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Énigme en Périgord
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Énigme en Périgord
Lecture français Facile niveau A1. Suivez l'aventure de quelques jeunes avec des exercices de compréhension.Descripción completa...
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Hadrien
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030405 En
Full description
L IR E E T S ’E N T R A Î N E R
me en Périgord Lidia Parodi M a rin a V allacco
Lidia Parodi
r
M arina V allacco
Enigme en Périgord Illu stra tio n s d e
R o berto Luciani
Sannaire
1V
» v r,
A 'M''
t *
^ Isî5»5v^ °-'f A
; ^
CHAPITRE 1
La Plage d e s S a u le s Pleureurs
CHAPITRE 2
Un rendez-vous pas com m e les autres 15
CHAPITRE 3
S u r le lieu du crime
23
CHAPITRE 4
L’enquête com m en ce
29
CHAPITRE 5
Une femme disparaît
37
CHAPITRE 6
Au com m issariat
44
CHAPITRE 7
Encore d e s indices
53
CHAPITRE 8
Une nouvelle piste
59
CHAPITRE 9
Un fait divers
65
Un coup de fil
71
c h a p itre
10
D ossiers
PROJET
Bienvenue en Périgord ! La vallée des Premiers Hommes
9*
4
50 50
IN T E R N E T
12, 19 , 26 , 34 , 41 , 47 , 56 , 62 , 68 , 74 T E S T
F I N A L
77
Le texte est intégralement enregistré. Ce symbole indique les exercices d’écoute et le numéro de la piste. *Les exercices qui présentent cette mention d elf
préparent aux compétences requises pour l’examen.
Bienvenue en
Périgord !
Périgord : les quatre visages de la Dordogne
Le territoire qu'on appelle habituellement Périgord constitue en réalité les quatre facettes du d épartem ent de la Dordogne, situé dans le Sud-Ouest Périgueux de la France et intégré en grande partie au Bassin aquitain. Troisième départem ent français par son étendue, la Dordogne est mÈ généralem ent divisée en quatre parties : le Périgo rd vert, le pays des > v prairies, le Périgord blanc, avec son calcaire blanc, le Périgord pourpre, appelé ainsi pour ses vignobles, et le Périgord noir, avec ses nombreuses forêts. Ses principales villes sont : Périgueux, chef-lieu du département, Bergerac, Sarlat, Nontron, Terrasson et Ribérac. • Nontron
• B r a n tô m e
» B o u r d e iile s
•
M o n tig n a
• Bergerac
• S a r li
Les témoignages du passé
Le Périgord compte de nombreux sites archéologiques datant de la préhistoire, tels que les grottes de Lascaux et de Rouffignac, qui témoignent que cette partie du territoire français, comme le SudOuest de la France en général, est peuplée depuis très longtemps. Les peintures rupestres des grottes du Périgord sont vieilles de plus de 15 000 ans. Ce sont les plus anciens témoignages connus de l'art
4
préhistorique. On trouve également dans cette région des vestiges de l'A ntiquité, comm e par exem ple l'am p h ith éâtre d'origine romaine situé dans l'enceinte de la ville de Périgueux. En outre, il y a en D ordogne un grand nombre de châteaux qui ont été construits entre le XIe et le XVIIIe siècle. Voilà pourquoi les châteaux que nous visitons aujourd'hui représentent souvent différents courants architecturaux.
Périgueux : la tour Vésone.
Vallée de la Dordogne à Castelnaud.
Édifiées aux XIIIe et XIVe siècles et situées dans le Sud-O uest du départem ent, les bastides rappellent l'affrontement entre le roi d'Angleterre et le comte de Toulouse. Cette région a en effet été le théâtre de conflits sanglants : d'abord la guerre franco-anglaise de Cent ans, ensuite les luttes entre les catholiques et les huguenots. Il reste aujourd'hui des fragm ents de remparts, des donjons et des bastides qui Sarlat témoignent de ces époques. La caractéristique principale d'une bastide est son plan géométrique articulé autour d'une place.
Bastide de Monpazier : la place des Cornières. 6
Périgueux : la cathédrale Saint-Front.
Un paradis pour les vacanciers
Le Périgord est caractérisé par une harmonie unique des paysages. Avec ses panoramas infinis, ses eaux limpides, ses chemins paisibles et sa bonne cuisine, c'est une destination idéale pour ceux qui désirent se détendre et qui recherchent un coin où il fait bon vivre. Chef-lieu du Périgord et haut lieu gastronom ique, Périgueux renferme les vestiges de la ville romaine de Vésone (un temple, la tour de Vésone, une riche villa et un grand am phithéâtre). L'ancienne cathédrale Saint-Etienne est une église à coupoles située dans la ville. La cathédrale Saint-Front, avec sa silhouette caractéristique aux dix-sept clochetons, se trouve dans l'ancien bourg de Puy-Saint-Front, récemment restauré. Dans les rues de Périgueux, on peut également admirer de beaux édifices du Moyen Âge et de la Renaissance. Le musée du Périgord est l'un des plus riches en France en matière d'archéologie et d'histoire. On y trouve des vestiges du site romain de Vésone ainsi que le squelette, découvert près de Montignac, d'un homme de Néanderthal qui date de 70 000 ans environ avant J.-C.
Étape im portante pour les gourm ets, Brantôm e possède de magnifiques jardins donnant sur la rivière Dronne, ainsi qu'une ancienne abbaye dont le clocher, qui remonte au XIe siècle, est coiffé d'un toit pyramidal. Les grottes, situées près du cloître, abritent des sculptures dans le roc. Bourdeilles est une charmante petite ville située sur la Dronne, caractérisée par un étroit pont gothique, un vieux moulin et un château du XIIIe siècle qui domine la rivière. Le Périgord est très réputé pour sa gastronomie, en particulier pour ses vins, ses foies gras d'oie ou de canard, ses cèpes et ses truffes, considérées comme les diamants noirs de la cuisine. Q
Lisez atten tivem en t le dossier et répondez aux questions. 1
Quelles sont les quatre couleurs qui caractérisent le Périgord ? Pourquoi ?
2
Dans le Périgord, com m ent s’appellent les deux grottes les plus connues ?
3
Je suis caractérisée par mon plan géométrique articulé autour de la place du marché. Je suis l a ..................................................
4
Qu’a-t-on découvert près de Montignac ?
5
À quoi sont comparées les truffes ?
ru n o e t L u d o v ic o n t q u in ze an s. Ils s o n t ju m e a u x e t H ®
B
h a b ite n t à P a ris . C o m m e to u s les é té s , ils v o n t à la cam p ag n e, dans le Pé rig o rd , p a s se r tro is se m a in e s de v a c a n c e s chez leurs g ra n d s- p aren ts.
