LES MÉTAUX
COLLOÏDAUX
ÉLECTRIQUES PROCEDES
LABORATOIRES ET PHYSIQUE CH.
ANDRE
LANCIEN
DE CHIMIE BIOLO LOG GIQ IQU UES
COUTURIEUX EX-INTERNE ET CHEF DE LABORATOIRE :: :: DES HOPI HOPITA TAUX UX DE PARIS :: :: 18, Ave Avenue nue Hoche, PARIS
SOMMAIRE Page 1 2
INTRODUCTION PRÉPARATION DES COLLOÏDESARTIFICIELS COMPARAISONDES DIVERS COLLOÏDES. Colloïdes chimiques — élec él ectr triq ique uess (p (pro rocé cédé dé Br Bred edig ig)) — — (procédés A. Lancien) PROPRIÉTÉS DES COLLOÏDESLANCIEN ACTION THÉRAPEUTIQUEDES COLLOÏDES RÉSULTATS CLINIQUES. Infections puerpérales Pneumonies et grippes Fièvres typhoïdes Scarlatines Méningites Péritonites Tuberculose Phlegmons, etc Leucémie Otite Rhumatismes Affections diverses PHARMACOLOGIE POSOLOGIE COLLOÏDES
À AC ACTION
3 4 5 6 7
. .
10 17 21 25 26 27 31 33 35 35 30 37 38 39
SPÉCIFIQUE
SÉLÉNIUM ET SÉLÉNIUM A. COLLOÏDAL ACTION DU SÉLÉNIOL TOXICITÉ APPLICATIONS THÉRAPEUTIQUES DU SÉLÉNIOL Cancers du sein. •—• cutanés — de la langue — de l'oesophage •— de l'estomac — du pylore et de l'intes l'intesLin Lin — du rectum — de l'utérus PHARMACOLOGIEET POSOLOGIE
.......
.
40 41 44 45 45 49 49 52 52 55 55 56 57
LES
Métaux
Colloïdaux PROCEDES
Electriques ANDRE
LANCIEN
INTRODUCTION Un cert certai ainn no nomb mbre re de publications sc scie ient ntif ifiq ique uess pa paru rues es depuis un an et demi demi on ontt at atti tiré ré de nou ouvvea eauu l'l'at atte tent ntio ionn des physiciens et des médecins ci ns su surr le less mé méta taux ux colloïdaux el ont redonné à cette thérapeutique, nouv uvel elle le ac actu tual alit ité. é. De Deux ux or ordr dres es de fa fait itss distincts, inaugurée en 1897, une no less un le unss da dans ns le do doma main inee physique, les au autr tres es da dans ns le do doma main inee médical, ont mo motivé ce mouvement d'intérêt : d'une part, un no nouve uveau au procédé de préparation des mé métaux el métalloïdes à l'é 'éttat colloïdal a été présent se ntéé à l'A l'Aca cadé démi miee de dess scien science cess par le Professeur d'A 'Arrsonval au no nom de M. An Andr dréé La Lanc ncie ienn (2), et d'autre part des solutions col colloï loïdal dales es nou nouvel velles les de (Sél (S élén éniu ium m, Io Iode de,, Cui uivvré ré)) ont été préconisées dans le traitement diverses maladies (Cancer, Tuberculose). Ains Ai nsii do donc nc la thérapeutique fait fa it de dess emprunts de plus en plus nombreux à la science théorique et toute nouvelle méthode physique, tout perfectionnement, toute simplification, est appelé à av avoi oirr im immé mé-diatement des applications médicales importantes. Il est par consémédi dica call s' s'in inté tére ress ssee vi vive veme ment nt aux der derniè nières res quent naturel que le corps mé est mê même me né néce cess ssai aire re que le pr publ pu blic icat atio ions ns pr préc écit itée éess et il est prat atic icie ienn pu puis isse se conf co nfro ronnte terr le less di diff ffér éren enttes mét éthhod odes es de préparation des colloïdes, contrôler trô ler les ass assert ertion ionss plus ou mo moin inss in inté tére ress ssée éess de dess uns et des au autr tres es,, pu puis is cher ch erch cher er à la lumiè lumière re des fai faits ts cliniques la co conf nfir irma mati tion on de dess idé idées es thé théooraisons de donner dans la pratique la préférence au riques et les ra auxx co collloïdes préparés par l'un ou l'l'au autr tree des procédés en présence. De plus, il est néc nécess essair airee que les Laboratoires qui s'adonnent à la préparation de ce cess cor édec ecin inss le less dét détai ails ls des te corps ps ind indiqu iquent ent aux méd tech chni niqu ques es qu qu'i'ils ls leuur di dissen entt su surr quoi se ba base se ch chac acun unee de le leur urss af affir firma mati tion onss et emploient, le (1) Extrait (lu journal Le Médecinde Paris, juin 1912. (2) C. JR.Aca Acad. d. des Se, l. 151,p. 10SS,27 nov novemb embre re 1911.
— 2 — démons onstra tra-fair iree en le leuur présence toutes les expériences et dém s'offrent à fa labo bo-'exxactitude de leurs dire ress. Enfin, le la tion ti onss ut util iles es po pour ur pr prou ouve verr l'e du doit se co contenter d'être le collaborateur ratoire de préparation luii fo four urni nirr le less collo colloïd ïdes es que celui-ci demande, mais il ne clinicien, de lu less ind indic icat atiion onss des de fi fixe xerr lu luii-mê même me le doit pas émettre la prétention corps qu'il obtient. coll lloï oïde dess en général et oinn sur l'l'ac acti tioon de dess co Nous reviendrons plus loi sur l'a l'acti ction on spécifique de quelques-uns d'entre eux. Pour le moment, et pour briè iève veme ment nt le less di diff ffér éren ents ts procédés de préparation, rappelons br arti ticl clee ré réce cent nt nous suffira de citer les lignes ci ci-d -des esso sous us d' d'un un ar cela il no central de l'hôpital Saint-Louis, du Dr Gastou, chef du Laboratoire nouss rec recomm ommananillu lust stré ré de tr très ès be bellle less planches en cou couleu leurr que nou article il des médec médecins ins (1). donss à l'a don l'atte ttenti ntion on PREPARATION
DE S
COLLOÏDES
ARTIFICIELS
(Pseudo-colloïdes) ente teme mennt de deuux sel elss en so solu lu-« a) Méthode chimique. — On précipite len tion ou un sel et un électrolyte. Le co corp rpss qu quii pre rennd naissance est à rédduit une liq l'éta l'é tatt co coll lloï oïda dal. l. De même, si l'on ré liqueu ueurr mét métall alliqu iquee par un colloï loïde. de. solide, un liquide ou un gaz, il se forme un col métalloïde ou un cristal, dans un « De même, si l'o l'onn sol solubi ubilis lisee un mét excèss d' d'ea eauu (procédé A. Lancien, pour le préc écip ipit itee pa parr un excè liqu li quid idee qu quee l'on pr form rmee un très très be beau au co coll lloï oïde de.. Phosphore, le Soufre, le Sélénium, etc.), il se fo couran rantt « b) Méthode électrolytique. —Dans l'eau, on fait passer un cou élec ecttro rode dess es estt en platine ; la sec second ondee (+ ou —) dess él d'électrolyse ; une de en colloïde est en platine, sur laquelle on met le métal à transformer méta tall lloï oïde dess le less plus divers. Le mé métal en suspension or,, cuivr or cuivre, e, ar arge gent nt,, mé coll co lloï oïda dale le co colo lore re bi bien entô tôtt l'eau. « c) Méthode électrique de Bredig. — Entre deux électrodes de 'eaau un courant de 4 à 30 30 ampères métal pur, fondu, on fait passer dans l'e élec ectr trod odes es se pulvérisent et on obti obtien entt ai ains nsii le less solu solu-sous so us 11 1100 vo volt lts. s. Le Less él tions tio ns col colloï loïdal dales es pures de Bredig, les ferments métalliques de A. Robin. « d) Mé Elle le co cons nsis iste te à fa fair iree Méth thod odee du Dx Th. Swe Swedbe dberg, rg, d'U d'Upsa psala. la. — El dans da ns l'l'ea eauu par l'étinvola vo lati tili lise serr de dess fil filss métalliques ou métalloïdiques nour urri riee d'u 'unn transformateur celle no (2). « e) Méthodes de A. Lancien. — Elles sont de deux sortes : 'abbord la so solution de Bredig, dont il extrait 1° M. A. Lancien prend d'a les grains colloïdaux par des éti étince ncelle lless et pulvérise automatiquement marss 1913. 1913. (1) Laboratoiredu Praticien, XXI, BIOLOGICA, 3e année, n° 27, 15 mar Ou bien à mettre des en circuit circu it dans l'ar l'arc c de Bre Bredig. dig. capacités (2)
— 3 — de tr très ès ha hauute fréquence ; 2° pou cett au aute teur ur prépare ourr qu quel elqque uess co corp rps, s, ce dess ca de cath thod odes es métalliques ou mé méta tall lloï oïdi diqu ques es qu'i'ill pulvérise sur des qu électrodes vierges dans le vide cathodique, et dis dissou soutt ensuite, par la haute fréquence, les métaux ou mé méta tall lloï oïde dess de dess él élec ectr trod odes es ai ains nsii obte obtenu nues es.. «Ce Cess dis isssol oluuti tioons se fon fontt : da danns l'eau, les huiles, les alcools, etc., les gaz. « Les suspensions colloïdales pré répa paré rées es par les procédés Lancien sont chargées de grains d'u 'une ne fi fine nessse in inoouïe al alllan antt jusqu'à un demi et d'une régularité très grande. Ils ne diffè fèrrent micro-millimètre, entr en tree eux que de quelques cen centiè tièmes mes de micr micromi omilli llimèt mètre re (1). « Le plus souvent, on obtient des grains am amic icro rosc scop opiq iquues que l'on peut rendre ultra-microscopiques par l'or ou la fumée d'iode. » COMPARAISON
DES
DIVERS
COLLOÏDES
Nous laisserons de côt côté les colloïdes dûs au procédé du Dr The n'a pas été gé Swedberg dont l'emploi en thérapeutique géné néra rali lisé sé ju jussqu'ici, et ceux que l'on prépare par voie électrolytique, auxquels, n'a paraît-il, la thérapeutique pas recours, bien que nous soyons persuadé que plu sont nt en réaréaplusie sieurs urs colloïdes annoncés comme électriques so lité dus au pro procéd cédéé éle électr ctroly olytiq tique. ue. Il re reste donc en présence trois catégories de mé méta taux ux co coll lloï oïda daux ux : les colloïdes chimiques, — les collo colloïdes ïdes él élec ectr triq ique ues, s, pr proc océd édéé Br Bred edig ig,, — les col colloï loïdes des él élec ectr triq ique ues, s, pr proc océd édés és Lancien. 1. — COLLOÏDES
CHIMIQUES
Le premier en date est le Collargol, dé déccou ouve vert rt en 18 1889 pa parr Ca Care reyy Lea. Depuis, la plupart des mé métaux ont été préparés à l'é l'éta tatt co coll lloï oïda dall dehors de l'argent, les seuls qui ai aien entt ét étéé propar ce procédé, mais, en deh sonnt : le Manganèse, le Soufre, le Cui so posés en thérapeutique Cuivre vre,, l'I l'Iode ode,, le Sél Séléni énium um (S (Sél élén éniu ium m ro rouuge ge)) (2 (2). ). Le Collargol est le seul qui ait été beso soin in de rappeler les résultats expé ex péri rime ment ntéé la larg rgem emen ent, t, et il n'est pas be remarquables dus à ce colloïde, obtenus en Al Alle lema magn gnee pa parB rB.. Cr Créd édé, é, en France par Netter, et con confir firmés més de nombr mbreux eux expérimentadepu puis is pa parr de no teu eurs rs.. Réc écem emme mennt en enco core re (3), le Dr Ne Nett tter er après di dixx an anss d'expérience, (1) La grosseur des grain grainss obten obtenus us étant fonct fonction iondes des oscillat oscillationsd ionsdee courant courant (ce qui est démontré par la théorie) on peut prévoir et assurer qu'avec l'oscillationad hoc on a des grains de 1/2nn, grain grainss amicr amicroscop oscopiques iquesqu'on qu'on trans transforme forme en ultramicroscopiquespar l'or ou la fumée d'iode. (2) Le Séléniu Sélénium mpeut êtr êtree obt obtenu enu soi soitt par réduction d'un sélénite par le glucose,soit par la précipitation lente par l'éther d'une solution de séléniumdans le sulfure de carbone; cess de ce deux ux procédés donn donnent ent une solu solution tion dichroïque de séléniumcolloïdalrouge-corail. (3) Preasemédicale,n» 3, p. 22, 8 janvier 1913.
less ré résu sult ltat atss tr très ès ne nets ts obtenus av aveec le Collargol dans la pneurappelait le monie, la dy corps ps par parfai faitetedyse sent nter erie ie,, l'l'éry érysi sipè pèle le,, etc. C'est en effet un cor ment me nt ma mani niab able le que l'l'on on obt btie iennt fa faci cillem emen entt à l'é 'éta tatt sec, ce qu quii pe perm rmet et de l'employer en so solu luti tioons ex exac acte tem men entt tit itré rées es ; di diss ssou ouss cl clan anss l'eau, il Pratic ticien ien montre des grains animés de vi vibrations trè rèss intenses, et le Pra unee so solu luti tion on fraîchement préparée est sûr de son médicaquii em qu empl ploi oiee un ment. Enfin, on peut l'administrer en pommade et en pilules, cette dern de rniè ière re fo form rmee théoriquement inactive (Iscovesco), mais qui a do donn nnéé résultats les plus nets. cependant en pratique les rés En résumé, le Collargol es estt un ex exce cell llen entt mé médi dica came ment nt,, malg ma lgré ré les très tr ès ré réel elss que no nous us al allo lons ns signaler : 1° le métal n'y est inconvénients carr il ret retie ient nt toujours des tra racces des sels ayant pas à l'état de pureté, ca cons nsti titu tuee un inc incon onnu nu à redouter, ainsi que l'albumine qui réagi, ce qui co sert à le sta stabil bilise iserr ; 2° le less grains so sont nt tr très ès gros (50 à 100 JJLJJ.),et par assez ez min minime ime ; 3° les grains sont conséquent leur pou pouvoi voirr d'a d'adso dsorpt rption ion ass vives réa réacti ctions ons thermiques ; très inégaux entre eux, ce qui pro provoq voque ue de vives oluuti tioon bie ienn préparée 4° la st stab abil ilit itéé n'est pas su suff ffis isan ante te,, ca car, r, si une sol l'ébulliti llition on pendant de co courts instants sans précipeut être portée à l'ébu pend ndan antt pl plus usie ieur urss minutes et est piter, elle ne peut résister à 100° pe les rayons ultra-violets, etc. aggl ag glut utin inée ée pa parr les électrolytes, 2. — COLLOÏDES
ÉLECTRIQUES
(Pro roccédé
Bredig).
s'addre ress sser er à un un au auttre pr Il ét étai aitt don oncc nat atur urel el de s'a proc océd édéé po pour ur la préet la méthode de Bredig semblait paration des colloïdes thérapeutiques, desiderata erata du Corps médical : là, pas d'impuretés à craindre, remplir les desid unee fi un fine ness ssee de gra gran ande de,, pa parr co cons nséq éque uent nt un pouraiins bea eauuco couup plu luss gr trou ouvé vé un unee so solu luti tion on parcrut av avoi oirr tr voir th thér éraape peuuti tiqque plu luss intense ; on crut médica icatio tionn colloïdale, et l'usage s'en répandit fait fa itee du problème de la méd colloïdes ïdes apparurent : C'es C' estt al alor orss que les déf défauts de ces collo rapidement. montre le teneur en mé métal est infime et variable, comme le mo d'abord la te méta tall par les procédés ordinaires (mé (métho thode de cya cyanoa noarge rgenti nti-dosage du mé déppen endd plu luss métr mé triq ique ue Li Lieb ebig ig,, Denigês) ; et s'i'ill est vrai que l'activité dé est non moin moinss év éviide la finesse des gr grai ainns qu quee de la teneur en métal, il est solut utio ionn la plus ac acti tivve es estt la plus concentrée. dent qu' qu'àà gro grosse sseur ur égale la sol carr el elle le stabil ilit itéé es estt enco encore re plu cell llee du Collargol ca Puis, la stab luss pr préc écai aire re qu quee ce estt détr es détrui uite te im immé médi diat atem emen entt par la chaleur, même avant 100°, par les Il a don stab abil ilis iser er ce cess les électrolytes. oncc fa fall lluu st rayons ultra-violets, coll co lloï oïde dess : « Aussi, dit A. Netter (1 (1), ), l'l'ar arge gent nt colloïdal électrique stab abiiest stabilisé et isotonique. La st que l'on emploie couramment estt ob obte tenu nuee pa d'un colloïde stable tel que lisation es parr l'l'ad adjo jonc ncti tion on (i) Presse médicale,n» 3, p. 22. 8 janvier 1013.
— 5 — Chlo loru rure re de Sod Sodiu ium m à 8 p. 100. l'albumine, l'isotonie par l'adj l'adjoncti onction on de Ch On vo voit it que l'a l'arge rgent nt colloïdal él élec ectr triq ique ue em empl ploy oyéé en clinique n'est pas de l'a 'arrgent pur, pas plus que le Collargol. Comme dans ce dernier, il d'un un co coll lloï oïde de al albu bumi mine neux ux.. » additi ition on d' y a add Malgré cette précaution, nombre de médecins ont eu entre les mai ainns des ampoules do dont nt le co cont nten enuu ét étai aitt en enti tièr èrem emen entt agglutiné, soit sou ouss fo form rmee de dép dépôt ôt pul pulvér vérule ulent, nt, soit sous forme de grumeaux ; il se métal en suspour ur qu quel elqu ques es minutes le mé peut que l'agitation remette po mouvement de vibration aiss to tout ut physicien'sait que le mou pension, mai du colloïde, qu'après (mouvement brownien) est une caractéristique mouv uvem emen entt n' n'ex exis iste te plus, et qu agglutination ce mo quee pa parr co cons nséq éque uent nt une solution agglutinée ne contient plus un colloïde, mais seulement un reviv iviifi fier er.. Le Less grains ne corps inerte que l'agit l'agitation ation est impuissante à rev ceux ux du Collargol, bien que plu sont pa pass pl plus us ég égau auxx qu quee ce pluss fins en moyenne qui suit l'injection (40 à 50 (A|/.), comme le pro prouve uve l'h l'hype yperth rtherm ermie ie intra-veineuse de ces ces mé métaux. En injections intra ra-m -muusculaires le métal est rarement résorbé et on a trouvé à l'autopsie des dépôts doit it rédu duit it dan anss le less titiss ssuus de dess mala maladdes tr trai aittés és.. L' L'is isot otooni niee ne do d'argent ré sino nonn le colloïde est aggluêtre pratiquée qu'au moment de l'injection, si rieen ne pr tiné, et ri prou ouve ve qu quee cette précipitation ne se pr prod odui uitt pas dès le deux ux so solu luti tion onss da dans ns la seringue avant l'injection. Enfin, la mélange des de ces co coll lloï oïde dess es estt impossible, ca carr le mé méta tall perdrait de ce dessiccation de ces fait fa it l'éta l'étatt co coll lloï oïda dall et, par con traitement ementss par la voie gasconséq séquen uent,t, les trait trique ne pe peuuve vennt pa pass être pratiqués. Si l'on juge impar les avantages et les les in inco connvé vénnie iennts de impartiale tialement ment l'argent colloïdal chimique et de l'argent colloïdal électrique, on reconnaîtra que la seconde de ces préparations estt mi es mieu euxx to tolé léré réee que la première, moins brutale, moins dangereuse si l'l'on on veut, mais less ma main inss du bien plus inconstante et bien moins souple dans le praticien. Il suffisait d'apporter à la la méthode de Bredig certains perfection'obbtenir des grains beaucoup plus petits, de tro trouver le nements, d'o d'un unif ifor orm mis iser er leur le ur grosseur et de régulariser l'amplitude de moyen d' leurs mouvements, de réaliser en fin de compte de dess so solu luti tion onss parfait fa item emen entt st stab able less pour rendre à ce cette médication toute la fa faveur à elle le a droit. laquelle el 3. — COLLOÏDES
ÉLECTRIQUES
(Procédés
A. Lancien).
Nous avons vu plus haut que le Dr Gastou indique deux procédés céd és A. Lancien Lancien pour la préparation des collo colloïdes ïdes électriques. Ces deux ontt l'l'un un a été présenté à l'l'A Aca cadé dém mie des sc scie iennce cess par le procédés, don
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6 —
résultat de recherches entreprises Professeur d'Arsonval (1), sont le rés santé de la ma mari rinne. — sixx an anss par M. A. Lancien, du Corps de san depuis si diff ffèr èren entt l'l'un un de l'l'au autr tree qu Ils ne di quee pa parr la pr prem emiè ière re ph phas asee de l'opération, les deu euxx au autr tres es phases re ressta tant nt le less mê mêm mes ; le premier s'applique aux de l'électricité, le second, métaux et métalloïdes bons conducteurs aux corps ma mauv uvai aiss co cond nduc ucte teur urs. s. 1° Pour les métaux bons conducteurs, on com commen mence ce pa parr pr prép épar arer er solu luti tion on co coll lloï oïda dale le par l'arc de Bredig jusqu'à l'l'ob obte tennti tioon d'u 'unn une so titre en métal déterm rmiiné. Pour les autres, on réa réali lise se d' d'ab abor ordd un tr tran anssdans ns le vi vide de cathodique, et avec avec de deux ux ca cath thod odes es portt éle por électr ctriqu iquee du corps da ainsi obtenues on prépare un unee so solu luti tion on co coll lloï oïda dale le.. 2° La de deux uxiè ième me phase de l'opération co cons nsis iste te à soume soumett ttre re la solution ti on fo four urni niee par l'un ou l'l'autre des deux procédés à de des courants de haute fréquence sous l'infl l'influence uence desquels les grains sont projetés les uns est contre les autres et se pu (l'opération pulv lvér éris isen entt réci ré cipr proq oque ueme ment nt bten enti tioon d'u 'une ne grosseur déterminée de grains). pous po ussé séee ju jusq squ' u'àà l'l'oobt 3° Enf Enfin ce col colloïde est exposé aux rayons ultra-violets (arc au mer ercu cure re)) qu quii régularisent le mouvement vibratoire des grains, ce qui solution. ion. infl flue uenc ncee la plus décisive sur la st stabilité de la solut a l'l'in Chacune de ces opérations est rigoureusement contrôlée, la preou mière par un dosage du métal dissout (m (mét étho hode dess vo volu lumé métr triq ique uess deuxx der derniè nières res par la prise d'un film cinématographique pondérales), les deu fonction de leur d'ap d' aprè rèss le lequ quel el on mesure la grosseur des grains en fon et d'E (travaux d'Ehrenhaft 'Eiinstein) (2). déplacement suiiva vannt le less Par l'emploi de l'l'un ou l'a l'autre de ces deu deux procédés, su dess so solu luti tion onss colloïdales de tous les obte teni nirr d' d'ab abor ordd de cas, on peut ob méthode de Bredig ordinaire métaux antérieurement prép pr épar arés és pa parr la mé (Argent, Platine, Or, Rhodium, Cuivre, Fer, Nickel, Zinc, etc.), mais être re ob obte tenu nuss jusqu'ici auss au ssii le less co coll lloï oïde dess mét étal allliq iquues qui n'avaient pu êt chiimi miqu quee (M (Man anggan anès èse, e, So Souf ufre re)) et, mieux encore, ceux que par voie ch comm mmee n' n'ét étan antt pas susceptibles d'être amenés à l'état qui sont réputés co 'adddition d'aucun colloïde naturel ni coll co lloï oïda dall av avec ec st stab abil ilit itéé et sans l'a d'aucun stabilisant, tels que l'Iode, le Brome, le Phosphore, le Plomb, le Carbone, le Silicium, etc. l'Aluminium, PROPRIÉTÉS
DES
COLLOÏDES
A.
LANCIEN LA
semb mble lent nt d'ab d'abor ordd paradoxales Ces colloïdes colloïdes ont des prop propri riét étés és qui qui se extr trêm êmee fine finess ssee de leur leurss grains ; mais cependant il et qu'ils doivent à l'l'ex novembre 1911 1911.. (i) C.R. Acad.des Se, t. 153,p. 1088, 27 novembre voir dans 15 dé déc. c. 1913) la confé conférence rencede de Pour Biologica(n°du (2) plus amples détails, médeci ecine ne de Lon Londre dress (août 1913). M. A,.Lancien, faite au Congrèsinternational de méd
est fa soit it ai ains nsii lorsqu'on ex exam amin inee d' d'un un peu faci cile le de co comp mpre rend ndre re qu qu'i'ill en so forces ces qui an anim imen entt le less grains co coll lloï oïda daux ux ét étan antt près ces phénomènes. Les for mouvement brownien est en raison inverse constantes, l'i'inntensité du mo des mass masses es de ces ces grains ; el elle le es estt par con conséq séquen uentt considérable pour les 'unne ténuité extrê rêm me. Il résulte de là que ce cess autre autress fo forc rces es que grains d'u sont so nt le less ra radi diat atio ions ns lumineuses, caloriques, l'électricité, le magnétisme, ne ser seront ont pas assez pu arrê rête terr ce mo mouv uvem emen entt brownien, et puis issa sant ntes es po pour ur ar chal aleeur ni par les rayons que ces colloïdes ne seront agglutinés ni par la ch dess co coll lloï oïde dess de signe élecultra-violets, ni par les électrolytes, ni par de enfi finn il est inu inutil tilee d' coll lloï oïdde de mêm êmee trique contraire ; en d'yy aj ajou oute terr un co form rmer er un complexe stable, puisqu'ils son sontt sta stable bless par euxsign si gnee po pour ur fo considérer dérer (1). mêmes, et que leur sign signee élect électrique rique n'est plus alors à consi Il est mêm mêmee fa faci cile le de des dessé sécche herr ce cess sol solut utio ionns col ollo loïd ïdal ales es et de de co cons ns-tater qu'après re redi diss ssol olut utio ionn du col collo loïd ïdee sec, les grains sont de même dess ssic icca cati tion on et an anim imés és de mo mouv uvem emen ents ts au auss ssii in inte tens nses es.. grosse gro sseur ur qu' qu'ava avant nt de Cecii est d'autant Cec d'autant pl pluus imp impoort rtan antt qu que, e, selon Graham, « le colloïde est le fond même de la vie» et qu'il est ess essent entiel iel qu qu'i'ill pu puis isse se conserver son état « dynamique», un unee fo fois is injecté dans l'organisme, en présence des dess co coll lloï oïde dess di dive vers rs qu'il y rencontre. électrolytes et de Hâtons-nous iree que cette finesse de grains est cependant de dir encore loin d'être « idéale» ; la grosseur « id idéa éale le»» d' d'un un grain de colloïde ser eraait ce cell llee de la mo molé lécu cule le du métal, do dont nt vr vrai aise semb mbla labl blem emen entt l'l'ac acti tion on sera se rait it al alor orss « idéale » elle aussi ; mais nous sommes encore loin de Rhodium contient un certain compte, puisqu'u 'unn grain de 5 (/.p. de Rh nombre de molécules. ACTION DES
THÉRAPEUTIQUE
COLLOÏDES
A.
LANCIEN
traitter une une mal alaadi diee infectieuse, Lorsqu Lors qu'il 'il s' s'ag agit it de trai sont à co connsi siddér érer er : le malade, et le mi micr crob obe. e.
deux de ux él élém émen ents ts
Action sur le malade. — To Tout ut co coll lloï oïde de mé méta tall lliq ique ue pr prov ovoq oque ue une réaction plus ou moi moins ns in inte tens nsee de l'organisme, à moins que ce celu luii-ci ci ne soit plu lutt tter er si peu que ce soit et que le ma mala lade de so soit it à l'agopluss cap capabl ablee de lu nie. Cette réaction se traduit en par arttie pa parr les phénomènes décrits par MM. Achard et P. P.-Émile Weil (Archives de médecine expérimentale, mai 1907). Le Less au aute teur urss ont étudié l'action de l'argent co coll lloï oïda dall él élec ec-(1) Nous pouvons comparer ceci à l'action d'un projectile venant frapper un but perméable : si, pour une certaine charge d'explosif, on emploieun projectile de grosseur très celui-ciaura -ciaura a peine la forcede touc exagérée, celui toucher her le but et se trouvera trouvera arrêté par lui ; si, au contraire, la ma mass ssee du projectile est très faible et sa rorcevive considérable,il' traversera l'obstacl l'obstaclee et sera à peine ral ralent entii dan danss sa marche.
