احلمد هلل وصلى اهلل وسلم على سيدنا حممد رسول اهلل N°42 Jeudi 06/03/2014 - 04 Joumàdà l-‘Oulà 1435 SECOURU PAR UN ANGE DU QUATRIÈME CIEL
D’après Sayyidounà Anas bin Màlik Al-Ansâriy رضي اهلل عنه: « Un Sahàbiy parmi les Ansâr du nom de Abou Maعlaq était commerçant. Il faisait du commerce de son argent mais aussi pour d’autres. Il parcourait les horizons à cet effet. Il était un humble adorateur, scrupuleux. Une fois, au cours de l’un de ses voyages, un bandit couvert d’armures croisa son chemin. Il lui dit : Pose tout ce que tu as sur toi. Je vais te tuer ! Il lui répondit : Que ferais-tu de l’effusion de mon sang ? C’est l’argent qui t’importe ! Il lui dit : Quant à l’argent, il est à moi, mais je ne veux que répandre ton sang. Il dit alors : Si tu refuses [ma proposition] laisse-moi alors accomplir quatre Rakعah. Il lui dit : Prie comme que tu voudras. En effet, il fit ses ablutions et accomplit quatre Rakعah. Et il fit un Douعà’ à la dernière Sijdah et y dit trois fois :
ْ ْ ْ ْ ،اّلي ََل يرام ِ َ ك ِب ِع ِز َك ُ ُ أَسأَل،يد ُ ال لِ َما ي ُ ِر ُ َيا ذَا ال ََع ِش ال َم ِج،َُيا َودُود ُ َيا ف َ َع،يد ُ َُ ْ ْ ْ ْ ْ َ وبنورك،اّلي َل يضام َ كك أَن َتك ِفينِي َشر،ك اّلي مَل أرك ِ ومل َ ان ََع ِش َ َ َ َ َ َ ِ َ ِ ُ ِ َ ُ َ ُ َ ِ َ ُ َ َ َ ْ ْ ْ يث أ َ ِغثنِي ِ َه َذا ُ َيا مُ ِغ،يث أ َ ِغثنِي ُ َيا مُ ِغ،يث أ َ ِغثنِي ُ َيا مُ ِغ،الل ِص
Yà Wadoud, yà dhà l-عarchi l-majid, yà faع عàlou limà yourid, as’alouka bi-عizzika lladhi là yourâm, wa moulkika lladhi là youdâm, wa bi-nourika lladhi MISE EN GARDE : Jeter sciemment la parole de Allâh, de son Prophète , ou des enseignements de l’Islam, ou les mettre dans la saleté ou l’impureté est KOUFR !
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Préparé par : Chaykh Khaled Ahmad, Khatib et Mouballigh de AL AQSA MASJID
mala’a arkàna عarchik, an takfiyani charra hàdhà lliss. Yà Moughithou aghithni ! Yà Moughithou aghithni ! Yà Moughithou aghithni Ô Toi Le Bienveillant, ô Toi Le détenteur du Trône, Toi Le Glorieux au Pouvoir absolu, Toi Qui réalises immanquablement tout ce que Tu voulus, je T’implore par Ta Supériorité inaccessible, par Ta Royauté invincible, et par Ta Lumière qui emplit tous les recoins de Ton Trône, d’assurer ma protection contre le mal de ce bandit. Ô Secoureur, secoure-moi ! Ô Secoureur, secoure-moi ! Ô Secoureur, secoure-moi ! Aussitôt fini, un cavalier apparut posant sa lance entre les oreilles de son cheval. En le voyant, le bandit se tourna vers lui, mais ce dernier, le frappa avec sa lance et l’acheva. Il s’avança vers le Sahàbiy en lui disant de se lever. Le Sahàbiy lui demanda : Qui es-tu ? Que je puisse te satisfaire même avec mon père et ma mère ! Car Allâh m’a secouru par toi aujourd’hui ! Il lui dit : Je suis un ange habitant au quatrième ciel. Tu as prononcé ton Douعà’ la première fois et j’ai entendu les portes du ciel se secouer. Tu as répété ton Douعà’ une deuxième fois, et j’ai entendu un bruit émis par les voix des habitants du ciel. Et tu as récité ton Douعà’ pour la troisième fois et on m’a dit : C’est le Douعà’ de quelqu’un qui est tourmenté. J’ai alors demandé la permission à Allâh taعàlà de me charger de le tuer ». Anas رضي اهلل عنهdit : ْ ْ ْ ْ ْ ، ودعا ِبذا العاء، وصّل أ ْربع ركعات،ن توضأ ْ اعل ْم أنه م ً ْي غ و أ ان ك ا ب و ر ك م ، ل يب ج ت اس َ ِ ٍ ٍ َ َ َ َ ِ َ َ َ َ َ َ ُ َف ِ َ َ َ َ َ ََ َ َ َ َ َ َ َ ََ َ ُ ُ َ ُ َ ُ ْ وب ٍ َمك ُر « Sache que celui qui fait son Woudou’, qui accomplit quatre Rakعah, et qui y récite ce Douعà’, il sera exaucé, qu’il soit tourmenté ou non ».
[Moujàbou d-Daعwah de Ibn Abi d-Douniyà Al-Qourachiy ; Ousdou l-Ghâbah de Ibn AlAthir ; Al-Isâbagh de Ibn Hajar Al-عAsqalàniy]
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