L’in L’inve vent ntio ion n de la trinité
« Tu as dit avec vérité que Dieu est unique, et qu'il n'y en a point d'autre que lui. » lui. » Le scribe !ésus "évan#ile de $arc, %&%)* « +ourquoi 'appellestu bon - ul n'est bon que Dieu seul. » seul. » /van#iles de $att0ieu, $arc et Luc.
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Aette réBleCion, est enée dans la stricte observance du onot0éise onot0éise strict et de la rationalité dans ses iplications nécessaires. !e n'irai assuréent pas, coe u#ustin, Eusqu' consacrer quinFe livres au suEet G outre que Ee n'en suis pas capable, ce ne sera pas nécessaire H il e seble qu'il suBBit de repérer oI se trouve le nJud, pour déBaire l'enseble. !e ne convaincrai pas ceuC qui n'ont pas le teps de suivre attentiveent le Bil de es réBleCions, ou qui ont ieuC Baire, ais ce n'est pas non plus on but. !'espKre Euste proposer un eCposé copré0ensible, copré0ensible, luie attentiB auC ar#uents é#aleent copré0ensibles copré0ensibles des déBenseurs de la trinité, et 'eBBorMant d'tre respectueuC de leur lo#ique et de leur intention, pour les ettre en cause paciBiqueent, en aniant touteBois parBois l’ironie, dans le parta#e de la raison qui nous est coune. Aes ap0orises rasseblent rasseblent les approc0es nécessaires nécessaires et peuttre suBBisantes suBBisantes qui ettront Bin la superstition trinitaire pour les consciences neuves des teps venir.
Toute l'0istoire de la conBusion N creuseF ce ot c0rétienne propos de !ésus, qui aboutit eler Dieu dans Oa Aréation, Aréation, tient dans cette diBBérence subtile ais absolue H !ésus n'est pas le Perbe de Dieu Bait c0air "version c0rétienne*, ais c0air née du Perbe de Dieu "version coranique*. Qntre les deuC déBinitions, il y a l'écart inBini du vécu, la diBBérence radicale entre le Donné et l'accopli.
!ésus ne s'est Eaais déclaré Dieu, ais par contre s'est eCpliciteent déclaré prop0Kte H « 'estce pas le c0arpentier, le Bils de $arie, le BrKre de !acques, de !oses, de !ude et de OionQt ses sJurs ne sontelles pas ici pari nousQt il était pour euC une occasion de c0ute. $ais !ésus leur ditH Rn prop0Kte n'est éprisé que dans sa patrie, pari ses parents, et dans sa aison . » Oelon $arc S%U
!ésus. Vl ne volait pas, il arc0ait. Vl n'était pas oniscient, il apprenait. Vl était Bort et connaissait les cJurs, ais 0uble et douC. Oes dons lui venaient de Dieu. Oa sa#esse lui venait de Dieu. Oa bonté lui venait de Dieu. Vl savait qu'il ne pouvait rien de luie, et il rendait #rWce H « Rn Oeul est Xon. » "$att0ieu YZY\*
Vl n'a pas Bailli, n'a pas dévié, et c'est pourquoi il est onté trKs 0aut H « Dieu l'a /levé Lui, et Dieu est +uissant et Oa#e. » Oa#e. » "Oourate )YU\*
!ésus atil dit qu'il était Dieu - on. til dit que le Oaint Qsprit était Dieu - on. til Bait de la +arole de Dieu une personne - on. La trinité estelle eCplicitée par la +arole de Dieu - on. La double nature de Dieu estelle eCplicitée par la +arole de Dieu - on.
!ésus a ontré le soleil, l'é#lise a re#ardé le doi#t.
Description 0uoristique de la personne « auC deuC natures » " ]* pour la preiKre Bois présentée au public en toute siplicité dans toute sa vérité. Vl était une Bois un 0oe qui savait que ^Dieu seul est bon^ et qui ne se privait pas de le dire. $ais quand il se levait certains atins, il se sentait Dieu, donc bon, ais ce n'était pas #rave s'il avait dit la veille qu'il ne l'était pas, vu que la veille il n'était pas le e 0oe, c'estdire le e Dieu. Aoe Ma, on ne le prendrait pas pour ce qu'il n'était pas et on pourrait en e teps le prendre pour ce qu'il était, c'estdire qu'on ne le prendrait pas pour Dieu, et on le prendrait pour Dieu. Tout Ma, pour éna#er son public et répondre du tac au tac auC reli#ieuC de son teps. $ais du coup évideent, il entait par oission au public coe auC reli#ieuC, puisque quand il était 0oe, il se souvenait quand e de quand il était Dieu et la réciproque est encore plus évidente. +our son eCcuse, il Baut dire que quand il était 0oe, il était parBois bien an#oissé, telleent i#norant de certaines vérités, et avait #rand besoin de Dieu. Donc il priait. Vl priait qui - Dieu. Aoe Ma le atin, en se réveillant Dieu, il pouvait eCaucer ses priKres, et ^accoplir la Polonté de Dieu, non la sienne^, enBin si, la Oienne, ais en tant que Dieu. insi vécue cette personne, point du tout #né d'tre 0oe iteps, puisqu'il était Dieu le reste du teps, enBin un Dieu iteps quoi. Telle est la véritable 0istoire enBin révélée de l'0oe pleineent 0oe et pleineent Dieu, ou encore vrai 0oe et vrai Dieu, deuC en un quoi.