— 8 — du lapin, et no nous us trique sur le sang et les org organe aness hém hémato atopoï poïéti étique quess brièvement de ce colrappellerons que les injections intraveineuses loïde provoquent une au augm gmen enta tati tion on fuga fu gace ce des globules rouges accompagnée d'une diminution des leucocytes, puis la le leuc ucoc ocyt ytos oscc au augm gmen ente te la normale et se maintenir ainsi pendant pour po ur dé dépa pass sser er notablement ombbre de dess gl plus pl usie ieur urss jo jour urs, s, en même temps que le nom glob obul ules es ro roug uges es reste infé féri rieu eurr à la la norm normal alee ; enfin, to tout ut re renntr tree dan anss l'l'or orddre re.. légèrement in MM. Achard et L. Ram Ramond ont repris le less mê même mess Récemment, avec ec le Sé Sélé léni niol ol (Sélénium A colloïdal, pr expériences av proc océd édéé La Lanc ncie ien) n) et ontt ob on obte tenu nu se sens nsib ible leme ment nt le less mê même mess ré résu sult ltat atss (1) : ils n'ont cependant pas noté de leucopénie initiale et ont enregistré une hyperleucocytose plus pl us ra rapi pide de et plus durable qu qu'a 'ave vecc l'l'ar arge gent nt colloïdal électrique de Bredig. On peut don doncc con conclu clure re que la nat nature ure du mé méta tall n' n'in infl flue ue pas sur la réaction organique et que se seul ul l'l'ét état at physique du colloïde a de l'imSonn ac acti tion on se sera ra d' d'au auta tant nt plus intense que le grain sera plus portance. So fin (A (A.. Ro Robi bin) n).. L' L'ég égal alit itéé de grosseur des grains entre eux a aussi une une solution contenant des grains de grosseurs grande gra nde imp import ortanc ance, e, car une différentes provoque d' d'ab abor ordd un unee hy hype pert rthe herm rmie ie qu quii pr préc écèd èdee la chute de la température, tandis qu'une so solu luti tion on à gr donn nnee un unee baisse grai ains ns ég égau auxx do immédiatement On peut régulière et commençant après apr ès l'i l'inje njecti ction. on. MM.. Acha Achard rd el We Weil il ont obtenu rapprocher de ce phénomène le fait que MM une leucopénie initiale ap colloïdal procédé aprè rèss l'l'in inje ject ctio ionn d'ar d' arge gennt L. Ramond n'ont pas constaté cette Bredig, et que MM. Achard et L. débbut av avec ec le Sé Sélé lénniu ium m co coll llooïd ïdal al pr aiss un unee phase de dé proc océd édéé La Lanc ncie ien, n, mai à dé débbut immédiat, et progressive. hyperleucocytose En ré tout ut co coll lloï oïde de mé méta tallrésu sumé mé,, si si,, comme on peut le constater, to il est possible d'o 'obbtenir des liqu li quee pr prov ovoq oque ue une hyperleucocytose, résultats aussi satisfaisants de l'emploi d'un métal ou d'u d'un autre, à condition que ce co coll llooïd ïdee soi oitt à grains tr très ès fi fins ns et trè rèss égaux. Action sur le microbe. — Cependant, si l'expérience montre que cert ce rtai ainns mét étau auxx ont un un pouvoir bactéricide plus accentué que d'autres, on peu effi fica cace ceme ment nt da dans ns les maladies eutt es esppér érer er qu quee ceux-là ag agir iron ontt pl plus us ef infe in fect ctie ieuuse ses. s. De quelle nature est l'action bactéricide du colloïde? Estt-c Es -cee un unee act ctio ionn physique, ou un unee ac acttio ionn chimique? Là en enco core re c' c'es estt sonn ac acti tion on ph colloï loïde de agit. Lorsque l'o l'onn ex exam amin inee à par so phys ysiq iquue que le col une culture de bacille d'Eberth additionnée d'une l'ultra-microscope soluti sol ution on col colloï loïdal dalee (Rhodium par exe exemp mple) le),, on constate que les grains de co coll lloï oïde de vi vien enne nent nt s'agglutiner co cont ntre re les ba baci cill lles es et qu'au bo bouut d' d'un un certain temps le mic microbe se trouve complètement entouré : c'est ce (1) Archivesde médecineexpérimentale,novembre 1912.
d'auta utant nt plus intense qu'onn ap qu'o appe pell llee le ph phén énom omèn ènee d'a 'addso sorp rpti tioon, qu quii est d'a fins ns.. On co rtee de cui cuique les grains sont plus fi com mpre rennd qu quee dans cette sort rass ra ssee de méta métall qui l'l'is isoole du mili milieu eu de culture, le baci bacill llee ne tarde tarde pas à solutio ionn co coll lloï oïda dale le ne so soit it nu null llem emen entt to périr, bien que la solut toxi xiqu quee po pour ur les organismes inférieurs (A. Lancien et L. Thomas). Cett Ce ttee ac acti tion on empêchante est-elle la même de la part de tous les métaux pour to tous us le less mi micr croobes es?? Po Pour ur ré réso souudre ce cett ttee question, on a prédess sol oluuti tioons co coll lloï oïddal ales es des di divver erss métaux par aréé pa parr le même procédé de au mê même titre et à gra dess cu cult ltur ures es on ontt ét étéé ad addi diti tion onné nées es grains ins ide identi ntique quess ; de chac ch acuune d' d'un unee mêm êmee quantité des div divers ers colloïdes, puis elles ont été et on a noté des rad radiations riches en rayons ultra-violets exposées à de stérilisation des le temps minimum nécessaire à la st soigneusement cultures. Ces ess essais ont été recommencés avec divers microbes et on a constaté qu'étaient tués tu és le less premiers ceux auxquels on av avai aitt mélangé Rhod odiu ium m co coll lloï oïda dal. l. du Rh Ce ma maxi ximu mum m d' d'ac acti tivi vité té paraît dû à la constitution moléculaire du embl blee av avooir une re rela lati tioon étroite Rhodium colloïdal, constitution qui sem avec la constitution moléculaire du mi microbe lui-même. C'e 'esst donc en au Rh Rhod odiu ium m co coll lloï oïda dall él s'adressant élec ectr triq ique ue que l'on aura le plus de chan ch ancces de lu lutt tter er ef effi fica cace cem men entt co conntr tree une infec infecttio ionn quelconque, et l'on verra plus loin que cet cette te con conclu clusio sionn théorique a été pleinement confirmée par les rés résult ultats ats cliniques. A côté de ce pouvoir an anttii-iinf nfec ecti tieu euxx à pe peuu pr près ès général dont jouit au premier titre le rhodium, et av avec ec lui, mais à un degré moindre^ Iridium, Pallapréc éciieu euxx (O (Or, r, Pla lati tinne, l'argent et les autres métaux pr cert rtai ains ns mé méta taux ux ont une une ac acttio ionn vé véri rita tabl blem emen entt dium, etc.), ce spécifique comman mande de l'emploi da dans ns de dess af affe fect ctio ions ns bi bien en dé déte term rmin inée éess ; nous qui en com citero ronns le cui cuivre dans les mycoses, la tuberculose, le ca canc ncer er ; le séléaffections cancéreuses est maintenant nium, dont l'action dans les aff établie par de no nomb mbre reus uses es ob obse serv rvat atio ions ns ; le me merc rcuure re,, qui a été préconisé dan anss la syp souus to touute tess se sess for form mes dan anss déjà jà em empl ploy oyéé so syphil hilis, is, pui puisqu squ'il 'il est dé le tr trai aite tem men entt de ce cett ttee af affe fect ctio ionn ; l'l'ar arse seni nicc à uti utili lise serr da dans ns le tr trai aite teme ment nt de la scrofule, du lymphatisme, des ané anémies de to toute nature et aus aussi comm co mmee tr trai aite teme ment nt dan anss ce cert rtai ainnes af affe fect ctio ionns parasitaires adjuvant et osseuses, ostéo(paludisme, ganglionnaires syphilis, tuberculoses oufr free dan anss raiitement du go goit itre re (1 (1), ), le sou myélites) ; le Silicium dans le tra le rhumatisme déformant, la bronchite, la laryngite. L. KA KANN NNAP APELL ELL Pharmacien de 1" classe, ex-internedes Hôpitaux de Paris. (1) Dr SUAIIII,Pressemédicale,18oct. 19 1913. 13.
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RÉSULTATS DU
RHODIUM
CLINIQUES COLLOÏDAL
(Lantol)
réce cem mme mennt dan anss Le Rho Rhodi dium um co coll lloï oïda dall électrique n' n'es estt en entr tréé que ré toute tess le less applila pratique médicale, et il es estt en enco core re lo loin in d'a 'avvoi oirr eu tou cations que ses qu qual alit ités és pe perm rmet ette tent nt d'es d' espé pére rer. r. D'autre pa part rt be beau auco coup up tout ut l'l'ar arse sennal th thééde médecins ont eu recours à lu lui, i, ap aprè rèss avoir épuisé to rapeutique pendant que le malade épuisait toutes ses possibilités et da dans ces co conditions les résultats n'ont pas toujours réactionnelles, été favor favorables ables.. Cependant, dès maintenant on pe peuut gro rouupe perr par affection ti onss le less obse observ rvat atio ionns les plu consta stater ter que ce cett ttee mé méth thod odee pluss typ typiqu iques es et con nouv no uvel elle le de préparation des coll collooïd ïdees a déjà permis d'o 'obt bten enir ir des guériso ri sonns nom ombr breu euse sess et qu'elle est appelée à prendre une la larg rgee pl plac acee dans la thérapeutique moderne. INFECTIONS Observation
PUERPÉRALES
1. — Dr A. OL OLIV IVIE IER R (de Pari riss) (1 (1)).
mala lade de récem récemme ment nt accouchée, Le D 1' OLIVIER relate le cas d'u d'une ne ma oscille depuis deux jours entre 39° et 39°,5. dont la température « Depuis deux jours et demi au moins la température n'était pas tom to mbé béee au au-d -des esso souus de 39° rectale, les lochies étaient peu ab aboond ndan ante tess et au avai aitt de la do doul uleu eurr spontanée et dans ns le bas bas-odorantes, il y av palper, da ventre et sur surtout à dro droiite ; de pl mala lade de plus us,, de depu puis is trente-six heures, la ma se plaignait de douleurs dans les me membres infé férrieurs et da danns le less reins, mmob obil ilis isai aien entt danns le déc da décuubi bitu tuss dor orsa sall. qui l'i'im Poin Po intt n'é 'éta tait it bes esoi oinn de tou touch cher er la mal alad adee po pour ur s' s'ap aper erce cevo voir ir qu qu'e 'ell llee avai av aitt de la fi fièv èvre re ; en effet, la fa face ce ét étai aitt colorée, les yeu yeuxx bri brilla llants nts,, la malade répondait av avec ec volu volubi bili lité té au auxx questions. La langue était sèche, il y avait de la la soif. En fait, la te temp mpér érat atur uree pris pr isee qu quel elqu ques es minutes avant mon ar arri rivé véee ét étai aitt de 39°,4. Déco Dé couv uvra rant nt la mal alad adee pour l'e 'exxam amin iner er,, je perçus immédiatement l'l'od odeu eurr tr très ès particulière des lochies de l'infection, mais je do dois is di dire re qu'elle est souvent plus marquée ; nous en verrons tout à l'heure la raison. Par le pa rouv uvai ai un ut utér éruus volumineux, remontant un pallpe per, r, je tro au-d -des esssus de l'ombilic, mou et asse sezz di diff ffic icil ilee à dé déli limi mite ter. r. peu au et,, pa parr su suit ite, e, as sens nsib ible le au palper et on dé Cet uté utéru russ es estt se déte term rmin inee un unee vér vérit itab able le do doul uleu eurr corn rnee dr droi oite te.. L' L'ex exam amen en de la vul vulve ve permet de constater quand on palpe la co la dé déchiru rurre du périnée, dont le less bord bordss ont ét étéé ré réuuni niss par des sutures, (1) Journ Journal al de médecined médecinedee Paris. 1" juin 1915
— 11 — et de no nomb mbre reus uses es ér érai aill llur ures es to tout ut au auto tour ur de l'orifice vaginal. Par le toucher, on sen sent nettement un sillon pr proofo fond nd,, qu quii occ ccuupe la ligne médiane de la cloison recto-vaginale et fait su suit itee à la dé déch chir irur uree périnéale. On arrive déch chir iréé tr tran ansv svererassez profondément sur un col gros, mo mou, u, la larg rgem emen entt dé salement. face antérieure de En reportant le doigt en avant, on arrive sur la fa utér éruus es estt forforsill llon on profond ; l'l'ut l'l'ut utér éruus, qu quii est séparée du col par un si tem te men entt fl fléc échi hi su surr le col, co comm mmee ce cela la est fréquent, du reste, après l'accouchem ch emen ent. t. La pression su surr l'l'ut utér érus us es estt doulo doulour ureu euse se.. d'un un ca cass d'in d'infe feccIl n'y avait pas de doute, je me trouvais en présence d' tion pu puer erpé péra rale le gr grav ave. e. Le Dr OL OLIV IVIE IER R procède alors à un éc écou ouvi vill llon onna nage ge quii pe qu perm rmet et de débarrasser l'utérus de to tous les él éléments infectieux qu'il contient. mieu euxx passager, la température remonte ; il prescrit un purAprès un mi reste Coll llar argo gol. l. Ma Malg lgré ré cela, la température gatif et des frictions de Co élev él evée ée et cependant, du côté de l'l'utérus : côtté des sei eins ns.. Ve Vent ntre re souple, Tout est bie Tou bien fi finni. Rien non plus du cô sensibilité en aucun point ; l'l'in inttes esti tinn es estt vidé tous les jours. pas de sen Aussi L'élévation de la température est donc bien due à l'infection. nouus au auro rons ns re reco cour urss aux injecconf nfrè rère re et moi, que no décidons-nous, mon co tions d'argent co coll lloï oïda dal. l. Su Surr ce cess entrefaites, un de mes confrères me met de M. Th Thiro irolo loix ix à la Soc Sociét iétéé méd médica icale le sous so us le less yeux la comm communica unication tion des hôpitaux, dans laquelle il di ditt av avoi oirr ob obte tenu nu d' d'ex exce cell llen ents ts ré résu sult ltat atss dans less ét le état atss in infe fect ctie ieux ux avec le Lantol. Je résolus de l'essayer. Le lantol, dont nt le less grains rhodiu rho dium m col colloï loïdal dal électrique, es estt un co coll lloï oïde de électrique pur, do ont un di diam amèt ètre re de 5 millionièmes de mi millimètre re.. Il se présente sous form fo rmee d'u 'une ne so solu luti tion on stable, isotonique, très bactéricide, non toxique, non mod modifi ifiabl ablee par la chaleur ou la lumière, et dir direct ecteme ement nt injectable. La te tene neur ur mé méttal alli liqque ue,, ri riggou oure reus usem emeent dosé do sée, e, est constante et égale à Lanntol se trouve en 2 dix ixiièm èmes es de mi mill llig igra ramm mmee pa parr centimètre cube. Le La pharmacie en ampoules de 3 centimètres cubes, par boîtes de quatre. 38° pour se re rele leve verr le soir soir Le 28 au matin, la température tombe à 38 fess ssee de 3 cen centi ti-à 40°,7. Je fais une injection intra ram musculaire dans la fe estt tom tombée à 37 mètr mè tres es cu cube bes. s. Le le lend ndem emai ainn matin 29, la température es 37°, °,77 ; seconde piqûre ; le soir 37°,8, troisième piqûre. Le 30 au matin, 37°,6, soir ir la température s'étant élevée à 38 38°, °,4, 4, je fais une pas de piqûre ; le so étaant re ét rest stée ée lend ndem emai ainn matin la température quat qu atri rièm èmee pi piqû qûre re.. Le le c'es estt la de à 38 fais is un unee ci dern rniè ière re,, ca car, r, à partir de 38°, °,4, 4, je fa cinq nqui uièm èmee pi piqû qûre re,, c' ce moment, la température tombe aux environs de 37° et s'y maintient sein droit. format mation ion d'un abcès dans le se définitivement, malgré la for M. Th Thir irol oloi oixx ne s'es s'estt se serv rvii du Lan Lanto toll qu qu'e 'enn in inje ject ctio ionn intraveineuse dans les cas qu'il a publiés. Ne cro royyez pas que ce mode de procéder soit nécessaire ; le Lan auss ssii bi bien en en injection sous-cutanée, Lantol tol agit tout au et c' c'es estt là une ch choose importante à connaître, car beaucoup de médecins redoutent de fa ou ne sont pas outillés faiire des inj inject ection ionss int intrav ravein eineus euses, es, less fai faire. re. J'ajouterai pour le que l'injection n'est pas douloureuse, qu'elle ne do donn nnee li lieeu à au aucu cune ne ré réac acti tioon lo loca cale le ou générale. La not notice ice qui accomau bout de cin pagne les ampoules dit que, si au cinqq jou jours rs on n'a pas obtenu unee se seco cond ndee injection, l'a 'abbai aiss ssem emen entt de la température, on peut refaire un
— 12 — Thiro rolo loix ix on voi voitt qu'il a suivi suivi ce cett ttee pratique. et da dans ns le mémo mémoir iree de M. Thi bout ut de hésité ité,, au bo Ayant vu que ce produit n'était pas toxique, je n'ai pas hés faire re une sec second ondee injection. La température n'étant vingt-quatre heures, à fai obte teni nirr le ré résu sult ltat at ch cher erch chéé ; la malade pas tom tombée bée,, il en a fallu cin cinqq pou pourr ob croi oiss do donc nc qu less a fort le fort bi bieen supportées. Je cr qu'i'ill n' n'yy a aucun inconvénient à réc récid idiv iver er ta tant nt que la température ne se sera ra pas à la la no normale. On procédera par inj centim imèt ètre ress cu cube bess de douze douze en do douz uzee he heur ures es.. inject ection ionss de 3 cent Et le D 1' OL OLIV IVIER IER co conc nclu lutt : « Ce n'est qu'un fait, mais un fait où l'action du médicament a ét été très nette ; dè dèss la se seco cond ndee injection, cent ntim imèt ètre ress cu cube bess c'est-à-dire quand la dose normale pour un adulte, 6 ce eutt ét étéé donnée, la température est tombée et en vingt-quatre heures, eu rele levé vée. e. En présence de ce résultat, si je me trouve de ne s'est plus re 'unn cas où où l'intervention aura été tar tardive et où où nouveau en présence d'u l'l'in infe fect ctiion de l'organisme sera ce cert rtai ainne, je com compt ptee faire usage des fect ctio ionn au aura ra ét étéé nettoyé. » v colloïdaux, dès que le foyer d'i'innfe Obs. Ob s. 2. — Dr A. OL OLIV IVIE IER R (de Par Paris) is).. vien enss d'o 'obs bser ervver un nouveau cas d'i d'infe nfecti ction on puerpérale moins Je vi Lantol a bien réussi. grav gr avee qu quee le premier, dans lequel le La Il s'agit d'une dame de Montmorency ac acco couuch chée ée il y a quatre sema se main ines es et qui, au tr trei eizi zièm èmee jo jour ur ap aprè rèss l'ac l'acco couuch cheeme mennt, expu ex puls lsaa un caillot putride à la su suit itee de doul douleu eurs rs violentes et av avec ec un unee température élev él evée ée.. Le méd médec ecin in or orddon onna na des injections vaginales à l'eau oxygénée amen enèr èren entt la disparition de l'o l'ode deuur en mêm même te qui am temp mpss que la températu ra ture re ba bais issa sait it ; toutefois, el elle le res resta à 38°,5 le soir et à 37°,8 le ma mati tin. n. Au bou boutt de hu huit jo malad ade. e. Il y av jour urss je fus ap appe pelé lé pr près ès de la mal avai ait, t, à n'en pas douter, de l'infection. J'injectai 3 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess de la lant ntol ol le soir (t (tem emp. p. 38 38°) °) : le lendemain matin, température 37°,3 et le soir 37°,6 ; bien qu'une nouvelle injection ne me par arût ût pa pass nécessaire, je consentis, à la dem deman ande de du mari, à injecter de no nouv uvea eauu 3 ce cent ntim imèt ètre ress cub cubes, es, apr après ès rest re sta a entr en tre e et la quoi température 36°,8 37°,2. Obs. 3. — Dr Cha Charle rless PLATON, an anci cien en Che heff de clinique d'accoude gynécologie chem ch emen ent, t, Ch Chir irur urgi gien en de la Clinique universitaire (Marseille). Femme de vingt-sept ans, entré réee à la clinique le 6 janvier, avortement in caut utér éris isat atio ionn à la te tein in-inco comp mple let, t, te temp mpér érat atur uree 39 39°, °,6. 6. Cur Curet etta tage ge,, ca bouillie. ture d'iode, gra grand nd lav lavage age à l'eau Le soir, temp températur ératuree 38°. Le 7 ja janv nvie ier, r, ma mati tin, n, 39 39°, °,88 : injection de 3 ce. de la lant ntol ol,, so soir ir,, 38 38°, °,22 — — —Le 8 : 39°,6 38°,2 — — — Le 9 38°,5: 37°,2 A partir de ce mo mome ment nt température normale. Obs. 4. — Dr Ch Ch.. PL PLAT ATON ON.. Femm Fe mmee de tr tren ente te-h -hui uitt
avoort rtem emeent ans, av
de ci cinq nq mo mois is,, entre à la
— 13 — maison de sa santé le 28 janvier, T. 40 40°, °,2. 2. Cur Curet etta tage ge,, gr gran andd la lava vage ge Lantol. Le so soir ir,, 39 39°, °,7. 7. Le 29 ja lant ntool : soir, 38°. jannvie ier, r, mat atiin, 39 39°, °,66 ; la Le 30 janvier, matin, 39°,1 ; la lant ntool : so soir ir,, 37 37°, °,9. 9. Le 31 janvier, matin, 38°,3 ; la lant ntool : so soir ir,, 37 37°, °,6. 6. A partir de ce mo mome ment nt température normale. Obs. 5. — Dr Ch. PL PLAT ATON ON.. Fem Fe mme de trente ans, ac acccou ouch chem emen entt à terme, le 6 décembre. Le 9 dé friiss ssoon. La sa déce cemb mbre re,, 39 39°, °,33 après fr saggee-fe fem mme qui me fait apppel ap eler er m'i'ind ndiq iquue qu qu'e 'ell llee a dû faire une délivrance artificielle dans de ma mauv uvai aise sess co cond ndit itio ions ns d'asepsie. Le 10, nettoyage de la cavité cavité ut utér érin inee avec une sonde et un écouvillonnage io iodé dé.. La Lant ntol ol.. Le 10 au soir, 39°. Le 11 matin, 39°,3 ; la lant ntool : soir, 38°,7. Le 12, mati lannto toll : so matinn, 37°, °,99 ; la soir ir,, 37 37°, °,3. 3. A partir de ce moment température normale. Obs. 6. — Dr CO COUR URTI TIN N (Bordeaux). Jeun Je unee fe fem mme de vi acco couc uché hé le 13 février, atteinte ving ngtt-si sixx an ans, s, ay ayan antt ac de septicémie puerpérale et phlébite double. Elle fut so soig igné néee pa parr le sérum de Marmorek, l'argent co coll llooïd ïdal al so souuss-cu cuta tanné et intraveineux, le séru rum m térébenthine de Fabre, san anss su succ ccès ès du re rest ste. e. Dans Da ns un unee co cons nsul ulta tati tion on qui eu lieu le 4 ma cons nsei eill llai ai le less injecmaii, je co tioons so ti sous us-c -cuuta tannée éess de Lan Lanttol ol.. Depuis ce mom moment la température a bais ba issé sé le ma mati tinn ; nous avons eu des températures élev él evée éess sa sans ns frisson, ouss som omm mes ar arri rivé véss à la la déf éfer erve vessce cenc ncee et, ap aprè rèss qu quat ator orze ze injections, nou définitive. Cette malade est aujourd'hui hors de da dang nger er,, ma mang nge, e, en engr grai aiss sse, e, urine bien, l'l'oe oedè dème me de dess mem membr bres es in infé férie rieur urss di dimi minu nuee rapidement, el elle le es estt en pleine co conv nval ales esce cenc nce. e. Je su suis is d' d'au auta tant nt plus heu eure reuux de ce ce rés résul ulttat fata tall av avai aitt ét étéé po less deux deux mé méde deci cins ns ac acco couc uche heur urss qu'un qu' un pro pronos nostic tic fa port rtéé pa parr le suiv ivai aien entt et qui n'acce qui la su n'acceptèren ptèrentt le Lantol qu'avec très peu d'enthousiasme. Le La Lant ntol ol es estt do donc nc un mé médi dica came ment nt qu'il ne faut pas ou oubbli lier er dan anss ce cas ; je suis persuadé, et me mess co conf nfrè rère ress au auss ssi, i, qu quee cette jeune femme doit sa guérison à ce cett ttee préparation. Obs. 7. — D 1' Jo Jos. s. GO GODA DART RT (B Abcè cèss de l'l'ut utér érus us.. (Bru ruxe xell lles es)) (1 (1). ). — Ab Femmee de trent Femm trente-t e-tro rois is ans, mèr èree de de deuux en enfa fannts ts.. Le der derni nieer ac acco couuch chem emen entt da date te du 18 fé févvri rieer dernier, il s'est produit très normalement, mais le less so soin inss on ontt ét étéé do donn nnés és par un unee vi viei eill llee ma matr tron onee atte at tein inte te de dacryocystite. C' C'es estt là vra vrais isem embl blab able leme ment nt la ca caus usee de l'l'in infe fecction. Notre malade a été pri fièvre re à la fin de la preprise se bru brusqu squeme ement nt de fièv mièr mi èree se sema main inee de se sess co couc uche hes. s. El Elle le a alor alorss ma mand ndéé notre exc excell ellent ent con confrè frère re De Do constaté un pou Dobb bbel elee eer, r, d' d'Uc Uccl cle, e, qui a co pouls ls dép dépass assant ant 100 pulsations à la la minute et une température de 39°. Il y avait un ba ball llon onne ne-ment du ventre considérable, en enfi finn de dess symptômes de métropéritonite. Le tr trai aite tem men entt tr très ès judicieux a con consis sisté té en ve vess ssie iess de glace, injections (1) Policliniquede Bruxelles,t" mai 1912.
— 14 — coll lloï oïda dal. l. Le Less vaginales opiacées et injections sous-cutanées d'argent co mais la fièvre persista avec symptômes de pé péri rito toni nite te s' s'am amen endè dère rent nt,, des températures de 38° à 39° Vendant une quinzaine de jours. Nous avons vu la malade le 12 mars, elle avait alors un utéru russ très gr gros os,, do doul ulou oure reux ux,, em empâ pâté té,, surtout vers les cornes utérines, sans tume tu meur urss an anne nexi xiel elle les. s. Le seu seull tr trai aite tem men entt à co connse seil ille lerr ét étai aitt l'l'hy hyst stér érec ecto tomi mie, e, qui fut faite le 13 ma mars rs.. Après l'opération, fièvre vre tom tomba ba à 37° et s'y maintint la fiè troisi isième ème jour, élévation brusque à 40°. Des pendant deux jours. Le tro vess ve ssie iess de glace furent ap nuit en mê même te appl pliq iqué uées es jo jour ur et nui temp mpss que des nous us av avon onss employé un inje in ject ctio ions ns va vagi gina nale less chaudes. Dès ce moment, no nou ouve veaau co coll llooïd ïdee en inj le Lantol, c' c'es estt-àà-di dire re le inject ection ion int intram ramusc uscula ulaire ire,, rhodium électro-colloïdal, à do dose de 3 ce cennti tim mèt ètre ress cu cube bess par jour, quatre jours consécutifs.
(Fig. l.) La température de desc scen endi ditt à 38°, le ballonnement du ventre disparut et il y eut un unee di diar arrh rhée ée ab abon onda dant nte. e. Le se nous us av avon onss 38°,2 le matin, avec sept ptiè ième me jo jour ur ap après rès l'l'op opér érat atio ion, n, no un po élév évat atio ionn à 39°,1, no nous us fî fîme mess poul ulss ré régu guli lier er à 100. Le soir, nouvelle él 'unne nou ouve vell llee do dose se de La Lant ntool. l'injection d'u Depuis lors, il y eut une descente de la température graduellement pour at atte tein indr dree le onz onziè ième me jo diarrh rrhée ée persistait, sans jour ur 36 36°, °,8. 8. La dia ballonnement du ventre et sa sans tra racce d'abcès pelvien. No Nous us so somm mmes es arri ar rivé véss au do douz uziè ième me jour et la mal alad adee se no nouurr rrit it de la lait it et d'oeuf d'oeufss qu'elle digère parfaitement. Obs. 8. — Dr M..., chirurgien à Mar Marsei seille lle (1). Parmii un cert Parm certai ainn nom ombr bree d'observations, la plu pluss typ typiqu iquee est la suivante : Mme G..., trente-cinq ans, ac acco couc uche he à ter terme me le 1e 1err juin 191 1912. 2. Onz Onzee sonn acco accouc uche heme ment nt el elle le es estt prise de fr fris isso sons ns av avec ec fi fièv èvre re à 40°. 40°. jou jours rs ap aprè rèss so Appe Ap pelé lé au aupr près ès de la mal alad adee, je constate que le col est ouvert, des pertes conc nclu luss à un unee ré réte tennputrides s'en écoulent, la température est à 39°,5. Je co tion de fragments de placenta et je pra pratiq tique ue le curettage le soir même. s'est toujours mai ainnte tennue en entr tree Malgré le curetage, la température avec ec fr fris isso sons ns.. M. le professeur Gu Guér érin in de Val Valma male le appelé en 39°,5 et 41°, av (1) Sud médical, 15 décembre 1912.
— 15 — consultation conclut à un pronostic fatal à brève échéance. La malade était alors en plein délire, la fi fièv èvre re at atte teig igna nait it 41 41°, °,3, 3, crachats hémopune thrombose pulmonaire, dia iarr rrhhée fé féti tidde. En désespoir toïques, dus à une de cause je te tennte une injection in intr trav avei eine neuuse de La Lant ntol ol.. Le le lend ndem emai ainn la fièvre tom tombait à 39°,6. Je fis fis co connsé sécu cuti tivvem emen entt à deu euxx jours d'intervalle trois injections in intr trav avei eine neus uses es de La Lant ntol ol ; la température est tombée le troisième jo dix jours la malade jour ur ap aprè rèss l'l'in inje ject ctio ionn à 38°,2 et au bout de di était co comp mplè lète teme ment nt gu guér érie ie.. Pouur ma par Po intr trav avei eine neus uses es de La Lant ntol ol cette partt j'a j'attr ttribu ibuee aux injections in d'une ne inf infect ection ion puerpérale d'une si gr guérison d'u gran ande de gr grav avit ité. é. Obss. 9. — Dr d'AIGUILLON (Ant Ob (Antib ibes es)) (1 (1). ). — Phlébite puerpérale. Mme V. trente nte ans, depuis un an et demi es estt en tr trai aite te-V.....,, âg âgée ée de tre ment pour une phl ext xtrê rêm mem emen entt sé sévvèr ère. e. La ma mala lade de es estt phlébi ébite te pos post-p t-part artum um absolument incapable de mouvoir sa jambe gauche et, malgré le tra traite ite-ment employé jusqu'alors, la vei veine fémorale est toujours, au toucher, extrêmement douloureuse sur to toute la longueur et présente un chanodoosi sité téss de la grosseur d'un noyau d'olive environ et partipelet de nod culi cu lièr èrem emen entt no nomb mbre reus uses es au niv nivea eauu du creu creuxx poplité. L'état général, sans être mauvais, est précaire. La ma malade a perdu 8 kilos depuis la première atteinte de son mal, et ce qui l'effraie par-dessus tout, ainsi que son ento en tour urag agee d' d'ai aill lleu eurs rs,, c'est que tout mouvement un peu étendu de la chez ez elle de de vé véri rita tabl bles es cr cris ises es syncopales. Poumons jambe gau gauche che pro provoq voque ue ch et co coeeur ne présentent rie rienn d'a d'ano norma rmall ; da dans ns ce cess co cond ndit itio ions ns,, je po pose se donc le diagnostic de pé péri riph phlé lébi bite te ty typi piqu quee de la ja jamb mbee ga gauc uche he post-partum. Dési Dé sire reuux do donc nc de co com mba batttr tree l'l'ét état at in infe fect ctie ieuux qui se semb mbla lait it do domi mine nerr la scè et fais une scène, ne, j'o j'ordo rdonne nne du Lantol en inj inject ection ion hyp hypode odermi rmique que ress cubes tous les qu piqûre de 4 centimètre quat atre re jo jour urs. s. début de ce traitement, un mie mieuux trè rèss sensible Quat Qu atre re jo jour urss ap aprè rèss le dé se manifeste. Les do doul uleu eurs rs so sont nt beaucoup moins vives sur tout le trajet de la veine, et le me memb mbre re paraît re retr trou ouvver un unee ce cert rtai ainne souplesse. Une seu seule le syncope s'est produite dura rannt ce laps de temps. J'ordonne alor al orss un ma mass ssag agee-ef effl fleu eurag ragee quot qu otid idie ienn et fais mobiliser la jambe de la mal alad adee en lu luii fa faiisa sant nt fa fair iree qu quel elqu ques es pa pas, s, ce qu'elle parvient à faire péniblement au début et pr mieu eux. x. Au Aucu cune ne synprog ogre ress ssiv ivem emen entt beau be auco coup up mi double traitement, cope ne se produit. A la suite d'un mois de ce do la mala ma lade de fa fait it cinq cents mètres à pied sans se plaindre, au grand étonnement de tout son entourage. A partir de ce moment, je ne fai faiss plus Lantol tol par semaine et la guérison ma marc rchhe bon tr trai ainn. qu'u qu 'une ne pi piqû qûre re de Lan La ve veiine fé fémo mora rale le es estt re rede deve venu nuee presque complètement souple sur toute sa longueur, les dou doule leuurs ont disparu et av avec ec el elle less les crise crisess malade. Les no nodosités en chapelet, si situ tuée éess to tout ut qui eff effray rayaie aient nt tant la ma le long de la veine poplitée, ont di disp spar aruu pr pres esqu quee co comp mplè lète teme ment nt aussi et, troois mo mois is de ce tr cess ssee to tout utee mé médi dica cati tion on.. après tr trai aite teme mennt, je ce Une légère rechute se produit à la suite d'une fa fati tigu guee ex exag agéré érée. e. Je reprends les piqûres de Lantol, que la ma mala lade de me réc récla lame me d' d'ai aill lleu eurs rs Tout elle-même. renntr re tree da danns l'l'or orddre et, depuis un an, la mal malade ne se sais ison on à Bagnoles-de-1'Orne, l'l'ét étéé de derrplai pl aint nt pl plus us de sa ja jamb mbe, e, qu qu'u 'une ne sa rétablie. nier, a complètement (1) La Clinique, 14 mars 1913.
— 16 — Obs. double.
10. — Dr DU DUPU PUY Y DE FREN FRENEL ELLE LE (Paris).
