STRICTE OBSERVANCE TEMPLIERE Rituel de Compagnon
La Loge de Compagnon est décorée et installée de manière absolument identique à celle d’Apprenti. Pour les Tenues de Réception, l’emblème du grade sera accroché au mur d’rient, au!dessus du "a#tre de Loge.
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OUVERTURE DE LA LOGE DE COMPAGNON
Lorsque les $rères se sont réunis dans la Loge, ont mis leurs tabliers de Compagnons et ont été rangés par le "a#tre des Cérémonies, le "a#tre monte en chaire, donne un coup de maillet ! ! et dit %
Le Maître : A l’ordre, mes $rères. Alors, les $rères &ont le signe de compagnon en entier sans se remettre à l’ordre. Le "a#tre demande alors %
Le Maître : $rère Premier 'ur(eillant, quelle heure est!il ) Le Premier 'ur(eillant répond %
Le Premier Surveillant : *l est midi sonnant. Le Maître : $rère 'econd 'ur(eillant, quel est le de(oir du 'econd 'ur(eillant ) Le 'econd 'ur(eillant répond %
Le Secn! Surveillant : +e (oir si les portes sont &ermées, les pro&anes éloignés et si tout est en ordre. Le Maître : $rère 'econd 'ur(eillant, accomplisse (otre de(oir. Ainsi, le 'econd 'ur(eillant dégaine son épée, (a et regarde si les portes sont &ermées, si la Loge est cou(erte et si tout est en ordre. A son retour, il rengaine son épée, re(ient se mettre en place et dit %
Le Secn! Surveillant : -énérable ma#tre, les pro&anes sont éloignés, les portes &ermées et tout est en ordre. Le Maître : 2
$rère 'econd 'ur(eillant, tes!(ous &ranc!ma/on ) Le Secn! Surveillant : "es $rères et Compagnons me reconnaissent pour tel. Le Maître : $rère Premier 'ur(eillant, est!ce l’heure propre pour ou(rir la Loge ) Le Premier Surveillant : ui, c’est l’heure propre. Le Maître : 0’ou(re donc la Loge au nom des 'upérieurs des Loges Réunies, par le nombre sacré, a(ec toutes les marques d’honneur de la ma/onnerie. Puis, le "a#tre &rappe a(ec son maillet deu1 &ois trois coups sur la table au1quels répondent les 'ur(eillants chacun a(ec autant de coups.
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Le Maître : La Loge est ou(erte. 2nsuite, tous les $rères dégainent leurs épées, les tiennent en main droite, pointe (ers le sol et restent debout. Le "a#tre obser(e quelques secondes de silence et dit %
Le Maître : "es $rères, prene place. Les $rères rengainent leurs épées et s’assoient.
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RECEPTION D#UN COMPAGNON
Le "a#tre de la Loge déclare %
Le Maître : 3ous nous sommes résolus à la demande ardente de l’Apprenti 3 4 3 4 de l’a(ancer au rang de compagnon. $rère " 4 " 4 567, alle!le!lui annoncer, interroge!le sur son grade actuel et &aites!le approcher de la porte du Temple. Le $rère Préparateur désigné sort et (a accomplir sa &onction. Pendant ce temps, le "a#tre &ait procéder à la lecture du catéchisme. Lorsque l’Apprenti arri(e de(ant la porte du Temple, le Préparateur lui &ait &rapper par les trois coups d’Apprenti. Le "a#tre dit au Premier 'ur(eillant %
Le Maître : $rère Premier 'ur(eillant, (o8e qui est là. Le $rère Premier 'ur(eillant (a à la porte, l’entrou(re et demande %
Le Premier Surveillant : 9ui est là ) L’Apprenti répond %
L#A$$renti : :n Apprenti qui souhaite ardemment tre re/u Compagnon. Le Premier 'ur(eillant re&erme la porte et dit %
Le Premier Surveillant : C’est un Apprenti qui souhaite ardemment tre re/u Compagnon. Le "a#tre dit alors au Premier 'ur(eillant %
Le Maître : +emande!lui quel est son nom.
