Introduction aux sciences politiques. Introduction générale Une science du politique
Qu’est que la science politique ? C'est une discipline de sciences sociales contemporaine apparu au 20 ème siècle et qui a pour objet les faits politiques et qui s'est affirmé dans les année 1940 et 1970. I)
Une sc science so sociale au autonome.
1. Principes et spécificité 3 principes pour cette science : - principe de neutralité elle sépare l'analyse et le jugement de valeurs. Il n'y a pas de parti pris en sciences politiques. - principe de méthode: elle fait usage d'outils d'analyse codifier, partager par une communauté académique. – principe de systématisation qui fait de cette neutralité une sciences car on va essayer de systématiser pour découvrir des modèles explicatifs. Ces pour permettre de prévoir a plus ou moins court termes des comportement politiques. La science politique se veut autonome de la philosophie politique car elle s'occupe de question étique, moral immorale. Le politiste lui ne s'intéresse pas au biens ou au mal mais il est amorale ,il dé construit explique mais il ne juge pas ce qui permet de travailler sereinement sur le territoire nationale. On met également en distance le droit, pour organiser le pouvoir politique. Il ne cherche pas à dire la norme il étudie les logique souvent politique du développement de la norme. Le journaliste est le troisième troisième ennemi du politise , il n'est pas commentateur de la politique , le politiste ou politologue n'est pas un politicien. Son rôle est tout au plus de former les acteur du futur de la politique. La campagne de Obama est celle qui a le plus mobiliser la science politique. 2. Les gran grands ds anc ancêtr êtres es reco reconnus nnus c'est ce qui fait notre patrimoine , ils ont nourris notre pensée politiques. Aristote a un rapport à la réalité politique beaucoup plus plus précise que Platon. Le prince de machiavel qui veut légitimé le pouvoir en dehors de toute considération morale le chef pour lui a pour but de dirigé sans aucune morale. Il fait passer le politique dans la modernité grâce a une conception laïque du pouvoir. Montesquieu est aristocrate du 18 ème le voyage est comme méthode de sciences sociale c'est un outils d'observation et de compréhension.
Théorie des climat de froid et chaud la ou il fait froid les gens sont calme pluraliste dans le sud il fait chaud donc sang chaud et donc esclavage ... il est le seul a essayer d'expliquer les différence de point de vue . Tocqueville: au 19 ème reprend le voyage comme outils de politique il nous explique la révolution française il voyage pour objectiver et analyse le fonctionnement des système politiques. Marx: critique de la société et réduction de la réflexion sur le matérialisme. Durkheim: fondateurs de la sociologie moderne ils vont permettre de constituer deux grand paradigme le holisme c'est une méthode déterminisme pur déterminer les fait politique et Weber qui répond en approche individualiste des faits politiques et essaye de construire des typologies . Cela conduit ces acteurs a mettre en place une sciences politiques indépendant de l'histoire la sociologie qui va permettre le développement de la politique rationalisé Weber II)) II
Un objet : le et la polit itiique
1. Qu’estQu’est-ce ce que la politi politique que ? Aristote: c'est l'art de gouverner les hommes en société. Polity : c'est le champs politique au sens large leurs relation leurs concurrence , quand on dit faire de la politique ou choix politiques. Politics : ou les activités spécifiques de acteurs politiques l'exercice la profession politique. policy(ies) : politiques publics mener par les actions.............. 2. Sous-dis Sous-discipline cipliness et grands domaines de recherc recherche he En sciences politique et en France on peut distingues 4 espace autonomisée a l'intérieur de la sciences politiques: - la théorie politique s'intéresse au notion comme le pouvoir ,l'état , la nation , la charisme .... – la sociologie politique s'intéresse au politique comme champs de concurrence et étudie les acteur et leurs parti les champs sociaux les élus , les électeurs et les élections. – La sociologie de l'action publique : elle étudie ce que font les administrateur et les élus quand ils mènent des actions politiques. – Les relations internationales : ils travaillent sur la politiques étrangères des états à travers leurs politiques extérieurs , l'espace trans-nationale. Trois tendance transversales: -le développement du corporatisme -la sociologie histoire. -l'union européenne.(modèle unique dans l'histoire ) la politique s'intéresse a la production de l'ordre sociale , de l'ordre politique permettent l'obéissance. Il faut une contrainte et donc l'usage de la contrainte légitime de Max weber. weber. Droit de vie et de mort sur les individus en cas de désobéissance.
Cette violence légitime est monopolisé par l'état. III)
Les conditions d’affirmation d’une science du politique.