Ils a d o r e n t ç a . Ils se s e n t e n t li b r e s , li b r e s d ’ a l l e r à la
d é c o u v e rte de la n a tu re , de v iv re m ille a v e n tu re s , de p ro fite r de to u t ce q u ’ils n ’o n t p as la p o s s ib ilité de fa ir e d an s une g ra n d e ville co m m e P a ris : s o rtir seuls ju s q u ’à ta rd le soir, jo u e r en plein a ir a v e c leurs am is, o b s e rv e r la n a tu re , s ’a p p ro ch e r des an im a u x et m o n te r sur les a rb re s ! Leu rs g ra n d s- p a ren ts h a b ite n t à B ra n tô m e , dans une m aiso n e n to u ré e d ’un beau ja rd in . T o u t a u to u r, il y a des prés, des bois,
9
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en PelHig a rd
un to r r e n t et un p e tit lac où B ru n o e t L u d o vic v o n t s o u v e n t se baigner. Ce q u’ils a im e n t en p a rtic u lie r, c ’est une s o rte de p e tite plage a v e c de b e a u x s a u le s p le u r e u r s q u i o f f r e n t u n e a g r é a b le fra îc h e u r : c ’est le p o in t de re n c o n tr e p ré fé ré a v e c leurs cop ains. A u m ilie u des a rb re s , ils o n t c o n s t r u it a v e c des b ra n c h e s une p e tite cab an e q u ’ils c o n s id è re n t co m m e leu r refu g e, le lieu où ils rê v e n t et où ils o rg a n is e n t leurs « ex p éd itio n s » ! Le m a tin , B ru n o et Lu d o vic se ré v e ille n t h a b itu e lle m e n t v e rs n e u f h e u r e s . Ils p r e n n e n t le u r p e t i t - d é j e u n e r e t s o r t e n t im m é d ia te m e n t : pas q u e s tio n de fa ire la g ra sse m a tin é e ni de p erd re du tem p s ! C e tte sem ain e, ils v o n t c o n s tru ire une n o u velle cab an e, un peu plus à l’ab ri du soleil. L ’été, il fa it trè s chaud dans c e tte région ! P re s q u e to u s les jo u rs , ils o n t re n d e z - v o u s a v e c le u rs a m is p o u r p a s s e r la m a tin é e e t l’a p rè s- m id i e n s e m b le . Ils r e n t r e n t chez eux v e rs un e h e u re p o u r d é je u n e r e t r e p a r t e n t a u s s itô t. P a rfo is, ils s o rte n t m êm e ap rès le dîner, ju s q u ’à onze heu res du soir ! Q u e lle lib e r t é !! Ils s o n t t o u jo u r s t r i s t e s q u a n d a r r i v e le m o m e n t de re n tre r à P a ris, m ais ils ne v e u le n t pas y p e n se r p our l’in s ta n t : ils so n t e n co re au d éb ut de leu r sé jo u r !
!
10
A
C
T
V
T
É
S
C o m p ré h e n s io n é crite et orale d elf
Q
Écoutez l’enregistrem ent du chapitre et dites si les affirm ation s suivantes sont vraies (V) ou fausses (F).
1
V
F
Bruno et Ludovic sont frères.
□
□
2
Leurs grands-parents habitent à Paris.
□
□
3
Ils passent leurs vacances d’été chez leurs grands-parents.
□
□
4
À Paris, ils ont la possibilité de faire des activités □
□
un petit jardin.
□
□
6
Le matin, ils se lèvent habituellement à huit heures.
□
□
7
Ils ne prennent jam ais de petit-déjeuner.
□
□
8
Ils n’ont pas le droit de sortir le soir.
□
□
amusantes. 5
Q
Leurs parents habitent dans un appartem ent avec
Lisez le chapitre et répondez aux questions suivantes. 1
Quel âge ont Bruno et Ludovic ?
2
Combien de temps passent-ils chez leurs grands-parents ?
3
Qu’est-ce qu’ils aim ent faire quand ils sont en vacances ?
4
Qu’est-ce qu’il y a près de la maison de leurs grands-parents ?
5
Qu’est-ce qu’ils aim ent en particulier ?
6
Qu’est-ce qu’ils ont construit ?
7
Avec qui ont-ils rendez-vous presque tous les jours ?
8
À quelle heure rentrent-ils pour déjeuner ?
12
A
C
T
T
É
S
E n ric h iss e z votre v o c a b u la ire Q
0
Associez chaque expression à sa signification. 1
E J En plein air.
2
E ] Pas question de perdre du temps.
3
E ] Faire la grasse matinée.
4
Q
a
Ils veulent profiter au maximum de leur temps,
b
Se lever très tard.
c
Leurs vacances viennent de commencer,
d
Dehors.
Ils sont encore au début de leur séjour.
À l’aide de l’encadré, écrivez les mots qui correspondent aux dessins. une m aison
une cabane
un saule pleureur
des jum eaux
une plage
une branche
13
A
C
V
T
T
É
S
G ra m m a ire Les adjectifs posse ssifs Masc. / Fém. pluriel
M asculin singulier
Fém inin singulier
mon
ma
mes
ton
ta
tes
son
sa
ses
notre
notre
nos
votre
votre
vos
leur
leur
leurs
A tten tion ! Au féminin singulier, on utilise mon, ton, son au lieu de ma, ta, sa devant une voyelle ou un h muet. Mon activité préférée est la lecture. C'est
Q
son habitation.
Complétez les phrases suivantes avec les adjectifs possessifs qui conviennent. 1
Tu connais Aline ? .... .................mère est professeur de maths.
2
Je te m o n tre ...................... nouveau jean.
3
Je vous p ré s e n te....... ..............amie Valérie.
4
Nous ne pouvons pas s o rtir,......................parents ne veulent pas.
5
M onsieu r,.................. ,,,, passeport, s’il vous plaît !
6
Ils seront punis à cause d e ......................com portement.
7
Tu peux me p rê te r..................... lunettes de soleil, s’il te plaît ?
8
Les Dupont ? ............. ........enfants sont terribles.
P rod u ctio n écrite d elf
Q
Vous passez vos vacances à la campagne comme Bruno et Ludovic. Écrivez une lettre à des amis pour raconter vos journées.
14
u jo u rd ’hui, on est le 12 ju ille t. Il est n e u f heu res et d e m ie du m a t in . B r u n o e t L u d o v ic s o n t en t r a in d ’a lle r au ren d ez- vo u s à la p e tite plage des sau le s p le u re u rs, où ils o n t re n d e z- vo u s a v e c leu rs am is. Po u r y a rriv e r, ils p a rc o u re n t un p e tit ch em in bordé d ’un cô té de haies 1 trè s épaisses, et de l’a u tre d ’arb re s et d ’a rb u ste s épineux. Ils son t en tra in de b a v a rd e r lorsque, to u t à coup, ils e n te n d e n t des voix. Ils se re to u rn e n t m ais ils ne v o ie n t p erso n n e le long du chem in. Ils a r rê te n t de p a rle r et é c o u te n t : ils e n te n d e n t en co re des voix. Ils re g a rd e n t à t ra v e rs les haies, m ais ils ne d is tin g u e n t
1. La h aie : clôture d ’a r b r e s ou d ’a r b u s te s qui lim ite un ch am p .
15
p a s g r a n d - c h o s e . Ils se d é p la c e n t un p e u , e t ils t r o u v e n t fin a le m e n t une p a rtie de la haie qui est un peu m oins ép aisse. Ils a p e r ç o iv e n t t r o is h o m m e s . M a is q u ’e s t- c e q u ’ils f o n t ? L ’un d ’e n tre eux est en tra in de t r a v a ille r a v e c une pelle. Ils le v o ie n t bien : il d oit a v o ir une c in q u a n ta in e d ’an n ées, il a les c h eveu x gris
16
et p o rte des lu n e tte s. Il y a aussi un a u tre h o m m e, grand , fo rt, a v e c d e s c h e v e u x n o ir s , u n e b a r b e e t d e s m o u s t a c h e s . Le tro is iè m e e st de dos : B ru n o et L u d o vic ne p e u v e n t pas bien le vo ir. Il est plus p e tit que les deux a u tre s et a les c h eveu x gris. Sa vo ix est trè s rauque.
