+ENCG
KENITRA
ATIR Khawla
TADLI Manal
DRIWI Hamza SINA Houda
MENJAH Malak
Benkhammar NAJOUA Daimallah KAOUTAR Nassiri YOUSRA ElKouraichi SOUKAINA
Nawfel ERRAMI
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Plan 1
Les intervenants du secteur
Analyse PESTEL PRÉSENTATION DU PROGRAMME À METTRE EN ŒUVRE 2
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Les 5 forces de PORTER
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Analyse de l’environnement : PESTEL PLAN DE SOUTIEN AUX BANQUE : Garantir les prêts interbancaire - Reconstitution du capital - Nationalisation partielle ou totale des banques -Réglementation du marché par des mesures déployées par LA BAM RELANCE DE L’ECONOMIE : L’objectif général de cette relance : Faciliter l’octroi du crédit et les subventions pour les investissements dont les banques sont des intermédiaires.
PESTEL
Le secteur bancaire présente un potentiel de croissance important. Le taux de bancarisation est de seulement 40% de la population marocaine. 1/3 du réseau bancaire est concentré sur l’agglomération casablancaise. Cette concentration fait défaut, surtout, aux zones rurales, qui n’ont pas un accès facile au réseau bancaire Le bilan comptable cumulé de l’ensemble des banques marocaines s’élève à 540Md DH Un secteur très concentré puisque les 3 premières banques (BP, Attijariwafa Bank et BMCE) représentant 64% de l’ensemble des banques. Le Maroc s’apprête à introduire les produits islamiques, dits alternatifs, respectant les règles de l’islam.
PESTEL La société marocaine présente un taux de bancarisation des plus faibles. Ceci est dû au manque de confiance accordé au système bancaire, les marocains préférant la thésaurisation. La société marocaine comprend une clientèle averse aux taux d’intérêts et aux pratiques des banques, jugées interdites par l’islam. Cette clientèle s’oriente de plus en plus vers la finance islamique.
PESTEL
Le système bancaire marocain dispose d’une plateforme technologique et informatique très développée.
L’utilisation des nouvelles technologies est considéré comme révolution technologique à même de permettre aux usagers de cette technologie de prendre connaissance de différentes transactions commerciales et bancaires
PESTEL •
Trois organes ont été créés : CNME, CEC et la Commission de Discipline des établissements de Crédit (CDEC).
• Les épargnants et les emprunteurs ont été protégés par un ensemble de mesures (création d’un fonds de garantie, respect des règles de gestion prudente …).
+Les 5 forces de porter
Rivalité des concurrents
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LE POUVOIR DE NEGOCIATION DES CLIENTS Le pouvoir de négociation des clients sur le secteur bancaire marocain est moyennement élevé, quand on voit le nombre des banques (16), face à un taux de bancarisation des plus faibles. Ce pouvoir de négociation est renforcé par : Forte
visibilité de l’offre (multi canal)
Gamme
de produit identique et comparable (imitation facile)
Infidélité de la clientèle (fait jouer la concurrence multi bancarisation)
+ Le pouvoir de négociation des fournisseurs
Il n’existe pas de fournisseurs pour ce secteur. On ne peut donc pas parler d’un pouvoir de négociation pour ceux-ci, sauf pour le cas des prestataires des services NTIC et les sociétés très actives dans le développement de solutions informatiques pour le secteur bancaire.
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+ Les produits de substitution:
La finance islamique est basée sur les principes de la loi islamique (Sharia) qui imposent justice, équité et transparence.
Des banques modèle islamique ont vu le jour ces dernières années au Maroc et ciblent une clientèle averse aux prohibitions de la religion. Seulement, la finance islamique est encore à son bercail mais son évolution doit être, tout de même, décortiquée à la loupe.
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+ Les entrants potentiels sur le marché :
La menace de nouveaux entrants potentiels sur le marché est faible, tant le secteur bancaire marocain est fortement concentré (3 premières banques : BCP, ATTIJARI WAFABANK, BMCE BANK).
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+ L’intensité de la rivalité entre les concurrents : Le secteur bancaire local correspond à un oligopole avec frange compétitive, avec Attijariwafa Bank (AWB) et la Banque populaire (BP) du Maroc qui se relaient la position de leader du marché. • Les quatre premières banques marocaines trustent 74% des dépôts, 72% du total bilan, 72% des crédits et 70% du Produit net bancaire (PNB). • Attijariwafa Bank et la Banque Populaire détiennent respectivement 25% et 24,2% de parts de marché en termes de PNB. • Les tarifs exercés par les banques sont cohérents avec leurs positionnements.
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