire leurs frais d'exploitation ainsi que leur empreinte carbone. Première Première entreprise à se lancer dans la gestion de l'énergie des PC, 1E continue à se positionner comme leader du marché mondial grâce à son produit phare, NightWatchman . Aujourd'hui, NightWatchman est déployé sur 4 millions de PC dans le monde. Depuis son lancement il y a plus de 9 ans, il a permis aux entreprises d'économiser de façon cumulative plus de 360 millionsii de dollars. Cette réduction de l'utilisation d'énergie a évité l'émission de 2,7 millions de tonnes métriques de dioxyde de carbone iii dans l'atmosphère, soit l'équivalent de la quantité de gaz à effet de serre émise chaque année par 500 000 véhiculesiv. ®

Avec l'utilisation croissante des services sur Internet et l'augmentation des données enregistrées sur des systèmes centralisés, le nombre de serveurs ne cesse de s'accroître, s'accroître, de même que la consommation d'électricité et, par conséquent, les émissions de dioxyde de carbone. En fait, aux États-Unis, les centres de données ont consommé 61 milliards de kWh en 2006, soit 1,5 % de la consommation d'électricité nationale et le double de la quantité consommée en 2000v. Impossible dès lors de nier l'évidence : la consommation d'énergie des serveurs constitue un problème, qui ne cesse de s'aggraver. Bonne nouvelle : les entreprises ont décidé de réagir. En partenariat avec l'Alliance to Save Energy (ASE), 1E a demandé la réalisation d'une étude indépendante sur la sensibilisation et le comportement des administrateurs de serveurs dans les plus grandes entreprises mondiales. Selon cette étude, globalement, si le personnel informatique in formatique responsable de la gestion des serveurs a conscience du nombre considérable de serveurs inutilisés, il déclare ne pas disposer des outils nécessaires nécessaires pour les identier. identier. Une écrasante majorité souhaite mieux comprendre la consommation et l'efcacité énergétiques de ses serveurs. Étonnamment, la majorité des employés s'intéressent également au développement des serveurs virtuels et à l'augmentation incontrôlée de leur nombre, phénomène qui contribue à augmenter les frais informatiques globaux. C'est là qu'intervient 1E. Nous avons toujours basé notre innovation sur la recherche plutôt que sur la prudence qui est de mise dans le secteur. secteur. Notre dernière solution, NightWatchman Server Edition, permet de distinguer les serveurs exécutant des tâches utiles et de savoir à quel moment ils le font. D'où une prise de décision nettement simpliée, notamment en matière de retrait des serveurs peu rentables. Même dans le cas de serveurs productifs, vous pouvez économiser davantage d'énergie grâce à la technologie Drowsy Server . Enn, à l'aide d'un simple logiciel, nous pouvons analyser avec précision l'énergie consommée par tous les serveurs, ainsi que leur efcacité. ®

®

Je vous encourage donc vivement à lire le rapport suivant. Si vous souhaitez réduire davantage la consommation







De l'argent gaspillé facilement Dans toutes les grandes entreprises, la liste des besoins en informatique et des frais d'exploitation est longue. Mais, dans les périodes difciles, comment maintenir l'équilibre entre les besoins du client et la nécessité d'économiser ? En partenariat avec l'Alliance to Save Energy, 1E a fait appel à Kelton Research pour réaliser une étude auprès de 100 professionnels de l'informatique utilisant des serveurs, dans des entreprises internationales d'au moins 10 000 employésvi. Selon l'étude réalisée par 1E et l'ASE, les services informatiques gaspillent de l'argent et de l'énergie en exploitant des serveurs inutilisés. Plus de 15 % des serveurs n'exécutent simplement aucune tâche utile. Exploités 24 h/24 et 7 j/7, gérés et mis à niveau, ils ne sont pourtant pas utilisés de façon active au quotidien. Nous estimons qu'en matière de coûts opérationnels, au moins 4,7 millions de serveurs vii représentent, pour les services informatiques, plus de quatre mille dollars de dépenses inutiles chacun et par anviii. Une préoccupation majeure pour toutes les entreprises.

Malgré la promesse tenue par la virtualisation en matière de réduction de la consommation d'énergie des centres de données, les coûts opérationnels associés à l'exécution d'un serveur sont nettement supérieurs aux coûts énergétiques. D'une manière générale, la facilité du déploiement des serveurs virtualisés donne lieu à un développement incontrôlé et à une augmentation du nombre de serveurs inutilisés. Cet essor des serveurs virtuels est en passe de devenir un véritable problème. En fait, 84 % des professionnels de l'informatique déclarent rencontrer ce problème de développement des serveurs virtuels ou se disent inquiets à ce propos. Le processus de virtualisation présente lui-même son lot d'inefcacités, dans la mesure où 65 % des professionnels de l'informatique déclarent avoir virtualisé un serveur inutilisé.