17
— Tu as vu, Bru n o ? — O u i, m a is ta is - to i, s in o n on v a n o u s v o ir ! E s s a y o n s de co m p re n d re ce qu'ils so n t en tra in de faire... Les t r o is h o m m e s o n t c re u s é 1 un tro u . Ils j e t t e n t q u e lq u e chose à l'in té rie u r, et le re b o u c h e n t. Les deux frè re s n ’a r r iv e n t pas à vo ir, m ais ils e n te n d e n t q uelques b ribes 2 de c o n v e rs a tio n : — V o ilà, c 'e st fa it ! — On p eu t y alle r m a in te n a n t... — Q u and est-ce q u ’on se v o it ? — Ce soir. — D ’acco rd , ap rès onze heu res ? — Oui, m êm e e n d ro it que d ’h ab itu d e. — À ce soir. Bru n o et Lu d o vic se re g a rd e n t : — M ais q u ’est-ce qui se passe ? ? — Je n ’en sais rien. — Q u ’est-ce q u ’ils o n t pu e n te r re r ? U n tré s o r, des arm es, un c a d a v re ? — On v a v o ir ?* — Pas to u t de suite. On v a ra c o n te r aux a u tre s et on re v ie n t plus tard . — Ok, c ’est m ieux... Ils s ’en v o n t à to u te v ite s se , et ils a r riv e n t à la p e tite plage en m o ins de dix m in u tes. Ils v e u le n t v ite to u t ra c o n te r à leurs am is !
1. C reuser : faire un tro u d an s la te rre . 2. D es bribes : d es p a rtie s de co n v e rsatio n .
18
A
C
T
T
C o m p réh e n sio n écrite et orale d
ELF Q
Écoutez l’enregistrem ent du chapitre, puis cochez la bonne réponse. 1
2
3
Le chemin que parcourent Bruno et Ludovic a
Q est bordé de haies des deux côtés.
b
Q est bordé de haies d’un côté,
c
Q n’est pas bordé de haies.
Pendant qu’ils marchent, a Q
ils entendent des bruits étranges,
b Q
ils entendent des voix,
c Q
ils n’entendent rien.
À travers les haies, ils voient a Q
4
5
6
b Q
quatre hommes,
c Q
cinq hommes.
Ils voient très bien tous les hommes sauf a
Q un.
b
Q deux,
c
Q trois.
Les hommes sont en train de a Q
planter un chou,
b Q
creuser un trou,
c Q
cueillir des fruits.
Ils se donnent rendez-vous a Q
7
trois hommes.
à l’heure du dîner,
b Q
après dix heures,
c
après onze heures.
Après avoir vu les hommes, les deux garçons a Q
rentrent chez eux.
b Q
retrouvent leurs amis,
c Q
se m ettent à crier.
A
d elf
Q
C
T
T
Dites si les affirm ations suivantes sont vraies (V) ou fausses (F). Justifiez votre réponse. V 1
2
F
L’action se passe le matin.
Pour observer les hommes, les deux garçons sautent par-dessus la haie.
Q
3
Tous les hommes portent des lunettes.
□
□
4
L’un des hommes a les cheveux noirs.
□
□
5
Les hommes cachent quelque chose.
□
□
6
Les deux garçons n’ont pas envie de tout raconter.
□
□
Observez ces dessins et dites lequel peut correspondre à l’un des hommes cités dans le chapitre.
A V J|
i □ □
20
t an
A
C
T
V
I
T
E n ric h iss e z votre v o c a b u la ire Q
Retrouvez dans le chapitre les m ots qui correspondent aux images suivantes.
ni
.
iH
i Bi
G ra m m a ire Le présent continu Formation du présent continu
être + en tra in de + infinitif Je suis en train de lire. Nous sommes en train d éfaire nos devoirs. Tues en train de m anger. Vous êtes en train de parler. Il est en train de regarder la télé. Ils sont en train de dormir. sujet +
21
A
Q
C
T
T
Transform ez les phrases au présent continu. 1
II téléphone à ses amis.
2
Elle range sa chambre.
3
Ils surfent sur Internet.
4
Nous préparons un gâteau.
5
Vous chantez une belle chanson.
jL
£
'c^Ce
/) lyQ
r
<^Æzn, g
...................................................................................... 6
Je bois une tasse de thé.
7
Tu dis des bêtises !
8
Ils font des exercices de maths.
P ro d u ctio n orale d elf
Q
Présentez un(e) cam arade de classe ou un(e) am i(e) à l’aide du vocabulaire proposé. • Grand(e), petit(e), de taille moyenne. • Gros(se), mince, maigre. • Cheveux noirs, châtains, blonds, roux, longs, courts, mi-longs, frisés, raides. • Yeux noirs, bleus, verts.
22
^
C H A P IT R E
%
wÊ
q
3
h, v o u s ê te s là !! On se d e m a n d a it s ’il f a lla it v o u s a tte n d re en co re ou non...
— Oui,
nous som m es en re ta rd m ais nous avo n s
quelque chose d ’in té re s s a n t à vo u s ra c o n te r ! — C ’e s t v r a i ou vo u s a v e z in v e n té q u elq u e ch o se p o u r v o u s fa ire p a rd o n n e r ? — C ’est v ra i, c ’est v ra i, venez... Je a n et Pa u l so n t les m e ille u rs am is de B ru n o et Lu d o vic. Ils on t quinze ans eux aussi. Ils h a b ite n t à T ou lou se p e n d a n t to u te l’a n n é e e t s o n t d a n s la m ê m e c la s s e . Ils se c o n n a is s e n t to u s depuis l’en fa n ce . Les ju m e a u x ra c o n te n t alors ce q u ’ils on t vu et leurs am is les é c o u te n t a v e c a tte n tio n . — Q u ’est-ce que vo u s d ites d ’a lle r v o ir le « lieu du c rim e » ? dit B runo. — B ie n sûr, répond Paul. Je suis trè s curieux...
