UVOD ZA OBA PITANJA: Molière est en centre de la comédie de l'époque classique. Il occupe une place a part, a la fois grâce a la variété des sujets qu'il développe, a la diversité des styles qu'il pratique, a la perfection de sa technique dramatique et de son expression. Il n'était pas seulement un auteur de théatre mais aussi un comédien et le directeur de sa troupe. Molière s'est inspire des auteurs de l'antiquité mais surtout des auteurs italiens et français de son temps. Il doit beaucoup a la commedia dell'arte italienne a laquelle il emprunte ses types pittoresques et sa gestuelle. Il reprend les procédés comiques de la farce française. Il s'intéresse au présent plutôt qu'au passe. Il a créé des types immortels, solidement enracinés dans la réalité contemporaine sans doute, mais dépassant leur temps et la personne même de leur auteur. Il a eu le génie de les faire en même temps universels et particuliers au point que leurs noms devenus symboliques. On dit Harpagon, Tartuffe… Pour lui, les règles ne sont pas de lois mystérieuses, ce sont de simples observations su bon sens que chacun peut faire a son tour. Plaire au public est la grande règle de toutes les règles. c'est la doctrine des grands classiques. Le public est juge absolu, il ne faut pas juge une pièce d'après les règles mais d'après l'effet qu'elle fait sur nous. Son théatre est destiné a satisfaire l'ensemble des spectateurs et non une petite minorité de spécialistes. Le public se détourne de la fantasie et de la singularité et s'intéresse au naturel, au vraisemblable, aux analyses psychologiques.C' est en peignant des caractères avec naturel et vraisemblance que Molière va répondre au gout du public. On trouve dans ses comédie un tableau complet de la société contemporaine. Les sujets qui l'inspirent particulièrement sont l'hypocrisie et les vicieuses imitations de la vertu. ( dans tartuffe il montre une caricature de dévotion ). Il a voulu attaquer sans exception les vices de son temps. Il n'y avait pas de privilégies chacun pouvait être le sujet de sa comédie. ZAKLJUCAK ZA OBA PITANJA: On trouve chez Moliere tout ce qui peut sucsiter le rire: le comique de mots, de geste, d'interruption, de répétition, de mots de nature, de situation. Molère aime opposer ses personnage par le caractère, le vocabulaire, les moeurs et il aime aussi les opposer a eux-mêmes ( contradiction d'Aceste ). Son comique (parodie) fait participer le spectateur a une sorte de jeu intellectuel, c'est a lui de découvrir les intentions satiriques de l'auteurs. En dépit de tant d'éléments communs, ses pièces sont loin de se ressembler car Moliere a l'art d'imaginer pour chaque comédie la situation la plus propre a mettre en lumière les caractères.
L'AVARE ET LE MISANTHROPE: d'un cote on a les parents qui s'opposent au mariage de leur enfant. d'autre cote on a un couple des amoureux menaces. La farce intervient systématiquement pour dissiper la gravite de certaines situations. Au meme titre que le comique de caractère ou de situation, la farce peut devenir un moyen d'expression et contribuer a la peinture du personnage.La plupart des effets de la farce sont intimement lies au contenu psychologique. Au début de l'Avare, la discussion entre Harpagon t La Fleche, tout en gestes et on jeux de la farce, nous découvre a chaque trait le caractère de l'avare: inquiet, soupçonneux, toujours a tâter, a surveiller les paroles. Dans certains cas, les procedes mécaniques de la farce, avec leur simplification caricaturale, se révèlent les meilleurs pour peindre les caractères de maniaques e d'obsédées comme Harpagon. Leur passion les aveugle au point de les isoler de la réalité et de les rendre insensible a ce qui n'est pas leur idée fixe. Moliere reste fidèle au schéma habituel de la comédie d'intrigue. Les parents de la jeune fille s'oppose au mariage. Le personnage qui s'oppose est un maniaque aveugle par se vices et ses travers et l'action a pour objet de mettre en lumière les défauts et les ridicules de son caractère. C'est pour une idée fixe que le personnage centrale contrarie le mariage de son enfant et veut lui imposer un autre. Harpagon veut marier son fils a une riche veuve, et sa fille au seigneur Anselme ( qui n'a pas plus de 50 ans et dont on vente les grands biens ). Face a cette coalition des parents maniaques et leur exploiteurs, voici d'abord le couple des amoureux menaces. Il sont généralement très épris mais desarmes, et heureusement soutenus par des personnes raisonnables et parfois ingénieuses. Mais l'opposition aux maniaques est le plus souvent conduit par les servantes a la langue perdue, capables d'inventer les ruses pour démasquer les hypocrites et faire triompher l'amour. ( proveriti deo sa koalicijom izmedju sine i njegovog sluge ). Dans l'Avare la situation impose a Harpagon des depenses qui le mettent a la torture: RICHE BOURGEOIS il doit avoir on train de maison, un intendant ( upravnik ), un laquais, un carosse, PERE DE FAMILLE il a un fils amoureux et prodigue et une fille qu'il veut marier sans dot, VEUF il voudrait se remarier mais la jeune Mariane est pauvre et il faut lui offrir un grand festin. Plusieur intrigues s'entrelacent, celle d'Elise et de Valere, celle de Cleante et de Mariane, celle d'Harpagon amoureux de Mariane et rival de son fils. En réalité, l'unité de pièce vient de caractère de l'avare, père d'une fille a marier et d'un fils prodigue, de l'avare partage entre son amour et son argent, et de l'avare qui montre garde auprès sa cassette. En
