Cours complet de dictée musicale 100 Dictées musicales progressives à deux parties (faciles à très difficiles) Author: Noël-Gallon Editorial: Société des Éditions Jobert City: Paris Y…Descripción completa
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Description complète
les différents types de fondationDescription complète
pas craint de l'entreprendre et vous l'avez remplie,
d'un excellent professeur, mais aussi avec
l'autorité
;
vous n'avez
non seulement avec toute le talent
d'un compositeur
distingué.
Vos nombreuses
leçons,
seront d'un précieux secours
de
faire
de bons lecteurs,
éducation de
l'oreille
à
mes
les professeurs
qui
ne se contentent pas
sans laquelle on n'est pas complètement musicien.
l'enseignement
croire toujours à
pour
mais qui tiennent à donner à leurs élèves cette
Je vous remercie, pour
rendre
habilement graduées, méthodiquement classées,
ma
part,
musical et
du nouveau service que vous venez de je
vous
prie,
mon
cher Lavignac, de
meilleurs sentiments.
Le Directeur du Comerialoiri; Mcmhre de
l'Institut
AMBROISE THOMAS.
THOMAS
A Monsieur Ambroise
MEMBRE DE l'IKSTITUT DIRECTEUR DU CONSERVATOIRE
GRAND OFFICIER DE LA LÉGION' d'hONNEUR
COURS COMPLET THÉORIQUE ET PRATIQUE DE
Musicale
Dictée
PAR
ALBERT LAVIGNAC PROFESSEUR AU CONSERVATOIRE
EN SIX PARTIES CHAQUE PARTIE, XET
4'^
:
S
FRAXCS t)U
PARTIE
LE MOINE &FILS, ÉDITEURS! PARIS,
1-.
RUE
PIGALLE.
Reproduction
et
— BRUXELLES,
45,
RUE DE LA
traduction réservées pour tous pays.
Ri^l\È^-CE/
PREFACE musicale
La Dictée
n'est entrée ofliciollcment
dans
programme des
le
études du Conservatoire de Paris qu'en 1871.
Jusqu'à cette époque,
certains
autre pour développer les
comme un moyen
considérée par eux que
M.
professeurs
l'employaient bien de temps à
facultés auditives de
Ambroise Thomas,
et
prenant
en
leurs
élèves,
mais
elle
direction
la
du
Conservatoire,
assigné à cet exercice une importance plus grande en imposant la Dictée
épreuve dans
pour
([ue
les
les
examens
concours de solfège, aussi bien pour
et
instrumentistes, lui
anciennement
de Lecture des chamiements
usitées
les
a
comme
chanteurs
une place à côté des épreuves
ainsi
faisant
n'était
non comme un but à atteindre.
clefs
fie
et
de Théorie.
sans changements do clefs sont nombreux et augTraités de théorie musicale ne font pas défaut; mais jusqu'à présent aucun ouvrage n'a été écrit d'une façon spéciale pour Les Solfèges avec
mentent chaque jour;
ou
les
l'enseignement méthodique et raisonné
que
Telle est la lacune
aussi
complètement que
Si j'ai réussi,
pas seulement formulaire
à
le
si
voulu comliler,
été aussi clair
du professeur
peu près
quelque peu musicienne
Dictée vocale
la
je
et
me
(*).
suis efforcé de
le
faire
possible.
j'ai
livre
j'ai
(\e
et
que de
j'ai
désiré
l'élève,
mais aussi un
inépuisable entre les mains de et désireuse
ce livre ne sera
l'être,
toute
manuel, un
mère de famille
do diriger elle-même l'éducation musicale
de ses enfants.
Ce volume ne contient que 1560 numéros. Mais 23 des leçons de fournissent deux versions, 192 de
la
nissent chacune huit, ce qui porte le
innombrables variantes
.3""^,
42 de
nombre
la
4""-'
et 180
total réel à
de
la 4""= partie
la 6'"'
en four-
4483, sans compter
les
partielles.
(*) Les seules piiblicalions que j^; connaisse nyimt Irait à la dird'o miisieali> smt : I.e Itecueil DicUk's de mon aucii>,n collègue Henri Dnienioij (édileur. Benoiti ; k' Solfège i/cv njlhma et les Dictées d'intonation de M. A. Thwncr (éditeur, .M. Leilucl, qui eiivisiL,'e cflte qucslioii à un point
(le
de vue exclusivement
iiisirunieiilal.
Il
Au premier
aborfl, ce chiffre
peut paraître excessif, en
l'élève assez
effet,
mal organisé musicalement pour que 4483 dictées soient nécessaires pour parfaire de son oreille ferait beaucoup mieux de renoncer à tout jamais à
l'éducation
devenir musicien.
Mais
que ce
considérer aussi
faut
il
utilité pratique
si
mémoire de
la
absolument aucune
recueil n'aurait
pouvait entrer en jeu
l'élève
une mesure quelconque pour l'exécution de son
travail.
Il
l'aider
et
dans
donc indispen-
était
sable de dérouter avant tout la mémoire, de la rendre inutile et d'une application
tellement impossible qne l'idée
De là
d'en faire usage ne puisse se présenter.
grand nombre de leçons, ainsi que leurs nombreuses variantes; de
le
là
même
aussi, l'air
de
famille,
même
appartenant à une
cherchée
ressemblance
la
une
partie ou à
même
entre tous
exercices
les
section.
L'ouvrage est divisé eu 6 Parties.
La
l'élève avec tout ce qui a rapport à Viuto-
de familiariser
a pour but
1'"'=
7}atio7i.
comprend
La
2°"^
La
3™*^ consiste
La
4™*=
l'étude des différentes combinaisons rythmiques.
en une suite de
dictées mélodiques faciles et
de moyenne force.
ayant toujours pour objet une difficulté
contient des dictées spéciales
particulière et déterminée d'intonation ou de rythme.
Enfin
les
,
5"'^
croissante,
toujours
et
6""=
Parties degré
jusqu'au
composent de
se le
leçons
me
plus élevé qu'il
d'une
difficulté
paraisse
possible
d'exiger raisonnablement d'un élève n'ayant aucune notion d'harmonie. Je n'ai pas cru devoir chercher à suivre
plus apparent que réel, en raison de |iar
conséquent de
au
résultat
la diversité
désiré;
mais
la
un ordre
diversité
infinie
progressif,
qui aurait été
des natures
d'élèves et
des moyens qu'on doit employer pour les conduire
j'ai
adopté
comme
plan
général
une
classification
méthodique par sections, séries et groupes formant de nombreuses subdivisions, à l'aide desquelles toute personne ayant examiné avec un peu de soin la table des matières se reconnaîtra fiicilement dans ce recueil.
DES DIVERSES FAÇONS DE SE SERVIR DE CET OUVRAGE Une des dictée, la
principales difficultés qu'on
plus grande peut-être, consiste dans
général l'élève de travailler seul, en dehors
de son professeur, jointe à cet
rencontre dans
la
exercice très fréquemment,
l'enseignement de
l'impossibilité
la
où se trouve en
du temps des leçons
et en l'absence
nécessité absolue qu'il y a pour lui de pratiquer s'il
veut acquérir un certain degré d'habileté.
ni
Arriver à ce que l'élève puisse travailler chez
pendant
la leçon,
le
temps
sont donc deux choses également précieuses, et aucun
moyen
économiser
et
lui,
ue doit être négligé pour obtenir ce double résultat. J'en ai essayé beaucoup,
m'a amené à considérer
Habituer
1"
à
les
les
plus imponants et les plus pratiques.
l'élève à écrire vite et clairement.
