Bedini SG Le Guide complet avancé Optimisation de la recuperation mécanique avec un Générateur à “faible résistance”
Written by Peter Lindemann, D.Sc.
1
www.bedinisg.com
Bedini SG The Complete Advanced Handbook
Written by Peter Lindemann, D.Sc.
Published by A&P Electronic Media Liberty Lake, Washington
2
Cover Layout:
Peter Lindemann A&P Electronic Media Liberty Lake, Washington
Front Cover Image: Peter Lindemann Interior Images by: John Bedini, Peter Lindemann, Jeane Manning Various Internet sources
Version 1.0
Released November 2, 2014
Copyright © 2014 Peter Lindemann All Rights Reserved, Worldwide. No part of this publication may be translated into a foreign language or reproduced, stored in an electronic retrieval system, or transmitted in any form, or by any means, without the prior, written permission of the copyright holders or the publisher. Unauthorized copying or translating of this digital file is prohibited by International Law. Digital Edition Published by: A&P Electronic Media PO Box 713 Liberty Lake, WA 99019 http://www.emediapress.com/
First Edition: First Printing: November 2014 Digital Format: PDF File 50,000 authorized Downloads
3
Newsletter
Avant toute chose, assurez-vous de vous inscrire à la newsletter gratuite Energy Times sur: http://www.emediapress.com/energytimes.php. Vous aurez également des offres gratuites comme celle-ci!
4
. page 6 . page 7 . page 9
Table des matières
. page 24 . page 34
Avant-propos Introduction
. page 39
Chapter Un Retour sur la démo du SG Energizer intermédiaire
. page 42
Chapter Deux Bénéfices de fonctionner en "Mode Génerateur"
. page 49
Chapter Trois Fonction "Auto-Rotation" du SG Energizer
. page 57
Chapter Quatre Bobine Génératrice supplémentaire du SG Energizer Chapter Cinq Comprendre la loi de Lenz Chapter Six Le générateur simple à "faible-résistance" Chapter Sept
. page 67 . page 76 . page 96 . page 99
5
Analyse détaillée de la " Machine de Watson " Chapter Huit Analyse détaillée du "G-field Generator" Chapter Neuf Autres Avantages, anciens et nouveaux Chapter Dix Récapitulatif et Conclusion Annexes
6
Avant-propos
Ce livre est le troisième et dernier livre de la série des manuels Bedini SG. Les instructions complètes sur la façon de construire le Bedini SG Energizer sont dans le premier livre intitulé Bedini SG, le Manuel du débutant. Les instructions complètes sur les méthodes de réglage fin et de gain d'énergie sont dans le deuxième livre intitulé Bedini SG, Manuel intermédiaire. Si vous n'êtes pas familier avec ces deux précédents livres, alors assurez-vous de le faire afin que vous puissiez commencer par le début: http://bedinisg.com Ce livre passe en revue les méthodes de réglage fin abordés dans le Manuel intermédiaire, et indique les opérations d'un modèle de travail où toutes ces fonctionnalités sont optimisées. Il examine par la suite en détail les meilleures façons d'exploiter l'énergie mécanique disponible sur la roue, en utilisant des méthodes de générateur à " faible traînée ". Il comprend également une analyse complète de la machine de "Jim Watson", mettant la conception, schémats, et les détails opérationnels complets imprimé disponible pour la première fois. Ce livre reprend là où le Manuel intermédiaire c’était arrété, et couvre tous les principaux détails et des retombées de la vie de John Bedini, en temps que chercheur de la meilleure conception d'une machine électro-mécanique en auto-fonctionnement. Après avoir appris cela, vous devriez comprendre assez de la science et de la méthode que John a montrée de commencer et à expérimenter avec des modèles de plus grande taille qui devraient conduire à la fois au comportement auto-exécutable et la production de suffisamment d'énergie supplémentaire pour faire fonctionner des charges externes. L’avenir est à vous!
Peter Lindemann (Aout 2014)
Introduction Le but de ce livre est de montrer comment l'énergie mécanique produite par un Bedini SG Energizer peut être maximisée, et comment cette énergie mécanique peut être reconverti dans la quantité maximale d'énergie électrique, de sorte qu'un «gain d'énergie" claire et sans ambiguïté peut être réalisé. Ce processus implique: 1. en utilisant la méthode de " réglage fin" présenté dans le Manuel intermédiaire, afin de produire la rotation la plus élevée de la vitesse du rotor, tout en consommant le plus faible courant électrique provenant de la batterie d’entrée. 2. ainsi que l'introduction d'un système de générateur "faible traînée" à la roue, afin de récupérer l'avantage le plus élevé que possible de cette énergie mécanique pour la production d'une nouvelle électricité qui ne vient pas, en premier lieu, de la batterie d’entrée. Alors que John Bedini a démontré à plusieurs reprises ces méthodes, et publié tous les schémas de base sur la façon d'accomplir cela sur son site Web depuis 1996, les gens semblent encore confus par ce processus. Il pensait que les gens avaient besoin d'apprendre le processus en construisant eux-même la machine et donc n'a jamais ressenti le besoin d'expliquer pleinement le fond, par des mots.
Depuis la démonstration de la machine "Ferris Wheel" en 2010, et des deux précédents Bedini SG Manuels en 2012 et 2013, il semble possible que la divulgation de cette information sera tolérée par les forces de l'économie qui ont résisté à ces choses dans le passé. Par conséquent, tout va être expliqué clairement afin que les chercheurs sérieux puissent mettre en avant et transférer leurs expérimentations.
Une machine a été montrée lors de la Conférence des sciences et de la technologie de l'énergie 2014 qui a toutes les fonctionnalités dont vous avez besoin pour comprendre et construire une usine d'alimentation supplémentaire pour votre maison hors du réseau électrique. Cela comprend un générateur « faible traînée » dont les caractéristiques seront entièrement divulguées dans le chapitre 6. Ce dernier épisode de la série Bedini SG Manuel est le dénouement final des mystères des machines en auto-fonctionnement de John, qui ont été "cachés" depuis plus de 30 ans.
Peter Lindemann, D.Sc.
Chapter One
Retour sur la démo du SG Energizer intermédiaire Le Bedini SG, The Complete Guide intermédiaire à présenté et expliqué les avantages d'un grand nombre des "trucs" de John. Ces astuces sont vraiment une série de procédures d'ingénierie très intelligentes qui permettent à une " personne du métier" d'optimiser les fonctionnalitées du circuit de sorte que la machine pourra profiter d'un certain nombre de "fenêtres d'opportunité" pour minimiser les pertes d'énergie et présenter des gains d'énergie compensatoires. Le résultat net de ces raffinements augmente l'efficacité de la machine et présente au lecteur les conditions nécessaires à l'exploitation "de self-running" sans ambiguïté. Ces améliorations comprennent les diverses méthodes de "Réglage fin" du fonctionnement de l'Energizer, un examen historique complet de toutes les méthodes pour fournir une fonction de charge et décharge du condensateur, et la théorie avancée pour expliquer pourquoi ce produit à un avantage basé sur la découverte de Nikola Tesla de sa «méthode de conversion ». Comme ce livre à été présenté au printemps de 2014, il est devenu nécessaire de construire un modèle de travail de l'Energizer «Intermédiaire» optimisé, de sorte que les méthodes de générateur supplémentaires à « faible traînée» pourraient être construites et testés. Cela a également permis de mettre en évidence ce modèle de travail à la Conférence des sciences et de la technologie de l'énergie de 2014, à la fin Juin.
Ici une photo de la machine.
Le model de démonstration de la conférence Cette machine avait un certain nombre de fonctionnalités que vous ne voudrez peutêtre pas inclure dans votre réplication. Elle comprent: 1. un cadre fait en acrylic transparent 2. un cablage suspendu dans les airs 3. Multimètres adaptés 4. Une instrumentation étiquetée Le cadre en acrylique transparent a été laissé sur les modèles originaux, Kit SG que nous avons vendus pendant une courte période en 2012. Pour une démonstration, cela affiche un certain professionnalisme et cela élimine les doutes quant à savoir si quelque chose était «caché».
Le câblage en suspension dans l'air évite les doutes sur des soit disantes «connexions secrètes » de soit disant circuits invisibles.
Les multimètres utilisés ont été montés sur des morceaux en acrylique clair, encore une fois afin de réduire le sceptisisme à "expliquer" les résultats des valeurs. En outre, les étiquettes, les commutateurs et les connexions ont été faites pour facilité la démonstration pour les participants de la conférence afin de comprendre ce qu'ils voyaient.
Toutes ces caractéristiques, réalisées et effectué à temps, a créé l'effet escompté. Personne n’a remit en question les explications et le fonctionnement de la machine lors de la Conférence. D'importantes améliorations mécaniques Les kits SG utilisant une roue de bicyclette et axe qui, lorsque combiné, ne furent jamais en mesure de produire une roue tournait parfaitement librement. Cela a nécessité une modification majeure. Les paliers du châssis et roulements de roue interne et l'arbre ont tous été abandonnés et remplacés par un nouvel arbre, de plus grand diamètre, et de nouveaux roulements et guides pour tenir le tout en place. Avec ces matériaux installés, le moyeu de la roue tournait parfaitement.
Le problème suivant était la jante. Avec le moyeu tournant parfaitement bien, il était évident de controler "le tour" de la jante. Cela a nécessité un processus laborieux de desserrer et resserrer les rayons de la roue jusqu'à ce qu’elle ne soit plus du tout voilée. Cela a pris plus d'une heure, mais était absolument nécessaire.
De toute évidence, cette étape n’aurait pas été nécessaire si des roues en plastique moulés avaient été utilisées. D’autres personnes ont utilisés des roues en plastique moulé de cette taille, de fauteuils roulants ou des vélos plus modernes. Une fois le moyeu et la jante parfaitement réalisés, la roue était équilibré et capable de tourner à grande vitesse sans vibration. Elle pouvait ainsi fonctionner dans un espacement étroit, entre les pièces du chassis maintenant en place la bobine du générateur. L'image ci-dessus montre également l'espacement choisi entre chaque aimant pour ce modèle. La roue a 36 rayons, il à été donc choisit de plaçer un aimant tous les deux rayons, le nombre d'aimants s’élèvé donc à 18.
De ce fait, le placement des aimants est relativement facile, et cela produit une vitesse de rotation légèrement plus élevé que la disposition à 21 aimants, utilisés dans le Manuel SG du débutant. Une fois que les aimants ont été positionnés sur le rebord de la jante et collés à l'aide d'une "super-glue" colle cyanoacrylate, il était temps de sécuriser la roue pour un fonctionnement à haute vitesse. Pour cela, deux couches d'un ruban d'emballage renforcé ont été utilisées, enveloppant fermement tour de la roue. Ce type de bande est parfois appelée «bande de cerclage » en raison de sa compensation en fibre de verre incrustée. Cette caractéristique rend la bande très résistant à l'étirement et au déchirement en situation de forte contraites.
le
le
La colle cyanoacrylate est très fragile après séchage, et comme ce moteur fonctionne sur un mode "d’attraction", le champ magnétique de la bobine tend à essayer de décoler les aimants hors de la roue lors de son approche. Avec la bande renforcée en place, si la colle cède, un aimant ne volera PAS à travers la pièce à 12 mètre par seconde! Au lieu de cela, vous entendrez juste un "clic" sonore sur le volant, cela signifira que l'aimant est légèrement décolé de la jante lorsqu'il passe devant la bobine. Caractéristiques du circuit électrique Lorsque ce modèle allait sortir, un certain nombre de personnes très généreusement fît don de pièces. John Bedini à fourni le cadre en plastique, roue, aimants, et un prototype d’une carte de circuit imprimé construit par Tom Childs de Teslagenx. Tom a fait don d'une de leurs bobines completement enroulé de sept fils de puissance de calibre 20 gauge et un fil déclencheur de calibre 23 gauge. Enfin, Aaron Murakami à fait don du circuit de décharge du condensateur, qu’il avait acheté plus tôt. Peter Lindemann a pris toutes ces composants, et les monta et régla afin de réaliser la démonstration.
Pour le circuit électronique, toutes les méthodes "de réglage fin" ont été employés. Cela comprend l’appairage de tous les transistors et résistances, ainsi que la mise en place des composants sur une carte de circuit propre. Tout le monde peut construire un circuit comme celui-ci en utilisant les spécifications du Manuel intermédiaire Bedini SG, ou tout simplement en achetant un circuit comme celui de Teslagenx.
Il y a seulement deux modifications apportées à cette carte de circuit imprimé pour ce modèle. La première est que la seule grande résistance de12 Ohm (Yageo) au haut et au centre de la photo est rejointe par deux autres résistances de 12 ohms (Xicon) dans le cadre du "réglage fin" du déclenchement. Cette modification sera discutée plus en détail prochainement. La deuxième modification est la grande diode au centre et en bas de la photo qui fait partie du circuit « mode générateur» qui sera discuté plus tard. Sinon, cette carte de circuit est exactement comme celle que vous obtiendriez de Teslagenx.
Les spécifications pour enrouler votre propre bobine, sont dans le Guide du Débutant SG, mais faire la bobine reste la tâche la plus difficile pour construire votre propre réplication du SG.
Donc, ne vous sentez pas mal si vous voulez acheter uniquement ce composant. Voici une photo de la bobine donné à ce projet, elle représente la preuve qu’elle fonctionne parfaitement bien lorsqu'elle est incorporé dans modèle parfaitement "accordé" (réglage fin).
Après la bobine et le circuit mise en place, tout le câblage temporaire a été retiré et remplacé par du fil de calibre 12 gauge, comme montré ici.
Ce sont sont tous les fils rouge et noir qui relient les batteries, compteurs, terminaux, et autres sections du circuit.
un
Lorsque cette opération a été terminée, le comportement de la machine a radicalement changé! En bref, elle a commencé à fonctionner beaucoup mieux.
Pour mieux comprendre pourquoi cela est arrivé, vous devez vous rappeler que le Bedini SG est une machine à "haute fréquence". Les transistors sont calibrés à 16 Mhz et peuvent facilement ce désactiver en quelques microsecondes. Avec ce genre de vitesses de commutation, cela signifie que «chaque longueur de câble est un inducteur » et que tout ce que vous pouvez faire pour "réduire l'impédance du circuit" permettra d'améliorer ses performances. Beaucoup de constructeurs de modèles négligent cette étape, mais les avantages sont importants et cela vaut bien la peine de s’y attarder. Réglage du circuit de déclenchement L'étape suivante était le «réglage fin» de la fonction de déclenchement du circuit. Comme vous vous souvenez probablement dans le Manuel du SG Débutant, le courant circulant dans le circuit de déclenchement est généré dans l’enroulement de déclenchement par les aimants permanents qui ce déplacement devant la bobine. Cela signifie que la distance entre la bobine et la roue est une des variables qui contribue à la résistance de ce courant. Donc la première chose à faire est de déplacer la bobine de haut en bas de sa position d'origine jusqu'à ce que vous trouviez une hauteur qui produit la vitesse la plus élevée. Dans le cas de ce modèle de démonstration, cette distance a fini par être 0.375" ou 9,52 mm. [Le Guide du Débutant SG spécifié 0,125" ou 3.1mm, à la page 56.]
Avec la bobine placée plus haute, la résistance de 12 Ohm a été déconnectée de la la carte du circuit et remplacé temporairement par une résistance variable de 25 watts. La machine a ensuite été portée à pleine vitesse et la résistance variable a été réglée de haut en bas jusqu'à ce que la vitesse maximale puisse être maintenue, avec la plus faible consommation de courant de la batterie d’alimentation, comme indiqué sur l'entrée ampèremètre.
Il s’est avéré que la valeur de la résistance nécessaire pour cette condition dans ce modèle était de 36 Ohms. Donc, quand la résistance variable a été retirée, elle a été remplacée par trois résistances de 12 ohms câblés en série, comme indiqué à la page 15.
Après que les trois résistances de 12 ohms ont été soudées sur la carte du circuit, une chose étrange se produisit. La fois suivante où le modèle a été mis en marche, il n’était PLUS capable d’atteindre sa vitesse maximale seul! La résistance qui été ajouté à limiter le courant de déclenchement de sorte que la roue n'a pas assez d'énergie mécanique pour passer le «double déclenchement » vers le mode "simple déclenchement (un seul spik)"[atteindre sa pleine vitesse seule]. Pour compenser cela, un commutateur de contact temporaire a été installé afin de "court-circuiter" temporairement la résistance de 36 Ohm qui à été mise en place. Cela a donné la puissance de déclanchement nécessaire pour faire la transition, et la "vitesse de pointe" fût atteinte normalement, par rapport au mode double déclenchement. Une fois la Gâchette Trigger Shift installé, toutes les modifications électriques et mécaniques ont été achevées.
Les résultats de ces modifications: • La roue tourne parfaitement, la rotation ne comprend aucunes oscillations.
a
• La roue atteint une vitesse de 365 RPM, qui est de 80 RPM supérieure à la vitesse avant que les gros fils et amélioration du déclenchement soint installées. • La consommation de courant a chuté de 1,8 ampère à 1,4 ampère à grande vitesse
• Atteint le bon fonctionnement à plus haute vitesse avec un courant d'entrée bas! Adjonction au cadre L'opération suivante consiste à étendre le châssis pour recevoir le montage du circuit de décharge du condensateur et de la bobine supplémentaire qui deviendra le générateur à "faible traînée". Comme cet appareil a été préparé pour une manifestation publique, ces deux fonctions ont été incorporées comme une extension au cadre, sur le côté arrière de la machine, utilisant de l'acrylique transparent.
Les rallonges de châssis boulonnés aux supports verticaux du cadre du SG d'origine en utilisant un gros écrou en nylon noir et un boulon qui est également renforcée par l'ajout de deux boulons en laiton et écrou papillon. La forme des rallonges acryliques transparentes est montrée ici, décrit par la ligne verte. Montage du module condensateur La plate-forme inférieure a été conçue spécifiquement pour recevoir le montage du module Comparateur Circuit que la société de John vend. Le module comporte quatre petites visses sortant du fond. Quatre trous ont été forés dans la plaque en acrylique et le système de condensateur à été boulonné.
Deux terminaux ont été montés, de chaque côté du module du condensateur, pour permettre un câblage externe au système.
Voici une photo au-dessus du module du condensateur câblé et en place. Les fils venant de la gauche proviennent des décharges de la bobine de la machine du SG, afin de charger les condensateurs.
Les fils de droites conduits les décharges des condensateurs vers la batterie secondaire (B2). Le module détecte la tension dans les condensateurs, les déchargeant lorsque cette tension monte à environ 24 volts et ensuite arrête la décharge lorsque la tension descend à 18 volts. Montage de la bobine aditionelle génératrice La bobine supplémentaire utilisée comme générateur à besoin d'être réglable, de sorte que la bobine puisse être déplacée plus ou moins proche de la roue. La plate-forme présentée ici tiendra la bobine génératrice et lui permettra d'être réglé à la fois en hauteur et en angle d'approche de la roue (inclinaison, rotation). Au dessus de cette plate-forme de base, un système de cadre de maintien complexe a été créé. Etant donné que les aimants de la roue allaient faire subir une forte force d'attraction vers le noyau de la bobine génératrice, la bobine devait être absolument maintenue fermemant, pour éviter les vibrations dans la structure et la possibilité d'un accident si la bobine aurait la possibilité d’un déplacement incontrôlable vers la roue en rotation.
Un cadre a été construit autour de la bobine pour la maintenir en place, l’a tenant par le haut. Ces pièces en acryliques sont boulonnés à la plate-forme au moyen de deux boulons en laiton et des écrous de chaque côté du cadre. Le laiton a été utilisé afin que la structure complète reste non-magnétique. La conception du générateur complet sera présentée dans le chapitre 4. Ajout du Circuit du "Mode générateur" A la Conférance des Sciences et de la technologie Bedini - Lindemann 2013, John a présenté aux participants un nouveau "mode générateur" fonctionnant avec la machine SG. La méthode semble tirer un peu plus d'énergie sur la batterie d’alimentation, mais cré une recharge beaucoup plus rapide de la deuxième batterie. Un certain nombre de démonstration avait été vu de ce processus, mais aucun d'entre eux ont subit un «test pleinement mesurée» qui quantifiait le niveau des prestations. Ainsi, le Bedini SG: Le Guide Complet avancée ne serait pas complèt si cette innovation récente n’avait pas été exploré à fond et rapporté. Le circuit classique du SG, dirige les décharges de la bobine principale directement à la sortie du circuit, chargent soit le condensateur ou la batterie secondaire. Le soidisant Circuit du mode Générateur, redirige par alternance les décharges de la bobine principale vers la batterie d’alimentation et ensuite a la sortie du circuit. Les avantages seront discutés dans le prochain chapitre de ce livre. Ce nouveau circuit incorpore entre la batterie d’alimentation et la batterie secondaire une connexion "masse commune", où avant elles étaient dans un "montage en série". Afin d'isoler et d'équilibrer le nouvel arrangement, John a introduit une nouvelle diode dans le circuit comme une extension de la ligne de terre, menant au circuit de sortie, ici, dans le cercle VERT.
Etant donné que ce fut un mode de visualisation conçu pour des manifestations publiques, les connexions du mode SG classique, ainsi que les connexions du mode générateur, ont été construits dans la machine.
Un commutateur a été ajouté à l'ensemble du circuit, de sorte que la machine puisse fonctionner dans les deux modes, simplement en actionnant l'interrupteur. John a toujours mentionné ce circuit comme le fonctionnement en "Mode générateur". Etant donné que c’est un Modèle de démonstration, et parce qu'il y avait une réelle "Bobine Génératrice" sur la machine, il a été décidé de faire référance au circuit Mode Générateur par le mode de "Masse Communes", comme on peut le voir sur l'étiquette dans la photo à droite. Le fil NOIR du centre de l'interrupteur qui part vers la droite, est connecté au fil ROUGE qui charge les condensateurs. Les deux autres fils noirs externes provenant de la gauche de l'interrupteur, sont connectés à l'un et l'autre de la borne positive de la batterie d’alimentation (+) pour que le circuit fonctionne en mode Classique SG, ou bien à la borne (-) négative de la batterie d’alimentation par l’intermédiaire de la nouvelle diode, afin que le circuit fonctionne en « Masse commune » ou en mode générateur. Ainsi, la modification du circuit en mode Generator est très simple, il est seulement constitué d'un nouveau fil et d’une nouvelle diode. Le sélecteur de mode est un moyen simple d’exécuter par alternerance les connexions, à des fins de démonstration. Schéma complet de la machine SG avancée
Cela termine la présentation des caractéristiques de l'appareil de démonstration de la conférence.
Donc, voici le schéma complet du circuit de cette machine entièrement "réglé finement" avec toutes les modifications intermédiaires et avancés inclus.
Designations des pièces: • • • • • • • • • • • • •
T = Ensemble appiaré de sept Transistors MJL21194-G NPN D = Toutes les diodes repérées D1 ou D2 sont des 1N4007 R = Ensemble appiaré de sept 470 Ohm, 1 Watt Résistances au Carbon N = Sept témoins lumineux au Neon, 606C2A C = Condensateur de flash photo 60,000uf @ 80 VDC TAR = Résistance de réglage du timing (Model de démo, 36 Ohm, 10 Watt) TS = Commutateur de décalage du timing (Type de contact momentané) DG = Diode pour le Circuit en Mode Generator, 6A100 (6amp, 1000volt) S = Interrupteur de Décharge du Condensateur (Circuit Comparateur ou equivalent) RMS = Interrupteur de mode, (Single Throw, Double Pole type) MC = Bobine principale, composé de Sept fils de #20 Gauge, 40m de long TC = Bobine de timing, Un fils de #23 Gauge, de 40m de long B1 (Batterie d’alimentation) = 12v @ 35ah, cellules submergé, Lead Acid Battery
• B2 (Batterie en charge) = 12v @ 35ah, cellules submergé, Lead Acid Battery Chapter Deux
Bénéfices de foctionner en "Mode Génerateur" Cela fait environ un an et demi que John a commencé à démontrer ce qui est devenu connu sous le nom "Mode générateur" à son magasin. Il disait que ce serait consomer un peu plus de puissance de la batterie d’alimentation, mais augmentrait significativement la charge de la batterie. Il a toujours dit que le "compromis" en valait la peine, mais à l'époque, il n’y avait pas eu de tests pleinement mesurées qui avaient été fait comme preuve à l'appui. Ainsi, l'un des principaux objectifs de la machine de démonstration de la Conférence, après avoir été pleinement "réglé finement", était de quantifier ce que le mode Generateur était capable d’apporter, et pourquoi. La première chose à comprendre est la différence entre le circuit classique SG et le circuit en mode générateur. L'image est une coupure du côté droit du schéma du circuit complet sur page précédente. Il montre un seul enroulement de la bobine principal, la section de transistor associé et en même temps que le reste du circuit.
ici la
Le mode générateur modifie la voie de la décharge de la bobine principale après que le transistor s’éteingne, et l’acheminenement à travers B1 (la batterie d’alimentation) sur la façon d'être collecté dans le condensateur. On peut voir que la partie supérieure du MC est reliée à la borne positive de B1 et termine le trajet de décharge à la borne négative du condensateur C à travers RMS. Lorsque RMS est en position haute, (mode de SG Classic) le chemin de décharge passe par B1 et va directement à la borne négative de C.
Lorsque RMS est en position basse (bleu), (mode générateur), le trajet de décharge remonte à travers B1 et à travers la diode DG sur le chemin vers la borne négative de C. Dans les deux cas, le chemin de la borne positive de C est acheminé à travers la diode D2.
Voici de façon simplifiée, une comparaison des deux circuits. Pour plus de clarté, les mêmes composants et désignations des pièces sont de nouveau utilisées que dans les deux dessins précédents. Dans le Circuit SG classique, l'énergie se déplace à travers le système en 3 étapes distinctes. 1ère étape: L’énergie provenant de B1 est transfèré à MC lorsque le commutateur T est passant. 2ème étape: Lorsque le commutateur T ouvre le circuit, l’énergie stocké dans MC est déchargée par D2 et est collécté par le condensateur C. 3ème étape: Lorsque l'énergie collectée dans le condensateur C est suffisante, l'interrupteur S est temporairement passant, et évacue l'énergie dans la batterie B2. Dans le Circuit Mode Générateur, l'énergie se déplace à travers le système de manière similaire, sauf dans la deuxième étape. 1ère étape: L’énergie provenant de B1 est transfèré à MC lorsque le commutateur T est passant. 2ème étape: Lorsque le commutateur T ouvre le circuit, l'énergie stockée dans MC se décharge à travers la batterie B1 ainsi que par les diodes D2 et DG, et pour finir est recueilli dans le condensateur C.
