Partie II. Performances économiques, financières et sociales
Le taux d’investissement des SNF a poursuivi sa progression amorcée en atteindre, 40,2% en 2006 contre 35,9% en 2002. Graphique 17 : Structure de la FBCF par secteur institutionnel 10 0% 80%
33,3%
34,6%
34,9%
60%
12,6%
10,1%
8,7%
53,3%
55,1%
56,3%
19 9 8 - 2 0 0 2
2003-2006
40% 20% 0% 2006
Sociétés non financières Sociétés financières Administrations publiques Ménages Source des données :Haut Commissariat au P lan +calculDEP F
La part des investissements des entreprises et des ménages dans la FBCF a a depuis 1998. En effet, les investissements des sociétés non financières à prix cour représentent 56,3% de la FBCF totale en 2006 contre 50,8% en 1998 et la part des investissements des ménages s’est élevée à 34,9% en 2006. A l’inverse, l’investiss l’administration publique représente 8,7% de la FBCF totale en 2006 contre 11,8% Indépendamment du rythme de progression, les acteurs économiques ont co parts importantes de leurs ressources aux investissements. Le taux d’investissem sociétés non financières, autour de 33%, doit être rapproché des politiques d’inci l’investissement. La répartition sectorielle de la FBCF fait apparaître une concentration des investissements dans la branche du bâtiment et travaux publics au cours de la pér 1998-2007, branche ayant bénéficié de l’investissement engagé par l’Etat dans le chantiers d’infrastructure. Le secteur du BTP intervient à concurrence de 50,6% du total des investissem 2007 contre 41,6% pour l’industrie. L’investissement dans le secteur des services représente que 6,1% et l’agriculture 1,7% dans le total investi. 1.1.3. Amélioration du profil des échanges extérieurs
Depuis le début de la décennie 1990, le Maroc a opté pour une politique de libéralisation progressive de son commerce extérieur visant la réduction de la pr tarifaire, la simplification des procédures du commerce extérieur, l'élimination d non tarifaires ainsi que l'élargissement et la diversification de ses relations comm économiques. Parallèlement, les pouvoirs publics ont engagé une politique de promotion d exportations et d’amélioration de l’offre exportable en meilleur adéquation avec l opportunités mondiales et les stratégies ciblées axées sur les secteurs porteurs Ainsi, les exportations nationales de biens et de services ont enregistré une p soutenue évaluée à près de 14,1% en moyenne sur les trois dernières années. Acc la dynamique économique, les importations ont progressé plus rapidement à plus alourdies, par ailleurs, par l’envolée des prix des produits de base.
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