23
— E t si c ’est d an g ere u x ? fa it re m a rq u e r Je a n . — S i on y v a t o u s e n s e m b le , je p e n s e q u ’il n ’y a p a s de p rob lèm e, p rop ose Lu do vic. Nos q u a tre am is se m e tte n t en chem in. Ils a r riv e n t à l’e n d ro it où B ru n o e t L u d o v ic o n t v u les t ro is h o m m e s . Ils t r o u v e n t un p assage dans la haie et fin is s e n t dans un ch am p à m o itié cu ltivé . À un c e rta in en d ro it, la te rre est re to u rn é e : un tro u assez grand a été creusé. Ils c h e rc h e n t alo rs des indices. — R eg ard e, Lu do vic, il y a du sang ! d it Pau l e ffra y é . — C ’est v ra i, c ’est du sang ! — C e tte a ffa ire c o m m en ce à d e v e n ir d an g ereuse..., d it Bru n o, de plus en plus p aniqué. — Reg ard ez... ! crie Je a n . — Q u ’est-ce que c ’e st ? d e m a n d e Bru n o. — U n e b o îte d ’a llu m e tte s . Il y a le n o m d ’un m a g a s in é c r it d essus : B o u c h e rie M a rc D uval, 16, rue de la Po ste, B o u rd e illes. — C ’e st le seul indice que nous avo n s, d it Lu do vic. — Je n ’au ra is pas dû y to u ch er, j ’y ai laissé m es e m p re in te s h d it Je a n . — Ne t ’in q u iète pas, p eu t- être que ça n ’a rien à v o ir a v e c les p e rso n n e s qui o n t cre u sé le tro u . C e tte b o îte d ’a llu m e tte s p eu t a p p a r te n ir à n ’im p o rte qui 2... e t puis, p ou r l’in s ta n t, on ne sa it m êm e pas ce qui s ’est passé, répo nd Bru n o. — G ard o n s- la quand m êm e, d it Paul. M ais il se fa it ta rd : il est d éjà m idi e t dem i, c ’e st l’h eu re de re n tre r. — Écou tez, n ’en p arlo n s à p erson n e, d it Lu do vic. Ils o n t p eu r m ais so n t tou s d ’acco rd p our jo u e r les d é te c tiv e s !
1. Une em p rein te : u ne trac e. 2. N’im p orte qui : u ne p e rs o n n e quelco n qu e.
24
A
C
T
V
T
É
S
C o m p réh e n sio n écrite et orale d elf
Q
Écoutez l’enregistrem ent du chapitre et répondez aux questions. 1
Comm ent s’appellent les amis de Bruno et Ludovic ? Ils s’appellent .........................................................................................
2
Quel âge ont-ils ? Ils ont .....................................................................................................
3
Où habitent-ils ? Ils habitent ............................................................................................
4
Qu’est-ce qu’ils décident de faire ? Ils décident d’aller .................................................................................
5
Est-ce qu’ils trouvent des indices ? Oui, ils trouvent des ..............................................................................
6
Qu’est-ce qu’ils trouvent encore ? Ils trouvent a u s s i...................................................................................
7
Quelle heure est-il quand ils décident de rentrer ? Il e s t ........................................................................................................
8
Est-ce qu’ils décident de tout raconter ? Ils décident d e .......................................................................................
Q
Lisez le chapitre et cochez les phrases correctes. 1
2
3
Bruno et Ludovic arrivent en retard au rendez-vous avec leurs amis a Q
parce qu’ils se sont arrêtés pour jouer.
b Q
parce qu’ils ont vu quelque chose de mystérieux.
Leurs amis a Q
sont très intéressés par ce qu’ils racontent,
b Q
n’ont aucune envie de les écouter.
Ils décident de a Q
rentrer im m édiatem ent chez eux et de faire des recherches le lendemain.
b Q
26
faire des recherches pour résoudre cette énigme.
4
Pour aller dans le champ, a [E l Us font un long détour, b
5
[E
ils passent à travers une haie.
Après avoir trouvé des traces intéressantes, a
|EE üs vont au commissariat,
b [E
üs com m encent à avoir peur.
E n ric h iss e z votre v o c a b u la ire Q
Retrouvez dans le texte les mots et les expressions correspondant aux mots et expressions suivants. 1
terrain : .................................................................................................
2
il était nécessaire (de) : ........................................................................
3
paniqué : ....................................... ......................................................
4
est arrivé : ............................................................................................
Y
G ra m m a ire Les prono m s person nels co m p lé m e n ts d ’objet direct Singulier
Pluriel
me*
nous
te*
vous
Ie*/la*
les
* Ces pronoms s’élident devant une voyelle ou un h muet.
Je m 'am use !
Je
te déteste !
Je ne
le supporte plus !
Les pronoms personnels compléments d’objet direct se placent toujours devant le verbe, sauf à l’im pératif affirm atif. Dans ce cas-là, on utilise la forme moi à la place de me.
le rencontre.
Elle l'accom pagne.
Je vous attends.
Il
Attends-m oi !
Écoute-les !
Téléphone-nous !
27
Ç
Q
T
T
Complétez avec les pronoms personnels com plém ents d’objet direct qui conviennent. 1
Valérie est très sympa, tout le m o n d e......... .. adore.
2
Les parents de Luc sont trop sévères, il s ..... .....grondent toujours.
3
Vous êtes très aimables ! J e ...........adore !
4
Aujourd’hui, j ’ai de la chance, mes parents ...........laissent aller au concert avec mes amis.
0
5
Ton nouveau pull ? Oui, j e ...........aime beaucoup.
6
S ’il s ...........accompagnent, nous évitons de prendre notre voiture.
Transform ez ces phrases à l’im p ératif affirm atif. 1
Ne le lisez pas !
2
Ne m ’attendez pas !
3
Ne les écoutez pas !
4
Ne la laisse pas rentrer tard !
5
Ne nous suivez pas !
P rod u ctio n écrite D ELF 8
À la fin de cette journée, Bruno écrit quelques phrases dans son journal intim e. Il raconte brièvem ent ce qui s’est passé et com m ent il se sent. Imaginez ce qu’il écrit.
28
n
H
I
e n d a n t le d éjeu n er, B ru n o et Lu d o vic é ch a n g e n t des re g a rd s co m plices. Ils so n t im p a tie n ts de so rtir. V e rs d eux h e u re s et d e m ie , ils se p r é c ip ite n t à la p e tite p la g e . Ils e s s a ie n t d ’é la b o r e r un p la n , de d é c id e r
c o m m e n t p ro cé d e r, m a is ce n ’e s t p as fa c ile . Les tro is h o m m es on t rend ez-vous ce soir, m ais on ne s a it pas où. Ils ne p e u v e n t d o n c p a s s ’y r e n d r e . E n p lu s , le re n d e z - v o u s e s t a p r è s o n ze heures. C ’est tro p ta rd p our eux, ils n ’o n t pas le d ro it de s o rtir à c e tte heure-là ! La seule p iste à su ivre est celle de la b oîte d ’a llu m e tte s : ça n ’a p eut-être rien à v o ir a v e c c e tte h isto ire, m ais c ’est le seul indice q u’ils o n t !