3ème étape: Lorsque l'énergie collectée dans le condensateur C est suffisante, l'interrupteur S est temporairement passant, et évacue l'énergie dans la batterie B2.
Heureusement, il est maintenant clair que la différence entre les deux circuits est que le circuit en Mode générateur, prend l'énergie de la batterie B1 DEUX FOIS par cycle, alors que le circuit classique SG, ne saisit l’énergie de la batterie B1 qu’UNE FOIS par cycle. Cela modifie fondamentalement le fonctionnement du circuit, et modifier à la fois la position de la bobine principal MC, et du transistor T en relation avec le reste des composants principaux. Il existe plusieurs façons de caractériser cela, mais cela est une simple analogie. Le circuit classique SG agit comme un simple convertisseur DC-DC abaisseur, alors que le circuit Mode générateur agit plus comme un convertisseur DC-DC élévateur. Donc, à ce stade du circuit cela suffit pour la théorie. Maintenant, à quoi ce modèle de travail ressemble sur un banc? Mesures simple de l’entrée du SG Classic SG Afin de comprendre les avantages de l'exécution en mode générateur, nous devons comprendre ce que nous comparons. Comme expliqué dans le chapitre précédent, l’unité utilisée à la démonstration de la conférence est une machine autonome. Sa vitesse de pointe avec une batterie d’alimentation complètement chargée était un peu plus de 365 RPM, et cette vitesse a été systématiquement mesurée avec un phototachymètre.
En règle générale, le circuit SG est conçu pour tirer environ 0,25 ampères par transistor, donc un circuit à sept transistores devrait consommer 1,75 ampère sur la batterie d'alimentation. L'appareil de démonstration de la conférence, avec sa roue équilibrée, de nouveaux roulements et le circuit de déclenchement parfaitement accordé, consomme 20% de moins que cela. L’ampèremètre analogique monté en série indiquait généralement juste un peu moins de 1,4 ampères à la vitesse maximale.
Ce compteur a été étiqueté comme "courant d'entrée moyen" pour des raisons évidentes. Le SG est une machine qui fonctionne sur une série d'impulsions de courant continu, et un compteur analogique de ce genre ne peut que fournir une moyenne de la valeur de ces impulsions. Bien que ces compteurs ne permettent pas une mesure précise du courant consommé par la machine, (tel un appareil numérique), ils nous donnent malgré tout une indication assez précise de la valeur moyenne consommée. Pour avoir une meilleure compréhension du courant d’entré de la machine, un oscilloscope numérique Fluke a été utilisé. L'ampèremètre analogique à une résolution de 50mV, tension qu’il mesure aux bornes d'un shunt résistif de 0,010 Ohm. Lorsque cette tension est observée simultanément sur le multimètre Fluke, on peut voir cette image. Elle nous montre les pics des impulsions à une hauteur d'environ une division, répéter 109,7 fois par seconde.
Examinons la vitesse de la roue. Nous savons qu'il y a 18 aimants sur la roue, de sorte que le calcul suivant peut être fait: 109.7hz ÷ 18 = 6.094 RPS x 60 = 365.66 RPM Cela représente la vitesse mesurée par le tachymètre, cela est encourageant. Ensuite, regardons les calculs du courant. La valeur moyenne du courant peut être calculée à partir de l'image du Fluke en mesurant l’"air en dessous de la courbe" définie par la ligne du graphique. La forme d'onde a une amplitude de crête d'environ une division. Le réglage d'une division est égale 100mV. De cela nous pouvons déterminer la valeur du courant de crête en utilisant la résistance de shunt de 0,010 Ohms et loi de Ohm (E / R = I). Ce calcul est ici: 0.100 volts ÷ 0.010Ω = 10.00 amps Ensuite, la largeur de la base de la forme d'onde est mesurée comme environ 36% de la longueur d'onde totale et la ligne montante divise à peu près ce domaine. Cela définit la "surface sous la courbe" comme une moitié de 36%, soit 18% de la valeur de crête de 10 ampères. Cela nous donne le calcul suivant. 0.100 volts ÷ 0.010Ω = 10.00 amps x 18% = 1.8 amps Ce calcul diffère de l'indication sur l'ampèremètre analogique par une marge significative, et peut suggérer une des deux choses: 1. que l'étalonnage du compteur analogique n’est pas correcte, ou 2. que notre estimation de la valeur de crête visible sur l’écran du scop est trop élevée. La plupart des ingénieurs choisirons immédiatement l’explication # 1 comme étant le problème, et de façon sur d’eux, mettre leur confiance dans l'image du Fluke. Avec mes années d'expérience avec ces machines, ma tendance est de croire le compteur analogique, basé partiellement sur la lecture de la tension de la batterie, qui indique un débit plus lent.
À ce stade, si vous êtes prêt à regarder ces mesures comme des « indicateurs importants» plutôt que des «valeurs absolues», vous serez peut être mieux préparés à accepter l'importance de leur relation à d'autres mesures prises sur la machine de la même manière. Mesures simple de sortie du SG Classique OK, passons à autre chose et regardons les indications sur les compteurs de sortie. Tandis que l’ampèremètre analogique d'entrée avait une échelle de 05 Amp, l’ampèremètre analogique de sortie à une échelle de 0-3 Amp. Ce compteur à également une résolution de 50mV, mais son shunt résistif est de 0,0166 Ohms. Ce compteur mesure le courant associé aux décharges du condensateur qui vont dans la batterie (B2). Lors de l'exécution, l'aiguille de l'indicateur rebondit entre "0" et "1.2" Amp. La tension de sortie numérique est prise directement sur la batterie B2. L’ampèremètre analogique de sortie indique que le courant sortant de la machine est en moyenne d'environ 0,6 ampères, ce qui représente environ 45% du courant moyen appliqué à l'entrée. Lorsque le compteur ampèremètrique numerique Fluke est appliqué à travers shunt résistif de la sortie, il produit cette image.
La première chose que nous pouvons voir, est que le circuit du condensateur décharge dans la batterie B2 à une vitesse de 2.183 fois par seconde.
le
se
Bien que cette décharge monte à une hauteur de 6 divisions, sa largeur totale est assez étroite, et sa durée est déployée en environ 16 millisecondes (0,016 secondes). Pour une valeur de 200 mV par division, la valeur de crête de l'impulsion de courant peut être calculée comme suit: 200mV/d x 6 divisions ÷ 0.0166Ω = 72.28 amps Donc la batterie B2 est chargée par des impulsions de 72 ampères, 2.18 fois par seconde. Le nombre exact de joules d'énergie que cela représente est non quantifiable avec ces mesures. Le courant de sortie moyen que cela représente peut être estimé par "l’aire sous la courbe" méthode de l'image portée. L'aire sous cette forme d'onde est d'environ 1% de la surface totale, de sorte que la sortie de courant moyen de cette méthode est d'environ 0,7 ampères, ce qui est similaire à l'ampèremètre analogique. Quelle que soit la valeur absolue de ces impulsions, la batterie y réagit très bien. Mesures d’entrée du SG en Mode Generateur Lorsque l'appareil est placé en mode générateur, un certain nombre de choses changent. La roue ralentit un peu, le courant d'entrée augmente, et la tension d'entrée de la batterie diminue. Voici les compteurs d'entrée lors d’un fonctionnement classique en mode Generateur. L'ampèremètre analogique indique 2,15 ampères et la vitesse est d’environ 335 RPM. Ainsi, selon l'ampèremètre analogique, l'entrée de courant est passée de 1,4 ampère dans le mode SG classique à 2,15 ampères dans le mode générateur. Le rapport d'augmentation peut être calculé comme suit: 2.15 amp ÷ 1.4 amp = 1.53 Cela représente une augmentation de 53%.
Avec le Fluke à travers le shunt de l'ampèremètre, nous pouvons enfin voir ce que le circuit Mode générateur fait à la forme d'onde d'entrée. La mince ligne aux sommets des triangles est là où les transistors ouvrent le circuit. La vague montante avant elle, est l'entrée standard, comme nous l’avons déjà vu à la page 27, et la vague qui retombe après que les transistors ouvre le système, est l'énergie supplémentaire du Circuit en mode générateur, qui est prise de la batterie (B1) sur la décharge de la bobine principale, MC. Donc, voici ce que l'ampèremètre analogique interprète comme une augmentation du courant d'entrée moyen de 53%. Les tentatives visant à quantifier ce courant d'entrée en utilisant la méthode de "l’aire sous la courbe" produire un chiffre similaire. Avec l'entrée qui correspond à 18% de la valeur de crête des pics de 10 A, la sortie ajoute encore 10% la-dessus, pour un courant d'entrée total moyen de 2,8 ampère. Le rapport de cette augmentation peut être calculé comme suit: 2.8 amp ÷ 1.8 amp = 1.55 Cela représente une augmentation de 55%. Ainsi, en dépit des variations des valeurs absolues indiquées, au moins les méthodes de mesure sont restées pratiquement proportionnelle à leur capacité à indiquer l'augmentation du courant d'entrée moyen par rapport aux deux modes de fonctionnement.
Mesures de sortie du SG en Mode Generateur
L'aiguille de l'ampèremètre analogique en sortie oscille maintenant entre "0,5" et "1,5" Ampère. Le voltmètre montre clairement une augmentation du taux de charge, car il indique désormais 13,36 volts, alors qu'avant il indiquait 13,25 volts. Mais la grande différence se voit sur l'image du Fluke.
Le Fluke montre que le condensateur se décharge maintenant 4.418 fois par seconde et que le courant de crête par impulsion est de 6,6 divisions. Cela équivaut à des impulsions de 78 Amp délivré à la batterie en charge (B2) 4.418 fois par seconde.
Le taux de charge a augmenté de 2,183 fois par seconde en mode SG Classique à 4,418 fois par seconde en mode générateur. Le rapport de cette augmentation peut être calculé comme suit:
4.418 Hz ÷ 2.183 Hz = 2.023 Cela représente une augmentation de 102%.
Comme le système de décharge du condensateur est commandé en tension, et que les points de déclenchement de décharge et re-set (min et max) n’ont pas été modifiés entre les deux tests, il est raisonnable de croire que le nombre de joules par impulsion n'a pas non plus changé, et par conséquent, que la quantité réelle d'énergie étant appliqué à la
charge de la batterie (B2), a plus que doublé, tandis que l'énergie dépensée en entrée n’a augmenté d'environ que de moitié! Bénéfices de la recharge Ces données appuient de façon certaine les déclarations que John à pu avoir concernant les bénéficse du mode Generateur. Aux fins de cette narration, il faudrait beaucoup plus de temps pour quantifier pleinement ces échanges d'énergie et éliminer toutes les ambiguïtés de mesure, mais vous êtes invités à le faire par vous-même sur votre propre modèle. Le but ici est simplement de vous diriger dans la bonne direction. L’exécution du SG en mode générateur semble ajouter un peu de courant électrique aux petites pointes de courant provenant des décharges de la bobine principale MC. Etant donné que la charge et la décharge du condensateur est deux fois plus rapide, l'effet électret temporaire a également moins de temps pour se dissiper, donc plus la reprise spontanée de sa charge électrique peut être livré à la batterie secondaire. C’est, au moins, une explication raisonnable. En d'autres termes, John traite "l’élargissement" de la forme d'onde utilisée pour charger le condensateur comme l'explication principale du gain d'énergie qu’utilise cette méthode. Vous êtes encouragés à explorer ce processus aussi profondément que vous le souhaitez, et même venir avec votre propre explication si vous le désirer. Le point est celui-ci; vous avez maintenant TROIS méthodes efficaces de gain d’énergies distinctes utilisées par John pour compenser toutes les pertes électriques. Elles sont: 1. le racourcissement de «la fin de charge » des batteries lors de la rotation rapide des batteries. 2. l'effet «électret temporaire» qui apparaît dans le condensateur
3. Le fonctionnement en mode Générateur Chapter Trois
Fonction "Auto-Rotation" du SG Energizer A chaque fois que quelqu'un a fait référence à la machine SG comme étant «un moteur électrique », John a toujours essayé de le corriger. Il a toujours dit "ce ne est pas un moteur, c’est un Energizer." Bien sûr, John savait exactement de ce dont il parlait, mais la plupart du reste d'entre nous ont résisté à comprendre et cela pendant très longtemps. Donc, une fois pour toutes, voici ce que John a essayé de nous dire!
La machine originale décrit par John en 1984, dans le livre intitulé Bedini's Free Energy Generator, est un moteur électrique faisant tourner un volant d’inertie, et un générateur électrique qui avait un certain nombre de caractéristiques uniques, qu'il a appelé ENERGIZER (l'électrificateur). Voici un agrandissement de l'image de ce dessin. Il est clairement constitué d'une roue avec des aimants permanents montrant tous leur face Nord, tournant devant un groupe de bobines stationnaires comprenant des noyaux en fer. Il est clairement désigné comme l’"Energizer".
La fonction de l'électrificateur est cruciale pour le fonctionnement du mécanisme de gain d'énergie. À la page 13 du livre original, John dit: "Il y a beaucoup de façons différentes pour expliquer cette théorie." A la page 21, il déclare que: "La batterie se recharge vraiment d’elle-même." A la page 22, John dit: "Les signaux que nous voulons générer sont comme ceux qui vienaient des vieilles génératrices à courant continu DC, à l'exception de la résistance de l'armature, résistance des roulements, ni de champs excités." Et pour finir, il dit que: "J'ai effectué pas mal de tests dans mon laboratoire, et est découvert que certains types d’energizer, générateurs et alternateurs, font ce que nous avons besoin." Pour réitérer la découverte de John, voici une citation du chapitre 1 du Bedini SG, Le Guide Complet du débutant: "L'Energizer est un générateur spécial qui ne ralentit pas autant qu'un générateur normale lorsque l'électricité en est tiré. Le commutateur rotatif permet à la batterie d’être chargé une partie du temps, puis d’alimenter le moteur électrique le reste du temps. Les années passant, John réalisa que si il pouvait réaliser un Energizer (électrificateur) qui tournerait de lui-même, cela prmettrait d’éliminer le moteur électrique, et de vraiment simplifier le système." "L'électrificateur originale est composée d'une roue avec une série d'aimants permanents qui tournaient devant un certain nombre de bobines de fil. Comme les
aimants ce déplacant passent devant les bobines, des impulsions électriques en sortaient, pour charger la batterie. Mais John savait également que la roue pourrait tourner si une impulsion électrique était reinjectée dans l'une des bobines au bon moment. C’était juste une question de développement de la bonne méthode de commutation".
"Le nouveau système est composée d'un électrificateur, une batterie et un circuit de commutation spéciale. Cela a éliminé la moitié des composants, y compris le moteur électrique, l'interrupteur rotatif, ainsi que le volant." Par une substitution simple de mots, la machine peut être considérée comme l'original "générateur à faible traînée" avec un circuit ajoutée pour l'amener à l'auto-rotation. Au fil des ans, John a réalisé des centaines d'expériences sur cette "plate-forme technologique" et a développé une méthode de «l'auto-rotation » qui récupère 100% de l'électricité nécessaire pour le garder en rotation. Donc, cela nous amène au SG comme nous le connaissont. La seule chose qui nous manquent sont toutes les autres bobines nonalimentés qui composent le reste du générateur à faible traînée! Etude de la force mécanique rotative dans un moteur électrique Afin de comprendre ce que John veut dire quand il dit que le SG n’est pas un moteur électrique, il faut comprendre ce qu'est un moteur électrique est comment il développe l'énergie mécanique. Ce graphique illustre la courbe de puissance d'un moteur typique à courant continu avec une armature de commutation.
Il montre la relation entre la vitesse, le couple produit, et par conséquent la puissance, qui est le produit croisé de la vitesse et du couple. Dans ce schéma, le couple est indiqué par la ligne orange, et la puissance est représentée par la ligne rouge. Dans ce type de moteur, le couple est une conséquence directe de la quantité de courant électrique se déplacant à travers les bobines en face des aimants du stator.
Ainsi, lorsque le moteur commence tout juste à tourner, à sa vitesse la plus faible, la consommation de courant et le couple sont les plus élevé. Et lorsque le moteur tourne de plus en plus vite, la consommation de courant et le couple produit au départ dimunue en raison de la production de la force contre-électromotrice (back EMF) dans les enroulements. Etant donné que le couple se rapproche de son point le plus bas, il n'y a alors plus assez d'énergie mécanique produite pour faire tourner le moteur plus rapidement, de sorte qu'il atteint sa vitesse de pointe. Ces relations peuvent être vues en suivant la ligne orange qui diminue lorsque la vitesse augmente. Dans ces deux vitesses extrêmes, la puissance produite par le moteur est relativement faible, puisque l'un de ces «multiplicateurs» a une valeur très faible. Seulement dans le milieu de gamme, à la fois le couple et la vitesse ont une puissance conséquente, et la valeur du "produit croisé" atteint son apogée. Cela est visible dans les valeurs de la puissance indiquée sur l'extrême droite du graphique. Alors que 10 × 90 = 900 près du départ ou de la vitesse de pointe, les pics de puissance mécaniques dans le milieu de gamme sont 50 * 50 = 2500. C’est pourquoi un moteur de ce type doit être ralenti à 50% de sa vitesse afin de mesurer précisément sa puissance sur un essai dynamométrique. Tout en étant un peu contre-intuitif, cette "courbe de puissance" nous donne une caractéristique du rendement très utile. Lorsque l'énergie mécanique provenant de la machine est retirée, la suppression de cette énergie ralentit généralement la machine. Cela est vrai dans presque tous les systèmes mécaniques. Dans le cas du moteur à courant continu (DC), sa performance est telle que si une charge mécanique est appliquée sur le moteur à sa vitesse maximale, il ralentira. Mais, étant donné que sa vitesse chute, sa puissance AUGMENTE jusqu’à égaler la charge mécanique, afin de maintenir la baisse de la vitesse au minimum. La meilleure chose à ce sujet, c’est que cette régulation de la puissance-vitesse de la machine, se fait automatiquement, aussi longtemps que la tension appliquée reste le même. Cela rend ce type de moteur électrique extrêmement utile pour la production d'énergie mécanique.
Ainsi, la faculté d'un moteur électrique à produire PLUS de puissance mécanique en le ralentissant, est la particularité que John dit être ABSENTE dans l'auto-rotation de l’Energizer.
Etude de la force mécanique rotatif dans le SG Energizer Le SG Energizer produit une attraction mécanique à chaque fois que la bobine alimentée. Cette attraction sur l'un des aimants permanents de la roue se produit jusqu'à ce qu'il soit directement aligné avec la bobine, et à ce moment la bobine cesse d’être alimentée et l'aimant s’éloigne.
est
là,
Chaque fois que ce processus se produit, il prélève une quantité spécifique de courant électrique à la batterie d’alimentation et produit une quantité spécifique d'énergie mécanique sur la roue. Comme la vitesse augmente, ce processus est répété plusieurs fois par seconde, et donc la puissance augmente dans une relation directe avec la vitesse. Dans le graphique cidessus, cela est indiqué par la ligne orange (couple) et la ligne rouge (Puissance), augmentant ensemble. [C’est, du moins, ce que la courbe couple-puissance du SG ressemble, lorsqu’il fonctionne en "mode de déclenchement unique."] Bien que ce profil couple-puissance est intéressant et présente certains avantages, il n’est PAS le même que la courbe de puissance d’un moteur électrique standard. Cela signifie également que le SG Energizer n’est PAS capable de produire plus de puissance mécanique afin de compenser le ralentissement, et n’est donc pas approprié à fournir de l'énergie mécanique à des charges externes comme un moteur électrique ordinaire le fait.
Donc, c’est ce que John a essayé de nous faire comprendre; que le SG est un "Energizer en auto-rotation" conçu pour produire de l'énergie électrique excédentaire (lorsque toutes les bobines supplémentaires sont présentes) tout en produisant suffisament d'énergie mécanique pour maintenir sa propre rotation. Chapitre Quatre
Bobine Génératrice suppléméntaire du SG Energizer En plus du circuit SG avancé et le fonctionnement optimisés, le modèle de démonstration de la Conférence avait également une «bobine supplémentaire » génératrice. La bobine d'alimentation (derrière le Logo Bedini) et la bobine génératrice, sont visible l’une et l’autre sur cette image. Etant donné que les aimants permanents de la roue étaient de simple aimant en céramique # 8 chaqu’un, et ces aimants seront le seul champ magnétique d’entré pour le fonctionnement de la bobine génératrice, cette bobine a alors été conçu pour fonctionner sur ce champ magnétique relativement faible. La bobine Génératrice
que
Le but du modèle de démonstration était de "démontrer le principe" du générateur de faible traînée en utilisant une seule bobine. Afin de maximiser les niveaux de champ magnétique faible, il a été décidé d'élargir le noyau en en fer de cette bobine, afin qu'il puisse capturer plus du de flux magnétique des aimants permanents. Par conséquent, une bobine en plastique comme celle utilisée pour la bobine d'alimentation a été coupée en deux, et la section centrale a été élargit 2.54cm.
de
Ceci produit une forme de noyau de bobine qui se rapproche davantage de la forme rectangulaire des aimants. La zone ouverte a été ensuite remplie avec les mêmes tiges de soudure en fer R45, utilisé dans la bobine d'alimentation. Cette simple modification produit une bobine avec un noyau ayant trois fois plus de fer, et capture ainsi en elle beaucoup plus du flux magnétique de chaque aimant. Lorsque cette forme de bobine a été enroulé avec du fil, il a fallu environ 60% de fil en plus pour faire chaque tour, mais le noyau capture 300% de flux magnétique en plus que si le noyau était rond. Dans l'ensemble, le compromis en valait bien la peine. Une fois la bobine faite et le noyau placé, les tiges de fer ont été collées en utilisant de la colle cyanoacrylate (super glue), similaire au processus illustré à la page 61 du Guide SG du Débutant.
La bobine a été ensuite enroulée avec 10 brins de fil #16, qui ont été préalablement twisté entre eux en un câble, de la même façon que la bobine de puissance. Le processus pour faire une bobine comme celle-ci est indiqué à la page 57 du Guide du Débutant SG. Ces fils individuels sont ensuite branchés en série pour produire un seul fil # 16 d’environ 1000 mètres de long. Le Circuit La sortie de cette bobine est reliée directement au circuit représenté ici. Il se compose d'un commutateur ON / OFF, une diode, un condensateur, une résistance, et 40 LED. Le commutateur était de type à bascule simple. La diode est une 6A100. Les quatre condensateurs ont ensemble une capacité de 470uF. La résistance était de 100 Ohms en un watt. Les 40 LED sont câblées comme quatre alignements parallèles de 10 LED connectées en série. Le circuit complet est montré ici.
Le Resultat des Tests En fonctionnement réel, la bobine supplémentaire génératrice à allumé les 40 LED avec une luminosité extrêment éblouissante. Sur le film de la Conférence, il a été dit que d’éteindre ou allumer les lumières ne modifiait pas la vitesse, même pas d’un seul RPM. Les résultats exacts de tests spécifiques seront discutés plus en détail dans le chapitre six. À toutes fins pratiques, la bobine génératrice produit une extrê FAIBLE RéSISTANCE sur le SG Energizer tout en allumant 40 LED. Tout le monde à la Conférence à vu cela. Personne ne comprenait ce qu’il voyait.
Qu'est-ce que c’est? Pourquoi les gens ne comprennent pas cela? Pourquoi faire ce travail? Chapitre cing
Comprendre la loi de Lenz Heinrich F.E. Lenz était un physicien russe, né dans la ville de Dorpat dans l'Empire russe en 1804. Ses parents parlaient ethniquement allemande expatriés prussiens et ainsi Lenz est très souvent considéré comme un physicien allemand. Lenz étudié à l'Université de Dorpat, mais plus tard enseigne les mathématiques et la physique à l'Université de SaintPétersbourg. Alors il a fait de nombreuses contributions aux sciences de son époque, il est surtout connu pour ses premières expériences dans magnétisme et la formulation de ce qui est devenu connu sous le nom de loi de Lenz.
le
L'utilisation du symbole "L" pour l'inductance a également été choisie en l'honneur de Lenz. Comprendre la découverte de Lenz En 1831, Lenz étudiait la nouvelle science concernant les générateurs électriques et les moteurs électriques. Son premier papier dans ce domaine abordé ce qu'il a appelé la «loi de la réciprocité des phénomènes magnéto-électrique et électro-magnétique." Ce document contenait la première déclaration publiée de la «loi de Lenz ». Son observation est que, lorsque l'énergie mécanique a été retirée d'un moteur électrique, il se comporte comme un générateur électrique en sens inverse, et que, lorsque l'énergie électrique est retirée d'un générateur électrique, il se comporte comme un moteur électrique en sens inverse.
Aujourd'hui, ces observations sont exprimées comme suit: Le courant induit dans un circuit du au changement ou au mouvement d’un champ magnétique est en opposition direct à la variation de flux ou exercer une force mécanique s’opposant au mouvement. Cette action réciproque entre un courant induit et les changements dans le champ magnétique induit, étaient présents dans chaque dispositif expérimental que Lenz étudiait, et il est venu à croire qu'il s’agissait d'une expression de la «loi de la conservation de l'énergie ». Il a également appuyé l'idée qu '«un changement d'état d'énergie d'un système ne pouvait pas se propager ». Voici l'une des illustrations les plus simples de résultats expérimentaux de Lenz.
Si le pôle Nord d'un aimant permanent se rapproche d’une bobine, le courant dans la bobine en chemin produit un second champ magnétique qui repousse l'approche de l'aimant. Lorsque le pôle Nord de l'aimant permanent est ensuite arraché, le courant induit dans la bobine produit un champ magnétique qui tente de le retenir.
Dans sa présentation la plus fondamentale, la loi de Lenz peut être illustrée comme ceci: Si un fil est situé dans un champ magnétique de telle sorte qu'un pôle nord se trouve sur la gauche et un pôle sud se trouve à droite, et qu’une force mécanique déplace le fil d’un mouvement vers le bas, un courant dans le fil sera produit qui créra un champ magnétique autour du fil qui tend à s’opposer au champ au-dessus du fil et renforcer le champ au-dessous du fil. Ces effets magnétiques induits par le courant dans le fil créent une force de réaction mécanique en opposition directe avec le mouvement descendant qui l’a initié. Ainsi, la loi de Lenz décrit une interaction complexe entre les champs magnétiques, les courants électriques, et les forces mécaniques qui sont tous liés ensemble à cause d'une géométrie spécifique des matériaux et des mouvements.
Cette image décrit comment les forces se comportent dans un moteur (DC) à courant continu ordinaire. Lorsque le champ magnétique décrit comme B, et le courant électrique décrit comme I, alors une force mécanique apparaît sur les fils, représentés par F. Ce qui provoque la rotation du moteur est l'apparition de cette force mécanique. Mais lorsque cette force déplace les fils à travers le champ magnétique B, il induit un potentiel dans les fils qui vont tenter d'inverser la circulation du courant. Si la force mécanique dans la direction de F devient "l’entrée" du dispositif, la machine devient un "générateur" et produit un courant électrique dans la direction opposée représentée.