Elle apparait juste après l'économie et la sociologie. Comme réponse a des inquiétude a une demande sociale d'expertise te de connaissance lié a un contexte économique et sociale. Le 19 ème siècle des révolutions digestion de la révolution française et de la révolution industrielle. Société appelé historique car elle ont besoin de se projeté dans l'avenir. Siècle de la complexification de la division de L des relation accroissement de la division de rôle de taches on passe a des société complexe il y a un allongement de chaine d'interdépendance. Cela produit une opacification des relations de la société. Cette complexification entraine un besoin de connaissance en demande intellectuel. Elle réponde à l'incertitude fondamentale du régime démocratique car en démocratie contrairement au régime monarchique elle repose sur une souveraineté populaire et les représentant remette en cause de temps en temps le pouvoir. On cherche à comprendre le comportement de électeurs et être réélu. 1. Moyens et problèmes d’investigation le L des sciences sociales et de la science politique 0à été rendu possible grâce a la bureaucratisation grâce a un archivage des textes politiques de dossier stratégie , c'est la première source du L politologique. Les enquêtes par questionnaire. Les observations de terrains soit par de observateur amateur de journaliste ou des spécialistes. On peut le faire sous forme d'interview . L'expérimentation qui vise à tester des comportement en fonction des réactions. Pour comprendre il nous faut interpréter c'est pourquoi il faut des théorie permettant de comprendre et d'interpréter des situations car il se pose des problèmes de causalité. Il faut distinguer les sciences. Convaincre le pouvoir que l'on peut apporter des connaissance supplémentaire. Le politique est une activité très commenter par les journalistes, champs médiatiques. Champs académiques lui même car il est dure de ce faire élire par des citoyens. 2. Ancrages institutionnels en France Problème de la légitimité scientifique une démarche sociale doit justifier ses utilité sociale ces sans problème pour les sciences physiques mais plus dure pour les sciences humaines et sociales. Le problème du politologue est que tout les citoyens peut prétendre avoir connaissance du politique puis-qu'il est dedans la sciences politique dont se justifier devant 3 autres mode de compréhension politique. Les principales institutions ou espaces institutionnel: - sciences politique paris.(1945) →Les sociétés savantes : – l'académie des sciences morale et politique – instituts de France – association française des sciences politiques
Lectures : Favre Pierre, « La science politique en France depuis 1945 », International Political Science Review, vol.2, n°1, 1981, pp.95-120 Bruter Michel, « Une mauvaise voisine ? Une réflexion comparée sur les liens entre science politique et sciences sociales », http://www.afsp.mshparis.fr/debats/debats.html •
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Partie 1 : Les cadres du pouvoir
Chapitre 1 : Pouvoir, contrôle et domination pouvoir renvoi à des usages quotidiens différents. Introduction :
Approches substantialiste, institutionnelle et relationnelle du pouvoir
On peut distinguer 3 approches: – approche substantialiste: c'est celle noté dans la phrase « avoir du pouvoir » le pouvoir= patrimoine. On considère le pouvoir comme quelque chose que certain possède naturellement ou pas, c'est génétique. – Approche institutionnelle ( c'est le pouvoir du gouvernement) – approche relationnelle =sociologique. C'est le pouvoir relationnelle entre des individus ou des groupes d'individus. I. Définir la relation de pouvoir La philosophie politique s'intéresse à la relation de pouvoir sous l'angle de ce qui peut menacer la liberté individuelle. Pouvoir = contrainte limitation de la liberté. A. Restreindre la liberté d’autrui En quoi cette première définition de la relation de pouvoir pose-t-elle 2 problèmes philosophiques : celui de la définition de la liberté et celui du consentement ? C'est la 1° approche= capacité de limiter la liberté de l'autre, c'est le fondement de la philosophie libéral. →définitions de la liberté par opposition à la puissance publique. (cf JOHN ) problème de la conception/ la définition du comportement. Qu'est-ce que la relation de consentement? Dans cette conception on ne peut obéir avec consentement. Obéit-
on par intérêt, méconnaissance? (pas que par la contrainte). Liberté= sentiment subjectif qui est en place avec les contraintes sociale. B. Orienter le comportement d’autrui Cette conception est comportementale= question de l'incitation et de l'orientation du comportement, comment inciter et orienter le comportement. CF: ROBERT DAHN qui dit qu'un individu A exerce un pouvoir sur un individu B dans la mesure ou il obtient de B une action qu'il n'aurait pas obtenu d'une autre façon. Cette définition vise à observer la relation de pouvoir concrètement (définition opérationnel). Il observe une ville et cherche qui à le pouvoir, en identifiant les auteurs des questions voté par le conseil municipal. Expliquez les 3 limites de la définition du pouvoir en termes d’orientation du comportement (imputation, non-décision, orientation de la perception des intérêts). 3 problème dans cette approche: →problème de l'imputation= elle ignore les logiques de l'imputation à quoi est du le vote d'une proposition? Le vote de notre proposition égale-il le pouvoir? Ou est-ce du à autre chose que à nous? On ignore les logiques de stratégies. →problème de la non décision. Avoir du pouvoir ce n'est pas seulement les obliger à voter notre proposition, c'est aussi la non décision. Absence de décision peut etre aussi un indicateur de pouvoir. A pousse B à renoncer à ces idées. Elle est plus subtile. Relation de pouvoir = A arrive à modifier la perception de l'individu B, comme par exemple quand l'esclave trouve normal la position dominante du maitre.