— Pyosalpynx
Je su suis is appelé la nu nuit it d' d'un unee ma mala lade de qui se plaid'ur urge genc ncee au aupr près ès d' quel elqu ques es jo jour urss de violentes douleurs dans le ventre, dougnai gn aitt de depu puis is qu L'eexa xam men me permit de con consta stater ter leurs qui ava avaien ientt sub subite itemen mentt empiré. L' droite un py comm mmee un poing, à gauche trèss net trè nettem tement ent à dr pyos osal alpy pynx nx gr gros os co un py nerv rveu euse se,, ay ayan antt pyos osal alpy pynx nx gr gros os comme un oeuf. La malade, 1res ne fis boir bo ire e cont co nten enu u d'un d' unee refu re fusé sé to tout utee inj le je lui inject ection ion hyp hypode odermi rmique que,, nuit de 39°,5 destem mpé péra ratu ture re,, quii était dans la nu qu ampoule de Lantol. La te cendit le matin à 37°,2. Le lendemain je fis une injection de Lantol, les s'am amen enddèr èren entt et la température resta à 37°,2. Le surlendemain, douleurs s' malade se trouva dans un état très deuxième injection de Lantol, et la ma satisfaisant. Obs. Ob s. 11. — D* C. V. V. (Bruxelles). d'un unee fe femm mmee ac acco couc uché héee depuis Je su suis is appelé en consultation auprès d' s'él élèv èvee au auxx en envvir iron onss de 40°, huit jours. Il y a trois jours, la température s' et lor orsq sque ue je suis appelé de nouveau, la puis baisse de température, vent ntre re ballonné, douloureux à la est à 39°,6. Je tr trou ouve ve un ve température less se sell lles es ne se bass-ve vent ntre re,, ty tymp mpan anis isme me accentué ; le pression du côté du ba lavements ou d'huile de ric ricin. Au prod pr oduuis isen entt qu quee sous l'influence de lav utér éruus es estt enco encore re développé, assez dur, absolument fixé, col toucher, l'l'ut la palpation des culs-de-sac, surtout du ouvert, violentes douleurs à la effa facé céss et le doigt rencontre côté gauche. Ces culsculs-de-sa de-sacc sont presque ef duret etéé to tout utee particulière. Outr Ou tree le less soins ordinaires une sen sensat sation ion de dur fair iree de deux ux jours de suit suitee un unee injection de 20 centien pareils ca cas, s, je fais fa suiv su ivie ie d' d'un un ab abai aiss ssem emen entt as asse sezz mètre mè tress cu cube bess de sé séru rum m anti-streptococcique Au bou bout de tr trois ou quatre jours, no nouv uvel elle le él éléénotable de température. deux ux jo vation ; je fa fais is al alor orss usage du Lantol, et de jour urss ap aprè rèss la température tu re re reve vena nait it à la normale et les sy symp mptô tôme mess ph phys ysiq ique uess s'amendaient tout to ut do douc ucem emen entt et progressivement. Obs. 12. — Dr SAVARIKAD, Chirurgien de l'H l'Hôp ôpit ital al très grave. puerpérale Salonique. — Infection
muni mu nici cipa pall
de
accouc ouché hé M. D. D.....,, tr tren ente te-s -sep eptt an ans, s, mult multip ipar aree (1 (10e 0e ac acco couc uche heme ment nt), ), a acc aiss deu euxx jo sans int intervention il y a tr trei eize ze jo jouurs ; mai jour urss ap aprè rèss l'accou39-39°,5 qui ont duré chement, violents frissons avec température on m' m'aa appelé, la température treizième jour. Le jour où l'l'on jusqu'au est de 41°,2, sueurs profuses, an anxi xiét été, é, po poul ulss 150. Un examen intrasolu luti tion on iodo-iodurée, ont bi bien en utérin, ainsi qu'un gr gran andd la lava vage ge à la so L'opération faite, j'attends quelques nettoyé le foyer d'infection. la température, mais heures avec l'espoir d'avoir une oscillation de la en va vain in.. A ce moment, j'injecte une ampoule de La Lant ntol ol in intr trav avei eine neux ux.. Deux De ux he heur ures es après, la température com co mmen ence ce à tomb tomber er progressivement ainsi : 40 40° pu puis is 39 39°, °, 38 38°, °,5, 5, 37°,3 dans l'espace de trois heures à peuu pr pe près ès..
— 17 — Obs. 13. — Dr RAKMANOFF, Directeur de la Maternité Abrikossoff (Moscou). — Avortement artificiel remontant à quatorze jours. Dès Dès pratiqua et apr près ès hors de
40°. On le pr osci cill llee au auxx en envi viro rons ns de 40°. prem emie ierr jo jour ur la température os six injections de Lan Lanto toll so soit it intraveineuses, soit sous-cutanées, malade fut fièvr vree tomba et la ma quat qu atre re jou ours rs de traitement, la fiè danger. PNEUMONIES
ET
Obs. 14. — D 1' THIROLOIX, Agrégé, de la Pitié (P (Par aris is)) (1 (1). ).
GRIPPES Médecin
chef de l'Hôpital
Coutu Cou turi rièr ère, e, vin ingt gt-c -cin inqq an ans, s, pa pass d'antécédents pathologiques, hérédita di tair ires es ou personnels : céphalalgie très gr gran ande de,, pr pros ostr trat atio ionn co comp mplè lète te,, pomm po mmet ette tess ro roug uges es et br brûl ûlan ante tes, s, la lang ngue ue ma mauv uvai aise se,, po poul ulss pe peti tit, t, fr fris isso sons ns,, douleur au niveau du mamelon droit, tempéra ratture 40°, pou pouls 120 ; râles crépitants à la la fin de l'l'in insp spir irat atio ion, n, pu puis is matité de plus en plus ouss le less jo fonc ncés és et ca carac racté téri risscomplète, crachats adhérents, tou jour urss pl plus us fo cont nten enan antt des cel cellu lule less et des des microcoques nombreux. On porte tiques, co diagnostic : pn pneu eumo moni niee ai aigu guë. ë. Le ma mati tinn 39°, le soir 39°,8 ou 40°. Le tro troisi isième ème jour, injection in intr trav avei eine neuuse de 5 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess de rhodium colloïdal, un peu de cyanose dans les tro roiis heure ress suivant soir ir 37°,3. Les jours suil'injection, défervescence complète, 36°,8, le so vants tous les sym souf uffle fle tu tuba bair iree s'atténue, de symptô ptômes mes déc décroi roisse ssent, nt, le so luii fo font nt place, les crac râles es hum humide idess lu crachat hatss s'am s'améli éliore orent. nt. Peu de temps gros râl conval valesc escenc encee nor normal male. e. après, con Obs. Ob s. 15 15.. — Dr THIROLOIX (1). Ébéniste, trente-deux ans, antécédents pa path thol olog ogiq ique uess pers pe rson onne nels ls,, chancre mou, scarlatine. Pr Pros ostr trat atio ion, n, lang la ngue ue ma mauv uvai aise se,, fièvre depuis déli lire re ; douleur de côté quelques jours, céphalée intense, un peu de dé râles crépitants très nombreux, intense, toux opiniâtre. Submatité et râl 39°,6 le soi soir, r, 38 38°,5 °,5 le matin. Après trois jours les vibrations augmentent, fièvre 39°,5 et 40° contin continus us ; po poul ulss pe peti tit, t, pr pros ostr trat atio ionn au augm gmen ente te,, bronchofflle tub tubaire. Crachats «marmelade d'abricots». Dans la phonie et souff jou journ rnée ée,, sy sync ncop ope. e. Pneumonie aig aiguë, uë, cen centra trale, le, massive. On fait fait une injection de 4 ce cennti tim mèt ètre ress cu cubbes de rh rhod odiu ium m co coll llooïd ïdal al Dès le so lennélectrique, intraveineuse. soir ir,, 38 38°, °, po poul ulss concordant ; le le Période de demain, deuxième injection de rhodium, hypodermique. défervescence s'accuse complètement, 37°,4, souffles moins accusés, alad adee en entr tree bie ient ntôt ôt en co conngros râles humides, crachats s'améHoreitt, mal «N. valescence. -'\VA^''. A J/i\ * ^ \ (1) Soc.méd. des Hôpitaux, 12 jâécembre\191ji.-.
— 18 16. — Dr THIROLOIX (1). du sommet. Soeur décédée Soldat, vingt-deux ans, an s, pn pneu eumo moni niee 40°.. Pro Prossdix-huit ans, bacillaire. A eu de deux ux bronchites, bien soignées, 40° tration ab abso solu lue, e, dé déli lire re,, fi fièv èvre re,, po poul ulss pe peti titt ; pneu pneumo moni niee à complication céré cé rébr bral ale. e. So Souf uffl flee tubaire, crachats caractéristiques, pommettes brûréac acti tion on fé fébr bril ilee tr très ès in inte tens nse. e. lantes, matité absolue du sommet droit, ré cennti tim mèt ètre ress cu cube bess in inttra ravvei einneu eusse de rh rhod odiu ium m co coll lloï oïddal al.. Injection 4 ce Dès le lendemain, défervescence complète, 37°,5. La température remonte très peu le so soir ir ; prostration diminue, plus de délire, souffles moins râle less fa faib ible less le leur ur fo font nt su suit ite. e. Après douze jours, convalescence. accusés, râ Obs.
Obs. 17. — D1 THI THIROL ROLOIX OIX (1). Deux ux br bron on-marii bac bacill illair aire. e. De Cout Co utur uriè ière re,, ci cinq nqua uant ntee-tr troi oiss ans, an s, ve veuv uve, e, mar touj ujoour urs. s. Pr Proost stré rée, e, 40 40°, °, po chites, tousse to poul ulss pet etit it,, po pom mme mettte tess ro roug uges es,, brûlantes, un peu de délire délire,, céph céphalée alée très grande, matité absolue, crachats «marmelade d' d'ab abri rico cots ts». ». Pn Pneu eumo moni niee ce cent ntra rale le massive. caractéristiques cennti tim mèt ètre ress cu cubbes int ntra ravvei eine neus usee de rh rhod odiu ium m co coll llooïd ïdal al.. Injection 4 ce Défervescence ap aprè rèss vi ving ngtt-si sixx he heur ures es,, te temp mpéra ératu ture re ne remonte plus, souf uffl flee tu tuba bair iree ru rude de disparaît. Semble pouls s'améliore, crachats aussi, so faire fa ire un peu d'endocardite, ma mais is le tou toutt disparaît bientôt ; ap aprè rèss qu quin inze ze entr tree en co conv nval ales esce cenc nce. e. jours en Obs. 18. — Dr TH THIR IROL OLOI OIX X (1). bron on-ans.. Ant Antécé écéden dents ts personnels : scarlatine et br Peintre, dix-huit ans décé cédé dé bacil bacilla lair ire. e. To Tous usse se be chite, mais père dé beau auco coup up,, po pomm mmet ette tess ro roug uges es et brûlantes, do doul uleu eurr au ma mame melo lonn ; ré réac acti tion on fé fébr bril ilee in inte tens nse, e, 40 40°, °, délire. Un peu de néphrite, difficulté respiratoire extrême. On applique ventouses sc crac achhat atss «mar arm mel elad adee d'a 'abbri rico cots ts»» scar arif ifié iées es;; po poul ulss très petit, cr contenant hématies et leucocytes, et mi micr croc ocoq oque uess «e «enc ncap apsu sulé lés» s».. Frissons so ns tr très ès in inte tens nses es.. cennti tim mèt ètre ress cu cubbes int ntra ravvei eine neus usee de rh rhod odiu ium m co coll llooïd ïdaal. Injection 4 ce Pass de dé Pa défer ferve vesc scen ence ce ap heuure res. s. Un Unee injection 2 centimètres aprè rèss vi ving ngtt he cube cu bess so sous us-c -cut utan anée ée : fi fièv èvre re to tomb mbee à 37°,2 to touut d' d'uun coup, deux heures fièvree ne remonte remonte plus, crachats aprè ap rèss l'l'in inje ject ctio ion. n. Qu Quel elqu ques es jo jour urss ap aprè rès, s, la fièvr souffl fflee tub tubair airee disparaît, les sommets se dé s'améliorent, sou déga gage gent nt.. Ap Aprè rèss vingt jours, convalescence. Obs bs.. 19. — Dr E. BONTA (d (dee Ni Nice ce). ). Mme Anna X..., âgée de so soix ixan ante te-s -sep eptt an ans, s, domestique, habituellement bien portante, était atteinte d'une pneumonie dro roiite avec fièvre éle Le 25 au ma mati tinn je élevée vée,, dél délire ire,, crachats rouilles caractéristiques, visi vi site te la ma mala lade de av avec ec un co conf nfrè rère re et nou nouss jugeons l'état pre presqu squee dés désesp espéré éré.. dess dose dosess as asse sezz fo fort rtes es de digitale et d' d'hu huil ilee camphrée, le co coeu eurr Malgré de succédé au faiblit, le pouls est presque incomptable, la prostration a suc révuls ulsifs ifs ava avaien ientt délire, température 39 39°, °,88 ; anurie pre presqu squee com complè plète. te. Des rév été prescrits les jou continuai cette médication en y jours rs pré précéd cédent ents. s. Je con faiite im imm méd édia iattem emen ent. t. Le soir, ajoutant une injection de Lantol qui fut fa (1)) So (1 Soc. c. Méd. des Hôpitaux, décembre 1911.
— 19 — l'état l'ét at ne s'e s'esst pas agg aggrav ravé, é, la prostration semble moindre, le pouls est mati tinn la fam famil ille le es estt radie radieus usee 39°. °. Le le lend ndem emai ainn ma meille mei lleur, ur, tem tempér pératu ature re 39 et considère la mal uitt il y a eu une une cr cris isee alad adee co comm mmee sa sauuvé vée. e. Pe Pend ndan antt la nui de sueur et elle a ur uriné assez abondamment, elle cause avec les personnes qui l'e estt as asse sezz bon, la te l'ento ntoure urent, nt, le pouls es temp mpér érat atur uree 38°, 38 °,6, 6, deuxième injection de Lan Lanto tol. l. L' L'ét étaat co connti tinnue à s' s'am amél élio iore rerr as asssez rapidesc scen endd à 37°,5 et re revi vien entt de deux ux jo dement, la température de jour urss ap après rès à la conv nval ales esce cenc ncee co comm mmen ence ce da dans ns les me meil ille leur ures es co cond ndit itio ions ns.. normale, la co Société khé khédiv divial ialee Obs. 20 Obs. 20.. — D 1' COMANOSPACHA, membre de la Société de méd médeci ecine ne (Le Ca du septique et gangrène Cair ire). e). — Pneumonie poumon (1). Mala Ma lade de de quarante-sept an ans, s, pa pass de mauvais antécédents, absence estt un unee tota to tale le de ca caus uses es éti étiolo ologiq giques ues cla classi ssique ques. s. L'o L'orig rigine ine de l'affection es déclar aree de la ganattaque de gri grippe ppe pro prolon longée gée.. Au vingtième jour, se décl grène grè ne pul pulmon monair airee annoncée par une haleine très fétide avec tous les temp mpér érat atur uree él élev evée ée,, dysp dyspné née, e, toux fréquente avec symptômes habituels : te craccha hats ts no noir irât âtre ress co connte tennan antt de dess déb débri riss de ti tisssu pulexpectoration de cra mona mo naiire re.. La gan lobe be su gangrè grène ne occ occupa upait it une partie du lo supé péri rieu eurr ga gauc uche he,, ell el l e ét étai ait t circ ci rco o nscr ns cri i te. te . Le t rai ra i tem te m ent en t a c co o nsis ns isté té en auquel injections de Lanntol et a amené la gué La malad adee en trois semaines. guéris rison on com complè plète te du mal Obs. 21. — D 1' BÂILLON (Antibes). — Broncho-pneumonie (Résumé). Il s'agissait d'un enfant de deux ans at atte tein intt d' d'un unee bronchopneu pn eumo moni niee gr grav ave, e, suite de coqueluche. Sitôt l'injection de Lantol, la fièvre est tombée et le petit malade est en vo voie de guérison. Le Dr Bâi Bâillo llonn ajoute : « C' C'es estt là un un résu résult ltat at d' d'au auta tant nt plus intéressant que renc ncoontr tree un méd médii j'a j'ava vais is pe peuu d' d'es espo poir. ir. Et je trouve bo bon, n, lo lors rsqu quee je re cament utile, de le reco reconna nnaîtr ître. e. » Obs. 22 Obs. 22.. — Dr DE MONTILLE (Loire). Pneumonie massive du pou poumo monn gau gauche che chez un alcoolique invétéré sixx an anss un unee pneumonie du mê même me cô côté té.. qui avait déjà eu il y a cinq ou si J'aii tro J'a trouvé uvé que le Rho Rhodi dium um es estt bie bienn plus efficace que l'argent col colloï loïdal dal et l'huile ca effet les tro trois isiè ièm me et quatrième jours camp mphr hrée ée ; j'a j'ava vais is fait en effet de la maladie une piqûre d'huile camphrée de 20 centigrammes sans obte ob tennir de cha rèss forte encore le change ngemen mentt app appréc réciab iable, le, la fièvre était trè 39°. °. Je fi fiss une une injection so sous us-c -cut utan anée ée de cinq ci nqui uièm èmee jo jour ur de la maladie, 39 2 cen centimètres cubes de Lan Lantol ; le le lend ndem emai ain, n, te temp mpér érat atur uree no norm rmal ale, e, dimi di minu nuti tion on tr très ès co cons nsid idér érab able le de dess crachats rou rouill illes es trè trèss abondants encore la veille, râles hum umid ides es de rés résoolu luti tion on.. Je re refi fiss po sûre reté té une pour ur pl plus us de sû deuxième piqûre de Lantol, me souv souven enan antt de la la gravité de sa de dern rniè ière re tout ut petit et pneumonie. Le le lend ndem emai ain, n, gu guér éris ison on pr pres esqu quee co comp mplè lète te,, un to crach chat at ro roui uill lléé ; la pneumonie av avai aitt to tour urnné co couurt en si sixx jours. unique cra (1) Pressemédicaled'Egypte,15 décem décembre1912 bre1912..
— 20 — médeci cine ne Obs. 23. — Dr PÉCHÈRE, Chef de service de méde morbilleuse (1). Bruxelles). — Broncho-pneumonie
infan in fanti tile le
H. S..., quatre ans, rougeole accompagnée de catarrhe bronchique. omme menc ncee à pâlir. Le mala lade de es estt au trois troisiè ième me jour de l'éruption qui com La ma au so somm mmet et droit, la température 22 avril, signe de broncho-pneumonie a remonté, ell ellee att attein eintt 39°,6, le soir. Le 23 avril, broncho-pneumonie tout ut le lo lobe be supérieur droit ; à onze he heuure ress du ma de to mati tin, n, 40 40°, °, délire, pouls extrêmement rapide, net, régulier, toux qu quin inte teus use, e, fa fati tiga gant nte. e. Le 24 à huit heures du ma mati tin, n, 39 39°, °,4, 4, bronchite généralisée, oppression, trois crises convulsives, état précaire. A midi, même situation, la dyspnée est estt petit, semble irrégulier. excessive, le pouls n'est pas com compta ptable ble,, il es sèch che. e. Di Diar arrh rhée ée depuis deux jo Face vul jour urss ; jusqu jusqu'à 'à ce ultu tueu euse se,, pea eauu sè cami miso sole le mouillée et de été fait un emploi constant de la ca moment, il a ét cent ntig igra ramm mmes es pa parr jour. A quatre heures, suppositoires de quinine, 30 à 40 ce fais is un unee injection intramuscula si situ tuat atio ionn se semb mble le désespérée, 40°,3. Je fa laire de 1 ce centimètre cube de Rhodium col colloï loïdal dal,, rép répété étéee deux heures eptt heu eure ress, 39 39°, °,22 ; à neuf he heur ures es,, 38 38°, °,6, 6, l'état général de plus tard. A sep fort rt.. Pa Pass de su suda dati tion on.. l'l'en enfa fant nt s' s'es estt amélioré, le pouls est dev devenu enu plus fo étéé mei eill lleu eure re ; neuf heures du ma 25 avril, à ne mattin in,, 38 38°, °,4, 4, la nuit a ét toux ux de deme meur uree quinteuse et fréquente, touj ujou ours rs fo fort rte, e, la to l'oppression est to nouvelle injection 1/2 ce cent ntim imèt ètre re cu cube be de Rh Rhod odiu ium m co coll lloï oïda dal, l, pas d'autres sauf un enveloppement humide. A midi, l'état général antithermiques, connti co tinu nuee à s' s'am amél élio iorer rer,, 37 37°, °,6, 6, le poumon se dégage, le soir à cinq heures ellee att attein eintt s'e 'esst abaissée à 37 37° le matin, ell 37°,4. Le 26, la température touxx se fa fait it plu soir ir.. Le Less râ râle less on ontt beaucoup diminué, la tou pluss gra grasse sse,, 37°,2 le so vomi mi de dess paquets de glaires. A da dater de ce jour, amélioration l'e 'ennfa fannt a vo progressive, et guérison. Obs. 24. — Dr MIR (Auch). — Broncho-pneumonie. consécutive Enfa En fant nt de di dixx-hu huit it mois, atteint de broncho-pneumonie osci os cill llee en entr tree 39 39°° et 40°,5 à la rou rougeo geole. le. Dep Depuis uis dix jours, la température réee de dix dix à 35° to tout utes es le less troi troiss he heuure ress et d'u d'une duré balnéation ation à 35° malgré la balné quinze qui nze min minute utes, s, et les an anti tith ther ermi miqu ques es empl em ploy oyés és.. L'état du petit malade extr trêm êmee sé séch cher eres esse se de dess muqueuses, s'ag s' aggr grav avan antt (f (fac aciè ièss gripp grippé, é, dy dysp spné née, e, ex anss la mat atin inée ée du 22, 1 centimètre agitation continuelle), je lui injectai dan cubbe et dem cu demii de La Lannto tol. l. Da Danns la nuit, la température baissait de 1 de degr gréé ; deux jo jour urss ap aprè rès, s, deuxième injection de 2 centimètres cubes de Lantol, acon onti tinu nuéé à ba bais isse serr pour nouv no uvel elle le ch chut utee de dell de degr gré; é; de depu puis is,, la température ac l'abbaissement de température, la dyspnée revven re enir ir à la nor orm mal ale. e. Avec l'a excell ellent ent.. a disparu, le tei teint nt es estt re rede deve venu nu rose, l'état général est exc En mê même me te temp mpss qu quee les in inje ject ctio ions ns,, j'j'ai ai fait prendre au petit malade Lant ntol ol pulvérisées. tous les jours trois capsules de La — Grippe Obs. 25 Obs. 25.. — Dr FOURNIE (Saint-Didier-sur-Rochefort). et co cong nges esti tion on pulm pu lmon onai aire re.. Une de mes mal alad adees, tr tren ente te-s -sep eptt anss, pr an prés ésen enta taiit une congestion pleu pl euro ro-p -pul ulmo mona nair iree d'or d' orig igin inee gr grip ippa pale le.. La maladie suivit pendant trois (1) La Policlinique de Bruxelles, 1er décembre 1912.
— 21 — couurs no jours un co norm rmal al,, pu puis is subitement s'aggrave. Fièvre au-dessus de 40°,, cya 40° cyano nose se de la face, délire in stét étho hosc scop opiq ique uess pl plus us éteninte tens nse, e, si sign gnes es st dus. Je continuai pendant trente-six heu eure ress mon trai traite tem men entt hab abit ituuel : ventouses scarifiées, stimulants L'état empirait, je et expectorants. cons co nsiidé déra raii ma mal alad adee co com mme perdue ; c' c'es estt da dans ns ce cess co cond ndit itio ions ns que je prescrivis 6 comprimés de Lantol pa parr jo jour ur,, un ch chaq aque ue qu quat atre re heures, la était pr température pris isee ch chaq aque ue fois que deux comprimés avaient été administrés ; voi oici ci ces températures dans l'ordre : Soir,, 40°, Soir 40°,22 — 39°,7 — 38°,3
Matin, Mati n, 38°, 38°,88 — 37°,6 — 37°,3
Nuit,, 39°, Nuit 39°,66 — 38°,4 — 37°,6
Ensuite la température rèss rapidement ne dé déppas asssa plu luss 38° et trè redevint normale en mê même temps que l'état général s'améliorait avec une ra crois ; réssultat au Lantol? Je le cro rapi piddit itéé qu quii m'étonna. Dois-je ce ré dess cas sem je l'ai po pour urta tant nt es essa sayé yé en sceptique, car j'avais été déçu en de blables par les in inje ject ctio ions ns d' d'arg argen entt colloïdal électrique. Obs. Ob s. 26. —D —Drr Raymond
PLA (TOULOUSE). — Pneumonie
Une pr abaiss issee consid considéra érable blemen mentt prem emiè ière re in inje ject ctio ionn aba On co cont ntin inue ue le less injections de Lantol, et à la quatrième, en convalescence.
FIÈVRES
grave.
la température. le ma mala lade de en entr trai aitt
TYPHOÏDES
Obs. Ob s. 27 27.. — Dr OLIVIER. — Rechute
de fiè fièvre
typpho ty hoïd ïdee
(fig (f ig.. 2) 2)..
— 22 — Obs. Ob s. 28 28.. —- Dr DU DUCH CHAM AMPP (Marseille). M. R..., trente ans, fièvre ty typh phoï oïde de so soig igné néee pa parr les enveloppements froi fr oids ds.. Br Bron onch chit itee généralisée très intense, congestion pulmonaire du som omm met dr droi oitt av avec ec cr crac achhat atss sa sang ngla lant nts, s, dy dysp spné néee vive. Expulse encore au vin inggtt-se seppti tièm èmee jo jour ur plu luss d'un bol de crachats spumeux en vingtquatre heures. Cependant état général assez bon, température modérée auto au tour ur de 38°. Une piqûre de La Lant ntol ol de 3 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess pratiquée à ce moment déte dé term rmin inee l'l'as asssèc èche hem men entt des bro ronc nche hess et la ch chuute complète et défin définitive itive de la température. Obs. Ob s. 29 29.. — Dr DU DUCH CHAMP AMP (Marseille). Mme D..., vingt-trois an ans. s. Fi Fièv èvre re ty typh phoï oïde de de depu puis is le 20 janvier, frooid fr idss tou oute tess le less tro trois heu eure ress pendant le soum so umis isee au auxx enveloppements touute tess le less cinq heures pendant la nuit. Myocardite ayant résisté jour, to aux injections d'huile camphrée, de spartéine, de caféine, à l'adrénaline. surd rdit itéé tr très ès accentuée, délire pe État ad adyn ynam amiq ique ue gr grav ave, e, su perm rman anen entt de depu puis is douze jours. La malade urine et fai fait sous elle. La température oscille entre 38°,9 et 39°,5. estt fa fait itee La pr Lant ntol ol (3 centimètres cubes) es prem emiè ière re in inje ject ctio ionn de La oir. r. La le 10 février (v (vin ingt gtiè ième me jo jour ur de la maladie) à quatre heures du soi esce cennd le mêm mêmee so soir ir à sept heure ress à 38°,4. El Elle le os osci cill llee le less température des suiv ivan ants ts en entr tree 38°,2 et 39°,4 avec cependant un état général très jours su oinns de stupeur ; la mal malad adee n'a que ra rare reme ment nt de dess mict mictio ions ns amélioré, moi involontaires. La de deux uxiè ième me injection (3 centimètres cubes) es estt fa fait itee cinq jours février. La température descend le soir même de 39°,2 à après, le 15 fé coeur ur rev revien ientt à 90 pul 38°,5. Le coe pulsat sation ionss rég réguli ulière èress et bien frappées, l'état général est bon, la surdité a beaucoup diminué. deux jours Aprè Ap rèss qu quel elqu ques es oscillations, la température tomba en deu auttou ourr et au au-d -des esso souus de 38° 38° le so soir ir.. à 36°,9 le matin, au Pour mettre fin à cet état je pratique le 27 févr févrie ierr un unee tr troi oisi sièm èmee achè hèvve la guérison, la température revven re enan antt le mêm êmee so soir ir piq iqûûre qu quii ac au-d au -des esso sous us de 37 37°° pour s'y maintenir les jours suivants. résultats tats que j'ai obtenus dans to tous us le less au autr tres es CONCLUSIONS.— Les résul cas tra traité itéss depuis un an m'ont amené à envisager l'l'ac acti tioon du Lant Lantool dans da ns le less fi fièv èvre ress typhoïdes de la façon sui uivvan antte : Si la la ma maladie est parvenue à la période d'acmé et sur surtout si el elle est dé anss le st stad adee de descente, le Lantol pr déjà jà en enga gagé géee dan prov ovoq oque ue to touj ujou ours rs unee am un amél élio iora rati tioon de l'l'ét étaat général, une chute de la température. Une seule injection de 3 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess peu peutt suf suffir firee à provoquer la défervescence. Répétée tant qu'il est nécessaire, de trois jours en trois jours, elle ab abrè rège ge po pour ur le moins la durée de la maladie et précipite la gué rison (1). (1) Province médicale, 19 avril 1913.
— 23 — Obs. 30. — Dr CAMOUS, Médecin des Hôpitaux de Nice. M. A..., vi ving ngtt-et et-u -unn an ans, s, fièvre typhoïde très gr grav avea eave vecc my myoo car cardi dite te(fi (fig. g. 3) 3)..
Obs. 31. — D 1' CAMOUS (d Obs. (dee Ni Nice ce). ). L. O..., trente-deux ans, fièvre typhoïde avoi oirr ar arrê rêté té un unee rep paraît av repri rise se (f (fig ig.. 4). 4).
banale, mais où le Lantol
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24 —
Obs. Ob s. 32 32.. — Dr THI THIROL ROLOIX OIX.. — Fièvre typhoïde (1). dixx-h -huuit an anss. An Anté técé cédden ents ts hér éréédi dita taiire ress et personnels nuls. Modiste, di Courbature depuis dix jours, malaise gén généra éral,l, fiè fièvre vre,, 38 à 39° le soir ; pouls à 100-110. Insomnie, cé sanss act action ion.. céph phal alée ée vi viol olen ente te,, qu quin inin inee et cryogénine san Prostration complète, diarrhée op constante, 39° opin iniâ iâtr tre, e, te temp mpéra ératu ture re et 39°,5. Ap Aprè rèss quel elqu ques es jo jouurs entre à l'l'hô hôpi pittal ; la lanngu guee rô rôti tie, e, diarrhée très fétide, taches rosées, mé méttéo éori rism smee ab abdo domi mina nall et ga garg rgou ouil ille leme ment nt lé lége gerr dans laifosse iliaque dro roiite. On constate 6 grammes al albbum umin inee et dic dicro ro-tissme ab ti abso solu lu du po 40°° de fièvre fièvre.. poul ulss (1 (100 00)) ; 40 centi tim mèt ètre ress cu cubbes Rho hodi dium um co colllo loïd ïdal al Prescriptions : bains, puis 5 cen intr in trav avei einneu eux. x. Un peu de cyanose à la sui suitte de l'l'in inje ject ctio ionn ; la fièvre tombe à 37 37°, °,6, 6, pu puis is à 37°,3, et la période d'état typhique se continue à 37°,7. Dès le le lend ndem emai ainn de l'injection, la mala malade de se se sent nt mieux, est mo moin inss ab abat at-tue, diarrhée moi oins ns fé féti tidde et mo moin inss per se ersi sissta tant ntee ; le mieux continue à se faire sen enti tirr et la mal malad adee en entr tree ai aissém émen entt da danns la période de déc déclin lin,, pui puiss de rési sist stan ance ce.. Un Unee injection sous-cutanée convalescence, avec beaucoup de ré de Rho Rhodiu dium m (2 centimètres cubes) a ét été fai faite tous les ci cinq nq jo jouurs ap aprè rèss intraveineuse. l'injection Avant l'injection : sé diaz azoo-ré réac acti tion on d' d'Eh Ehrl rlic ichh séro ro-d -dia iagn gnos osti ticc po posi siti tif, f, di positive. Soix So ixan ante te-d -dou ouze ze heur he ures es apr après ès l'in l'injec jectio tion, n, ces deux réactions sont négatives. Obs. 33. — Dr THIROLO THIROLOIX. IX. — Fièvre typhoïde (1). Couvreur, quarante ans. Antécédents personnels et hé héréditaires à n uls ul s : mort rt d' d'ac acci cide dent nt ; sc scar arla lati tine ne à six six ans. ans. So Souf uffr free depuis peuu pr pe près ès père mo même eu du délire ; 39° ; quinine ; quin qu inze ze jo jour urs, s, cép céphal halée, ée, pro prostr strati ation, on, a mê aucu au cune ne ac acti tion on ; tousse be beau auco coup up,, ve vert rtig ige, e, douleurs abdominales, diarrhée fétide de près de cinq à six jours. Arrive hôpital, taches rosées, sérodiagnostic po posi siti tif, f, mé mété téor oris isme me,, po poul ulss (110). Le soir, hémorragie intestinale, gla fièv èvre re to tomb mbee à 37 37°. °. Le lend lendem emai ainn soi glace ce pre prescr scrite ite,, fi soir, r, fiè fièvre vre,, 40°. Alors injection, 4 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess Rh Rhod odiu ium m colloïdal, intraveineuse. Fièvre descend à 37°,3 et y res reste te con consta stante nte ; pouls s'améliore ; quatre jours après, diazo-réaction négative. La période d' d'ét état at re rest stee stationnaire, le mieux est sensible et l'organisme bien armé résiste à cet cette période d'état qui se passe à basse température. Le mal alad adee en entr tree bie ient ntôt ôt en co connvalescence. Obs. 34, 35, 36, 37, 38 (1). avec ec complication méningitique, deux Cinq autres typhoïdes, une av sans complications, deux autres avec hém hémorr orragi agies es int intest estina inales les,, ont été avec ec bo bons ns résultats, av avec ec des injections de 3 à 5 centimètres soignées av cubess de Rhod cube Rhodium ium colloïdal, intraveineuses. Chaque fo fois is la période d'état se passe à basse te et entrée dans temp mpér érat atur ure, e, ch chaq aque ue fois hyperleucocytose la période de décl déclin in et de de conv conval ales esce cennce av avec ec le ma maxi ximu mum m de ré rési sist stan ance ce.. less ch chlo lo-Chaque fois l'albumine, dans les cas 35 et 37, a diminué, le rure ru ress on ontt augmenté, l'l'in inddol a pr pres esqu quee di disp spar aruu (d (don oncc pl plus us d'auto-intoxication intestinale), ainsi que l'urobiline. (1) Soc Soc.. méd méd.. des Hôpitaux, 21 décembre 1911.