Lenz fut le premier à décrire ces interactions. Avec les conducteurs de courant, la force apparaît comme une réaction, et nous appelons le dispositif un «moteur». Et sur la force des fils, alors le courant apparait comme une réaction dans la direction opposée, et nous appelons ce dispositif un «générateur». Mais, en réalité, c’est la même machine avec la capacité d'apparaître soit comme un moteur qui génère intrinsèquement contre lui-même ou un générateur qui intrinsèquement est un moteurs contré, en fonction de la force qui entraîne l'autre. Théorie moderne appellé "réaction d'induit" et vu comme un déplacement angulaire de la "ligne électrique neutre" dans le rotor.
Il est extrêmement important de comprendre que vous ne pouvez pas « CONTRER »la loi de Lenz. C’est une description précise du comportement des forces de la nature, comme elles apparaissent dans cette configuration spécifique des matériaux. Mais ce que vous POUVEZ FAIRE, est d'étudier les moindres détails de la façon dont ce processus se manifeste, et d'apprendre sont ingénerie! C’est ce que John Bedini a fait dans les années 1980. Comme la plupart des moteurs et générateurs électriques disponibles dans le commerce utilisent la même géométrie de base comme illustré ci-dessus, ces machines se comportent toutes d'une manière qui soit compatible avec l'hypothèse de la loi de Lenz, qui semble universelle dans son apparence, et que c’est un exemple de la «Loi de conservation de l'énergie », comme Lenz croyait. Heureusement, ce n’est pas vrai.
Le but est de produire de l'électricité à partir de l'induction magnétique sans l'apparition des forces mécaniques de réaction produites associés par l'interaction des courants induits et du champ magnétique primaire. C’est ce qui vous permeterait de faire un générateur électrique qui ne ralentirait pas lorsque l'électricité en est tiré. La question est: quel est le truc?
Modification de l'apparente loi de Lenz Quand un fil traversé par un courant est placé dans un champ magnétique, l'interaction du champ magnétique autour du fil et du champ magnétique extérieur produit une force sur le fil qui tend à déplacer le fil, de manière à abaisser la circulation de courant. Cela est appelé la « Back EMF » ou force électro-motrice inverse. Quand un fil qui est connecté à un circuit complet et est placé dans un champ magnétique et qu’il est physiquement déplacé perpendiculairement à ce champ, un courant est induit dans le fil qui produit une force sur le fil qui rend le déplaçant dans cette direction d'origine très difficile. Cela est appelé la "Back MMF" ou la force magnéto-motrice inverse. Dans le premier cas, le mouvement du fil entrave la circulation du courant par induction d'une tension inverse. Dans le second cas, la circulation de courant empêche le mouvement du fil par la production d’une répulsion magnétique par rapport au champ magnétique externe. Lenz croyait que ces deux phénomènes étaient l’un et l’autre réciproque, et que cela soutenait apparament la "loi de la conservation de l'énergie." Satisfait par sa découverte, il ne regarda pas plus loin. Donc, cela définit la disposition spécifique des matériaux qui doit être évité! Nous ne voulons absolument pas déplacer un fil parcouru par un courant directement en face d'un aimant! La question est, que pouvons-nous faire pour produire une induction électrique en minimisant la quantité de force mécanique inverse qui est crée dans le générateur? Eh bien, une simple modification de ces composants est montrée sur la page suivante, où les bobines sont enroulées sur des poles en fer en présence d'un aimant rotatif.
Bien que cela semble extrèmement similaire et semble juste être «extrait» de la configuration d'origine, elle nous permet un certain nombre de nouvelles fonctionnalités qui nous permettent de modifier l'apparente loi de Lenz. La première différence porte sur l'apparence de la force mécanique. Dans le premier dispositif, s’il n'y a pas de courant circulant dans le fil, il n'y a pas de forces mécaniques produites du tout. Dans nouveau dispositif, en l'absence de courant circulant dans le fil, la rotation de l'aimant est toujours attirée par le fer des pièces polaires.
ce
Ainsi, par exemple, dans le schéma de la page 43, si l'aimant se rapproche de la bobine, mais que la bobine n’est pas connectée à l'appareil de mesure ou autre, alors aucun courant n’est induit dans la bobine et aucune résistance magnétique n’apparaît en réponse du mouvement de l'aimant. Dans cet ensemble de circonstances, l'aimant n’est pas attiré ni repoussé par quoi que ce soit d'autre dans le système, qu’il soit en mouvement ou non. Si, toutefois, nous introduisons un peu de fer dans la bobine, il y a maintenant une force exercée sur l'aimant même en l'absence de courants générés! En outre, cette nouvelle force magnétique est une "attraction universelle", que l'aimant est attiré par le fer à l'approche et il est toujours retenu par le fer pendant qu'il essaye de s’éloigner.
Cette disposition de matériaux produit un ensemble de forces qui s’annules sensiblement les unes des autres et qui engendre « pas de force significative» sur le l'aimant en mouvement, quand il passe les pièces polaires en fer. Mais, «pas de force significative » est complètement différente de "pas de force du tout". Cette situation est tout à fait trompeuse et la plupart des ingénieurs croient que le second agencement des composants est identique à la première dans toutes les caractéristiques opérationnelles, mais ce n’est pas le cas.
Donc, cela nous donne deux procédés simples pour commencer l'ingénierie de l'apparente et/ou tendant à éviter la loi de Lenz. Le premier est par des bobines de fil où le bobinage à été fait autour des pièces polaires en fer, fixes, qui sont soit magnétisée ou démagnetisée en déplaçant des aimants devant eux. La seconde consiste au contrôle DU MOMENT où les courants électriques sont autorisées à circuler dans les fils. Voici ce que John Bedini compris au début des années 1980. Rappelez-vous ce qu'il disait: "J’ai effectué des tests dans mon laboratoire et découvert que certains types d’energizer, de générateurs et alternateurs font ce dont nous avons besoin." Et que disait-il, que nous avions besoin? "Les signaux que nous voulons générer sont comme ceux qui vienaient des vieilles génératrices à courant continu DC, à l'exception de la résistance de l'armature, résistance des roulements ni de champs excités." Idéalement, il était à la recherche d'un générateur qui pourrait produire des impulsions à courant continu avec une étincelle rayonnante (comme les étincelles provenant du collecteur) tout en produisant un minimum de résistance mécanique sur le rotor, avoir de faible frotemment du aux roulements, et éliminer l'excès d'énergie dans les " enroulements inducteurs", en les remplaçant par des aimants permanents. "Energizer" est le nom qu'il a donné à tout générateur électrique qui fonctionne avec tout ou la plupart de ces paramètres.
Voici une photo de John à côté de l'un de ses prototypes de travail dans le début des années 1980. Le dispositif comprend un moteur électrique sur le côté gauche et l’"Energizer" sur la droite. Cette image montre le dispositif sans le volant. Chapitre Six
Un Générateur simple à faible résistance Dans le chapitre précédent, nous avons examiné la possibilité théorique de la construction d'un générateur qui minimise l'apparente traînée mécanique (l’effet moteur inverse), alors qu'il produit un courant électrique. Dans ce chapitre, nous allons examiner de près la conception de "l’Energizer" simple que John Bedini à développé dans les années 1980 qui a accompli ce but. Configuration de base
Ces deux images sont prises du livre original de John, intitulé Bedini's Free Energy Generator (Générateur à énergie libre de Bedini), publié en 1984. Dans la première image, nous pouvons voir que "l’energizer" semble être faite d'une roue avec des aimants permanents tous « Nord », placés directement en face d'une structure comprenant un certain nombre de bobines de fil, avec un matériau de base qui ressemble grossièrement à des vises en acier. Dans la seconde image, deux dispositions simples sont présentés, avec celle du bas montrant ce qui semble être une roue avec deux aimants, face à une bobine de fil enroulé sur un certains matériaux de base, probablement en fer. La bobine est reliée à un circuit simple constitué d'une diode et d'un condensateur.
Afin de rendre ces idées claires, l'image suivante montre simplement une bobine de fil sur un noyau de fer face à une roue avec des aimants Nord et connecté à un circuit simple constitué d'une diode et un condensateur. Voilà donc la méthode de construction de base de "l’Energizer". Ceci est la "configuration de base" d'un "Energizer" ou générateur à "faible résistance". Ensuite, nous allons voir ce que CELA EST et POURQUOI cela fonctionne.
Analyse des Forces de la loi de Lenz Afin de simplifier cela, imaginez cette disposition des composants. En bas, il y a un noyau de fer avec une bobine de fil enroulé autour, et au-dessus du noyau de fer, une roue avec une série d'aimants nord lui faisant face. La flèche ROUGE représente le sens de rotation de la roue. Comme la roue tourne, les aimants passent devant le noyau de fer et produit une série
complexe d'événements qui comprennent: 1. La magnetisation du noyau d’acier 2. Des forces d'attraction qui agissent sur la roue 3. La production d’une tension dans la bobine en raison des changements de flux magnétique dans le noyau de fer
Le dessin ci-contre illustre l'ensemble de ces interactions. Au milieu de la figure, le noyau en fer de la bobine est représenté par un rectangle noir avec un nombre de lignes verticales, parallèles à elle. Sur la droite du noyau en fer, la bobine est représenté comme étant connecté au circuit comprenant diode et condensateur, mais à proximité il y a aussi le symbole d'une résistance, représenté non connecté. Les rectangles bleus au-dessus du noyau représentent un aimant permanent de la roue, et ses cinq positions possibles par rapport au noyau en lors de son passage. La flèche rouge représente le déplacement de l'aimant en mouvement, de la position A à E. Le N représente le pôle Nord de l'aimant faisant face au noyau.
fer,
Au-dessus des rectangles bleus il y a une série de flèches vertes, qui représentent la force mécanique appliquée à la roue lorsque l'aimant passe à proximité du noyau en fer. Les flèches vertes pointes dans la direction de la force mécanique, et leur taille représente la force relative de la force mécanique dans cette position.
Au-dessus des flèches vertes il y a un graphique bleu qui représente la force du champ magnétique dans le noyau en fer. Enfin, au bas de l'image, le graphique rouge représente la tension induite dans la bobine par l'aimant qui se déplace devant le noyau en fer.
Alors, cela est la représentation "instantané" des événements complexes qui se produisent à chaque fois qu'un aimant passe devant le noyau de fer. Passons en revue chacun de ces processus, un par un. La graphique bleu montre la force du champ magnétique dans le noyau de fer, lorsque l'aimant se déplace de la position A à la position E. Le champ magnétique dans le noyau commence à se magnétiser lentement lorsque l'aimant est en position A. Alors que l'aimant arrive en position B, l'aimantation augmente rapidement et atteint son maximum lorsque l'aimant est directement au-dessus du noyau en position C. Etant donné que l'aimant est en mouvement, il continu se course, la magnétisation du fer diminue rapidement jusqu'à ce que l'aimant atteingne la position D, et continue à s’affaiblir jusqu'à la posistion E. La force mécanique appliquée à la roue suit un profil similaire en ce qui concerne la force, mais pas à l'égard de la direction, comme illustré par les flèches vertes. Ainsi, la force exercée sur la roue lorsque l'aimant est en position A est faible, mais elle est parallèle à la direction de la rotation de la roue, (Flèche Rouge) et ajoute de l’élan à la rotation. Ceci est une force mécanique positive appliquée à la roue par l'aimant permanent. Cette force mécanique positive continue à augmenter la rotation de la roue lorsque l'aimant se déplace en position B et de même jusqu'à la position C. Même si l'aimant continu à contribuer à une force positive importante sur la roue dans son sens direct, le vecteur de force réel d'attraction de l'aimant au noyau en fer, change progressivement de plus en plus vers une orientation verticale. Lorsque l'aimant est en position C, l'aimant n’applique plus aucune force sur la roue qui tend à favoriser ou à retarder sa rotation, mais son activité est à son maximum. Dans cette position, la force magnétique sur le fer est de 100% verticale, ce qui signifie qu'il est de 90 ° hors phase avec le plan de rotation. Comme la position de l’aimant se déplace en C, les forces mécaniques sur la roue s'inversent, et maintenant commence à retarder le mouvement de la roue.
Comme l'aimant se déplace de la position C à la position E, il produit une "action motrice inverse" sur la roue qui est essentiellement du même ordre de grandeur que "l'action motrice" de l'aimant se déplaçant de la position A à la position C. Ainsi, la totalité du mouvement de l'aimant devant le noyau en fer ne produit "aucun couple net" à la roue, dans la mesure où aucun courant n’est généré dans la bobine, et aucunes forces de la loi de Lenz ne sont produites. Même si aucun courant n’est produit dans la bobine, une tension est induite dans l'enroulement en réponse à la magnétisation du noyau de fer. Cela est montré dans le graphique rouge dans l'illustration à la page 51. La tension induite suit les CHANGEMENTS de la force de la magnétisation du noyau en fer. Ainsi, comme la magnétisation du noyau en fer augmente rapidement à partir de la position B à la position C, la tension induite augmente rapidement aussi. Mais lorsque la magnétisation du noyau atteint sa valeur la plus élevée à la position C, les CHANGEMENTS dans l'arrêt de la magnétisation, fait chuter à zéro la tension induite. Puis, comme la magnétisation du noyau en fer commence à diminuer, cela représente une VARIATION du flux magnétique dans la direction opposée, et donc la tension induite s’inverse puis monte rapidement à sa valeur négative maximale. Comme la magnétisation du noyau en fer chute rapidement lors de sont déplacement vers la position D, la tension négative de la bobine diminue également. Comme l'aimant se déplace en position E, le noyau en fer perd tout son champ magnétique et la tension induite retourne à zéro, bien enttendu. Cela termine l'analyse du comportement du champ magnétique et des forces mécaniques qu'il produit. Maintenant, regardons ce qui se passe lorsque les courants sont induits dans la bobine et les changements qu'ils produisent. Les changements de coefficient de résistance avec différentes charges Alors que les générateurs électriques standards produisent une relation linéaire entre les charges électriques et les forces de réssitance mécaniques, sur cette conception de générateur cela ne fonctionne pas de la même manière.
Voilà pourquoi cette conception de générateur est parfois appelée générateur à "induction indirecte", en raison de l'effet tampon créé par l'addition de noyaux de fer fixe. Les générateurs d'induction directe présentent une relation linéaire entre la production de courant et l'apparition de traînée mécanique ou couple moteur inverse. Les générateurs à induction indirects présentent une relation non linéaire entre la production de courant et la résistance mécanique. A titre d'exemple, dans un ensemble de tests effectués sur la bobine génératrice supplémentaire du Modèle de démonstration de la Conférence 2014, les données suivantes ont été recueillies: Vitesse de roue lorsque le Générateur n’a pas de charge (circuit ouvert) . . . 370 rpm Vitesse de roue lorsque le Générateur a une charge de 40 LED . . . . . . . . . . 365 rpm Vitesse de roue lorsque le Générateur a une charge de 0 Ω (court-circuit). . 360 rpm Vitesse de roue lorsque le Générateur a une charge de 100 Ω. . . . . . . . . . en diminution Vitesse de roue lorsque le Générateur a une charge de 300 Ω. . . . . . . . . . en diminution Vitesse de roue lorsque le Générateur a une charge de 1000 Ω. . . . . . . . . . . 360 rpm Un générateur standard présente une vitesse maximale avec une charge en circuit ouvert et freine avec une charge en court-circuit. Notre générateur de test présente à peu près la même vitesse maximale le circuit ouvert comme en court-circuit, et freine avec des charges moyennes. Cela démontre que le générateur n’est PAS à "faible résistance" en toutes circonstances, mais qu'il peut produire un courant important avec une résistance très faible dans des conditions spécifiques. Effets de charges du circuit de la diode et du condensateur
D'après les données indiquées ci-dessus, vous pouvez voir que l’effet de la charge de l'éclairage des 40 LED, en utilisant le circuit de diode et condensateur, ne diminue la vitesse de la roue du SG que de 5 rpm. Ceci est une perte de seulement 1,3% de la vitesse et il se trouve en plein milieu des effets de charge entre le circuit ouvert et le court-circuit.
Il s’agit presque de la caractéristique de charge idéal pour ce générateur dans sa configuration actuelle. Alors, comment cela fonctionne-t-il? Cette image est une représentation «instantané» du timing de la production de courant pour charger le condensateur. La diode est connectée à la bobine de sorte qu'elle « capte » le pic de tension lorsque l'aimant commence à quitter la position C. Cela permet que, tandis que l'aimant est en approche du noyau en fer, 100% des forces d'attraction ajoutent à la roue de l'élan, étant donné qu’aucun courant ne circule au cours cette période. Dans un premier temps, juste avant la tension crête généré par la bobine, cette tension est inférieure à la tension du condensateur. Mais comme la tension de la bobine dépasse la tension dans le condensateur, le courant circule dans la bobine, ce qui provoque le remplissage du condensateur ET produit en réaction, la loi de Lenz mécanique contre le champ magnétique externe. Note de B.
de
de
Le délai pendant lequel le courant circule est défini par la zone noire indiquée sur le graphique de la tension induite. La réaction de Lenz produit par ce courant s’appliquée en arrière du champ magnétique externe en opposition exacte de l'angle par lequel il est induit. Dans ce cas, il réduit l'attraction de l'aimant permanent au noyau en fer, qui est encore principalement vertical dans son orientation à ce moment.
Ainsi, la loi de Lenz a été satisfaite exactement comme on le voulait! C’est juste que dans cette configuration, la géométrie ne permet pas à la force mécanique inverse d’agire directement contre la rotation de la roue, qui est toujours indiqué par la flèche rouge. Maintenant nous pouvons voir le génie du petit circuit de John. Il régule automatiquement lorsque le courant est produit lors d’une "fenêtre d'opportunité" où la tension et le courant généré sont les plus élevés possible, pour la résistance mécanique la plus faible. Une fois construit correctement, cela représente la quintessense dont l’Energizer à été conçu afin de produire de façon répété. La conception de cette machine a été mise dans le domaine public depuis 30 ans. La seule raison pour laquelle il n’y a pas plus de gens qui comprennent cette technologie, est que presque personne ne l'a jamais construite et donc, n’a pu observer ce qu'elle faisait. Variantes possible sur la conception Il y a des dizaines de modifications qui peuvent être apportées à cette disposition des composants, afin d’améliorer son fonctionnement. Voici une courte liste de certains d'entre eux: • • • •
Une roue plus grande engendre la réaction Lenz de façon encore plus vertical Plus d’aimants rapprochés produisent encore plus d'événements par tour de roue Un condensateur plus grand réduit la période de production de courant Un volant d’inertie plus important maintient la vitesse de pointe de façon plus constante • Un bon régulateur de la vitesse de pointe réduit l’entrée de moteur électrique Ainsi, la taille améliore définitivement tous les avantages des phénomènes décrits ici. OK, nous allons mettre tous les morceaux ensemble et regarder la machine dans son ensemble, y compris le plus grand modèle d’Energizer de conception Originel de John jamais montré en public.
Chapitre Sept
Details et Analyse de la "Watson Machine” Un peu d'histoire Avant que John publié son petit livre en 1984, des dizaines d'expériences avaient été faites. Donc, il savait que cela fonctionnait. Le problème était qu'il ne savait pas exactement POURQUOI cela fonctionnait. Tom Bearden a suggéré à l'époque une théorie, qui était la seul chose qu'ils avaient pour avancer. Donc, la théorie du "courant phi" et l'idée que "la batterie se charge elle-même" est venu de cette époque. John a toujours dit "qu’il y avait beaucoup de façons différentes pour expliquer cette théorie" et l'idée simple d'exploiter un générateur à "faible trainé" est l'une d'entre elles. Voici le schéma du circuit "original" et le contrôleur que John utilisait.
La machine est un moteur électrique, un volant et un énergizer. Elle fonctionnait et chargait une unique batterie au plomb-acide de 12 volts. Le circuit était un timer à bascule fabriqué à partir de pièces électroniques discrets, qui alimentait le moteur à partir de la batterie lorsque l'électrificateur chargait un condensateur. Ensuite, le circuit déconnectait le moteur de la batterie, et le condensateur se déchargait dans la batterie, suivie par une série de pic de tension provenant directement de l'électrificateur. Puis à ce stade, le cycle recommence. Le timing était asymétrique, et le taux de répétition de la bascule était modifiable. Bien que le moteur était activé et désactivé directement à partir d'un transistor, le condensateur était déchargé à travers un contacteur à relais mécanique. Etant donné que l'Energizer pouvait charger le condensateur avec une faible traînée, le moteur pouvait faire fonctionner la machine à sa "vitesse maximale" en consommant le minimum d'énergie provenant de la batterie. La taille du condensateur a été choisie pour donner à la batterie un appel de courant inverse significatif, pour optimiser la charge, et la taille du volant d'inertie a été choisie pour maintenir la vitesse la plus élevée possible pendant la phase de décharge du condensateur lorsque le moteur n’était pas alimenté. Pour obtenir un système qui fonctionne, différents paramètres ont besoins d’être ajustées afin d’obtenir le meilleur équilibre, puis la vitesse à laquelle ces phases étaient commutés était la dernière peaufiné. John peut toujours affiner ses unités, mais la plupart des autres ont eu
ces
à du
mal avec cela.
Après la publication du livre de John, Jim Watson pris contact avec lui, et ils ont eu de nombreuses discussions au téléphone. Jim n’était pas très familier avec l'électronique, et a demandé à John de développer un circuit de commande encore plus simple. En réponse à cela, John a développé ce circuit timer 555 avec relais.
Utilisant ce simple circuit contrôleur, Jim Watson a construit sa première machine. Ce modèle est représenté ici. C’est un moteur de ventilateur automobile de 12 volts faisant tourner un volant contenant huit aimants céramique #8. Les aimants font face à huit bobines génératrices montés sur une plaque de base en utilisant des boulons en acier comme les noyaux de bobine. Toutes les bobines Energizer sont connectées en série. Tous les circuits, y compris le condensateur, sont dans la boîte à droite, avec le relais mécanique visible sur le dessus. Les deux commutateurs permettent que le moteur fonctionne directement à partir de la batterie pour arriver à sa vitesse optimale, puis bascule en "mode de fonctionnement" de sorte que la commutation du circuits se fasse automatiquement comme décrit précédemment. Le circuit équivalent est montré ici. Le commutateur sur la batterie met l'appareil sur ON. Cela connecte la batterie directement au moteur lorsque le relais est éteint. Le deuxième interrupteur permet la commutation du relais de commande ON OFF.
et
En outre, vous remarquerez que l’Energizer est connecté au condensateur à à travers un «pont de diode redresseur pleine onde », alors qu’une seule diode a été discuté auparavant. Le pont de diode redresseur pleine onde « prend » simplement à la fois le pic de tension de l'onde de l’Energizer, avant et arrière afin de charger le condensateur.
Cela double la sortie pour un peu plus de traînée sur le système. Avec l’utilisation d’un moteur électrique standard et volant d’inertie, ce compromis fonctionne très bien. Essentiellement, toutes ces images et diagrammes ont été sur le site de John depuis 1996, et rien de tout cela ne s’écarte de la méthode fondamentale qui a été publié dans son livre de 1984 intitulé Bedini's Free Energy Generator. La machine qui a secoué le bateau Jim Watson a été suffisamment impressionné avec son premier modèle qu'il a décidé de construire un plus grand. Dans la période précédant le centenaire Symposium de Tesla à Colorado Springs cet été, Jim voulait juste dire à John qu'il travaillait sur une "surprise" pour la conférence. Jim était un mécanicien automobile accompli, étant capable de travailler sur de grosses machines était bien de son niveau. Voici une photo de ce que Jim Watson a montré aux participants de la première Tesla Society Conference à l'été 1984.
Les dimensions de cette machine Il y a eu beaucoup de spéculations à ce sujet sur Internet, c’est le bon moment pour parler de la taille réelle de cette machine. Il n'y a presque pas d'indices dans l'image. La seule échelle qui peut être raisonnablement déduite par l'image est basée sur la pince de câble de raccordement entre crochets par les marques rouges. Si nous supposons que cette pince est de 6 pouces de long, toutes les autres longueurs et diamètres peuvent être déduites de d’elle. Les attaches de cable: . . . 6" longueur (15.36 cm) Poutre en I: . . . . . .4" hauteur (10.24 cm) Poutre en I du cadre: . . . . . 6 ft longueur (184.32 cm) . . . . . 2.5 ft largeur (76.80 cm) Moteur électrique: . . . . . 6" Diametre (15.36 cm) . . . . . 9.25" longueur (23.68 cm) Arbre sortant de boîte de vitesses: 1.25" (3.20 cm) Volant d’inertie . . . . . . . 24" Diametre (61.44 cm) . . . . . . . 2.5" Bord (6.40 cm) . . . . . . . 2.5" Arbre (6.40 cm) Bobines . . . . . . . . 6.6" Length (16.89 cm) . . . . . . . . 2" Diametre (5.12 cm) Aimants en anneau . . . . . 5.25" Diametre exterieur (13.44 cm) . . . . . 2" Diametre interieur (5.12 cm) . . . . . 1.5" Eppaisseur (3.84 cm) Roue de l’Energizer . . . . . 25" Diametre (64.00 cm) . . . . . 0.75" Eppaisseur (1.92 cm)
Condensateur
. . . . . . 2.8" Hauteur (7.17 . . . . . . 1.42" Diametre (3.63 cm)
Détails de construction Le moteur électrique est en 24 volts, Série Wound, moteur à grande vitesse, à l'origine utilisé comme démarreur d'avion. Ce moteur est relié directement à une boîte de réduction de vitesse. Le rapport exact de réduction n’est pas connu, mais il est présumé être entre 6 pour 1 à 10 pour 1. L'arbre sortant de la boîte de réduction de vitesse est visible et mesurées à 1,25". Cet arbre va directement à un coupleur d'arbre et s’accouple à l’axe de 2.5" passant par le volant. Le volant d’inertie est maintenu par deux grands roulements, un de chaque côté, avec seulement le plus proche qui est visible sur l'image. La vitesse désirée pour le volant moteur est de 500 tours par minute. Sa construction est en fonte, vraisemblablement remise à neuf à partir d'une vieille locomotive à vapeur. Son poids est de 102 lb (46 kg). La roue de l’Energizer est probablement une plaque d'aluminium de ¾ " d’éppaisseur, fixée au bout de l’arbre de 2,5" au-delà du second palier. Les aimants en anneau sont de 1,5 " d'épaisseur, et maintenu par des 0,4" de chaque côté de la roue. Les aimants anneaux sont des aimants de haut-parleur de 5,25 " de diamètre, en céramique n ° 8 matériau ferrite de baryum. Il y a sept aimants anneaux sur la roue. La plaque en arrière de l'Energizer est aussi une plaque d'aluminium. Les noyaux des bobines sont des boulons en acier reliées directement à la plaque. Il y a huit bobines montées sur la plaque face aux sept aimants anneaux sur la roue. Etant donné que les bobines sont déphasés les unes aux autres, chacune d’entre elles a sont propre pont redresseur alimentant les condensateurs. Il y a trois condensateurs de 15,000uf chacun, câblés en parallèle. La tension cible de ces condensateurs au moment de la décharge est de 50 volts DC. Les deux batteries de 12 volts câblées en parallèle ne sont pas visibles, ainsi que le timer du circuit de commande et le relais mécanique qui a régule la commutation. Le schéma de la grande machine est identique au schéma de la petite machine. Le système de relais a été prit d’un relais automobile, de 50 ampères environ.