dépit d'une cascade de reconnaissance, la dénouement heureux ne suivent que parce qu'il retrouve sa cassette et marie ses enfants sans délier sa bourse. Mais le coup de génie, c'est la situation du Misanthrope La figure d'Alceste est parmi les plus complexes . Alceste, pessimiste, grognon, blesse par l'hypocrisie sociale, est amoureux d'une coquette attachée a toutes les conventions mondaines, il est ainsi expose a rencontrer dans le salon de Celimene la société la plus fausse, la plus éloignée de la franche nature. La cour est représentée par les habitues du salon de Celimene.( La bourgeoisie parisienne est le cadre habituel de la plupart de ses comédie.) On dit parfois que la pièce en est dénuée. Mais si l'on considère le drame intérieur qui l'anime, on verra au contraire qu'il s'agit d'une action parfaitement enchaînée. C'est le drame d'Alceste qui aime et se croit aime: il attribue aux "vices du temps" les défauts qu'il voit en Celimene et il a l'espoir d'en "purger son âme". Il decide des le premier acte de la mettre en demeure de choisir entre lui et ses rivaux, mais chaque fois qu'il va poser la question, tantôt la coquette se derobe, tantôt les fâcheux viennet les séparer. D'acte en acte, l'irritation d'Alceste grandit, il soupçonne douloureusement que Celimene le trahit, il découvre qu'elle est méprisable et qu'il est néanmoins incapable de vaincre sa passion pour elle. Lorsque,a la fin de la pièce, il aura la servitude d'être tromper, il trouvera la force de rompre et de se retirer. L'unite de la pièce vient de ce drame moral, et les scènes qui paraissent extérieurs a l'action doivent être étudiées par rapport au caractère d'Alceste. La comédie suppose une fin heureuse ou les méchant sont punis et les bons recomposes. Dans ses comédie Moliere montre le triomphe de la paix domestique et de la raison. Mais, la fin du Misanthrope exprime sa tendance pessimiste. Alceste. Alceste enfin desabuse, découvre que Celimene est incorrigible et qu'elle n'est pas faite pour lui, il trouve la force de rompre et de se retirer du monde.
TARTUFFE ET DOM JUAN:
La farce intervient systématiquement pour dissiper la gravite de certaines situations. Au meme titre que le comique de caractère ou de situation, la farce peut devenir un moyen d'expression et contribuer a la peinture du personnage.La plupart des effets de la farce sont intimement lies au contenu psychologique. Dans certains cas, les procedes mécaniques de la farce, avec leur simplification caricaturale, se révèlent les meilleurs pour peindre les caractères de maniaques e d'obsédées comme Orgon. Leur passion les aveugle au point de les isoler de la réalité et de les rendre insensible a ce
qui n'est pas leur idée fixe. ( OVDE IDE PRIMER ZA KLECANJE ) Moliere reste fidèle au schéma habituel de la comédie d'intrigue. Les parents de la jeune fille s'oppose au mariage. Le personnage qui s'oppose est un maniaque aveugle par se vices et ses travers et l'action a pour objet de mettre en lumière les défauts et les ridicules de son caractère. C'est pour une idée fixe que le personnage centrale contrarie le mariage de son enfant et veut lui imposer un autre. Orgon donne sa fille au bigot Tartuffe qui n'est qu'un coureur de dot qui exploite l'idée fixe d'Oregon. Face a cette coalition des parents maniaques et leur exploateurs, voici d'abord le couple des amoureux menaces. Il sont généralement très épris mais desarmes, et heureusement soutenus par des personnes raisonnables et parfois ingénieuses. Mais l'opposition aux maniaques est le plus souvent conduit par les servantes a la langue perdue, capables d'inventer les ruses pour démasquer les hypocrites et faire triompher l'amour. La suivante Dorine voit clair dans le jeu de Tartuffe et soutient la revolte de Mariane contre l'aveuglement d'Oregon. Dans Tartuffe on voit un hypocrite qui se fait bien accueillir dans une maison, qui convoite ( zeli, prizeljkuje ) la main et la dot de la fille et qui se trouve demasque par un stratagème. Le faut dévot a réussi a s'implanter chez le pieux Orgon. Choye par son protecteur doit il exploiter la dévotion naïve, il est a son aise pour tendre ses filets, brouiller Orgon avec son fils, obtenir la main de sa fille et la meme la donation totale de ses biens. Tartuffe est hypocrite habile et cynique, cependant sensuel jusqu'à l'imprudence. Il aura la faiblesse de courtise la famé d'Orgon et s'est ce qui le perdra: attire par deux fois dans un piege il sera pris en flagront délit. La figure de Dom Juan est parmi les plus complexes. Il est un coureur d'aventure indomptable ( neukrotiv ), cynique, souvent odieux, a pourtant une desinvolonture, un courage, un charme qui nous le rendent parfois sympathique. ( OVO JE SVE STO IMA ZA DOM ZUANA, MORA DA SE DOPUNI ) La comédie suppose une fin heureuse ou les méchant sont punis et les bons recomposes. Dans ses comédie Moliere montre le triomphe de la paix domestiquait de la raison. Il recours a divers types de denouements artificiels, plein de romanesque et de fantasie. Le dénouement de Dom Juan est surnaturel, il est entraine aux Enfers par la statue de Commandeur. Si le dénuement de Tartuffe n'est pas surnaturel, l'intervention de 'Exempt ( ne znam sta je ovo ) a la dernière minute, presente un caractère quasi miraculeux: seul le roi, dans sa toute-puissance, pouvait mettre la fin aux exploits de Tartuffe comme seul il a pu faire jouer la pièce.