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567 ; *l s’agit du $rère Préparateur. *l sera utile d’é(iter d’emplo8er à ce poste le "a#tre des Cérémonies ou un 'ur(eillant pour é(iter des con&usions à l’entrée de l’Apprenti.
Le Premier 'ur(eillant entrou(re la porte et demande %
Le Premier Surveillant : 9uel est (otre nom ) L’Apprenti répond %
L#A$$renti : Thubalca
Le Premier Surveillant : *l se nomme Thubalca
Le Maître : $rère 'econd 'ur(eillant, dites!lui d’entrer et &aites!lui &aire les deu1 (o8ages habituels. Le "a#tre des Cérémonies ou(re la porte en grand. Le 'econd 'ur(eillant (a (ers l’Apprenti, lui pose la pointe de son épée 5=7 sur le c>ur. L’Apprenti tient l’épée par la lame, poignée en l’air. ?uidés par le "a#tre des Cérémonies, ils &ont un premier tour de la Loge, du 3ord (ers le 'ud. L’Apprenti trace le signe d’Apprenti en entier de(ant chaque porte ou(erte et à l’ccident &ace à l’rient. *ls &ont un second tour et, au1 mme places, l’Apprenti trace le signe de Compagnon que le 'econd 'ur(eillant lui indique. Le "a#tre des Cérémonies &ait reculer l’Apprenti entre les 'ur(eillants. Le 'econd 'ur(eillant récupère son épée, puis ils &ont placer les pieds de l’Apprenti dans la mme position que celle tracée sur le tapis. Le "a#tre dit alors %
Le Maître :
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$rère Premier 'ur(eillant, &aites lui monter les sept marches du temple et a(ancer de trois pas (ers le "a#tre, et guide!le. 5=7 ; L’épée du 'econd 'ur(eillant.
Le $rère Premier 'ur(eillant lui &ait réaliser sept petits pas en partant du pied droit, les deu1 pieds se retrou(ant dans la position dessinée sur le tapis à chaque pas. Puis il lui &ait &aire trois pas d’équerre au!dessus du tapis, comme pour le premier grade. *l le &ait ensuite a(ancer à pas libres au pied de l’rient et regagne ensuite sa place. Le "a#tre dit à l’Apprenti %
Le Maître : $rère Apprenti, (ous de(e (ous sou(enir de l’engagement que (ous a(e conclu en pronon/ant (otre serment d’Apprenti. 2n plus de ces premières responsabilités, (ous alle (ous engager à garder un silence absolu (is!à!(is des autres Apprentis sur tout ce que (ous pourre (oir dans cette Loge de Compagnons. @ consente!(ous ) L’Apprenti pose le genou droit au sol, la main droite dégantée sur la ible et dit %
L#A$$renti : 0’8 consens. Le "a#tre le relè(e en le prenant par la main. *l le guide (ers lui par le 3ord. *l lui indique le mot de passe, le nom du grade, le signe et l’attouchement. *l l’embrasse ensuite comme au premier grade et le &élicite. Puis il lui remet son tablier de Compagnon que le nou(eau Compagnon re(t lui! mme. Le "a#tre dit ensuite %
Le Maître : $rère "a#tre des Cérémonies, conduise notre $rère auprès des 'ur(eillants, pour qu’il se &asse reconna#tre. Le "a#tre des Cérémonies (ient chercher le Compagnon et le conduit auprès du Premier 'ur(eillant puis du 'econd 'ur(eillant. 'i l’assemblée est peu nombreuse et s’il reste du temps libre, il pourra le &aire reconna#tre par tous les $rères présents. Puis, le "a#tre des Cérémonies reconduit le Compagnon (ers le "a#tre qui lui rend son épée et son chapeau en disant %
Le Maître : 0e (ous rends (otre chapeau et (otre épée. 6
3’utilise celle!ci à l’a(enir que pour dé&endre (otre honneur et, si cela est nécessaire, pour dé&endre (os $rères. Puis, le "a#tre des Cérémonies conduit le Compagnon au pied du tapis à l’ccident. Le "a#tre demande au Premier 'ur(eillant 5B7 %