Autres caractéristiques uniques Les aimants en anneau en mouvement passent devant les bobines et produit une forme d'onde inhabituelle. Comme le premier côté de l'anneau approche de la bobine, la tension voudrait se osciller à un pic positif. Puis, lorsque la bobine est entièrement alignée avec le premier côté de l'anneau, la tension chuté à zéro. Lorsque la bobine entre dans le centre de l'anneau, il se produit le premier pic négatif, mais qui est ensuite rapidement inversée à nouveau lorsqu'il aborde le deuxième côté de l'anneau, alors il y a la production d'un second pic positif. Pour finir, cela est suivi d’un second pic négatif lorsque le deuxième côté de l'aimant annulaire quitte la zone de la bobine. Pour conclure, il y avait quatre événements de pic de tension par interaction de chaque bobine avec chaque aimant annulaire. À 500 rpm, il y aurait 8,33 tours par seconde, et huit bobines étant alimentées par sept aimants annulaires chaque révolution produit quatre événements de tension de crête par interaction. Ce qui produit 1,865.92 impulsion de charge par seconde pour charger les condensateurs. (8 x 7 x 8.33 x 4 = 1,865.92) Rappelez-vous, les bobines étaient de 6,6 pouces de long et 2 pouces de diamètre, et ils produisaient 1 866 événements de tension de crête par seconde pour charger les condensateurs! John rapporte que le timing du relais était fixée à "une commutation par seconde", ce qui signifie que la machine alimente le moteur par la batterie pendant une seconde alors que les condensateurs sont en train de charger. Puis le relais commute, et la machine tourne grace au volant d’inertie tandis que les condensateurs se déchargent dans la batterie suivie par un reste d’impulsions de l’Energizer allant directement à la batterie. A la fin de la deuxième seconde, le relais commute de nouveau, et le cycle se répète. Le procédé permet que 100% de la sortie de l'Energizer soit transféré à la batterie alors que le moteur tourne à partir de la batterie seulement 50% du temps. Le moteur tournant à grande vitesse tandis que le très grand volant fonctionne à une vitesse inférieure offre un fonctionnement très stable à l'Energizer, et est maintenu par une energie relativement faible de l'alimentation du moteur.
Les mythes et les faits Basé sur le témoignage de plusieurs témoins oculaires, elles sont très proches des dimensions de la machine. Dans un enregistrement tiré de la présentation, le poids du volant d'inertie a été donné par Jim Watson de 46kg. Cela rend la machine assez grande, mais un peu plus petite que beaucoup le pensait. Ainsi cela établit la taille de la machine le plus fidélement que possible de la photographie et d'autres sources. Visiblement, Jim Watson n'a pas laissé John inspecter la machine de plus près. Le grand modèle de Jim Watson, sur la conception du « Generateur à énergie libre» de John a été présentée au Symposium du centenaire de Tesla, tenue au Colorado College, à Colorado Springs, le 9 et 12 Août 1984. La publication Proceedings of the Tesla Centennial Symposium, in the Light of Modern Physics (Symposium du centenaire de Tesla, dans la lumière de la Physique moderne) ne mentionne pas la démonstration de Jim Watson et non plus la présentation de John Bedini sur son "Cigar Box Tesla Switch." Apparemment, pour apparaître dans le document publié "Proceedings", les présentations auraient dû être rédigées à l'avance, mais les interventions de Jim et de John ont été essentiellement de nature spontanée. Pendant que la MACHINE semble avoir disparu immédiatement après cette démonstration, Jim Watson n'a pas fait. Les témoins fiables qui ont visité Jim à son domicile peu de temps après la conférence, n’ont pas vu le grand modèle chez lui. fait, personne n'a rapporté avoir vu la machine depuis sa démonstration originale en Août 1984. d'autres photos n’ont refait surface, non plus. Mais une photo de Jim Watson participant au Symposium de Tesla en 1986, prise par Jeane Manning.
En Pas ici,
Deux témoins fiables l’ont également vu lors d'une conférence dont il a participé d'une manière moins visible à Denver en 1990. En dépit de ces multiples apparences, personne n'a jamais été capable de le faire parler de sa machine montré en 1984. Apparemment, «quelque chose» est arrivé qui à provoqué la disparition de la machine et le silence de Jim, mais personne ne sait exactement quoi. À certains égards, John ne comprenait pas la totalité de l’intérêt porté à la machine de Jim. Tout d'abord, ce n’était rien de plus que la conception exacte qu'il avait élaboré et publié plus tôt cette année là, sauf qu'elle était plus grande. Deuxièmement, lorsque l'appareil est en marche, le système de relais est rapidement submergé par des arcs électriques et John doute que l'unité aurait pu fonctionner pendant plus de 20 minutes avant "la fonte" complète des relais. Cette machine était intéressante pour la «démonstration», mais ce n’était pas une alimentation autonome pratique dans sa forme actuelle. Pour mettre cette perspective, voici la figure 1 du brevet US N ° 6.677.730 de John Bedini. Il montre un circuit à semiconducteurs pour charger et décharger un condensateur dans une batterie. L'un des modèles opérationnels qui à utilisé cette conception, utilisait un groupe de condensateurs avec une capacité combinée de 120,000uf, chargée à environ 25 volts. Ils étaient déchargés environ une fois par seconde travers six MOSFET N-channel en parallèles dans une grande batterie de 12 volts. Dans cette situation, la forte hausse de courant dans la batterie était bien plus de 5000 ampères, en fait "la mise en place" de plusieurs capteurs de mesure, ampéremètre et sondes que John à mis dessus. Même avec un refroidissement actif, les dispositifs MOSFET brûlaient en un délai de quelques heures de fonctionnement.
à
La batterie, d'autre part, rentrait immédiatement dans un état "d'ébullition à froid", et la tension, sur une batterie de 100 AH, sautait d’un demi volt chaque fois que le condensateur se déchargait. La machine de Watson déchargait des condensateurs de 45,000uf chargés à environ 50 volts, une fois par seconde dans les batteries. Cela représente effectivement plus de Joules par décharge que le circuit de John. Faire cela à travers un système de relais mécanique estimé à 50 ampères ne pouvait tout simplement pas durer très longtemps! À ce jour, aucune donnée de test définitif n'a jamais été fournie concernant les performances opérationnelles de la "Watson machine". La réalité est, que personne ne sait vraiment ce qu’elle était capable de faire. Il est raisonnable d'en déduire, cependant, que les grandes plaques d'aluminium, les noyaux de bobine à base de vis en acier, et la commutation extrêmement simpliste, que ses performances étaient de façon significative limitées. En dépit de ces faiblesses, visuellement, la machine semblait "Autonomme", au cours d'une courte démonstration elle semblait assez puissante, avec son grand volant tournant à pleinne vitesse, et la batterie gagnait en tension! Peu de temps après que John rentrait de ce colloque, il a été menacé et on lui à dit "de ne plus travailler sur ces technologies" plus longtemps. Il a pris ces menaces très au sérieux et l'a convaincu de changer le cours de son travail dans ce domaine, dans un certain nombre de façons spécifiques. Tout d'abord, il a décidé qu'il ne serait plus présent dans ces types de conférences. Deuxièmement, il a décidé de continuer à travailler sur ces technologies, mais de ne plus publier quoi que se soit de plus, sur les systèmes «autonomes ». Troisièmement, il a décidé qu'il ne construirait pas de modèles assez grand pouvant être une source d'alimentation pratique, même si il savait certainement comment faire. Ses décisions, il les à suivies pendant 20 ans, jusqu'en 2004, lorsque les grands systèmes ont commencé à être construits et testés de nouveau, ainsi que les plans divulgé pour le premier projet "School Girl moteur" sur l'Internet.
John a aussi finalement consenti à commencer à apparaître lors d'une conférence tenue dans sa région en 2010, et de dévoiler de façon de plus en plus précise des informations sur ses découvertes qui ont été publié chaque année depuis lors. Chapitre Huit
Detailes et Analyses du " Generateur G-field ” John a toujours dit que "certains types de générateurs font ce que nous désirons" et ce dont nous avons besoin est de produire du courant électrique avec une composante de résistance mécanique faible. Nous avons examiné de près la construction de l’Energizer, qui est un aimant tournant face à un noyau de fer stationnaire avec une bobine enroulée autour d'elle. Mais John a également fait de nombreux essais d'un générateur qui était construit de façon inverse; Ce qui donne un noyau de fer rotatif avec une bobine enroulée autour, ce déplacent devant des aimant stationnaires. C’est le "générateur Gfield." La conception originale de ce générateur a été développée par un ingénieur suisse nommé Raymond Kromrey. Kromrey a fait des recherches et essais sur ce concept dans les années 1960, et a reçu des États-Unis le brevet # 3,374,376 sur la conception de base en Mars 1968. Voici une image du brevet. L'invention est intitulé «Générateur électrique » dans le brevet. Dans d'autres rapports, Kromrey fait réfèrence au «Generateur ferromagnétique» et aussi comme le «Générateur moléculaire ».
Etant un ferme croyant de la "loi de la conservation de l'énergie", il a postulé que le gain d'énergie produite par la machine venait d'une interaction avec le champ gravitationnel, mais il croit aussi que la masse spécifique du rotor a participé dans ce gain.
Résumé des Caractéristiques opérationnelles Le brevet américain est écrit d'une manière relativement simple, et le brevet est délivré se fondant sur la seule conception de la physique. Il n'y a aucune tentative pour officiellement «revendiquer» que le générateur utilise quelque chose d'inhabituel.
Toutefois, dans le corps du brevet, les données expérimentales qui sont disponibles prennent en charge une analyse extrêmement inhabituelle de la machine. Voici l'image de la figure 6 du brevet, et les paragraphes du texte de brevet qui l'expliquent. Il décrit un test de comparaison "côte à côte" d'un générateur standard et du nouveau générateur à l'égard de la résistance mécanique engendré sous charge.
Alors, nous voyons ici pour la première fois, dans le brevet de Kromrey, les composants fondamentaux des "dispositifs d’Energie libre" de John, constitué d'un moteur électrique, un générateur de faible traînée et un volant d’inertie.
Un peu de retour sur l’histoire... Quand John découvrit pour la première fois le brevet Kromrey, il savait qu'il pourrait détenir la clé de ce qu'il cherchait. Il a immédiatement tenté de communiquer avec l'inventeur en Suisse. Malheureusement, au moment où John a fait cela, Raymond Kromrey était déjà mort. Il a réussi, toutefois, à traquer sa veuve encore vivante. John a expliqué à Mme Kromrey qu'il était intéressé par le générateur et qu’il voulait avoir la permission de faire quelques recherches dessus. À sa grande surprise, il a constaté que Mme Kromrey détestait ce générateur et qu'elle était vraiment très amère qu'on avait «volé» son mari dans ses dernières années. Elle a dit à John qu'il pouvait faire ce qu'il voulait avec et de ne pas de nouveau communiquer avec elle.
Réplication de John Bedini Livré entièrement à lui, John a commencé à répliquer la machine et voir s’il pouvait reproduire les résultats rapportés par Kromrey. Voici une photo d'un des premiers modèles du "Générateur G-field". Il l'a appelé ainsi parce que Kromrey croyait en l’énergie excédentaire venant du champ gravitationnel (Gravitational Field). Les premiers modèles ont prouvé que Kromrey disait juste sur les caractéristiques de faible traînée du générateur. Mais il y avait autre chose qu'il n’avait pas mentionné.
La machine était HORRIBLEMENT BRUILLANTE lors de son fonctionnement. Elle faisait un bruit de grondement sourd, dur comme un Bruit de Scie car les champs magnétiques étaient coupés. Aucune modification n'a jamais été trouvée pour calmer cela. En dépit de cela, John a essayé d’intéresser les gens par cette technologie par la construction et la vente de dizaines de ces modèles entièrement opérationnels avec un partenaire qui lui à finalement prit la plupart de l'argent. Il ne fonctionnait pas comme John voulait! Le département d’ingénerie Electrique de l'Université sur la côte Est à acheté l'un des générateurs, et puis neuf autres, et les a testés intensivement. Lorsqu’ils s’empressent de données les résultats des tests, ils n’ont dit à John que deux choses; de une, qu'ils ne pouvaient «pas enseigner cette science à leurs élèves", et de deux, que ... Ah au faite .... "Il fait un bon chargeur de batterie." Alors nous voyons ici comment le travail de John a mis cette technologie en avant. Kromrey savait que le générateur avait une très faible traînée lorsque le circuit de charges était en cour-circuit, mais il n’avait jamais tenté de prendre la sortie et de l'utiliser pour charger une batterie, et il n’avait certainement pas pensé à utiliser la sortie pour alimenter le moteur d'entraînement pour rendre le système "autonomme". Ses idées ceux sont développées progressivement au cours des recherches de John. L'autre difficulté du générateur Kromrey était que l'électricité était produite sur le rotor, ce qui signifie que la puissance ne pouvait être prise hors de la machine qu’à l'aide de brosses ou contacts glissants. Les deux commutateurs et brosses ou bagues AC sont énnoncées dans le brevet.
Analyse des vecteurs de force magnétique lors de l'opération La conception originale du générateur de Kromrey a un certain nombre d'avantages uniques, comme de fournir du courant électrique sans résistance. Certaines de ces caractéristiques sont illustrées dans l'image à droite, où nous nous pencherons sur le générateur dans une vue de côté. Dans la position A, on voit que le rotor est aligné avec les aimant en stator, et est donc magnétisé à son degré maximal. Le point au milieu de la pièce de rotor représente l'axe autour duquel pivote le rotor et la petite flèche Rouge indique le sens de rotation. En position B, le rotor s’est déplacé hors de l'alignement avec les aimants du stator lorsqu'il tourne dans le sens des aiguilles d'une montre. La flèche verte représente la force d'attraction entre l'aimant de stator et le rotor de fer, qui dans ce cas est en sens opposé au sens de rotation. Cependant, la façon dont procède le rotor de la position B jusqu’autour de la position D, le rotor est assez loin du stator pour qu'aucunes forces magnétiques externes puisse l'attirer dans aucunes directions.
Pendant cette période, le fer du rotor tente de se dé-magnétiser et la réaction de la loi de Lenz sur le courant de la charge essaie de retarder ce changement de flux magnétique. Après un examen minutieux, il devient évident que plus l’impédance de la charge est faible, plus la production de courant sur le rotor sera important, plus le champ magnétique décroît lentement et plus le champ magnétique persiste, tout en ne produisant aucune interaction avec le stator. C’est l'une des raisons pour laquel Kromrey à appelé cela le «Generateur ferromagnétique ». Plus le rotor contient du fer, plus le champ magnétique est susceptible de se maintenir, tout en produisant du courant dans les charges de faible impédance. Cela signifie aussi que le rotor n'a pas besoin d'être re-magnétisé aussi souvent pour continuer à produire du courant, permettant surtout de produire la pleine puissance à des vitesses inférieures, ce qui est exactement ce que Kromrey à rapporté. Kromrey a déclaré que la charge mise en court-circuit, neutralisait totalement l'attraction magnétique du rotor en quittant l'alignement de la Position A, de sorte que la flèche verte montré dans la position B ci-dessus n’apparaissait même pas! Et il y a encore une caractéristique intéressante. Rappelez vous de ce qui à été dit dans le Manuel intermédiaire SG où les propriétés d'inertie de électricité ont été abordées. Ici, dans le générateur Kromrey, l’armature du rotor et les bobinages de sortie sont soumis à une force centrifuge très importante pendant le fonctionnement et l'enroulement de ces bobines est apparemment conçu pour tirer avantage de cela.
Voici un gros plan pris à partir de la figure 6, vu aussi à la page 67. Remarquez comment les quatre sections des bobines de rotor sont enroulées et comment elles sont reliées entre elles. Faits saillants du Rapport de Kromrey Avant sa mort, Raymond Kromrey a produit un rapport de 15 pages intitulé Principes de fonctionnement du Générateur ferromagnétique, une copie complète est incluse dans l’annexe de ce livre. Il parle de théories sur la façon dont le générateur fonctionne et d’où l'énergie excédentaire proviendrait. Mais plus important, il publie quelques données de test et résumer de performances. Voici une liste de certains des revendications: • Transformation de l'accélération due à un champ magnétique permanent en énergie électrique • A un effet de freinage négligeable dans les conditions de court-circuit • Capacité à produire de l'énergie maximale dans des charges d'impédance extrêmement basses sans surchauffe Capable de produire des niveaux de puissance stables sur une large gamme de vitesses •
Ce graphique est dans le rapport de Kromrey. Il illustre la courbe de vitesse et de puissance inhabituelle et non linéaire de la machine. Il montre que le nouveau générateur électrique était en mesure de produire 330 watts à environ 450 rpm, alors que le générateur classique ne produisait environ que 120 watts. Il montre également que le nouveau générateur atteint une puissance maximale de 500 watts à environ 830 tours par minute et continue à produire 500 watts jusqu'à environ 1200 rpm (et au-delà).
Récapitulatif De toute évidence, le Générateur de Kromrey était capable de produire à la fois du courant électrique et de la puissance tout en évitant, ou re-dirigant, les réactions de loi de Lenz contre le stator. Cette capacité de produire de l'électricité sans résistance mécanique a été découvert dans les années 1960 et à été re-vérifiée par John Bedini dans les années 1980. Mais la machine était vraiment bruyante lorsqu’elle fonctionnait, et elle nécessitait des contacts glissants complexes pour profiter de la puissance. John cherchait quelque chose de mieux. Au minimum, il voulait un générateur qui avait une faible traînée, mais également un qui fonctionnerait discrètement, sans avoir besoin de contacts à balais. En Juin 1984, quand il a publié Bedini's Free Energy Generator, la conception de l’Energizer montré dans le livre réalisé tous ces objectifs. Oh oui, et cela… Le dernier petit "détail" du générateur Kromrey qui a été généralement négligé est le fait qu'il produise une «qualité» d'électricité différente que les générateurs classiques. Bien sûr, cela n’est pas censé exister, mais John à documenté ce fait à maintes reprises. Lors d'une manifestation d'une grande machine à Los Angeles pour un groupe d'invités VIP dans une salle de conférence d'hôtel, John a réussi à allumer 3000 watts d'ampoules de la machine à travers d’incroyablement petits fils de # 30 gauge de calibre sans effets de chauffe. Le moteur électrique d'entrée consommait 525 watts à partir d'une alimentation stabilisée. Le phénomène a été jugée "tellement incroyable" que la plupart des ingénieurs présents ont tout simplement commencé à chercher les "vrais" fils endessous le tapis! Bien sûr, il n'y en avait pas, mais la démonstration était tellement en dehors de la "vision du monde" classique des ingénieurs électriques, que personne ne croyait ce qu'ils voyaient, et tous les investisseurs potentiels ont été dissuadés de s’y impliquer.
Voici un bref article de cette réunion:
Chapitre Neuf
Autres Avantages, Anciens et nouveaux Pendant tout le temps où tout cela se passait, John et son frère Gary s’occupaient de Bedini Electronics, Inc., société de fabrication d’électronique et de la vente d’amplificateurs audio à haute fidélité, conçus par John. Cela lui à permit d’être en contact avec une grande variété d'autres ingénieurs électriques et les concepteurs de circuits électroniques qui vivent dans la région de Los Angeles, et ailleurs. Un de ces confrères était un brillant ingénieur nommé Ron Cole. Ron a travaillé pour la chaîne de télévision locale NBC à Los Angeles (KNBC) et était un inventeur exceptionnel et le constructeur de modèle en son nom propre. Ron était la personne qui avait présenté John à Ed Gray en 1974. Comme ils ont appris à ceux connaître les uns les autres, ils ont constaté qu'ils avaient un grand nombre d’intérêts en communs, et des années plus tard, ils allaient travailler ensemble sur des projets jusqu'aux petites heures de la nuit. Dès le début, Ron et John savaient que le moteur de Ed Gray était en mesure de fonctionner, produire de l'énergie mécanique de façon importante, et tout en même temps de garder ses batteries chargées. Mais le système de Gray était incroyablement complexe et nécessitait des tensions très élevées pour accomplir ses exploits. C’est sur ses deux énoncée qu’ils se sont mis en quête de trouver une "manière plus simple" pour accomplir le même résultat final. La découverte puis l'expérimentation du générateur Kromrey les a convaincus qu'il y avait une possibilitée "basse tension" à la compréhension de la machine électromécanique auto-exécutable. Après cela soit établi, ce n’était juste qu’une question d’expérimenter le fonctionnement, afin de trouver la meilleure façon. Mais Ron a travaillait pour une grande entreprise, et ne pouvait pas se permettre d'être ouvertement associée à une technologie radicale comme celle-là. Donc, en grande partie, il a travaillé avec John de façon privé, et cça été une collaboration très créative.
G-field se transforme en configuration G-flux Un des premiers schémat à apparaître avec le nom de Ron Cole est sur cette image. John a également mit le nom de Tom Bearden sur ses dessins afin d'honorer son travail de testeur de modèles et offrant des idées théoriques, mais Tom n’a jamais vraiment aidé John à concevoir un de ces dispositifs. C’était la première variation du "Générateur G-field" où ils ont essayé d’abandonner les contacts glissants et de mettre à nouveau les bobines dans le stator. Cette image est datée de Juin 1984, qui est exactement quand John a publié son livre. Mais cette conception n’était pas dans le livre. Ici, nous voyons l'un des premiers modèles de cette configuration, construites par Ron Cole dans son laboratoir. Les résultats des tests sur ce type de machine étaient très bons, et ont démontré un grand nombre des mêmes avantages de performance que la conception de Kromrey l’avait fait.
À une exception près. Ce générateur montrait un profil "de traînée inverse" comme la plupart des autres générateurs standars à réluctance commutée. Mais voila, il montre une traînée maximale dans des conditions de «circuit ouvert» et une traînée minimale en conditions de "court-circuit", d’où le "sweet spot" est lors d’une charge de très faible impédance.
Voici les données d'un ensemble de tests sur cette machine. Test 1: Pas de charge (circuit ouvert) Puissance d’entrée 25.4 Volts at 3.90 Amps= 99.00 Watts Puissance de sortie 48 volts Test 2: Charge = 37.33 Ohms Puissance d’entrée 25.3 Volts at 3.90 Amps= 98.67 Watts Puissance de sortie 28 Volts .75 Amps= 21 Watts Test 3: Charge = 13.50 Ohms Puissance d’entrée 20 Volts at 3.39 Amps= 67.80 Watts Puissance de sortie r 50 Volts at 3.70 Amps= 185.19 Watts Test 4: Charge = 0.63 Ohms Puissance d’entrée 21.9 Volts at 2.30 Amps= 50.37 Watts Puissance de sortie 20 Volts at 31.75 Amps= 634.92 Watts Ces résultats des tests ont été affichés sur le site Web de John depuis 1996 et ont été généralement ignoré. C’est compréhensible, car ils ne précisent pas la vitesse du générateur pendant les différents résultats du test ou le circuit de sortie spécifique montre une sortie redressée alimentant une charge résistive. Mais il y a d’autres preuves que cette conception a fonctionné avec une très faible traînée, dans des conditions de faible impédance de charge, y compris la charge de batterie. Système à deux batteries
Cette image, publiée en 1988, montre un générateur de style Kromrey charger une seconde batterie pendant que le moteur d'entraînement fonctionne à partir de la première batterie. L'énergie mécanique en excès est ensuite utilisée pour une utilisation par une charge mécanique extérieure.
Le boîtier de commande comprend un circuit vert qui surveille les tensions des batteries et commute automatiquement les batteries, lorsque la tension tombe à 11,1 volts.
Dans cette image, datée de 1989, nous voyons que cette configuration est maintenant désigné comme le "G-flux Energizer." La légende de cette image dit aussi que cette conception a été développée pour équiper un bateau électrique avec l'énergie mécanique en excès utilisée pour la propulsion et l'Energizer est utilisée pour fournir un temps de fonctionnement important sur le système des batteries.
Ainsi, en 1989, nous voyons des améliorations significatives depuis le circuit autonome Energizer décrit dans le livre de 1984, qui n’utilisait qu’une seul batterie. Le dessin cidessus montre un rotor deux pôles, mais prévoit spécifiquement un rotor à huit pôles. Cette disposition a été testée sur un grand nombre de systèmes au fil des ans, comme dans ce modèle. Circuits de commutation et contrôle du moteur Alors que John se concentrait sur la simplification, et le circuit unilatéral, autodéclenchée qui a évolué en circuit SG que nous connaissons aujourd'hui, Ron était intéressé dans l'utilisation des configurations afin de produire plus d'énergie mécanique,
comme les moteurs électriques standards le font.
Pour ce type d'opération, Ron avait besoin d'un circuit de commutation à double sens, de sorte que les bobines pourraient être mises sous tension, et ensuite complètement déconnectée de l'alimentation, avant d'être reconnecté dans la polarité opposée. Voici un exemple de l'un des composants, Energizer auto-alimenté déssiné lors de cette période. Il à été conçu à la fois comme un moteur et un générateur, mais deux pôles magnétiques nord et sud, de sorte que les circuits à double sens de commutation ont été nécessaires. Cette image est datée du 23 août 1986. Elle stipule également huit pôles sur le rotor, ainsi qu'un dispositif "à effet Hall" l'extrémité gauche de l'arbre, avec ses propres petits aimants, pour contrôler la synchronisation du moteur.
a
à
Cette image montre un modèle de cette topologie construit par John dans les environs de 1983. Il a utilisé les premiers aimants NEO, répertoriés comme "aimants fer-boron" dans le dessin, et d’assez larges entrefers entre les rotors et les bobines. Il avait deux bobines motrices-génératrices sur les mêmes noyaux sur les deux stators. Contrairement au dessin, ce modèle avait une "bobine de déclenchement" séparé monté dans le coin supérieur droit, avec des fils très fin qui en sorte.