C. Profiter d’un échange inégal En quoi 3ème approche intègre-t-elle encore davantage de complexité dans la relation de pouvoir ? C'est un profit momentané jamais définitif. Ce pouvoir apparait dans des déséquilibres relationnel. Ces relations sont habituellement réciproque. Ex: vendeur acheteur= chacun est satisfait, mais cela peut se déséquilibré au profit d'un parti. Le pouvoir n'est plus une attribution, il dépend que d'une situation alternative (qui peut évoluer). Ex: si l'acheteur fait pression sur le vendeur pour obtenir un meilleur prix à celui du marché. La le pouvoir n'est pas du côté de celui qui veut un bon prix car si le vendeur à un bon prix, il crée une certaine forme de clientelisation de l'acheteur, il crée une dette sociale, fidélisation donc le client n'a pas le pouvoir. MARCEL MAUSS = sociologie du don dans la relation de don. Donner c'est manifester sa supériorité. Quant on donne on ne perd pas, on gagne une relation de pouvoir. On est au dessus on lie l'individu à soi. Accepté le cadeau sans rendre plus c'est se subordonné devenir client de celui qui à donner. Il observe les tribu indienne où les chefs font des cadeaux et celui qui ne rend pas une meilleur
cadeau se retrouve dominé de la relation de pouvoir. D. Injonction et influence Sur quoi repose le pouvoir d’injonction ? L'injonction renvoie à la notion d'ordre. Il y a ordre quand l'assujetti ne peut renoncer à la relation sans sanction. L'injonctif est une menace coercitive. La menace peut être de trois nature: - injonction de fait, quant il n'y a pas de menace juridiquement constituer. Ex: la relation de chantage, la sanction n'est pas porté par une injonction. – injonction morale: pas de sanction juridique mais menace de manière psychologique. Ex: communication, exclusion d'un parti. – Injonction de manière juridique: la menace est règlementé prévu, encadré par le droit et mise en oeuvre par la justice. On parle du pouvoir coercitif de l'état. Sur quoi repose le pouvoir d’influence ? L'influence est plus subtile,plus permanente, elle renvoi à l'incitation. Il y a relation d'influence quand l'assujetti obtient une récompense si il obéit (persuasion ≠ de menace). Elle repose sur un relation de séduction, alors que la menace est fondé sur la persuasion ou sur l'existence la constitution d'une autorité qui peut se passer d'argument, elle peut être de nature charismatique = quelqu'un à du charisme, on lui obéit = expertocratique: c'est du au connaissance d'expert (spécialiste). = valeur ex: représentant d'une autorité religieuse, ce pouvoir d'influence tien une place dans la vie politique. Légitimité politique. Le pouvoir n'est en aucun cas une attribution personnel ni une propriété mais est toujours une relation de pouvoir= des gens qui obéissent relation. C'est toujours une influence le pouvoir s'entretient sinon, on le perd (travail permanent) qui en général repose sur l'influence. II. La relation de pouvoir socialement conditionnée les sociologues qui s'intéresse à la relation de pouvoir nous offrent 3 concept pour concevoir cette relation. A. Contrôle social : contraintes et marges de manœuvre individuelles •
Contraintes, rôles et habitus
Qu’est-ce que l'auto contrainte ? Que veut dire « endosser un rôle social ? » A quoi sert l’habitus social ?
Le contrôle sociale des individus ( la manière dont la société contrôle les individus.) s'exerce de 2 manières: →externe= un ensemble de règle s'impose en 2 de la volonté de l'individu (règle juridique, socioculturel, économique= la loi du marché...). →interne= dans l'auto contrainte cela renvoi à l'ensemble des règles qui résulte du processus d'intériorisation psychologique\ d'intégration des contraintes. On se conforme pas seulement à cause des contraintes dans le processus de socialisation (intériorisation des contraintes) on est obligé d'obéir mais l'individu cherche toujours les manières les moins couteuses de s'incliner face au contrainte. On vit les contrainte comme le fruit de notre propre volonté= on s'incline sans déchoir (on intériorise). On a l'impression de n'obéir à personne qu'a nous même. Les contraintes (extérieur ou interne) = comportement 2 outils pour analyser la manière dont les individus se comportent. ►Notion de rôle. Rôle : ensemble des comportements attendu d'un agent sociale en fonction de son statut, sa position dans l'espace sociale. Chaque individus endosse un rôle. Un rôle suppose une faible cohérence de comportement. Les rôles dépendent du contexte dans lequel on est. Le rôle est un facteur de sécurisation des actions/ des interactions sociales. ►Notion d'habitus: Renvoi à la sociologie de Pierre BOURDIEU (il la modernise) elle vient de Marcel MAUSS qui définit comme un ensemble de disposition psychiques socialement constitué, on peut considérer l'habitus comme l'ensemble des prédispositions stables et inconsciente d'un individus ces prédispositions sont hérité de son passé/ expérience et orientent ces perceptions. Appréciations et donc ses actions. Habitus = grille de lecture du monde = tous ce que l'on a accumulé depuis l'enfance. L'habitus = BOURDIEU « c'est le contrôle sociale de ses origines » c'est notre tous résume dans ce que l'on est. •
Les marges d’initiative de l’acteur
Pourquoi existe-t-il toujours une marge de liberté dans les organisations ? Cf CROZIER (sociologie des organisations 60-70, il considère que dans une situations organisationnelle même très rigide la contrainte n'est jamais stable= l'acteur à toujours une part de liberté) une marge de négociations. Ex: camps de concentration, une petite marge de liberté, on ne peut pas prévoir il y a des possibilité d'initiatives, chaque acteur à des capacités de résistances ou
d'influence dans ces organisations par ces fonctions, .... chacun possède une compétence, un certain pouvoir au sein de l'organisation. Ex: étudiants au sein de l'université, le pouvoir dans une organisation ne se situe pas là ou il devrait être / la ou on le croit, il n'est pas toujours au sommet de l'organisation. CROZIER a travailler dans un atelier, il dit que dans un atelier, c'est pas le contremaitre qui à le pouvoir mais les ouvriers qui contrôle les machines(expert): société expertocratique. Il existe toujours dans les organisations, les sociétés des stratégies de résistance, de passivité, de contournement, de fuite... qui permettent aux individus de reprendre un peu de pouvoir cette approche est fondement du management.
