Intro : Joachim du Bellay est poète français du XVIème siècle et appartenant appartenant au mouvement mouvement littéraire de la Pléiade. Il a rédigé le recueil Les Regrets entre 1553 et 1557 alors qu’il séjournait à Rome. Rome. L'auteur exprime avant tout son regret du pays natal, il y exprime sa déception. Dans le sonnet « J’aime la liberté », il parle à la première personne de cette épreuve amère. Cette lecture nous amène à nous interroger sur les différentes formes d’expression d’expression du poète. Nous verrons d’abord que le texte est le récit d’une expérience personnelle, personnelle, qu’il donne une image ambivalente de l’auteur et qu’il permet au poète d’exprimer ses sentiments.
I. Le récit d’une expérience personnelle A. L’utilisation de la 1ère personne du singulier implique d’avantage le poète. Les « je » sont exprimés en début de vers, ce qui laisse entendre les envies du poètes, poètes, mais qui s’opposent aussi aussi avec ses obligations cités en fin du vers. B. Il y a aussi la présence du du présent de l’indicatif et les répétitions répétitions « je n’aime » ou « me faut » pour dénoncer la monotonie, monotonie, l’ennui. l’ennui. C. Critique de la vie de courtisans à Rome avec avec l’emploie des mots : hypocrisie, vice, malice.
II. Une image image ambigüe du du poète A. Les vers sont construits construits de façon façon opposés opposés : anaphores anaphores « J’aime »/ « Je Je n’aime » ; parallélisme « J'embrasse le plaisir, et n'éprouve qu'ennuis » et chiasmes « Je n'aime point la cour, et me faut courtiser ». B. Certains terme terme sont en opposition comme comme « liberté » / « service service » et « simplicité » / « malice » C. Le « et » marque aussi aussi l’opposition dans les vers. vers. Le poète est est balancé entre ses envies et sa vie.
III. L’expression L’expression des sentiments A. Présence du lyrisme avec avec les verbes de sentiments sentiments « aime, adore, adore, embrasse, éprouve, éprouve, languis » et la l a première personne du singulier. Poème élégiaque. B. Sentiment de déception par par rapport à ce qu’il vit « Je suis né né pour la Muse, on me fait ménager ». Insistance sur ses regrets et ses malheurs. C. L’auteur cherche cherche un réconfort auprès auprès du lecteur avec la question question rhétorique la fin du poème poème : « Ne suis-je pas, Morel, Morel, le plus chétif du monde ? »
Conclusion :
Dans le poème J'aime la liberté, et languis en service, Joachim du Bellay fait tout d’abord le récit d’une expérience personnelle où il expose sa déception à travers des jeux d’opposition. Il se plaint de façon lyrique pour chercher à la fin une consolation auprès du lecteur.