ous allons voir présent co,,ent cette personne était é#ale,ent un de trois.
La trinité et son ^ystKre^. ^ystKre^. La prétendue trinité de Dieu, qui Bait du onot0éise un trionot0éise ou un onotrit0éise, onotrit0éise, ne résiste pas l'analyse lo#ique. Les c0rétiens le savent et u#ustin luie l'adettait, l'adettait, aprKs avoir tenté vaineent de la Bonder en raison "il lui consacra YU livres et YS années de sa vie*. Toutes les tentatives pour lui donner des Bondeents rationnels "coe H Dieu aurait besoin d'avoir des relations avec Luie*, éc0ouent devant l'aporie "du #rec aporia, absence de passa#e* que pose l'équation Y_%. Vl y a bien s`r des passa#es des évan#iles qui peuvent tre interprétés dans ce sens, ais la +arole abonde cobien plus de passa#es qui rétablissent l'Rnicité pure et siple de Dieu. La trinité relKverait donc pour Binir du ^ystKre^, ce qui est évideent coode pour évacuer sa réButation. Aependant cet ^ar#uent^ ipliquerait que la trinité ait été évélée en toute clarté audel de toute interprétation interprétation par Dieu Luie. Vl a eu le teps depuis da. r la trinité est un ot inconnu dans la +arole de Dieu. +ar contre Dieu n'a Eaais Bait ystKre de Oon Rnicité H « /coute, Vsral, l'/ternel est notre Dieu, l'/ternel est Rn », Rn », Deutéronoe S). Oi donc la trinité relKve du ystKre devant lequel la raison doit se dissoudre, Borce est de constater que ce ^ystKre^ vient non de Dieu, ais des 0oes. Ae sont des 0oes, et dans une période étalée sur des siKcles, qui vont élaborer ce ^ystKre^. Vl Baut en eBBet attendre au oins deuC cents ans aprKs !ésus pour que le ot apparaisse, puis encore deuC cents ans pour que le do#e coence prendre Bore. Qt coent - Qn se ettant en rec0erc0e de tout ce qui pourrait bien ressebler trois personnes célestes dans la Xible. $ais ce n'est pas asseF, bien évideent. lors la trinité va bénéBicier d'une construction rationnelle touEours plus poussée pensée #recque l'appui , l'aide de teres aussi ystérieuC que l'0ypostase, la consubstantialité et E'en passe. insi, le do#e va se donner des assises copatibles la Bois avec les TeCtes et avec... la lo#ique. Vl devient donc possible de répondre la Bois auC obEections de croyance et auC obEections de raison , Eusqu'au verti#e de l'é#alité iné#aleent é#ale, é#ale , de l'unité qui doit se réunir pour tre ellee, ellee , des distinctions réelles ais inessentielles. inessentielles. I est alors le ystKre, sinon dans les raisons qui conduisirent asseoir ce do#e pardessus do#e pardessus la +roclaation de l'Rnicité Rne +ar cette rupture au sein du onot0éise, onot0éise, le c0ristianise institutionnalisé institutionnalisé par l'epereur Aonstantin, s'aBBranc0issait de ce qu'il devait au Eudase, pouvait se poser en nouvelle reli#ion, reli#ion, au risque de diviser les croyants, se parer d’une supériorité spirituelle, spirituelle, isoler ses isoler ses détracteurs, réduire réduire systéatiqueent au systéatiqueent au silence les protestations.