Voici le circuit utilisé pour l'alimentation de ce type de moteur combiné, moteur/électrificateur qui utilise les deux pôles magnétiques des deux côtés du rotor.
Ce circuit ne montre qu'une seule batterie d’alimentation avec une répération inductive colléctée par un pont redresseur pleine onde et stockées dans un condensateur, qui est ensuite éventuellement dirigé vers une charge externe ou vers l'alimentation primaire. Le but de ce circuit n’était pas de définir toutes les options de récupération, mais de définir clairement la conception de la bobine d'entraînement pour une configuration bi-polaire comprenant une pleine déconnexion et pleine inversion des bobines pendant le fonctionnement. Le " Window Motors " de Bédini utilisé ce circuit parfaitement bien.
Rappelez-vous, la commutation électronique de ce type n'a pas été utilisé dans les moteurs commerciaux pendant encore les 20 ans qui suit, donc c’était des choses très sophistiqué pour 1986. Ron et John ont également développé un circuit de commande unilatéral que John a utilisé dans différents modèles de ses moteurs "Monopole" depuis cette époque.
Voici une variante du " Bedini-Cole Switch " qui est déclenchée par un "bobine de commande" comme le SG, mais il pourrait aussi être déclenché par un dispositif à effet Hall comme le circuit sur l'image précédente. Dans cette image, nous voyons une conception de la bobine classique double, fonctionnant en "mode de répulsion forcée" en utilisant le BediniCole switch simple, monté sur la plaque noire en bas à droite. Le dispositif à effet Hall est déclenché par une deuxième série de petits aimants montés sur la petite roue blanche sur l'arbre. Et voici une autre version du comutateur double face déclenché par des reeds magnétiques. Ce "Moteur à ligne neutre" conçu par John et construit en 2003 pourrait atteindre 11 000 rpm. Le point est, que tout cela est de la R D, et des dizaines de variations ont été essayées et avérées fondées. Les circuits que John a eu sur son site Web sont juste des «échantillons» des nombreux circuits qu’il a construits et testés.
&
Version Monopole du Motor Energizer G-flux Un des modèles les plus intéressantes développées par Ron Cole pendant cette période était cette configuration Monopole, utilisant des aimants en céramique en forme d’anneaux et des pièces polaires en fer sur le rotor. La conception est extrêmement compacte et elle permettait des densités de flux élevés dans les noyaux des bobines depuis la faible densité de flux des aimants en céramique. Elle était également d’une application très universelle, travaillant aussi bien comme un moteur à couple élevé avec récupération inductive, ou comme un Energizer de faible traînée, alimentant des charges de faible impédance, ou les deux. Il pouvait fonctionner comme un moteur à répulsion en utilisant le Bi-Polar Switch ou comme un moteur en attraction avec la commutation simple face, comme un SG. C’est une configuration qui pourrait tout faire.
Et cela montre un autre des talents que Ron Cole avait. En plus d'être un ingénieur et concepteur de circuits brillant et, il était aussi un illustrateur doué. Il devrait être assez clair maintenant que cette technologie a été développée à un niveau très élevé dans les années 1980, mais en raison des menaces que John a reçu en 1984, ils faisaient très attention à qui ils avaient à faire. Quand Ron Cole est mort, tous ses modèles de travail et les fichiers ont été confisqués par la NBC parce que son contrat stipulait que tout ce qu'il développait au cours de sa période d'emploi, leur appartenait.
La période de silence (1989 - 2004) John a déménagé en Idaho en 1990 pour des raisons liées à son activité d'amplificateur audio, et pour se rapprocher de son père, qui vivait à Coeur d'Alene. À ce stade, il avait presque renoncé à jamais d’apporter cette technologie comme un produit. Dans le même temps, il décide de commencer la construction de petits modèles dont la plupart des variations de système qui ont été développés dans les années 1980. C’est la période où John perfectionna le petit circuit simple qui peut permettre à un moteur de jouet de fonctionner une impensable durée sur une seule pile de 9 volts. Des dizaines de modèles ont été faits avec ce circuit utilisant à la fois plastique et bois. Voici un petit échantillon, des modèles de travail dans le musée de John!
Shawnee Baughman construisa son moteur pour son projet de l’Exposition de sciences au cours de l'année scolaire 1999-2000 car John avait posté les plans du circuit sur le site Web de KeelyNet en Mars 2000. Tous les ingénieurs en électronique et supposé "personnes intelligentes" qui fréquentaient le site a rejeté le plan comme "dénuée de sens". Comme aucun d'entre eux ne prit la peine de construire le modèle, c’est un cas classique de "condamnation sans enquête". John avait 20 années de modèles de travail dans sa boutique! Il ne comprennait tout simplement pas pourquoi personne n’était disposé à voir cette technologie.
Le projet du SG décolle (2004) À l'été 2004, Sterling Allan a visité la boutique de John. Il lui à tout montré. Etant donné que Sterling voulait être celui qui allait dévoiler l'histoire de "l’Energie libre" dans le monde, il a demandé à John si il pouvait publier un ensemble de plans et une liste de pièces, afin que les gens puissent construire un dispositif eux-mêmes. Etant donné que John avait déjà fait cela avec KeelyNet, il a accepté de délivrer un ensemble à jour de plans pour Sterling. Voici une image de la liste schématique et pièces donné à Sterling pour le circuit "d'un transistor" en Septembre 2004. Cette nouvelle série de plans avait deux différences par rapport au circuit de KeelyNet. Tout d'abord, il l'a appelé le "School Girl Motor" volontairement pour insulter tous les gars supposés intelligents qui n’avaient pas vu la première fois, ni à la seconde, qu’il a utilisé un système à deux batteries, où lorsque le moteur est alimenter par une batterie, il charge directement la deuxième batterie de l'énergie récupérée. Sterling a également lancé un forum de discussion sur Yahoo Groups, afin que les gens puisse communiquer entre eux à la construction de leur projet.
Sterling a même construit un modèle qui fonctionnait très bien pour une première tentative, étant capable de recharger la seconde batterie à environ 90% du taux de la décharge de la première batterie.
En dépit de cela, Sterling à finalement déclaré que la technologie était un "canular" et que ce n’était pas une machine à énergie libre car elle ne pouvait pas fonctionner indéfiniment sans que les 2 batteries ne se déchargent. Mais le "chat était sorti du sac" pour ainsi dire, et les gens partout dans le monde ont commencé à rapporter de bons résultats et voulaient en savoir plus. En 2005, Rick Friedrich à été nommé pour être le modérateur du forum de discussion, puis finalement remis à John en 2011. Les forums de discussion ont été une avancée majeure de la période «sans publicité», mais ils ont produit beaucoup de confusion, parce que beaucoup de gens ont posté sur la façon dont ils pensaient que le circuit fonctionnait. Finalement, l'effort a été déployé pour expliquer les découvertes de John dans une série définitive de manuels appelé Bedini SG Handbook Series, dont celui-ci est le dernier volume. La Ferris Wheel de Bedini (2010) D’Août 1984 à Novembre 2010, la "Machine Jim Watson" était le plus grand modèle jamais montré en public de la technologie de John. Cela a changé le 13 Novembre 2010, lorsque John a dévoilé sa machine "Ferris Wheel" à un public de plus de 400 participants, à la première conférence Bedini technologie au Coeur d'Alene, dans l’Idaho. Cette photo a été prise par l'un des participants à l'arrière de la salle. La machine d’un diamètre de 4.3m peut être vue malgré la distance.
La construction de la machine a pris plus de deux mois et coûter plus de $ 20,000. Elle a été conçue pour démontrer la technologie de John à la foule d'une manière théâtrale. Au-delà de cela, elle a eu une vie relativement prosaïque.
Elle a été de nouveau montrée à la conférence de 2011, après quoi, elle n'a jamais été de nouveau entièrement assemblée. Le problème était que lorsqu'elle était complètement assemblée, la machine était de 6 centimètres plus grandes que les portes vitrées de la boutique de John. C’était beaucoup de travail pour reconstruire la partie supérieure de la roue et depuis, pas plus de tests ont été effectués sur elle, et elle n'a jamais été remontée. Elle est restée partiellement démonté à la boutique de John jusqu'en 2012, et a finalement été déplacé dans la réserve, lorsque John re-dimensionna son magasin en 2013. Elle reste partiellement démonté, mais potentiellement encore opérationnelle aujourd'hui. La machine avait trois grandes bobines en bas et fonctionnait en mode "pleine puissance" avec bi-polar "Bedini-Cole Switch" comme celui montré à la page 82. La seule différence était que les composants du controleur (switch) à été modifiés pour fonctionner avec un circuit de très faible impédance. L'entrée est de 36 volts (trois batteries de 12 volts en série) et la sortie également. Les batteries bouillaient en continu pendant le fonctionnement, et John n'a jamais fait fonctionner plus de 30 minutes en continu en mode pleine puissance. Les batteries étaient trop petits pour être chargée si fortemment. Bien que John n’ait pas révélé l'ensemble du schéma de la machine Ferris Wheel, il y a un peu de données sur l'Internet. Voici un dessin qui est affiché sur un forum de discussion dédié à cette machine. Il montre comment les aimants sur l'interface de roue avec les trois bobines, et le circuit commande étant fondamentalement un "Bedini-Cole Switch".
la de
La machine avait également une partie « moteur sur moyeu » de 61cm de diamètre qui fonctionne comme un moteur pendant la "mode veille" et comme un générateur en mode "pleine puissance". Le circuit utilisé ici était aussi un commutateur Bedini-Cole Switch modifiée, avec récupération pour charger les batteries du systéme. Pour plus d'informations sur les détails techniques de machine Ferris Wheel, cliquez ici: http ://www.energeticforum.com/j ohn- bedini/6786bedini-ferris-wheel-regauging- motor.html
la
Une batterie, deux batteries, trois batteries, quatre ... Ce livre ne serait pas complet sans mentionner l'importance du rôle de la batterie dans tous les systèmes de John. À ce jour, John a construit et démontré des machines et des circuits fonctionnant en "auto-alimentation" en utilisant une batterie, deux batteries, trois batteries, et quatre batteries. Tous les systèmes ont démontré qu'il a au moins une batterie. La batterie est un élément central dans l'ensemble de l'œuvre de John. En 1984, dans le livre de John Bedini's Free Energy Generator, il montre la méthode de construction d'une machine auto-alimenté en utilisant une seul batterie. Ce processus tire de l'énergie de la batterie pour alimenter un moteur à courant continu ordinaire, à (induction directe) pour produire de l'énergie mécanique. Cette énergie mécanique est utilisée pour maintenir la rotation d'un volant (inertie stockée) et un Energizer, (générateur de faible traînée) qui est utilisé pour charger un condensateur (stockage de charge électrique) tout en dissipant peu d'énergie mécanique.
Les moteurs de traction ordinaires DC de ce type utilisent leur Force électro-motrice de retour "EMF de retour" ou "back EMF" autogénéré en interne, pour limiter le courant consommé par le moteur en relation directe avec la vitesse.
Cela signifie que plus il tourne, moins de courant est consommé. Ainsi, le système fonctionne mieux lorsque le moteur se rapproche de sa "vitesse de pointe". La vitesse favorise également l'Energizer, car il produira plus "d’événements de pics de tension" par seconde pour charger le condensateur, plus vite il se chargera. Le "sweet spot" pour cette machine est un mécanisme de très faible friction! Mécaniquement, il doit être parfaitement alignée et montée avec des roulements à faible friction de sorte qu'il soit capable d'atteindre sa vitesse la plus élevée possible pour le frotement mécanique le plus faible. Comme la vitesse augmente, le moteur consomme moins d'énergie et moins de courant électrique de la batterie, tandis que l’Energizer est capable de transmettre de plus en plus de retour depuis la décharge du condensateur. À une vitesse critique, le système commence à mettre plus d'énergie dans la batterie qu'il n’en prend, et il passe en mode "auto-alimenté". La machine contient en elle, trois composants de stockage d'énergie ; le volant, le condensateur et la batterie. Durant le mode "auto-alimenté", les trois composants de stockage d'énergie atteignent leur capacité maximale. Le volant moteur maintient la vitesse maximale, lors des alternances d’alimentation du moteur électrique. Le condensateur est constamment chargé par les impulsions de l’Energizer d'une manière qui ne prend presque aucun élan du volant d’inertie. À la vitesse de fonctionnement, le moteur électrique consome un minimum d'électricité de la batterie d'environ 50% du temps, tandis que 100% de la production de l'Energizer est soit, recueilli dans le condensateur, ou livré directement à la batterie l'autre 50% du temps.
La batterie est le réservoir d'énergie primaire du système. Elle contient l'énergie pour démarrer le système, atteindre la vitesse de fonctionnement, et elle a la capacité d'absorber toute l'énergie excédentaire produite par le système. Pour faire une centrale électrique dans la maison sur un tel système, il suffit de mettre de plus en plus de batteries en parallèle avec la première, et d'utiliser un processus de commutation qui permet de les protéger pour ne pas qu’elles brulent. Après ça, comme John dit toujour, il faut simplement le "laisse le fonctionner" .....
Aussi simple que cela semble, John a constaté que la plupart des gens n’arrivaient pas à le faire fonctionner. Pour la plupart, ce n’était pas de leur faute. Le problème est la batterie. Le fait est, que les batteries n’aiment pas être "chargé et déchargé" simultanément ou même de manière séquentielle, en succession rapide. Cela a à voir avec l'énergie requis pour surmonter constamment l'élan inertielle stockée pour déplacer les gros ions de plomb en avant et en arrière dans l'électrolyte. Pour contourner ce mécanisme de perte "de masse d'inertie" au niveau moléculaire, John a développé son système à deux batteries, où l'une batterie alimente la machine et l'autre batterie est chargée pendant un certain nombre d'heures, et elles ne sont interchangées seulement une ou deux fois par jour. Cela fonctionnait beaucoup mieux, mais encore la plupart des gens n’arrivaient pas à le faire fonctionner. Les raisons pour lesquelles la plupart des expérimentateurs ont obtenu de mauvais résultats avec le système à deux batteries, sont étudiées en détail dans le Manuel intermédiaire Bedini SG. Et cela nous amène à l'étude du système à trois batteries. Pour la plupart, le système à trois batteries a été présenté comme une méthode pour expliquer pourquoi le système à quatre batteries fonctionnait. Au cours des dernières années, cependant, un couple d'expérimentateurs qualifiés ont trouvé qu'il a un certain nombre de mérites spécifiques, à lui tout seul.
Ce schéma a été mis sur le site Web de John depuis 1996 et montre une méthode par laquelle une batterie à plat peut être chargée tout en exécutant une "charge à faible résistance", comme un moteur électrique tournant un Energizer, par exemple! Cette méthode permet à un moteur électrique ordinaire de fonctionner alors que le courant est conservé pour charger une batterie en même temps.
John montre que par la rotation des batteries autour de chacune des positions, toutes les batteries s’améliorent dans leur état de charge, tout en faisant fonctionner la charge. C’est là que la plupart des scientifiques "qui se respecte" perdent tout intérêt. Tant que vous croyez à la "loi de la conservation de l'énergie," vous ne pourrez PAS envisager d'étudier ce phénomène. Tant que vous croyez que la charge "consomme" de l'électricité, vous n’enquêterez pas sur le rapport (proportion) de qu'elle énergie est "conservée" en même temps qu'elle est utilisé. Pour en savoir plus sur ces développements, consultez ce forum de discussion avec plus de 300 postes: http://www.energeticforum.com/renewable- energy/10610-3-batterygenerating-system.html Mais c’est encore plus fou avec le système à quatre batteries! Ce dessin sur le site de John depuis 1996, et son travail avec les circuits de ce genre remonte à 1983. Cette idée à d'abord été présenté par Ronald Brandt, mais circuit topologie John l’a finalement nommé le "Tesla Switch".
est
ce
Le circuit montre une charge devant être actionné entre les bornes négatives des deux batteries qui sont alternativement raccordés en série et en parallèle avec deux autres batteries, produisant une variation de courant entre deux points de potentiel "égal".
Lorsqu'il est activé brusquement entre ces deux états, la charge fonctionne sur une "forme froid" de l'électricité sans décharger les batteries. John était intéressé par ce phénomène, car il a suscité l'expression du même genre de "l'électricité modifié" qu'il a si clairement démontré avec ses essais sur le générateur Kromrey.
Historiquement, le circuit peut être retrouvé, non pas attribué à Nikola Tesla, mais le brevet à été délivré à Carlos F. Benitez en 1915, un ingénieur civil vivant à Guadalajara, au Mexique. Voici la première image de ce brevet. Elle montre quatre batteries étant connectées séquentiellement en série ou en parallèle, et les charges sont utilisées à partir des fluctuations du courant entre les bornes négatives. Les descriptions du brevet de Benitez révèlent clairement la méthode, mais le brevet ne mentionne pas un changement dans la «qualité» de l'électricité. Ronald Brandt était le premier à indiquer clairement que les courants se déplaçant dans ce système avaient des "propriétés inhabituelles" et John Bedini est absolument la première personne de l'histoire à obtenir un tel système fonctionnant avec une commutation purement statique (solide state). Voici une photo de John montrant ce premier démonstrateur à l'état solide à la Tesla Symposium du centenaire 1984.
Que Ronald Brandt est redécouvert cette méthode à travers l'expérimentation, ou en quelque sorte connaissait le travail préalable de Benitez, n’est pas connu. Ce qui est su, c’est qu'il a été présenté par John.
Tous les systèmes que John à montrés utilisent des batteries. Bien qu'à première vue, le système à une et deux batteries semblent être dépendants des performances de la faible trainée du style de l’Energizer, générateur, ce n’était PAS ce dont a quoi John s’intéressait !!! John était intéressé par les diverses méthodes qui produisent des formes modifiées de l'électricité, et leurs effets sur les batteries. Une fois que vous comprenez l'importance de la "forme froide" des courants électriques qui apparaissent de manière flagrante à la fois dans le générateur Kromrey et le «commutateur à quatre batterie", très facilement, vous pouvez comprendre pourquoi Tom Bearden théorisé l’idée du courant "Phi" et l'idée que "la batterie se charge elle-même". C’est exactement ce qu'ils voyaient! En ces premiers jours, des expériences ont été faites en avance sur les explications. Elles ont nécessitées de développer un langage pour décrire ces découvertes, et Tom Bearden était le seul qui s’est porté volontaire pour relever se défi. Mais en dehors de ce cercle de personnes, où la preuve de ces réalités a été fermement établie, toutes ces idées ont été rejetées de façon quasi unanime! [Pour plus d'informations sur la méthode "de commutateur à quatre Batterie", jetez un oeil à cela, et d'autres sujets de discussion sur le Forum énergétique: http://www.energeticforum.com/renewable-energy/5227-carlos-f-benitez.html ]
Compromis....#1 Voici ce que toutes les preuves expérimentales suggèrent. Tension et courant sont deux aspects distincts de "l'électricité". Elles peuvent apparaître individuellement ou ensemble. Lorsque la tension apparaît sans courant, la manifestation est une «forme froide" de l'électricité, notamment reconnu comme le pic produit par la décharge d'un inducteur dans une charge à haute impédance. C’est ce qu'on appelle "l'énergie rayonnante" produit par les circuits de SG.
Lorsque le courant apparaît sans tension, il se présente aussi comme une «forme froide" d'électricité, notamment reconnu comme l'énergie capable d'alimenter des charges entre les deux bornes négatives de la "Switch à Quatre Batteries." La tension sans courant est générée par l'effondrement en chute libre d'un champ magnétique, lorsque le courant est interrompu brusquement et l'énergie se décharge dans une charge à haute impédance. Le courant sans tension est généré par la fluctuation des potentiels dans un circuit à basse impédance, quand le courant est interrompu brusquement et le réflet de cette fluctuation apparaît à travers une charge d'impédance faible entre deux bornes négatives. Ces deux formes "d'électricité froide" s’écoulent à travers des fils ordinaires à température ambiante SANS RESISTANCE. La loi d'Ohm ne décrit pas leur comportement au sein d'un circuit. Les mesures classiques sur ces formes modifiées de l'électricité sont régulièrement inexactes. Indépendamment de ces questions de mesure, ces formes d'électricité peuvent effectuer un véritable travail dans les circuits externes. C’est seulement lorsque la tension et le courant apparaissent ensemble que nous avons la présentation standard de l'électricité, nous avons été mal guidé par l’expression, c’est la «seule». Ainsi, l'électricité normale, "l'électricité chaude", apparaît au milieu du spectre, où la tension et le courant apparaissent ensemble. En revanche, les effets "de l'électricité froide" apparaissent aux deux extrémités du spectre, où tension et courant apparaissent l’un sans l'autre. S’il y a une telle chose, C’EST l'un des vrais secrets de l'énergie libre. Tout circuit ou machine qui permet à ces conditions de se manifester, présenteront des résultats positifs dans le monde réel, qui sont difficiles à quantifier par des méthodes de mesure reconnus par la science standard! Compromis....#2 Dans les machines électro-mécaniques, l'aspect de ces formes froides de l'électricité sont directement liés à la structure contenant les champs magnétiques.
Dans les conceptions qui ferment les champs magnétiques, vers des boucles fermées, il est possible de produire plus d’énergie mécaniques (effets de moteur renforcé) et semble être des générateurs de meilleur " efficacité ", mais l'apparition des formes modifiées de l'électricité est considérablement réduite. Inversement, lorsque les champs magnétiques sont produits dans des structures qui ont de grands entrefers dans leur chemin de retour, comme une bobine de fil excité par un aimant permanent à partir d’une seule extrémité, un maximum de ces formes modifiées de l'électricité sont encouragés à se manifester , en particulier lorsqu'elle sont combinés avec des techniques de commutation brusques. D'un point de vue classique, ces structures sont considérés comme "très inefficace" et elles présentent un rapport " poids-puissance " très faible, et sont mises de cotés comme si elles étaient inutiles et archaïque. Du point de vue de John, elles sont le moyen le plus simple pour recueillir efficacement cette "forme froide" de l'énergie de l'environnement, ou comme Kromrey l’a abordé en premier, du champ gravitationnel. Les prochaines grandes avancées John est un inventeur prolifique, il n'y a donc aucun moyen de suivre sa créativité. Lors de la Conférence des sciences et de la technologie de l'énergie 2014, John a dévoilé ses derniers circuits amplificateur linéaire / régulateur qui peuvent être utilisés pour dériver la puissance de la batterie en charge vers la batterie d’alimentation sans avoir à interchanger les batteries. Alors qu'il n'a pas l'intention de publier ce circuit de sitôt, vous pouvez acheter un modèle de ce circuit sur : teslachargers.com Les prochaines très grosses «évolutions» doivent venir de milliers de personnes de partout dans le monde qui commence à expérimenter cette technologies, apprennent la science, et construisent leurs propres systèmes de travail. En 1984, cette technologie à été rendu «public» avec la publication du livre de John Bedini's Free Energy Generator. En 2004, cette technologie à été de nouveau rendu «public», par le biais des forums de discussion. En 2014, elle doit être publique une fois de plus, mais cette fois avec des milliers de modèles auto-alimentés se dévoilant un peu partout dans le monde.
Chapitre Dix
Récapitulatif et Conclusion À ce stade, le projet Bedini SG a révélé au moins une douzaine de modèles de machines avec lesquelles John a déjà démontré leur efficacité, et vous pouvez apprendre à construire, un système qui produit assez d'énergie pour être autonome et alimenter une source extérieur. Ces sont les suivantes: 1. Un moteur DC ordinaire avec brosse faisant tourner un volant et un générateur de faible traînée chargant une simple batterie. 2. Un moteur DC ordinaire avec brosse faisant tourner un volant et un générateur de faible traînée d’une batterie et chargant une seconde batterie. 3. Un moteur DC ordinaire avec brosse faisant tourner un volant et un générateur de faible traînée à partir d'une alimentation à trois batteries et une banque de batteries en charges pour alimenter des charges externes. 4. Un moteur DC ordinaire avec brosse fonctionnant en mode pulsé, avec une récupération inductive, faisant tourner un volant et un générateur de faible traînée à partir d'une batterie et chargant une deuxième batterie. 5. Un moteur DC ordinaire avec brosse fonctionnant en mode pulsé, avec une récupération inductive, faisant tourner un volant et un générateur de faible traînée à partir d'une alimentation à trois batteries et une banque de batteries en charges pour alimenter des charges externes. 6. Un SG Energizer standard fonctionnant sur une batterie et chargant une seconde batterie. 7. Un SG Energizer standard fonctionnant à partir d'une alimentation à trois batteries et chargant une banque de batteries. 8. Un SG Energizer Multi-bobines faisant tourner un générateur de faible traînée à partir d'une alimentation à trois batteries et une banque de batteries en charges pour alimenter des charges externes. 9. Et beaucoup d’autres variations!!!
En général, tous ces systèmes se répartissent en deux classes principales de machine. La première est la combinaison "Moteur / Générateur", de tel sorte que les caractéristiques de performance suivantes soient atteintes. Moteurs électriques: 1. sont basées sur des principes d'induction standard, mais fonctionnent avec un minimum de courant en raison de leur utilisation à leur "vitesse de pointe", renforcée par un volant d’inertie. 2. sont basées sur les principes des moteurs alternatif, en utilisant soit une attraction soit une répulsion, mais utilisent une méthode d'impulsion de sorte qu'un processus d'effondrement inductive permet qu’une partie de l'électricité soit récupéré alors que l'énergie mécanique est produite. Génératrices électriques: 1. sont basées sur les principes de conception qui comprennent des bobines enroulées sur des noyaux de fer qui sont magnétisés par des aimants en mouvement, et où le chemin de retour magnétique intègre un grand entrefer au moins une partie du temps. 2. sont basées sur les principes de conception qui permettent à la loi de Lenz de neutraliser ou partiellement neutraliser le couple inverse lorsque les charges de faible impédance sont appliquées. La seconde classe de machines sont celles qui utilisent des configurations de batterie et / ou des méthodes de commutation brusques permettant de provoquer les caractéristiques "d’électricité froide", qui, appliqué en retour aux batteries, augmente le rendement de charge de 200 à 300%. Quand un certain nombre de ces principes sont utilisés ensembles, un COP> 2 devient de plus en plus facile à atteindre. En dépit de développer les deux méthodes, John a toujours été plus intéressé par les effets de l'électricité froides, car les gains étaient toujours plus élevés. Nous ne vous garantissons rien Tout ce qui à été rapporté dans cette série de livre est vrai et factuel.