29
Je a n et Paul c o n n a is s e n t bien les en viro n s. — D ite s , v o u s s a v e z où se t r o u v e B o u r d e ille s ? d e m a n d e Lu do vic. — Bien sûr ! C’est un v illag e pas tro p loin d ’ici, ré po nd Je a n . — Je pense q u ’on p e u t y aller, p rop ose Lu do vic. On c h e rch e la b o u ch erie et on v o it si le p ro p rié ta ire est l’un des hom m es. — Moi, je suis to u t à fa it d ’acco rd , d it Paul. — M ais co m m e n t on y v a ? d em a n d e B ru n o . V ous savez s ’il y a des cars ? — Oui, il y a un c a r qui p a rt de la p lace de la M a irie , m a is il fa u t se re n se ig n e r sur les h o raires, répo nd Je a n . — Il est tro is heu res et q u art. Si on v a m a in te n a n t à la place de la M a ir ie , on a p e u t - ê t r e le t e m p s d ’y a lle r a u jo u r d ’h u i, prop ose Bru n o. — Il fa u t a c h e te r les tic k e ts . Il y un p o in t de v e n te p rès de l ’a r r ê t du c a r , m a is e s t- c e q ue n o u s a v o n s a s s e z d ’a r g e n t ? d em a n d e Paul. Les q u a tre am is a r riv e n t su r la place de la M a irie et re g a rd e n t le t a b le a u des h b r a ir e s . Ils en o n t de la c h a n c e ! Le c a r p o u r B o u r d e ille s v a b ie n t ô t p a s s e r . Ils m e t t e n t en c o m m u n t o u t l’a r g e n t q u ’ils o n t e t r é u s s is s e n t à s ’a c h e t e r des t ic k e t s p o u r l’a lle r et le re to u r. — On y v a sans p ré v e n ir p erso n n e ? d em a n d e Paul. — J e p e n s e q u ’il v a u t m ie u x ne rie n d ire . E n p lu s, si n o u s d e m a n d o n s la p e rm is sio n à nos g ra n d s- p a re n ts, ils ris q u e n t de nous dire non, répond Bru n o. — Je suis d ’acco rd , a jo u te Lu do vic. — M oi aussi, d it Je a n .
L’enquête commence — Ok, co m m e vous voulez, dit Paul. M ais dans ce cas, il fa u t ê tre de re to u r a v a n t dix-neuf heu res. T o u t le m o n d e e s t d ’a c c o r d . L ’a v e n t u r e c o m m e n c e . Ils p re n n e n t le c a r e t a r r iv e n t à B o u rd e ille s au b o u t d ’une dem iheure. Ils d e sc e n d e n t à l’a r rê t qui se tro u v e sur la p lace du villag e et p a rte n t à la re c h e rc h e de la b o uch erie. Ils d e s c e n d e n t ju s q u ’au b o u t de la ru e s itu é e en fa c e de la m airie, m ais ils ne tro u v e n t au cu n e b ouch erie. Ils re v ie n n e n t sur la p lace et v o n t de l’a u tre cô té du villa g e . U n peu plus ta rd , ils a p e rç o iv e n t d e v a n t eux la b o u ch erie q u ’ils ch e rc h e n t. — Q u ’est-ce q u ’on fa it m a in te n a n t ? d em a n d e Je a n . — Je pense q u’il v a u t m ieux e n tre r. Si on regard e de l’ex térieu r, on risq ue de se fa ire re m a rq u e r, d it Paul. — On a en co re un peu d ’arg en t. On p e u t e n tr e r sous p ré te x te de s ’a c h e te r un peu de sau cisso n 1 ou de jam b o n , p rop ose Bru n o . — Oui, bonne idée ! On s ’a c h è te q u a tre tra n c h e s de ja m b o n , dit Lu do vic. Allez, cou rag e, on y v a ! Nos am is e n tre n t dans le m ag asin. D e rriè re le c o m p t o ir 2, il y a une d am e d ’une c in q u a n ta in e d ’an n ée s qui leu r d em a n d e ce q u ’ils d é s ir e n t . B r u n o d e m a n d e q u a t r e t r a n c h e s de ja m b o n p u is re g a rd e ses cop ains. M in ce ! A u cu n e tra c e des h o m m e s qui o n t creusé le tro u !! Ce n ’est pas la bonne piste. Ils so n t déçus et on t presque perd u to u t espoir. So u d ain , une p o rte s ’o u vre au fon d du m agasin.
1. Le sa u cisso n : 2. Le com p toir : longue ta b le h a u te e t é tro ite su r laquelle le m a rc h a n d p ré s e n te les m a rc h a n d ise s.
31
ï.’ périjlftl — A n n e t t e , m o i j 'y v a is . Je r e v ie n s d a n s u n e d e m i- h e u re . A p rès, tu peux re n tre r si tu veux. — D ’acco rd , Pie rre . À to u t à l’heure. — À to u t à l’heure. Les q u a tre a d o le sce n ts p a ie n t la b o u ch ère et s o rte n t en su ite du m ag asin. — C ’est lui, c ’e st lui !! d it B ru n o . C ’é ta it celui qui é ta it de dos, m a is c ’e s t lui, j ’en su is sû r. M ê m e t a ille , m ê m e s c h e v e u x , e t s u rto u t c e tte vo ix ! Il a e x a c te m e n t la m êm e voix ! Ce n ’est pas une coïn cid ence, c ’est im po ssib le ! — C ’e s t v r a i ! S a v o ix e st sp é c ia le . V o u s a v e z e n te n d u ? d it Lu do vic. C ’est donc lui qui a perd u la b oîte d ’a llu m e tte s. R e s te à s a v o ir ce q u ’ils o n t cach é dans le tro u. — Moi, je pense q u ’on d oit to u t ra c o n te r à la police, d it Je a n . — C ’est en co re tro p tô t. Il v a u t m ieux c o n tin u e r c e tte en q u ê te et e s s a y e r de d é c o u v rir q uelque chose d ’a u tre ! Ils re p re n n e n t le c a r p our B ra n tô m e . Ils so n t c o n te n ts d ’a v o ir tro u v é la b o u ch e rie e t s u rto u t son p ro p rié ta ire . Ce n ’e st peutê tre pas g rand-chose, m ais c ’est q uand m ê m e un p o in t de d é p a rt in té re s s a n t !
I 32
& % J
< &
A
C
T
T
C o m p réh e n sio n écrite et orale D ELF Q
Écoutez l’enregistrem ent du chapitre et rem ettez les phrases en ordre. a b c d e f g h i j k
e
□ □ □ □ □ □ □ □ □ □ □
Ils prennent un car pour Bourdeilles. Ils entrent dans la boucherie. Ils reprennent le car pour rentrer chez eux. Après le déjeuner, ils vont à la petite plage. Après plusieurs tours, ils trouvent la boucherie qu’ils cherchent. Une dame les sert. Ils décident com m ent procéder dans l’enquête. Ils vont place de la Mairie. Un homme arrive et parle avec la dame. Ils arrivent à Bourdeilles une demi-heure plus tard. Ils reconnaissent tout de suite l’homme mystérieux.
Relisez le chapitre et dites si les affirm ations suivantes sont vraies (V) ou fausses (F). Corrigez ensuite les phrases fausses. V 1
Le soir, ils peuvent sortir même après onze heures.
2
Ils décident d’exclure la piste de la boîte d’allumettes.
3
Le village de Bourdeilles se trouve près de Brantôm e.
4
Le car pour Bourdeilles part de la place de la Mairie.
5
Ils n’ont pas assez d’argent pour s’acheter les tickets.
6 •Pour aller à Bourdeilles, Bruno et Ludovic demandent la permission à leurs grands-parents.
34
F
7
Ils trouvent tout de suite la boucherie qu’ils cherchent.
8
Ils achètent quatre tranches de jambon.
9
Le monsieur de la boucherie ressemble beaucoup à l’homme mystérieux.
10
Ils décident de prévenir la police.