— 25 — Obs. 39 Obs. 39.. — Dr Raymond PLA (Toulouse). — Typhoïde et in infe fecction générale. On fait une pr cent ntim imèt ètres res cubes, résultat prem emiè ière re in inje ject ctio ionn de 9 ce « me merv rvei eill lleu euxx ». Pl Plus usie ieur urss au autr tres es injections son sontt fai faites tes ens ensuit uitee qui amènent rapidement la guérison. Obs. 40. — Le D 1' LEGRAND, Médecin de l'l'Hô Hôpi pita tall euro eu ropé péen en où le La Lantol a d'Al d' Alex exan andr drie ie,, sign si gnal alee un cas de pyohémie typhique produit un effet des plus heureux. Obss. 41 Ob 41.. — Dr PÉCHÈRE, Che heff de serv servic icee de Mé Méde deci cine ne in infa fannti tile le (Bruxelles). — Gastro-entérite paratyphoïde (1). G. Van L..., on onze ze an ans. s. Ma Mala lade de depuis dix jo jour urs, s, lor orsq sque ue je le vois fois is.. A pré catarr arrhe he gastro-intestinal pour la première fo présen senté té jus jusqu' qu'alo alors rs du cat avec poussées fébriles ir irré régu guli lièr ères es.. As Aspe pect ct typ yphi hiqque ; la lanngu guee blanche. Pas d'hypertrophie du foie ni de la rate ; pas de ta tach ches es ro rosé sées es.. Ve Vent ntre re un peu ballo ballonné, nné, co jours, rs, 38° 38°,2 ,2 à cinq heures du soir. cons nsti tipa pati tion on de depu puis is deux jou Le lendemain, 23 se eure ress du soir soir sept ptem embr bre, e, 39 39°, °,88 le matin, à quatre heu Deux ux se sell lles es ab abon onda dannte tess et liquides à la suit suitee d' d'un un purgatif au sul39°,9. De fate de soude ; délire tranquille ; un vo vomi miss ssem emen ent. t. Pou ourr le re rest stee même état, le coeur et les poumons sont in inta tact cts, s, po poul ulss à 120 120,, rég réguli ulier, er, non dicr di crot ote. e. Le séro-diagnostic de la fièvre typhoïde est négatif. Traitement : lait coupé d'eau de Vichy, lotions vinaigrées, 50 centigrammes d'antinuit it tr très ès agitée, délire. pyrine. A huit heures du soi soir, r, 40° 40°,1, ,1, nu Le 24 sep septem tembre bre,, tem tempér pératu ature re à sept heures du matin 37°,2. Pas de sell se lles es.. Mê Même me ét état at et mêmes mêmes co cons nsta tata tati tion onss symptomatiques. A mid midi,i, 39° 39°,5, ,5, un vom vomiss isseme ement nt bilieux, 50 ce A six heu eure ress cent ntig igram ramme mess d' d'an anti tipy pyri rine ne.. du so batt tteeme mennt tr très ès pr soir ir,, 39 39°, °,9, 9, aba 130, 0, régu réguli lier er,, pe peti tit, t, pron onon oncé cé,, po poul ulss à 13 bon onddis issa sannt. Ma Maux ux de tê tête te violents, frissons répétés, délire tranquille. Je pratique une injection intraveineuse de rh rhodium colloïdal de neuf he heur ures es,, 38 38°, °,7. 7. 1/2 centimètre cube. A neu Le 25 septembre, à sept heu eure ress du ma nuit a ét été plus mati tin, n, 38 38°, °,4, 4, la nui selles les malgré un lavement ; nouvelle injection intratran tr anqu quil ille le,, pa pass de sel vein ve ineu euse se de 1/2 ce cent ntim imèt ètre re cu cube be de rh rhod odiu ium m colloïdal, soit 1/10 de milliubst stan ance ce ac acti tivve. A mid mala lade de a do dorm rmii et a be beau au-gramme de sub midi,i, 37 37°,4 °,4.. Le ma emaand ndee à ma couup tran co transp spiiré ; il dem mang nger er po pour ur la première fois depuis quinze jours. Il reçoit du la laiit coupé. A qu quat atre re he heur ures es,, 37 37°, °,2, 2, poul poulss à 80 régulier et fai faible ble ; à six he unee se sell llee liquide extrêheur ures es,, 37 37°, °,6. 6. La nuit est bonne, un mement abondante et fétide vers cinq he heur ures es du mati matin. n. A partir de ce mom momen entt l'amélioration connti co tinnue ue.. Le 1e 1err oct octob obre re l'l'en enfa fant nt se lè lève ve et fa fait it sa première so sort rtie ie le 3 octob octobre re.. SCARLATINE Dr DE DELO LON N (Toulouse). Dans deux cas de sc scar arla lati tine ne,, j'j'ai ai usé des injections de Lantol, faites second. d. dans un cas dès l'apparition de l'l'an angi gine ne ; en plein pleinee érupt éruption, ion, dans le secon Dans Da ns ce de dern rnie ierr ca cass (enfant de dix ans et demi), une injection matin (1) La Policlinique de Bruxelles, 1er décem décembre bre 1912. 1912.
— 26 — et so soir ir pendant trois jours, et un unee seu eule le pendant de deux ux au autr tres es jours ont scarlatine d'évoluer d'u 'unne façon bénigne. permis à la sc La soeur de cette enfant (âgée de tr troi oiss ans ans)) pré présen sente, te, trois jours début de la maladie de sa soeur, des symptômes de suffo suffocatio cationn après le déb et d'oppression très viol violents. ents. Appelé da dans ns la nuit nuit auprès de cette malade, médi dica cati tion on sé séda dati tive ve appropriée, des injec je commence en plus d'une mé tions de Lantol : la fièvre qui dans la nui nuit avait été de 39°,8 tombe à montee pl 39°. L'éruption 37°,7, et ne mont plus us de depu puis is ce moment au-dessus de 39° se fai faitt ens ensuit uitee normalement, et la mal alad adie ie su suit it son co cour urss nor orm mal al.. En tout, Lantol tol.. cinq injections de Lan MÉNINGITES Obs. 42. — Dr CO COMA MANO NOSS PACHA, Médecin en chef de l'Hôpital hellénique du Caire (1). Soudanais nègre de trente-cinq anss. Au dé an débbut il fu futt tra raiité par le séru sé rum m sa sanns présenter au aucu cune ne am amél élio iora rati tion on ; au cinquième jour de la less dose sess él élev evée éess de sé séru rum m qu'il avait reçues, so sonn ét état at maladie, malgré le était si grave (perte totale de connaissance, pre ouss le ressqu quee co coma ma)) que nou fîmes transporter dans la cha chambre des agonisants. Nous eûmes alors l'idée d'essayer le Lantol, Rh Rhod odiu ium m co coll lloï oïda dall élec él ectr triq ique ue,, pr proc océd édéé André Lancien, et nous fîmes une injection intramusculaire de cet cette préparation malade dont l'état était désesà ce ma péré. Le lendemain, à notre arrivée à l'hôpital, nous eûmes la surprise extrême d'apprendre et de co cons nsta tate terr que no notr tree ma mala lade de présentait une amélioration inespérée. No Nous us co cont ntin inuâ uâme mess le tr trai aite teme ment nt Lant ntol ol par le La raison de 2 ampoules de que nous employions pour la première fois, à ra 3 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess pa convalesce lescence nce commençait au bo bout de parr jo jour ur.. La conva cinqq jou cin jours rs et le malade sortait de l'l'hô hôpi pita tall qu quin inze ze jo jour urss ap aprè rès, s, co comp mplè lète te-ment guéri. Obs. 43. — Dr PÉCHÈRE, Chef de se serv rvic icee de Mé Méddec ecin inee inf nfan anti tile le (Bruxelles). — Grippe à forme méningée (2). H. de L..., âgé de six ans, n'a jamais ét étéé sér érie ieus usem emen entt ma mallad ade. e. Le 12 février dernier, on le fait fait s' s'al alit iter er pour un unee to toux ux qu quin inte teus usee ac acco comp mpaade fièv fièvre re intens int ense e avai av ait t débu dé buté té le 14 l'l'av avan antt-vvei eill lle. e. Je le voi oiss au gnée qui soir. Diagnostic : Bro Bronch nchite ite grippale ; 39 39°, °,8. 8. Les jours suivants, la maladie progresse. Les petites bro bronch nches es s'e s'entr ntreeétat at de devvie iennt alarmant. prennent, l'l'ét Mais, grâce aux enveloppements humi middes et à l'emploi de la quinine en suppositoires, la te tem mpé péra ratu ture re,, qu quii avai av aitt at atte tein intt 40°,8 le 16 à cinq heure ress du soir, descend et se tient le 17 17 et le 18 février au auxx envir environ onss de 38°,5. A partir du 18, les sy symp mptô tôme mess pu pullmona mo nair ires es s' s'am amen ende dent nt et l'l'ét état at général s'améliore. Le 19, à hui uitt heu eure ress du matin, l'enfant est be beau auco coup up mi mieu eux, x, il demande à jouer. Toux grasse abondante, le pouls est à 100, la température à 37°,6, la cir circul culati ation on pulmona mo nair iree es estt réta rétabl blie ie.. (1) Revue (1) Revue In Inte tem. m. de mé méd. d. et de chir., octobre 1912. La (2) déce cemb mbre re 1912. Policlinique de Bruxelles i" dé
— 27 — Je su suis is ra soir du mê même me jour : da danns le mil milie ieuu de la rapp ppel eléé d' d'ur urge genc ncee le soir enfa fant nt s' s'eest mon ontr tréé abattu et s'est plaint de mal à la la tête ; journée, l'l'en cette céphalalgie a été en s'accentuant, elle arrache des cri riss au petit malade ; ce celu luii-c -cii es estt cou ouch chéé sur le côté côté droit, la tête droite, les yeux miless bra rass co conntr trac acté téss su surr la poitrine, les ja clos, le jamb mbes es pl plié iées es.. Avec beaucoup de pe exam amiine ner. r. Je ne déco découv uvre re rien de nouveau du côté pein ine, e, j'j'ar arri rive ve à l'l'ex des poumons, la langue est saburrale, ma maiis l'e l'exa xam men de l'appareil digestif ne m'apprend rien ; ri rien en à la la gorge ni au auxx or orei eill lles es ; la température es estt de froi oide dess su surr la tê 39°, 39 °,4. 4. Enve Envelo lopp ppem emen ents ts humi hu mide des, s, co comp mpre ress sses es fr tête te,, su supp ppos osiitoir to ires es de quinine. Le 20, la céphalalgie semble augmenter, il y a un peu de raideur de la nuque ; le ma mati tin, n, 39 39°, °,2, 2, le so soir ir,, 39 39°, °,88 ; co cons nsti tipa pati tion on,, callom ca omel el 10 ce tête te.. cent ntig igra ramm mmes es,, glac gl acee sur la tê Le 21, sig trèss ne nett tte. e. signe ne de Kernig, raideur de la nuque trè Pouls irrégulier à 13 136. 6. Deux se sell lles es liquides, un vomissement, l'enfant tousse moins, la poitrine se libère ; même tr trai aite tem men ent, t, y co com mpr pris is le drap mouillé tiède et 50 centigrammes de quinine en suppositoire. Le 22, aggra aggravatio vationn des sy symp mptô tôme mess mé méni ning ngés és,, co cons nsti tipa pati tion on,, toujours rien ri en à tr trou ouve verr ai aill lleu eurs rs ; 39°,8 le ma mati tin, n, 38 38°, °,99 le soir ; je propose une ponctionn lom tio lombai baire re qui est refu refusée sée ; 60 centigrammes de quinine. La nui nuit du 22 au au 23, la température mo monnte à 40 verss onz onzee heures, 40°, °,11 ; ver l'enfa fannt a eu plusieurs vom omis isssem emen ents ts et se plaint beaucoup de la tête. Il y a de la photophobie très accusée et un un délire violent. A deu deux heu eure ress du matin, même état, un vo vomi miss ssem emen ent, t, 39 39°, °,77 ; à quatre heures, 40°,2, ram musculaire de 1 centimètre cube de Rh RhoJe fa fais is une injection intra sixx he heur ures es diu ium m co coll llooïd ïdal al re renf nfer erm man antt deu euxx dix ixiè ièm mes de milligramme. A si ce qui ne lui ét étai aitt pas arrivé depuis l'l'en enfa fant nt s' s'es estt en endo dorm rmii profondément, trois jou réve veil ille le ve vers rs sept heu eure ress en se plaignant en enco core re de la tête, ours rs ; il se ré 38°,2. RhooNouvelle injection intramusculaire de 1 centimètre cube de Rh dium di um co coll lloï oïda dal. l. Le 23, à on onze heu heure ress du matin, l'enfant a beaucoup somestt mo moin inss raide, le pouls a 110, encore meillé, n'a plus vomi, la nuque es un peu irrégu irrégulier, lier, le signe de Kernig était douteux. Pour la première fois examen en ut utiile des pupilles, ell elles es son sontt dil dilaté atées es inégalement, je puis faire un exam tous us mé médi dica came ment nts. s. 37°,4. Je fais supprimer to revois is à quatre heures après-midi, le petit ma mala lade de do dort rt tranquilJe le revo lement ; à cinq he heur ures es,, 37 37°, °,6, 6, à sept heures 37°,2. A partir de ce jour, tous to us le less phénomènes mo morb rbid ides es se so sont nt év évan anou ouis is graduellement et rapideLe 27, l'l'en enfa fant nt s' s'al alim imen enta tait it fièv èvre re disparut définitivement. ment, la fi normalement ; le 2 mar mars il se levait, le 4 mar marss il éta était it guéri. PÉRITONITES Obs. 44 Obs. 44.. — D 1' Henri DALAGÉ DALAGÉNIÈRE, NIÈRE, Chiru Chirurgien rgien des Hôpitaux, et Dr H. HAMEL (Le Mans) (1). L... André, âgé de quatorze ans, a présenté le 18 mars des coliques s'ali lite ter. r. El Elle less fu furen rentt pa qui l'obl l'obligèren igèrentt à s'a part rtic icul uliè ière reme ment nt marq ma rqué uées es à droite danns la journée du 20 da unee ac acca calm lmie ie su surv rvin int. t. 20,, pu puis is un (1) .Arc7i.méd. chir. de Pro Provin vince, ce, jui juinn 1912.
— 28 — Le 23, vomissements qui d' d'al alim imen enta tair ires es de devi vinr nren entt vi vite te bbil ilie ieux ux.. Pas Pas de se sell llee depuis le 22. Le 25, après des traite traitements ments divers, l'l'en enfa fannt es estt amen am enéé à la clinique. Examen Exam en le 25 ma mars rs.. — Respiration difficile, pa parr in insp spir irat atio ions ns pr proofondes et espacées. Pouls précipité, face pâle avec po pomm mmet ette tess ro roug ugee vif. Vomissements fréquents. 38°. ouss ssur uree de la ré mattit itéé lo loca cali lissée au Légère vou régi gion on ap appe pend ndic icul ulai aire re ; ma flan fl ancc dr droi oitt ; pas de ré réssis ista tannce mus uscu cula laiire de la rég région ion emp empâté âtée. e. L'état de dépression du malade est si ma redo dout utee un unee an anes esth thés ésie ie marq rqué ué qu qu'o 'onn re cennti tim mèt ètre ress cu cubbes de nov novoca caïn ïnee son ontt donc injectés da danns le générale, 2 ce liquide liqu ide cépha céphalo-rac lo-rachidi hidien. en. Opération. — Incision transversale au niveau de l'é l'épi pine ne il ilia iaqu quee antérieure. Magma fo form rméé d' d'ad adhé hére renc nces es un unis issa sant nt péritoine et int intest estin. in. Un pu 'éco couule de la ca cavvit itéé ai ainnsi dé déllim imiité téee et, les adh adhéren érences ces puss ép épai aiss s'é libérées, on trouve l'l'ap appe pend ndic icee po post stér érie ieur ur pe perf rfor oré, é, très ad adhé hére rent nt,, gr gros os,, vasculaire. estt sect sectiion onné né au ther therm moc ocau autè tère re et le moignon enfoui. L'appendice es Un au autr tree paquet d' d'ad adhé hére renc nces es ti tien entt le cô côlo lonn tr tran ansv sver erse se ac acco colé lé da dans ns la région caecale ; le côlon présente une plaqu plaquee ecchy ecchymotiq motique ue ; on place deux drai ains ns et une une ré réfe fect ctio ionn partielle de la paroi est faite par deu deuxx cri crins. ns. gros dr Le 25 mars. — Au so soir ir le le mal malaade se sent sent soulagé. 38°. — Le 26 mars. Le mal malad adee es estt calme, son éta étatt sem semble ble sat satisf isfais aisant ant.. Mais le pouls est petit, mal frappé. Le 27 mars. — La mala maladi diee s' s'es estt agg aggrav ravée ée rap rapide idemen ment.t. Abattement et prostration extr ex trêême mess. So Somn mnol olen ence ce.. Vo Vom mis isssem emen ents ts fé féca calo loïd ïdes es.. Le Less ram mènent un li lavages d'estomac ra liqu quid idee no noir ir,, fécaloïde. Constipation absolu abs olue, e, 36° 36°,7, ,7,8. 8. Pouls pe peti tit, t, ra rapi pide de.. Une injection intra-venineuse de 3 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess de rh rhod odiu ium m co coll lloï oïda dall es estt fait faitee da dans ns la basilique. Le 28 mars. — Le malade a eu eu dans la nuit quatre secousses épivomiss isseme ements nts noirs, et les trois lavages d'estomac leptiformes. Il a des vom ram ra mèn ènen entt du liquide fé féca calo loïd ïdee en ab abon onda danc nce. e. Le pouls es estt tr très ès rapide, la température à 38°,4. On injecte da danns la vei veine ne 2 cen centtim imèt ètre ress cu cube bess de rhodium, ve vers rs on onze ze heures, le ma mati tin. n. Vers Ve rs de deux ux he heur ures es,, tr tris ismu mus, s, convulsions ton toniqu iques, es, con conges gestio tionn violett le ttee de la la fac face. e. Le pouls est filiforme, incomptable. Les yeux son sontt rév révululamau auro rose se es estt comp sés, mydriatiques, l'l'am complète. lète. Respi Respiratio rationn stertoreuse ; on l'huile le camphrée et de la ca café féin inee da dans ns la nuit nuit.. injecte de l'hui — Le 29 mars. été bon ; le malade peu à peu Le res reste te de la nuit a ét s'e 'esst cal almé mé et a dorm dormii. Il ne vom vomit it plus, mais a quelques na naus usée ées. s. Un fait it le matin, ra ram mèn ènee un unee quantité co cons nsid idér érab able le de lavage lav age d'e d'esto stomac mac,, fa mat atiè ière ress fé féca calo loïd ïdes es.. L' L'am amau auro rosse a disparu. Les urines sont rares et inte test stin inau auxx ne ram ramèn ènen entt pas de mat matièr ières. es. 37°,6. foncées, et les lavages in Pouls ra cubes de rapi pide de.. In Inje ject ctio ionn intraveineuse de 3 centimètres rhodium. Le 30 mars. — So Som mmei eill ca calm lmee to touute la nuit nuit.. 37° 7°.. Po Pouuls : 12 125. Le matin, le lavage d' d'es esto toma macc ra ramè mène ne de dess ma mati tièr ères es fécaloïdes, mais Les ur en mo moin indr dree ab abon onda danc ncee que pré urin ines es so sont nt claires, précéd cédemm emment ent.. abondantes. Le soir, le lavage d'estomac revient propre, le lavage intestinal amène quelques matières. 36°,4. Po Poul ulss ; 10 104. 4.
— 29 — rhod odiu ium m : 2 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess. Injection intraveineuse de rh 86.. Le lavage in inte test stin inal al am amèn ènee des Le 31 mars. — 36°,6. Pouls : 86 rhod odiu ium. m. matières. Ni la lava vage ge in inte test stin inal al,, ni rh 103. Urines claire ress et Le 1e 1err av avri ril. l. — Nuit agitée. 36°,4. Pouls : 10 abondantes ; selles pa parr la lava vage ge intestinal. — Le 2 avril. Nuit : na naus usée ées, s, ag agit itat atio ion, n, gê gêne ne re resp spir irat atoi oire re.. Un lavage d'od odeu eurr fa fade de.. d'es d' esto toma macc ra ramè mène ne un unee grande quantité de liq liquid uidee jau jaunât nâtre re d' eure ress du mat atiin : Ma Mallad adee abattu, face blafarde, yeux cernés, Sept heu inuute te.. 36 36°. °. Poul Poulss : 84 84.. On don donne ne un unee cu cuil ille leré réee à café 20 in insp spir irat atio ions ns pa parr min d'hu d' huil ilee de ri rici cin. n. Dixx heure Di heuress : Ve Vent ntre re tr très ès ballon ballonné né.. Borborygmes, un unee se sell llee spontanée, unee se un sell llee pa parr la lava vage ge,, somnolence. Deux De ux he heur ures es so soir ir : Nau Nausée sées. s. Vom Vomiss isseme ement nt peu abondant. Un lavage d'estomac ramène un litre et demi de li 'oddeu eurr fa fadde. liqu quid idee ja jaun unât âtre re d'o Pouuls : 131. Troubles de la vue. Po eure ress so soir ir : Am Amaaur uros osee presque totale. Re Cinq heu Resp spir irat atio ionn ag agit itée ée,, d'od odeu eurr in infe fect cte. e. Injection intralavage d'estomac ramenant un liquide d' cube bess de rhodi rhodium um.. vein ve ineu euse se de 2 ce cent ntim imèt ètre ress cu Huit heures soir : Un lavage am amèn ènee un unee gra grand ndee qua quanti ntité té de liquide infecté. Cé ntra ravvei eine neus usee de 200 grammes de Céph phal alée ée vi viol olen ente te;; in inje ject ctio ionn int sérum. Dixx heu Di eure ress : Sell Sellee spontanée d' d'od odeu eurr in infec fecte te.. Le 3 avril. — Nuit calme. Bon so somm mmei eil. l. 37 37°. °. Po Pouuls : 106. 106. Ur Urin inees claires très abondantes. Bon fa facciès. Re faci cile le.. Resp spir irat atio ionn ré régu guli lièr èree et fa Un lavage in inte test stin inal al ra ramè mène ne qu quel elqu ques es ma mati tièr ères es,, le lavage d'estomac revi re vien entt cl clai air. r. Injection de 3 cen centimètres cubes de rho rhodium dans une veine. Le 4 avril. — Température et pouls no norm rmau aux. x. Tr Troi oiss se sell lles es par lavemen ents ts.. Ur Uriine ness cl clai aire ress et ab abon onda dannte tess. Le mal alad adee boi oitt du lait lait qui est bien digéré. cennti tim mèt ètre ress cu cubbes de rho rhodi dium um.. Injection de 3 ce Les 5 et 6 avril. — Bo Bonn ét état at général. On injecte enc encore ore 3 centimè centimètre tress cube cu bess de rh rhod odiu ium. m. Le 22 avril, le ma mala lade de es estt guéri, sa plaie es estt ci cica catr tris isée ée et il s'a s'ali lime ment ntee normalement. Il nou ouss paraît in inté tére resssa sannt de signaler la gravité de l'infection, la récidiv réci divee des accide accidents nts toxiques. Noto No tons ns en enfi finn que les phénomènes ba basi sila lair ires es et corticaux, mydriase, amau am auro rose se,, co conv nvul ulsi sion ons, s, n'étaient pas vraisemblablement imputables à la médication, puisque nou nouss les voy lors rs de la rechute ; voyons ons réa réappa pparaî raître tre lo d'ailleurs il no nous us a été été donné, comme à to tous us le less praticiens, de les observerr dan ve anss de no nomb mbre reux ux ca cass de de tox toxém émie iess de div diver erse sess origines. A no notr tree époque où le less so soiins po post st-o -opé péra rato toir ires es joue jo uent nt un si grand ditt no notr tree collègue Henri LERAT, de Nantes, dans rôle, où (comme le di son tra travvail considérable sur le traitement on peut des péritonites) sauv sa uver er le less mal malad ades es co cons nsiidé déré réss co com mme dé médica ica-dése sesp spér érés és gr grâc âcee à une méd tion op nous us a se semb mblé lé in inté tére ress ssan antt oppo port rtun unee én éner ergi giqu que, e, il no pour tous de voir vo ir le less ré résu sult ltat atss do donn nnés és par un mét étal al co coll llooïd ïdaal d' d'un unee grande activité.
— 30 — Obs. Ob s. 45 45.. — D 1"SAVARIKAD, Chirurgien
de l'Hôpital de Salonique. Sall Sa llee de dess femmes, n° 6. Z. S. ans.. Pér Périto itonit nitee S.....,, âg âgée ée de quarante ans Ellle a été op géné gé néral ralis isée ée pa parr pe perfo rfora rati tion on ap appe pend ndic icul ulai aire re.. El opérée érée d'u d'urge rgence nce il y a un mois, état général to touj ujou ours rs ma mauv uvai ais, s, température 37°,5 le matin ; 39°,5, 40° et même 41° le soir. Cette température a con contin tinué ué omen entt de l'injection de Lantol (3 centimètres cubes) fa fait itee le jusqu'au mom soir. A partir de ce moment la température él élev evée ée a dis dispar paruu pen pendan dantt deux jo rest re ster er entr en tre e et 37 37°. °. Une Un e n ouve ou vell lle e h aus au s se de tem-tem 36°,5 jour urss po pour ur estt al alor orss su surv rven enue ue par su suit itee d' d'ac acci cide dent ntss lo loca caux ux.. pérature es Obs. 46. — Dr A. REGETT (Sainte-Foi-la-Grande). atte tein inte te de tr trou oubl bles es in infec fecti tieu euxx postFemm Fe mme, e, op opér érée ée de laparotomie, at opératoires du péritoine, caractérisés par une température de 39° et un Lantol tol à ra rais ison on de 3 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess pouls de 140°. Je lui ai injecté du Lan troi oisi sièm èmee piqûre, la température a bai baiss sséé au auxx en envvipar injection. A la tr rons ro ns de 37 37° et est est en ensu suit itee re rest stée ée normale, le pouls es estt re rede deve venu nu no norm rmal al lui aussi, et les ph phén énom omèn ènes es gr grav aves es ont disparu. Obs. Ob s. 47 47.. — Dr DU DUPU PUY Y DE FR FREN ENEL ELLE LE (Paris). Je suis appelé en co cons nsul ulta tati tion on av avec ec les les Dr 3 V. T... et B... auprès d'une enfa en fant nt d' d'un unee di diza zain inee d'années. Cette enfant, trè trèss aff affaib aiblie lie par une angine infe in fect ctie ieus usee fo fort rt mal alig igne ne qui commençait à céder, dans un état subcoma co mate teux ux av avec ec un unee langue sè osci cill llan antt en entr tree sèch che, e, rô rôti tie, e, 39 39°, °,22 et un pouls os 120 et 150, ac accu cusa sait it en out outre re depuis la vei veill llee de dess dou oule leuurs da dans ns tou outt l'l'ab abdo dome menn av avec ec pr vers rs la dr droi oite te.. préd édom omin inan ance ce lé légè gère reme ment nt ma marq rqué uéee ve Le diagnostic du premier d'entre no nous us fu futt sep septic ticémi émiee pro pronos nostiq tiquée uée extrêmement gra le du seco se cond nd fut fu t grave, ve, pas d'o d'opér pérati ation on ; diagnostic septiétat cémi cé mie, e, ap appe pend ndic icit itee se sept ptiq ique ue,, généra rall tro ropp gra ravve pour que l'opération puisse être pr le du Dr V... fut appendicite avec prop opos osée ée ; diagnostic septicémie. Mon diagnostic était appendicite à forme gangreneuse, avec 'auu moins un jour, mort ce cert rtai aine ne sa sans ns péri pé rito toni nite te se sept ptiq ique ue,, datant d'a mort rt tr très ès pr Étaant donné le peu opération, mo prob obab able le ma malg lgré ré l'l'op opér érat atio ion. n. Ét d'espo d'e spoir ir qu' qu'il il m'était possible de promettre dans l'acte opératoire, aucun médecin ne fut fut d'a 'avvis de pratiquer une int interv ervent ention ion qui av avai aitt le less plus chan ance cess d' d'êt être re fa fata tale le su surr l'h l'heu eure re.. La fa fami mill llee ét étai aitt to tout ut à fa fait it ho hossgrandes ch tile ti le à l'l'iint nter ervven enti tion on.. J' J'in inssti titu tuai ai al aloors un un tra traiite tem men entt don ontt la ba basse fut fut une cent ntim imèt ètre ress cu cube bess de La Lant ntool mat atin in et soi oirr ; les jours suiinjection de 2 ce vant va ntss une am amél élio iora rati tioon se produisit, la température baissa aux environs de 38°, le pouls osc oscill illant ant de 100 à 120. 120. La péritonite sembl semblaa se circon circonscrire scrire dans l'hypocondre droit, à un tel po nous us co commpoin intt qu quee le quatrième jour no menc me ncio ions ns à re retr trou ouve verr un ce cert rtai ainn espoi succombant espoir. r. Malhe Malheureus ureusement ement,, à son intoxication, le cin trèss dou doucem cement ent cinqui quième ème jou jour, r, l'enfant s'éteignit trè au mili milieu eu de la nu nuit it.. No Notr tree av avis is à tous, le pre avai aitt ét étéé que cette premie mierr jou jour, r, av enfant ne devait pas vivre quarante-huit he heur ures es et qu'elle éta était it irré irrémémédiablement perdue. Le Dr Th Thir irol olooix a tr trai aité té 5 ca cass de septi septicémie cémiess post post-opér -opératoire atoiress : trois 38° et hystérectomies, deux abcès du foi foie, e, apr après ès lesquels il y avait eu 38° On fait a une injection so sous us-cu -cuta tané néee de 3 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess de rh rhoo38°,5. dium di um co coll lloï oïda dal. l. La température est desce descendue ndue pour ne plus remonter.
— 31 — Obs. 48. Obs. 48. — Dr WA WALC LCH H (Le Hay Hayre) re).. Sutures (fig (f ig.. 5) 5),,
— Co Cont ntus usio ions ns
abdo ab domi mina nale les. s.