u’un 0oe soit considéré coe un dieu est la Bois banal et incopré0ensible. Xanal, parce que les 0oes n’ont de cesse, depuis qu’ils se sont éloi#nés de la LuiKre de Dieu, d’idolWtrer tout ce qui brille leurs yeuC. Vncopré0ensible, parce qu’il suBBit de lever la tte vers le Aiel pour ressentir l’iensité prodi#ieuse de l’univers et de revenir soi pour saisir quel point l’0oe est poussiKre. Des 0oes ont pourtant Bait de !ésus un dieu. Aoent cela estil possible Les teCtes des évan#iles ne suBBisent pas en euCes Bonder cet ipensable statut. Qn eBBet, !ésus ne s’y aBBire Eaais eCpliciteent coe tel. Tout au plus trouveton, essentielleent essentielleent dans l’évan#ile que la tradition c0rétienne a attribué !ean, des étap0ores dont l’interprétation peut dériver dans ce sens. insi !ésus estil noé « Bils de Dieu ». insi estil Bait ention "coe dans le Binal de $at0ieu, selon la version retenue par l’é#lise* du « +Kre, du fils et du OaintQsprit ». Aependant, « Bils de Dieu » est une étap0ore qu’on trouvait déE dans la Tora0, pour dési#ner non pas un, ais tous les 0oes G ce qui Berait de !ésus dans la continuité onot0éiste , seuleent le seuleent le « bienaié » pari les « Bils ». Qt d’autre part, rien n’indique eCpliciteent dans les teCtes que le « +Kre, le fils et le Oaint Qsprit » représenteraient Dieu. Vl est au oins aussi lé#itie d’y voir tout sipleent une eCpression pari d'autres de trois aniBestations de aniBestations de Dieu pari d'autres, savoir Dieu, lorsqu’Vl Oe +résente Luie en tant que « +Kre », coe dans la Tora0 G !ésus, en tant qu’envoyé direct de Dieu "nous y reviendrons* et enBin l’Qsprit e de Dieu, en tant qu’il enveloppe toute la Aréation. Aes trois aniBestations sont certes éinentes, ais rien ne rien ne dit qu’elles coposeraient Dieu. n le voit donc, les teCtes des évan#iles ne suBBisent pas eCpliciteent et par euCes Bonder la « divinité » de !ésus, d’autant qu’ils contiennent d’autres passa#es, dénués ceuCl de toute équivoque, équivoque, qui indiquent bien que !ésus est un 0oe, et que Dieu seul est Dieu. La « divinité » de !ésus relKve donc claireent d’une interprétation des teCtes, teCtes, non des teCtes euCes.
$ais il Baut prendre encore en considération qu'elle prend évideent aussi racine dans les Juvres surnaturelles accoplies par !ésus, que relatent partielleent partielleent ces teCtes. insi !ésus #uéritil l’inBire, et ressuscite le ort ] ’estce pas la preuve de sa « divinité » - ui, si l’on considKre qu’il Bait cela de par sa propre puissance. puissance. on, si l’on rend Dieu ce qui est Dieu. Dieu. Aar la Boi « qui soulKve les onta#nes » n’est pas une puissance en ellee, ellee, ais relation d'ouverture d'ouverture la Toutepuissance, qui en rK#le le de#ré. de#ré. utreent dit, c’est touEours Dieu qui #it , quand un 0oe accoplit un iracle. QnBin, la « divinité » de !ésus peut c0erc0er une lé#itiation dans l’eCceptionnalité radicale de sa conception. !ésus nagt en eBBet au sein d’une atiKre vier#e N le ventre de $arie , directeent de la +rononciation divine.
ous retrouvons ici la pureté de la Aréation ori#inelle dans ses diensions la Bois naturelle et surnaturelle.
!ésus est donc bien l’envoyé attendu, le essie G sa ission représente donc bien la Bois un ac0Kveent et un nouveau coenceent. $ais pourquoi déplacer l’cte créateur, qui relKve de la Toute puissance de Dieu, et attribuer !ésus luie ces deuC diensions, naturelle et surnaturelle, surnaturelle , en lui attribuant une double nature propreent invivable en tant que telle G la Bois 0oe et Dieu G un tre séparé en deuC qui, lorsqu’il est 0oe, se trouve absoluent dépendant et, lorsqu’il est « dieu », peut beaucoup pour les autres 0oes, ais rien pour luie Qn Baisant cela, on introduit une rupture dans l’cte créateur luie. luie. n est en eBBet obli#é de postuler que !ésus n’a pas été Arééh quoiqu’il Basse partie de la Aréation. n est enBin obli#é eBBectiveent d’introduire é#aleent une rupture dans la ature e de Dieu, Dieu, qui doit tre « Rn » certes, ais pas en tant qu’Rnh en tant que « trois ». n se retrouve alors en plein « ystKre », selon l’eCpression c0rétienne, ais un ystKre dont Ee pense avoir ontré qu'il est Binaleent asseF Bacile de coprendre la lo#ique G et asseF siple d’en proposer l’alternative.