B. Champ social et inégale distribution des ressources de pouvoir. 1. La notion de champ En quoi un champ est-il un système de positions hiérarchiquement inégales ? Elle décrit l'espace dans lequel s'exerce la domination de certains groupes sur d'autres. Le champ social est aussi le lien d'une inégale répartition des ressources. On peut distinguer 5 caractéristiques de champs. →système de positions hiérarchiquement inégal( système hiérarchique). Ex: champs universitaires= positions inégales prof différent de maitre de conférence ,différent de doyen. →Ces positions renvoie à des hiérarchies mais surtout à des enjeux spécifiques au champ. Un champ= un enjeu spécifique= enjeu académique, intellectuel (enjeux de reconnaissance académique) on accepte la concurrence par la reconnaissance académique. Les enjeux économiques sont secondaires mais c'est en train de changer. →champs sociaux= espace de conflit ( de pouvoir) qui sont permanent. Champs sociaux= espace de concurrence conflictuel ( conflit pour le contrôle des ressources économiques et symboliques au champs). Ex: université le conseil nationale des universités (CNU) contrôle ces ressources. →champ politique: particulier différent champs sociaux, académique... ce champ est supplément= il capote l'ensemble des autres champs, son enjeux est surplombant. Enjeu contrôle de l'ensemble qui est structuré par une concurrence entre les parties pour obtenir ce contrôle. Le contrôle de l'ensemble, contrôle de l'ensemble des autres champs de la société dans une société étatisée le champ politique est plus important, la concurrence est donc + forte. →dans un champ social, les acteurs sont davantage collectifs que individuels (rôle
collectif) champs sociaux= groupe sociaux, réflexion en terme de classe sociale. Chaque champ est structuré par une concurrence entre classe par le contrôle des ressources. Classe sociale= détention d'un certain niveau de K de ressources économique et symbolique (certaines ont un niveaux d'être – rapport de domination. 2. Les ressources de pouvoir Identifiez les différents types de ressources de pouvoir accessibles dans les champs économiques, symboliques et coercitifs. Dans la société certains acteurs peuvent mobiliser + de ressources de pouvoir que d'autre certain accumule des instruments/ outils de domination sur les autres. 3 grands types de ressources de pouvoir: – ressources relatives au champs économiques ( monde des entreprises, de la production) dans ce monde les ressources de pouvoir sont de 3 natures: ∙l'argent qui est une ressource marché et essai de pouvoir. ∙la distribution des emploi publique et privée. Ex: un employeur= le pouvoir. ∙compétences technique= ressources de l'expert qui est spécialiste d'un domaine pouvoir qui peut être importé dans le champs politiques. – ressources de nat symbolique. Champs symbolique= église, école, médias, dans ce champs 3 types de ressources: contrôles de l'information, la notoriété: être connut et populaire, la légitimité différent de notoriété être connut pour avoir du pouvoir il faut avoir les 2 pour être légitime il faut être connut. Légitimité = croyance dans la légitimité du pouvoir d'un individus. – ressources du champs coercitifs/ ressources coercitions.= Contrôle de la légalité des normes ( de la production de la règle) qui maitrise la validation de la norme? La légalité?=autres ressources qui ne sont pas vrt1: capacité de troublé l'ordre public, elle vient centrer les ressources du champs coercitif. – Toutes ressources sociales n'existe qu'en situation. Il n'y a pas de coercition le pouvoir de coercition est inutile en période de paix sociale. – Les ressources sont cumulables. Ex: argent(ressources économique) sert à recruter des agitateurs, des financier des campagnes, recruter des experts agent. Le cumule des ressources n'implique pas un pouvoir absolu. Ex: un ministre peut se heurter à la mauvaise volonté et à l'inertie de ses services (les exécutants, l'administration.) =les ressources ne sert a rien.
c. Types de domination Comment Max Weber définit-il la domination politique ? Il définit la domination politique comme « l'ensemble des ressources mobilisables et des contraintes subit dans l'exercice effectif du pouvoir », pour WEBER le domination est à la fois une ressources et une contrainte du pouvoir (responsabilité= ça nous engage).
Weber définit 3 types de domination à partir de 3 types de légitimité. La légitimité du pouvoir définit l'obéissance. On n'obéit pas de la même manière à tous les pouvoirs) et donc la domination. Weber définit 3 types de légitimité: →respect de la tradition (légitimité traditionnel) ex: légitimité du roi. →reconnaissance et respect des règles= légitimité bureaucratique. →la vénération du chef= légitimité occasionnel. 1. La domination traditionnelle Quelles sont les principales caractéristiques de la domination traditionnelle ? Elle puisse sa légitimité dans les coutumes et repose sur le respect des traditions (habitude d'obéissance). Il ne réfléchissent pas habitude de l'obéissance. Des information sont devenu naturel. Naturalisation du temps. La domination traditionnelle correspond à la fin de la féodalité, révolution française. Cette domination est marqué par une personnalisation du pouvoir, intensification des relations inter-personnelle ( il y a des relations entre tous les vassaux et le roi grâce à un hier). 2. La domination légale-rationnelle Quelles sont les principales caractéristiques de la domination légale-rationnel ? Elle succède à la domination traditionnelle, elle caractérise des sociétés contemporaines ou l'expression du pouvoirs= règle écrite ( constitution, charte constitutionnelle). Historiquement cette domination suit la domination traditionnelle. C'est l'état de droit moderne qui incarne ce modèle de domination. L'exercice du pouvoir dans ce modèle est dépersonnalise. On obéit plus à un individu, une personne mais à des règles constitutionnelles et impersonnelle. Un agent à un uniforme, c'est la fonction qui oblige à le porté. Les rapports de pouvoir sont donc codifié, l'exercice du pouvoir est prévu à l'avance par les textes. Ce pouvoir est assuré par un appareil administratif bureaucratique, pas de démocratie sans bureaucratie selon weber. Bureaucratie = les dirigeants sont sélectionnés par leurs compétences le pouvoir est dépersonnalisé, on ne commande pas en son nom. Le pouvoir des élus, fonctionnaires est temporaire et non héréditaire ce qui est différent de la domination traditionnelle. Dans ce modèle l'administré obéit par calcul rationnel à des règles et non à des personnes. 3. La domination charismatique Dans les modèle précédent il y a eu des sortes d'accident qui ont permis la construction de domination différente et transitoire/ intermédiaire= domination