Mais cela ne garantit pas que "personne" ne puisse reproduire ces résultats. Chacun de ces phénomènes vivent dans une "fenêtre d'opportunité" étroite que la machine est capable de capturer ou non, en fonction de la précision de son application. Pour obtenir une machine de ce type cela requiert: 1. une connaissance et une compréhension importante de la science 2. une connaissance générale des mathématiques et protocoles d'ingénierie 3. un niveau de compétence minimum dans la construction de modèles de précision Si vous ne comprenez pas les sciences, si vous ne comprenez pas les mathématiques qui sont essentiels pour l’ingénierie, ou si vous n’avez pas les outils et les compétences de construction de modèles nécessaires, alors il n’est pas raisonnable pour vous de croire que vous pouvez construire une de ces machines, au-delà du modèle décrit dans le Manuel du Débutant. Cette technologie n’est pas encore disponible dans le commerce. À l'heure actuelle, il n’existe que sur le bord tranchant de la compréhension humaine. Le modèle économique mondial va connaître une période d'ajustement difficile pour que cette technologie devienne plus largement acceptée. Mais ce processus commence dès maintenant. Conclusion Ceci termine la série des Manuels Bedini SG. Il complète le rapport d'analyse du travail de John à ce jour, le 2 Novembre, 2014. Il a fallu deux ans et demi pour écrire ces trois livres. Nous vous remercions de votre patience et de votre intérêt pour ce domaine de travail. Il a été un honneur et un privilège de travailler avec John au cours des 10 dernières années, et de vous aider à comprendre l'œuvre de sa vie.
Annexes Annexe #1 US Patent #3,374,376 Issued to Raymond Kromrey Title: Electric Generator
Page 100
Annexe #2 Operating Principles of the Ferromagnetic Generator Written by Raymond Kromrey
Page 109
Annexe #3 GB Patent #14,311 Issued to Carlos F. Benitez Title: System for the Generation of Electric Currents
Page 125
Annexe #4 Report on Visit to John Bedini (September 3, 1984) Written by Eike Mueller
Page 135
Autres sources: A&P Electronic Media Home of the Best Collection of Information Products on the Planet! http://www.emediapress.com Tesla Chargers Home of "ready to use" battery chargers designed by John Bedini http://teslachargers.com
Annexe #1
United States Patent #3,374,376 Electric Generator Issued to Raymond Kromrey
o
United States Patent Office 3374376 KLCCIKIC GFAi'NAlOK K.ivmond KromrV), 15 KM da ML HLlor, Geneva^ Switzerland IU..I Jun. *. 1964, See. No. AM,769 1 Claim. (Cl. 31#—111)
My preseut Invention rriiSts to aa electric generator serving to txmvect magnetic force into clectric energy with the aid of two relatively rotatable members, i.*. a tutor and a rotor, one of these member* hting provided with electromagnetic or permfineot-magncttc imkiii adapted to induce a voltage in a winding forming part Of an output circuit oa the otter member. Conventional generuUxv of thii type utilize a winding whi»* coodoctors (orm loops in different axial piano whereby, upon relative rotation ol the two members dunxtrk.il!>' opposite portions of each loop puss mice per tevolution through the 6eld of eicli pale pair of the magnetic inductor member (usually the tutor). II the loops arc open-circuited, no current tjouv in the winding aj»d no reaction torque it developed to that the rotor will be free to turn at the maximum speed of its driving unit. Aa soon at ibe output circuit including the winding s tborKirvulted or connected across a load, the resulting current Hem tendt to retard the motion of the rotor to an extent dependent upon the magnitude of the current, il being therefore necessary to provide compeiiKiling speed- reflating desi:c* If II It d wared to nuintaia a vuhslari- tially constant terminal voltage Moreover, the variable reaction torque subjects the roeor and it* transmission to congjderaMe mechanical stresses vhiefc. It th« case of widely fluctuating load currents, may lead to objectionable strains.
It it. therefore, the general object of my present and new invention to provide an electric genctnloc which obviates the afoeedescribed disadvantages. A more pattx-ul.r object of my hvestioe it to provide « generator of Mxh construction that its reaction torque and, therefore, its rotor speed in response to » pwn driving torqoe varies but little upoa changeover from open circuit to cunent delivery or vice versa. It J alto an object of this invention to peovide aa electric generator ahose terminal voltage varies at a considerably leaser rate than its rotor ipeed to us to be lass affectivd than coni'entiooal generators by llucluation* of iti driving iale. I have found, in accordance uith thii Invention, that the foregoing objects cun he realized by the relative rots- tioa of an elongated ferromagnetic element, socn as a bar-sliaped soltlron armature, and a fair of pole piexs ifcfinins an air np “herein a magnetic field fe set up under tbe inductee of a suitable source of coercive force The armature catrict a winding, advantageously in the ten Of two series-connected coils embracing opposite e*- Irem.Ucs thereof. which U induded In aa ontpat circuit adapted to be oonntcted to a load. As the armature rotates within the stationary air gap (or, conversely, tbe pole P»KCS swing about the statloestry armature). the magnetic circuit it intermittently completed and the aroature ex- ptrience* periodic remagsetirationi with successive revert alt of polarity. When the outfit circuit is open, the mechanical energy applied to the driven rotor member it converted, to the eslent that It n not needed to overcome frictional resistance, into work of magnetization which in turn is diaM- patcd as heat; in actual practice, however, the resultant rise in the temperature of the armature will be hardly notioenblc. particularly if Ibe armature is ptirl of tbe con* linuot&ly air-eooWd rotor usstmhly When the output circuit b> dosed, part of this woet it translated into electrical energy as the current flow through the winding opposes the magnetizing action of lilt field and increases tbe np- parent magnetic reli>:trr>;e of the armature. This explaint why, in a system embodying my invention, the speed of J tbe generator remains substantially uachanged a ben the output circuit it either
3
by Ibe* facen (is (he plane of rotation) equal lo considerably less thna 360* electrical. Tbe invention will be described herdnafter with greater detail, reference being made to the accompanying drawing in whkh: FI OS. I and IA illustrate a first embodiment of my inveotioa in axial sectiow iod la a ctost-sectional view taken on line IA—IA of FIO. I, respectively; FIGS. 2 and 3 it re perspective viewi illustrating 1*0 further embodiment*; MOS. 4 and 5 diierammalkally illustrate two output circuit! for a generator according to the intention, de- kycil retpectivdy for direct and ahernaticg current; and FfO. 6 It a somewhat diagrammatic illustration of an arrangement for cumpudoi the outpuu of a con»rn- liontl generator and u gecerator according to the invention. This generator 104 shown m FIGS. I and IA com- pdtet a stator member 101 and a rotor member 102, (he Utter comprising a pair of laminated armatures IW, 1*2 1 earned on a shaft 103 which It rotatably joarnaled in end plate* 1*4'. 1*4” ol a generator housing 104 of nonmagnetic material («.g aluminum) rigid with tbe stator. STift 103 n with a source of driving power indicated
3,374,376
Patrated Mar. 19, 1968
opened or closed. As tbe armature approaches Ms position of alignment with the gap, the coolant magnetic field exalting there- across tends to accelerate the rotation of the armature ]0 relative to the pole pieces, thereby aiding the applied driving totque: the opposite action, ie. a retarding effect, occurs after the armature pastes through iti aliened position As the rosor attains a certain speed, however, the flywheel erTtvi of iU matt overcome* these flucttfitioct in IS tbe total applied torque x> that a imooth rotation ea-.nes. In a practical embodiment, according to a more spetifc feature of my invention, the magnedc-Ssn pulh includes two axially spaoed magnetic fields traversing tbe rotor Mis substantially at right angles, these fields being sea ao erated by rctpective pok piirt co-operaring with two atiafly spaced armatures of the charticser described. It ■ill generally be coaxieoient to arrange the two arnuturct in a common atnl plane, the two f.eld ptododng pole rsirs being similarly coptinar. Tbe armatnret are prefer- fiS aWy of Has laminated type to minim ire the flow of eddy cur tents therein; thus, they may comist in psaecce of high- I) permeatolt (eg soft-iron) foils *bcae principal dimension Is perpendicular to the rotor axlt, the fore being held together by rivet* or other suitable fastening mtar* JO If the ferromagnetic elements are part of the rolor. the output circuit will include the uiuat current-cot kvlinx means, tuch us slip rings or commutator segments, accord tng to whether alternating or direct current is desired. The source of coercive force in the stator includts, advanta- 35 jeouely. a pair of oppwdlely disposed yoke-shaped magnets, of the permanent or the electrically energized l ) f K , “hose extremities, constitute the tforemeruioncd role piece*. If elatromagne'.t are used in the nugnetic circuit they may be energized by an external aource or by direct ■tn current from the output circuit of the Ecc*rntor itself. I have found that the terminal voltage of the output circuit of a generator according to the invention doe* not vary proportionately to the rotor sg«ed, as might be expected, but drops at a considerably slower rate iJ with decreasing speed of rotation; thus, in a particular unit tested, this voltage fell only lo about half iu oeifrfisl suliae upon a culling of the rolor speed to osse- Ihird. The, nonlinear nclabomhip between tennraal voltage and drisiag rate entbks tbe maintenance of a sub- 90 slantially coratjr.t load currcnt tad. therefore, electric output owe a wide speed rtnge, at least under certain loisd conditions. Inasmuch as the Indixlisve reactance of the winding is proportional to frequency (and consequently lo rotor speeJ) to as to drop oil more rapidly W than the terminal voltage, la the es'ert of a *eed reduction, wilb a resulting impcovement in the po«er factor Of tbe load circuit. If the mk£Klic circuit includes but a single pole pair per air gap. the flux induced in the relatively routing atma. *> lure will change iti direction twice per revolution so that each revolution produce* one complete cycle of MO electrical degrees in general, the number of electrical degrees per revolution will equal 360 timca the number Of pole piin. it being apparent llut tbit number ought 05 to be odd si tee »r.h even numbers it would not ha po*oble lo hive poles alternating in polarity along the path of the armature and also to have tbe north and touch polei of each pair m disznrtricaily opposite locations. In any case It is important to dimension the con. TO fronting arcuate bees of the pole pairs in such manner aa to asold bridging of adjoining poles by the armature, hewe it behooves to make the turn of the arcs spanned magaets being rigid with a respective pair of pole tfcoes 20ld. 201c and 2016, 20lrf. Rotor 202 comprises a pair o f laminated armatures 202', 202", similar to tbose of the preceding embodiment, •bote output coih 206a, 204ft, 244<, 244J are veri-ilty connected between a slip ring 205*. supported oo shaft 203 through the intermediary of m insulating disk 2*5. and another terminal here represented by the grounded shift 2*3 itvelf. Slip ting 205' is cor.tt-cted by a beuch 207 on a holder 244. the output of this brush being an alternating current of a frequency determined by the lotoi speed. In FIG. J I have shown a generator 344 basfcally similar So generatot 100 of FIGS. 1 and IA. ilt shaft
4
343 carrying a pair of laminated lofl-iton armatures 342', 302 ' rotatable lo the air gap*, of a pair of dedro- magnets 341', 301” beating eneigiraag wimlinas 309' and 309". The commutator 305 agaia co-operates with 0 a fair of brushes of which only one, desgnatcd 347. is visibic in ihe flgurc. This brush, carried on bn arm 34$. it electrically connected to a bnuh 313 eapsing a slip ring 314 on an extremity of shaft 303 whkh alto carries mo further slip rings 3)5". 315" in conducli>e con* K tact with ring 314 tvt InnJUed from the shaft. Two fur' (her brushes 310'. 314" contact the rings 315", 315" and are respectively connected to windings 349* and 344", respectively. tbe otbet ends of these windings being connected to aa analogous system of brashes and slip rings 13 on the opposite shaft extremity whereby the two commutator bnabc* are effectively bridged across the wt»d- lnns 349* and 309“ in parallel. In this embodiment, therefore, the ■stalor magnets are energized from the jen- erator oulput itself, it being understood that Ihe majreu «p 341' and 301" (made, for example, of steel rather than * soft iron) will have a residual coercive force sufficient to induce an iatial output voltage at it known pet ». Naluratty. the circuits leading frcen tbe brushes 347 to the winding* 3W, 309" may include filter rreans as described in connection with FIO. 4 “ In FIO. 6 1 have ihowa a test cirvuil designed to com pore Ihe outputs of a generator according lo lh* irven- tlnn. tuch as tbe unit 144 of FIGS I and IA. with a conventional generiiOl 444 of the type bating a looped arina- jO ture 402 roiauble in a gap of a stator magnet 401 with energizing winding 444", 409". The two generators are inleroanneaed by a ccmmoo shaft 103 carrying a flywheel 117, this shaft being ccuptaJ
I
initial driving speed of 1200 r pm. whereupon the nwltch 421 in tbe er.etgizing t 0 cirvuil of conventional generator 400 h dosed, Ihe lamps 422 light immtditldy and the corresponding wattmeter 423 shows aa initial output of 500 watu; this output, however, drop* instantly as lb* Sy-whcei 117 is decelerated by the braking effect of tbe magnetic field upon armature 65 442. Next, the procedure is repealed t«n with switch 421 open and twitch 121 dosed to energize tbe genera lor 140 The lamps 122 light up and tbe wattmeter 123 shows aa output of 500 watts which remains coeWanl for aa Indefinite period, there being no appreciable deceleration of flywheel 117. When the dutch 118 is relaatwd urkl the rotor speed gradually doctCMC*, the output of generate' 104 it will substantially 500 waits at a Speed of 900 r.p-Jn. and remains as high at 360 watts when the spAetl dtopt ,s further 10 440 r.p.m. In a similar test with a generator of the permanert- magnet type, s»;h as tbe one shown at 204 in FIO. 2. a »ubilan(ially constant output was observed over a range of TQ 1600 to 641) r.p.m. Mcdificalioo* of tbe specific arrartgements described and illustrated will, of coarse, be apparent to person! skilled in the firl and are deemed to be embraced in the spirit and scope of my invention as defined in the ap- 70 fended daim.
claim: 1. An etecttic generator comptWng a (lied stMnr utd a rotor coaxial »uh uM stator; drive meam for rotating said rotor about iti nit, u>l stator being provided with a pair of elocgattd bar magnet* extending paraM lo said axa oo opposite tide* thereof and terminating in trani- verae extremities, oppotfcely poled extremities of said mrjneti conficnticg each other and defining mi;r»ct ■seam hating t»o axially spaced pole pain disposed in a common axial plane and forming a pair of diametrically extending air gap* for rMnblnhing a magnetic-flux pith I(h dtxJin* t»v> axiaOy spKcd parallel otpttx Ac Ida across Mid air CKps traversing Mid axis substantially at right angle*. said rotor being provided with two axially spited parallel eton$sted ferromagnetic ekmeaii slightly shorter than the (pacing of taid
Appendix #2
coefrontUkg ettrvmitie* and extending perpendxularly to laid axis at location* coptaoar with aiid pole pairs for concurrtat periodic alijtnmrrt of said elmeslt with said fteUs in taid air gaps upn rotation of aid rotor; and an output circuit on said rc4or including winding meant on each of said elements and collector means in series will) said winding meant, each of said pole poiis and tbe ccncspooding eiements having cocfrontiog arcuate (acta centered on said axis, the sum of the area sjuntxd by slid facet being substantially equal to 90* in the pixae of rotation. UNITE STATES PATE.VTS D 439,10 10/189 Bradley ........ . . 310—126 2 0 2.500,73 3/1950 Yonkers______------310—XR 2.769.10 10/195 Demhnwsti___------310— 3.I7JXX J/1965 Foder______ _____310— 3.175.11 3/1965 Orr.............. ------310-126 3,205,38 9/1965 310_112 2.378.66 6/1945 Viciers___________ 310—46 2,669,68 2/1954 . 310—46 2.824.27 2/1958 Dtiiporte _____.........310—46 3.025.44 3/1962 $ FOREIGN PATEN1S 553,39 3/1923 France. 83(i.OI 2/1939 Fraace 474.9I 11/193 Great Britain.
Zi
MILTON O. H1RSHF1EI.I), Primary Xxomlmsr. I. W. GIBBS, D. O. DUGGAN, Auiitani Examiner!.
Operating Principles of the Ferromagnetic Generator Written by Raymond Kromrey
OPERATES ?P.P3CIPLES CF THg
F E R -IG B A G M E T I r fl EWE It A T O R
by the inventor v
R, Kromrey Reference* died
2 0
1 0 I A
.
,
Appendix #3
Great Britain Patent #14,311 System for the Generation of Electric Currents Issued to Carlos F. Benitez
N° 14,311
A.D. 1915 Dttf of Application, tith Oct„ 191S (Patent of Addtthli to Mo. 17.Bit, 28th Jutj, 1914) Complete Sp&slpeatlw Left, 6ttt Feb., I B I S Complete Specification Accepted, 17tt A tig., 1 9 / 6
PILOV1UION A L SI' EC I F.LOATION, By fit am for tiio Generation of E51octrio Currentn. I., ijAKi.oH !;’■
(JltiI hinpuii'iT, n f l#tj Oi'-nmpy Ej-trtctj [n UwHiiiJujiirii,
J1«EIQO, do iwriby JihiJawi ih« n«lu» of thin invimliou to bo *B follows:— The invtiuUw which formjj tht> cbjett of thi& I'Atont of Addition, relates to imjimvomficit.!) in ihn syat-crii for the jjericratiHn of e-locLric; cuttleta, doecriliud 5 in th« msJu i‘&Unit No. 17,811, filed. J uIt 5J8thf IB 14, and in the l'utsni uf Addition No. G&yi, liLed 14th April,
Thy aft id syetem Kiay he Still further uimplifjtxi ojid improved by the addition of Uttericfl of wnmMlsttin, whiL’h nitiblj ^Jjustcd in conjunction with thc said deBrribwl system, liui Lc uhlrged And d l»g h u raffed ivllcrrju-tejy f jj/oduuiiijj 10 lurthcrtuore «u flKWi of electrical energy, tHa.t l"rlihe employed at will, for sjiy jiurposa outside the u 14 tenia t i c ops rat ion of the a Rfwgmm t uiidur dtWM'ipLion. . In otbcf »ordi, in Una amngftiieut I um ayatheticftlly iu combination: two ^roupt of accmciglitiin wnii;ft{^ i :■ wriu; two gnupB of aorumitlatorj 15 nuunatiittl in ymrallel ; both said finnpd disposed in Buck way aa to utilise the die- (ilmry*: uf one cf them, for the nbLirL'my ot t Lu ether, hud Pwe tfrta ; and lacbtitf for th# sppUentioQ of Uw energy produced by imy of the method (JftWiriM with reference to tho l^aujlLflh Pfl^jita Nor 1T,SU/M and !So- 51&91/16, ia order lu incRu.te: the Kfftkct of the di^liurg^d of ...lli'L ^"roilp of at^uin.ul-uUirB wbeii ubling at) from one to another{ and mean* for i-evenem^ the operations nf svfSi groups. Aiiipthtir nbjent of this now uAilgAUtait is lo pruvjdv mttLiib for the vpek hIIimj of id ^yut«uir using low nitigtt, ccmdanMrs of acuiiU npaiiiti«», wild grantor facilitiej for jjtartiu,#.. „ Thu udvniLtn^tn of onth ua iupnteniEat will k belter nude [utiiut] by -JCi iifT r.li.H- udjoibiua wliic.ti illuntrtitfri CJm n it: thud ol (‘.nrryitiii out ihfi imwHtiaai In tho : Lt ‘2r -J, 4, aru battaric* of MxMiliteiii tlml citn:« t lmrjjinl from
(-tjn.v.iiit'ri
drawing,
li^ircit Miniv uilrrmr tk^lrii'UL wmrcn, will mn-LutiLin their rhirpra mdefinitelv, iu t !><■ fallowing m*pnor;
HO With the ronmdioM untnhliitbed kn rthown in thu flt-ui-
6
WiiLft (ifnvnnt)
-2 nrr
cuunurtcd
in BOrtH thruu^h
: the icctnnultten -3—4 *r* mnnfmtfltl' in jwrnlld t-hroiLph hwit e h 1, (ftwitrh W opened).
!'w[U;h 5, .
1/ndoy llii’fui foiir Itatleri^H to ht' i^likti, ' if Vt tmttviry 1--^, bm Ijmh jrtTiouuly cknrpJ fmm tomf siteror »9urw ; when di^t- <;h«r£iTip thfij- will LriTfi a Tnltapo !mpirior to tho ooynttrr e^tTomoloii'e forcc ^])j>nii4!d by (he ba'tttric^ 3—4 reraiviTig soc}i, ditth^rpr. In other wortln, if '}iy netiu of thu conductfir 13 tbe pniiti^e polo 3 of battery 1—2, is (jonnCTitnd to tllfl po^itivp polfffl 1-0, 32, of b-atter-i.efl-hT— 4, a nil both ncEBi.ivp pnlpn lJt, 12 of both 40 UttcriiiH am rntiHeetaJ: Ifljjttll'Er; an slictrie ruirent will be eFtnbliiihnd. front [Prict SJ.] _ ,
»[ FES™E UHMT ^
f o r £Ae G r a t U i n o j A'/tftftrifl £,'iirrcrtfJL Ijo.1 Lory L—2r tc batteries fi—4h until v
o
l
o
f
Loth bittei-it* ure alike. (,>f touras the turrent fyrtiinhcd tiy thu
diBeh&rg'e of LiAttery A—^ altiLi^j would |]hulLiCH Ji hijjllLid-l Lihur^e ill 1 ho bklte:ri*a
but tlmt c«rr*Wit tun be incmtitd
hy uny ol lbl: LmjlLiLrtiM uirtculy do&GlrflMKl in Htb UM»aii t'attinU >0, iTjHll/K* ii i lj E fx&l {Id, nrnJ by Uwh nittikiin .it. i4 'ultfAyif |JHHWiL>Je Lo fih&ry-e ueliL dittcblirgB ft uJ teikjitel^
uJ rJtrli jm
L
uun to nnotherj Ji»:piutf
tiieryy,
tJiut wa hr orApjagrbd lit will.
Willi I]i«h (jbjacU in. viuw, und unjiijj 4.4 mii illurftrittion the LLrj-jii^ruion t itJiiiWh i l l the Slim! 1 [Kipn: t| ul the |rAt*nl i>f Addttmn P(j, W i U I / l f r ; llio nun- 10 dtnitT I i in iH,uLiii'i:li.ul iil nojiniv 11 t bo ogtiilqi^r li).- [i| the nUl HMkitH«ra the priiniuy I ft of an OHlinin induction ooll pn^idod w i t h *n uitorDpttr, j.h <4piiuefltrd by cadi nt itp jwiLom lQb IT, to thn ntLino *i»' )3- 'l'hfc hEM»LLLlusy of kilhiu iadwtion co;i I in iJinnftctoLl by ocflh of itH p^~»]rft IM. I il, to tho polrv ilO jjuhI ‘21. , inf tlifl mnd ntmtlcDMrr Or bultory of uonden-Mjra ££, Thpw pnloe j fi are furtbeimorG consKtod tbrftufh ibl) ppntk (jftp '43, w i t h t h n pol*$ £4, 2fi, of thu jinumrv «f i ki^Ji-frequency transformer.
Tbe woandary 2? of thig ramt1 lnuiwtorTimi ii connected fay of its puLuq Si9, with tbs pole-t LG, IT, of tbe induction (nil IS. Finally both pvltn of vundcnwr 14 are coaoKtod to the conductors 30h through Trbje.h o p^rt of tin electrical frner^y prodded by these 'in meanj, ran hf> (ihunted and employed at wjll,
This a-TT-i ngeru unt being rtiado^ tile ulcrlnuil Vuiury y ntorod fay tbe hocumu- lutora 1 —2 , pflSijnj^ tbrcugh the pnle ft, wiiv 13, primary 16 of tbe induction i:ni], pole III of the. p.ccumnlatorci 4, pule ^1 of switch T» BJid uole 32 cf acriLinu- latora 3 j_ will back th.touf'h pole Utf to the bactcrv 1 —'} £■ i6 As & wnjequsnes of the pajiso^ of this electric ciuTT&dt t hr on eh pr-imnry 15 of nij incluclirMi ODJ! ; iki^h-tBiiRion cuzTont^ ■will ViM nbtEiLTien in ith Horoiidmy, which, bciuy eoll^ttuil by iho uulldatiflar wl(l liilully produce high- fre^Hiency cuTrents ihTflugh tJifl primary and eowndary of lbs Hi^h-frequency ti'aibftfortuEr. On the otbtr hand, muu.gniic.Ji as tbs pulfls 2$, 20, of (his trsiift- 30 Conner are w-ith ftie polos ]G, .17, ol tho induciioc nil, uid currents wi!l ^I'cntiy iot;rett!>fi tbp. number of'amperes (ui'ni.jbed by tit flccyTtiulatora J— JJb Jind tli n atOro.g'b battinn [j—4 ruioiviilg thuft a JJ toper * mu Hint nf Cnrrettt nan be ftilly chftrg*d bj meimii, Tho esceflM cf th* ^leL;tiic*l *n*ri;y thun obtained can ha ih anted thru ugh the -tiunduuturif !iU, ld urder to be am piny ed at 35 irill* u9 ]i+Jh rj-tn-: 11 its tod. EJjidm- ihs iM! Tn’iiditLHJUH, LIN the voltage In one uf thf: batteri-oe ia dccrcuiiLt^', und mcre*#iTjy iu tbt otbw, 1411 Or hohio huuru. wurh hcth hdtogai become 1 l I r L; <- h Htid tlien it i« jmprnv)iblrt to pffOdllGO uny kun«n)«4t ftf fl]«:tl-jcLty frati hint to tHtoftwr battory, Au hwitiibN'h. (i, (!- -, T, -ft, inoptivtwj for that purpHp. H) flp^i^iriK o tli Lit- tticrns. iAhqiQi^b Jin b^-tt^ry -t—\ iw antr^d, (aid bhttiiTy i—3 in nJjuortt Jijudi^rpiHl. if (ho fluivtioDM of *flid liLttori(?fl »rt> now tev^nfwd, ili« o-ri|fiu^l wmlitioiLH uin he Outnhlijthnd oai» ruoro, itnd ihn pjmr. opcruliottn rAMnt^l tiiiifvlj b*for«-
1» order to *ttnin thf^ rtiHult",, thu ^.wihilMin G nud 7 thjit WACYI dtMad, inipKl 4^ Ttttw )id, EL ml [Jhfi d uit-fl ft that wAri!" openfldt m«ft nfi-w bo oLwori. Ttwt i^ to nay, tlin ]mt(htit") fl-.-jJ ln'inif thus caDDtotvd in >*rL#St mud Uh* haitcriBH ] — % i oimcct«d in tjmvUoI, tlw fonmor conditiund rrtvcrfwd, HJnl * cfirmnt will Iw muwiI now from battery j} - 4, tfl battBfiefl 1^—2, throm^li thf;
]& flf tb<» il^duciid-u tjoil, thup nb^iii ir.f; tho hil01 ^ I^sulte, oltt ii 6 \) a?i triENse Dperatjonfi. are perjfoj-mod, When (ho (T?h;-t^nuE offeredj bo the pa?fiuf“o of. tbe ,aMetric cu^-ents by tht primary ol the iraiijfprmfir L& U ndt bi^lit it ia. pos^ibUe to sLmpIifv tbe formrtr HrrSrnpwTneQt^ yhtaiuJnff _ thp li :^h-fi,(Hpinn.cy OurrDiita directly fro'm the hunt', induotion coil 15. in which cumf the p o i s e . 1 9 of,thhj■ s-ac-cnris-iT uf Raid coil 65 mu At bf; ronnwtod io iba p.utcu IS^ JT, of the same said coil, and the jw^oud battery of condenser*- 22 and b.S.^h frc^ijouty transformer J36, it, can bt omittpd. N® I4.au.—A,D. 1915* i ’ y r t f m f<)r the
3
&f f f l e c t r i c f u t v f t i i f .
