L’étudiant L’étudiant est un statut social acquis et construit par n’importe quelle personne, c’est un processus de mobilité social qui est donc le passage de la phase élève mineur à la phase étudiant majeur, c’est un effort de construction intellectuel de la personne. La phase étudiant est une phase très cruciale dans le processus d’évolution de l’étudiant parce que le titre étudiant exprime la responsabilité qui s’accompagne d’une grande contrainte qui est la liberté, l’étudiant est un Homme majeur responsable et libre qui doit se fixer des objectifs à atteindre et qui à leurs tour s’accompagne de plusieurs défit que l’étudiant doit affronter d’o donc l’esprit de responsabilité et de terminisme, la volonté et la confiance en soi. !ous ces éléments sont nécessaires pour construire la personnalité de la personne. Le statut étudiant doit "tre honoré par celui qui le porte.
La socialisation sociali sation primaire # elle est faite par plusieurs agent de socialisation sociali sation dont les plus important sont la famille, les parentés, le quartier, la ville, l’école. La socialisation sociali sation secondaire # elle est faite par les masses médias, les organisation organi sation de l’$tat%
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Les méthodes de travail dans la faculté de droit
La méthode de dissertation : La dissertation est un exercice intellectuel qui peut "tre écrit ou orale et qui peut porter sur un sujet d’ordre naturel ou social. &l démontre la véracité ou la fausseté d’une idée ou de quelque chose, c’est une démonstration à caractère anal'tique.
La méthode hypothético-déductive : (’est une méthode qui repose sur une relation d’interaction entre l’h'pothèse et l’empirie et la théorie. )ans cette méthode le terme clé est le concept. *n concept est une construction imagée d’une réalité observable faite par le chercheur, c’est une représentation abstraite et intellectuelle. Le concept ne peut "tre appréhendé, étudié ou exploré que sur la base d’une démarche qui se compose d’au moins + étapes # Conceptualisation : La définition du concept. Dimensionnement : dégager les dimensions du concept. Les indicateurs : &ls visent à traiter de chaque dimension du concept.
Les indices
&l ' a aussi une éme étape # le traitement s'stémique du concept qui vise à faire la combinaison entre tout les dimensions du phénomène o chaque dimension est détailler sous forme d’indice et d’indicateur.
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Epistémoloie de la science Définir : identifier -identification, donner un sens et préciser la signification d’une chose, il
est donc très difficile de définir parce qu’il n ' a as qu’une seul vérité, chaque individu est porteur d’une vérité.
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!u’est ce "ue l’ontoloie #
L’ontologie est une science de l’/tre en tant qu’"tre c.à.d tout ce qui existe en tant que créature # L’univers et tout ce qu’il contient. L’ontologie pose trois questions # L’origine de l’"tre. Le processus d’évolution de l’"tre dans le temps et dans l’espace. Le devenir de l’"tre
!u’est ce "ue l’épistémoloie #
L’épistémologie signifie la science de la science, elle est assimilée à l’autre discipline comme la philosophie de la science, la théorie de la connaissance% L’épistémologie pose trois grandes questions # L’origine de la connaissance. Les méthodes utilisées pour produire la connaissance scientifique Les obstacles épistémologiques qu’affronte la science. •
!u’est ce "ue la science #
La science est une connaissance et plus exactement c’est un fragment de la connaissance. 0n distingue trois t'pes de connaissance # Ghizlane Boukantar
La connaissance divine, qui vient du bien, c’est une connaissance du haut vers le bas, gr1ce aux mécanismes de la révélation et par l’intermédiaire des ap2tres -les prophètes La connaissance intuitionelle et superstitionnelle, c’est une connaissance qui repose sur l’intuition, la superstition, la magie la sorcellerie. La connaissance positive, c’est la connaissance construite par l’homme et acquise par l’homme, elle développe une vérité relative à la lumière de cette distinction entre les trois t'pes de connaissances. La connaissance scientifique repose sur cinq critères # $% L’o&'ectivité : la science est un savoir objectif qui rompt avec toute forme de subjectivité. (% La rationalité : la science est un savoir rationnel qui repose sur la raison et le raisonnement scientifique. )% L’e*périence : la vase principale de toute connaissance scientifique est l’expérience. +% La mesure : la connaissance scientifique est une connaissance qui a pour objectif la mesure c.à.d le fait de dégager des lois et des normes. ,% La testa&ilité : la connaissance scientifique repose en premier lieu sur le test des résultats obtenu d’o l’idée de la vérification des résultats.
ypoloie de la science : Les sciences loi"ues formelles :
$lles se composent des maths et de la logique et repose sur la démonstration. Les maths sont des sciences formel, considéré comme un langage rationnel et abstrait construit par le chercheur, cette science se repose des chiffres et des s'mpt2mes, elle est considéré comme un langage informatique. Les maths se composent de deux catégories # les maths impliquées qu’on trouve dans plusieurs matières et les maths fondamentales qui se composent des équations et des inéquations, du s'stème.