charismatique, la domination charismatique est liée à un seul individus qui est différent de la monarchie ( le roi est dépassé par des fonctions alors que la tout repose sur l'individu et la croyance de la population dans les qualités personnelle de l'individu ( sauveur). Le pouvoir est émotionnelle ( différent de rationnel) qui repose sur les sentiments éprouvé en écoutant une personne il repose sur la séduction d'un individu, il est caractérisé par la vénération des fidèles abandonnées au leader. Ce pouvoir charismatique repose la plus part du temps sur un contexte de crise attente de la population que les dominations précédentes ne savent satisfaire. Il faut aussi un important travail d'image et d'entretien de l'image. Ex: MUSSOLINI, HITLER, SARKOSY. Ici le pouvoir repose sur un rapport direct à la foule eu peuple= suppression des catégories intermédiaires entre les 2 = réalisation charismatique. Quelles sont les principales caractéristiques de la domination charismatique ? Le leader charismatique ne supporte d'intermédiaire, le pouvoir charismatique est la plus part du temps arbitraire et facteur de désordre car les but à atteindre du leader sont souvent irréalisable et heurte une partie de la population ( qui conteste ) et qu'il faut éliminer. Ce pouvoir est provisoire mort du leader = destruction du pouvoir. A partir de la bibliographie proposée dans le syllabus, des textes mis en ligne et des vos recherches personnelles, vous répondrez aux questions suivantes. Chapitre 2: Sociologie de l’Etat Genèse de l’Etat nation et Etat providence Mis à part l’Etat, quelles sont les deux autres formes grandes formes historiques d’organisation du pouvoir ? I-
L’Etat : une société juridique A. Les trois critères
Il existe trois critères pour définir un État. 1.Territoire Quelles sont les 3 dimensions du territoire juridique ? L'état exerce son autorité sur un territoire, délimiter par des frontières et un sentiment d'appartenance. Le territoire est délimité par des frontières, un territoire sur lequel l'État exerce son autorité, pas d'ensemble sans territoire. L'intégrité du territoire est consacré par la constitution en France, art. 5 le président est le garant du territoire. C'est un espacé de
sécurité. Les frontières de l'état peuvent être naturelles: partages des eaux... ou artificielles: lignes droites, courbes géométrique:Afrique dans certaines partie. Les frontières ne sont pas seulement terrestre, il existe des frontières maritimes et des frontières aériennes. 2.Population Précisez les notions suivantes : nationaux, étrangers et assimilés? –
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Une nation est une communauté géographique de langue et de religion identique et d'une race identique, idée des nazis mais définitions fausse d'un point de vue scientifique. Cf BURDEAU la nation est un rêve d'avenir partagé. Dimension subjective de la nation: la volonté de vivre ensemble est enraciné dans l'homme. Population : c'est l'ensemble des personnes vivant sur le territoire de l'Etat et placée sous son autorité.
État différent de nation car: Existence d'état multiple pour une seule nation: ex: RFA/RDA. Existence d'état ne s'appuyant pas sur une communauté nationale. Ex: état multicommunautaire Belgique entre flamand et wallons. : état multinationaux= plusieurs nation, disparition. –
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le pouvoir d'injonction est celui du chef hierarchique qui place son subordonnée devant une alternative simple: soit il est sanctionner. L'Etat possède un pouvoir d'injonction (celui-ci est organisé) car il y a une autorité. Le monopole de la vio 3.Pouvoir d’injonction organisé
En quoi le monopole de la violence légitime renvoie-t-il à ce pouvoir d’injonction organisé ? B. Typologie des formes étatiques Quels sont les 2 principaux critères de classification des types d’organisation étatiques ? 1.Etat unitaire centralisé Un exemple historique : 2.Etat unitaire décentralisé Un exemple historique : 3.Etat fédéral Un exemple historique :
II-
L’Etat : une construction socio-historique
A. Les Indicateurs socio-anthropologiques de l’Etat Comment identifier les critères anthropologiques de l’Etat ? 1.Spécialisation, centralisation et institutionnalisation La spécialisation des agents de l’Etat renvoie à 2 processus : différenciation, professionnalisation. Pourquoi ? Qu’est-ce que la dépatrimonialisation du pouvoir ? 2.Monopolisation et bureaucratisation Quels sont les principaux monopoles étatiques ? Quels sont les caractéristiques des fonctionnaires d’Etat selon Weber ? B. Genèse de l’Etat moderne 1.L’autonomisation du pouvoir politique Expliquer les 4 processus d’autonomisation du pouvoir politique : sécularisation du pouvoir ; essor des relations d’interdépendance ; diversification des institutions politiques ; juridicisation des rapports politiques. 2.La guerre et l’impôt ou la « dynamique de l’Occident » Comment N. Elias relie-t-il la « dynamique de l’Occident » de réduction de la fragmentation féodale du territoire européen à la formation d’un double monopole interdépendant : monopole fiscal et monopole militaire ? 3.Capitalisme et sécularisation du pouvoir Comment construction de l’Etat et essor d’un capitalisme marchand sont-ils liés par l’émergence de la bourgeoisie ? C. Construction de l’Etat nation 1.Nations et citoyennetés a. Les deux visions de la nation Qu’est-ce que la nation ethnoculturelle ? Qu’est-ce que la nation politique ?
b. Deux visions de la citoyenneté Qu’est-ce que la vision universaliste de la citoyenneté ? Qu’est-ce que la vision multiculturelle de la citoyenneté ? 2.Nationalité et nationalisme Pourquoi un historien comme Eric Hobsbawm considère-t-il que la nation n’est qu’une construction historique, un sentiment subjectif d’appartenance entretenu par un travail de symbolisation et de production d’un imaginaire politique ? D. Crise de l’Etat providence 1.L’expansionnisme administratif A quelles occasions historiques l’interventionnisme étatique s’est-il développé entre 1870 et 1970 ? 2.La remise en cause de l’interventionnisme Expliquez les 3 facteurs de la remise en cause des Etats-providences en Occident : chocs pétroliers, nouvelle exclusion sociale, idéologie néolibérale. A partir de la bibliographie proposée dans le syllabus, des textes mis en ligne et des vos recherches personnelles, vous répondrez aux questions suivantes.