Les serveurs : un impact puissant Penchons-nous maintenant sur les coûts énergétiques et environnementaux des serveurs. 44 millions de serveurs ix dans le monde consomment une part croissante de l'approvisionnement mondial d'électricité en raison de la demande grandissante des services qu'ils offrent. Le gouvernement américain mesure l'ampleur de ce phénomène. Aux États-Unis, l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) et le ministère américain de l'énergie vont pour la première fois mettre en place un programme national de rationalisation des centres de données visant à développer des protocoles, des mesures et des spécications Energy Star pour les 11,8 millions de serveurs utilisés dans le pays. x

Selon l'Agence américaine de protection de l'environnement l 'environnement et le ministère américain de l'énergie xi :

• Aux États-Unis, les centres centres de données ont consommé 61 milliards milliards de kWh en 2006, 2006, soit 1,5 % de la consommation nationale d'électricité et le double de la quantité consommée en 2000. • Sur la base des des tendances tendances actuelles, l'Agence américaine de protection protection de l'environnement estime que l'énergie consommée par les centres de données continuera à augmenter de 12 % par an. Au vu de la proportion de serveurs non utilisés sur les 44 millions de serveursxii recensés dans le monde, le gaspillage d'énergie est évident. Supposons maintenant que ces serveurs aient été déployés à l'identique dans une grande entreprise, et que les entreprises mondiales aient payé les tarifs des services publics des États-Unis, qui ont tendance à rester au milieu d'une échelle de prix par rapport à d'autres marchés xiii, 11,8 millions de tonnes de dioxyde de carbone sont au nal gaspillés chaque année, ce qui équivaut aux émissions de 2,1 millions de voituresxiv. Pour les seuls États-Unis, cela représente 3,17 millions de tonnes de dioxyde de carbone, soit l'équivalent des émissions de 580 678 voituresxv.







Comprendre et gérer : des arguments pour des tâches utiles Face à l'augmentation du prix de l'énergie, aux restrictions budgétaires et aux nouveaux programmes de centres de données de l'Agence américaine de protection de l'environnement, les entreprises tentent à juste titre de déterminer si leurs serveurs sont utilisés de façon productive (et si les applications exécutées sont réellement utilisées, contrairement à des applications redondantes, qui ont répondu à un besoin historique ou dont les utilisateurs ont migré vers un nouveau serveur).

Tâches utiles (nom) service procuré par un serveur lorsque les applications fonctionnelles sont en cours d'utilisation, contrairement contrairement aux applications dites redondantes

Une très grande majorité des professionnels de l'informatique (83 %) admettent vouloir tirer parti d'une plus grande maîtrise de l'utilisation globale de leurs serveurs. Néanmoins, la notion d'utilisation est loin d'être explicite ; elle évalue l'utilisation globale mais n'indique pas si le serveur effectue des tâches utiles. Un serveur peut par exemple paraître occupé, alors qu'il n'exécute en réalité que des processus de gestion et de maintenance.

qui ont répondu à un besoin historique ou dont les utilisateurs ont migré vers un nouveau serveur.

4,7 millions de serveurs

L'étude réalisée souligne que les entreprises n'évaluent pas l'efcacité des serveurs, ou ne disposent pas des moyens nécessaires pour le faire. Près des trois quarts (72 %) des personnes interrogées déclarent se reporter à l'utilisation de l'UC à des ns d'évaluation.

n'accomplissent n'accompl issent aucune tâche utile.

Qui plus est, leurs systèmes d'identication des serveurs à retirer ou à réallouer ne sont ni systématiques ni automatiques. D'après le tableau suivant, moins de quatre entreprises sur dix (37 %) utilisent un outil automatique de génération de rapports pour repérer les serveurs peu utilisés, tandis que d'autres entreprises sont plus susceptibles de réaliser des évaluations manuelles (28 %) ou d'attendre qu'un problème se produise (19 %).

En général, laquelle des méthodes suivantes décrit le mieux l'approche principale de votre entreprise pour repérer les serveurs susceptibles d'être retirés ou réalloués ? Nous utilisons un outil automatique de génération de rapports, par exemple un outil recherchant un niveau général d'utilisation moyenne faible. Nous réalisons périodiquement des évaluations manuelles, par exemple en demandant aux utilisateurs si un logiciel est encore utilisé de façon active.