TUBERCULOSE ainsi si la con conclu clusio sionn qu'il a Le D 1' DUCHAMP (de Mar Marsei seille lle)) a résumé ain fébr bril ilee tr trai aité téss par lui : tir iréée des ca cass de tub uber erccul uloose fé « Da Dans ns la tu tube berc rcul ulos osee pulmonaire fébrile, le Lantol, pas plus que et lui seul à abaisser la température les aut autres res colloïdaux, ne suffit à lu nuclléi éina natte de sou soude sont égamaladi adie. e. Les injections de nuc à enrayer la mal ces leme le ment nt in inef effi fica cace ces. s. No Nous us avons songé à employer concurremment dans trois cas de tub tuberculose à marche aiguë et à deuxx méd deu médica icamen ments ts cubes de dans la proportion de 3 centimètres forme hémoptoïque cube bess de nucléi nucléi-tous us le less tro trois is à cinq jours et de 1 à 2 centimètres cu Lantol to obte tenu nu da dans ns l'espace de sept Nous us av avon onss ob nate de soude chaque jour. No unee ch chut utee progressive et régulière de la température à vi ving ngtt jo jour urss un lésionnelle. avec arrêt des hémoptysies et de l'aggravation dess co coll lloï oïda daux ux iver erss es esssai aiss j'avais abandonné l'usage de Après div élec él ectr triq ique uess po pour ur leur préférer l'argent colloïdal chimique, Collargol. cette intensité d'a 'acction dont je Par sa st stab abil iliité té,, par cette régularité et ce viens de constater des exemples, le Rho Rhodiu dium m colloïdal électrique sous l'heu eure re ac actu tuel elle le préférable à to tous us.. » forme de Lantol me paraît à l'h acti tion on du Rh Rhod odiu ium m co coll lloï oïda dall a ét étéé ne nett ttem emen entt établie D'autre part, l'l'ac dans ns le less in infe fect ctio ions ns se seco connda dair ires es de dess tuberculeux, Thirol roloix oix (1) da par le Dr Thi réssulte des lignes ci-contre : ainsi qu'il ré (1) Soc. Soc. méd méd.. des Hôpitaux, 21 décembre 1911.
— 32 — — No « Infections secondaires des tuberculeux. Nous us av avoons tous an anté técé céde dent ntss héré hé rédi dita tair ires es maupris une salle de 32 tuberculeux, ress tous aux 2e et et 3e de vari rian antt en entr tree di dixx-hu huit it vais, et bacillaire degr grés és.. Ag Agee va et trente-cinq ans. «Tous les ci cinnq jo jouurs rs,, pen enddan antt deux mois, in inje ject ctio ions ns hy hypo pode derrcentimètre ress cubes de rho rhodium colloïdal à 30 30 d'e 'enntre eux. miques de 3 ce «Ces injections se sont fort bien résorbées et ont été très bien est descendue à 37°, 37°,5. supp su ppor orté tées es.. To Touj ujou ours rs la température « Les analyses d'u 'uri rine ne ont été fai faite tess ch chez ez to touus ces ba baci cill llai aire ress av avan antt l'injection et tous les qua uattre jo jour urss ap aprè rèss les in inje ject ctio ions ns.. To Touj ujou ours rs nous avons eu : augmentation de l'a l'acid cidee urique, des chlorures, disparition de l'indol, de l'urobiline, et di dimi minnuti tion on se sennsi sibble de l'l'al albu bumi minne. Ces bacillaire ress se considéraient comme infiniment mieux et ava avaient beaucoup co up d' d'ap appé péti tit. t.»» Des rés résult ultats ats analogues ont été obtenus en Eg Egyp ypte te pa parr le Dr Yousestt inté intére ress ssan antt de no note terr que le La Lannto toll don onne ne d'a 'auuss ssii bo bonns ré résu sullsif, et il es tats dans les tuberculoses osseuses, ainsi qu'il ré résu sult ltee de l'obse l'observ rvat atio ionn ci-d ci -des esssou ouss du Dr Pé Péch chèère (d (dee Br Brux uxel elle les) s) (1). Obs. 49. — Ostéo-périostite tuberculeuse. S. M..., douze ans, hérédité tuberculeuse, constitution débile, temeu de l'ad l'adén énit itee ce cerv rvic ical alee su péra pé rame ment nt sc scro rofu fule leux ux,, a eu supp ppur urée ée pe pend ndan antt de janv nvie ierr 19 1912 12,, un coup longs mois à l'âge de cinq ou sept ans ; reçoit, en ja de pied au au-d -dev evan antt du ti tier erss in infé féri rieu eurr du tibi tibiaa dr drooit it.. Douleurs, ecchymose, gonflement. Au bout de quatre à ci cinq nq jo jour urss tout rentre dans l'ordre, l'endro droit it traumatisé, lequel sauf qu'il persiste un peu de gonflement à l'en reste douloureux à la la pression. Fin avril, douleurs dans toute la jambe accè cèss de fi droite, marche pén pénibl ible, e, que quelqu lques es ac fièv èvre, re, br bref ef,, pé péri rios osti tite te.. le l e 1 4 S. est trai tr aite teme ment nt inst in stit itué ué juin M..., Malgré priss bru pri brusqu squeement me nt da dans ns l'après-midi d' d'un un vi viol olen entt fri friss sson on qui le fai faitt s' s'al alit iter. er. Température : 39 réees dans toute la jambe droite qui es estt tr très ès 39°, °,22 ; douleurs modéré chau ch aude de et un peu tu tumé méfi fiée ée à la place jadis lés lésée. ée. CelleCelle-ci ci est ext extrêm rêmeme ement nt sensible à la pr pres essi sion on.. Re Repo poss ab abso solu lu,, ap appl plic icat atio ionn de glace loco dolenti. Le 16 juin, hu huit it he heur ures es mat soir à six six he atiin, 37 37°, °,88 ; le soir heur ures es,, 38 38°, °,9. 9. Le 17, neuff heu neu heures res ma huit it he heur ures es mati tin, n, 37 37°, °,44 ; soir cinq he heur ures es,, 39 39°, °,1. 1. Le 18 juin, hu mati ma tin, n, 38 38°, °, fr fris isso son, n, cé céph phal alal algi giee in inte tens nse, e, faciès injecté. Anorexie complète, 'enndro roiit malade est trè très peu doul do uleu eurs rs ir irra raddié iées es dan anss tout le membre, l'e reuux à la pr trace cess de ramol ramolli liss sseetuméfié, mais fort douloure pres essi sion on,, pa pass de tra avec un ment me nt,, lé légè gère re adénite inguinale. Je propose une consultation confrèr rèree ch choi oisi si par la fami famill llee es estt abse absent nt de Bru Bruxe xell lles es pour chir ch irur urgi gien en ; le conf trois jours, la cons consul ulttat atio ionn es estt re rem mis isee à son son ret retoour. A six six heu eure ress du soir, gran gr andd fr fris isso son, n, te temp mpér érat atur uree 40°,1 ; je pratique une injection intraveineuse cubbe de rh cu rhod odiu ium m colloïdal, soit donc 1/10 de d'unn dem d'u demi-c i-cent entimè imètre tre 39°, °,88 ; à huit heures 40°,2 ; milligramme de métal : à sept heures 39 nouvelle injection d'u d'unn dem demi-c i-cent entimè imètre tre dixx heu eure ress 38°,6. cube, à di Le 19 juin à sept he heur ures es et demie demie ma mattin in,, 37° 7°,4 ,4 ; nouvelle injection (1) La Policliniquede Bruxelles,décembre1912.
— 33 — d'un demi centimètre cube de rhodium en vue surtout de prévenir un accès acc ès féb fébril rilee ve heur ures es,, 37 37°, °,44 ; à vesp spér éral al po poss ssib ible le.. A midi, 37 37°, °,22 ; à cinq he huit heures, 37°,2. Le 20 juin, huit heures matin, 36 douleu leurs rs subjectives ont 36°, °,99 ; les dou l'enndr drooit mal alad adee qu'une complètement disparu, il ne pe pers rsis iste te pl plus us à l'e sens se nsib ibil ilit itéé un pe peuu ex exag agér érée ée à la pression. Les ganglions inguinaux ont dimi di minu nuéé de volume, l'état général est si amélioré que les parents renoncent à la consu consultati ltation on projetée. Les jou jours rs sui suivan vants, ts, l'amélioration s'accentue, le 1er juillet, l'enfant re repa part rt po pour ur la mer. PHLEGMONS, SEPTICÉMIES
SPHACÈLES, TRAUMATIQUES Obs. 50. — Dr GALLERAND (Marseille). — Adéno-phlegmon. En se seppte tem mbr bree 19 1912 12,, j'éta j'étais is ap apppel eléé auprès d'un nommé L..., âgé de trente-deux sous-maxillaire gauche. ans, atteint d'adéno-phlegmon L'état général était alors assez bon ; la te tem mpér érat atur ure, e, quii ce qu cepe pennda dant nt rele levvai aitt ne nettte teme ment nt de ce less bru ruit itss du cett ttee in infe fect ctio ionn lo loca cale le ; le atte at teig igna nait it 39 39°, °, re coeu co eurr étaie étaient nt bi bien en frappés, et ri rien en dan anss ce cett éta tatt ne paraissait bien inquiétant. Une large incision faite immédiatement avec toutes les règles dont l'écoulement fut d'asepsie donna issue à un pus bien collecté, et don favorisé par le drainage. Pendant les jo l'état gé considérajour urss su suiv ivan ants ts,, géné néra rall s' s'ag aggr grav avaa osci os cill llèr èren entt en entr tree 39° et 40°, le pouls monta blement, les températures à 130, le less br brui uits ts du coeur devinrent sourd rdss et mal frappés, délire, carconnst stat atai ai to tous us les signes d' d'un unee in infec fecti tion on généphologie. En un mot, je co ralisée grave. L' L'éécoulement du pus s'était arrêté, mais il persistait de de la région san anss fluc fluctu tuat atio ion. n. J' J'in inssti titu tuai ai com co mme tr traait iteel'empâtement ment général : acétate d'ammoniaque, cannel can nelle, le, inj inject ection ion de spartéine, huile camphrée, ba bain inss ti tièd èdes es.. La dy dysp spné néee au augm gmen enta ta de jour en jour, et je con const stat atai ai,, ci cinq nq jou jours l e d é b u t d e c ce e t une fort fo rte. e. Less Le très après accident, pneu pn eumo moni niee ga gauc uche he trai aite teme ment nt phénomènes généraux allant en s' s'ac acce cent ntua uant nt,, j'j'aj ajou outa taii au tr les injections de La Lantol : je fis le pr prem emie ierr jo jour ur deux ampoules de 3 centimètres cubes, en injections hypodermiques, rais ison on d' d'un unee et je co cont ntin inua uaii à ra amppoul am ulee par jou ourr pe pennda dannt les jours suivants jusqu'à six ampoules. Dès le sec second ond jour, les sy le délire cessa, symp mptô tôme mess in inqu quié iéta tant ntss s' s'am amen endè dère rent nt,, et la température diminua se sens nsib ible leme ment nt.. Le hu huit itiè ième me jour du traitement, le mal alad adee ét étai aitt ho hors rs de danger. En résumé, dans ce cas cas d'infection généralisée avec symptômes excessivement graves, l'action du Lantol m'a paru incontestable. Obs. 51. — Dr F. MONO MONOD D (Paris). — Sphacèle à la suite d'amputation. Dame X..., ayant eu un un accident de voiture, l'avant-pied comFutt co cond ndui uite te à l'hôpital où on on du dutt lu luii fa fair iree une ampuplèt pl ètem emen entt br broy oyé. é. Fu tation atypique de Lis Lisfr fran anc. c. Dè Dèss le lendemain, une partie du lam lambea beauu s'est sphacélé, dan anss sa partie ex exte tern rnee et plantaire. La température s'est élevée et un un moment on craint d'être obligé de pratiquer une ampu3
— 34 — aloors de dess injections so souuss-cu cuta tannée éess de tation de la jambe. Je pratique al Lantol à rai raison de quatre ampoules par jour (12 centimètres cubes) en deux fois. Dès le lendemain, la température com co mme mennce à redes redes-deux jours. Le sphacèle s'est cend ce ndre re et redev redevie ient nt normale au bout de de a limité et est resté superficiel, la ly lymp mpha hang ngit itee quii l'l'ac qu acco comp mpag agna nait it rétrocédé, et le ré réssul ulttat at,, qui un moment avait paru très compromis, a été parfait. Obs. 52 Obs. 52.. — Dr DES DESPAI PAIGNE GNE (Paris). — Lymphangite. Jeune femme de vingt-six ans, qu avoi oirr su subbi un unee morsure qui, i, ap aprè rèss av légère de chien au niveau du po poig igne nett dr droi oit, t, fut at atte tein inte te,, vi ving ngtt-qu quat atre re l'aisselle. heures après, de lymphangite réticulaire, puis d'adénite de Température : 39°. état at lo loca call s'est s'est aggravé, la température Vingt-quatre heures après, l'l'ét estt de 41° es 41° ; au traite traitement ment par le less bain bainss de bras, on ajoute un tra traite itemen mentt heuure he ress la tempéinterne par les capsules de Lantol, et en vingt-quatre rature tombe à 38° pour re rede deve veni nirr no norm rmal alee bi bien entô tôtt ap aprè rès, s, pen enddan antt que les phénomènes locaux disparaissent. Cet ette te obse serv rvat atiion est à rapprocher de cell cellee du Dr G. B... (de Par Paris) is),, effet eff et ob obte tenu nu dans un cas de phlegmon quii si qu sign gnal alee «le remarquable anth an thra raco coïd ïdee de l'l'av avan antt-br bras as auvvai aisse to tour ur-quii pa qu para rais issa sait it pr pren endr dree une mau tourné court vingt-quatre heures ap nure et qui a to aprè rèss l'l'in inje ject ctio ionn de autr au tree ch chos osee qu'une deux ampoules de Lantol. Il y a là, certai certainemen nement,t, coïncidence». Obs. Ob s. 53. 53. — Dr Narciso SOUSA, Mérida (Mexique). —Phlegmon. Jeune homme de vingt-cinq an anss at atte tein intt d'un ph phle legm gmon on pé péri rian anal al à la su suite d'e 'exxercice de cheval, il y a quelques années ; ce phlegmon fut opéré et disparut. L'année suivante, nouveau ph phle legm gmon on op opéré éré de même ; un an après et toujours à la même place, nouveau ph phle legm gmon on,, qu quii récidive d'abord tous les tr trois ou quatre mois, puis bie ient ntôt ôt à pe peuu pr près ès tous les mois. Au bout de tr trois ou quatre jours, il sor sortai taitt spontanément un pus caract très tr ès fé féti tide de et se ta tari riss ssan antt peu à peu jus caractéristi éristique que jusqu' qu'àà cicatris tr isat atio ionn de la plaie. Ce Cess ré réci ciddiv ives es fa fais isai aien entt cr craain inddre la fo form rmat atio ionn d' d'un unee fist fi stuule et j'étais résolu à procéder à un la larg rgee gr grat atta tage ge à la première occasion. Quand de no nouveau le phlegmon fi fitt so sonn apparition, constatant tout le pus, après quoi qu'il était fl fluuctuant, je fis une aspiration de tou Lantol. je remplis la cavité avec la solution de La Le jo nouv uvel elle le injection de jour ur su suiv ivan ant, t, nouvelle aspiration, et no Lantol ; deux jours plus tard, troisième aspiration et troisième injection. La guérison survint rapidement, et il ne s'e 'esst pa récidi idive ve pass pr prod odui uitt de réc depu de puis is ci cinq nq mois. Obs. 54 Obs. 54.. — Dr SAVARIKAD(Salonique). — Septicémie à la suite de traum traumatism atisme. e. Sall Sa llee de dess hommes, n° 88. O. N. N..... Pl Plai aiee par arme à feu à la jambe gauche il y a seize jours ; température : 38° 38°,, 38° 38°,5, ,5, 39°. Drainages, irri-
— 35 — gât âtio ions ns,, et etcc., qu quii ne produisent aucune amélioration, la température auss ssii él élev evée ée.. On fait fait al aloors une une injection in intr trav avei eine neus usee de La Lant ntol ol.. este au température 39° ; quatre heures après, 37°,3 ; le lendemain matin, 37°. Cette apyrexie continue jusqu'à la guéris guérison on com complè plète. te. Obs. 55 Obs. 55.. — Dr SAV SAVARI ARIKAD KAD(Salonique). de traum traumatism atisme. e.
— Septicémie
à la su suit itee
Dans la mê même me salle, n° 97. L. P. P.....,, vi ving ngtt-hu huit it an ans, s, se sept ptic icém émie ie à la suite sui te d'u d'unn tra trauma umatis tisme me par re revo volv lver er à la cuisse cuisse dr droi oite te ; te temp mpér érat atur uree 38 38°, °, suit su ite e de la form fo rmat atio ion n d'un d' un Le est ouvert puis pu is 39 39°, °,5, 5, par phlegmon. foyer six jours, la tempéau therm thermocaut ocautère ère et largement drainé. Au bout de si rature étant aussi élevée, on pratique une injection in intr trav avei eine neus usee de 3 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess de Lan Lanto toll ; le lendemain, 36 36°, °,5, 5, 37 37°, °,4, 4, qu quii se continue jusqu'à la guérison. LEUCEMIE Le Dr Van YSENDICK, de Bruxelles, a employé le La Lannto toll dan anss leucé cémi miee et il signale le cas d'une personne de soixantele traitement de la leu suivant : après une saison à Cannes, cette sept ans dont l'état était le su mala ma lade de lu luii ar arri rive ve prostrée, ave avecc des alt altern ernati atives ves d' d'hy hype pert rthe herm rmie ie (39° (3 9°,5 ,5)) Elle ne aucune et d'hypothermie. sonn éta étatt es estt peutt sup peu suppor porter ter nourriture, so des tel qu'il nécessite presque journellement piqûres d'huile camphrée, de cacodylate de soude, et au auss ssii d' d'ét éthe herr de deux ux fo fois is au cour courss d' d'ét état atss co coma ma-avec ec at aton onie ie ab abso solu lue. e. teux, av début de mars jusqu'au 18 mai, Ce tr trai aittem emen entt a été été suivi depuis le déb à ce moment le Dr Ysendick injecte 3 ce cennti tim mèt ètre ress cu cube bess de Lan Lanto toll et répèt ces in répètee quot quotidien idiennemen nementt inje ject ctio ions ns pe pend ndan antt ci cinq nq jou jours rs.. A la suite de ce traitement, il n'y a plus de te temp mpér érat atur ure, e, pl plus us de prostration, les aliments (viande et poisson) sont pa parfa rfait item emen entt su supp ppor orté tés. s. OTITE
AIGUË
Obs. Ob s. 56 56.. — D 1' HARDYAN (Le Mans). Enfa En fant nt at atte tein inte te de diphtérie ; deux injections de sérum. Im Imm médiatement après, scarlatine grave. Ve Vers rs la fin, alors que la température décl clar aree un unee ot otit itee aiguë dr droi oite te av avec ec te temmétait redevenue normale, il se dé cons nsul ulta tati tion on à ce moment, pérature axillaire dépassant 40°. Appelé en co consei seillé llé le Lantol Lantol je n'ai pas trouvé d'indication opératoire nette, et j'ai con comb mbat attr tree l'i l'inf nfec ecti tion on gén pour co généra éralis lisée ée pro profon fonde. de. Il y eut d'abord une contin con tinuat uation ion de l'a l'asce scensi nsion on th sensib sible le en mêm mêmee ther ermi miqu que, e, pu puis is une baisse sen 'éttat s'a 'am méliorait. J'ai cessé de soigner l'enfant après la temps que l'é abando ndonné nnées es malgré disparition de température, et les injections ont été aba l'l'ex exis iste tenc ncee d' d'un un pseudo-rhumatisme nett ttem emen entt in infe fect ctie ieus usee ; d'origine ne enfa fannt es estt be actuellement, l'l'en beau auco coup up mi mieu eux, x, mais cependant elle ne se lève pas encore.
— 36 — RHUMATISMES Obs. 57 Obs. 57.. — D 1' MANINE, mé méde deci cinn de première cl clas asse se de la marine, — Arthrite du purulente professeur à l'École de Rochefort. genou (1). Le matelot Ca Cas. s.....,, vin vingt gt-h -hui uitt an ans, s, entre à l'l'hô hôpi pita tall po pour ur rhumatisme 1913. 3. Éta Étatt gé articulaire aigu, le 5 février 191 géné néra rall pe peuu satisfaisant ; sueurs fièv èvre. re. Ge Geno nouu dr droi oitt gros et doul douloureu oureuxx ; gonflement profus pro fuses, es, ins insomn omnie, ie, fi oedémateux périrotulien. A noter, dans les antécédents, une con contus tusion ion du genou dr droi oitt en 1903, et un unee cr cris isee de rh rhum umat atis isme me ar arti ticu cula laiire en 19 19005. Cas. Ca s..... es estt so soum umis is au tr trai aite teme ment nt par le salicylate et l'immobilisation du genou. Pe Pers rsis ista tanc ncee de la fiè fièvre vre,, go gonfl nfleme ement nt du genou de plus en plus accusé. Le 18 fév reti tire re 20 2000 cent centim imèt ètre ress cu cube bess février rier,, pon poncti ction on du genou. On re d'un liq verd rdât âtre re.. Le gonflement se reproduit les jours liquid uidee pu purul rulent ent ve suiv su ivaant ntss. On pratique un unee nou nouvel velle le po ponc ncti tion on év évac acua uatr tric ice, e, réa réapp ppari ariti tion on rapide du gonflement. Le 28 février, ponction et injection d'argent colloïdal électrique (10 centimètres cubes). Le 2 ma deuxiè xième me in colloï loïdal dal éle éleccmars rs,, po ponc ncti tion on et deu inje ject ctio ionn d' d'ar arge gent nt col triq tr iquue (1 (100 centimètres cubes). Les jou jours rs sui suivan vants, ts, selles diarrhéiques. Le genou redevient gros et doul do ulou oure reux ux.. L'é L'éta tatt général reste peu satisfaisant. Le 10 ma elle le ram ramèn ènee du liquide te tein inté té en jaune et qui mars rs,, po ponnct ctio ionn ; el est co cons nsti titu tuéé en pa lorss des dernière dernièress ponctions et part rtie ie pa parr l'arg l'argen entt in inje ject ctéé lor nonn ré no réssor orbé bé.. En eff ffet et l'l'an anal alyyse mi miccro ro-c -chi him miq ique ue y a décelé de l'argent. Rhod odiu ium m co coll lloï oïda dall (6 centimètres cubes) Après la pon poncti ction, on, inj inject ection ion de Rh mis à notre di André Lancien. Dès le lendemain, il se disp spos osit itio ionn pa parr M. And unee amé amélio liorat ration ion qui s' s'ac acce cenntu tuee de manifeste, dans l'état du genou, un même me temps, ch chut utee de la la fièvre fièvre et am amél élio iora rati tion on de l'état jour en jour. En mê devi vien entt de plus en plus satisfaisant. géné gé néra rall qu quii de Le 3 avril, le genou a repris so sonn état état no norm rmal al.. Mo Mouv uvem emen ents ts faciles, nonn doul no uloour ureu eux. x. Le ma mate telo lott Cas as...... qui très bo bonn ét état at.. quitte tte l'h l'hôp ôpita itall en très Natu Na ture re de l'infection. — L'examen du liquide retiré par pon poncti ction on a démontré qu' d'unee in infe fect ctio ionn à pneumocoque, co comm mmee on qu'il il s'a s'agis gissai saitt non d'un aurait pu le croire d'a bien en d' d'un unee in infe fect ctio ionn d'aprè prèss l'a l'aspe spect ct du liquide, mais bi proodu pr duit itee par un diplocoque. Traitement. — Au Aucu cunn ré résu sult ltat at n' n'aa ét étéé obte obtenu nu par le salicylate ni par les ponctions év évac acua uatr tric ices es.. De Deux ux ponctions on ontt ét étéé su suiv ivie iess d'injection d'amél mélior iorati ation on appréciable. De plus, d'argent colloïdal électrique. Pas d'a deuxiè xième me injection, le mal malade a eu pendant trois jours des après la deu selles diarrhéiques. En out outre, re, l'a l'arge rgent nt colloïdal injecté n'était pas encore réso sorb rbéé hu huit it jo complètement ré jour urss ap aprè rèss l'l'in inje ject ctio ion. n. En de dern rnie ierr lieu, nou ouss av avon onss eu re reco couurs au Rho Rhoddiu ium m co colllo loïd ïdal al élecrésu sullta tats ts au ausssi su trique. Il a produit des ré surp rpre rena nant ntss qu quee ra rapi pide des. s. Une autre injection de Rhodium (6 centimètres cubes) a été pratiquée dans (1)) So (1 Soc. c. mé méd.des d.des Hôpitaux, 6 juin 1913.
— 37 — l'articulation à l'endroit où l'o 'onn avait fait des in inje ject ctio ions ns d' d'ar arge gent nt colloïdal. L'aspect du genou s'est de su suite modifié. Il y a eu un unee as asce cennsi sioon therm th ermiq ique ue (3 (38° 8°,6 ,6)) ap aprè rèss l'l'in inje ject ctio ion. n. Mais dès le lendemain, la température est red redeve evenue nue nor orm mal ale. e. Ac Acttue uell llem emen entt l'l'ét état at loc ocal al et l'l'ét état at général sont des plus satisfaisants. Obs. 58. — Dr DU DUPU PUY Y DE FREN FRENEL ELLE LE (Paris). Cett Ce ttee an anné néee je fus ap appe pelé lé d' d'ur urge genc ncee à Rome auprès d'un jeune homme âgé de vingt ans présentant les phénomènes suivants :quelques chut utee su suiv ivie ie d' d'un unee promenade so sous us un unee plu jou jours rs ap après rès une ch pluie ie bat battan tante, te, ce jeune ho homm mmee av avai aitt été pris d' d'un unee fo fort rtee fièvre, ce cepe pend ndan antt qu quee le genou évoluait gauuch ga che, e, pu puis is le co couu-de de-p -pie iedd ga gauc uche he enflaient. Conjointement, une endo-péricardite avec av ec do doub uble le so souf uffl flee aortique et mit mitra rall. La température vespérale év évol olua uait it en entr tree 38°,5 et 39°,5. Lors Lo rsqu quee j'j'ar arri riva vaii au aupr près ès du mal alad ade, e, je le trouvai en ple pleine ine pou poussé sséee avecc dou ave double ble souffle ; le ge d'endo-péricardite geno nouu ga gauc uche he était gro gros, s, rou rouge ge et douloureux ; le co était et douloureux couu-de de-p -pie iedd ga gauc uche he gros gr os,, ro roug ugee ; la te l'état très tr ès affa af faib ibli li. . tem mpé péra ratu ture re 39°, °,5, 5, général Je lui fis im immé médi diat atem emen entt unee injection de La un Lant ntool et des des applications surr le su less ar arti ticu cula lati tion onss doul do ulou oure reus uses es.. Le lendemain, une d'antiphlogistine amél am élio iora rati tion on no nota tabl blee se produisit, le genou ét étai aitt mo moin inss gros, mo moin inss do douuétai aitt mo moin inss do doul ulou oure reux ux ma mais is au auss ssii gros. Le même loureux, le cou-de-pied ét traitement fut ma maintenu en y adjoignant de la digitale. Le surlendemain, le genou n'était plus ni rouge ni douloureux ; le co couu-de de-p -pie ied, d, to touj ujou ours rs gr gros os,, était néanmoins beaucoup moi moins ns dou doulou loureu reuxx ; la température de 37°,9. Dès lo cessai les injections de La Lantol et con continuai les applications lors rs,, je mala lade de ét étan antt en excellent d'an d' anti tiph phlo logi gist stin inee jusq ju squ' u'au au dixième jour, où le ma état de convalescence, bien que pré enco en core re un dou oubl blee souffle, présen sentan tantt nouvel velles les re sont nt rel relat ativ ivem emen entt bo bonn nnes es.. je le quittai. Les nou reçu çues es de depu puis is so AFFECTIONS
DIVERSES
Le La Lant ntol ol a enc encore été employé da dans ns no nomb mbre re d' d'au autr tres es cas, parmi lesquels la grippe : Le Dr Raulin, atteint de grippe et d'infection intestinale avec cons nsei eill llee au Dr Ri Rivi vièr èree qui le soignait de lui temp te mpér érat atur uree élev él evée ée,, 39°, 39°,5, 5, co fair fa iree un unee injection de Lan Lanto toll ; le lendemain, la température baissait à 36° et est re rest stée ée no norm rmal alee depuis. Le D 1' Th Thir irol oloi oixx l'l'aa employé dans la fièvre palu paludéenn déennee : 5 cas à peu prè rèss ide dennti tiqque uess, tr tren ente te,, tr tren ente te-c -cin inq, q, quar qu aran ante te ans, vie aux colonies (1). Obs. 59. — Quarante ans, vie passée au Congo, teint ci cire reux ux,, sp splé lé-heures nomégalie. Cinq avant les accès de fièvre, et tous les cinq 3 centimètres jours, cube cu bess de rh rhod odiu ium m co coll lloï oïda dall en injection sous-cutanée. La fiè fièvre vre déc écro roît ît vi vite te et la la température ne mo mont ntee ja jama mais is pl plus us gu guèr èree audessus de 37°,5. (1) Soc. méd. des Hôpitaux, 21 décembre 1911.
— 38 — Dans Yérysipèle, le Dr Ca Carl rlos os Vi Vive vess NAVARRO a obtenu des résu ré sult ltat atss tr très ès en 'onnt incité à employer le La Lant ntol ol da dans ns enccou oura raggea eannts quii l'o qu le tr traitement de cet cette affection. Dans Da ns un ca cass d' d'ic ictè tère re grave, le Dr DE MONTILLE, de Loivre (Marne), a employé les capsules de Lan Lantol à ra raison de dou douze pa parr jou ourr immédiatement la température est tom tombée de 40°,2 à 38°,8, en même temps foie ie dim imin inuuai aitt co cons nsid idér érab able lem men entt ainnsi que l'ictère. ai que le gonflement du fo à réaction Enfin, le Dr PÉCHÈRE a relaté un cas de vaccine chez un enfant de neu neuf mois, tr très ès ne nerv rveu euxx (1). hyperthermique Obs. 60 Obs. 60.. — Qu la température Queelq lquues jou ours rs ap aprè rèss la vaccination, Unee cr cris isee con onvu vuls lsiv ivee dan anss la journée. soir ir 39 39°. °. Un monte, le matin 38°,1, le so Les qu suiv ivan ants ts il re resste trè rèss ag refu fusse de quat atre re jo jour urss su agit ité, é, la lang ngue ue ch char argé gée, e, re s'alimenter ; il présente de l'l'en Quat Qu atre re jo jouurs engo gorg rgem emen entt gang ga ngli lion onna nair ire. e. 38°8 38 °8 le matin, à si sixx he heur ures es 40°,1 ; cri crise se con convul vulsiv sivee après, apr ès, tem tempér pératu ature re humides et quinine. La température épil ép ilep epti tifo form rme, e, enve en velo lopp ppem emen ents ts tombe à 38°,6 le soir, mais à cinq he heuure ress du mat atin in 40 40°, °,22 ; le lendemain, même éta convulsiv ulsives es ; le jou état,t, plu plusie sieurs urs crises conv jourr sui suivan vant,t, matin 39°,5, le rtee. On pratique al alor orss un unee injecmauv uvai ais, s, re resp spir irat atio ionn court pouls devient ma tioon intr ti intram amuusc scuula lair iree d'u 'unn ti tier erss de ce cennti tim mèt ètre re cu cubbe de rh rhod odiu ium m co coll llooïd ïdal al unee he heur uree après, l'enfant s' s'en endo dort rt,, po pour ur (1/15 de milligramme de métal) : un se ré réve veil ille lerr à midi, 39°,3, le pouls est meilleur, il se re rend ndoort de une à quatre heures heu res;; tem tempér pératu ature re : 38°, à six heures 37°,5, à dix he heur ures es,, 38 38°, °,99 ; le pouls estt bi es bien en me meil ille leur ur ; la nuit nuit a été été ex exce cell llen ente te ; matin 37°,9, soir 37°,1, plus de crises, al alim imen enttat atio ionn norm rmal ale. e. A partir de ce ce mo moment tout va bien. PHARMACOLOGIE colloï loïdes des électriques Il y a très peu à dire dire su surr la pharmacologie des col sur le less manipulations à leu leurr fa fair iree su subi birr des Labor Laboratoire atoiress Couturieux, et sur carr il ca ilss so sont nt applicables en leuur don onne nerr la for form me pharmaceutique, pour le Étan antt re rend ndus us isotoniques phys ysiq ique uele less pr prod odui uit. t. Ét clinique tels que la méthode ph dans les tissus est praticable sans dès la préparation leu leurr int introd roduct uction ion le mo moin indr dree in inco conv nvén énie ient nt et sa sans ns aucu aucune ne ma mani nipu pula lati tion on au aupr près ès du malade. l'état parfaiteOn se rappelle en effet que ces colloïdes sont à l'é ment st sont nt pas influencés par les électrolytes ni les stab able le,, qu qu'i'ils ls ne so colloïdes naturels par suite de la finesse extrême de leurs grains, auxx co au coll lloï oïde dess na natu ture rels ls (à ceppen enddan antt co comp mpar arab ablles qu'ils ne sont pas ce on très gr gros os gr grai ains ns)) po pour ur la plu lupa part rt pré réccip ipit ités és par les électrolytes, et l'l'on bessoi oinn de les les ad addi diti tioonn nner er d' d'un unee sub ubst stan ance ce comp co mpre rend ndra ra qu'i'ill n'est pas be rendre dre l'e étra ét ranngè gère re po pour ur en ren l'emp mplo loii po poss ssib ible le en thérapeutique. métaux-f -feerments de A. Ro Robin à la Ilss asso Il associ cien entt do donc nc la pureté des mé stab st abil ilit itéé des co coll lloï oïddes al albu bum min ineu euxx. Il Ilss so sont nt mêm même plus stables que ces sans ns alté altéra ra fio fionn la stér stéril ilis isat atio ionn à l'l'au auto tocl clav ave. e. dern de rnie iers rs,p ,pui uisq squ' u'il ilss supp su ppor orte tent nt sa (1) La Policlinique de Bruxelles, décembre 1912.