Chapitre 3:Les régimes politiques Commentez le tableau ci-dessous reprenant la classification classique des régimes par Aristote Aristote Justice Intérêts gouvernant(s)
du/des
Un
Plusieurs
Multitude
Royauté Tyrannie
Aristocratie Oligarchie
Politeïa Démocratie
Expliquez le nouveau critère du classement moderne des régimes politique, à savoir le degré de consensus politique exigé par le pouvoir. I.
Les démocraties pluralistes
Quel est le principal critère d’identification d’une démocratie pluraliste en
sociologie politique ? A. Les principes représentatifs 1. 2. 3. 4.
Bernard Manin
L’élection des gouvernants L’indépendance de l’élu La libre expression des opinions La discussion parlementaire
Associez ces 4 principes aux 4 propositions suivantes : principe délibératif ; principe de représentation démocratique ; principe du mandat représentatif ; principe de sanction électorale B. La mise en place de la compétition politique pluraliste L’instauration du Suffrage universel en France en ……. instaure-t-il immédiatement une compétition politique concurrentielle et pourquoi ? Qu’est-ce qu’un notable en politique ? Qu’est-ce qu’un entrepreneur politique ?
C. Les dynamiques démocratiques contemporaines 1) La nationalisation des arènes électorales Quand l’unification des marchés électoraux se réalise-t-elle réellement en France ? 2) L’intensification de la compétition électorale Identifier plusieurs indicateurs de cette intensification de la compétition électorale. 3) La personnification des activités politiques En quoi le régime présidentiel, la bipolarisation, la médiatisation du politique et l’essor des sondages favorisent-ils la personnification de la compétition démocratique ? 4) La collectivisation de la vie politique Pourquoi la collectivisation de la vie politique n’est-elle pas contradictoire avec la personnification du pouvoir ? II.
Les régimes autoritaires
A. Critères d’identification 3. Le contrôle des institutions politiques Quels sont les 2 éléments qui témoignent de l’absence de compétition électorale libre ? 4. Un pluralisme limité Pourquoi le régime autoritaire tolère-t-il un pluralisme limité ? 5. Faiblesse des mobilisations et des idéologies politiques Pourquoi le régime autoritaire repose-t-il sur une dépolitisation des acteurs et des enjeux politiques ? 6. Répression et violence Pourquoi n’est-ce pas une caractéristique des régimes totalitaires ? B. Types de régimes autoritaires 1. Autoritarisme patrimonial 2. Oligarchies clientélistes 3. Bonapartisme et dictatures populistes
4. Bureaucraties autoritaires
III.
Les régimes totalitaires Hannah Arendt Raymond Aron Juan Linz
Qu’est-ce qui distingue fondamentalement un régime autoritaire d’un régime totalitaire ? A. Les caractéristiques du totalitarisme 1. Une religion politique Expliquez pourquoi un régime totalitaire est avant tout une idéocratie. 2. Un contrôle social intensif Comment le contrôle social s’effectue-t-il dans la population ? 3. Un système de mobilisation des masses Expliquez pourquoi la mobilisation suppose un appareil d’encadrement spécifique et l’identification d’un ennemi commun. 4. La terreur La terreur est-elle le principal critère d’identification du régime totalitaire ? B. Les dispositifs totalitaires 1. Le parti unique Quelles sont ses fonctions ? 2. Le culte du chef Donnez plusieurs exemples d’égocratie. 3. La centralité de l’idéologie Qu’est-ce que l’idéologie totalitaire fait-elle à la religion, la culture et la philosophie… ? 4. L’hypertrophie de l’appareil répressif Quels dispositifs historiques caractérisent le mieux cette hypertrophie de la répression ?
Chapitre 8: mouvement sociaux et action collective. INTRODUCTION: Des exemples de participation non conventionnelle : les manifestation, les sit-in c'est ce que l'on appelle les mouvement sociaux ou actions collectives. Un mouvement sociale est une forme d'action collective mener par plusieurs individus en même temps de manière concerté et intentionnelle. Il y a d'autres sorte de mouvement collective ni concerte ni intentionnelle les embouteillages. L'idée c'est d'ex primé ou de défendre collectivement des revendication et de les défendre face à l'autorité. ERIC NEUVEU appelle un mouvement sociale un agir ensemble intentionnelle marqué par le projet explicite des protagoniste de ce mobilise de concerté dans une logique de revendication de défense d'un intérêt matériel ou d'une cause. L'action collective sert à mobiliser ou à influencer le gouvernement sur ces revendications. Le niveau d'influence peu aller de la simple expression public d'un problème, la demande de prise en compte d'un problème, le retrait d'un certain nombre de décision, la démission du décideur et enfin la révolution ou renversement du pouvoir politique.