En ric h iss e z votre v o c a b u la ire Q
Retrouvez les mots qui correspondent aux dessins. 1
Q
Un trou
5
□
La mairie
2
Q
Un arrêt de bus
6
□
Un saucisson
3
Q
Un jambon
7
Q
Une boîte d’allum ettes
4
[]
Le visage
8
Q Une boucherie
~n—
A
o>
A
C
T
T
G ra m m a ire Les pronom s y et Les pronoms y et
en
en rem placent un complément de lieu ou un nom de à ou de. Ils se placent toujours devant
chose introduit par la préposition
le verbe, sauf à l’im pératif affirm atif. Je va is au stade.
J ’y vais.
Je pense à mes vacances.
J ’y pense.
Penses-y !
Je parle de mes voyages.
J ’en parle.
Parles-en !
Q
Vas -y !
Récrivez les phrases suivantes en rem plaçant les mots soulignés p a r y ou en. 1
le vais à la salle de gvm .
2
le tiens à ton am itié.
3
Nous participons au tournoi de tennis.
4
Ils croient à ces histoires.
5
Elles vont au ciném a.
6
Nous discutons du con trat.
7
Elles parlent de leurs problèmes.
P rod uction orale d elf
Q
Vous entrez dans une boulangerie, vous voulez acheter une baguette, deux pains au chocolat et deux tartelettes aux fraises. Rédigez le dialogue et jouez cette scène avec un(e) cam arade.
36
près leu r s o rtie en c a r à B o u rd eilles, nos ap p re n tis
â
d é te c tiv e s fo n t des h y p o th è s e s , m a is ne t r o u v e n t m a lh e u re u s e m e n t a u c u n e s o lu tio n à le u r é n ig m e.
S ’agit-il de v o le u rs ? V eu len t-ils c a c h e r un b utin 1 ?
M ais alo rs p o u rq u o i y a-t-il des tra c e s de sang ? Ce so n t peu
être des assa ssin s qui o n t co m m is un m e u rtre 2 ? Nos am is so
te rro ris é s à l’idée des tra c e s de sang q u ’ils o n t vues. D ifficile de s ’e n d o rm ir a v e c un tel s e c re t !
Le le n d e m a in m a tin , B ru n o e t L u d o v ic p re n n e n t le u r p e titd éjeuner, ta n d is que leu r g rand -p ère lit le jo u rn a l. — T ’as v u , M a r ie - C la u d e ? U n e je u n e f e m m e a d is p a r u à B o u rd eilles hier. La police est en tra in de la ch ercher...
1. Le butin : ce que l’on a volé. 2. Le m eu rtre : action de tu e r v o lo n ta ire m e n t.
37
— M o n D ie u , P h i l i p p e . O n n ’e n t e n d q u e de m a u v a i s e s nouvelles... — C ’est v ra i ! — E t si c ’é ta it un m a n ia q u e, un tu e u r en série 1 ? — E sp é ro n s que non... B ru n o et Lu d o vic se re g a rd e n t. Ils se c o m p re n n e n t sans rien
1. Le tu eu r en série : p erso n n e qui tu e plusieurs fois de la m ê m e m anière.
38
dire : ils s a v e n t d éjà ce que ch a c u n d e n tre eux e st en tra in de penser. — V o u s avez e n ten d u , les e n fa n ts ? — Oui, oui, m am ie... — F a it e s a t t e n t io n q u a n d v o u s s o rte z , Ne p a r le z p a s au x inconnus, re stez to u jo u rs ensem ble...
39
— Oui, m am ie , ne t ’in q u iète pas... En ré a lité , les ju m e a u x ne so n t pas du to u t tra n q u ille s. T o u t de s u ite ap rè s le p e tit- d é je u n e r, ils s o rte n t et re jo ig n e n t leu rs am is à la p e tite plage. — V o u s avez e n ten d u ce qui s ’est passé h ier à B o u rd e ille s ? — Non, quoi ? — U n e je u n e fe m m e a d isparu. La police m ène une enq uête... — C ’est te rrib le , et si c ’était... — C ’est e x a c te m e n t ce à quoi nous avo n s pensé... — Le tro u , le sang... c ’est possible... — D ans ce cas-là, il fa u t a lle r à la police... — M oi, je suis d ’accord... — V ous savez où se tro u v e le c o m m is s a ria t ? — Oui, c ’est d e rriè re la m a irie . Q u ’est-ce q u ’on f a it ? On en p arle a v e c q u elq u ’un ? — N o n , s in o n n o s p a r e n t s e t n o s g r a n d s - p a r e n t s v o n t s ’in q u iéter... — A lo rs , on se v o it c e t a p rè s - m id i d ir e c t e m e n t d e v a n t la m a irie et on v a à la police. — E n te n d u . A lors, à tro is heu res, d e v a n t la m airie. — N ’oublions pas la b oîte d ’a llu m e tte s ! — D ’acco rd .
40
A
C
T
V
T
É
S
C o m p réh e n sio n écrite et orale - )£ L.F^ } Écoutez l’enregistrem ent du chapitre et cochez la bonne réponse. 1
Le grand-père de Bruno et Ludovic est en train de a b c
2
EU regarder la télé. EE écouter la radio, EE lire le journal.
Qui a disparu ? a
EE Une vieille dame,
b | | Un jeune garçon, c 3
Les deux frères a b c
4
EE Une jeune femme. EE ne sont pas du tout intéressés par la nouvelle, EE sont très intéressés par la nouvelle, EE sont tout à fait tranquilles. x\\\y
Ils vont à la petite plage
lllllll'
EE après le petit-déjeuner, b EE après le déjeuner. c EU après le dîner.
a
Le com m issariat est a b c
Q
EU derrière la mairie, EE devant la mairie, EU I ° i n de mairie.
i i ?m iîiiiîAWv'V' i \ m
t r
!i
iuwmvt»
lu>'."n'HvVV«U \
Lisez le chapitre et répondez aux questions suivantes. 1
Quelles recom m andations fait la grand-mère de Bruno et Ludovic à ses petits-enfants ?
2
De quoi parlent les jumeaux lorsqu’ils rencontrent leurs amis ?
41
A
C
T
T
3
Qu’est-ce qu’ils décident de faire ?
4
Est-ce qu’ils décident de prévenir leurs fam illes ? Pourquoi ?
5
À quelle heure ont-ils rendez-vous ?
6
Qu’est-ce qu’ils décident d’apporter avec eux ?
E n ric h iss e z votre v o c a b u la ire Retrouvez les définitions des mots suivants. un inconnu un papi
1
un petit-déjeuner une m airie
une enquête
une mam ie
C’est le père de votre père ou de votre mère dans le langage enfantin.
2
C’est la mère de votre père ou de votre mère dans le langage enfantin.
3
C’est le siège de l’adm inistration locale.
4
On le dit d’une personne que l’on ne connaît pas.
5
On le prend le matin avant d’aller à l’école ou au travail.
6
C’est ce que fait la police pour découvrir le coupable d’un crime.
42
A
C
T
G ra m m a ire Le
que
restrictif
Le que restrictif est une négation apparente. Il est toujours accompagné par ne, mais il a une valeur affirm ative et il est utilisé avec le sens de seulement. Je ne bois que de Veau. = Je bois seulem ent de l'eau.
Q
Récrivez ces phrases en utilisant le que re stric tif quand c’est possible. 1
Nous mangeons seulem ent du pain complet.
2
Elle ne parle pas espagnol.