Toutes les tentatives de Bonder en raison la trinité éc0ouent devant la siple évidence de la supériorité spirituelle, eCistentielle eCistentielle et conceptuelle de l'Rn en tant qu'Rn. L'Rnité d'une seule « +ersonne » si l'on peut qualiBier Dieu ainsi est nécessaireent supérieure l'unité de trois personnes, quelles que soient les tentatives tentatives pour distribuer entre elles l'é#alité. Aes tentatives ne peuvent d'ailleurs réelleent aboutir, du Bait par eCeple que le ^+Kre^ conserve le privilK#e de ^l'en#endreent^ ^l'en#endreent^ du ^fils^. La trinité se dérobe ici la réBleCion et la raison, et seule l'aBBiration de son ^ystKre^ a pu la sauver du divorce qu'elle opKre entre la LuiKre divine et l'esprit 0uain. $ais cela n'aurait pu suBBire, si n'y avait pas été associée une soe lenteent accuulée de copleCités t0éolo#iques, t0éolo#iques, interprétatives et spéculatives ayant pour but de la rendre copatible avec les /critures antérieures antérieures l'évan#ile, et avec l'évan#ile luie, al#ré l’/vidence cobien plus Bla#rante de l'BBiration répétée, tout au lon# de la +arole de Dieu, de l'Rnicité sans parta#e et sans distinctions internes de Dieu dans Oon Rnité absolue. +ari ces copleCités, on trouve l'idée que la trinité de Dieu serait eCi#ée de Oa ature, du Bait que sans elle, et bien Vl serait tout seul ] Oeules les relations que Dieu entretiendrait avec Luie par l'entreise de ses trois ^personnes^ lui assureraient la +lénitude de sa Divinité. Vl y aurait donc la potentialité au oins virtuelle d'une d' une déBicience de l'tre divin H sans ses ^personnes^, Vl serait en quelque sorte isolé, et Oes créatures ne sauraient évideent l'en consoler. $ais isolé de quoi, puisqu'Vl est Tout Qt isolé de qui, puisqu'Vl est l'tre Ae qui apparagt nouveau ici, c'est une conception inBérieure de l'tre de l'Rn, l'Rn, et ce n'est qu' partir de cette conception inBérieure que l'on peut eBBectiveent présupposer la « nécessité » de relations internes Dieu.
$ais si l'on s'en tient la siple /vidence de l'Rn en tant qu'Rn, qui est Oa évélation priordiale, Dieu est audessus de toutes distinctions internes H Vl Oe Distin#ue préciséent par l’absoluité de Oon Rnité pure, pure, qui est Oa Distinction e, et la +erBection eCistentielle de Oon tre. ulle relation en Dieu donc H Dieu n'est pas relié Dieu pour tre Dieu G Dieu est Dieu, et cela certes Lui suBBit.
Qn outre, si Dieu relevait de la trinité, il pourrait alors se concevoir un Dieu plus Rn que Dieu, Dieu, ce qui est la Bois une aporie spirituelle et une contradiction lo#ique absolue.
Dieu c0erc0e aier l'0uanité d'inBinies BaMons, travers d'inBinies ^odalités^, ^aniBestations^, ^aniBestations^, ^dévoileents^. ^dévoileents^. Vl +eut pourquoi pas Oe Dévoiler dans un brin d'0erbe ais le brin d'0erbe n'en est pas Dieu pour autant. insi, quand Dieu Oe $aniBeste travers !ésus et ce dKs le ventre de $arie , cela ne Bait pas de !ésus un Dieu.
Oelon le Aoran, !ésus, a reMu en tant qu'0oe des Dons véritableent divins, coe aucun autre prop0Kte n'en a reMus H
« +our vous, Ee Bore de la #laise coe la Bi#ure d'un oiseau, puis Ee souBBle dedans H et, par la jrWce de Dieu, cela devient un oiseau. Qt Ee #uéris l'aveu#lené et le lépreuC, et Ee ressuscite les orts, par la jrWce de Dieu. Dieu. » Oourate LV$
L'Rnité de Dieu n'est pas l'Rnité de trois personnes "Y* distinctes, ais l'Rnité en tant que Distinction Rnique de Dieu "&* "%*. "Y* personne H du latin ^persona^ "^asque^, ^représentation^, ^rkle^*. "&* Tel est le onot0éise pur énoncé par la Tora0, le Aoran, et aussi les évan#iles, nonobstant les passa#es de ceuCci qui ont été, quatre siKcles aprKs !ésus, interprétés en rupture avec cet énoncé.