— 39 — POSOLOGIE Nous étu tuddie iero ronns su succ ccin inct ctem emen entt la posologie du Rh Rhod odiu ium m co coll lloï oïda dall (lan (l anto tol) l) po pour ur les trois états sous lesquels il est délivré : ampoules, capsules, solution. 1° Les ampoules cont co ntie ienn nnen entt 3 ce cent ntim imèètr trees cu cubbes d'u 'une ne solution à 1 p. 5 000 000 de Rh Rhod odiu ium m col colloï loïdal dal.. L'in L'innoc nocuit uitéé parfaite de cette préparation permet de ne pas fixer de maximum à ne ne pas dép dépass asser. er. Les doses en gé résu sult ltee de dess ob obse serv rvat atio ions ns géné néra rall su suff ffis isan ante tes, s, ainsi qu'il ré ci-dessus, sont de 3 à 6 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess par vin heures ; dans les vingtgt-qua quatre tre états gr mieux est d'injecter deux ampoules d'abord, grav aves es (T (T.. 40°), le mi soit 6 centimètres recommencer la mê même dose au bout cubes, et de rec de do douz uzee heures si la la température n'a pas baissé de 1°,5 à 2 degrés dans l'intervalle, Ces do dose sess so sont nt su suff ffis isan ante tess po étaat infectieux grave, pour ur ju jugu gule lerr un ét suffi fira ra de 3 cen centimètre ress cubes par mais, dans la plupart des cas, il suf carr le reto retour ur à la température norm no rmal alee s' s'ob obti tien entt ving vi ngtt-qu quat atre re heur he ures es,, ca après trois ou qu quat atre re in inje ject ctio ions ns.. Les injections se sero ront nt fa fait ites es so soit it da dans ns le less veines, so soit it da dans ns les tissus musculaire ou sous-cutané. La fi fine ness ssee ex extr trêm êmee des gr effett la résorption immégrai ains ns pe perm rmet et en effe diate et l'entraînement rapide du colloïde, injecté dans les muscles, par les le leuuco cocy cyte tess qu quii le versent dans le torrent circulatoire alors que les injections de dess co coll lloï oïde dess st stab abil ilis isés és artificiellement ne so sont nt sou ouve vennt pas résorbées. (Obs. 56. Dr Manine.) 2° Les capsules sontt kér son kérati atinis nisées ées et ne se dissolvent que dans l'intestin ; elles con contiennent chacune un dixième de milligramme de Rhodium (une am ampo poul ulee co corr rres espo pond nd à 6 capsules). On les utilisera pour reto tour ur de l'l'ét état at in infe fect ctie ieux ux après les injections et on peut prévenir un re même les employer seules chez les enfants ou chez les malades qui refu fussent la piqûre. Leur activité est établie par le less ob obse serv rvat atio ions ns des Drs De Montil tille. le. Desp spai aign gne, e, Mi Mir, r, Fo Four urni nie, e, de Mon 3° La solution à 1 p. 1 000 s'emploie en applications locales, en articu iculat lation ion injections dans une art ou une cavité ap aprè rèss dr drai aina nage ge du pus, et au auss ssii dans la pyorrhée al alvé véol olai aire re où el elle le produit la disparition de la en très peu de temps. suppuration
COLLOÏDES
A
ACTION
SPÉCIFIQUE
tout ut co coll lloï oïde de mé Nous avons vu plus haut que to méta tall lliq ique ue pr prov ovoq oque ue infect ection ion ; une hyperleucocytose capable à elle seule de juguler une inf cette mais à cô côté té de l'l'ét état at physique du colloïde, état qu quii pr prov ovoq oque ue réac ré acti tioon de défense, il y a lieu d'envisager l'état chimique, c'est-à-dire cause de l'i l'infection. C'est dans la nature du métal qui, lu lui, i, ag agit it sur la cau cette voie de la recherche de la sp spéc écif ific icit itéé qu quee sont orientées les nous us envisagerons ul ulté téri rieu eure reme ment nt l'l'ac acti tion on de recherches actuelles, et no quelques métaux et métalloïdes en mettant au premier plan leur spécil'éta tatt co coll lloï oïda dall n'intervenant ficité, l'é qu'à titre secondaire, surtout en ce certains de ceux-ci sans accidents alors qu'i'ill pe qu perm rmet et d'administrer sous us d'au d'autr tres es fo form rmes es.. qu'ils sont toxiques so nous us no nous us occuperons dans ce travail est le sélénium. Le se seul ul do dont nt no SÉLÉNIUM
& SÉLÉNIUM
A CO COLL LLOÏ OÏDA DAL L
duee l'l'in intr trooduc ucti tioon des C'estt au Prof C'es Profes esse seur ur Vo Vonn Wa Wass sser erma mann nn qu'est du du cancer. On se so souvient Sélé léni nium um dans le traitement composés de Sé toxicité du Séléniate de soude pour les cel cellul lules es qu'ayant constaté la to ombi bine nerr de l'éosine, destinée, grâce à son eutt l'l'id idée ée d'y com cancéreuses, il eu fixer le Séléniate de soude sur l'éléétat ét at co coll lloï oïda dall et à son affinité, à fi ment me nt ca canc ncér éreu eux. x. fait ites es su surr le less so sour uris is do donn nnèr èren entt des résu résult ltat atss en enco couuLes expériences fa rageants. connna naiiss ssan antt la to toxi xici cité té de dess sels de Sélénium, pensa Le Dr Thiroloix, co d'ob obte teni nirr un ré résu sult ltat at analogue en s'a s'adre dressqu'il était pe peut ut-êt -être re po poss ssib ible le d' Séléni énium um colloïdal, avec l'espoir que so sous us cett cettee fo form rmee la toxicité sant au Sél très ès at atté ténu nuée ée.. serait tr Séléni Sélé nium um co coll lloï oïda dal. l. — Le Sélénium avait déjà été préparé antérieurement à l'l'ét état at co coll lloï oïda dall par divers pr proc océd édés és (1 (1). ). Les trois principaux sont les suivants : 1° Précipitation lente d'u 'unne solution de Sé Sélénium dans le sul sulfure de ca carb rbon onee par ad addi diti tion on d' d'ét éthe herr ; 2° Réd éduc ucti tioon d' d'un un Sé Séllén énit itee ou d' d'ac acid idee sé sélé léni nieu euxx par le glucose ; (1) Voir page 50, JVofede M. A. Lancien.
— 41 — 3° Électrolyse d'un enduit de Sélénium déposé sur un métal conducteur. d'un un co coll lloï oïde de de Cess tr Ce troi oiss procédés donnent lieu à la formation d' Sélénium roug rougee dichr dichroïqu oïquee à gra grains ins iné inégau gaux, x, instable, et ne pouvant être addi dittio ionn d'un d' un st stab abil ilis isan antt organique, qui rend la empl em ploy oyéé qu qu'a 'apr près ès l'l'ad sol oluuti tioon tr très ès mo mous usse seuuse pa parr ag agit itat atio ion. n. surr le su less so sour uris is ca canc ncér éreu euse sess de ces préparations L'expérimentation immédiate du ne do donn nnaa que des éc uitte de la précipitation éche hecs cs,, pa parr sui transformat ormation ion sélé léni nium um métalcolloïde injecté et de sa transf rapide en sé étai aitt donc ab abso solu lume ment nt né néce cess ssai aire re de préparer loïde qui est toxique. Il ét rest ster er in inof of-un col colloï loïde de parfaitement stable à grains très fins, qu quii pû pûtt re fens fe nsif if et as asse sezz di diff ffus usib ible le pour at atte tein indr dree la tu tum meu eur. r. fall llai aitt ob obte teni nirr Séléni Sélé nium um A co coll lloï oïda dal. l. — Ceci revient à di dire qu'il fa coll lloï oïddes du Sélé léni nium um co coll lloï oïda dall éle auxx au autr tres es co un Sé électr ctriqu iquee com compar parabl ablee au procédé Lancien. odiiLe Sélé Séléni nium um n' n'ét étan antt pas co conndu duct cteu eurr de l'électricité, on a dû mod colloïde. ïde. fier fi er so sonn ét état at physique d'abord, avant de songer à préparer le collo C'est par tra danns le vi vide de ca cath thoodi diqque qu quee M. Lancien transp nsport ort électrique da est parvenu à obten obtenir ir ce cett ttee mo modi difi fica cati tion on physique du Sélénium qu'il a Sélé lénniu ium m or orddin inai aire re différ férenc encier ier du Sé appelé le « Sélénium A » pour le dif dont il a to toutes les propriétés physiques et chimiques, excepté la conductibilité élec él ectr triq ique ue qui est be beau auco coup up pl pluus grande. l'onn do doit it l'i l'int ntro rodu duct ctio ionn C'es C' estt do donc nc à MM. MM. Th Thir irol oloi oixx et Lancien que l'o fé-édiica cale le des hôpitaux, 16 fé du Sé Sélé léni nium um en th thér érap apeu euti tiqu quee (Soc (S ocié iété té méd vrier 1912). soluti ution on limpide ou presque, fortement Ce col colloï loïde de se présente en sol Séléni énium um par litre, à grains de colo co loré réee en brun, contenant 2^,20 de Sél 6 [x[ stable, non dé déco comp mpos osab able le pa parr la chaleur, [x[x,i x,isot sotoni onique que,, par parfai faitem tement ent colloï loïdes des organiques, etc. la lumière, les électrolytes, les col ACTION
DU
SÉLÉNIOL
SUR SU R
L'OR L' ORGA GANI NISM SME E
introd roduir uiraa Comment va se comporter l'organisme dans lequel on int intraveineuse ? Il y au aura ra d' d'un unee part une hyperdu Sél Séléni éniol ol par voie in unee lo loca cali li-d'au autr tree part un leuuco le cocy cyto tose se pr proovo voqu quée ée pa parr l'état colloïdal, et d' natu ture re chimique. sati sa tioon du métal sous la dépendance de sa na a été bi bien en ét étuudié iéee par La réaction des org organe aness hém hémato atopoï poïéti étique quess less Ar Arch chiv ives es de méde médeci cine ne expérimenRamond dans le les Drs Achard et L. Ram tale ta le de no nove vemb mbre re 1912. immé médi diat atem emen entt de no nomb mbre re ; cette hyper« Les hématies augmentent im notr tree de deux uxiè ième me lapin, mais surtoout manifeste chez no globulie rouge est surt
— 42 — elle ne du elle dure re pas, et la richesse du sang en globules rouges redevient étai aitt av avan antt l'l'ex tomb mbee au au-d -des esso sous us rapidement ce qu'elle ét expé péri rien ence ce,, pu puis is to du ta chez ez le pr tauux in init itia iall de dess hématies, le qu quat atri rièm èmee jo jour ur ch prem emie ierr an anim imal al,, le neu neuvi vièm èmee ch chez ez le tro trois isiè ième me.. de nom nombr bree de dess él élém émen ents ts fig auss ssii su surr le less L'augmentation figuré uréss por porte te au com mme l'l'aa constaté, dans des ex glob gl obul ules es bl blan ancs cs,, co expé péri rien ence cess ré réce cent ntes es,, M. Duhamel, ma mais is la pous poussée sée leuco leucocytai cytaire re se fait plus lentement que la heure re après l'inje poussée pous sée hémat hématique. ique. Amorcée déjà une heu l'injection ction,, elle atteint sonn ac so acmé mé le seco second nd jour chez les deux pre neuviè vième me jour premie miers rs lap lapins ins,, le neu seul se ulem emen entt ch chez ez le tro troisi isième ème,, aug augmen mentan tantt d'une façon lente et progressive. Si elle elle es estt longue à se produire, el elle le es estt par co cont ntre re tr très ès persistante, dure re en enco core re le di dixi xièm èmee jo 5000 él élém émen ents ts puisqu'elle du jour ur,, dé dépa pass ssan antt de 1 50 le chif chiffr free in init itia iall des globules blancs. estt as asse sezz considérable, car da danns le less trois trois cas Enfin, son importance es le chiffre maximum atteint est environ 12 000 le leuuco cocy cyte tess par millimètre cube, doublant pour le less deux deux de dern rniier erss an anim imau auxx le nom ombr bree des globule bu less bl blan ancs cs av avan antt l'injection. La for formul mulee leucocytaire n'est pas se sens nsib ible leme ment nt mo modi difi fiée ée par l'introduc ucttio ionn du coll collooïd ïdee dan anss le sang. A l'autopsie, tou ouss le less organes de no noss tr troi oiss animaux no nous us ont paru abso ab solu lum men entt no norm rmau aux. x. Le Less reins, les capsules surrénales, le foie, le poucoeu eurr av avai aien entt le leuur aspect habituel ; le cor trois is mon, le co corps ps thy thyroï roïde de des tro moel elle le oss sseu eusse ét étai aitt rou lapins était sain, la mo rouge, ge, con conges gestio tionné nnée, e, mais sans ex rate te ét étai aitt nor orm mal alee ch chez ez les les deu deuxx pre exag agér érat atio ionn ; la ra premie miers rs ani animau maux, x, maiss net mai nettem tement ent hypertrophiée ch chez ez le le troi troisi sièm ème. e. Nu Null llee part nou nouss n'a n'avon vonss trouvé de gan gangli glions ons app appréc réciab iables les.. » Les aute Les auteuurs ont ét étud udié ié su succ cces esssiv ivem emen entt la moe oell llee osseuse, la rate et le thymus : partout il ilss ont ont const constat atéé un unee prolifération in inte tennse et générali ra lisé séee de dess ce cell llul ules es.. Ce travail, qui va en augmentant d'intensité pendant les quatre premiers jours, s'atténue ensuite et les organes reviennent à leur état normal au bo bout d'une dizaine de jours. Et les au auteurs concluent : « En ré résu sumé mé l'injection in intr traa-ve vein ineu euse se de Sé Sélé léni niol ol ne se mo mont ntre re nu nulllement to mais is el elle le provoque chez lui de grosses réactoxi xiqu quee po pour ur le lapin, ma tions du sang et des org Elle El le en entr traî aîne ne une organe aness hém hémato atopoï poïéti étique ques. s. très passagère du nombre des hématies dont le taux augmentation au-d -des esso souus de ce qu'il ét étai aitt av avan antt s'abaisse dans la suite légèrement au colloïde ïde dans le sang, elle provoque su surt rtou outt un unee hyperl'introduction du collo leuc le ucoc ocyt ytos osee im impo port rtan ante te et persistante à la laqquel elle le pre renn nnen entt pa part rt indistinnct ti ctem emen entt tou ouss le less él élém émen ents ts bl blan ancs cs du sang. La leucocytose provoquée par le collargol est précédée d'une d'un d' unee mo modi difi fica cati tion on période courte de leucopénie ; elle s'accompagne très nette de la formule sanguine : pol polynu ynuclé cléose ose neu neutro troph phile ile initiale suiv su ivie ie d' d'un unee leucocytose mo mono nonu nucl cléé ééee av avec ec po et pouss ussée ée mac macrop rophag hagiqu iquee éter erm min inee le Sél Sélén énio ioll dan anss no noss expériences est éosi éo sino noph phil ilie ie ; celle que dét immédiate (toutefois M. Du Duhamel a noté une leu leucop copéni éniee ini initia tiale) le) et se d'em embl blée ée sa sans ns leucolyse initiale ; el elle le es estt pr produit d' prog ogre ress ssiv ive, e, im impo porrcell llee de l'argent colloïdal ; el elle le ne s' s'ac acco commtante, et plus durable que ce 'auucu cune ne modi difi fica cattio ionn de la la fo form rmuule leucocytaire... pagne d'a
— 43 — de s Qu'ill s' Qu'i s'ag agis isse se de Sélénium ou d'argent, les modifications sont purement fo fonc ncti tion onne nell lles es et permettent organe org aness hém hémato atopo poïét ïétiqu iques es leur retour complet à l'état normal. On peut donc conclure de cette étude : l'action sur l'organisme de co coll lloï oïde dess métalliques différents semble dé eurr éta tatt phys dépe pend ndre re da dava vant ntag agee de leu ysiiqu quee (l (l'é 'éta tatt co colllo loïïda dal) l) que de la nature du métal dont ils son sont formés. Le mé méta tall joue peut-être un rô rôle le dan dans l'l'af affi finnit itéé él élec ecti tivve d'u 'unne so solu lu-tion ti on co coll lloï oïda dale le pour telle et te tell llee bactérie, mais dans l'e 'effficacité des colloï col loïdes des une pa embble dev evooir re revven eniir au pouvoir d'exalpart rt im impo port rtan ante te sem tation tat ion fon foncti ctionn onnell ellee qu soit it le leur ur origine, qu'i'ils ls po poss ssèd èden entt tou ous, s, qu quel elle le que so surr le su less organ auxxil au ilia iaiire ress si puissants de la dé défe fens nsee organes es hémat hématopoïé opoïétiqu tiques, es, organique. » Voilà pour le Sé Sélé léni nium um A col collo loïd ïdal al ou Sélé Séléni niol ol.. Sélé léni nium um colloïdal or danns le da less Quant au Sé ordi dina naire ire,, qu quee pr prod odui uira ra-t-t-il il mêmes conditions? A peu près le less mêm êmes es réactions. Cependant M. Du Duha ham mel a con const staaté apr collloï oïdde un unee leucopénie après ès l'i l'inje njecti ction on de ce col init in itia iale le.. Ma Mais is il se semb mble le que cette leucopénie ne pro rovvie iennt pa pass d'une destruction de leucocytes, d'une leucolyse, mais qu'elle ré résu sult lter erai aitt se seul uleement de l'afflux des globules blancs dans le foi foie. cett af affl flux ux?? Pa Parc rcee que c' c'es estt dan anss le fo foiie que le Pourquoi se produit ce Sélénium or orddin inaair iree ir iraa tou tout de su suiite se localiser, et que cette local localisati isation on atti tire rera ra le less le foie ie es estt la gro y at leuc ucoc ocyt ytes es.. Or Or,, on sait que le fo grosse sse gla glande nde antialors rs n'e n'estst-on on pas fo fonndé à pe cette te loc locali alisat sation ion immétoxique ; alo pens nser er qu quee cet diaate du Sé di Sélé léni niuum or ordi dina nair iree dé déccèl èlee de la part de ce cett ttee préparation une action toxique, minime il es est vrai, mais qui n'existe pa pass po pour ur le Sélénium A, dont l'injection ne pro rovo voqu quee pa pass de phase de leucopénie. De dèss son son in intr trod oduc ucti tion on da dans ns l'organisme, le Sélénium plus, si le foie arrête, dè bien en co comm mmen entt ce celu luii-ci ci pourra lu lutt tter er co cont ntre re le colloïdal, on ne voit pas bi sur l'élément cancéreux cancer, puisque la fixation du médicament semble êt être re la co cond ndit itio ionn né néce cess ssai aire re à so sonn activité, la se seul ulee ch chan ance ce qu'on ait d'agir sur la tumeur étant d'arrêter ou de gêner tout au moins la dess ce cell llul ules es géantes. karyokinèse de Et ce ceci ci no nous us co cond ndui uitt à l'étude de la lo loca cali lisa sati tion on du Sélénium. La première condition à réaliser, celle qu'avait ob obte tenu nuee Wa Wass sser er-fixation du Sélénium sur la cel cellule cancémann, est de provoquer la fix reuse. Or, la recherche du Sé Sélénium ordinaire dans les fongosités a été cett ttee re rech cher erch chee a ét étéé négafaite, et le professeur Delbet in indi diqu quee (1 (1)) qu quee ce tive ti ve.. Pa Parr contre, la re rech cher erch chee du Sélén Séléniu ium m A co coll llooïd ïdal al da danns le liquide retiré par po cancére reuuses a ponc ncti tion on ap aprè rèss li liqqué uéfa fact ctio ionn d'ad d' adén énoopa patthi hies es été positive, et, ap aprè rèss ce cent ntri rifu fuga gati tion ondu du liqu li quid idee retiré, le dosage a montré less cel cellu lule less en co cont nten enai aien entt un unee pr que le prop opor orti tion on be beau auco coup up pl plus us élevée que bien en su surr la le li Séléni nium um A co coll lloï oïda dall se fi fixe xe donc donc bi liqu quid idee su surn rnag agea eant nt (2 (2). ). Le Sélé (1) Bulletin de l'Associationfrançaisepour l'étudedu cancer, t. V, n° G. (2) Soc.méd. des Hôpitaux, 16 février 1912.
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44 —
l'onn tro trouve uvera ra plus lo loin in les les détails de la recherche cellule cancéreuse, et l'o rvaation initiale du D 1' Thiroloix (1). indiquée ci-dessus dans l'observ TOXICITÉ Tous le Tous less méd médec eciins sa savven entt que le can cance cerr n'e 'esst pas transmissible d'une espèce à une autre, même tr très ès vo vois isin inee ; que le cancer spontané sour uris is es estt très différent du cancer obtenu pa chezz les même mêmess des so parr gr gref effe fe che animaux ; que le less essa essais is de trai traite tem men entt fa fait itss su surr le less sou ouri riss ar arti tifi fici ciel elle le-ment cancéreuses ne so humaine, qu'indisont nt,, po pour ur la thérapeutique homm mmee le less procatifs et non probants, et qu qu'en 'en es essa saya yant nt d' d'ap appl pliq ique uerr à l'l'ho cédés qui ré réus ussi siss ssen entt su surr les les souris, on s'expose à des des in insu succ ccès ès et même même à des des acci accide dent ntss. Ce fu futt ce qui se pa Wassermann rmann lorsqu'il pass ssaa po pour ur Von Wasse chez ez l'h l'hom omm me son produit Sé Sélé léni nium um-E -Eos osin inee do dont nt essaya de transporter ch les applications fu fure rent nt dé déce ceva vant ntes es.. Le Pr Prof ofes esse seur ur P. Delbet, ay son cô côté té un unee préparation ayan antt es essa sayé yé de son l'abandon ndonner ner deux ux es essa sais is.. Depuis, on analogue, s'empressa de l'aba après de suit itee de l'emploi du Sél a signalé des cas de collapsus à la su Séléni énium um colconten tenant ant que 0sr loïd lo ïdal al à gra grains ins hét hétéro érogèn gènes, es, ne con 0sr,15 ,15 à 0sr,20 de métal fait ites es su surr les animaux, il sembl semblait ait par litre ; et cep cepend endant ant,, d'e d'exp xpéri érienc ences es fa résulter que le Sélé Séléni nium um co coll lloï oïda dall n' n'ét étai aitt pa pass to toxi xiqu que, e, ou plutôt ne l'était qu quee pe peu. u. Ce qui est vrai pour le lapin ne l'est pa pass po pour ur l'homme, souris ris peut êt être re fa fata tall à l'homme. ce qu quii pe peut ut guérir la sou Rien de semblable ne s'e 'esst ja Sélé lé-jama mais is pr prod odui uitt pa parr l'e l'emp mplo loii du Sé nium A colloïdal, malgré sa te tenneu eurr éle levé véee en méta métalllo loïd ïdee (2 (2^, ^,20 20 pa parr Prof ofes essseu eurr De Delb lbet et a inj litre), et cependant le Pr inject ectéé jus jusqu' qu'àà 60 centimètres cubes à la fois dans les veines d'un malade, sa sanns no note terr le moi moinndr dree Il ne faut pas considérer d'in into tolé léra ranc ncee ni d' d'in into toxi xica cati tion on.. phénomène d' com co mme un signe d' d'in into toxi xica cati tion on la vi vive ve réact réactio ionn si sign gnal alée ée pa parr le Dr Thirolo ro loix ix da dans ns so sonn ob obse serv rvat atio ionn initiale, car elle était due à une inégalité dans da ns la grosseur des grains, défaut auquel il a été re remé médi diéé par la sui suite. te. C'est donc avec la plus ent entièr ièree séc sécuri urité té que le pr prat atic icie ienn pe peut ut em empl ploy oyer er le Séléniol, qui est pa parf rfai aite teme ment nt su supp ppor orté té en injections intraveineuses, aussi actif, au auss ssii bi bien en toléré, parfaitement réso ré sorb rbéé et ind indoolo lore re en injections intra-musculaires, à condition que cel celles les-ci -ci soi soient ent ass assez ez profondes ; traite itemen ments ts enfin, il joint à ces qu qual alit ités és l'a l'ava vant ntag agee de se prêter aux tra voie ie ga par la vo gast stri riqu que, e, gr grâc âcee à l'emploi du colloïde desséché et mis en capsules. recherchee est facil facilee au speclroscope.Le spectre du sélénium est caractérisé (1) Cette recherch serencont ontren rentt dan danss le vert par un grand nombrederaiesbien étudiées, dont quelques-unesserenc etla plusgrandepartie dan dansle sle vio violetet letet l'u l'ultr ltra-v a-viol iolet. et. Un outillagede quartz estdoncnécesverre rre absorbantl'ultra-violet.Le dosagese fait par la mesuredu déplacement des saire, le ve raies du spectre sousl'influenced'un cham champp magn magnétiqu étique. e.
APPLICATIONS
DU
THÉRAPEUTIQUES 1. — CANCERS
DU
SÉLÉNIOL
SEIN
Le Séléniol a été em empplo loyyé par un certain nombre de praticiens dans les cas cas de can cancer du sein. Les résultats ont été en général très satisfaisants et l'a l'acction du Sél Séléniol sur l'a l'aff ffeection a ét été des des plus nettes. Voici d'abord la re rellation d'une gu guér éris isoon qu quii se maintient depuis près d'un an. Obs. — Dr MA MART RTY Y (de Toulouse). — Induration néoplasique — du sein droit avec hérédité. Traitement par le Séléniol. — Guérison. Mme Heb... raiitement : trois mois ..,, cinquante-deux ans, durée du tra (mai à août 1912). Cette malade se présente à ma consultation et off offrre à mo mon examen une induration située à la partie la laté téro ro-e -exxte tern rnee du se seiin dro droit it.. est se semblable à une pe Le vol volume de cette induration peti tite te po pomm mmee cons nsis ista tanc ncee es estt très très du dure re av avec ec une une d'api. Sa palpation est douloureuse ; sa co mani nife fest stee ve vers rs le creu creuxx ax axil illa lair ire. e. prolon pro longat gation ion gan gangli glionn onnair airee ma La mal alad adee nous ra raco connte qu'i'ill y a un peu moins d'un an, ell llee a reçu un ch choc oc pendant son travail, su surr ce se sein in?? To Tout ut d' d'ab abor ordd après la première 'attte tent ntio ionn à ce cett acci acci-doul do uleu eurr lo loca cale le passée, elle ne pr prêt êtaa pa pass be beau auco coup up d'a less soin soinss à do donn nner er à son ma mari ri ma mala lade de.. dent, absorbée qu'elle fut par le unee do doul uleu eurr profonde, et pr Depu De puis is qu quel elqu ques es jo jour urs, s, un pres esqu quee co cont ntin inue ue,, elle le a con const stat atéé une in indu dura rati tioon atti tiré ré so sonn at atte tent ntio ionn sur ce point, el ayant at dont le volume s'est accru très sensiblement dans le mois précédent. Less cara Le racctère ress de dure duretté quasi-ligneuse de la pa part rtie ie in indu duré rée, e, son et son ret retent entiss isseme ement nt adhé ad hére rennce aux ti tiss ssuus voisins, ses prolongements me fi fire rent nt porter le diagnostic de néoplasme cancéreux ganglionnaire du se sein in.. Il est à noter que le ma mari de cette malade venait de mo mourir des suites d'un carcinome de l'S iliaque et du re rect ctum um.. mari était mort d'u 'unn carc rciinome Son frère qu quee j'j'ai ai soigné comme le ma de la vessie qu quel elqque tem empps ap aprè rèss ce dernier. J'avais employé chez ce fr frère des injections de cuprase dont le résultat avait été négatif, et je puis di dire re mê même me né néfa fast ste. e. de qu Ces injections so sont nt tr très ès douloureuses, quel elqque fa faço çonn qu'o 'onn les chez ce malade une ré réaaction très fasse, et en outre elles provoquèrent vive à la surv rvin intt dan anss so sonn ét état at.. laqque uell llee j'j'at attr trib ibuue l'a 'agggr grav avat atio ionn quii su qu Cette fois ch chez ez ce cett ttee pauvre femme apeurée, je me suis servi du Sélé Sé léni niol ol de Couturieux, mais en injections int ntra ravvei einneu euse sess à technique
— 46 — modifi modi fiée ée.. La pe malade le 6 mai 1912 pemi mièr èree in inje ject ctio ionn fut faite chez la mal mani nièr èree ha habi bitu tuel elle le.. Au Aucu cune ne do doul uleu eurr locale ni générale ne vint vint to tour ur-à la ma mennte me terr la mala malade de qui le 9 mai vint dans mon cabinet recevoir une deuxième injection. Le 12, à ma consultation du matin, la tro troisi isième ème injection fut prasent ntis is di dimi minu nuer er le less ganglions sensibles du creux creux axi axilla llaire ire.. tiquée, et déjà je se étai aitt in indo dolo lore re à la pression. Cette région ét Le 19, nouvelle injection, et la malade me déclare que da dans ns ce cett ttee semaine les douleurs du sein ont été moins fort rtees. A la la palpation, la tumeur me paraît un peu ramollie, moins adhérente, moins ligneuse, tout en ne ne pa dimi minu nuée ée de vo volu lume me tr très ès se sens nsib ible leme ment nt.. para rais issa sant nt pa pass di Le dim dimanc anche he 26, la ci cinq nqui uièm èmee in inje ject ctio ionn est reçue avec plaisir par la mal malad adee co connfi fian antte en la mé méddic icat atiion on.. La tum tumeu eurr plus mo moll llee a mani manife fesstement diminué, et ell ellee sembl semblee en ce mo mome ment nt is isol olée ée da dans ns le sei seinn au mili milieu eu du tissu adipeux do dont nt el elle le paraît détachée. Le 2 juin, sixième injection. Le 9 ju juin in,, se sept ptiè ième me in inje ject ctio ion. n. Le 16 juin, huitième injection. Le 23 juin, neuvième injection. Le 30 juin, dixième injection, la tumeur qui ressemble maintenant à un tout petit oeuf dimin diminue ue consi considérab dérablemen lementt maladde ne s'e 'enn plaint ; la mala côté té de l'a l'ais isssel elle le et entr entree le cre reuux axillaire, et la par plus. Du cô partie tie ind induré urée, e, je ne pe perç rçoi oiss pl plus us aucun chaînon. En juillet, quatre injections furent faites, un unee to tous us le less di dima manc nche hess fin de de ce moi oiss l'l'in indu dura rati tioon ne se différenciait pas des aut autres res matin, et à la fin et il était dif iffi fici cile le de tro trouv uver er en enco core re une mas assse partie par tiess gan gangli glionn onnair aires, es, exista stait it auparavant une grosseur. compacte à la place où exi En aoû deuxx nou nouvel velles les injections, une pa août,t, cep cepend endant ant,, deu parr qu quin inza zain ine, e, le 4 et le 18, furent demandées par la mlaade. J'a 'aii revu cette fe fem mme en octobre et en ja janv nvie ierr 19 1913 13,, et enfin aujourd'hui même avant de do donner cette obs bser ervvat atio ion, n, ju juin in 1913. Le sein mal alad adee es estt comme l'autre, sans induration, san sanss dou douleu leurr ; la guérison a été complète et dur durabl able. e. Le traitement doit être appliqué avec per erssév évér éran ance ce jus usqqu'à l'l'ob obte tent ntio ionn du ré résu sult ltat at.. A ce sujet, le ca cass tr trai aité té par MM. Gallouen et Noël est tout à fait démonstratif traite itemen mentt ubii deu euxx interruptions puisque, le tra ayant sub l'l'af affe fect ctio ionn a réci récidi divé vé chaque fois rapidement et chaque prématurées, fois a été en séri riee de pi enra rayyée pa parr une nouvelle sé piqû qûre ress (1 (1). ). Salle Soyer. Femme P..., cinqu ans. — Ce Cett ttee fe femm mmee entre cinquante-h ante-huit uit dan anss le se serv rvic icee du Dr Jeanne, le 6 ju juin in 19 1912 12,, pour une tumeur du sein. Il ellee s'e s'est st aperçue d'abord que le mam amel elon on de son son sei einn dro roit it se y a un an, ell rétractait de plus en plu volume ume ; au lus, s, pui uiss que le sein augmentait de vol déb ébuut de cet cette évolution, ell ellee ne res ressen sentai taitt aucune douleur et el elle put continuer son tra travail sans gêne aucune. deux ux ou tro trois is mois, el elle le re ress ssen entt de vi vive vess do doul uleu eurs rs da dans ns toute Depuis de sa tumeur, avec irradi irradiation ationss jusque sous l'ais l'aisselle selle ; el elle le ne peut mettre (1) La Clinique, 11 octobre 1912.