Tous ceux qui ont
que tous
seulement ceux que l'expérience
je signale ici
et
comme
partie d'un jury de concours ou d'examen, de
fait
professeurs expérimentés, savent qu'on distingue presque toujours
première vue, et rien que par l'aspect de
l'écriture,
manqué; le premier est clair, un air gauche, désordonné, il
lisible,
travail
l'autre a
ou surchargés.
Que
est très rare
Il
en conclure?
faut-il
elle-même
en
est
que
faut en
Il
:
présente
se
peu
est
l'on soit
trompé par
le
un
réussi d'un
travail
bien, inspire la confiance;
avec des passages effacés
cette première impression.
conclure tout simplement que
moins étrangère qu'on ne
exécution du travail de dictée. Pour saires
même
le
croit
l'écriturv?
généralement à
la
bonne
bien accomplir, deux choses sont néces-
savoir entendre et savoir écrire.
Apprendre à bien entendre
est l'objet
principal de ce livre; mais celui qui après avoir écouté attentivement et intelli-
gemment, après
avoir bien saisi, ne
pas représenter
sait
façon correcte et intelligible, ce qu'il a perçu, arrive à
papier, d'une
le
que
résultat aussi nul
n'avait pas compris.
s'il
entendu que
est bien
(11
la
un
sur
ne parle pas
je
de l'écriture au point de vue de
ici
beauté calligraphique, mais seulement sous
le
rapport de
la clarté et
de
l'or-
thographe musicales.) Or, l'élève qui écrit mal n'arrive jamais à produire qu'un brouillon informe,
peu
lisible
pour lui-même
et pas
du tout pour
néralement plus de temps et de peine
qu'il
suite d'une façon correcte et définitive, il
est forcé de le mettre
velle perte
de temps, et
au net avant de le
est
auquel
en aurait
fallu
en avait eu l'habitude
il
pour écrire do ;
ce brouillon
présenter, ce qui constitue une nouil
y glisse des
le texte primitif.
d'abord
:
le
manque de
n'existaient pas
dans
le brouillon, et enfin
la
elle
trois
rapidité et de pré-
ensuite le danger qu'il y a de commettre dans la copie des
;
consacre gé-
absolument certain qu'une mauvaise écriture entraîne avec
inconvénients réels et indiscutables cision
le
les autres, lui
plus souvent, en faisant cette copie,
erreurs qui ne se trouvaient pas dans Il
s'il
ne
erreurs
qui
perte de temps nécessitée par cette
copie elle-même.
La première chose ai donc d'obliger rapide et claire, afin qu'il puisse noter
sur cela,
la
notation à employer, ce
le
mieux
est
plusieurs pages de
([u'il
l'élève à
du premier
acquérir une écriture facile, jet, et
sans aucune hésitation
aura bien entendu et bien compris. Pour
de l'exercer à copier très soigneusement, chaque jour, une ou
musique bien
écrite,
en exigeant que cette copie
soit faite
de
IV
la
façon
la
plus servile et
moindre abréviation ou
prétexte que ce soit, la fiante
autrement
;
touche pas à
ment
faite,
dit, le
la dictée
plus scrupuleuse, sans \ introduire, sous quelque
la
proprement
parfaitement claire
préparatoire, mais dont
la niodificalion
premier exercice de dictée dite,
on peut
plus
la
insigni-
moi, bien qu'il ne
copie pure et simple, consciencieuse-
la
Ce
exacte.
et
est, selon
évidemment qu'un exercice
n'est
grands
être certain de tirer par la suite de très
avantages. est d'ailleurs assez facile à
Il
sous
dictée,
la
avant d'écrire
soit nécessaire,
qu'il
de savoir écrire.
Ne jamais employer
2'
comprendre
le
temps de
la leçon, qui est
toujours trop
court, à corriger les devoirs.
que
l'élève
une portée en blanc au-dessous de chaque portée
écrite.
Pour arriver à ce laisser
Cela étant, aussitôt
que
fait
menl, par un fautifs, sans
il
la dictée
assez bien
l'élève écrit
professeur se
résultat,
indispensable
est
terminée,
pour
ou
y rien
soin
le
dis aussitôt, puisqu'il est
(je
n'avoir pas
besoin
d'en
remettre l'épreuve obtenue, sur laquelle
trait
ait
faire
convenu
copie),
la
de
le
signale tout simple-
il
toute autre signe rapide convenu d'avance, les passages
rectifier;
puis
il
inscrit le numéro
de
la
leçon, après quoi on
peut passer à une autre dictée. Cette vérification sommaire, simple constatation des fautes, sans aucune correction, ne
Rentré chez indiqué,
et
lui, l'élève
doit chercher dans ce livre le
en reproduire intégralement soin de faire
blanc, en ayant
demande qu'un temps
qui est
le résultat
en mentionnant
concorder exactement
il
lui a été
les
celle qu'il a écrite
effectue
lui-même
mesures sous
et
même
en
fait
les
la dictée et celle
de son devoir
la correction
nature des fautes qu'il y constate, fausses notes, erreurs de tona-
etc.;
de rythme, démesure, altérations oubliées, fautes de notation
lité, il
la
de sa copie,
numéro qui
texte sur la portée qu'il a réservée en
le
temps. Puis, comparant les deux portées,
inappréciable.
ensuite l'analyse,
s'il
y a
forme indiquée dans
lieu, selon la
les diverses
parties de l'ouvrage.
Eu
exigeant que l'élève rapporte à
annoté et analysé,
le
professeur
la
leçon suivante son travail ainsi corrigé,
aura obtenu
tout ce
qu'il
d'obtenir d'étude, en ce qui cunccrne la dictée, en dehors de Si
me la
parait possible
leçon.
maintenant on veut se rendre compte de l'économie du temps réalisée
par l'emploi des deux moyens que je viens d'indiquer, c'est facile à calculer.
Une
dictée de force
moyenne,
comme celles
de
la
3''
partie,
dans un mouvement
modéré, demande environ une minute pour être énoncée une première entier; huit minutes pour être détaillée par fragments, et enfin une la répétition finale.
Tel est
le
Total dix minutes.
temps indispensable pour
faire
une dictée ordinaire.
fois
en
minute pour
l'élève a ensuite besoin
Si
moins pour |iour
cinq
minutes pour ce
On
mais on ne peut l'estimer,
d'élèves, au-dessous de dix minutes, et cela quelque
minutes au minimum, souvent vingt.
aurait eu
temps de
le
employées à compléter double suppression de disponible.
est très variable,
il
au contraire, cette prévision sera presque toujours dépassée.
rapidité qu'on y mette; (jiiiiizr
bien lui donner au
faut
il
supplémentaire. Quant au temps à dépenser
travail
un cours d'une dizaine
mettre au net,
la
rectilication par le professeur,
la
Total,
de
On
voit
La façon de
faire
deux nouvelles dictées pendant
et à corriger la la
première; donc, l'économie réalisée par
copie et de la correction est
que cela en vaut
vingt minutes
les
égaleauxdeux
tiers
peine.
la
de ce cours varie considérablement selon
se servir
la
du temps
nature des
la
élèves auxquels on .s'adresse, leur degré de force, leur âge, leur nombre, et le but (|u'on se propose d'atteindre.
On
généralement
pratique
avantages évidents sur
plus de clarté, je vais d'abord parler soit le
moins fréquent,
collectivement,
dictée
la
leçon particulière,
la
ici
notamment
de renseignement
moyeu de
plusieurs
a
imliviiliicl,
pour passer ensuite à l'enseignement
l'enseignement mutuel, 1res pralicabie au
qui
ce
l'émulation. Mais pour quoiqu'il
ivlln-tif et enfin
à
ce recueil.