"%* Aette Rnité en tant que Distinction Rnique est noée Rnicité "Tamd* en Vsla.
insi coprise, la trinité n'est qu'une appellation "^eCcessive^ selon le Aoran* concernant des représentations de représentations de Dieu. !ésus n'est alors pas Dieu ais représente Dieu ce qui reEoint la notion de Lieutenant de Dieu en Vsla "0ilWBa "0ilWBa*. *. Tout 0oe a vocation représenter Dieu sur Terre. !ésus, pourvu de Dons eCceptionnels, en est sipleent un représentant eCceptionnel. représentant eCceptionnel.
!ésus Bils de Dieu H il s'a#it d'une ia#e, une analo#ie, une étap0ore, pour dési#ner l'eCistence d'une d'une relation privilé#iée entre Dieu et l'0oe. Les 0oes sont tous Bils de Dieu en ce sens. !ésus ^Bils unique^ selon l'évan#ile dit évan#ile évan#ile de !ean. Vl s'a#it d'un redoubleent de sens H !ésus est Bils de Dieu coe tout 0oe, ais privilé#ié, distin#ué pari tous les 0oes H naissance iraculeuse, dons surnaturels, assistance céleste rapproc0ée. otons que !ésus n'est pas ^Bils en Dieu^ en Dieu^ ais ^Bils de Dieu^ de Dieu^ H il n'est donc pas Dieu. Vl n'y a personne en Dieu part Dieu. Aette évidence traverse invariableent toute invariableent toute la +arole de Dieu. Tout aEout, toute tentative de #reBBe cette évidence est stricteent stricteent une association de paroles 0uaines la +arole de Dieu.
+our les cat0oliques !ésus est Dieu et Bait Bait partie de Dieu. +our les protestants !ésus n'est pas Dieu et Bait Bait partie de Dieu. +our les usulans !ésus est un eCcellent prop0Kte et il n'y a de Dieu que Dieu.
La reli#ion Euive a telleent craint Dieu qu'elle L'a draatiqueent éloi#né des 0oes. La reli#ion c0rétienne a telleent voulu retrouver le c0ein de Oon our, qu'elle en a oublié la distance qu'il Ballait parcourir. Qlle voulait Dieu dans l'0oe tout de suite, suite, elle les a conBondus. conBondus. La reli#ion usulane a retrouvé la $esure du Dieu trKs 0aut, et cette $esure est aussi le c0ein du retour.
!ésus ne visait pas Bonder une nouvelle reli#ion G il s'inscrit de luie et il est inscrit de Bait dans la continuité prop0étique oI il n'est nulle part annoncé que Dieu Luie va venir sur terre "]*, pas plus qu'il n'est question d'autonoiser la +arole DQ Dieu Dieu coe ^personne^ Q Dieu.
Le c0ristianise est peuttre une reli#ion de l'incarnation, ais alors il Baut convenir qu'il s'a#it d'un c0ristianise élaboré ultérieureent et Eusteent pas par la +arole de Dieu ]
Le soidisant ^ystKre de la trinité est le dernier repart qui perette encore de dévier, biaiser, reEeter toute conBrontation interreli#ieuse Branc0e et approBondie sur la base de la spiritualité onot0éiste coe sur la base de la siple lo#ique. Poici pourtant l'élucidation du BaeuC ^ystKre^, par l'un des principauC Bondateurs du do#e trinitaire, trinitaire, ^Oaint^ jré#oire "*, évque de aFianFe H ^Rn peu de Ear#on, voil tout ce qui est nécessaire pour en iposer auC #ens. $oins ils coprennent, plus ils adirent.^ 1111111111111111 111111111111111111111111 1111111111111 11111 "* Le rkle de jré#oire de aFianFe est eCtreent iportant, car il a peris de déBinir et de développer, la suite du Aoncile de icée, le do#e trinitaire. Oes écrits constituent l'un des Bondeents de la t0éolo#ie trinitaire.
Dieu est Dieu. Oelon Oa ature parBaiteent et eCclusiveent Rne, Dieu n'est pas un ^enseble^, e relié et unitaire "la trinité*. Rn enseble est en eBBet une Bore d'unité inBérieure inBérieure l'Rnité pure et eCclusive. Dieu n'est pas décoposable en sousunités assi#nables, ce qui Lui enlKverait Oon absolue transcendance. transcendance. Dieu ne peut tre une réalité et une autre et encore une autre, autre, parce qu'Vl est l'unique éalité. ien ni personne ne peut tre distin#ué en Dieu, sauB l'Rnité qui Le distin#ue absoluent. Le Perbe ne parle pas. Le Perbe en tant que tel n'est pas. Oeul est le Perbe de Dieu. Dieu n'est pas localisable, parce qu'Vl est le TrKsaut H aucun 0oe, Butil le plus rapproc0é, le plus vertueuC, ne peut contenir Dieu, ais seuleent aniBester la +roCiité de Dieu. Rne aniBestation de Dieu n'est pas Dieu, l'Qsprit saint de Dieu n'est pas Dieu. De sorte que Dieu est Dieu.