"IT-nder thew conditions the brflftkor or interrupter f;rnpLiypVI in i hfiai and 'thn eondeuiscilr 14 iiint'.liar^ in the form d( oncilbttlOftn through the prjTmiry of «unpi> , Umn diroctJy iTit'iciirti r>|> th* utuyuiit- of i‘!t*:triuu.t btitifT furjimhed L'nv Llin *
wumuIiLlorii. On led thin EJlli day of OcbsW* liHfi.
SPECIFICA'PlOtf.
CABLOS V. HKNITVYA. COMPLETE
ByMtom for tile O-STiera.tton of Elftotric OurTenti, *
I, CAKT^M F.
O£
141, OeunijKi Street, in (.j uadalaj urj, Mtiioo, do
-hereby declare ths iislure of thia invention und in 'fc'hit manner- the oajne ifl iu be performed, to Ljo particularly detjeributl HIL-LL atteTiaimil Iu anil by thu following HtatemcnCj— The m’pftiili&U which ftirm# the object O* thin PatftDit of Addition, relates to nf-*f improvements ir, the system fur the jfonefii’tion of electric nujT'tmta J described 'l in the main Pstelit No. 1T,S11 filed On July &&1h, 1014, aud in tilt Put-ail uf Addition No. 5691 filed no April 14th, 191 &. The ftniii BTWtBd may he still further improved bv the addition of- batteflfli of iiPdjmulstirn 'which suitably adjutfld ITI ton j unction with, ttio noitl described method*r if jfl n r-.h nrjvftd «nd <1 m<-hurtl'd iiltrnhjttnly, uud tra no l3ninpp An oxtiemi --■ i'f eleetriVal wlerpjy u*lu b" vlt>|>li)y«d "t wiH, iFldiprrd^ntlf of tli« »i|toinutic (rpoiiitiflti of tho urmi^iitHint tindor d-Tiwiriplion, ran he- nt-iU furlhoi1 ftlfthinMi
lib ether iriinls, in t]i i.i AiTiiiifi'.itiH-nl, I IHIUI ny nthI'lLL-ally m i:om bi nation: mu: or diBrt tiatterie^ ol (otwuiuitAn uln^dy «li»r)'^l -by pnpur ui(l . . (‘unii*i('.t*d in Itrita ; ft isn.'QIld btttliry or Iwitttt-ici ii-I h^uniuUt^ni flufiiietiLad in , HFLtl-Krttlfl or in any -ofhfir maumtr prftfl nri n jg nn iuf(riat YO-IIJI^I: i« tlul oWinffi iu the tint battery ur liull«riiw; both jj-Aid batteries irrdD^td IU tu<;h u wiy
na to utilise the diaeh*J#e <)f the tu^iumuintern rflnuettej in herieti, for Ult cVlurging of the ULCCTJinulatorai <>f the BWCpd battery ur hatteriua ; and. Vi mtMiiih. for ga uerat in jr high frequency tui-renta, thmugh the cinroit connecting both hoAtorlea of iccumuloton, in
wIiel aclijj" from out? to the oi!W, securing thua. the ehurgiivg of the iscoud group of ucuxnolatovs. while tbe first tattery ia diw- <; harping or and producing furthermore el alllp-loa of energy that cun j;( be emphiyed at will, without impairing the mnoin^r thia Jeaeribed y t niiLfteini>iit j and finally means lor the applirjitlon of tb im extra, ^norpy to any outdldB pur[ioF.c, In thia manner, ibo cumnt giTun by tlie btttt&ry of Hcunisliitun oozmiy;^ in m'.i-i^j i^ i)i^rf'*A«vl whrr di4K;|-in.r^in£ by the rlfw.tiii'.nl OKi-illitjori# prodvior^l *0 by proper ineann. in the mmn fliLid dinnit lAblwcting
botli jfruujjf of arcwinn- latorH, u-ncl tJi^ Wttfli'y CUfineotod in ijoiritllel t»tii bq thus ful.y ejiwr^inl,. while (iii) fitwt l^tkrj iji di«^hir^in^. Un Hia other hand, ha the numlmr «f uliKtric*! 1H--T-. i L11 l L L-ri-n h per »w»iid ca-n Lki ini;r(
thi^ ^ntrpj, J-LIII IYILEI
tit applied to JIIIV otitaide purport, wilhtut impnif-inp tbe
ruiLninf ef tlin' j>niee"" ^ ulirtvn ,^.[il^d
Tin- ■dvasUsu of |uch iin imttrOTflmhit will batter (mrttJrutood by qdii- ;-.ji!vrlll^ (hh! iin»wlti(5 Luft ^it-li tlir, Pruviniioithl lljjjhtmhI
or:d tEi-u
■?bt^:t. w Iti oh j](4JstJ-uU? two different methods
With the RjOJltiectiOTiF; twrtabliHhe J Aa tho^n hy E>D^L drs^LJips I Wlill the aticiraiTtlfrlorfl A—2 connected in **rL« and the accumulators 3-—-4 connected in jjuralta!, if hattcry 1—£
I
has btrli previous!y charged imiti nomn exterior sourcu ■ wjieu disch:! l~Ki-Jlg it will ij&v-e b voltage tupeiinr to the —4, aad hclh negative poLes 11 ftlid 12 uf bo-lb butteries tire connected tope th or. ,in electric current will lw etd-Jibli-Hlted from battery 1—2 tn lottery 3—4 until tJlo vcJtagflu of both pfttteriea twmme alike* Obviously the turriini fuMiisLed by tin* dis^iai^-e of bwHwry i—Q hIutjli, iq would ib Nmallor charge in the batteriw 3—4, if youit energy went not adiEod to the normal output of «aid battery JL--—2, . WilK thin object jet vifiw any of the krbn^n nitboAii Itir tht ^Aiitrutiou v( hijrK'fitnunncy oivnnU, n« well :i* ttiw de*criE#d i>i tJifl. J.lfoiwaid jEng-tsh Tutvnth Kft- 173ixyl4 aod 5691/16, ocn to employed in conjunction wjth unfit ( 5 butter ujn of nr-.cmoukilnrft, in ordflr tu pm vide that compleraontAry energy, anti in thii* mibimcr it Ia hIwat) pOfuib]e U> ckarpd Hurt iliartinr]^ iltuniu^ each batttiry (r»ni oiw Id thr oifmrj uiintliiniiiff conatut a ■torng* of -t*l*otri^if y uurt |inxlti<;ip|; (iirtiifimnrc iul iichh of electur-ai tntnj, . Another cf thin ui'w ftrrui'frtihi.'ct ia tu Jtravulo olwm twr the OpOfutUm Jftl rtf thlM plitj'it mid mptfcfvljn tlf’HCri by ihfi .'ifnr* jUkul Kiiu-Einh I’fttrmth. njdn^ l'nv voltngrtrt, lAtulrtirritrn of r.lrlill i-JtJUl^itidN, Olid grenter fuctlitilM for ntll'tin^. Itfffirti^ uuw Hrtiouh^J ic t]irL ;irrm((f-mHiit*fcnwrt hy (he (luiwiii^ left niili Hit iWiAtDhul inti: ihr iiriinury I ft of ail ordinary inihfition (mil, provided lrith ito (jondeniver 14, Mint a euitnblu iiiltrruptor (not HIIOWU in tins ngunj, ip vun fleeted in irtirlftp l-o tin: itatcd battnrion I — 2 jind II- -4 tbrfujj'li l.hii wiix' I ii. Hit MK'jnndat'y <\i xnoifl iiifiiJctjtjji iv?H ii cnqnHit«il by w i> <>t ■{■ iiohri IS, [11, (o th* IS) And SI of iIm- Mcond t;oad*iiM*f or E»*Uery of rotidenttcrn ‘££. Thom1 upuic po!t« EndW nnnn coii£
I’li* TrtiHKiiMJtury' K T -nf thi^ tru ii n f l»j nitr i-. L4uhDct4(l by A J H : 1 J of itn j i o l n n S J 8 , M W, ^ itli tho id, iTf'Of’th* j [iduct ION f*ii] l.rJ-- J’J tjiil 1 y ]wtJi iJH'li'ifl «f niti'ivDwr 14 are WD.netl*d to tit* [^mdacton iJ[J, through whi^h nat t of th« fiWi‘ti,n^il itn«i ^y pmvidud bj llieiw mwniB., t^u (>r Kl'iinLt^l nud iit^intd at will.
T l l i n u r r ^ p g t i i n ^ n l h u n i p t n mr f o , t h e t i lK . t i i n n i toarpy q t uM h ! b y t h e H f i U J U I L - l u l o i ' n I — 2 j H f c h H - j n p t h mu p h t h h j>o!i.l ! ) , wim I U, p r i ma r y J , ' i o f f . l m j g ^ i i i f t i o i i r i ) i t h p o l e 1 0 r t f L E i v u c t ^ i i i u l d f e j n 4 , y o i c i i i 2 o f t l i m i c n u i u i l B t s n i l • w i l t | ^ n L i t r k (ItLvu^Ii jjoIr lli tu tht; bLUiti: Epitaxy L— v. L
A» u tCiitwjubn^ of llih jK^Kijne of tEtib uleutrLL' thrrtAt ihruHjjli th« jirtttinn ljj of BUld tuductifrjE i.M.iil' hi^li leJi^LOU turr^Mts vtti b* obtained in its supuudnry, jju whjtrli beL.iip pullcctiti) Ly the isid JuniMjr ‘JQ. , wilt fiuiilty jjrnOui:o hifb-fnamufiy currcnt* (Entujf'Et tho prtmary and bpooudirj1 at tije high-frttquMifijr inufonu.4 r, On ilt^ at tier liand, itijhinutL aj the imlet tiS, 29, of Ihirs (niunbmiit1 inti «m- ui>i;Uul with Ihe poEnji l(jj IT, of the iuduttiuu coil, si^id uuiri*Dta will prautly uiiL'i'ttLiEiv Hit HifU^y furntjjhed by tht tLucumuLjitifra 1—2, ^inrl the atorj|*r bwttofiei '£—4 recmiing thu^ a prn>poi amount l>i ciflrrciit, cjin ho fully oLargud hy (licnn meiina. Tl±e oi.c*;eji cf €i[&lLlic^il tiiti-py tEiuti otitmiiietl uitn bo iliiwwd through tht t'j.iuditt:Lors 30, iu order tu l>t utilised at w)>I, ;« hua bcey nt-uUd Uwi cr thftae miitions, aj th« voltupo iu one of the Inttei'ieg jfr dcciea^ini' :uid incraWUkg on the atLiii, idlar they liflTf Jie^D working nonta tinLfr. (u vi)t(i^in out; to tl'G other, (.Uil^ss ttifir funeUuus Lire jt?v«rn*i|, flpwikin^ in other teuns lh& h^ttdrv 1—£ i^oTmwfvd in *L‘l'if-s jiiiLHt now-- lw ooniiHied iu jiuTbillet, and vicc-vcTbu the liuttajy cl—4 coniipcte\5 tn parallel om^t now be cornectd tn neriea, ^ With thin uhjBrit in Tiev, and lo Order to iUuntrate thia p^rtifluUr foiut, ^iid bnttetlc^ 1-—% mid 3—4, hav& b#e-n. con nf* ted raspcctiTely through the
N* 14,511.—'A.D. 1B15.
fr
for thf 'GmeraUon ()/ fffjrrrf'rio C’uiwnti. rtwitiJi(?n. fi, (J, mid Tt H, ID inch Hr pitmw Usut by rcvyjniinp tln> [ignition vl hwl-J. HwitrJiM, th« coun«1iuii> uf iuid
Iwttorjgii am L'taily hvMt in pfar.tiiti fur LfUvr rAnulb CfrB tid attain ad by llic uitu of the iDiunutdikr tltawu lei the iLJjoiijLn^ tihcet JNo. !i, tr wilL Ijn furthtr*xpliiiitd, i Ey theeo mimim the original muditioDH of voltajje can be enaily re-MtablbHhed eacb time ttni tbe d LAthEirfiLiig battery ih becoming Gihaubttjl, uu
r|
i tbe ^ranrtformrrs-ia nut hipEi, it in puwihle to Him pi the former arrange m-trat ubt*iTiinfj the hlgh-frequfinc^ oumntti ditdctly niiHfl thii polo* 18. M> of 1 he Mfimditij H'f rtaid rail miiflt bf> rMfEdivflly
fr-om tbe ™m* initiation roil )&, in nhiri
i-
‘32
aimnnt+ul tn 111* ]>oip* 16, 17 ot 1.he ptijurmry of m-iano HJiid roil, and Ike wi'oml bnttflry of w>nilnnt»ftTrt and highfr^eju^nny tranaformer r«ti be omittpd. 15 Uflder tbftm foiiilitidnA tbe hfHker OT intnrmvUT employed in ojiirl induction mill, kctn ah npark-^ap unit tbu ixiudfnner 14 (li((Jiar?tD in this form uf 0*cil.u- tiond through tk primary mud Jfiiirtnditty of »nta» ooil, thmt ilirwtlj inoreeiiny tbe amount of nlet;trir.&l tncrpy furnished I:J' tbe ac^uiiiiiktorH. Such urnU^eiaullt id pjrticulflrly JliutmtuJ III tba nimuieil uhiiet Fi^. 1, in 20 whichr each one of the poles of th*; auouinulatar* compouing the battenta 1—SJ and —4, art? oiynttipQIdall^ly rominrteil tn the ERiver&l poles -of n oomTnntfltor 3i- Thifl conuuillator as sbft-^n by the figtire, *onai»ts of a rotary cylinder 33, provided with the cundortive paths &), 34, 3!?, -Id, 37, 33, 3&, 40, properly i.
27„
mlatfd and distributed r-n 3t« nurlanm, in silr,h "way, an to connect ftlterrattiy in 3d .'icri#va
thn iLbnvn fttmtiunBd l>att*.:rit.* 1
tmd 3—J.
-2
S*mo dyliitdtt ®S in furtlii'rmon) T rovid-t:d ii-t Ohe ill itseEidH, with (hr tiro I'IIII- r L 111 11 v i * j j ; i l . 9j r i 4 I - 1^ , tbsit MkO l . M iuittk^r Hiwgt I n the I c 11 1■ I ■ ■ i! 4r _ l i ic i ] h . J v i f w n r E A' I 111-a Adrian Mii.il i-ylimler phnci through IL ririf; 14, tixod to thr ouma beu ■ i 1 1
]
1
r
1
r
1
30 rtf tbe apparatus, and provided with the contact* 4&* ■!■£», 47. 4B. On tin.- utkcr hand the pola 46 i»f tbia ring is comiectod tn. the pole 10 of tll-e battery Ti— 4, and iba jj-rjle iH cOM^cted clrrOu^h thfl wire 49j to the |Ale 9 of battery 1— Pole 47 in coiinwleiJ through *irfl 13 to poW 1G nf tJsr pnnuity of u tnnilurmcr, and pole 43, w connected tbrough wito
&GP to the back contact stud 50 of an 3-6 ordinary breaker.
A back WH II 61, filed to the
i hirdin or pul I ay L< ITI.I r ■ 1 i meann for tbe opcriitioii nf llim romimitu^r.
CondefiHT 14 uf tbe isidcir-tim: cifil, i.H rcnTi^btd h ukueiI tv itn jwle b‘J to pole 17 ol tin' piliniiry of uune tfamtn^mhr, ibur| ita utliitr j>ul« J>.'j jn^tj j 4ii 1 of Iveinp connanted to tbe bank contact »tnd J>tJ of tlNe breuk^r, as in generuUy tbe in grounded llinjugli win 64, tuid polu &() of tbe comjnulator. 41
Under ihcue (Bnditioaii whsi tJtfh circuit i« broken hy the intfimipt«r, tasn- deiiaJir- 14 in obnr^fl and immedlataly
aft.erward^ ditchM^ea vw: primary IS of the tranaformer, aeconinry at himr trknaform-er, tits fw, pole 40, path 41 of tbe cominiiialoi-, tind Utt^rv (3—4) in paradM. Aa « etiti«f|Hfliife of the piL^pr of tip «l«ctrio currtut piiKluintil "by tbin dia- iO i'b nr-|*o throii(;b tbf ]hriiD»rY IB of th« l.miinformi . t , i nduoed ill iti; Mjruui'tury ■BO otic oT tl.i'.i^ ottTflmtl tli<-■ invf-rmn ii;m«inH tlrtiwh T^le
i.*t
o«rrentj(. nrr pT-r>diicw3.
j itiini-d iuteljy lit il LMHI fur tho churff nip of JIIITIIH uiii battaiy in pn.oi.llei, Tlir dirert cunent tbiht ■» prudimixl wli.nn tbe dinj-bnr^t* r»f Kiiil umdBQiuir [1 ia tininliiid, ptLtu
ngw diit^u iri the Miiritt uindmintr 14, tbiit utuiii ilioi:li:ii|^i‘i> In idectklMl manner, and the nfltne phenomeisu. are i^prodxioa^l several tim-nn iii tin1 beatfl or intervale of bri^kri and maLte pmduvnd By t.b& interrupter. HL
6
N° 14,311.—A .IX 1&L5
Sy#te'>n fOT CeJiuraiinn o/ Electric Cwrrwrft. On the other hand, if ttie pole f>f;J of tile commutator in not gnmndcd, each flint* thllt the {»iii{l«nsar 11 I'iweiveii J nuw cluiirgi.L, the neutrul fluid of iti outer i:uuting i* influenced ilirou^lk its Jiflectriii and an inductd eiejjlric current is lorcod tu move tftu wira 54 and pote 5G- Cn otter worrlR thi*> extra energy equally increases th* normal output of said battery 1—2. 5
Hy mtmiy the current given by the uucuitiulatcrii uuaceckd in seikv, ia properly iner*iisad hy the induced currents produced in the aecuiidary ol the induction cui! h and hy the I'apid chargings and diwchti icings of the r.nndeusov pi'urlnceil in the nhnve denariberl manner, :tnd the dvuuuiul^uni connected ill parallel receiving thus u proper amount of current. can ho fully charged while iu the first lialtery is discharging, HawOr^, aa the first battery i* diqehargin^ it** vnltn^ in pvtiffrcmiiTjBly Aeurtasin^, 'and in order tn msinbim in tlic circuit a (fivfln cmi^iit fur Hie clkmgiiig uf the Hucond buttery, the rHNJBhiuCD ol the same suid circuit must he aoourfmgly reduced.
Tii nrJci- to attain this result without touching the wiriiig, the bank contact J fi gtiid Fjfi of the breaker can. tie adjusted, in order tu sccure u proper resistance through the imfernipte]1 in nt.’COitlunce with the (If^retming voltage, and iu thin manner it is alwSya no&&ible ta maintain a gi?en correct Jii the circuit, until the very Inst limit, of enei^y in the discharging hattoij ifi attain ed.
Better results in every fOiptut cun b*> util I utilain^d by (he use of n duscd cure JtO type transformer Bomhtnod with an elecfrulitie interrupter, since with these interrupter praftically tliEsre in no loHf tinin ia the Intervals between breaks and in sikes, am! the nmmlailui! ul such devices cars liu easily ailjuattiil at a dinfancc wherever the iipm'S.tOr nmy desire. Once the limit nf energy in tbs di«uhai'ginp; battery i* attained, lh* *on- 23 neLsfimis of tha uccmr utalci a in nst he re versed, and with (his object in view thu Ofininiutulor shuwn by (!ic figiltc can Lc employed, anti the uyliu-dcr taunt be involved until the paths 3T h 38, 39, 40, come in contact with the brushoa connecting tbe pole-j of the LimimuiatoiH, and. the contacts 46, 4T, -are flimncctcd through path 4^. liy He doing tbe functions uf both an id batterifiK are at once 30 reversed , and the accumulators ft—i being nsx connected in seiLi«jt they/ v^ill dwh^i^>« through pole- 10T m: poles. 45, 47, wire 13, primary 15, wire 5r>, pole 48 (no* in Mnitettinik with pole W> th rough patli il), wire 49 and pole 9 of battcty 1 — 2 , that is nonv connected in parallel through paths 40. In other word ft tkn "wui'hing conditions can be thus rumplelely reversed by Ifi thr simple upcrntiiin of the* commutator, and II cotitinucni; current can lin in j-i-nta in-cd through wiru oE>, in vrhich the primnry &T of an ordinary transformer, or any olhor suitable device, can be inserted in serieg, in nr dor to profit tho surplus nf ihe electrical energy tlmn. obtained, without impairing in the least Ihe running of the mediani*T[|, ^ Obviously means can bo diHpomd in order to obtain an automatic operation of the (iominiitutor, from time tu lime, in sccurdanne u'ltb the C^pnoity of flic uccu mu Ichors emjtJoyed, and in cOti^JUuliuA, for a. given wtiighf nf flatteries, grewtcr power cun bo sceMi'ed by ll'io pi-nccw, with itiiallor cuiMcitien, tliftn wjtli (lie greiitcr units,
?inco t.he same 4 Tfoltj can be obtained from n <50 anip.-hcur? 45 ee^iimnlator, as with a !!) afnp.-hourn capacity. L desire alau to ei.pl»id elcaHy lli4t the arrangements shown are entirely ii lustra fives," That in practice in eoch fA9 t the aei^nmulators composing each battery, tun be connected ue den^rihed or a auiljibh: combination ul Hcriefl-para31el cau be srmnged in each pruup, and. that fins connections uf the Sieveral ELpparatufi 50 employed can be Varied in Aiscciidnniic with the particular condition# of jiuwer that must be satisfied. Tfiivinj nuw particularly dc-s^ribed und ascertained the nittnro of rny said invention, and in what n^anncr the same i« to bo performed, I declare that what 1 cluiiu ifl:— 56 In « system fur the generation of dectrio carrenla: 14,3U«—A,L>. 10I&. 7 Hyst am f ar the Omrrvtiim of i’it-clric Cwnnti, 1.
i>ilpOd«() iu combination: Qns or muni baiterifia of atciimulttn™ ulrftftdy <’barg nil inferior miltar/e to that obtained jji the firnt batte-ry cir t'iiT thrift*.;
S I.M.itb tain batteries imnfEd in inch H nj aa tu utili^i' the dischur^e »f urnnrnulatOTa routiected in sffitS for the ttiitging of th* fr&COIid tmltury »r Latierica; nieftui for (fenemtiiig Ligh frcquancy mrrents through the circuit both, batteries of BC-numU.lt'itonS, in urder io intrtu.se the energy of the -diH^liur^a of sfcid- bftttories, and foT o,tilinir.g- part of this energy tJins m incrfuHvd in uny Qiitqide purpose ; and niaatiM for reversing from time td time tbu ipapiirtive runr.cctior.s of iut:h ; A>1 aubst-antially us herein JescriW uhd fur the apticiiifd object*, 1, Disposed to combination: MerhaDinms Ornpparatu* arrant^ed^ co-nnecttsci and oj>enitiiip substantially in the manner d'yatirihod, in ounnnctitin with tb.B 15 appended drawings and for the purpa^s jTiown, Dated the -4th day o£ I’etnnarr, 1916,
CARLOS P, HEJSriTK Z.
Tt^bj]]: Frifltwi fdh'Hiji WjjD*ty JP E^^atianfi
rj l">£fi.<7in
t
by J*OT& Jt M fttcQ'mBQTi * "Ltd.—]*HH_
Appendix #4
Report on Visit to John Bedini September 3, 1984 Written by Eike Mueller
FOREWORD Fallowing tn invitation by John Bedini, I went with him to Los Angeles immediately after t h e C o l o r a d o S p r i n g s Tes l a S y mp o s i u m o n 1 0 - 1 2 A u g u s t 1 9 6 4 We h a d tw o d a y s t o g e t h e r t o w or k o r. t h e K ro mrey C o n v e r t e r a n d t h e Tes l a Sw i t c h i n g D e v i c e . One thing came out very clearly every time when we locked into the “ I 11 e energy" all commonly known physical laws are no longer valid The things happening react directly opposite to what one would eipect. Specifically the more we loaded a specific circuit, the more output energy we gained, while using a constant input energy level 1 will cone back to this effect later, w hen I describe the eiperi ments in more details At this point I want to take the opportunity and thank John Bedini and his lovely wife f o r t h e i r h o s p i t a l i t y a n d a s s i s t a n c e I t t a k e s p e r s o n s l i k e John t o g e t t h e “ f r e e e n e r g y " rolling Without his publication Cl} of the detailed plans for his fiee energy device, we w ou l d d e f i n i t e l y n o t h a v e s e e n t h e f ree e n e r g y d e v i ce s d e n c n s t r a t e d d u r i n g t h e Tes l a Symposium
Also many than ks to Tom Bearden, who took his tice and explained the results of the tests performed on 13-14 August I V 8 4 His comments are contained in the concluding chapter of this report
Kromrey Converter
John B e d i n i f o u n d t h a t t h e m a t e r i a l g e n e r a l l y a v a i l a b l e c o n c e r n i n g K r o n r e y ' s C o n v e r t e r had been altered Rebuilding the Kromrey Converter from the patent papers ended up in a non-functioning device Bedini found the necessary modifications which made this machine perform as
Our first
this to
goal was to determine the converter's efficiency. We found be quite difficult the efficiency changes with the load
a p p 1 i e d
F IGURE K-1 shows the first setup we used. We drove the Kromrey Converter from a 12 V motorcycle battery. We connected at the output of the converter a condenser and and a rectifier btldge in parallel The rectified current was t h e n p u t b a c k i n t o t h e m o t o rcy c l e b a t t e r y. To d e t e c t a n y c u r ren t f l o w, w e c o n n e c t i n t o the positive line a 12 V light bulb T h e res u l t o f t h i s t e s t w as t h a t t h e l i g h t b u l b w a s l i t u p H o w e v e r, a f t e r I S mi n u t e s t h e battery voltage had dropped fret 11 OS V to ? 10 V The speed of the converter was stable at 1020 rpm
( 1 1 ' E i d i s i ' i F r e e I n e r g j G e n e r a t o r * kf J o b s B e d i n i , Te< U B o o k C o i p n y, H i l l b i a t , C i l i l o r n i i l t H
norm 1 o Neit we w a n to find a cor re t i or. tween t b a t t e r y u ts ien d g a1 ca o m m e r c i a l e r b ye rh eg e r , *c h a r gc h l na rgg it nh gi s {a 1 2a t t e r y t r e y s r y 12 m, V b t h t f.b ra ot m Wceh da ra an idn e d b a t e w e rr e y i th t e o C c oi n n e c t t hoen vKerrotm t e r , a tnh de a f t e r tp a tn og 61 1 . 5 1 w e de A s u t h e t iCmo en vi et rt o o k t o r attery Q rye b tc rh i tVh i. s v o l t ae g c h tao 1 2 . 4 5 V V e r e a ct h e t h i s v o l t ao gme 1 2 . 4 5 V ) lc e ev de l o f 1151 V te e 11 Th e indicated i n t o dt e b a t t e r y (w a s a9 f4 A minutes current h 0 We then repeated these steps using the commercial battery charger because we ran out of t ice after nearly 2 hours, we disconnected the battery f[on the
c h a r g e r. T h e b a t t e r y v o l t a g e h a d rea c h e d 1 2 4 1 V Th e m e a s u re me n t i s d e p i c t e d i n FIGURE K-3
BLEiNI: n'JCLLEE_____________1? PW ■? T __________________________n.^T
H .I
KROMREY DEVICE COMPPRISON MEASUREMENT USING A FIGURE K 3 C 0 H V E KI 1 0 N A L BATTERY C H ft R G E F: B ATT ERY \ £ V O LTAG E - 11.5 1V AFTER 113 f1 I N U T E S; 12.41 ' CMRRGING CURRENT RT BEGINNING: 0.60 ft, RT THE CMO: O.?? R
Ve w anted to find the correction factor f comparing the same effect, i.e. the charg one specific voltige to m o t h e r s p e c i f i c t h i s f a c t o r i s s h ow n i n FIGUHE K-4 Thl determined by dividing the area Y (ampere with the commercial battery charger) th time, K romr e f ) BEDTNI) MUELLER_____________________________________13 AUGUST 64_______________________________________TESTS tt
KROMREY
0
E V I C E
NOTE HE DID NOT REPCM 12.45 K) EUEN AFTER 2 HOURS.