3
Elle connaît seulement l’allemand.
4
Ils vont à cette plage et c’est tout, ils ne vont pas aux autres.
5
Vous ne faites pas de voyages.
P rodu ctio n orale
->ELF Q
Racontez un fa it divers qi p articulièrem ent marqué! des indications suivantes. Protagonistes Lieu Date Événem ent Conclusion.
C H A P IT R E 6
Au commissariat tro is heures, nos q u atre am is se re tro u v e n t d e v a n t 1|r
%
la M a ir ie . D ’un c ô t é , il s o n t im p a t ie n t s de t o u t ‘
r a c o n t e r à la p o lice , et de l’a u tre ils o n t p eu r. Ils h é s it e n t , d is c u t e n t e t se r e n d e n t f in a le m e n t au
c o m m is sa ria t. Pas q uestion de se ta ire !! Il fa u t a v o ir du courage... C ’e s t B r u n o e t L u d o v ic qui v o n t p a r le r au c o m m is s a ire . Ils e n tr e n t et a tte n d e n t a v e c im p a tie n c e q u ’on les appelle. Au bout de quelques m in u tes, un ag en t a rriv e et les acco m p ag n e dans un bu reau où le c o m m is sa ire les reço it. — Bo n jo u r, les e n fa n ts. E n tre z et a s s e y e z - v o u s ! — Bo n jo u r, M o nsieu r. — M on collègue v ie n t de m e dire que vo u s devez m e p a rle r de quelque chose d ’im p o rta n t. D ites-m oi, je vo u s écoute...
1. S’a sseo ir : s ’in staller su r un siège.
Bru n o ra c o n te alors ce q u ’ils o n t vu : les tro is h o m m es dans le cham p, le to u r à B o u rd eilles, la d é c o u v e rte de la b ouch erie. Il dit q u ’ils o n t eu peur, s u rto u t ap rès a v o ir en te n d u la n o u velle de la d am e d isparue. — V o u s a v e z d it que v o u s a v e z t r o u v é des t r a c e s de sang . V ous en êtes sûrs ? — Oui, to u t à fa it, M onsieu r. — V o u s en avez p arlé à q u e lq u ’un ? — Non, à p ersonn e. — Écou tez, laissez-m oi la b oîte d ’a llu m e tte s. Nous la g ard o n s 1 au cas où 2 elle a u ra it quelq ue cho se à v o ir a v e c c e tte h isto ire . Po u r le reste, fa ite s a tte n tio n . Ne fré q u e n te z pas les lieux isolés, re ste z e n sem b le . Laissez-m oi au ssi v o s n u m é ro s de té lé p h o n e . En cas de besoin, on vo u s c o n ta c te . À la s o rtie du c o m m is s a ria t, nos am is so n t p lu tô t s a tis fa its . Les ag en ts o n t été trè s a tte n tifs , et ils o n t eu l’a ir de s ’in té re s s e r à leu r h isto ire. Ils d é c id e n t d e s u i v r e le s c o n s e il s de l ’a g e n t e t d ’ê t r e p ru d en ts. Ils ne v e u le n t plus a lle r sur le lieu du crim e ! Du m oins, c ’e st ce q u ’ils p e n s e n t p o u r l’in s ta n t. M ais vo n t- ils ré s is te r à la t e n ta tio n de p o u rsu iv re leu r e n q u ê te ?
1. Garder : m e t tr e de côté. 2. Au cas où (+ co n ditio n nel) : si...
46
A
C
T
T
É
S
Compréhension é c r i t e e t o r a l e Écoutez l’enregistrem ent du chapitre et dites si les affirm atio n s suivantes sont vraies (V) ou fausses (F). V
Q
F
1
Les quatre amis ont peur d’aller à la police.
2
Ils décident de rentrer à la maison.
3
Un agent leur dit de rentrer chez eux.
4
Les deux frères ne racontent pas tout ce qu’ils ont vu.
□ □ □ □ □ □ □ □
5
L’agent qui les reçoit garde la boîte d’allumettes.
□
□
6
Il leur fait beaucoup de recomm andations.
□
□
Lisez le chapitre et répondez aux questions suivantes. 1
Que font les quatre amis avant d’être reçus par le com missaire ?
2
Qu’est-ce qu’ils racontent au com missaire ?
3
Pourquoi le commissaire demande-t-il aux deux frères de lui laisser leurs numéros de téléphone ?
4
Quel est l’état d’âme des quatre amis à la sortie du com m issariat ?
5
De quoi avaient-ils peur avant d’entrer ?
6
Qu’est-ce qu’ils décident de faire ?
A
C
T
T
E n ric h iss e z votre v o c a b u la ire Trouvez la signification des mots et expressions suivants. 1
Faire semblant de :
a b c
2
Au bout de :
a b c
3
Tout à fait :
a b c
4
Avoir l’air de :
a b c
□ □ □ □ □ □ □ □ □ □ □ □
faire le contraire de faire de manière que faire comme si avant après pendant com plètement un peu pas du tout sembler refuser avoir envie de
G ra m m a ire Les prono m s person nels co m p lé m e n ts d ’objet in direct Singulier
Pluriel
me
nous
te
vous
lui
leur
Les pronoms personnels compléments d’objet indirect se placent toujours devant le verbe, sauf à l’im pératif affirm atif. Dans ce cas-Ià, à la place de me on utilise la forme moi. Je leu r téléphone.
Nous lu i envoyons un courriel.
Envoie-lui un télégram m e.
Donne-moi ton adresse.
I 48
A
Q
C
T
V
T
Récrivez les phrases suivantes en rem plaçant les mots soulignés par des pronom s personnels com plém ents d’objet indirect.
0
1
Je donne ces inform ations à mes collègues.
2
Tu communiques la nouvelle à tes am is.
3
Elle annonce son mariage à sa meilleure am ie.
4
Elle envoie ses félicitations à Philippe.
5
Nous écrivons une carte postale à nos parents.
Transform ez les phrases suivantes à l’im p ératif affirm atif. 1
Ne lui dis pas la vérité !
2
Ne leur révélez pas vos intentions !
3
Ne nous envoyez pas tous ces courriels !
4
Ne me téléphone pas après onze heures !
5
Ne me parle pas de tes affaires !
P rod u ctio n écrite 1 -Lf Q
On vous a volé vo tre portefeuille. Vous vous rendez à la police pour p orter plainte. Écrivez le texte du procès-verbal. À vous d’in ve nter les détails (lieu et heure du vol, contenu du portefeuille, etc.).
49
La vallée des
Premiers Hommes
T r aversant le département de la Dordogne, la rivière de la Vézère a creusé une vallée qui est habitée depuis plus de 50 000 ans ! Aujourd'hui, cette vallée est réputée pour la richesse de ses sites préhistoriques, tels que les célèbres grottes de Lascaux. Inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO, la vallée de la Vézère compte 25 grottes et 147 gisements préhistoriques. Elle est donc devenue une destination touristique qui attire de très nombreux visiteurs, parfois trop...