Vl y a une clarté continue de la évélation concernant l'Rnicité de Dieu, que le c0ristianise c0ristianise et non les évan#iles vient ropre. Aette clarté est perdue au proBit de la ^trinité^ dont on voit bien qu'elle est tout sauB copré0ensible. Les c0rétiens auraient pu, sur la base d'une ou deuC citations des évan#iles, évoquer l'Qsprit
Oaint et les Dons divins de !ésus sans les 0ypostasier ou en Baire des personniBications de Dieu par lesquelles Oon tre e perd l'absolue pureté de Oon Rnicité. A'est Aelleci qui est appelée et nouveau fondée par la évélation coranique.
L'idée de ^consubstantialité^, qui est au Bondeent de la trinitisation c0rétienne de Dieu, a été rendue nécessaire pour concilier cette vision trinitaire avec l'aBBiration sans équivoque de l'Rnité de Dieu qui parcourt toute l'Qcriture. !ésus et le OaintQsprit seraient ainsi donc ^consubstantiels^ au +Kre et le tout serait Dieu. La consubstantialité si#niBie que les trois ne Borent qu'une seule substance G Dieu est Dieu ^avec^ avec^ le fils et le OaintQsprit. r la notion e de consubstantialité, aussi ^in#énieuse^ soitelle en prétendant éviter la division de Dieu en trois, opKre néanoins réelleent réelleent cette division. Dieu n'est plus l'tre parBaiteent Rn, la substance absolue telle que OpinoFa l'a déBinie H « Ae qui eCiste en soie et se coprend par soie, soie, c'estdire ce dont l'idée n'a besoin de l'idée d'aucune autre c0ose, dont elle serait Borée ». +réciséent, +réciséent, le Dieu trinitisé se révKle déBicient en tant que Oubstance G il nécessite pour eCister autre c0ose en soie que soie soie, il n'est plus la pure Rnité de l'Rnique, il a besoin coe s'il était enacé d'un vide abyssal en luie d'tre Boré d'autre c0ose que de Oa pure Rnité.
La trinité introduit une déBicience quant l'Rnicité de Dieu. r, Dieu n'est pas ^seuleent^ Rn, ais absoluent Rn G il n'est pas l'Rnité de trois substances, ais la pure et absolue substance de l'Rnité dans son eCclusivité Bondaentale. A'est pourquoi il n'y a de Dieu que Dieu, et pas d'autre perBection Oon Rnité que l'unicité de celleci.
La consubstantialité s'applique préciséent tout ce que l'on veut, sauB l'tre absoluent +ur et +arBait. +ar eCeple, on peut lé#itieent énoncer que la parole est consubstantielle l'0oe, parce que sans elle, il devient nécessaireent déBicient en tant qu'0oe. n ne peut donc pas séparer la parole de l'0oe, voire e peuton aBBirer qu'elle lui est en quelque aniKre identique.
$ais Dieu ne Oaurait en aucune aniKre tre déBicient, et donc on ne saurait qu'abusiveent N « eCcessiveent » dit le Aoran opérer en Lui quelque distinction ou personnalisation que ce soit. La +arole de Dieu ne saurait Lui tre consubstantielle consubstantielle,, tout sipleent parce qu'Vl ne Oaurait tre déBicient. De e Oon Qsprit. Qt évideent plus encore une créature, créature, Butelle !ésus. L'Rnité +ure sans parta#e ni association coe l'énonce le Aoran est la Oubstance e de
Dieu. Telle est l'Rnicité.
L'Rnité de la +arole, Alé de la +arole.
Vllustrations.
Y* +renons l'eCeple Bondaental de l'Rnicité de Dieu. Aelleci est aBBirée en toute clarté, sans la oindre équivoque , dans la Tora0, dans les évan#iles, dans le Aoran. u'en estil de la ^trinité^ supposée de Dieu Qlle n'eCiste ni dans la Tora0, ni dans le Aoran. Qlle n'eCiste pas non plus teCtuelleent, eCpliciteent eCpliciteent dans les évan#iles. ulle part !ésus n'y aBBire que le ^+Kre^, le ^fils^ et le ^OaintQsprit^ seraient Dieu. Vl s'a#it par contre coe on le sait d'une construction trKs postérieure "Bin du )Ke siKcle*, construction de surcrogt do#atisée alors qu'elle aurait pu deeurer une interprétation ouverte.