I )les logiques de l'action collective. Comment peut ton expliqué la participation de certains à des actions collective? A. explication classiques : irrationalité et insatisfaction. L'engagement revoit à un mécontentement, il y un lien étroit et direct entre la condition d'un individu et son engagement. Explication de GABRIEL TARDE et de GUSTAVE LE BON ils disent que l'engagement est irrationnelle et imitatif et parle de principe de contagion de la protestation, on considère que le mouvement est dangereux car inexpérimenté. Cela pousserai les suiveurs à suivre les meneurs. La contestation est un danger car la foule est incontrôlable elle fait peur, on explique la mobilisation à partir de cette peur, DARWINISME social on a peur de la classe moyenne du prolétariats vu le nombre important d'ouvrier. Dans les années 1920-1930 on explique la mobilisation par une frustration relative cad une insatisfaction cad un décalage entre les attentes et le vécu. On peut y avoir des mouvement d'insatisfaction. Face à ses approches MANCUR OLSON publie un ouvrage les logique de l'action
collective, il s'interroge sur les décisions de l'action collective. B. les explications OLSONIENNE : incitation séléctive. Il part des motivation individuel pour explique les motifs de la mobilisation, de l'engagement et va montré un certain paradoxe. Car les individus sont rationnel il mesure les couts et les engagements. Il part des motivations individuels de l'individu pourquoi il décide de ce mobilisé? OLSON considère l'individu comme rationnel. Il montre qu'un être rationnel même insatisfait ne se mobilisera pas car c'est pour lui irrationnel, il dit que l'action collective produit des biens collectif, des avantage qui sont communs à l'ensemble du groupe y compris a ce qui n'ont pas participer a la mobilisation. La non participation apporte plus de bénéfice que la participation et on n'aura pas payé le couts collectifs. Logique du passager clandestins avec cette interprétation il y a un problème. Il dit que cela est du à la taille du groupe : dans un groupe de petite taille la non participation est plus visible et aura plus de chance d'être stigmatisé. La taille de la structure peut engagé des pratiques rationnels. Les incitations sélective sont selon lui celle qui produisent des pratiques irrationnel. Les organisations les ( les incitations sélective) proposent aux individu pour les incités à participé au mouvement. Il distingue deux sortes: –
les syndicats obligatoires et les incitations sélectives positives tels que l'ensemble des services que peut proposer une entreprise comme les voyages.
Ce qui définit l'adhésion n'est donc pas un sentiment d'appartenance mais des avantages matériels. Les incitations sélective positive tel que les services ou les biens matériel ou symbolique. Il dit que ce qui explique la mobilisation de certains c'est qu'il vont bénéficier d'avantage qui les incite a participer ce qui fait baisser la participation. Le principales objectif est de produire l'incitation collective, il faut donc produire ces mobilisation. On se lance donc la mobilisation de ressources, il se professionnalise dans la recherche de maximum de participant il distingue les bénéficiaire direct et les militants par conscience. Il peuvent être motivé par d'autre choses. Un mouvement social n'existe jamais indépendanmment certains profite de certaine ressources sans participer a la recherche. C'est cette perspective qui conduit a la prise en compte du contexte.
C. La prise en compte du contexte:
ce type d'explication part de l'explication d'OLSON qui est modélisé d'une certaine manier et ne renvoi pas à la réalité. OBERSON est contre OLSON et va expliqué comment et pourquoi. Deux contexte peuvent expliqué la mobilisation: – la structuration interne du groupe qui va faire varier les chances et les types de mobilisation, il faut déterminer si il atomisé ou non. – La position de ces personnes dans la société et leurs influence sur le gouvernement. cela montre qu'un groupe fortement atomisé et très loin du pouvoir à très peu de chance de ce mobilisé et si il le fait ce sera de manière décousu. Ex/ les jeune de banlieue. Les groupe proche du pouvoir: les médecins sont très fort pour la mobilisation, ces groupe ce mobilise facilement et on souvent des réponses. Cela renvoi à des structures d'opportunité. Les mobilisation réponde a des phase d'opportunité de mobilisation. Le degré d'ouverture répond au différente phase d'ouverture du système public. Ce sont des éléments qui permette de répondre. Ex Martinique Guadeloupe. La division des force politique accentue l'audience des mouvement sociaux, on peut réfléchir à l'éclatement de la gauches en France. Existence de relai des protestataires dans le système politico administratif ex/ mouvement ecolo dans les année 70-80. L'information fut relaye par des personnes dans le gouvernement qui sont concerné par ces revendications. Ces structures d'opportunité déclenchement, déroulement succès , échecs d'une mobilisation. Cela apporte une épaisseur à l'expression OLSON. Mais d'autres travaux vont d'avantage se porté sur la question du phénomène identité qui se développe dans tous les mouvement sociaux. D'autre groupe s'intéresse à la critique de la rationalité. D. ............................ comment expliquer des situations de mobilisation qualifiées d'irrationnel qui n'ont aucun bénéfice direct et un cout fort pour ceux qui se mobilise? Ex: mobilisation de la jeunesse blanche pour le droit des noirs? On montre que cette mobilisation irrationnel renvoi à des valeurs et à l'attrait du risque. Prise en compte dans l'expérience des raisons non matériel « les redistributions symboliques de l'action sociales du militarisme ».