ENSEIGNEMENT INDIVIDUEL Le plus souvent, on exercé quelque
peu au
dont
pour mieux dire,
complément, ou
l'étude de la dictée qu'après s'être
n'entreprend
si>lfègt,
n'est alors,
elle
la contre-partie.
déj;i
en quelque sorte, que
le
meilleure façon de
C'est la
procéder, la plus simple et la plus logique. Toutefois,
il
peut se faire que la dictée
subvenir à
ait à
elle seule
l'éducation musicale élémentaire, lorsque, par exemple, l'élève est
aphone, privé de voix, ou la
s'il
entreprend, pour une raison c|uelconque, l'étude de
musique pendant l'époque de
est
fausse
et
l'oreille
lement l'étude de
juste;
la dictée à
toute
ii
entièrement
la il
celle
mue;
il
du
que
arrive aussi quelquefois
avantage
y a alors tout solfège,
car
à
fausse
l'élève se
la
voix
substituer total'oreille
en
chantant.
Dans
ces divers cas,
simplement par
les
heureusement
tableaux de la
I'"
rares, le
mieux
est
des indications placées en tête de chaque section, jusqu'à à
moins que
le
la
la
en tenant compte
lin
de
la
S""^
Partie,
professeur ne trouve plus profitable, pour une raison quelconque,
de renverser cet ordre, en 1^^
de commencer tout
Partie, et de continuer,
commençant par
la
2'"'
Partie pour
routinnrr
pni'
VI
Cette interversion, d'ailleurs prévue, n'entraîne avec elle aucun inconvi'nicnt
en
effet,
quoique
la
1"^
spécialement de l'intonation
Partie traite
rythme, ces deux éléments constitutifs
ne sont jamais entièrement
séparés;
de
et indispensables
paru
m'aurait
il
anti-musical, de présenter à l'élève, fût-ce pour
la
et
musique moderne
illogique, je dirai
plus
les exercices les
Seulement, dans
Partie
la
consacrée
simplicité extrême, ne contiennent
à l'intonation,
que
peu de
élémen-
rythmes sont d'une
les
notes (de 2 à
l'élève,
en appliquant son attention à
tout
sons, se familiarise à son
deviendront
la
base du
insu
travail
avec
simples
très
rythmes;
de
plus,
en résulte
hauteur des
qui, plus lard,
la 2"*= Partie.
de
Réciproquement, un parti pris analogue mais inverse, affectée à l'étude des
Il
saisir et à noter la
rythmes
les
et,
7),
sont constamment semblables pendant toute la durée d'une section.
façon
même
des sons sans durée ou des durées sans son
taires,
que
;
du
la i^'"
est adopté
dans
la
partie
invariablement
sons se succèdent
les
là,
de
la
plus facile à percevoir, par degrés conjoints, ascendants ou descendants,
la
sans aucune modulation, ce qui a pour l'élève le
sentiment de
de développer inconsciemment chez
pendant que son esprit est occupé à discerner
la tonalité,
et à transcrire les différentes
effet
combinaisons rythmiques.
C'est cette double disposition qui permet au professeur de choisir à son gré, et
par laquelle
ties
il
convient de
commencer
purement apparente puisse
sion
résulter
deux premières Par-
élève, celle des
en raison des aptitudes personnelles de son
les études,
moindre
le
sans que de cette interver-
en quoi que
préjudice
ce
soit.
travail préliminaire accompli, l'élève se trouve rentrer
Ce
dans
la
catégorie la
plus fréquente, celle des élèves qui possèdent déjà quelques notions de solfège et
de théorie avant d'aborder
Pour ceux-là, tout
la dictée.
l'intérêt est
dans
le
choix
des
qu'on doit
exercices
présenter, car c'est de la gradation à établir entre ces exercices
grande partie au moins,
très
Au
gradation
l'infini.
C'est
doit
donc varier
selon
pour cette raison que
rigoureusement progressif
dans
les
je
que dépend, en
de leurs progrès.
point de vue des aptitudes diverses,
cette
à
la rapidité
leur
il
n'existe pas
chaque n'ai
leçons
deux élèves semblables;
nature
d'élève,
c'est-à-dire
pas cherché à établir un
qui
ordre
suivent, convaincu que je n'y
pourrais jamais arriver, ce qui serait progressif pour un élève ne l'étant pas pour
un
autre.
J'espère que
la
classification
méthodique
à laquelle je
me
suis arrêté, après
bien des essais de groupements divers, paraîtra suffisamment claire, et que ceux
y trouveront toujours cherché, aussi facilement qu'on trouve un mot dans un dictionnaire.
de mes collègues qui voudront bien l'objet
La question
est
adopter cet ouvrage
maintenant de savoir exactement ce qui convient de préférence
vu à
ou
tel
dans
loi
choix des exercices
le
mon
élève. Voici, à
sens,
qui
règle
la
guider constamment
doit
:
L'élève le
mieux organisé
L'élève le
moins bien organisé présente toujours un point moins
que
faible
les défauts
côté relativement faible.
les autres.
du professeur consiste à savoir
L'Iiabilelé
gnement de
un
a toujours
telle
les
discerner et à diriger son ensei-
façon qu'il ait toujours pour appui les qualités, et pour objectif
à redresser.
En
tout
déterminé chez un élève un
a
lorsqu'on
cas,
défaut prépondérant, on doit s'y attacher d'une façon exclusive, et
avec persistance, par tous
moyens
les
tout au moins jusqu'à ce qu'on
geant pour
les défauts
cela
voulu, lorsque, par
la
devenus à leur tour
ait
le
secondaires,
lesquels on
sur
reviendra
f ÉLÈVE. — Fautes La mesure
peu.
très
une modulation
Donc
les
permettront à
l'élève,
d'ailleurs
de concentrer toute son attention sur
lation,
les
-
Seclion V.
_ — puis
(
n-iu'le
il
y en
^
SVric
/
*if
j
,ç
!
^,^,^^^i^^,^„,
côté faible le sens
le
1"^
la
prévenu
partie, en
qu'il s'agit
changements de
n'a pas l'oreille fausse, ce qui paraît bien à craindre, le
1- PARTIE.
en dehors de cela
;
rythme,
le
rythmes périodiquement semblables de
iiant la perception,
:
en général bien comprise.
n'y a pas à hésiter. Le point d'appui est
Il
tonal.
seront
ils
principaux.
d'inloiialion dès qu'il se présente
est
en temps
disparition de celui qui dominait primitivement,
les
ou
obtenu une amélioration très maniuée, en négli-
Quelques exemples donneront à cette idée une forme plus précise
a
combattre
possibles, jusqu'à ce qu'il soit déraciné,
^^^ lo,,
mieux
simpli-
de modu-
tonalité, et
sera
pour
s'il
lui:
voisins).
(modulations aux tons éloignes).
Section YI, n"^ de .347 à 39i (récapitulation des précédentes). :
4<^
—
3° PARTIE.
—
PARTIE. Seclion I, i'^ Série (dictées spéciales pour les modulations). Si le défaut persiste encore, revenir aux dictées de la l'" partie, Section V (dictées modulantes); les quatre premières séries en les transposant et en se servant des variantes, puis enfin:
2* 2'=
ELEVE. —
Section
I
en entier (dictées mélodiques
Écrit exactement presque toutes
les notes,
faciles).
mais n'a pas
la
L'intonation des notes, qui procèdent de parti pris par et
dont
le
Ensuite -4*
nombre
>
ELEVE.