&* n peut Baire la e constatation concernant la ^divinité^ de !ésus, une notion étran#Kre la Tora0, au Aoran, et nulle part aBBirée en tant que telle dans les évan#iles, alors qu'il aurait été évident, si !ésus était "un* Dieu, qu'il l'aurait aBBiré sans la oindre équivoque possible. possible. +ar eCeple il n'aurait pas dit H « r aintenant vous c0erc0eF e tuer, oi, un 0oe qui vous ai dit la vérité, que E'ai entendue de Dieu » Dieu » "!ean, )Y*, ais ^or aintenant vous c0erc0eF tuer Dieu, Dieu, oi, le Dieu venu pari vous qui vous ai dit la vérité.^ Vl n'aurait pu dire non plus H « Vl n'y a de bon que Dieu seul . » "Luc, Y.YZ*, étant luie un Dieu. Qtc.
c0aque Bois, on part non d'un Livre en particulier, ais de la +arole eCpliciteent coune auC Livres sacrés des trois onot0éises. A'est cette +arole coune, et non une interprétation qu'elle quelle soit , qui /claire, évKle, appelle et AonBire l'unité, la vérité et l’indivisibilité de la +arole de Dieu.
Le « +Kre » serait le « principe tout puissant », ayant « en#endré » le « Bils » non dans le ventre de $arie ais « de toute éternité », le « saint esprit », procédant du « pKre », recevrait des « issions » des deuC autres. Ae n’est évideent pas évident , Ee sais bien. Aes trois « personnes » ont des « attributs distincts » et sont elles trois Dieu, donc « un ».
Pous suiveF +ar eCeple !ésus, s’il est « Dieu », n’en a pas tous les attributs, loin s’en Baut. Vl i#nore plein de c0oses, que seul le « pKre » connait. Vl n’a de pouvoir que par le « pKre » et s’il est la « parole » de Dieu, c’est parce que « l’esprit saint » lui souBBle tout. utreent dit, luie n’est qu’un 0oe "on s’en doutait*, plein de Boi et inspiré. uant « l’esprit saint », il « procKde » éternelleent de Dieu, donc n’a de substance que par délé#ation.
+ourquoi avoir détac0é de Dieu Oon Qsprit pour en Baire une « personne distincte » - $ystKre. Qt oui, on entre l dans le « ystKre ». Vl Baut Euste y croire. A’est l’é#lise qui l’a dit, et l’é#lise est ellee inspirée par le « saint esprit », la boucle est bouclée.
La « personniBication divine » de !ésus ou de l’Qsprit n’apporte pourtant rien Dieu G c’est e le contraire H certes les trois « personnes » Borent ou plutkt coposent une « unité », ais deuC au oins de ces « personnes » sont radicaleent dépendantes de la troisiKe, seule détentrice de la toutepuissance, de l’oniscience, de l’oniprésence, l’oniprésence, breB seul Dieu ]
Distin#uer Dieu de Oon Qsprit ou de Oon Perbe N « trois personnes distinctes », tel est le do#e , c’est introduire une « triFop0rénie » en Dieu H l’équivalent de la sc0iFop0rénie, ais redoublée, redoublée, un état « caractérisé par des diBBicultés parta#er une interprétation du réel avec d’autres individus, ce qui entragne des coporteents et des discours biFarres, parBois délirants. ». insi par eCeple, « Dieu seul est Xon » "on est d’accord*, c’est ce qu’aBBire !ésus, qui est aussi « Dieu », ais pas coe Dieu donc. insi le « saint esprit » va accorder auC c0rétiens !ésus leur aurait prois, selon l’évan#ile attribué !ean , va leur accorder donc de Baire autant et e ieuC que !ésus, ieuC que « Dieu » donc. n n’a cependant rien vu de tel "Ma se saurait*. Donc le « saint esprit » n’a pas opéré, « Dieu » "!ésus* se serait tropé. Qtc. Qn Bait d’Juvres prodi#ieuses, on a eu le do#e de la trinité, le tripleent de Dieu en trois « personnes » dont une seule cependant assue ce qui Bait de Dieu N Dieu. AfD
La trinité est une opération tardive "le ot apparagt pour la preiKre Bois c0eF Tertullien, avocat et 0oe d’é#lise du... troisiKe siKcle aprKs !ésus*, une opération tardive de division de Dieu H si Dieu est divisé, alors Oon Qsprit devra tre divinisé part c'est le OaintQsprit et un 0oe devra aussi tre divinisé part ce sera !ésus, quoiqu'il ait luie indiqué sans équivoque qu'il n'y avait qu'un seul Dieu "« /coute, Vsral, le Oei#neur est notre Dieu, Vl est le seul Dieu », $arc Y&H&Z. Vci !ésus reprend et conBire sans nul doute possible , quasi teCtuelleent la parole de $ose déE citée H « /coute, Vsral, l'/ternel est notre Dieu, Vl est le seul /ternel », », Deutéronoe SH)*.