Le Maître : $rère Premier 'ur(eillant, donne lecture de l’e1plication du tapis. Le Premier Surveillant : "on $rère, sans doute a(e!(ous encore en mémoire ces mots étranges qui (ous ont été dits lors de (otre réception en qualité de "a/on et qui (ous rapprochent progressi(ement des secrets de notre rdre. 3ous de(ions alors nous soumettre à quelques usages et cérémonies antérieurs à certaines tribulations a(ant que d’accéder encore une &ois à la connaissance des hiérogl8phes et trou(er les secrets qui sont cachés. C’est à ses secrets que nous a(ons d nous soumettre auDourd’hui et De ne peu1 pas encore (ous e1pliquer tout le m8stère qui compose en réalité le &ond intérieur de notre &ondation. "aintenant que nous approchons d’un pas de plus (ers l’entrée du Temple, De (ais (ous e1pliquer les images restantes du tapis. 'aisisse!en (ous!mme le sens, à la clarté de mes e1pressions, a(ec cette candeur que De respecte. 'ache en con&iance totale que De (ous montrerai toute la (érité dans son étendue sacrée, mme si Dusqu’ici certaines raisons m’en a(aient empché. +ès (otre réception, on (ous a(ait e1pliqué la signi&ication du présent tapis comme étant une image du Temple de 'alomon. -ous (o8e, mon $rère, que la pierre par&aite est représentée. -ous (o8e également une pierre toute brute. 2lle est telle que la terre l’a créée dans le sein maternel. 2lle est dans sa première innocence. La main de l’artiste ne l’a en rien améliorée. La méconnaissance de ses qualités intérieures la &ait mépriser, mais elle est toute&ois dégrossie par le courage et la de1térité de ceu1 qui la tra(aillent. 2lle représente et est le premier et le plus naturel état de notre rdre. 'a petite taille la &aisait mépriser mais elle contient l’authentique (ertu tant copiée ensuite. Cette pierre était et est une partie importante d’un bEtiment superbe F oui, elle est le bEtiment mme lorsque toutes ses qualités intérieures ont été décou(ertes.
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5B7 ; Le te1te indique bien G Premier 'ur(eillant H *l semblerait que cette lecture est plus dans les attributions de l’rateur.
"on $rère, le monde est de la mme &orme, il se trou(ait mlé au chaos Dusqu’à ce qu’il soit soumis à la &orce et la puissance de l’architecte, et, par le déploiement de sa per&ection intérieure de(ienne ce superbe bEtiment que nous admirons a posteriori. C’est ce qu’il est ad(enu de notre rdre lorsqu’une main céleste a conduit nos tra(au1 et la (ocation de nos $rères d’alors. *l est de(enu grand, par&ait et &it l’admiration du monde entier. Ceci (ous est montré par la &igure de la pierre régulièrement tra(aillée. Ce sont sa &orce et sa puissance mme qui l’ont mené (ers son déclin (ers sa perte. Comme la Dalousie et la méchanceté du monde ont pris le dessus et que, dans le malheur des autres une reconnaissance d’un sentiment humain n’amenait aucun béné&ice, notre rdre en a pEti. +ans notre temps présent, il est encore dans la poussière. C’est ce que nous trou(ons &iguré par la pierre brisée. "on $rère, toutes les choses dans le monde sont soumises à ces changements successi&s. Ieureu1, oui trois &ois heureu1, est celui qui par(ient à se détacher de ces é(énements e1térieurs et éphémères, qui ne baisse pas les bras dans le malheur, qui sait par lui!mme remplacer ce que le destin a détruit. 3os heureu1 anctres a(aient ici préparé leurs plans, puis ils a(aient posé sur la pierre détruite un marteau, une équerre et un ciseau dans l’espoir que leurs $rères à l’a(enir combleraient ce que le temps et les désagréments ont di(isé. 2n haut, nous trou(ons une pierre polie. "ais il ne m’est pas permis d’en dire plus à ce suDet. Pour autant que (ous puissie apprendre, sache qu’elle surpasse toutes les autres en grandeur et en brillance F que, sans elle, nous ne serions pas ce que nous sommes. *l est (éridique que &inalement elle tient en elle ce quelque chose d’uni que nous (o8ons en grand sur toute la terre. Les deu1 colonnes que nous trou(ons à l’entrée du Temple (ous montrent l’e1actitude et la régularité de notre bEtiment. Celle de droite se nomme G oo H 5J7 'ans ordre, sans règles, il n’8 a ni grandeur, ni beauté dans un monument. 2n ne respectant par nos de(oirs, nous ne &erions que nuire à cette belle >u(re, et nous ne pourrions la conser(er et l’édi&ier à nou(eau (ers le ciel, lui &aire retrou(er son éclat initial et la consacrer a(ec cérémonie. Les portes du 'anctuaire sont encore &ermées.