II
conjoint,
(étude spéciale des difficultés rylhmiquos).
— Confond fréquemment
sement. Saisit
mouvement
est facile à compter, servira de guide pour la notation rythmique.
:
PARTIE, Section
.
3''
moindre idée du rythme.
PARTIE (étude du rythme) en entier.
mal
les
interralles éloignés.
les
mesures
binaire.i et
ternaires, écrit à
— pour—2 ou
inver-
YIII
l'AHTiE.
-l''
jiuis
ensuite
—
Section
i''
PARTIE. Section
.{'
ELEVE; — Ae
.S'a/)p/vo'' Il Cft
— —
I,
G""
—
Série (dictées spéciales pour l'emploi fréiiuent des intervalles composés).
Section
I.
—
Section
I,
— —
avec l'exercice spécial qui
'
1"
série,
2"=
série,
7„
^'r''!'J
doil il
c'est la
faire
est indiqué,
et
H
et
—
E; K;
de movemie
dais
l'orci'
1rs
tons b'mniisés.
]
commencements de fragments,
les
mémoii'e qui
et
se
trompe vers
le
V^ PARTIE. :
2" PARTIE.
— —
celte sorte
de mémoire instantanée qui
— —
Sjciion VI en entier (fragments de
'i,
et 7 notes.)
Section VI, 1™ série (résumé des difficultés rytiimiqiies) V, 2« série; V, 3" série.
—
;
—
de-; siinrnpp'!,
:
PARTIE.
— — — —
—
Section
— — — -
II,
6'= série (silences); 2" série (syncopes) ; 3* série (contretemps)
;
4" série (svncopes et conlrclemps) 5= série, groupe A
;
,^i^i,.|^_
j
:
PARTIE.
—
—
— 2= PARTIE.
—
Section
— — —
—
—
(silences; ; IV, 3« série (silences et conlrelcnips)
111
V,
l'"^
série,
—
Section V. 2" série,
—
—
groupe
—
groupe
—
A B
;
)
>
A
)
B
?
Iriolels
triolets
dans
dans
les
les
mesures simples.
mesures composées.
Si après cela les défauts persistent encore, ce qui est peu probable 2'"
oi'i
—
d'alwid
2'"
moment
écrit.
EfJ:VE. Presque jamais île fautes d'intonation. Les erreurs les pluf fréquentes sont des silence! oubliés, des contretemps pris pour de^ rrnfmions entre des Iriolcts et des groupes de trois notes binaires ma'S inégales. 0'^
ensuite
surtout
:
ensuite
i''
la fin,
rythme que dans l'intonation.
mamiue,
conserver dans l'esprit l'ensemble d'un fragment jusqu'au
entièrement
est
d'abord
)'
miiieur.
yiotes.
Les erreurs sont aussi bien dans Ici,
groupes C dic'tées
4" série
Ecrit bien tous
y a beaucoup de
il
spéciaux d'antilysc rylhmique.
:
ÉLÈVE. —
o"
les pycrcice.s
sait pas discerner, au début de la dictée, si le mode csl majeur mi de son erreur dan^ le courant du Irarail, mais ne sa't pas la réparer. moins à son aise dam les Jons béiuolisés que danfi les tons diésés •",
l" PARTIE. puis plus tard 3« PARTIE.
quand
1" Série, nvec
11.
:
PARTIE.
— — — —
—
Section IV,
— — — —
* Cela se rencontre
VI
:
f^
série (syncopes égales); 2= série (syncopes inégales) ; 3" série (c'oiilr.'temps égaux); 4"= série (contretemps inégaux) ; !''' série (résumé des difficultés rythmiques).
fréquemment chez les élèves violonistes ou violoncellistes, tandis bémolisées sont plus familières aux élèves qui cultivent les instruments à vent. (Toutes ces observations ont été prises sur des élèves faisant partie de ma classe.)
les tonaliu's
qu:'
IX
Ici le
point d'appui est
pi-is
alLcnialivciueiiL >ur
el ;^Ul ruiloiialjoii,
le r^tliiiie
aucun de ces deux sens ne paraissant totalement oblitéré.
me
11
|jaral( inutile
de poursuivre plus
loin
tenu
ces exemples. Ce (juc jai
à bien établir, c'est qu'à l'exception d'un seul cas, celui où l'élève ne sait encore
absolument
rien,
une méthode
on ne doit pas se croire obligé,
progi'essive, à suivre l'oi'dre
comme
numérique des
aurait lieu dans
cela
leçons, groupes, séries,
sections ou parties; mais tout au contraire considérer
que ces diverses divisions
de l'ouvrage n'ont d'autre but que celui de
les
d'aider à établir, pour
chaque élève,
la
gradation spéciale
ENSEIGNEMEiNT Quand
faciliter
recherches (|ui
et
convient.
COLLECTIF
sont réunis en un cours plus ou moins nombreux,
les élèves
utiles,
la
marche
que je viens d'indiquer pour l'enseignement individuel n'est plus applicable d'une laçon absolue, ou tout au moins son application entraîne
une certaine complica-
tion.
Le principe général, invariable,
cices reste
Ibrment
cours
le
nelle et surtout
mais
comme un
d'après les besoins
Sans doute,
règle unique qui doit guider dans
la
il
le
faut alors considérer l'ensemble
être collectif, et déterminer
la
choix des exer-
des élèves
direction
du plus grand nombre. est impossible d'arriver ainsi
il
à
une gradation
aussi ration-
précédemment, mais on tiouve une large
aussi personnelle que
compensation dans l'émulation, l'entraînement causé par l'exemple, avantages inhérents à l'enseignement
De rait
plus,
à
dictée.
saire
il
elle
En
pour
à
qui
suivre
y a là
el
lou> les
collectif.
une économie de temps tellement considérable,
qu'elle suffi-
seule pour rendre ce procédé prélérabie à tout autre en matière de
etfet, et
nombre des élèves, le temps matériel nécessensiblement le même, surtout si l'un substitue à la
cela quel
la leçon
reste
que
soit le
correction par le professeur la cori-ectiou par l'élève lui-même.
Dans un cours quelque peu nombreux,
il
est
généralement nécessaire de di-
deux ou trois groupes, qui deviennent alors autant de petits cours séparés momentanément, mais destinés à se mélanger, à se fusionner per|)étuellement pour former de nouveaux groupes en raison des progrès individuels
viser les élèves en
de chaque élève et des nouveaux besoins qui résultent de ces progrès même. des élèves dans ces petits cours partiels, constamment rcmaniables, il est plus utile de tenir compte de la nature de chacun d'eux, de ses déiiiuts et de ses a|)titudcs, (|ue du dcçjrr d'habileté acquis par le travail ou
Pour
la
répartition
n'sultant de l'organisation.
un cours de douze
Ainsi, pour
genre de
celui-ci
i" GkOlPl-
forts.
que pour
des fautes do notation en tout genre, des inadvertances.
Les quatre élèves qui vienuent en seconde ligne.
Les quatre élèves les plus
:
•!''
plus
les
Quatre élèves comuieltant
faibles l'iu-
GROUPE
Les quatre élèves
plus
élèves pour le ryilime tonation. Cin([
que cel autre
parait plus logique !«'
le
3= UROll'E
2= GROLl'E
Trois élèves plus faibles pour rintonation que pour le rj'thme.
me
par exemple, un yroupemcnl dans
élèves,
:
GROIPE
3'^
GROLPE
faibles.
dans une branche quelconque.