37% 28%

Nous envisageon envisageonss de retirer retirer ou réallouer réallouer les les serveurs serveurs en cas cas d'apparition d'apparition de signes signes de dégradation dégradation des performances performances..

19%

Nous différo différons ns général généralemen ementt le retra retrait it ou la réallo réallocat cation ion des serveur serveurss pour traite traiterr des problèm problèmes es plus importa importants nts..

9%

Nous menons à bien des essais et des tests d'erreur, en mettant par exemple le serveur hors tension pour vérier si les utilisateurs se plaignent.

7%

Au même titre que l'absence d'évaluation, trois entreprises sur quatre (75 %) indiquent que leur engagement en faveur d'un service informatique de qualité concorde avec leur volonté de rendre leurs serveurs plus efcaces. Il semble que les employés s’attendent à ce que leurs outils informatiques fonctionnent de manière optimale en permanence. Par









Continuer à contrôler les dépenses énergétiques et informatiques avec NightWatchman Server Edition NightWatchman Server Edition est la première solution de gestion d’énergie et d’efcacité à analyser les serveurs de manière à savoir s’ils exécutent des tâches utiles et fournissent des données sur lesquelles les administrateurs informatiques peuvent s’appuyer. Avec ces données, les administrateurs peuvent s’assurer de l’efcacité des centres de données, via une réduction des infrastructures et des dépenses informatiques.

« La politique axée sur la durée de fonctionnement consiste à ne pas promouvoir les produits. Toutefois, elle soutient également

NightWatchman Server Edition fait la distinction entre les charges de travail productives et non productives. Le personnel informatique peut ainsi générer des rapports en matière d’utilisation et de coûts sur la valeur commerciale réelle, l’énergie et la consommation de CO 2. En déployant NightWatchman Server Edition, une entreprise peut éteindre ou retirer en toute conance les serveurs inutilisés. Elle économise ainsi pour chaque serveur 100 % des coûts énergétiques et plusieurs milliers de dollars par an pour la maintenance courante, la gestion et les licences des serveurs. Si tous les serveurs inutilisés étaient retirés, l’économie réalisée s’élèverait à plus de 24 milliards de dollars xvi. Cependant, le retrait des serveurs inutilisés ne peut pas se faire en une seule fois. De plus, le contrôle de cet essor et de la gestion de l’énergie des serveurs apporte plusieurs avantages signicatifs. En ce qui concerne les serveurs fournissant un service (c'est-à-dire effectuant une tâche utile), NightWatchman Server Edition exécute Drowsy Server®. Cette fonction permet de réduire la consommation d’énergie des serveurs d’environ 12 % sans les éteindre. Ce chiffre est signicatif car selon l'Agence américaine de protection de l'environnement, une réduction de 10 % de la consommation d’énergie des serveurs réduirait de 10,7 milliards de kWh la consommation d’énergie annuelle : l’équivalent de la consommation d'électricité d’un

que la gestion de la productivité et de l'efcacité de l'alimentation des serveurs et des centres de données est cruciale.Pour y parvenir, une seule clé : l'automatisation. 1E NightWatchman Server Edition, ainsi que toutes les offres de ce type, doivent permettre aux gestionnair gestionnaires es de serveurs de faire un grand pas vers la réduction des centaines de milliers de dollars dépensés par les services informatiques. »







En abordant la gestion de l’énergie des centres de données au niveau des serveurs et en automatisant efcacement les stratégies de réduction d’énergie des serveurs inactifs ou inutiles, NightWatchman Server Edition permet au service informatique d’effectuer les actions suivantes :

•

Identier facilement facilement les les serveurs serveurs inutilisés inutilisés et les retir retirer er en toute conance. conance.

•

S’assurer que seuls les serveurs utilisés sont migrés vers un environnemen environnementt virtuel virtuel.. La croissance croissance des serveurs virtuels est donc contrôlée, ce qui garantit une utilisation efcace de la virtualisation.

L'empreinte carbone et les coûts des serveurs n’ont jamais été aussi élevés, et ils continuent d’augmenter. Réduire le nombre de serveurs inutiles n’est désormais plus une option, mais un impératif face au changement climatique et à la récession économique mondiale. NightWatchman Server Edition de 1E donne aux administrateurs de serveurs les outils dont ils ont besoin pour rationaliser facilement et efcacement la gestion de l’énergie des serveurs. Il est inutile de continuer à s’inquiéter de ce que vous ignorez. Avec une gestion de l’énergie automatisée, les services informatiques peuvent continuer à fournir leurs services tout en transformant les serveurs gourmands en énergie en centres de données intelligents, écologiques et optimisés.