— 47 — la main sur sa tête, tant les mo mouvements du br bras sont dou oulo louure reux ux et limités. Assez fréquemment ellle a des el des cr cris ises es de dyspnée tr très ès viole violent ntee av avec ec douleur déb ébut utan antt da danns l'épaule dr droi oite te et ir irra radi dian antt dans tout le côté, cris cr ises es d' d'un unee du duré réee d' d'en envi viro ronn di dixx minu minute tes. s. Le 6 juin, el elle le ent entre re à l'l'Ho nous tro trouvo uvons ns à l'examen : Hosp spic icee gé géné néra rall et nous une grosse tu tum meu eurr du vol olum umee d' d'un unee tê têtte d' d'en enfa fannt nouveau-né, av avec ec de dess nodo no dosi sité téss sa sail illa lant ntes es et dur omm me des noi noise sett ttes es.. Au Auto tour ur de la dures, es, gro grosse ssess com dess tra traîn înéées de lymphangite fo font nt nette netteme ment nt sa sail illi liee ; quelq tumeur, de quelquesuesunes ont le vo volu lume me d' d'un unee plume d'oie ; le sein est envahi dan danss sa totalit totalitéé ; le ma mame melo lonn es estt ré rétr trac acté té complètement da dans ns la ma mass ssee de la tu tume meur ur que recouvre une peau lu luis isan ante te et rouge. A la par partie tie sup supéro éro-ex -extern ternee du sein, il ex exis iste te un unee no nodo dosi sité té du vo volu lume me d' d'un unee grosse noix ; au niv ivea eauu du mamed'un unee se seco cond ndee no nodo dosi sité té du mê même me vo volu lume me ; lon, on note la présence d' l'u 'unne et l'autre sont légèrement fl fluc uctu tuan ante tes. s. La pe comm mmee no nous us peau au qu qui, i, co l'avons dit, est rouge et luisante, co cont ntra ract ctee de dess ad adhé hére renc nces es avec les tissus so sous us-j -jac acen ents ts ; elle est capitonnée et reproduit le phénomène de la peau pe au d' d'or oran ange ge.. Surr le bor Su bordd in infé féri rieu eurr du gra note te la présence de petits grand nd pec pector toral, al, on no gang ga ngli lion onss du durs rs,, extrêmement douloureux à la pa palp lpat atio ion. n. L' L'es espa pace ce susclav cl avic icul ulai aire re es estt rempli de gros ganglions indurés qui, au dire de la malade, « au volu lume me et l'é l'éto touf uffe fent nt». ». augm gmen ente tent nt pa parf rfoi oiss de vo En résumé, on se trouve en présence d'un néoplasme à allu allure re ex extrê trê-mement ra comm mmee un unee vé véri rita tabl blee inflammation, et rapi pide de qu quii se comporte co mér érit itee bie ienn le nom nom de mas masti tite te ca canncé cére reuuse se.. une intervention tout au L'ad L' adén énop opat athi hiee sign si gnal alée ée co cont ntre re-i -ind ndiq ique ue moin mo inss ra radi dica cale le.. Le 7 juin, on pratique da dans ns la région fes fessiè sière re une pre premiè mière re inj inject ection ion intr in tram amuusc scuula lair iree de 3 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess de Sé Sélé léni niuum col ollo loïd ïdal al (1). La malad adee se co couc uchhe si sitô tôtt après. peuu do doul ulou oure reus use, e, ce cepe pend ndan antt la mal piqûre est pe touut le sein des sensations particulières Dans Da ns la soirée, elle éprouve dans to qu'e qu 'ell llee co comp mpare are à de lég légère èress piq piqûre ûress d'a d'aigu iguill illes, es, elle n'a pas d'élévation tout au moins ap unee ex exce cell llen ente te de température, appr préc écia iabl blee ; elle passe un nuit nu it sa sanns cr cris isee de dyspnée. Le 8 ju croi oise serr se sess mai mains ns de derri rrièr èree juin in (l (lee lendemain matin), elle peut cr le dos et se se serv rvir ir de sa main main dr droi oite te po luii ét étai aitt impospour ur ma mang nger, er, ce qui lu sible dep depuis uis qu quatr atree jours. Le 10 juin, la rougeur diffuse périphérique a diminué, les tra traîné înées es son ontt moi oins ns apparentes, le less de deuux grosses nodosités lymphangitiques ponnct ctio ionn qui ne donne rien ; paraissent ramollies ; on pratique une po alad adee a un suss-cl clav avic icul ulai aire re s' s'es estt légèrement affaissée et la mal l'adénopathie su sonn te tein intt n'e 'est st pl plus us ja jaun unee mais rose, elle dort et peu meilleure mine, so mange bien. Sélénio ioll de 3 centicentiLes 11,14,18, 21 et 26 juin, nouvelles piqûres de Sélén fois is.. L'é L'éta tatt général continue à s'améliorer, les mètres cubes chaque fo sont maintenant trè rèss pe traînées lymphangitiques peuu ap appa pare rent ntes es et ne font pr pres esqu quee pl plus us relief, les nodosités périphériques s'affaissent, l'oedème conti tinu nuee le less piqûres to tous us le less diminue dans toute la région envahie. On con onzièm ièmee injection. jour urss ju jusq squ' u'àà la onz quatre jo (1) Nous nous sommesservisdu séléniumA colloïdal (procédéAndréLancien),préparé par les LaboratoiresCouturieux, sousle nom de Séléniol.
— 48 — Le 26 juill mala lade de es estt prise de fièvre avec juillet, et, après la onzième piqûre, la ma frisson (40°,4), de dou doule leuurs da danns le sein sein droit, et on on con const stat atee de deuux jours s'ét éten enda dannt à to tout ut le se sein in jusque dan danss l'a l'aisisaprès une pou poussé sséee d'é d'érys rysipè ipèle le s' sel elle le.. On suspend le Séléniol, et l'érysipèle traité par les pansements humi middes év évoolu luee ver erss la guérison en huit jours ; mai aiss il su subsi sist stee un gonflem fl emen entt du bras, de la dou douleur dans le sein, de la rougeur ; la lymphanfièv èvre re persiste et les mouvements du bra rass son ontt au ausssi gite a reparu, la fi difficiles qu'ils l'é 'éta taiien entt au co comme menc ncem emen entt du tra trait item emen entt. A ce moment, nous recommençons une nou ouve vellle sé séri riee de piqûres, souss l'i sou l'infl nfluen uence ce desquelles les phases d'amélioration décr crit itees se déjà dé les mou mouvements du bra rass sont reproduisent, la lymphangite diminue et le beau be auco coup up pl plus us faciles. La malade va passer quelques jours da danns sa famille, ce qui détermine un nouvel arrêt dans la sér série des piqûres. Le 15 septembre, elle no nous re revvient en hât âte, e, ef effr fray ayée ée par la marche rapide de son ma mal, l, qu quii pr prog ogres resse se d'une fa faço çonn in inqu quié iéta tant ntee de depu puis is la susdu Nous traitement. nouv uvel elle le sé séri riee de 5 piqûres pension pratiquons une no de deux jours en de deux ux jours, et le 25 septembre la tume tumeur ur a ne nett ttem emen entt dimi di minu nuéé de volume, les traînées rouges ont à pe peuu pr près ès di disp spar aru, u, les petites nodo no dosi sité téss so sont nt à pei axil illa lair iree et peine ne percept perceptibl ibles, es, l'ad l'adéno énopat pathie hie des régions ax sussu s-cl clav avic icul ulai aire re es estt beaucoup moin moinss volu volumineu mineuse se ; cepen crises ses cependant dant,, les cri de dyspnée n'ont pas absolument dis isppar aruu ; le bras est le siège d'un oedème peu con consid sidéra érable ble,, mais il est sillonné de dilatations veineuses, l'état général est excellent, la ma mala lade de dort et mange bien, elle a repris l'usage de son bras pou pourr man manger ger et se coiffer. Des obs observ ervati ation onss analogues nous ont été co com mmun uniq iquuée éess pa parr le Dr Ro canncé cére reuux de la Rogu guet et (d (d'A 'Ang nger ers) s),, qui si sign gnal alee qu quee « des bourgeons ca face postérieure de l'épaule ont di dimi minu nué» é» da dans ns un cas de réc récidive de cancer du sein avec généralisation. Le Dr J. de Magalhaes, professeur à la Fa Faculté de méd édec ecin inee de Coimbre et ass assistant du Service du ca réssul ulta tatts trè rèss canc ncer, er, si sign gnal alee des ré obte tennus dan anss le less cas cas de réc récid idiv ivee de can cance cerr du se seiin et dan danss appréciables ob les adénopathies cancéreuses, à la do dose se de 2 à 3 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess de deux ux fois par se sema main inee : les les injections sont très bien supportées ; cependant suitee de dess pre mala lade dess on ontt quelquefois, « surtout à la suit premiè mières res inj inject ection ions, s, les ma immé médi diat atss d' d'ac acti tion on générale peu remarq quelqu que lques es sym symptô ptômes mes im remarquable uables». s». Il not notee en entr tree au autr tres es « un be beau cas de de ré réccidive de cancer du sei einn son arrivée à l'hôpital et da dans ns lequel le Sél Sélén énio ioll a do donn nnéé inopérable à so une ré mass ssee néoplasique et mob rédu duct ctio ionn co connsi siddér érab ablle de la ma mobili ilisat sation ion sur la grille co cost stal alee ». le traitement a ét été suivi régulièrement, Dans tous les cas où le on a pu no noter ter une améliora amélioratio tionn remarquable, mais, che chezz cert certain ainss malades less ré résu sult ltat atss ont ét étéé peu app négligents, le appréc réciab iables les ; tel pa parr ex exem empl plee le cas si Cannce cerr du sein sein à la la période ultime. La sign gnal aléé pa parr le Dr Guignot : « Ca malade acc d'ai aill lleu eurs rs on ontt ét étéé faite faitess accept eptee irré irrégul gulière ièremen mentt ses pi piqû qûre res, s, qu quii d' alte al tern rnat ativ ivem emen entt avec av ec le Sé Sélé lénnio ioll et av avec un unee au autr tree préparation de Sélénium ni um.. Au Aucu cunn changement, sauf diminution des douleurs. »
— 49 2. — CANCERS
CUTANÉS
Le Séléniol a été pe anss le less ca canc ncer erss cutanés, qui peuu em empl ploy oyéé dan sont habituellement traités par la radiothérapie ; cependant, le D 1' He Henr nrii Ha Ham mel (d eu l'occasion de traiter un lympha(duu Ma Mans ns)) a eu dénome cutané et ganglionnaire dans lequel il a obt bten enuu de dess ré résu sulltats satisfaisants. Le Sél Séléniol doit donc être préconisé dans ces cas où ce mode mode de lors lo rsqu qu'i'ill y a impossibilité à employer la radiothérapie, traitement donne les résultats les plus brillants. Le Séléniol, lui aussi, re renndra de grands se serv rvic ices es da dans ns ce cess affections, soit so it co comm mmee tr trai aite teme ment nt principal so soit it co comm mmee adjuvant. 3. — CANCERS
DE
LA LANGUE
Le D 1' G. Ric Richar hardd (de Nancy) a employé le Sélé Séléni niol ol da dans ns di dive vers rs « un ép maxi xillcas, et il cite particulièrement épit ithé héli liom omaa in inop opér érab able le du ma lair la iree où ce ce tr trai aite teme ment nt a do donn nnéé de dess rés résul ulta tats ts surprenants non seu seulem lement ent au point de vu vuee loc ocal al (fonte de la tumeur), mais surtout au point de vue général ; tous les autres traitements, sérum Do Doye yen, n, cu cupr pras ase, e, étéé te tent ntés és sa sans ns ré résu sult ltat ats» s».. avaient ét de ce ca cas l'o l'observation du D 1' Thiroloix que Nous rapprocherons nous no us ci citton onss in extenso, d'abord pa fut le point de départ parc rcee qu quee ce fut du traitement du ca cancer par le Sé Sélé léni nium um et ens ensuit uitee colloïdal, trou ouve vera ra de no nomb mbre reux ux renseignements sur la préparation 'onn y tr parce qu'o du Séléniol et sur sa recherc rchhe dans les titissus de l'l'or orga gani nism smee (1 (1). ). J'a 'aii l'l'hhonn nneu eurr de vous communiquer, au nom de M. A. La Lancien et au mien, un unee ob obse serv rvat atio ionn où ilil a ét étéé possible de constater, sous l'influence Sélénium A colloïdal, des modi modificati fications ons d'injections intraveineuses de Sél inté in tére ress ssan ante tess da dans ns le less adénopathies se seco cond ndai aire ress à un ép épit ithé héli liom omaa té tégu gu-mentaire. Le 13 décembre 1911, en entr trai aitt sa sall llee Jaccoud, lit n° 22, le nommé V..., ébén énis iste te.. Il vi vien entt d' d'un un se serv rvic icee de chirurgie, où on âgé de trente-neuf ans, éb a co cons nsta taté té l'l'ex exis iste tenc ncee d' d'un un épithélioma vo volu lumi mine neuux ul ulcé céré ré de la bas asee de la langue, avec grosses adé bilatéadénop nopath athies ies rét rétroro-ang angulo ulo-ma -maxil xillai laires res rales. V..... es V. estt un alcoolique invétéré (même da dans ns le ser servi vice ce il parvient à se griser), un fumeur constant. Il n'a pas eu la syp syphil hilis is (Wa (Wasse sserma rmann nn négatif). Less tr Le trou oubl bles es fo fonc ncti tion onne nels ls qu'il accuse consistent en dysphagie, estt so souudé déee au plancher buccal), sia sialor lorrhé rhée, e, ota otalgi lgiee dysarthrie (la langue es bilatérale. De cancer cer Depu puis is ci cinq nq mo mois is,, c'est-à-dire dep depuis uis l'ap l'appar pariti ition on du can a ét étéé de 18 ki kilo loss : appréc app réciée iée par les troubles fonct fonctionn ionnels, els, l'ama l'amaigris igrissemen sementt 65 ki killos 6 juillet, 50 ki kilo loss 13 décembre, 47 kilos kilos 16 févri février er.. (1) Soc.méd. des Hôpitaux, 1Gfévrier 1912.
— 50 — M. Bou bien en voulu voulu ex exam amin iner er le ma mala lade de Bourge rgeois ois,, oto otolog logist istee de la Pitié, a bi dévvia iati tioon à gauche, l'existence et a co cons nsta taté té l'l'im immo mobi bili lité té de la langue, sa dé limite du dos de la la langue d' d'un un bo bour urre rele lett saillant, à la face supéà la li uree co com mme du bois, rieu ri eure re de ce cett organe, plus accusé à gauche. La masse, dur estt cr creu eusé séee à son son ce cenntr tree d' d'un unee ex exul ulcé céra rattio ionn su irrégulière, es supe perf rfic icie iell llee qu quii cont ntin inue ue en arri arrièr èree a l'étendue d'une pièce de 0 fr. 20 en argent et qui se co et en dehors dans le sil sillon gl masses ses ganglos osso so-a -amy mygd gdal alie ienn gauc ga uche he.. Les mas gross mar marron rons, s, sont régulières et ligneuses. glionnaires ont le volume de gro La ma mass ssee né estt le siège de do doul uleu eurs rs in into tolé léra rabl bles es que néop opla lasi siqu quee li ling ngua uale le es ravi ra vive ve le passage de dess al alim imen ents ts ou l'ex l'exam amen en digital. d'un unee te tell llee situation, nous prîmes la résolution d'essayer En présence d' une thérapeutique dérivée des travaux de Wa Wassermann sur la guésouris ris par les injections int ntra ravvei eine neuuse sess de séléniate riso ri sonn du ca canc ncer er des sou de sou soude av avec ec éo éosi sine ne ou flu fluor ores escé céiine ne.. M. La Lannci cien en vo voul ulut ut bien, à notre unee so sollut utiion co coll llooïd ïdal alee de sél sélén éniu ium m. demande, se charger de préparer un Le tr trav avai aill de Was assser erm man annn av avai aitt paru en France le 16 déc décemb embre re ; trois sélé léni nium um co coll lloï oïda dall jou jours rs ap aprè rès, s, nous faisions la pr prem emiè ière re in inje ject ctio ionn de sé nous av avai aitt pas par qui aupar auparavant avant ne nous aruu to toxi xiqque pour les animaux (souris, coba co baye yes, s, la lapi pins ns). ). Voici la note de M. A, Lancien : «Nous avons essayé de faire du sélénium colloïdal d'après les méth mé thod odes es de Sc Schu hulz lzee (J II,, p. 390, 1885), — (J.. pr prac ackt kt.. Chem. (2), XXXII Muthmann (D. chem. G. G.,, XX XX,, p. 940, 1887), — Gutbier (Z (Zei eit. t. an anor org. g. — Biltz chem. Chem., Che m., XXX XXXII, II, p. 106 106,, 190 1902), 2), (D. G.,, XX G. XXXV XVII II,, p. 19 1905 05,, — Esch Es chne nerr de Co Coni ninc nckk et Ch Chau auve vene nett (C. R. R.,, CX CXLI, LI, p. 1234 1904), 1234,190 ,1905), 5), — J. Me — C. Paa Paall et C. Koch Koch Meye yerr (Z (Zei eitt an anor org. g. Ch Chem em.,., LI LIV, V, p. 43, 43, 1903 1903), ), — Muller et No Chem em.,., G. G.,, XXXVIII XXXVIII,, p. 526, 1905), (D. Ch Nowa wako kows wskky (D (D.. Tout To utes es ces ce s méth mé thod odes es nous no us ont on t donn do nné é chem ch em.,., G., G., XX XXXV XVII III, I, p. 5779 5779,1 ,190 905) 5).. des particules très gr gros osse sess (8 (800 \i \i\i \i--à 30 [xa), fort instables et de grosseur souv so uven entt dif iffé fére rennte da danns le mêm êmee li 70, [*u.,31
— 51 — tion es tion estt su suiv ivie ie du mê même me grand fri frisso ssonn trè trèss pénible avec température à cett ttee te 39-40°, et ce jour urss ; mai maiss, ap aprè rèss temp mpér érat atur uree pe pers rsis iste te de un à trois jo cette hyperthermie, tout rentre da dans ns l'l'or ordr dre. e. Da Dans ns l'l'in inte terv rval alle le des injecn'est st tro troubl ublée. ée. aucu cune ne fo fonc ncti tion on n'e tions, la température est normale, au nous a paru que les adénopathies Après les pre premiè mières res inj inject ection ions, s, il no se ré immo mobi bili lité té de la langue et que les douleurs étaient rétr trac acta taie ient nt,, qu quee l'l'im moindres. Nou Nouss n'a n'avon vonss jamais attaché d'importance à ces modifications ont produites. que beaucoup de pro procéd cédés és thé thérap rapeut eutiqu iques es surv rvie ient nt un fa fait it no nouv uvea eau. u. L'adénopathie Mais, le 25 ja janv nvie ierr 19 1912 12,, su droite augmente subitement de vol volume et rétro-angulo-maxillaire dev eviien entt en qu indo dolo lore re.. No Nous us pratiquel elqu ques es jo jour urss fluctuante, quoique in nous us ob obte te-dans ns la masse, et no quons, les 2, 15 et 16 février, des ponctions da nons près de 20 ce cennti tim mèt ètre ress cu cube bess en to touut d'u 'unn liq liquid uidee vis visque queux, ux, rosé, aéro ro et an anaé aéro robi bies es négatives). inod in odor ore, e, gr grum umel eleu eux, x, as asep epti tiqu quee (c (cul ultu ture ress aé extr trai aitt se sépare en deux parties, une sér séreus euse, e, plu pluss Centrifugé, le liquide ex et une un e form fo rmée ée d e considérable, superficielle, profonde, grumeaux grisâtr sâ tres es.. A l'exa l'exame menn histologique, la bo boui uillli liee se mo mont ntre re fo form rmée ée de masses cellul lules es pavimenteuses, de cel cellul lules es d'aspect amorph amo rphes, es, inc incolo olorab rables les,, de cel ontt la coloration endothélial, à protoplasma vacuole et à gro gross noy noyau au don est dif diffus fuse. e. Beaucoup de ce cess noyaux ont des va vacuoles. Autour de ces amas épi raress polynucléés. épithé thélia liaux ux gra gravit vitent ent des mononucléés et de rare Après la ponction du 16 février, le ganglion avait pre presqu squee com complè plètetement disparu et n'é n'étai taitt plus représ sous us la pe représenté enté so peau au qu quee par une petite masse grosse à peine co comm mmee un pe ceri rise se.. Il n'y a jamais eu peti titt no noya yauu de ce de te réact ctio ionn lo loca cale le ; on a eu sous les yeux une temp mpér érat atur uree gé géné néra rale le ou de réa véri vé rita tabl blee fo font ntee ganglionnaire à fr froi oid. d. êtree obt obtenu enu Cette observation dé dém mont ntre re : 1° que le Sélénium A peut êtr faci fa cile leme ment nt à l'l'ét état at co coll lloï oïda dall ; 2° que ce col colloï loïde de n'e n'est st pas tox toxiqu iquee ; 3° qu'il d'acti ction on que sur les masses peut être injecté dans les veines ; 4° qu'il n'a d'a vasculaire lairess ; 5° que ce cettte ac acttio ionn es estt cytolytique, épithéliomateuses très vascu suiv ivie ie ou no nonn de résorption. Si le fait a se selo lonn no nous us un unee imporfondante, su tance thé Sélé léni nium um co coll lloï oïda dall vé véhi hicu culé lé par le théori orique que (ef (effet fet cytolyt cytolytiqu iquee du Sé cellules néoplasiques), il n'est pas pos d'en en dé dédu duir iree une sang sur les cellules possib sible le d' applic app licati ation on pra pratiq tique. ue. EXAMEN PHYSICO-CHIMIQUEDU LIQUIDE SÉROTIQUE.— Le liquide est formé d'une bo boui uill llie ie de cellules. A l'ultramicroscope on distingue tr très ès bie ienn de deuux so sort rtes es de mou mouve ve-urfo fouut si l'l'oon obse serv rvee su succ cces essi sive vem men entt à l'l'uult ltra ra de verre, et finaments, sur lement à l'ultra de quartz. Dans Da ns le liquide se tr troouv uven entt des particules no nomb mbre reus uses es de Sé Sélé léni nium um colloïdal él élec ectr triq ique ue (1 (1er er mo mouv uvem emen ent) t),, qu quee l'on peut facilement distinguer des grains br brow owni nien enss or ordi dina nair ires es du li leurr cou couleu leurr liqu quid idee bi biol olog ogiq ique ue,, pa parr leu et leur petitesse. On re retr trou ouve ve ce cess grains da dans ns le less ce semb mble lent nt êt être re bour bourré rées es cell llul ules es,, qu quii se de colloïde (2e mouvement). On peut identifier par les ré réac acti tion onss de Str Streng eng (Ne (Neues ues Fahrb. f. Min., iodu dure re de potassium, les particules de 1886 18 86), ), puis pa parr le magnésium et l'l'io Sélénium. D'autre part, en centrifugeant, on sépare la bo boui uillli liee de ce celllu lule less du liquide excipient, et au spectrographe on re rema marq rque ue qu que, e, dans les cellules, less raies le raies Se a — groupe Se 6 — groupe Xoe dans le vert, so sont nt bi bien en plus
— 52 — intenses pour les cel cellul lules es qu quee po pour ur le li liqu quid ide. e. (N (Nou ouss avons essayé de quan anti tité té ég égal alee de liqueur colcent ce ntri rifu fuge gerr pe pend ndan antt le même temps une qu loïd lo ïdal alee de Sélén Séléniu ium m ayant servi dans les injections, et no nous us n' n'av avon onss obtenu aucun dépôt de granules de ce métalloïde). Par conséquent, l'on prob obab able leme ment nt po pour urce cent ntag agee pl plus us gr gran andd po pour ur les cellules peut dire qu qu'i'ill y a pr quee po qu pour ur l'l'ex exci cipi pien ent. t. conc nclu lure re : Par conséquent nous pouvons co retrouve dans le 1° Que le Sélénium colloïdal él élec ectr triq ique ue in inje ject ctéé se re liqqui li uide de sé séro roti tiqque ; 2° Qu'il se semb mble le se fi fixe xerr da dans ns le less ce cell llul ules es.. D'autre part, no nous us av avon onss re nouss don donnai naitt rema marq rqué ué qu quee notre liquide nou la réa réact ctio ionn de A. Auch Auchéé (urobiline). Le Dr Pé Péri ridi dier er (de Montp ses ma mallad ades es at atte tein intt Montpellie ellier) r) a eu « un de ses de ca malade ade canc ncer er,, in inop opér érab able le d' d'ai aill lleu eurs rs,, de l'l'am amyg ygda dale le.. Ju Jusq sque ue-l -là, à, ce mal n'av n' avai aitt ob obte tenu nu que de dess résu résult ltat atss mé médi dioc ocre ress de dess trai traite teme ment ntss employés ; après deux injections de Séléniol, il ressent un gra grand nd sou soulag lageme ement nt au tum meu eurr el elle le-point de vue des souffrances, intolérables jusqu'alors ; la tu même paraît en vo voie ie d'amélioration, le malade re repr pren endd co cour urag age» e».. 4. — CANCERS
DE
L'OESOPHAGE
Obse Ob serv rvat atio ionn
du Dr GUIG GUIGNO NOT T (d'Avignon). sténos nosant ant de l'e l'extr xtrémi émité té supérieure de l'o Néoplasme sté l'oeso esopha phage. ge. Apr Après ès unee sé un séri riee de hui huitt piqû la mala malade de se sen sentt te tell llem emen entt piqûres res intram intramuscu usculaires laires,, mieux qu'elle déclare tout nouveau traitement inutile : l'appétit est teinte nte jaune a be revenu, la tei beau auco coup up di dimi minu nué, é, la dys dysph phagi agiee pre presqu squee disless cr criise sess de tachycardie par action mécanique sur le pneumoparu, le sont nt mo moin inss fo fort rtes es.. gastrique so 5. — CANCERS
DE
L'ES L' ESTO TOMA MAC C
Nous rappellerons l'observation de MM MM. La Laurent et Roh Rohec dont nous no us do donn nnon onss ci ci-d -des esso sous us de dess ex extr trai aits ts (1) : C'es C' estt un nom nommé mé Ale Alexan xandre dre B.. quarante et un ans ans,, for forger geron on au très ès bonne bonne co cons nsti titu tuti tion on.. On tr trou ouve ve da dans ns se sess an anté técé céde dent ntss hé héré ré-Havre, de tr dita di tair ires es ce fai faitt important : sa mère est mort rtee à cinquante-sept an anss d' d'un un canc ca ncer er de l'estomac, un an après av avoi oirr su subi bi la gastro-entéro-anastomose. LuiLu i-mê même me n' n'aa com comme me ant antécé écéden dents ts personnels morbides qu'une variole 'unn an an.. N' N'av avou ouan antt ni al alco coooli lissme ni syphilis, il jouit d'une légère à l'âge d'u ctoobr bree 19 19111. Le dé débu butt de l'a l'affe ffect ctio ionn re remo mont ntee parfaite santé jusqu'en oct donc do nc à un an envir environ on.. Ce so sont nt d'abord, sa sans ns ca caus usee appréciable, de dess do doul uleu eurs rs d' d'es esto toma macc vives, ai aigu guës ës,, la lanc ncin inan ante tes, s, si siég égea eant nt au creux épigastrique avec point s'irr rrad adia iannt ver erss les les hypocondres, en ceinture, surspinal, en broche, et s'i ven enan antt une dem emii-h -heu eure re à tr troi oiss quarts d'heure après les repas, s'accom(1) Province médicale,septembre 1912.
— 53 — pagnant de vomissements alimentaires. Quelques troubles dyspeptiques: matièr ières es grasses et de la via anor an orex exie ie,, dé dégo goût ût des mat iand nde. e. Le 30 mars 1912, B... entre à l'l'hô salle le Bro Brouar uardel del.. hôpi pita tall gé géné néra ral, l, sal Souus l'in So l'infl flue uennce du repos, du régime et du tr trai aite teme ment nt (pansement bismuthé de l'l'es esto toma mac, c, al alca cali lins ns,, potion de Rivière, stovaïne, chanvre indien, eau chloroformée, etc.), l'intoléra rannce diminue. Le malade n'a ni de meloena ; ses selles, assez régulières, jamais eu d'hématémèses, sont so nt no noir ires es par le bi bism smut uthh absorbé; le less tr trou oubl bles es dyspeptiques sont rétent ention ion gastrique ni de sténose du pylore. peu importants ; pas de rét L'eexamen ne permet de co L' cons nsta tate terr au aucu cune ne tumeur, ma mais is un unee se sens nsib ibil ilit itéé notable de la la région épigastrique et de l'hypertrophie du fo foiie ; rien au point de vue tabès et nerveux ; pas d'adé d'adénopat nopathies hies.. Comm Co mmee le less cr cris ises es gastriques tendent plutôt à augmenter d'intenleur ur ca carac ractè tère re intermittent, et leur fréquence sité, que le paroxystique noct no ctur urnne fo fonnt penser à la spécificité, B... reçoit une série de quinze de bi biiodure de me mercure. Il qu injections intrafessières quit itte te l'l'hô hôpi pita tall le 4 mai 1912, avec une très légère am amél élio iora rati tion on du duee plutôt au repos la médica méd icatio tion. n. Il reprend so sonn tr trav avai aill que les dou douleu leurs rs l'obligent qu'à d'interrompre un ou deux jo jour urss pa parr semaine ; puis bientôt, ne pouvant traava vail illler du tout, il rentre à l'hôpital, da dans ns la même même sa sall llee Br Brou ouar ar-plus tr del, le 24 juin 1912. On constate alo alors rs une aggravation de son état : il a perdu ses forces, il est con consid sidéra érable blemen mentt amaigri et ses crises gastriques intolérables néce né cess ssit iten entt de no nomb mbre reus uses es piqûres de morphine, surt rtoout la nuit, piqûres calm lmen entt que médiocrement. Nous avons assisté à ce ces cri crises qui ne le ca où il se tordait en hurlant sur son lit. Il est soumis au trait traitement ement qu'il a déjà suivi lors de son pr danns le se serv rvic ice: e: bismuth, prem emie ierr sé séjo jour ur da 10 grammes pa contre tre les vomiss vomisseme ements nts et le less douleurs, parr jo jour ur,, po poti tion onss con chlo ch lora rate te de sou soude à ha haut utee dose, une série de qui quinze nze inj inject ection ionss intramusc mu scul ulai aire ress de cyanure de me mercure et un une autre série de qu quin inze ze in inje jecctions tio ns d'h d'hect ectine ine ; le tout san sanss rés résult ultat at appréciable. L'examen clinique du malade, corroboré par la ra raddio iosc scoopi piee pr praaà d eux eu x conc nclu lure re à une tu tume meuur siégeant à l'u l'une des tiquée repr re pris ises es,, fa fait it co l'estomac. Contre ce néoplasme de l'estomac, on pense alors jaces de l'e — intraveineuse à employer le Sé Sélé léni nium um co coll lloï oïda dal. l. La pre premiè mière re inject inj ection ion — de Sélénium est fa faiite le 15 aoû août 1912. Une heure après, B. B..... re ress ssen entt au cr creu euxx épigastrique un unee do doul uleu eurr as asse sezz vive, vite calmée par la mo morrcons nsta tate te un changement, un unee vérit véritab able le tr tran anssphine. Dès le soir même, il co form fo rmat atio ionn de dess doule douleur urss qui so sont nt sens sensib ible leme ment nt at atté ténu nuée ées. s. Une deuxième estt fa fait itee le 17 ao aoûût et une tr troi oisi sièm èmee deu euxx jo injection es jour urss ap après rès.. Pendant cette pr crises gastriques prem emiè ière re se sema main ine, e, les caractères habituels des cr sema main inee disp di spar arai aiss ssen entt ; B... reprend de l'appétit et ne vomit guère. La se troois au auttre ress injections de Sélénium à deux jours suivante, il reçoit tr d'intervalle rattion très nette chacune, à la suite desquelles l'améliora Il so souf uffr free s'accentue ; il redevient gai, confiant, dort paisiblement. enco en core re de temps en temps de l'estomac, a quelques vo vomi miss ssem emen ents ts al aliimais is ce cess do doul uleu eurs rs sont vagues ; le less cr cris ises es gastriques, le synmentaires, ma drome gastralgique de son affection, n'existent pour ainsi pl plus us.. Ap Aprè rèss une semaine de repos, no nouuve vell llee sé séri riee de qu m ais ai s cett ce ttee quat atre re in inje ject ctio ions ns,, fois intramusculaires, dans la fesse (une injection de Sé Sélé léni niuum to touus le less deux jours). Cela nous conduit au 15 septembre.