Ce dernier groupement rendrait font l'objet de cette élude.
d'autres procédant de la
il
similitude de leur
la
Cela
on
le ferait
Une
même
pour un individu
isolé,
il
ne reste plus
objection très naturelle se présente
Un même
groupe, uiie
est d'ailleurs
compliquant
même
le
très
travail
facile
pour
division ?
—
pour
le
uns
et
les
de rythme, on peut augmenter
un dénominateur peu
l'élève écrive
du cours général pourra donc contenir
Oui, et
il
n'y a pas à cela grand incon-
de suite
transposition
professeur d'atténuer cette
en
le
la difficulté
la
(voir
page 77); en
leçon dans
instantanée
mieux organisé); en
entraine fait
en imposant aux élèves
aux autres
fait
celui
plus forts
en exigeant que
une gène d'autant plus
la
en fait
dans lequel on chante
de notation, en obligeant entend, dans
les
En
choix de celui qui
le
d'intonation,
plémentaires, ou en faisant mettre la leçon, du premier
Ce
inégalité
simplifiant pour les autres.
un ton autre que
octave plus haut ou plus bas que ce qu'il
clefs,
procéder
([u'à
ici.
usité, taudis qu'on laisse
leur est le plus familier
l'élève est
comme comme s'il
moins d'une disproportion par trop exagérée.
vénient, à
(cette
selon
d'enseignement individuel.
des élèves de force très diftérente
Il
réunion des élèves
idée, c'est-à-dire la
tempérament musical.
envisageant l'ensemble des élèves qui constituent un groupe
fait,
s'agissait
à peu près inapplicables tous les procédés qui
faut donc s'arrêter à celui indi([ué en premier, ou
Il
grande que
l'élève à écrire
une
région des ligues sup-
jet,
en changements de
etc.
serait se faire illusion
pratique joue front;
le
l'enseignement a beau être
groupement basé sur absolu,
il
dans un cours où la constamment marcher les élèves de collectif, les progrès restent individuels, et un
que de
croire à la possibilité,
plus grand rôle, de faire
le
degré de force de chacun
ne
pourrait
jamais
être
y resterait toujours des inégahtés. Cette objection n"a donc qu'une im-
portance très contestable.
XI
EiNSEIGNEMENT MUTUEL Si
parmi
d'un Cours,
les élèves
ne fussent-ils
s'en trouve quelques-uns,
ils
deux, doués d'un caractère suffisamment sérieux et studieux, l'enseignement
(|uc
mutuel devient un précieux
Dans ce
auxiliaire.
cas, le prolèsseur doit
désigner séparément à chaque élève
nu-
le
des dictées qu'il juge convenables pour ses camarades; dans l'intervalle de
méro deux cours,
les élèves se réunissent,
chacun d'eux, prenant à tour de rôle
et
la fonction de répétiteur, vocalise la dictée c|ue les autres doivent
achevé, leur en
le travail
doit se faire la
comparaison entre
Au
fait
le texte
cours suivant, chac[ue
mun, avec
connaître
comme précédemment, du
numéro. Quant à
le
par
l'élève
élève apporte
dû
faire
correction, elle
la
lui-même, seul,
le
du
résultat
en particulier, dont
professeur n'a
le
la leçon,
le
un
et c'est là
problème
difficile
du
travail
résultat des plus désirables;
faut tenter d'appliquer ce système qu'autant qu'on est
s'adresser à des élèves
avec fruit
le travail
travailleurs et
L'élève chargé par
nommant
de
en dehors
l'élève
mais, je
le repète,
parfaitement
il
ne
de
certain
pour savoir pratiquer
assez intelligents
commun.
en
le
professeur de présenter la dictée à ses camarades ne
doit jamais la déchiffrer devant eux;
d'abord en
nouveaux
les
de l'étude suivante.
qui doivent faire l'objet
Ainsi se trouve résolu
de
on com-
travail fait
plus alors qu'à vérifier rapidement l'exactitude avant de désigner
numéros
moyen de
au
de sou épreuve.
livre et celui
les corrections qu'il a
puis,
écrire,
il
faut
en battant
les notes et
qu'il
la
prépare
la
comme
mesure,
et
s'il
l'étudié
qu'il
s'agissait
d'une
leçon de solfège, puis en vocalisant et sans indiquer la division rythmique; car il
est indispensable
que
la dictée
soit toujours
bien
faite,
sans quoi
elle
cesse
entièrement d'être profitable. Or, savoir bien dicter est chose beaucoup plus difficile qu'on ne
néralement, et constitue pour
le
dicteur
un exercice
gé-
excellent, qui développe sin-
gulièrement chez lui les facultés d'intonation et de rythme. Aussi
quable que l'élève habitué à dicter acquiert par cela lité
le croit
même une
est-il
très
remar-
grande
faci-
mixte,
sorte
à saisir à son tour les exercices qui lui sont présentés. Je dois encore, pour être complet, mentionner
de trait-d'union entre
ici
un système
Solfège et la Dictée, qui peut dans
le
certains
cas
don-
Ce système consiste à faire apprendre par cœur à l'élève des leçons de solfège, des mélodies ou phrases musicales quelconques, (|u'il doit ensuite reconstituer et écrire de mémoire. ner
les meilleurs résultats.
Au premier en vérité,
c'est
abord,
il
semble que ce doit être très
infiniment plus aisé que cela n'en a
difficile
l'air.
à
obtenir, mais
Voici la façon de procé-
lier s'il
àla prcDiicrc
:
lui,
les notes,
cléchifl'rc
la
mémoire,
l'élève doit apporter la
une troisième, etc.. l'élève se trouve
est
à la deuxièmi'
leçon,
|)i<'ino,
comme
l'ayant étudiée
doit la répéter par
il
en
fait
en état de
faire seul
trois leçons,
de
la
;
il
courtes, ou
même la
est
établi, et
dictée.
bon nécessairement de commencer par des phrases
début exiger
en déchiffre alors
roulement
le
troisième
la
sous la dictée de
|iar lui,
deuxième par cœur
la
au bout de
.\insi,
une nouvelle; à
déebiflVer
première mélodie écrite
son souvenir, et de plus, savoir déjà
Il
mélodie, accompagne au
la
cœur, toujours accompagné, d'abord en nommant puis en vocalisant; quand le professeur s'est ainsi assuré qu'elle est
il
bien gravée dans leçon,
Télève
d'une simple leçon de solfège;
s'agissait
chez
Irçon,
des fragments, des moitiés de dictées;
très
mais
il
simples, très faut
plus grande exactitude non seulement pour les notes,
dès
les
le
allé-
rations et les valeurs, mais aussi pour les silences; sans cela de très mauvaises
habitudes pourraient en résulter. Plus tard, on peut compliquer la difficulté en
changeant de dénominateur ou de
tonalité,
ainsi
que
c'est
expliqué précédem-
ment.
Telles sont
les idées
générales sur lesquelles
pour pratiquer avec fruit l'enseignement de
Tour
chaque
les (|ucstioiis
section.
de
détail,
il
me
parait
bon de s'appuyer
la Dictée Musicale.
on trouvera des indications précises en
tète
de
COURS COMPLET PRATiyUH;
KT
TllEORiyib;
4
DE
MUSICALE
DICTÉE
-«•i
PREMIERE PARTIE L\TONATIO\
SECTION PRKMIKRS
DI.NTOWTION
KXERCICKS
L'élève doit être prévtMui. afin
([iie
I
toute préoccupation lui soit évitée
du rythme, que chaque fragment se conqiose Je deux notes, une ronde
MODLLVTIONS AUX TONS VOISINS avec retour direct a» ton
GROUPE d'au
ton Majeur
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SECTION VI Récapitulation
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DUS SECTIONS PRKCEDK.NTKS
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nombre de
notes très res-
2. 3 ou 4.)