65 % des gestionnaires de serveurs ont à un moment donné virtualisé un







Annexe « Summarised calculation from report report contents and references references » (disponible uniquement en anglais) 4 400 $ x 4,75 millions de serveurs inutilisés = 20,9 milliards de dollars (coûts opérationnels des serveurs inutilisés) 5 323 760,64 $ x 365 jours par an = 1,9 milliard de dollars x 2 (dépenses liées à l’exploitation continue des serveurs inutilisés durant une année + coûts de refroidissement des serveurs inutilisés durant une année en considérant que l'indicateur d’efcacité énergétique (PUE) est égal à 2. Selon l'Agence américaine de protection de l'environnement, la valeur PUE moyenne actuelle est de 2,04).

i

Économies cumulées à partir des 4 millions de licences à ce jour avec une économie moyenne de 36 dollars par PC par an. ii

Économie de 381 kWh par PC par an. MWh * 1,54 = milliers de livres de CO (« 2007 emissions factor: EPA’s Climate Change Action Plan (CCAP) number for 2007 » (disponible uniquement en anglais)

iii

2

Une voiture produit 5,46 tonnes métriques de CO . Voir : http://www.epa.gov/cleanenergy/ener http://www.epa.gov/cl eanenergy/energy-resour gy-resources/ref ces/refs.html#vehicles s.html#vehicles

iv

2

« Report to Congress on Server and Data Center Energy Efciency » (disponible uniquement en anglais), loi publique 109-431, Agence américaine de protection de l'environnement (EPA), programme programme ENERGY STAR, 2 août 2007 et ministère américain de l'énergie (DOE). 2007. « Annual Energy Outlook 2007 ». Agence américaine pour l’information sur l’énergie l’énergie (EIA). Rapport DOE/EIA-0383(2007) v

L’enquête de l’Alliance l’Alliance to Save Energy en partenariat avec 1E a été réalisée par Kelton Research entre le 17 et le 23 septembre 2009 via des invitations par courrier électronique et une étude en ligne auprès de 100 professionnels de l’informatique utilisant des serveurs, dans des entreprises d’au moins 10 000 employés. Les résultats de l’enquête sont disponibles sur demande. vi

•

Les résultats résultats d’échantillons sont sujets aux variations d’échantillonnage. Cette Cette variation variation peut se mesurer mesurer et varie selon le nombre d’entretiens et le pourcentage de réponses obtenues.

•

Pour cette cette étude, il y a 95 chances sur 100 que le le résultat résultat ne varie pas de plus ou moins 9,8 points de pourcentage pourcentage par rapport aux résultats que l’on aurait obtenus si les entretiens avaient été réalisés auprès de toutes les personnes de la planète représentées dans cet échantillon.

vii

Nombre de serveurs concernés à l’échelle mondiale (en partant du principe que tous les serveurs sont installés dans







« Data centers: How to cut carbon emissions and costs » (disponible uniquement en anglais), McKinsey, 1er novembre 2008 ix

« Worldwide and U.S. Enterprise Server 2007-2011 Forecast Update by Vertical Market and Company Size IDC » (disponible uniquement en anglais), juin 2008 x

« Report to Congress on Server and Data Center Energy Efciency » (disponible uniquement en anglais), loi publique 109-431, Agence américaine de protection de l'environnement (EPA), programme programme ENERGY STAR, 2 août 2007 et ministère américain de l'énergie (DOE). 2007. « Annual Energy Outlook 2007 ». Agence américaine pour l’information sur l’énergie l’énergie (EIA). Rapport DOE/EIA-0383(2007) v

« Data centers: How to cut carbon emissions and costs » (disponible uniquement en anglais), McKinsey, 1er novembre 2008 ix

« Electricity Prices for Industry » (disponible uniquement en anglais) Agence américaine pour linformation sur l'énergie (EIA), 18 août 2008. Ce rapport constitue la plus récente estimation de l'lEIA. Il conclut que les coûts d'utilisation aux États-Unis sont dans la moyenne par rapport aux autres marchés mondiaux. http://www.eia.doe.gov/ emeu/international/elecprii.html.. Ces données sont conrmées par une seconde source : « International Electricity emeu/international/elecprii.html Report and Cost Survey 2006-2007 » (disponible uniquement en anglais), du Groupe NUS Consulting, juillet 2007. Ce rapport classe le marché américain à la 8e place parmi les 14 indicateurs de marché sélectionnés : http://pepei.pennnet. com/articles/enlarge_image.cfm?IMAGE_ID=256287&SITE_ID=PEI

xiii

xiv

Équivalent en nombre de voitures sur une période d'un an (à l'échelle mondiale)