TAB LE K-l show s (he combined test results Because we detected tn increase in the speed of the Kromrey Converter t s well ts t decretse in the i n p u t energy when we increased the output load, we decided to measure the input energy and speed when the output wts s h o r t e d . A g a i n , t h e i n p u t e n e r g y d r o p p e d t n d t h e s p e e d i n r. r e t s e d KEASVREH KO LOAD LOADED WITH SK C J T E D EKT BATTER! C O R RECTED I N P U T V O t TAC E 15 39 25 Cl J 24.70 1 FAC T 5 535 INPUT MO
tl
VATT S I N ...........
11 4 7
75. tC 54.7!
- SPEED IN lEVfSCCONB
40 00
15.00
73 00
41 00
10 10
N/A
N/A
J 95
1.05
N /A
10 u
N/A
CURREN T
- O U T P U T V G t TAC E tDCl - OUTPUT CUB F. E N T VAT7 S C U T ..................... VA7 7 S I K / O U T ....
7 31
10
51 71 132
Using the earlier determined correction factoi ol 5.535 we calculated the eneigy we put i n t o t h e b a t t e r y t o 5 4 7 8 Vat t s ( f ro m 1 0. 2 4 * 5. 5 3 5 ) L o o ki n g a t TAB L E K -l w e s e e t h a t i t ti kes only 54.78 Watts to run the K romrey Converter when the output is shorttd. This result led us to continue with these tests and load the converter output even more. The r e s u l t s o ( t h e s e t e s t s c a n b e s e e n i n TAB L E K - 2 o n t h e n e x t p a g e . Here again, we detected that we will get a higher efficiency of the total device, the more w e l o a d down t h e o u t p u t s i d e . T h i s e f f e c t i s t o t a l l y c o n t r a d i c t o r y t o t h e c o n v e n t i o n a l l a w s of physics.
MEASUREM ENT
M O L O A D L O A D E D V 1 T H L O A D E D Vi T H L O A D E D V I T H L AW 1 i m . R E S I S T O i R E S I S T O R 1 3 J O H M I i l O K U - I N P U T V O LTAC E 15.40 IS.10 20 00 11.1 * - INPUT CURRENT
] to
3 10
1 31
VATT S I N ..............................
11 Pi
ii n
4 7 10
51 37
- OUTPUT V01T1CE tDC J
41 10
HOC
St 03
20 10
N/A
1 75 13 SC
0.13
- OUTPUT CURRENT - R E S I S TAN C E 1 0 H M J VATT S O U T .......... VATT S O U T (CORRECTED) VATT S I N / O U T
. . N/A
TAB LE J C - J
ll.CC
IIS 1 !
1 30
134 12
1 1 1 .14 J 15
0 37
1 01
V e u s e d t h e K r o m r e y c o l l e c t i o n f d c t o i t o t t h e f i r s t c a s e , w he n w e h a d c o n n e c t e d t h e b a t t e r y t o t h e c o n v e r t e r o u t p u t W e d i d n o t u s e t h i s f a c t o r i n b o t h o t h e r c a s e s when we used resistors in the output circuit. T h e s e a b o v e t e s t r e s u l t s s h ow t h a t t h e e f f i c i e n c y o f t h e K r o o r e y C o n v e r t e r i s w e l l a b o v e 100%
The T e s l a
S w i t c h
W e u s e d a s a s t a r t i n g p o i n t f o r o u r e i p e r i a e n t s , t h e s w i t c h i n g d e v i c e John B e d i n i h a d b u i l t f o r t h e Tes l a S y mp o s i u a ( F I C U R E T-l ). O u r g o a l device for ordinary car or notorcycle was to upgrade this switching batteries To get a better understanding of this system, we first built only one half of the circuit F I C U R E T - 2 shows o u r f i r s t a r r a n g e m e n t .
3 . W- 3 C S T N EtOlNli r^jCLLLR
fE'sTT
SU
TTC
13 AUGUST 84_____________
H
TEST « UA
AC OUT
FICUHE T-7
COMMENTS BY TOM B E A R D E N
-
T h t O b s c t v * t i o n ID * 1 1 c t i o n F r o c t u -
From the standpoint of modern physics, the "universe" we detect, measure, and see is always the “output" of an interaction between the detector/observer and "that unobserved reality" that is really t h ere b efo re t h e i n t eract i on Th e "b asi c real i t y, b efu re o b servat i on / d et ec t io n " i s co mp ri sed o f something referred to as “action," having the units of angular momentum That is, unobserved reality is composed ot "energy aultiplied by time," or “momentum multiplied by length," or the product of two other “locked together" (canonical) variables The best way to visualite a photon -- the basic electromagnetic quantum -- is to think of it as "a little piece of energy welded to a little piece of time," with no seam in the Biddle. In other words, the photon
i s a s o r t o f " f u s i o n o f e n e r g y a n d t i m e , w i t h o u t s e p a r a t i o n i n a n y f a s h i o n . " When we s p e a k o t “ e n e r g y , " ultimately we speak of photon eichange, whether the photons are “virtual" (smaller than can be individually detected) or observable (large enough to be individually detected. Even with the macroscopic mechanical interactions, ultimately the forces are generated not by colliding obiects but by eichange of virtual photons, in the view
o f
modern quantum physics
A t a n y r a t e , when we m a k e a “ d e t e c t i o n , " t h e s m a l l e s t a m o u n t o f c h a n g e i n v o l v e d i n t h e u n o b s e r v a b l e universe is one “quantum” of action However, we do not actually detect a whole quantum instead we detect one piece of the quantum and lose the other piece In other words, if we detect <11 the little piece of energy in the quantum, we lose all the little piece of tine. If we detect a little piece of momentum, we lose all the little piece of length. The point is, one can imagine that we "split" or "fission" the quantum when we "detect", and we only detect on* part of it. FICURE 1 shows the operation ol the detection process. Specifically, according lo quantum mechanics we can nevei directly detect or observe the piece of ‘time* at all. Time if not observable, even in principle, in quantum mechanics. In my first crude paper along these lines til, I pointed out that quanta do not superpose; instead, a single quantum change occurs at a time, and a single detection occurs at a time. In conceptually modeling the fundamental detector itself, it was necessary to utilise a “fusion" process on the fragments of the quantum resulting from ttie f issI on/detection process. In other words, one has to clear out the residue before another "fragmenting" can occur. The way this happens is that the two picces are fused together, back into a full quantum, disappearing into the basic action continuum. Thus the passage through time of a body occurs in little time jumps. (FIGURE 2). And each little piece of time helping to make an individual jump is removed before the neit jump occurs. That is, our march through time is not at all through a continuous time dimension as
In this model, everything exists In both positive and negative time strums that usually are balanced In this fashion, a completely new definition of mass was obtained, Newton's laws of motion (reiativistic fo r m) we re d eri ved , an d th e squ are l a w o f gravi t at i on was d eri v ed, al b ei t cru d el y. (21 Now notice that, when an action quantum is spilt into conceivable energy and time, it may be split in two ways; a) it can be split into positive pieces of energy and positive pieces of time, or b> it can be split into a negative piece of energy and an negative piece of I lie FICURE 3 shows these possibilities of splitting. Note that, if we consider both the fission and fusion processes/ both splits actually occur, depending upon which time stream one chooses to observe from
/ I
ACTION QUANTUM F I S S I O N ( D E( T ED C ETTI E OCNT)E UN D)
( A f ) _________________________( A t ) F R A G M E N T S O F A P H O T O N
OR
f R A C M E N T S O F A N AN T IF H O T O N
FICURE 3. Two Possibilities of Action Quantu m Fissioning
This is most interesting. We now have a concept wh ereby each object is passing through both the negative time flow and the positive time flow in an interweaved manner; to the microscopic obseiver, this appeals to be simultaneously.
(-4 fa)
S o an ob j ect ma y b e sai d to po ssess b ot h p osi t i ve an d n egi t i ve en e rg y, si mu l t an eo u sl y, as a fi rst ord er approiimation. It possesses positive energy in positive time, and negative energies in negative time. In all normal processes, we have considered and developed only positive time processes. However, we point out that negative time operation is well-known in modern physics. Feynman diagrams involve eitensive negative time travel. Originally Dirac did not predict the positron as a positive particle travelling forwards in positive time Instead, he predicted a negative particle (traveling in negative time, in our
vie w) ,
which we could only observe (with positive time instruments!) positive particle traveling Ioiwij d s in time In the view ol modern physics, real particles already travel backwards tines
in t i n e
is *
some-
a device normally is observed only to pioduce positive time, we shall a reversal of entropy Systems which tend to disorder in positive time, lend to order in negative time Such an effect (production of negative time) involves the concomitant production of negative energy. However, negative electromagnetic energy will still tun motors and burn light bulbs. The photon, you see, is it* own an11 partic 11 : and an antiphoton is just observed as another photon we can actually produce some extra negative time in Bot i f wh
i
c
We will choose to regard an antiphoton as energy and negative time, and producing these ted in the laboratory frame The production tive time will yield negentropy and addition energy, appearing to us to violate the ord energy" law. This is no problem, product! streams, and hence the appearance ol negati time, is itself a "curved spacetime1' phenouieno this effect is existing in a locally cuived sp is, it is now a general relativist ic system locally be conserved The system can appeal to or a sink, depending upon the indi*idual s yst ei t er n al l abo r at o r y o b ser ver We wi l l r etu r n t con si st i n g o f
h
o b t
a i n
negative two fragments if detec- of antiphotons and negaal or "free" negative inary "conservation of on of unbalanced time ve energy and negative n Any system exhibiting acet nt ( F 1 CUR £ 4) . That , and energy need not contain either a source i d ' s functioning, to an o this effect shortly.
Note the two time lines are of equal length. The negentropy device is producing negative energy and negative time, with respect to the lab observer N O N L I N E A R MOV E TH ROU GH T I M E O F NECEN TROP Y DEVICE
I/
• . L I N E A R MOV E TH ROUCH T I M E O F L A B O B S E RV E R
FICURE 4 Production of Negentropy by
| R E P R E S E N T S P R O P O R TI O N O F | / (- E ) AN D ( - t ) P R O D U C E D
I Lo cal Cu TTitu rt o f Sp tc *ti *c Vacu u m.
Thrci Kinds Of E I ict[OBignit1ct T h e r e i n a c t u a l l y t h r e e t y p e s o l e 1 e c t r o m I g n e t t c s ( TAB L E i ) , t s ! p o i n t e d o u t I n a y p a p e i C 3 3 t o t h e IEEE C o I o ( a d o Spring* Trili Cen tennial Symposium on 11 August 1984 i) The ordinary kind of EM, described in classical electromagnetic theory In classical EM theory, the vector force fields are considered primary and causative, and the potentials are considered to be only mathematical figments In a region where the force fields are tero, classical EM theory assumes that all the electromagnetic effects cease b)
Quantum mechanics, which holds quite a different view of EM In QM theory the potentials are considered to be real and fundamental, and the EM force fields are merely created from them by differentiation. That is, QM considers the force fields such as E and B to be derived effects, not f u n d a m e n t a l c a u s e s . F u r t h e r , when t h e s e d e r i v e d f o r c e f i e l d s a r e t e r o , t h i s o n l y m e a n s t h a t t h e giadients of the potentials are horizontal and hence "tero vectors “ The potentials are still there, however, and their interference in a region of tero EM force fields can and does still cause effects Thus, when classical EM effects reduce to rero, QM EM effects can still eiist due to the p ot en t i al s. In ad d it i on t o vi o l at in g cl as si cal E M th eo r y, t hi s al so vi o l at es cl assi c al mech an i cs It is true and experimentally proven nonetheless. [41 (53
An eitension to the EM view of quantum mechanics, which I hive named "scalar electromagnetics " The view of a potential by QM is essentially that it is composed of randomly fluctuating little virtual flui vectors, each representing a moving virtual particle and hence a moving virtual force. That is, OH fundamentally assuaes that the virtual vector substructure comprising a potential stress of spacetime Is totally statistical and sums to tero. My own contribution, arrived at by noting the work of many unorthodox resear chers, is to point out that the virtual substructure need not to be rando m at all. Ve can simply form EM force field vector teroc by opposing or summing ordinary E and S vectors, for instance, ts a aero vector. In this case, the sun of the absolute values of their magnitudes represents an artificial potential, an artificial stress in spacetime, but one that now has a rigorously deterministic substructure. This represents a deterministic ordering placed into the virtual state (inside the tero vector, in its substructure). Ue have therefore violated one of the fundamental assumptions of quantum mechanics. Ve have deliberately ordered and formed the stress of spacetime itself In other words, we have accomplished general relatlvlstic warping or curving of spacetime as we deliberately chose, and partially ordered the otherwise statistical disorder of the vlrtual-flux vacuum-ether The magnetics allows us to transcend many of the cal EM and of quantum mechanics. THREE K I N D S O F ELECTROMAGNETICS
TABLE 1
c)
CLASS I C A L - > PO TEN T IA LS J US T M ATH E M ATIC A L CONVENIENCES -> ACTIONS CAUSED BY
third
kind
of
electro-
limitations ot classi-
NONZERO
FORCE FIELDS -> NO ACTION WHEN FORCE FIELDS ZERO
QUANTUn
M E C H A N I C S
->
POTENTIAL REAL
->
S TATI S T I C A L S U B S T R U C T U R E
-)
FORCE FIE LDS BY DIFFEREN TIATIONS
->
ACTIONS UHEN FORCE FIELDS ZERO
A R T I F I C I A L
POTENTIALS
-> POTENTIALS REAL - > FO R C E FIE LD S E XTE R N AL LY ZE R O ED . IN T E RN A L LY AC T IVE - > ZE R OS IN D IV ID U AL LY D IFFE R - > S C A L A R 1 N T E R P E ROMETRY - > S C A L A R R E S O N A N C E
TAB L E 2 s h o w s t h e s p e c i f i c c h i t * c t e r J s t t c t e i t u r e s o l e a c h o f t h * t h r e e k i n d o f e l e c t r o n a g r . e t i c s . T h * f l i s t two EM’s ire ilreidy proven; the third follows by simple summation of ordinary force field vectors to tero, to produce artificial potentials. N o t e w h i t i n a s t o u n d i n g c h a n g e t h i s s i m p l e v e c t o r s u m m a t I o n - t o - 1e r o , t o m a k e i n a r t i f i c i a l p o t e n t i a l , represents to physics. In dellbente- ly forming older In whit was previously vacuum disorder, we have ac co mp l i sh ed — si mp l y i nd di rect l y — th e p ro du ct i on o f n egen t ro p y. We hi ve red u ced d i so rd er *n d Increased order. If so, we must Inevitably have produced negative l i n e i r l a b o r a t o r y o b s e r v e r , a s w a s shown in T1CURE 4.
time
and
negative
energy, as
seen
by
the
external,
On o n e t e s t , a B e d i n i b a t t e r y r e m o v e d f r o m t h e o p e r a t i n g K r o m i t y - t y p e d e v i c e c o n s u m e d e l e c t r i c a l c u r r e n t t o r t ! 0 n i n u t e s b e f o r e t h e D i r a c h o l e s w e r e f i l l e d a n d tile b a t t e r y s t a r t e d t o c h a r g e normally At the Colorado Springs Tesla Centennial S ymposium, the battery fion Tom Watson's Bedini-type f r e e - e n e r g y d e v i c e w a s s t o l e n — p r o b a b l y b y a g e n t s w h o know o f t h e e f f e c t , a n d w a n t e d t o s e e i f t h e battery eihibited the "Dirac fill time" effect. That is, they could absolutely ascertain whether or not his device was real, simply by testing the battery to see if it exhibited the effect. On an y free-energy device which is po wered from a recharging battery, this ascertain whether the device is genuine or a fake
is a positive test to
Other negative time effects are evidenced b y a motor running at least partially on negative energy. The way to undeis t and thebe effects is to reverse in out minds what would happen to a normal motor running on positive energy and positive time F o i e x a m p l e , o n e m a y v i s u a l i x e a m o t o r r u n n i n g a t c o n s t a n t s p e e d a s c o n t a i n i n g some c o n s t a n t v a l u e o f e n e r g y a t a n y g i v e n t i m e . I f a l l t h e e n e r g y i s p o s i t i v e a n d t h e t i m e p a s s i n g i s p o s i t i v e , when one shorts the terminals one removes positive energy. The motor thus dies. On the other hand, if the motor contains a negative energy and negative time, shorting the terminals removes negative energy and negative time This is equivalent to increasing negative energy in positive time Therefore the laboratory observer will observe the motor to increase its speed when the terminals are shorted. Eike Mueller directly observes this effect in the Bedini device. Similarly, if one adds additional loads to a negative energy/ negative time motor, one is again removing negative energy and negative time, which is identical to adding negative energy in positive t i m e Thus a g a i n t h e m o t o r i n c r e a s e s I t s s p e e d p r e c i s e l y a s E i k e M u e l l e r ' s t e s t s s h o w e d . Additional negative time effects are exhibited Utilisation of negative energy produces IR 2 cooling i n s t e a d o f h e a t i n g . Thus r e s i s t o r s a n d s e m i c o n d u c t o r s r u n c o l d T h e m o r e l o a d a d d e d , t h e m o r e n e g a t i v e energy current drawn -- and devices get cooler, even though the lights get brighter and the motor runs f a s t e r . A l s o , t o t h e n e g a t i v e e n e r g y In e g a t i v e t i m e o p e r a t i o n , t h e f r e q u e n c y / t e m p e r a t u r e s p e c t r u m appears to be inverted. That is, Instead of "heating up" through infrared, into visible, into ultraviolet, a n d i n t o X - r a y s a n d g a m m a r a y s , t h e n e g a t i v e e n e r g y d e v i c e e x h i b i t s " c o o l i n g down" f r o m g a m a a s t o Z rays to visible to infrared. In this manner one finds that a simple low voltage (positive instrument measurement*) spark exhibits profoundly unusual effects: Its negative ti me/negative eneigy/"vol- tage" may be extremely high . The spark therefore may appear ol extraordinary length for the (seemingly) low voltage indicated by positive-time instruments. In addition, the spark may be unusually rich in UV e m i s s i o n o r I - r a y e m i s s i o n . F o r u n c o n t r o l l e d v e r y h i g h - e n e r g y n e g e n t r o p y d e v i c e s , e v e n gamma e m i s s i o n may be observed from seeaingly “ l o w m l t i g i " d e v i c e s T h e l o n g - s o u g h t X - r a y l a s e r a n d gaema r a y l a s e r s h o u l d b e e a s i l y c on s t r u c t a b 1 e along negativ^entropy devict principles
References
[ 1 1 B e a r d e n , Thonas E . , “ Q u i t o n / P e r c e p t r o n P h y s i c s : A Theory o( Eiistence, Perception, and Physical Pheno»ena,” March, 1973, NTIS I AD 7 4 3 2 1 0 t 2 J Ibid. 1 3 3 B e a r d e n , Thomas E . , " T e s l a E l e c t r o m a g n e t i c s a n d I t s . So vi et Weapo ni t at i on , “ p r esen t ed t o t h e I E E E Tesl a C en t en n i al S ymp o si u m, Colorado College, Colorado Springs, Colorado
II
August 19 8 4
t 4 J Y A h a r o n o v a n d D . B o h m , ‘ S i g n i f i c a n c e o f E 1 e c 1 1o n g n e I i c P o t en t i al s in th e Gu an tu a Th eo r y,” Th e P h ysi cal Re vi e w, S econ d S eri es, 115 (3), August t, 175?, pp. 485-471. C 5 I R . C . C h a mb e r s , P h ys . R e v . L e t t . , Vol . 5 , 1 9 4 0 , p . 3 .
TIME
1 2 2 5
EVENT 12 V Q LTAC E GATT I I 120 BATT 1 2 I 1 » BATT 1 3 12.2 BATT 1 4 12 2
1 2 4 5
1 0 0 3
120 ? 121 12.2
II
121 122 12.7 12 7
1 1 5
1 3 0
4 121 122 126 12.7
TAB L E 1 T E S L A / B H E N T T E / B E D I N I S W I T C H I N G D E V I C E F I R S T S E R I E S
5 121 122 128 12 8
T A B L E 3 shows ' h e c o n t i n u a t i o n o . a b o v e m e a s u r e m e n t : *
Hire a;iin f i r s t
the events
EVENT I 6 30 pa v o l t i g e n e a s u r e t a e n t s t a k e n ? EVENT
J
15 fw voltage measurements taken
EVENT K
10
30 pm voltage measurements taken
E V E1N1T O LS pm voltage
me asurlitnts taken. 11 30 pm
EVENT M voltage neasuienents taken EVENT N
10.30 am
(1 Sep) discovery alter unit has been operated during all
night that both 110 V lamps were out and that one wire was
br o ke n d ue to o ve rh e a tin g. Volta ge me a su r e me n ts ta ke n
EVENT 0 1 1 3 0
am voltage measurements taken.
EVENT
0
P
3
pa
all
voltage
0
ol
probably
lights
again
battery
12
cause*! b y
the
-
out,
voltage
marked back
me
with
EHF
i r
asurernents
<*>
in
om
the
the
taken
The
low
TAB LE 3 - i *
transformer
tost
Th*
ideal
a
direct
tranf omer would be an inverter translot- Dtr 10 V to 110 V
The
*
urns
a
r
y
of
this
test
can
be
seen
in
T AB L E
3
which
is
c o n t i n u a t i o n o l TAB LE 2 .
TIME
EVEkT
I 30pi I 15 II 30
I
11 OS
)
II 31
1 0 3 3 a a
II 10
(
1 CO;*
V O LTA GE J ATT II B ATT II
11.7 n I 12 1 ii i
ii n 11 11
i i 4 S
12 0 12 1 12.4 12 5
11 11 12 12
1 1 S 4
12 11 12 11
1 7 S 5
11 5 tl 1 11 3 11 3
12 12 12 11
5 S 5 5
F
12 S 12 11
1 1 5 9
iiTT II B ATT 14 i (N i aTi iI lN, iUl sAT i c iIiOs iNn tO i :F: i sM£ E c sAs S U R E M E N T S S H O W N I N T AB L E 2 T A B L E :3: i iCf O
The t o t a l t e s t r u n I S s u m m a r i z e d i n CRAPH 1 o n t h e f o l l o w i n g p a g e I n t h i s g r a p h I show I h e v u l t a g e s o l a l l b a t t e r i e s o v e r t h e t e s t t i m e i n h o u r s
TESLA/BREN TTE/BED I N I SWITCHING DEVICE TESTS 12
K2
: BfiTTERV II
ES3
1"
j
: B AT T£R Y I)
i BATTER if 14
mc nx — iro c -co mH -oaj
T ES T T IME IN H OU R S : MIN U T E S
G R AP H 1 T ES LA / B R E N T T E / B E D IN I EU IT C H IN C D EV IC E T ES T S U MMA RY
[ZJ
: BATTEKy
Here are just a few of our book & packages.
video BATTERY SECRETS
BATTERY
REJUVENATION
VISIT OUR FULL CATALOG OF NEARLY 40 GAME-CHANGING BOOKS & VIDEOS!
http://emediapress.com
JOIN OUR AFFILIATE PROGRAM AND EARN 60% ON ALL OUR DIGITAL PRODUCTS
C u s t o m e r S e r v i c e : i nf o@ t e s l a c h a rge r s . c o m Tec h Q u e s t i on s : pe t e r@ t e s l a c h a rge r s . c o m
U .S . P ho ne : (5 06 ) 9 21 -6 96 0 P ac i f i c Tim e Zo n e l 0 a m «' 4p m
Tesla Chargers World’s Most Efficient, Effective & Advanced Battery Chargers and Solar Charge Controllers DESIGNED BY JOHN BEDINI Built to Order http://teslachargers.com
ENERGY
SCIENCE FORUM
WHERE THE EXPERTS COME TO PLAY!
Join for FREE and learn more about the Bedini SG technology directly from John Bedini! http://www.enerqyscienceforum.com/reqister.php
2015Energy Science& Technology
Conference Another * EXCLUSIVE * One-Of-A-Kind Conference Produced by A & P Electronic Media
July 10, 11 & 12, 2015 in Hayden, Idaho
Join the Free Conference Update Mailing List
http://enerqyscienceconference.com