La Section VI présente
mières
Sections, une
à
sous forme
de dictées
suite
15. 6 et 7 notes!
étendus,
l'élève,
dont
les
de
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des
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fragments sont un peu plus
un accroissement de difficulté
ce qui constitue
assez considérable. Les rythmes
adoptés sont:.
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fragments de cimj notes.
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fragments de
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de léleve,
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di)i\ent
être
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portées
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étrangère à
1
comraissance intonation.
I Selon dr faire pratiipie
le
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Dès que tées
degré dliabilefé les dictées
les
l'élève
appartenant
deux
acipiiN.
le
professeur jugera
chromât i(pie-^
Section-^
et
est
comme
nécessaire cela a
été
précédentes.
aura écrit correctement, sans à
modulantes,
sil
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un groupe, d devra passer au grou/je suivant.
57
Récapitulation de la Section PRK.MIERS EXERCICES
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58
Récapitulation do
la
Section
II
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94
SECTION
II
Points et Liaisous
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POINTS
Jii>(|ira [)ivseiit
complémentuire
L'usage férente.
omplnvo
iia ô(o
Ici
Noir pages
'
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(jdi
«0. 82
est fait thuis
oii
comme
agit
il
i[ini
dune mesure,
soit d'un
con^e([Ui'nl
83
et
—
les dictées
pour compléter
c'est oo (jnbii
uutes
l;i
pi'iit
suivuutes est
nuxlifie.
(pi'il
la
eu
moitié, soit
temps, suit diuie fraction de temps, eu ne laissant plus place réduite de moitié à
(piiuie
1
autre valeur (ou à
l'ensemble
cette fraction
.
nécessaire de faire une distinction entre ces deux emplois du
est
!l
point
toute dif-
diiiie uatiu-o
des mire-, valeurs) qui doit compléter cette mesure, ce temps ou de teni|i>
qui for-
;i|)poler le
remplit déjà, à elle seule,
ipii
vaKmr
)
point d'augmentation-. c'^^i-A-iWv^
de moitié, la valeur
raiigiiieiitaiil
pni-
point
runitf de //ifsurc. soif l'unité dr temps;
.oil
iiiL'
If
même
signe.
Exemples Point c'uiiipleiucutaire
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geEf
Dans ces exemples, c'est ainsi qu'il
Puiiit
le
.
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o
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point complète soit lunité de mesure, soit luiiité de temps;
a été emplové dans les dictées précédentes.
d'aiigiiieatatiou
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«i'I^^^j Dans ceux-ci.au contraire, o!)lige a réduire '1.1'
iiii'iiK'
le
point, en
de moitié la durée de
K\i-ii][ile
la
augmentant de moitié
la
durée dune note,
note suivante.
-ans puiut d aujjiiR-utatiuu)
^^T^fTB^ 3
Dune,
la dictée
9m o
terminée, lélève devra en faire rapidement lanilYScî a ce
de vue. en de-ignaat par A
les
la lettre
C
les
points complémentaires,
-^«^
Dès que lélève aura écrit correctement, sans aide çons
par
la
lettre
points daugmentation.
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L'v.
et
point
appartenant à un
grotijie.
il
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devra passer au groupe suivant.
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Cette
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d'écrire eil défectueuse. purcequVIle
dessiue
Ou trouvera
plu, loiu
ces uièuies dictées écrites
(
pa^e -117
duue
fa(;uu
iiiul
les
teiu^is
de lu uie--ure.
iQdi4iie> par ce
sifiiie
)
plus liaisons. Cette dernière notation, quoique plus compliquée, puisqu'elle nécessite un différents, est incontestablement meilleure, ea ce quelle donne plus de
nombre de lignes il
la
division
A<'~.
temps.
// ne
» 490"'~ sous les N"^ 485'^'^ 486''- 487^'" 488'"U89'"V-i plus satisfaisante au mojeu duu mélange de points et de
faut pas lemplouer, daus des cas semblables à ceux
grand clarté
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104
SERIE
2
LIAISONS
Jusqiiici la liaison iia été 1
unité de mesure Il
dans
existe un certain
ci'ire
les
employée que dans un seul
cas, pour
compléter
voir
SS.uoto)
mesures composées à 3 temps.
(
jjjig^'
nombre de combinaisons rythmiques
qui ne peuvent sesans son emploi; par exemple, dos durées égales à cinq doubles croches,
ou cinq croches, ou neuf doubles croches, ou trois blanches, qu'il serait trop long, et d'ailleurs
inutile,
et
v^r
beaucoup d'autres,
ici.
bS
j-Jj^iiJnJJli
E\.
d'énumérer
Tr~
M^Tf
J
U
Ce sont des dispositions de ce genre, auxquelles aucun autre système de tion ne
pourrait être appliqué,
Dès que leçons
l'élevé
(jui
font
1
objet des exercices
aura écrit correctement, sans aide
appartenant k un groupe,
il
etc.
nota-
suivants.
ni hésitations,
DEUX des 5
devra passer au groupe suivant.
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3 HMPLOI hlMl'LTWK
Certaines durées,
comme
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8 E II I E
DKS POINTS ET DES
par exemple, celles d'un
LIAISONS
équivalent
son
doubles croches, à onze double croches, à treize doubles croches, à doubles croches,
et
et de la liaison, et
beaucoup d'autres, exigent il
le
à
dix
concours simultané du
-
sept
neuf point
serait impossible de les écrire différemment.
Exemple
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L
A
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Si
Wi
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-4.
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les dictées
appartenant à un groupe.
//
ni hésitations,
A
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J
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^m
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UNE des 3
devra passer au groupe suivant.
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de cette série
Des que léleve aura écrit correctement, sans aide dictées
etc
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117
GROUPE Ce groupe (jiii
n'est
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mêmes numéros dans
le
groupe G de
Les passages modifiés sont indiqués par
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6
le
signe
7
la
Section
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IIK
SECTION
III
Kmploi des silences Crlle
section contient •^iMikMiient un petit nombre dexercices. L'élève trouvera
loin,
|jla->
iD
Sectiuiin
(huis les
IV et \I, de fréquentes
occasions de se familiari-
ser avec lemploi des silences, qui ne demande, d'ailleurs, qu'un peu dattention.
L'élevé ne devra quitter un yroupe, pour passer au sui\Ant, que lorsqu'il aura
DEUX
au moins
écrit
des dictées qu'il confient.
GROUPE A
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121
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F
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"^
12-2
SECTION IV Syncopes La syncope
ot
le
Contretemps
et
contretemps, qui sont dos déplacements de
raccentiiatiou
rvtliniique, constituent une véritable difficulté de perception.
Vussi arrivera-
de cette
à la page 78,
Section, au procédé indiqué
sure à lélève !1
souvent qu'on aura lieu de recourir, pour les exercices
t-il
et de faire battre la
me-
.
ne faut pas craindre dinsister sur letude de ces difficultés spéciales, et />'-
lève ne
décru quitte r un fjruupe pour pisser au suivant, que lorsquil aura
TABLE PREFACE diverses façons de se servir de cet ouvrage
Des Enseignement individuel Enseignement collectif Enseignement mutuel
v ix
xi
-
PARTIE.
1'^-
ii
INTONATION PAGES
Section
Premiers exercices d'intonation
I.
Tableau n"
Mode majeur.