Ces redistributions symbolique sont de 2 ordres: – constitution d'une raison sociale/amicale. S'engager: vivre des moment fort avec des amis – l'entretien d'une image valorisante de soi: lorsque l'engagement contribue à se mettre en conformité avec ses valeurs, son identité sociale. Paradoxe du pelerin= sacrifice de soi. ( il faut souffrir = estime) Le poids des valeurs est variable et dépend du phénomène de socialisation sociale ( familiales, amicale) on n'a pas les même valeur = pas le même engagement. Il y a une dynamique identitaire et symbolique importante dans tout mouvement sociaux. Les entrepreneurs de mobilisation (OLSON) l'ont compris et produisent de incitations sélective de type identitaire. Ex: mouvement anti raciste repose sur des valeurs. L'identité est un moteur prix de l'engagement surtout pour les catégories sociales les plus précaires. Ex: sans papier, chômeurs.... se mobilise pour retrouver une identité. Un mouvement de mobilisation peut aussi s'expliquer par le niveau de cadrage produit par les entrepreneurs de mobilisation, la mobilisation dépend du travail d'identification, de construction des problème et de leurs solutions. Pour avoir une mobilisation les entrepreneurs doivent construire une vision collective et partagé du problème et nommé l'ennemi, les responsables, les stigmatiser et trouver des solution si le mouvement est bien cadré il y aura un succès. Dans le cas contraire échec. Pas de mouvement sociales sans cadrage c'est un enjeu de lutte pour les organisation, les syndicats, les I... comprendre les mobilisation c'est décider de décrypter le discours des entrepreneurs qui veulent cadrer la mobilisation. L'appareil explicatif des mobilisation est complexe ( il faut articuler rationalisé, contexte , identité)pour comprendre le mouvement sociale. Il faut intégré la dimension émotionnel du mouvement pour le décrire. Certaines approches étudie les mobilisations à partir des carrières de mobilisation.
II. TYPOLOGIE DES GROUPES D'INTERETS.
Quelles sont les organisations qui produisent les mobilisation collectives? (assos, syndicat, coordination...) ces organisations sont considéré en sociologie politique sous le terme de groupe d'intérêt. 1. définitions du groupe d'intérêt.
C'est une structure organisé qui au sein d'un système politique défend collectivement un intérêt spécifique en cherchant à influencer le pouvoir. Groupe d'intérêt ≠ paris politique= intérêt de la définition ↓
but différent pas le pouvoir mais influencer le pouvoir par différent moyen.
↓
le but est la conquête du pouvoir politique.
Mais il faut relativiser: des groupes d'intérêt peuvent devenir des partis politiques. Ex: groupe écologiste. Critère: celui du type d'intérêt défendu. Philippe BRAUD « sociologie politique » il distingue en fonction des intérêts 2 types de structures: – groupe identitaire. – Porteur de causse. Groupe identitaire: groupe qui défend une causse d'une catégories sociales préexistante dans la société. Ex lobby industriel. Le poids de ces groupe est variable, dans nos société les syndicats dominent dans les groupe I leurs intérêt sont des intérêt particulier, catégoriel, corporatiste ( il peut être différent de l'intérêt général). Dans ces groupes le principale enjeux est de produire une représentation légitime de ses intérêts et devenir l'interlocuteur légitime du pouvoir. L'action collective s'est transformé au milieu des années 19°s. Il y eu un dernière transformation plus contemporaines, qui renvoi au post matérialisme et à la mondialisation. Ces éléments (post) on permis de décrire les transformation récente: société post industriel et NMS. Alain TOURAINE ( 60-70) identifie une transformation de l'action collective dans les pays industriels dans les années 60-70. après 68, se développe des contestation nouveau modèle de société. Féministe, homo écologiste. Ce sont des mouvement hétérogènes avec un pts communs : il renvois à des revendications post matérialistes: centrés sur la reconnaissance de l'identité et de la qualité de la vie ce sont des revendication pour le bonheur, pas forcement avoir plus mais avoir mieux. Ici ce sont des revendication bourgeoise du à la moyennisation de la société. RONALD explique cela par l'évolution du niveau de vie, on a moins de désirs matériel et plus de désirs immatériels. C'est aussi du à l'augmentation du niveau d'éducation. Ex: mouvement d'éducation. Mais des revendication matérialistes existent toujours même si on l'oubli. Les mouvement d'avant 1960 ne sont pas tous matériels et depuis 1980, les
revendications post-matériel ne sont pas les seules, des matériels persiste: salaire, pouvoir d'achat. 2. L’importance croissante de l’expertise
comment la compétence des expert modifie les formes d'actions collective. Expertise usage d'un certain nombre de savoir spécialisé dans les décisions politiques. Tant que les dominations économique( décision) sont peu nombreuses dans une société les expertises sont peu nombreuses. Aujourd'hui augmentation économique on utilise les expertises dans tous les décisions car nos sociétés sont + complexe, + technique, il y a + de débat, hausse de l'expertise pour la mondialisation, la question publique... aujourd'hui, influencer le pouvoir c'est faire valoir des expertise technique convainquant si on a pas derrière nous des experts. L'expertise c'est l'adaptation des organisation de mobilisation. Ex: défense des malades de SIDA, les association de défense dans les années 70, se sont appuyé sur des expert pour devenir l'interlocuteur privilégiè du gouvernement pour la santé public. C'est donc l'essor du militantisme scientifique. 3. L'effet de la mobilisation.
C'est un facteur de la transformation des répertoires des actions collectives. Elle permet l'émergence de NNMS cela renvoi à ce qui se passe depuis le début 2000 et à l'hypothèse de la cibler internationalisation des mobilisation= internet permettait une évolution des formes et des répertoires et de l'action collective. 4 élément de cette évolution: – détérioration qui renvoi à des mobilisation transnationale. – Mouvement al ter mondialiste, manifestation européenne et internationale on ne tient pas compte du territoire. Ex: 1995 contre J CHIRAC et le retour des essai nucléaire en France. La guerre en Irak en 2003 et sa mobilisation internationale. – Mutation : évolution de la communication numérique. ( instantanéité de la communication numérique) qui modifie les conditions et le répertoire d'action. – Augmentation des investissements, instance de régulation transnationale, internationale. Ces mutations doivent être relativiser.