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0e ne dois pas oublier non plus de mentionner les sept marches que nous sommes si heureu1 de gra(ir et qui nous ont tellement rapproché de la porte de notre sainte maison. 5J7 ; Le manuscrit de +resde écrit G oas H
Ces marches signi&ient les sept (ertus que doit posséder un $ranc!"a/on. 2lles sont % ! l’obéissance ! le silence ! la constance ! la &raternité ! le sens des responsabilités ! la grandeur d’Eme ! la sérénité &ace à la mort Ces qualités de per&ection ne doi(ent pas manquer à un (rai $ranc!"a/on. 2lles ne sont pas que des ornements dénués de sens mais une partie des parures intégrales d’un bon $rère. L’obéissance est la base de tout, et la sérénité &ace à la mort est la dernière et sublime épreu(e de la &idélité. 3ous laisserons, mon $rère, tous les secrets que nous a(ons décou(erts en&ermés sous clé dans nos c>urs, surtout, à l’égard des pro&anes qui sont en dehors. +é(oue!(ous à ceu1 qui (ous ont reconnu comme un $rère, et un &idèle $rère, et qui (ous ont tendu une main secourable. 'ui(e les 'upérieurs de notre rdre, que nous (énérons. Aussi, sere!(ous celui pour qui ils ou(riront les (antau1 de la porte et (ous (erre l’intérieur du lieu saint de notre Temple caché. Puisqu’il est (rai, mon $rère, que (ous!mme a(e subi les épreu(es de nos secrets, (ous pourre les étudier et les appro&ondir ensuite a(ec toutes (os &acultés in&inies. Cela ne dépendra que de (ous. 'i (ous trou(e /à et là des choses incertaines, obscures, (ous pensere que les chemins qui mènent à la per&ection ne sont Damais e1empts de di&&icultés. ui, combien d’obstacles se trou(ent sur le chemin de notre perspicacité pour retenir les petites erreurs et nous encourager un peu plus.
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%ERMETURE DE LA LOGE DE COMPAGNON
Le Maître : +ebout, mes $rères pour la &ermeture de la Loge. Les $rères se lè(ent, dégainent leurs épées, et les tiennent en main droite, pointe (ers le sol. Le "a#tre demande au Premier 'ur(eillant %
Le Maître : $rère Premier 'ur(eillant, quelle heure est!il ) Le Premier 'ur(eillant répond %
Le Premier Surveillant : *l est minuit sonnant Le "a#tre demande au 'econd 'ur(eillant %
Le Maître : $rère 'econd 'ur(eillant, est!ce l’heure propre pour &ermer la Loge ) Le 'econd 'ur(eillant répond %
Le Secn! Surveillant : ui, c’est l’heure propre. Le Maître : $rère Premier 'ur(eillant, l’un ou l’autre des $rères a!t!il encore quelque chose à proposer ) Le Premier Surveillant : "es $rères, a(e!(ous encore quelque chose à proposer à la Loge ) 'i personne ne demande la parole.