1,
— — — — —
— — — — —
2 3 4 3
G
—
descendants.
.
mineur 3 1/2
tous.
—
—
—
3
luleivalles ascendants
Intervalles ascendants.
— — —
2 1/2 tons
—
—
descendants.
ascendants. descendants.
NUMÉROS
Section 1
à
10
M
à
20
—
21 à
30
—
31 à
40
U
à
50
51 à
60
61 à
70
71 à
80
!''=
II.
—
Série.
PAGES
—
Dictées élémentaires unitoniques Groupe A mode majeur B mineur 2 1/2 tons en montant
C— D —
—
— —
E F
—
—
-
-
-
—
Section 81 à
85
Groupe
A
86 à
90
—
91 à
95
—
96 à
100
101 à
103
B C D E
106 à
110
111 à
113
— G
116 à
120
—
121 à
125
-
126 à
130
—
— — —
F
I
G—
H 12
—
—
—
H -
—
diminuée mineures
5'^
augmentée 7°"' diminuée
et 4'^
augmentée et augmentée et 4'e diminuée Mélanges d'intervalles difûciles
5"=
—
—
—
15 .
.
Mode majeur
5''"
2<'<'
14
diatoniques difficiles d'intonation.
mineures.
et
13
descendant
3 1/2 tons
et
majeures diminuée
10
3 1/2 tons
et
"""«^^
9
descendant
majeur mineur 2 1/2 tons en montant
majeures
H K
—
— —
augmentée
7'"«* 4'"=
—
—
— Intervalles
III.
8
—
— — _
2"" Série.
G
— — —
—
17
—
18
mineur
19 19
— —
21
— d'intonation. Mode majeur. — — mineur ...
—
.
.
Emploi de la 6'« majeure dans la. gamme mineure Mélanges des différentes façons de pratiquer la gamme mineure.
Section IV
—
140
Groupe
A
141 à
130
—
B
Altérations chromatiques.
1™ Série.
—
—
27
Mode majeur
—
-
-
Section V.
22 23 24 25 26
Dictées unitoniques avec l'emploi d'altérations
chromatiques 131 à
16
27 28
mineur
29
Dictées modulantes
Modi'lations
.\ix
tons voisins
avec retour direct
au ton
PRINCIPAL. 151 à
153
156 à
160
— —
161 à
163
—
Groupe
A
— —
B C
d'un ton majeur à son relatif à la dominante à la sous-dominante
— —
30 31
32
—
—
.^;i3
PAGES
NUMÉROS
166 à
170 l" Série.
171 à
173
176 à
180
181 à
183
186 à
190
191 à
193 200
196 à
2""=
201 à 211 à
—
Groupe
— — —
3""=
D
—
à la médiante
E F
-
à la sus-tonique
G
— —
—
H
—
I
—
—
K
Série.
Série.
—
—
33 34
d'un ton mineur à son relatif
—
— —
210 220
— —
— — — —
33
à la dominante à la sous-dominante
36 37
à la sus-dominante
38
à la sous-tonique
39
Modulations dans plusieurs tons voisins successifs avant le retour au ton principal. mode majeur. Groupe
A
—
B —
mineur
Modulations aux
40
42
tons éloignés avec retour direct au
ton
principal.
221 à
223
—
226 à
230
—
Groupe
4"" Série.
—
—
A
mode majeur
B
mineur
—
Modulations
successives
44 43
dans
plusieurs
tons
voisins ou
ÉLOIGNÉS.
231 à 241 à
240 230
5™
—
Groupe
A
mode majeur
—
—
B
mineur
Série.
—
—
Modulations
46 48
enharmoniques, avec
retour
direct
au
ton
principal. 251 à
256 à
233 260 6">^
—
Groupe
A
—
—
B
Série.
mode majeur
—
— Modulations
30
mineur
51
dans plusieurs tons successifs, voisins, éloignés
ou enharmoniques. 261 à
270
—
Groupe
mode majeur
52
280
—
A
291 à
—
B
mineur
34
Section VI.
—
287 à
286 298
299 à
310
311 à
340
341 à
346
347 à
376
377 à
382
—
383 à
388
389 à
394
393 à 398 à
281 à
—
Récapitulation méthodique des sections précédentes.
Récapitulation de la section
—
— — —
— — —
II
l'-^
Série
36 37
—
2'»'=
Série
60
1
62
III
IV
V
67 l'"
Série
68
—
2>°'=
Série
73
—
— —
3°«=
Série
74
—
4"''
Série
7S
397
— —
3""=
Série
76
400
—
—
O"""
Série
76
-
— -
2' Section l''^
Série.
401 à
403
406 à 411 à
416 à
410 413 420
— -
421 à
425
—
426 à
430
—
—
_ — —
PARTIE.
I.
—
— RYTHME
1"^ Exercices
Dictées élémentaires
rythmiques
77
78
2/4
79
—
A B
3/4
80
-
C
D
4/4 C/8
82
E
9/8
83
F12/8
84
Groupe
81
—
514
—
NUMÉROS 431 à à
433 440
441 à
44S
446 à
4S0
451 à
455 460
-43C
456 à
•
p^egg
—
2« SÉniE.
Dictées très faciles.
—
Groupe
A
— — —
— -
B G
— -
D
4/4 6/8
E
9/8
— -
—
Série.
86 87 '
.
.
88 gg 91
=
F12/8
Section !''=
2/4 3/4
92
—
II.
Points et Liaisons
94
Points.
401 à
46-i
465 à
468
— —
469 à 473 à
472 476
477 à
480
481 à 485 à
490
491 à
495
-
Groupe
A
2/4
104
490 à
500 505 510 515
— —
— —
B
3/4
lOo
G
-
D
4/4 6/8
106
-
-
—
E 9/8. F 12/8
484
B
2/4 3/4
95
—
—
-
G
4/4
97
— — —
—
D
6/8
98
E
9/8
99
506 à 5U à 516 à
3™
-
Série.
—
526
527 à
529
530 à 533 à 536 à 483 bis
532 533 538 h i90
539 à
541
542 à
514
-
543 à
347
548 à
530
531 à
554 à
bis
100 102
et triples
108
109 110
Emploi si.multané de points et liaisons. Groupe 2/4 B 4/4 G 3/4
— — -
523
521 à 524 à
doubles
Liaisons.
-
520
96
— F12/8 — G Points
—
2« Série.
501 à
A
Groupe
A
112
-
D
6/8
113 114
—
E 9/8 F 12/8
115 116
—
G
117
— —
—
— —
Section
113
bis
—
III.
Silences.
A
2/i
118
B
3/4
118
-
G
4/4
119
-
D
533
-
E
120 120
556
—
6/8 9/8
Groupe
F12/8
121
—
Section IV. l"''^
Série.
—
Syncopes égales.
537 à
362
—
Groupe
A
563 à
568
—
_
B
2"'«
Série.
— —
569 à 575 à
574
581 à
386
—
587 à
392
—
393 à 599 à
398
—
604
—
380 3""^
Série.
—
—
4™
Série.
—
A B
Mesures simples composées
—
Contretemps égaux Groupe Mesures simples
— —
Mesures simples — composées
122 123
•
Syncopes inégales.
Groupe
•
Syncopes et Gontretemps.
A B
—
composées
Contretemps inégaux. Groupe Mesures simples
A
—
B
—
composées
.
12S 127 129 1.30
131
133 135
—
515
—
numéros.
pages.
5™= Série.
605 à 609 à G13 à
608
617 à 621 à
620 624
625 à
628
—
— — —
612 6!6
Mélanges de syncopes et de contretemps. Groupe 2/4
A
—
-
B C
—
D
-
E F 12/8
—
— Section V.