— 54traite itemen mentt par le Séléniol a été continué, et au mois Depuis, le tra d'octobre « l'état général du mal alad adee ét étai aitt con onsi siddér éraabl blem emen entt amél am éliior oré. é. Avant Ava nt le tra traite itemen mentt il ne pouvait su régim imee la lact cté, é, à peine supppo port rter er qu quee le rég n'obbte tennai aitt des mé méddic icat atiion onss hab abit itue uell llem emen entt mitigé, et n'o prescrites pour une affe affecti ction on gastrique de ce ge genr nree qu qu'u 'unn so soul ulag agem emen entt illusoire. Après le traitement, d'affaibli et am dess fo forc rces es et amai aigr grii qu'i'ill ét étai ait, t, il reprend de du poids, et s's'alimente à pe peuu pr près ès normalement ; le régime ordinaire êmee av avec ec appétit viande et corps de l'hôpital lui convient, il mange mêm sanss dou douleu leurs rs après les repas, sa sans ns au aucu cunn tr trou oubl blee dyspeptique. Il gras san se tr trou ouvve tel elle lem men entt bie ienn qu'il veut qu quit itte terr l'l'hô hôpi pita tall po pour ur re repr pren endr dree son travail, se cr croy oyan antt gu guér éri. i. » Et les auteurs concluent : « Si de temps en temps une dou douleu leurr surSélé léni niool se sera ra le calm calman antt indiqué, dont l'accoutuvien vi ent, t, l'l'in inje ject ctio ionn de Sé man ancce se sem mbl blee mo moin inss fa faccil ilee que pour la morphine et le less au autr tres es hypnoontt l'innocuité, même à haute dose, est pour ai ains nsii di dire re tiques et don on est est en droit droit de consi considé dére rerr absolue, et après ce succès thérapeutique le Sé Sélé léni niol ol co comm mmee un unee nouvelle arme précieuse et peut-être la meilleure jusqu'ici contre les graves affections cancéreuses.» Le Dr De Gr Groo oote te (d cas sui suivant : (dee Ni Nice ce)) a traité le ca Homme Hom me de soi soixan xantete-dix dix ans, malade , depuis un ans et demi, douleur au niveau de l'épigastre, cachexie, téguments couleur ja jaun unee-pa pail ille le ; le mala ma lade de ne se le leva vait it plus, ne s'alim s'alimentai entaitt pl plus us qu quee de bouillon dégraissé, entt un toute autre alimentation étant vomie. A l'examen, on sen unee ma mass ssee dure et douloureuse, occupant toute la fa face antérieure de l'estomac. Quel Qu elqque uess jo jouurs ap aprè rèss que j'j'ai ai vu le mal malade ade,, app appari aritio tionn de vomissements extrêmemen mementt abondants qui l'affaiblissent de faç mar arcc de café extrê façon on inq inquié uié-tant ta nte. e. Le tra trait item emen entt par les injections de Sélén Sélénio ioll es estt al alor orss co comm mmen encé cé ; le malade étant à la campagne, très loin de la vi vill lle, e, je ne puis suivre bout ut de tr troi oiss mo le traitement, qui est fait par son fi fils ls.. Au bo mois is et de demi de l'état est le suivant : disparition des hématémèses, des traitement, vomissements glaireux et al alim imen enta tair ires es,, di disp spari ariti tion on des douleurs ; retour de l'appétit et des forces, le malade se lè lève et s'occupe. Au Aucu cunn au autr tree traitement n'a été adjoint. L'amélioration dess ca de canc ncer erss de l'estomac par le Sé Sélé léni niol ol es estt rapide la plupart du temps, comme l'indique le Dr Rozet : « Femme de ci cinnvict ctim imee d' d'un un vo vomi miss ssem emen entt noirâtre, il y a ans,, ané ans anémié miée, e, vi quante-quatre deux mois, ce qui av avai aitt fa fait it diagnostiquer un néoplasme de l'esto l'estomac. mac. fait it n' n'ét étai aitt plu sentait une «Quand je l'ai vue, le fa pluss dou douteu teux, x, on se massse mam ma ameelo lonnné néee au auxx en envi viro rons ns du pylore sur la grande courbure ; son ét état at s' s'am amééli lior oree et su surt rtou outt ce cett ttee après les seize jours de traitement, masse néoplasique de l'estomac, qui éta tait it as asse sezz diffuse, commence à s'agglomérer». Le Dr Dubos (de Montl'a employé dans deux cas : le le Mont-de-Mar de-Marsan) san)
— 55 — cas désespéré du can cance cerr de l'e l'essto tom mac où le Sél Sélén énio ioll n' n'aa premier était un ca pas pu arrêter le mal, mais a calmé complètement la douleur jusqu'à la fin. Depuis, il l'a employé ch chez ez une fe femm mmee at atte tein inte te de ca canc ncer er de l'e 'essto to-mac. « Elle rendait tout ce qu avis is de plusieurs qu'e 'ell llee pr pren enai aitt et, de l'l'av était inutile et el elle n' n'avait pl médecins, tout traitement plus us qu quee qu quin inze ze vivr vre. e. jours à vi sous us l'i l'inf nflu luen ence ce du Séléniol, les vomi vomissem ssements ents «Depuis deux mois, so sont arrê rêttés et son état s' s'am amél éliior oree de jour en jour. » 6. — CANCERS
DU PYLORE
ET
DE
L'INTESTIN
Observation
du D1 GU GUIIGNOT (d'Avignon) : troubl ubles es dy mala lade de Néoplasme du pylore : tro dysp spep epti tiqu ques es in inte tens nses es,, le ma ne di dou oule leuurs tr très ès violentes, amaigrissement digè gère re ri rien en,, vo vomi miss ssem emen ents ts,, et as asth thén énie ie complète. Le chirurgien qui me l'adresse déclare ce cas cas Sélé lénnio ioll in intr trav avei eine neuuse sess tous to us le less inop in opér érab able le.. Ap Aprè rèss qu quat atre re in inje ject ctio ions ns de Sé trois jours, changement à vue vue : le ma mala lade de dort, ne souffre plus, ses forces reviennent et il déclare vouloir reprendre ses occupations asse as sezz fat fatiigantes. Dans les can cancers de l'intestin, on obt obtie ient nt de dess ré résu sult ltat atss analogues, tels par exemple un cas cité par le Dr Tr Tréémolières de tu tumeur iléocoec co ecal alee ch chez ez un unee vi viei eill llee fe femm mmee de soi oixxan ante te-d -dix ix an anss ; il a noté, outre un relè re lève vem men entt ma mani nife fest stee de l'l'ét état at général, la di dimi minu nuti tion on tr très ès évide évident ntee du vol olum umee de la tum tumeu eur. r. Le D 1' Richard a vu vu un homme traité pour récidive de can cancer de l'intestin après intervention, et chez qui, après sept mois de traitement, la tu s'es estt rel relev evéé au tume meur ur,, qui était volumineuse, a fondu, l'état général s' momen mentan tanéme ément nt point que les injections ont été mo suspendues. 7. —
CANCERS
DU
RECTUM
Observation du Dr GAS GASGUEL (de Paris) (1) : Il y a trois mois, M. P. soix ixan ante te et un ans, habitant la P.....,, ren renti tier er,, so banlieue Ouest, m'est adressé pour cancer du rectum. On a opéré des chez ez ce malad maladee ; depuis, les déf déféca écatio tions ns hémorroïdes, il y a deux ans, ch sont de deve venu nues es tr très ès pénibles, bien que l'l'ex exam amen en ne ré révvèl èlee point de ré rétr trééciss ci ssem emen entt ci cica catr tric icie iel. l. A pei renc ncon ontr tree de dess mas masse sess peine ne int introd roduit uit,, le doigt re inddur in urée éess et dan danss le bas asssin une vas aste te in inddur urat atiion occupe toute la région latérale ga gauc uche he pr pres esqu quee jusqu'à l'ombilic. Le malade, très amaigri, doit se garnir constamment, carr il ex ca exis iste te un éc écooul ulem emen entt co connst stan antt par l'l'an anus us d' d'un un liquide fécaloïde. To Tout utee l'l'ai aine ne gauche est oc occu cupé péee pa parr une massse indu ma induré réee de co coul uleu eurr li liee de vin vin où l'o l'onn ne peut différencier les divers ganglions, mais où deux orifices, l'un dans l'aine, l'autre à la partie lais isssen entt sui uinnte terr un li supérieure de la cuisse, la liqu quid idee d' d'as aspe pect ct louche. (1) Soc.méd. des Hôpitaux, i" ma mars rs 1912 1912..
— 56 — Un tr trai aite teme ment nt général et qu quel elqu ques es in inje ject ctio ions ns d'eau de mer isoamél élio ioré ré la situation, le less se sell lles es ét étai aien entt tonique avaient bien légèrement am écooule leme ment ntss de la mass massee deve de venu nues es un peu moins douloureuses, ma mais is le less éc étaient toujours aussi ab ganglionnaire aboond ndan ants ts,, qua uand nd le 29 janvier Sélénium A co colloïdal élecnous pratiquons une première injection de Sél centimètre tress triq tr ique ue (p (pro rocé cédé dé André Lancien). La pr prem emiè ière re in inje ject ctio ionn de 3 centimè fess ssiè ière re dr droi oite te.. Après cube cu bess es estt pratiquée dans les mus muscles de la région fe raiire rem ment à ce cette injection, il re rest stee un peu de douleur locale, mais contra médi dica cale le de dess hôpitaux bser ervé vé MM MM.. Thir Thirol oloi oixx et Lan Lanci cien en (Société mé qu'ont obs mouvem vement ent de Paris, 16 fév févrie rierr 191 1912), 2), l'in l'injec jectio tionn ne provoque pas de mou fébrile. Le 5 fé févr vrie ierr un unee de deux uxiè ième me injection de 3 centimètres cubes est moins douloureuse. Celles du 12 et du 19 février sont parfaitement dèss ce jour (19 février), c'e c'est st-à -à-d -dir iree tr troi oiss se sema main ines es après la supportées, et dè sont so nt to touus prem pr emiè ière re in inje ject ctio ion, n, les orifices de la masse ganglionnaire obstrués. La masse qui occupait toute la ré régi gion on in ingu guin inal alee ga gauc uche he a beauenco core re un unee large indubassin on sent en coup diminué de volume. Dans le ba aiss se sennsi sibble lem men entt moin inss hau aute te que lo lors rs de l'exa l'exame menn du 29 janration, mai forme. Au vier, un pal alpper pro rofo fonnd per erm met d'en mieux déterminer la fo vuee fonctionnel, le less se sell lles es so sont nt plu point de vu pluss rég réguli ulières ères,, moins pénibles, et c' c'es estt plus par habitude que par nécessité que le ma malade se garnit. de Sélénium A col colloï loïdal dal En résumé, trois injections intramusculaires électrique (procédé André Lancien) ont nettement tari les masses gantumeur ur re rect ctal ale. e. glio gl ionn nnai aire ress qu quii ac acco comp mpag agne nent nt la tume Il fau fautt at atte tenndr dree pour ju l'eff ffet et produit su surr la tume tumeuur ellejugger de l'e même. Frèr èree (du QuesCette observ rvaation est à rapprocher de ce cell llee du Dr Fr conclusion : noy) dont voici la co « L'amélioration et augmente constatée au début se maintient A noter la di diminution nette des écoulements glaireux régulièrement. du cana canall et sanieux, la di diminution des douleurs et l'assouplissement le passage du do permettant doig igtt aup upar araava vannt impo im poss ssib ible le.. » 8. — CANCERS
DE
L'UTÉRUS
Observation du Dr JOUQUAN (de Sai : Saintnt-Naz Nazair aire) e) mess J'ai J' ai uti tili lisé sé av avec ec un ré résu sult ltat at surprenant le Sélé Sélénnio ioll su surr une de me malades atteinte de cancer utérin très avancé. Dès la pr prem emiè ière re in inje ject ctio ion, n, d e u x a n s o n t cett ttee fe femm mmee depuis les mé presque métr tror orra ragi gies es qu quii ép épui uisa saie ient nt ce cessé ; à la de deuuxi xièm èmee injection, aucune perte rouge ; immédiatement alad adee n'a deux de ux au autr tres es injections on ontt ét étéé fa fait ites es de tr troi oiss en trois jours ; la mal prem emiè ière re in inje ject ctio ion, n, et n'a revu aucune plus aucune douleur depuis la pr pert pe rtee ro roug uge. e. de la la tumeur n'est pre L'exploration resq sque ue pl pluus douloureuse et ne provoque aucun écoulement sanguin. DUBARR ARRY Y (d Le Dr DUB près ès an anal alog ogue ue.. (dee Ta Tarb rbes es)) signale un cas à peu pr cancer de l'l'uuté Mala Ma lade de at atte tein inte te de can téru rus, s, gr grooss ssee masse néoplasique, Bord rdea eauux n' n'oont pas voulu opérer et qu quii de depu puis is que les chirurgiens de Bo
— 57 — six mois six mois en envi viro ronn re rest stee st stat atio ionn nnai aire re.. J'ai fa fait it un unee injection intramusculaire dans la région fe fess ssiè ière re to touus le less qu quat atre re jo jour urss ; la malade, qui est toute L'é 'éttat jeune (trente-q -quuatre ans), a fort bien supporté le traitement. les do étai aien entt de deve venu nues es intolérables, général est très bon et le douule leur urs, s, qu quii ét ontt sensi on sensibl blem emen entt di dimi minu nué. é.
PHARMACOLOGIE
&
POSOLOGIE
Le Sél Séléni éniol ol peut être employé sou ouss 2 fo form rmes es dif iffé fére rennte tess : ampoules et capsules. Les ampoules cont co ntiien ennnen entt 3 ce cennti tim mèt ètre ress cu cube bess d' d'un unee sol oluution brune, limpide sou souss fai faible ble ép teint ntee trè rèss épai aiss sseu eur, r, pe peuu di dich chro roïq ïque ue,, de tei suit itee de la la te tene neur ur él élev evée ée en Sél Sélén éniu ium m (2 foncée, par su (2^, ^,20 20 pa parr li litr tre) e).. Cette solu so luti tion on es estt stabl stablee (absence de dép contien entt pas de dépôt) ôt),, iso isoton toniqu ique, e, et ne conti stabilisant mous usse se pe orga or gani niqu quee (a (abs bsen ence ce de mo pers rsis ista tannte pa parr agitation). La dose est variable selon les cas, ma mais is au aucu cunn phénomène d'intoxication ne vi viendra en lim limiter l'emploi au point de vu vuee quantité ou dur urée ée.. On peut al alle lerr de 3 ce cennti tim mèt ètre ress cu cube bess to touus les quatre à cin cinqq jou jours, rs, à 6 et et 9 ce centimètres cubes pa hautes doses ne parr jou our, r, bien que ces ha trai aite teme ment nt beaucoup moins intensif par arai aiss ssen entt pas nécessaires, et un tr étant en général suffisant pour don onne nerr de bo bons ns ré résu sult ltat atss co com mme on l'l'aa vu da dans ns le less ob obse serv rvat atio ions ns.. mill lliiLes capsules sont kératinisées et dosées à un un dixième de mi méta tal. l. gramme de mé On les prescrira à la l a dose de 6 à 8 pa parr jo jour ur,, pou ourr co com mpl plééte terr le seraie aient nt pas traitement par les injections ; au cas où les injections ne ser ordonnera 10 à 12 capsules par jour jusacceptées par le malade, on or méllio iora rati tioon de dess symptômes. qu'à amé
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Préparations
1° FER FERMEN MENTS TS
des
Laboratoires La
Couturieux
ORGANIQUES
ET DÉ DÉR RIV IVÉS ÉS
LEVURI LEVU RINE NE La Le Levu vuri rine ne Ex Exlr lrac acti tive ve présentée en 189 18999 à l'A l'Acad cadémi émiee de méd médeeEXTR EX TRAC ACTI TIVE VE.. ci cine ne es estt un ex extr trai aitt to tota tall de le levu vure re de bi bièr èree ob obte tenu nu à bas basse se tem tem-contient ient exact exactement ement tous les principes qui constipératu pér ature re ; elle cont de la et ferments ellee doi doitt son activit activitéé tuent tue nt le protoplasma levure, toxines auxquels ell (Fernbach, C. R. Acad. des Sciences, 23 août 1909). Elle représente la forme la plus ac acti tive ve et la plus pratique du tr trai aite teme ment nt de dess affect aff ection ionss de la peau, de la dysenterie, de la grippe, des angines, etc. La Levurine Exlractive se présente en pet petits its com compri primés més de 0Br,30 représentant chac ch acun un un unee cu cuil ille leré réee de Le Levu vure re fra fraîc îche he.. Le flacon de 50 comprimés se vend vend en France France 5 francs. obte tenu nuee à ba bass ssee tempéLEVURINE La Levurine brute est une poud poudre re granu granulée lée ob rature par dessiccation d'une levure spécialement cul cultiv tivée ée et portée BRUTE. à son max maximu imum m d'a d'acti ctivit vitéé thérapeutique. C'est la première levur levuree intro introduit duitee en thérapeutique : ell ellee a ét étéé présentée à l'Acale démie de médecine de Paris par le profes professeur seur Lancer Lancereaux, eaux, 25 juillet 1899. Elle est adoptée par les Gouvernements Français (Marine) et Hollandais (pour les colonies). Le flacon de 80 grammes se vend en France 5 francs. LACTIMASE. La Lactimase est un ferment lactique obtenu par culture en symbiose du gros bacille Bulgare et d'une d'une lev levure ure spéciale qui augmente sa vitalité vitalité et son son act activi ivité. té. Elle El le es estt indiquée da dans ns to tout utes es le less af affe fect ctio ions ns intes intestinal tinales, es, autoauto-intox intoxicatio ications, ns, diarrh dia rrhée ée des nour etc. nourrisso rissons, ns, entéri entérites, tes, Le flacon de 40 comprimés se vend vend en Fran France ce 5 francs. francs. OENA OE NASE SE.. UO UOEn Enas asee es estt un unee le levu vure re de vi vinn de dess sséc éché héee à ba bass ssee tem tempér pératu ature re ; son de la de bière et mieux chez les action act ion est analogue à celle levure agit d'aton tonie ie du tub tubee digestif et surto surtout ut de dia diabèt bète. e. malades malad es attei atteints nts de dyspepsies, d'a Le flacon de 40 comprimés (à 0sr,50) se vend en France 5 francs. CIDRAS CID RASE. E. La Cidra Cidrase se est une lev levure ure de cid cidre re desséché desséchéee à bas basse se température au moment mome nt de sa pleine vitalité. D'une D'u ne act action ion analogue à celle des levures précédentes elle est cependant préféable chez les arthritiques, les rhumatisants, etc. Le flacon de 40 comprimés (à 0sr,50)se vend en France 5 francs. CYTULI CYT ULINE. NE. La Cyluline est une solution injec injectable table (ampo (ampoules ules de 3 centimètres conten con tenant ant les acti ac tifs fs de la levu le vure re de biè bière re assoc associé iéss cubes) principes à des nucléi nucléines nes.. S'emploie comme médication ant anti-i i-infe nfecti ctieus eusee dan danss les affecti affections ons relève èvemen mentt manifeste de l'état chroniques chron iques (cance (cancerr surtout). surtout). Elle provoque un rel retour des for forces ces et de l'appétit, une augmentation de poids. général, un retour La boîte de 4 ampoules (de 3 centimètres cubes) se vend en France 10 francs. BROM BR OMIAS IASE. E. La Bromia Bromiase se es estt un mélange de Bro Bromur muree de Pot Potass assium ium (0^,30), de Bromure d'Ammonium (0sr,20) et de Le Levu vuri rine ne Ex Exlr lrac acti tive ve kératinisé inisées es et solu solubles bles seule seulement ment dans l'i l'inte ntesti stin. n. Sou Souss cette (0er,10) en capsules kérat forme la tolérance pour le Bromure Bromure devie devient nt cons considérab idérable. le. Particulièrement indiquée dans l'épi l'épilepsi lepsiee (Dra Hartenb Hartenberg erg et L. Mayet). Le flacon de 40 capsules se vend vend en Fra Franc ncee 5 fr fran ancs cs..
— 59 — I0DURA I0DU RASE SE.. Ul Ulod odur uras asee es estt un mélange d'I d'Iodu odure re de Pot Potass assium ium pur (0er,50 par Levurinee Ext Extrac ractiv tivee (0^,10). Les capsules kératinicapsule) et de Levurin sées ne se dissolvent que dans l'intestin. C'est la préparation d'i d'iodu odure re la plus facile à prendre et la mieux tolérée grâce à lenr obage et à la Levurine qui attén atténue ue dans une une très très grande mesure les phénomènes d'iodisme. L'Iodu L'Io duras rasee a tou toutes tes les applications de l'iodure. Le flacon de 36 capsules se vend en France 5 francs. 2° MÉTAUX
COLLOÏDAUX
ÉLECTRIQUES
LANTOL.. Le Lan LANTOL Lantol tol injectable se ven vendd en boî boîte tess de 4 ampoules de 3 centimètres cube cu bess et en flac flacon onss de 15 ce cent ntim imèt ètre ress cu cube bess (solution concentrée) à 6 francs en France. Les capsules se vendent en flacons de 40 capsules au prix de 6 francs. SÉLÉ SÉ LÉNIO NIOL. L. Le Sélén Sélénio ioll se ve vend nd en bo boît îtes es de 4 ampoules de 3 centimètres cubes à 15 francs francs en Franc France. e. CUPRION. Le Cuprion est du Cuivre colloïdal électrique à employer en injections intraintra-musc musculaire ulairess ou int intrara-vei veineu neuses ses dan danss le tr trai aite teme ment nt du cancer où il provoque des réacti réactions ons de catalyse sur les méta métasta stases ses et augmente la résistance organique. En France la boîte de 4 ampoules de 3 centim centimètr ètres es cub cubes es se vend 10 francs. NICKEL NIC KELION ION.. Nic Nickel kel colloïd colloïdal al électrique à employer en injections intra-musculaires lai res ou intra intra-ve -veine ineuse usess con contre tre les ph phéno énomèn mènes es tox toxiqu iques es pro provovotoxine iness microbiennes, soit par des toxines provenant d'autoqués soit par des tox intoxications. La boît boîtee de 4 ampoules de 3 cen centim timètr ètres es cub cubes es se ven vendd en France 10 francs. ARGOLION. Argent colloïdal électrique à grains ext extrêm rêmeme ement nt fin finss et parfaitement égaux à employer dans les septicémies comme le Lantol. intra-m ra-musc uscula ulaire iress ou intra-veineuses. S'emploie en injections int La boîte de 4 ampoules de 3 cent centimè imètre tress cub cubes es se ven vendd en France France 6 francs. ARSENI ARS ENION. ON. Ars Arseni enicc col colloï loïdal dal électrique d'u d'une ne tox toxici icité té beaucoup moindre que les Arsenicaux Son activi act ivité té est con consid sidéra érable ble.. organiques. ' On l'emploiera dans la scrofule, le lymphatisme, la tuberculose, les ostéo-myélites, etc. Se vend en boîtes de 4 ampoules de 3 centi centimètre mètress cubes au prix de 10 francs en France. IODOLION. IODOLIO N. JJI JJIodo odolio lionn est de l'Iode l'Iode col colloï loïdal dal élect électrique rique injec injectable table,, parfa parfaiteme itement nt indo in dolo lore re et qui a été employé dans le tr trai aite teme ment nt de certai certaine ness affections aiguës, telles que la méningite, et da dans ns la tu tube berc rcul ulos ose. e. Il es estt au auss ssii dest de stin inéé à remplacer les combinaison combinaisonss iodée iodéess organiques dans la plupart de leurs applications. La boîte de 4 ampoules de 3 centim centimètr ètres es cub cubes es se vend vend en Fra France nce 10 francs. francs. HYDRARGYRION. Mercure colloïdal électrique à grains tr très ès fi fins ns et par consétrès ès bi bien en rés résor orbé bé en injections quent que nt par parfai faitem tement ent ind indolo olore, re, tr toutes tes les ind indica icatio tions ns du mercure mercure sous ses autres intra-musculaires, ayant tou autres forme formess et qui y joint l'action anti-toxique de tous les colloïdes. La boîte boîte de 4 ampoules de 3 centimètres cubes en France 6 francs. FER-IO FERION. N. Fe Ferr co coll lloï oïda dall élect électrique rique injec injectable table,, indolore, à employer en injections intra-musc intra -musculair ulaires es ou intra-ve intra-veineu ineuses. ses. Il provoque une augmentation des globules rouges chez les anémiques, chlorotiques, tique s, conv convalesce alescents, nts, etc.... Se vend en France en boîtes de 4 ampoules de 3 centimètres cubes, 6 fran francs cs la boîte.
— 60 — COLLARGOL Argent colloïdal chimique qui a clé la première préparation de COUTURIEUX. ce genre utilisée en thérapeutique. S'emploie en injections intraveineuses ou en pommade, surto surtout ut chez les enfants. enfants. Se ve vend nd en boîtes de 3 ampoules de 5 centimètres cubes, 5 francs en France, et la flacons ns de de 15 centimètres centimètres cube cubess au prix de 5 francs. pommade en flaco 3° PRÉPARATIO ION NS
DIVERSES
HERACLÉINE. Pilules dragé dragéifiées ifiées qui contiennent les extraits des plantes aj'ant l'acti l'a ction on la plus efficace contre l'atonie du système nerveux. Ne contient ni cantharide, ni excitant, ni produits toxiques, c'est une préparation inofïensive. Le flacon de 30 pilules se vend en France 6 francs. HUILE _ Con Contie tient nt 4 milligrammes de bi-iodure de mercure par centimètre BIIODURÉE. BIIODU RÉE. cube (formule Panas). Cette préparation est parfaitement stable et il ne s'y produit jamais de dépôt de sel. sel. Elle est très bien tolétolérée dans le tra traite itemen mentt int intens ensif if de la syphilis. Le flacon de 30 grammes se vend en France 5 francs. PANGLANDINE. Extrait gland remédier ier aux insuf insuffisan fisances ces glandulair ulairee comp complet let pour reméd de fon foncti ctionn onneme ement nt des glandes à sécrétion interne ; médication basée sur ce principe que l'insuffisance d'une glande entraîne en général la fatigue des autres et souvent leur insuffisance. Se présente en comprimés de 0er,20 au prix, en France, de 6 francs la boîte. PILU PI LULE LESS Le Less pilules Spasma so sont nt à ba base se d' d'hé héro roïn ïnee et d' d'ex extr trai aits ts de sola solané nécs cs.. Elles ont but de lutter lut ter avec ave c le maximu max imum m d'effic d'e fficaci acité té contre con tre la SPASMA. pour toux, de quelque nature qu' qu'ell ellee soi soit,t, mais non de traiter une affection Dans tou tous s les cas el elles les pulmonaire quelconque. procurent une amélioration notable. POLYFORMIATE. Le Polyformiale es estt un mélange de for formia miate te de chaux, de de et de fer. L'acide soude, magnésie formique est un tonique musculaire qui dét détrui ruitt les tox toxine iness de la fatigue et ses combinaisonssalines sont des sels très assim assimilabl ilables es et par conséquent des reminéralisaleurs de premier ordre. Se ven vendd en France France au prix de 5 francs le flaconde 100 comprimés. THYROI THY ROIDIN DINE. E. Extrai Extraitt de corps thyroïde desséché dans le vide aya ayant nt gar gardé dé toute tou te l'ac l'activ tivité ité du corps thyroïde frais ; l'excipien l'excipientt empl employé oyé es! le chocolat qui évi évite te l'ac l'actio tionn de l'ai l'airr et permet une conservation indéfinie. Cette rend très facile chez les enfants enfants en particulier. l'emploi présentation La boîte de 24 pastilles dosées à 0«r,05 se vend en France 5 francs. COMPRIMÉS A base de méth méthylarsi ylarsinate nate tripl triplee de quinine, soude et FÉBRIFUGES associ ociéà éà la no noix ix vomique. Possè Possède de une action intense fer, ass OU ANTIPALUDIQUES. contre les phénomènes fébriles et particulièrement la grippe, le paludisme, les névralgies tenaces, etc. Le flaconde 40 comprimés se vend en France au prix de 4 fr. » — — Le tube de de 24 2 fr. 50 — — Le tube de 12 1 f r. 50 SEL Bicarb rboonate double de soude et de magnésie; même pouvoir de saluDOUBLE DOU BLE.. rat ration ion que le bicarbonate de soude mais se décompose lentement en dégageant peu à peu son acide carbonique. Réalis Réa lisee le mei meille lleur ur traite traitemen mentt de l'hyperchlorhydric et re remé médi diee à l'l'at aton onie ie de l'intestin. Le fla flacon conde de 100 grammes de granulé se vend en France 4 fr. 50 La bo boît îtee de 30 ca cach chet etss 4 fr. fr. 50 —>
IMPRIMERIE CRE1 r CORBEÏL (S.-ET-O.).
INTRODUCTION PREPARATION DES COLLOIDES ARTIFICIELS COMPARAISON DES DIVERS COLLOIDES Colloïdes chimiques Colloïdes électriques (procédé Bredig). Colloïdes électriques (procédés A. Lancien) PROPRIETES DES COLLOIDES LANCIEN ACTION THERAPEUTIQUE DES COLLOIDES. RESULTATS CLINIQUES. Infections puerpérales Pneumonies et grippes Fièvres typhoïdes Scarlatines Méningites Péritonites Tuberculose Phlegmons, etc Leucémie. Otite Rhumatismes. Affections diverses PHARMACOLOGIE POSOLOGIE COLLOIDES A ACTION SPECIFIQUE SELENIUM ET SELENIUM A. COLLOIDAL ACTION DU SELENIOL TOXICITE APPLICATIONS THERAPEUTIQUES DU SELENIOL Cancers du sein Cancers cutanés Cancers de la langue Cancers de l'oesophage Cancers de l'estomac Cancers du pylore et de l'intestin Cancers du rectum Cancers de l'utérus. PHARMACOLOGIE ET POSOLOGIE