Nombre de serveurs concernés à l’échelle mondiale (en partant du principe que tous les serveurs sont installés dans de grandes entreprises) 44 000 000 x 72 %* = 31 680 000 serveurs au total installés dans des services informatiques, comptabilisant un gaspillage d'énergie estimé à 15 % (44 millions = nombre total de serveurs dans le monde selon le rapport McKinsey cité ci-dessus : « Data centers: How to cut carbon emissions and costs » (disponible uniquement en anglais), McKinsey, 1er novembre 2008) (*Kelton pense que 72 % des serveurs gérés par les services informatiques à l'échelle mondiale représentent 15 % du gaspillage d'énergie). Gaspillage d'énergie total à l'échelle mondiale sur une journée (si les entreprises mondiales ont payé les tarifs des services publics des États-Unis, généralement inférieurs à ceux du reste du monde) 400 watts par serveur x 31 680 000 serveurs (nombre total des serveurs des services informatiques représentant un minimum de 15 % du gaspillage d'énergie) = 12 672 000 000 watts







les serveurs inutilisés (en tonnes par an) 11 822 215,68/5,46 = des émissions équivalentes à 2 165 241 voitures. (Une voiture produit 5,46 tonnes métriques de CO . Pour plus d'informations : http://www.epa.gov/cleanenergy/ener http://www.epa.gov/cl eanenergy/energy-resour gy-resources/ref ces/refs.html#vehicles s.html#vehicles)) 2

Gaspillage des États-Unis sur une journée 400 watts par serveur x 8 496 000 (nombre total de serveurs gérés par les services informatiques aux États-Unis comptabilisant au minimum 15 % d'énergie gaspillée) = 3 398 400 000 watts (400 watts par serveur selon l'étude de Gartner mentionnée ci-dessus : « U.S. Data Center Conference Focuses on How to Do More With Less (disponible uniquement en anglais) » Gartner, 2 juin 2009) 3 398 400 000 watts x 15 % de serveurs non utilisés = 509 760 000 watts gaspillés, soit 509 760 kilowatts 509 760 kilowatts gaspillés x 24 heures de non-utilisation = 12 234 240 kWh gaspillés par jour 12 234 240 kWh gaspillés x 0,1167 $ = 1 427 736 $ par jour.

xv

(Tarifs des services publics États-Unis : http://www.eia.doe.gov/steo http://www.eia.doe.gov/steo)) (0,71 x 12 234 240)/1000 = 8 686,31 tonnes métriques de CO par jour (Pour calculer les émissions de gaz à effet de serre en fonction des kWh utilisés : elles s'élèvent aux États-Unis à 0,71 tonne métrique pour 1 000 kWh, selon le site http:// www.epa.gov/cleanenergy/energy-resources/calculator.html ») 2

Équivalent en nombre de voitures aux États-Unis sur une année 8 686,31 tonnes par jour de CO émises par les serveurs x 365 jours par an = 3 170 503 tonnes par jour de CO émises par les serveurs 3 170 503/5,46 = cela représente un gaspillage d'énergie équivalent à 580 678 voitures. 2

2

(Une voiture produit 5,46 tonnes métriques de CO . Pour plus d'informations : http://www.epa.gov/cleanenergy/ener http://www.epa.gov/cl eanenergy/energy-resour gy-resources/ref ces/refs.html#vehicles s.html#vehicles)) 2

145 000 milliards de dollars/33 000 000 serveurs = 4 400 dollars par serveur.

xvi

(Selon le rapport d'International Data Corporation (IDC), en 2008, environ 145 milliards de dollars ont été investis dans de nouveaux serveurs et 33 millions de dollars ont été consacrés à la gestion et l'administration : « Optimizing Infrastructure and Server Management in Tough Economic Times » (disponible uniquement en anglais) 44 000 000 serveurs x 72 %* x 15 % = 4,75 millions de serveurs non utilisés. (*Kelton pense que 72 % des serveurs gérés par les services informatiques à l'échelle mondiale représentent 15 % de serveurs non utilisés) 4 400 $ x 4,75 millions de serveurs non utilisés = 20,9 milliards de dollars









Rapport sur l'efficacité énergétique des serveurs

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