137
3/4
138
4/4 6/8 9/8
139 140 141
142
Triolets, Duolets, Sextolets, Quartolets
Valeurs irrégulières l''^
629 à
633
634 à 639 à
Série.
—
Triolets dans les mesures simples et duolets dans les mesures composées
-
— —
A
2/4
B
3/4
C
4/4
-
D
6/8
E F
9/8
Groupe
à
638 643 648
649 à
653
-
—
654 à
658
-
-
6U
2=
659 à
663
664 à 669 à
668
680 683 686 689
682
685
à
688
à
691
Triolets I
Duolets
12/8
—
A
.
.
.
144
)
145
(
146
i.
148 149
}
(
150
.
6/8 9/8
152
C12/8
156
B
-
154
Sextolets dans les mesures simples et quartolets DANS LES mesures COMPOSÉES.
—
676
Groupe
—
679
à
Groupe
Série.
•
l
1
Triolets dans les mesures composées.
—
673
à
—
3^
674 à 677 à
Série.
143
—
— -
A B C
— -
D
—
2/4
4/4 G/8 9/8
E F 12/8
-
158
(
Sextolets
3/4
Quartolets
159
] (
160
l
161
|
-
.
.
(
.
.
162
163
4"« Série. Valeurs irrégulières.
692 à
697
698
703
cà
— —
Section VI. 704 709 714 719 724 729
à
708
à
713
à à
718 723
à
728
— —
à
733
—
l"^-^
Série.
2« Série.
—
—
Groupe
A
—
B
Résumé des
Groupe
A
—
B C
— —
D
—
—
E F
Mesures simples — composées
164
166
principales difficultés rythmiques.
2 4
168
3/4
169
4/4 6/8
171
172
9/8
174
12/8
175
Mesures dites inusitées.
734 à 736 à 738 à
735
—
Groupe
A
5/4
177
737
—
B
7/4
178
739
—
— —
C
9/4
179
740 à 742 à
741
-
—
15/8
180
743
-
—
D
18!
745
-
—
E F
21/8
74i à
27/8
182
— 3'
M6
—
PARTIE. -DICTÉES MÉLODIQUES FACILES ET DE
MOYENNE FORCE
NUMEROS
PAGES
Section 1''^
—
I.
Série.
Dictées mélodiques faciles Mode Majeur.
—
7-46 à
751
—
Groupe
A
732 à
757
—
-
7S8 à
763
-
764 à
76!»
— —
B C
-
770 à
77.5
~
E
-
—
^^ Série.
183
Ut majeur
187
Sol
—
Fa
—
189
T» Ré
-
190
—
191
S/ 6
188
Mode Mineur.
—
F
La mineur
—
G
Mi
—
H
Ré
-^
194
799
— — — —
—
I
Si
-
805
—
—
195
KSol
—
196
776 à
781
782 à 788 à
787
794 à 800 à
793
Section If^
Série.
—
II.
—
—
Dictées mélodiques de
Mode Majeur.
—
192
193
moyenne
force
197
Tonalités diésées.
806 à 814 à
813
—
Groupe
A
821
-
B
822 à 830 à
8?9
—
— —
G
3/4 4/4
837
-
-
D
6/8
200 202 203 208
838 à 846 à
843
-
—
E P
9/8
211
12/8
214
834 à
861
862 à
869
870 à 878 à 886 à
833
2« Série.
-
—
—
2/4
Mode Majeur. Groupe
A
•
—
Tonalités bémolisées.
2/4 3/4
218
-
877 885 893
—
—
894 à
901
^
902 à
909
—
Groupe
A
2/4
2.37
910 à
917
-
B
3/4
918 à 926 à
923
-
-
C
4/4
933 941
-
D
934 à
-
942 à
949
-
-
240 243 246 249 233
930 à
937
à
965 973
-
981
—
-
3= Série.
i^ Série,
9,58
966 à 974 à 982 à 990 à
989 997
—
—
—
C
—
D
—
E P
-
—
—
B
4/4 6/8 9/8 12/8
Mode Mixeur.
E F
221
224 227
230 233
.
—
Tonalités diésées.
6/8
9/8 12/8
Mode Mineur.
—
Tonalités bémolisées.
A
2/4
237
B
.3/4
-
C
4/4
-
D
6/8
E F
12/8
260 263 266 269 272
Groupe
_
-
9/8
4^
PARTIE.
-
DICTEES SPÉCIALES
NUMÉROS
PAGBS
Section 998 à 1010
I.
—
Série.
—
2" Série.
—
1'^
1020 à 1028 3"=
— —
Groupe
—
i" Série.
—
— —
à 1064 5<^
1065 à 1072
—
1073 à 1080
— 6"=
—
1090 à 1098
—
Section l"
— —
— —
—
Série.
—
—
A
mode majeur
B mode
288
mineur
290
A
mode majeur
B mode
292 294
miueur
A
mode majeur
B mode
296
mineur
298
Dictées spéciales pour l'emploi fréquent d'intervalles composés.
Groupe
II.
28i 286
miueur
Dictées spéciales pour les modulations enharmoniques.
Groupe
Série.
1081 à 1089
mode majeur
B mode
Dictées spéciales pour les modulations aux tons éloignés.
Groupe
Série.
A
Dictées spéciales avec prédominance du genre chromatique.
— —
10i7 à 1033
A mode majeur
300
B mode
302
mineur
Dictées spéciales pour les difficultés rythmiques. Dictées spéciales
pour
la distinction
entre les mesures
simples et composées 2'^
1111 à 1116
1117 à 1122
Série.
1129 à 1134 113.">
à 1146
—
—
—
— — 4" Série.
304
Dictées spéciales pour l'étude des syncopes.
Groupe A. Syncopes égales — B. — inégales
—
3" Série.
1123 à 1128
312
314
Dictées spéciales pour l'étude des contretemps.
Groupe A. Contretemps égaux inégaux B.
—
—
316
—
Dictées spéciales pour
le mélange
318 des
diverses espèces de
syncopes et contretemps 5« Série.
— —
1165 à 1170 1171 à 1176
— — —
1177 à 1182
6° Série.
1183 à 1188 1189 à 1194 1193 à 1200
—
—
1147 à 1132 1153 à 1158 1159 à 1164
— — —
320
Dictées spéciales pour l'emploi des Triolets, Duolets, SexTOLETS, QuARTOLETS, ET DES VALEURS IRRÉGULIÈRES.
Groupe A. Triolets dans les mesures simples — B. Duolets dans les mesures composées C. Triolets dans les mesures composées D. Sextolets dans les mesures simples — E. Ouartolets dans les mesures composées
—
—
—
—
276
Dictées spéciales pour l'étude des intervalles difficiles.
Groupe
Série
1029 à 1037 1038 à 1046
1090 à 1110
Dictées spéciales pour la distinction entre les deix modes..
— —
1011 à 1019
lOofi
Dictées spéciales pour les difficultés d'intonation.
F. Valeurs irrégulières,
326 329 332 336 339 342
Dictées spéciales pour l'emploi fréquent des silences.
Groupe A. Mesures simples — B. composées — peu usitées C.
— —
344 346 318
— 5°
—
PARTIE.
:m
—
DICTÉES ASSEZ DIFFICILES ET DIFFICILES
NUMEROS
PAGES
Section
—
1201 à 1200
1207 à 1212
1237 à 1212 1243 à 1248 12i9 à 12o4 12oo à 1260 1261 à 1266