Les sciences hypothético-déductives :
$lle se compose de quatre disciplines # La ph'sique, la chimie, la biologie et la géologie. $lle repose sur un s'stème de raisonnement externe qui consiste a affronté la théorie à la pratique d’o la nomination de science Ghizlane Boukantar
expérimental. $lle ne s’agit pas de science exacte mais de science qui évolue gr1ce à l’erreur, soit dans l’expérience soit dans la théorie.
Les sciences herméneuti"ues :
)es sciences susceptibles d’interprétation multiple. (e sont les sciences humaines et les sciences sociales qui traitent de l’homme en tant qu’objet. •
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Les oriines de la connaissance scientifi"ue : Courant idéaliste : 3our 3laton l’origine de la science est l’idée. (elle4ci est exprimée sous forme d’un esprit supr"me qui n’est autre que )ieu (’est un esprit omniscient, omnipotent, et omniprésent. 3laton met l’accent essentiellement sur le raisonnement abstrait, le raisonnement intellectuel pour produire la connaissance scientifique. Courant matérialiste : 3our 5ristote c’est la matière qui est à l’origine de la connaissance scientifique. L’observation permet à l’homme de comparer les choses observées et de déduire un certain savoir. Les outils de production de la connaissance scientifi"ue : La théorie : c’est un s'stème conceptuel et anal'tique développé dans le cadre d’un raisonnement scientifique qui ose en fin de compte le dégagement de lois. La théorie doit "tre distinguée du 6 paradigme 7 qui est définie comme une vision global qui repose sur une idée qu’expriment une culture, et des termes comme 6 approche 7. L’hypoth.se : (’est un questionnement sur un phénomène ou une situation. )ans le cadre de la démarche scientifique le chercheur fait toujours appel à 8 h'pothèse avec 8 appartenant à l’ensemble 89. !outes les h'pothèses sont objet de vérification et une seule h'pothèse est retenue par le chercheur. La procédure : une méthode mobilisée par le chercheur pour produire un certain savoir politique. $lle repose sur deux méthodes # $% L’induction # qui cherche à partir du particulier au général et cherche à construire le savoir scientifique sur une base qui commence par la vérification de certain lois. (% La déduction # elle part du général au particulier et ne pose pas des lois et c’est la méthode adaptée par les sciences naturelles. •
est un élément essentiel de production de la connaissance scientifique. Le chercheur précède la conceptualisation pour traité le Le concept :
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phénomène ou le faire objet de son étude. Le concept reflet une réalité.
Le pro&l.me de vérité : La vérité pose un grand problème, celui dans la mesure o on ne peut pas parvenir à une vérité constante.
Les philosophes grecs ont tranchés en ce qui concerne cette question, en affirmant que chaque individus porteur d’une vérité d’o le caractère multiple et varié de la vérité. La science affronte de grands obstacles épistémologiques en ce qui concerne la construction du savoir scientifique d’o déjà du niveau de l’obstacle épistémologique qui se pose en rapport dialectique entre l’objectivité et la subjectivité. •
Le travail des rands épistémoloues : •
Gaston Bachelard /La rupture épistémoloi"ue0 :
:achelard met l’accent sur la question de la rupture épistémologique dans l’évolution de l’histoire de la science. 0n distingue trois t'pes de rupture épistémologique # ;. La rupture entre la science et l’explication théologique. <. La science et l’explication émotionnelle basées sur les préjugées et le jugement de valeurs. =. La science et les méthodes traditionnelles utilisées pour produire la connaissance scientifique. •
1arl 2opper :
3our 3opper, il ' a plusieurs t'pes de science # la science, la méthascience, la pseudoscience et pour lui seul la science obéit aux critères des principes posés pour élaborer par 3opper son principe qui est le principe de réfutabilité. •
homas 1uhn :
&l s’inscrit dans la lignée de >aston et 3opper et ceux dans la mesure ou ?uhn développe l’idée de rupture épistémologue et le principe de paradigme qui pour ?uhn est développé en tant que vision qui est propre à une catégorie d chercheur, ce paradigme est développé dans une période de temps et il peut "tre par la suite rejeter. Ghizlane Boukantar
Epistémoloie des sciences sociales •
Le champs conitif et épistémi"ue des sciences sociales : •
La démarcation des sciences sociale :
Les sciences sociales n’obéissent pas aux critères de la science qui sont # l’objectivité, la rationalité, l’expérience, la mesure et la testabilité. Les sciences sociales sont des sciences humaines, ce sont des sciences dites 6 herméneutique 7 qui pose une grande problématique pour la science qui est celle de l’interférence entre l’objet et le sujet. )ans les sciences sociales, il est difficile de séparer l’objet et le sujet comme le cas des sciences naturel ou il ' a une séparation entre l’objet -la matière et le sujet chercheur -l’Homme. (et obstacle épistémologique emp"che la construction de l’objectivité et c’est la subjectivité qui domine.