Le Premier Surveillant : Plus personne ne demande la parole. 'i un ou plusieurs $rères demandent à parler. 10
Le Premier Surveillant : :n 5ou plusieurs7 $rère 5s7 demande 5nt7 la parole. Le Maître : $rère Premier 'ur(eillant, donne!lui 5leur7 la parole. Le Premier Surveillant : "on 5mes7 $rère 5s7, (ous a(e la parole. 'i plusieurs $rères (eulent s’e1primer, il leur donne successi(ement la parole en commen/ant par le plus proche de l’rient. Lorsque tous les $rères ont parlé, et si leurs propos appellent une réponse, le "a#tre dit %
Le Maître : La réponse sera donnée à la prochaine Tenue. Le "a#tre alors parle %
Le Maître : Puisque c’est l’heure propre, De &erme ainsi cette Loge au nom des 'upérieurs des Loges Réunies, par le nombre sacré, a(ec toutes les marques d’honneur de la "a/onnerie. Alors, le "a#tre donne deu1 &ois trois coups de maillet au1quels répondent les 'ur(eillants % ! ! !
! ! !
Le "a#tre dit alors %
Le Maître : "es $rères, la Loge est &ermée. Tous les $rères rengainent leurs épées et se rassoient pour la &ermeture au grade d’Apprenti.
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INSTRUCTION POUR LE GRADE DE COMPAGNON
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D : Ete'"vu' Cm$a(nn ) R : ui, De le suis.
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D : O+ ave,"vu' travaill- ) R : Au temple de 'alomon.
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D : O+ ave,"vu' re/u vtre 'alaire ) R : +ans la Chambre du "ilieu.
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D : La $rte -tait"elle 'i 1aute ) R : 'i haute qu’aucune bassesse ne pou(ait l’atteindre et aucun tourbillon ne pou(ait en &rapper l’intérieur.
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D : O+ 'e truvait"elle ) R : 'ept marches plus haut que le pa(é mosa
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D : O+ vu' 4te'"vu' r-uni' et -lev-' ) R : +ans une Loge par&aite.
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D : 6u#ave,"vu' rencntr- en c1emin ) R : +’abord une pierre brute, puis une belle pierre taillée et ensuite une pierre également taillée mais en plusieurs morceau1 sur lesquels on a tra(aillé pour les rassembler a&in de lui redonner sa &orme première.
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D : D#+ vient le vent ) R : +u matin (ers le soir, puis du midi (ers minuit, matin et soir.
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D : 6uel tem$' a$$rte"t"il ) R : eau temps d’abord, puis nuages et tempte et en&in un temps plus calme et serein.
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D : Save,"vu' -crire ) R : ui, le "a#tre me l’a appris.
&&
D : Par ui vu' l#a"t"il a$$ri' ) R : Par l’équerre
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D : 6ue !-'i(ne la $ierre ;rute $einte 'ur le ta$i' ) R : Le chaos primiti& d’oK nous a sorti notre rdre
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D : 6ue 'i(ni
&0
D : Et la $ierre ;ri'-e ) R : Les di&&érentes tribulations qu’a rencontrées notre rdre.
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D : Purui = a"t"n !e''in- une -uerre> un ci'eau et un marteau ) R : Pour montrer qu’elle peut tre à nou(eau réno(ée et que notre rdre peut rede(enir &lorissant et retrou(er son aspect initial.
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D : Cmment vu' a$$ele,"vu' ) R : 'chibboleth
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D : 6uel e't l#em;l?me !e' Cm$a(nn' ) R : :ne pierre à peu près cubique sur laquelle est posée une équerre a(ec le mot G +irigit obliqua H 5elle redresse ce qui est courbé7
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SIGNES> ATTOUC@EMENTS ET MOTS DE COMPAGNON
SIGNES Le signe se nomme pectoral. *l consiste à porter la main en équerre sur le c>ur. n conna#t encore un autre signe nommé pédestral qui consiste à &ormer une équerre a(ec les pieds, les talons Doints. ATTOUC@EMENT L’attouchement est de donner trois légères secousses sur la seconde phalange du doigt du milieu de la main droite de celui à qui on le &ait. MOTS Le mot est BOO F il s’épelle lettre par lettre et s’assemble comme celui des Apprentis. Certains disent A Le mot de passe est SC@IBOLLET@
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La copie est certi&iée con&orme à l’original +resde, le 6M mars 6MMJ $rédéric Auguste "Nldauer a(ec les pleins pou(oirs des absents -isiteur ?énéral $. Alo8sus Comte rNhl
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