L'aBBiration d'un Dieu ^troisenun^, n'est évideent nulle part posée dans les paroles de !ésus rapportées par les évan#iles, et oins encore dans la Tora0 H encore une Bois, elle tient eCclusiveent eCclusiveent d'interprétations ultérieures. ultérieures .
L'Vsla vient rétablir la vérité du pur onot0éise H quels que soient les Dons divins reMus par un 0oe, celuici reste 0oe, et quelle que soit la aniBestation de l'Qsprit, il est ipso Bacto aniBestation de Dieu, le Oeul Oaint "« Dieu seul est Xon coe Dieu seul est Oaint », », $arc,Y, Y\&\*.
+ourquoi réduire de Dieu trois de Oes $aniBestations, dans l'esprit des c0rétiens c0rétiens ayant élaboré ce do#e - Oans nul doute parce que !ésus aniBeste Dieu bien plus qu'un plus qu'un brin d'0erbe, et de e l'Qsprit Oaint. Oi le ot « trinité » n’appartient pas au vocabulaire des évan#iles, ni au éry#e "énoncé priordial, paradi#atique de la Boi* ori#inel de la preiKre counauté c0rétienne, la EustiBication de la notion serait tout particuliKreent dans le Binal de $at0ieu H « lleF, Baites de toutes les nations des disciples, les baptisant au no du +Kre, du fils et du Oaint Qsprit . Qsprit . ». Vl s'a#it donc bel et bien d'une interprétation, d'une rec0erc0e de si#niBication, d'un eBBort de réBleCion, et non d'une Vnstitution évélée.
La do#atisation de cette notion qui reBere la réBleCion pose deuC problKes aEeurs par rapport auC paroles rapportées de !ésus H d'une part elle en ^#rossit^ le sens "coe une loupe, qui déBore ce qu'elle Bait ieuC voir*, d'autre part elle opKre une division dans la évélation du Dieu Rnique, alors e que redisonsle, plusieurs passa#es des évan#iles renvoient eCpliciteent , sans équivoque possible, l'Rnicité pure "ni trinitaire ni quoi que ce soit d'autre que distincteent Rne* de Dieu...
+our teriner cette réBleCion souli#nons l’eCistence d’une autre version de la trinité G celle du ^odalise^ H trois odalités apparentes d'un seul tre, et non trois personnes réelleent distinctes G apparentes, coe des ^asques^ ^asques^ en en eBBet, et donc inessentielles, non substantielles en substantielles en tant que telles G des ^asques^ ou un voile au sens du Aoran H Aoran H « Vl n'est pas donné un 0oe que Dieu lui parle directeent, si ce n'est par inspiration ou derriKre un voile ou par l'envoi d'un essa#er », », )&.UY.
Vci aussi pourtant, le voile trinitaire, e s'il raenait au Dieu Rnique "sans autre distinction que Oon Rnicité*, e s'il ne si#niBiait plus réelleent, substantielleent substantielleent une association, deeurerait eCcessiB deeurerait eCcessiB selon selon la qualiBication coranique H « #ens des /critures ] e soyeF pas eCcessiBs dans votre reli#ion ] Dites uniqueent la vérité sur Dieu ] Le $essie !ésus, Bils de $arie, est seuleent l'envoyé de Dieu, Oon Perbe déposé dans le sein de $arie, un Qsprit éanant du Oei#neur ] AroyeF en Dieu et en Oes prop0Ktes, ais ne parleF pas de Trinité ] AesseF d'en parler dans votre propre intért ] Vl n'y a qu'un seul Dieu ] Qt Vl est trop jlorieuC pour avoir un Bils ] 'estVl pas le $agtre des AieuC et de la Terre - 'estVl pas suBBisant coe +rotecteur - » - » ").Y\Y*
Table oB Aontents ous allons voir présent coent cette personne était é#aleent un de trois. L'Rnité de la +arole, Alé de la +arole.