Les chercheurs qui a leur t"te @aint @imon, $mile )urAheim, 5dam @mith% ont essa'é de rompre avec la subjectivité et ont construit ce qu’on appel l’objectivation qui signifie le contr2le de sa propre subjectivité et l’usage des méthodes qui sont développer dans le cadre des sciences naturel. •
L’holisme et la déduction :
&l s’agit d’un grand paradigme qui s’est développé dans le champs des sciences sociales et qui vise à traiter les phénomènes sociaux et ph'sique selon une optique qui met l’accent sur la totalité d’o l’idée du s'stème. Le syst.me est une totalité ou une structure qui correspond à un ensemble d’éléments autonome qui fonctionnent dans un environnement. &l est structuré par = t'pes de relations # relation s'stème4environnement, relation élément4élément, relation s'stème4élément. •
L’individualisme méthodoloi"ue et l’induction :
(’est un paradigme qui consiste a traité les phénomènes sociaux sur la base d’une logique individualiste. (e paradigme trouve ses origines dans les travaux de deux grand sociologue allemand >eorg @immel et Bax Ceber qui essaient d’interprété les phénomènes sociaux sur la base de l’action sociale. ;. @immel développe l’idée d’action4réaction <. Ceber développe l’idée d’action4rationnelle et considère que l’action Ghizlane Boukantar
rationnelle est une action qui vise à atteindre un objectif. =. Da'mond met l’accent sur deux concepts le calcul et la stratégie, pour lui l’action sociale rationnelle est assortie de deux éléments, le calcul et la stratégie.
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Les méthodes d’analyse dans le champ des sciences sociales : •
La méthode comparative :
(’est une méthode qui consiste a affronté deux éléments 5 et :, elle vise a dégagé les éléments de convergence et les éléments de divergence qui repose sur l’observation. •
La méthode histori"ue :
(’est une méthode qui a été développé par un grand historien et sociologue 5bderrahmane &bno ?haldoun avec qui est née la méthode causal dans l’anal'se des phénomènes # La relation entre cause et effet, c’est une relation développé dans le cadre des sciences naturelles. $t elle a connu un grand développement avec la naissance d’une autre discipline qui est le fructularisme développé par le futurologue marocain Behdi $l Benjra. •
La méthode dialecti"ue :
(’est une méthode très ancienne qui trouve ses origines dans les apports philosophique des philosophes grecs. La dialectique est une forme de discussion de raisonnement et d’interprétation. $lle est une forme d’opposition entre au moins deux éléments 5 et : dont 5 représente la thèse et : l’antithèse. Le chercheur intervient dans cette opposition entre 5 et : pour devenir ( qui est la s'nthèse. •
La démarche scientifi"ue :
(’est une méthode très rigoureuse qui repose sur le bien entre plusieurs éléments #
$% L’o&servation : $lle consiste à observer mais aussi à décrire et classer. (% Le pro&l.me : Le chercheur pose des questions sur ce qui a été observé. )% L’hypoth.se : Le chercheur essa'e dans cet étape d’apporter des réponses sous forme
d’h'pothèse E Ghizlane Boukantar
Le chercheur vérifie les h'pothèses formulées à travers des expériences faites dans des laboratoires. La mesure : Le chercheur interprète le résultat obtenu de toutes les expériences qui ont été faite et par la suite il procède le dégagement des lois. Le test : Le chercheur affronte le résultat obtenu à plusieurs cas développés dans plusieurs contestes -vérification des lois.
+% L’e*périence : ,% 3%
La démarche scientifique essa'e à travers toutes ses étapes de produire une certaine vérité qui n’est jamais constante, elle est condamnée à évoluer.
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Les méthodes "ualitatives
La méthode qualitative se distingue par son caractère qualitatif qui consiste à créer une relation directe entre le chercheur et l’objet de la recherche soit de faFon active ou de faFon passive d’o les méthodes suivantes.
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L’o&servation scientifi"ue :
L’observation est une technique très ancienne qui se fait en premier lieu sur la base de l’observation, cette observation scientifique a été par la suite affectionner avec l’usage des instruments techniques prés développées -Les microscopes, télescopes%, mais dans les sciences sociales on ne peut utiliser le microscope ou bien le télescope, c’est l’observation participante à coté de l’observation scientifique qui constitue un instrument nécessaire pour produire un certain savoir dans le champs des sciences sociales. •
L’o&servation participante :
(’est une observation ethnographique faite par l’ethnologue et l’anthropologue, elle est directe et permet au chercheur de partager la vie des personnes, objet de son enqu"te. (’est une méthode qui permet de partager les normes et valeurs survécus quotidiennement par la population. (ette observation permet au chercheur de gagner la s'mpathie et la confiance de la population. •
4ocus roupe :
(’est une méthode de discussion et de débat organisé par un chercheur. Le chercheur invite des personnes choisit sois au hasard, sois des personnes Ghizlane Boukantar
déterminés. Le chercheur prédétermine son objet de recherche et les questions qui cherchent à poser dans le 6 focus groupe 7. 5près la discussion le chercheur procède au traitement des données. •
5nalyse documentaire :
(’est une forme d’anal'se très ancienne qui a prit plus d’ampleur au
L’intervie6 7 L’entretien :
(’est une méthode très développer dans le champ des sciences sociales, elle permet au chercheur de collecter les donnés en établissent un rapport directe avec intervieé. &l repose sur plusieurs formes de questions et permet au chercheur d’avoir plusieurs informations.
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