Les grottes de Lascaux : une découverte étonnante
Les grottes de Lascaux ont été découvertes par hasard en 1940. Un garçon de dix-sept ans, Marcel Ravidat, est en train de chercher la tanière d'un renard lorsqu'il aperçoit un trou particulièrement profond dans le sol. Il appelle alors trois copains. Les quatre amis agrandissent le trou de façon à pouvoir descendre. Là, à la lueur de leur lampe de poche, ils découvrent un spectacle extraordinaire : une grotte immense dont les parois sont recouvertes de centaines de peintures. Des chevaux, des taureaux, des bisons, des cerfs, des ours, des dessins géométriques recouvrent les parois de la grotte ! Ils découvrent également un autre passage décoré de peintures représentant des scènes de chasse. Pendant quelques jours, les quatre garçons décident de garder le secret et de ne rien dire à personne. Ils continuent alors leur
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Grotte de Lascaux II : peintures murales.
exploration et découvrent d'autres salles et d'autres galeries. Ils finissent finalement par tout raconter à l'instituteur du village qui fait venir des spécialistes de la préhistoire.
La « chapelle Sixtine de la préhistoire »
Définies « la chapelle Sixtine de la préhistoire », les grottes sont caractérisées par une grande variété de couleurs, et plus particulièrem ent le noir, le jaune et le rouge. Les couleurs sont obtenues à partir de minéraux liés avec de la graisse animale ou de l'eau ; le pinceau est en poil de bison. Cependant, la vapeur d'eau produite par les nombreux visiteurs finit par abîmer la grotte. Elle doit par conséquent être fermée. A une centaine de mètres de l'original, on construit une copie, ouverte en 1983, qui reste encore la plus visitée de toutes les grottes.
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P R O J E T IN T E R N E T
Mi
À l’aide d ’un moteur de recherche, connectez-vous au site des grottes de Lascaux. Cliquez sur « Découvrir » et cherchez les réponses aux questions suivantes. ^ Où se trouve l’une des plus importantes concentrations de grottes ornées paléolithiques d ’Europe ? ► Comment s ’appellent ceux qui ont découvert les grottes ? ^ Qu’est-ce qui caractérise la salle des Taureaux ? ^ Q u’est-ce qu’une licorne ? Faites une visite virtuelle de la grotte. Examinez le plan de la grotte. ^ Quelle est sa forme et quelles sont ses dimensions ? ^ Pourquoi et quand la grotte a-t-elle été fermée ? Cliquez sur « S’initier » et après votre visite virtuelle, vous pourrez vous amuser à... ► ...tester vos connaissances avec les jeux proposés sur le site ; ► ...décrire la grotte à vos amis.
La m L e <\ef r ,
t io ir e w
SÈ
Les motifs pariétaux de la Salle des Taureaux sont les plus imposants de l‘ paléolithique. Ils se développent de part et d'autre, sur les parois en encorbeKsm ent d'u rotonde au sol en déclive. Trois groupes d'anim aux, chevaux, taureaux et cerfs, com posent cette vaste fresq continue sur une vingtaine de mètres. En fait, ces thèmes se retrouveront de manii récurrente dans les différents espaces souterrains de ce sanctuaire...
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I
es jo u rs s u iv a n ts , il ne se p asse rien. Nos q u a tre am is se re n c o n tre n t to u jo u rs sur la p e tite plage. Ils p a rle n t b e a u c o u p de c e t t e h is t o ir e , e t ils lis e n t s u r t o u t le jo u rn a l tous les jo u rs p our v o ir s ’il y a des n o u v e a u té s . M a lh e u re u s e m e n t, la je u n e fe m m e n ’a pas en co re été re tro u v é e . Ils im a g in e n t d éjà co m m e n t les tro is h o m m es p e u v e n t a v o ir tu é
la p a u v re fe m m e , et e s p è re n t que la police tro u v e ra au plus tô t les p reu ve s de leu r culp ab ilité. — Ils l’o n t p eu t- être é tra n g lé e h.. — Ou bien ils lui on t tiré un coup de re vo lv e r... — Ils p e u v e n t é g a le m e n t l’a v o ir n o yée 2, la p auvre...
1. É trangler : e m p ê c h e r de re sp ire r en c o m p rim a n t le cou. 2. N oyer : m o u rir asp hy xié sou s l’eau.
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<7
ÇflSwPd — N ’oubliez pas que nous a vo n s tro u v é des tra c e s de sang ! Je p e n s e p lu tô t à un cou p de r e v o lv e r , ou b ien une p ie r re ou un a u tre objet... U n jo u r, ils d é cid e n t fin a le m e n t de re to u rn e r sur le « lieu du crim e » p o u r l’e x a m in e r e n co re une fois. Ils y a r r iv e n t to u jo u rs p a r le m ê m e c h em in , ap rè s s ’ê tre a s su ré s que p e rs o n n e ne les o b serve. — R eg ard ez ! d it B ru n o . U n a u tre tro u , pas loin de celui que nous avo n s d é c o u v e rt ! — E t e n co re du sang, ch u ch o te 1 Paul. C ’est te rrib le , terrib le... — Il est fra is, ce sang. Ils d o iv e n t a v o ir tu é q u elq u ’un il y a peu de tem ps... — Il fa u t re to u rn e r à la police et to u t ra c o n te r. — E t s ’ils nous p r e n n e n t 2 p our des fous ? — T a n t pis 3, allons-y quand m êm e. U n e d e m i- h e u re p lu s t a r d , ils s o n t de n o u v e a u d e v a n t le c o m m is sa ria t. Ils so n t reçus p ar le m êm e ag en t. — Q u ’est-ce qui se passe e n co re ? — N o u s s o m m e s r e t o u r n é s d a n s le c h a m p où n o u s a v o n s d é c o u v e rt le p re m ie r tro u . Eh bien, nous en a vo n s d é c o u v e rt un au tre, plus ré cen t, a vec d ’a u tre s tra c e s de sang, du sang frais... il est p eu t- être a rriv é quelque chose de te rrib le ! — É c o u t e z , le s e n f a n t s , r e s t e z t r a n q u i l l e s . N o u s v o u s re m e rc io n s de vos in fo rm a tio n s , m ais laissez la police s ’o ccu p er de ce cas. É v ite z d ’alle r dans le cham p , on ne s a it ja m a is , ça p eut ê tre d ang ereux. Il v a u t m ieux ne pas p ren d re de risques...
1. C huchoter : p a rle r à voix b asse. 2. Prendre pour : c o n sid é re r co m m e. 3. Tant pis : ce n ’e s t p as g rav e !
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A
C
T
V
T
Compréhension é c r i t e e t o r a l e d elf
Q
Écoutez l’enregistrem ent du chapitre et cochez la bonne réponse. 1
2
La jeune fem m e disparue a Q
a été retrouvée.
b Q
n’a pas encore été retrouvée,
c Q
a été étranglée.
Les quatre amis a Q
refusent de retourner sur le lieu du crime,
b Q
décident de retourner sur le lieu du crime,
c Q
décrivent le lieu du crime à leurs familles.
Ils a Q
effacent les indices qu’ils ont trouvés,
b O
trouvent d’autres indices,
c Q
ignorent les nouveaux indices qu’ils trouvent.
Les indices sont a Q
des traces de sang frais,
b Q
des traces de terre mouillée,
c
des traces de pas.
Quand ils retournent au commissariat, a Q
ils sont reçus par le même agent,
b Q
ils sont reçus par un autre agent,
c Q
ils ne sont reçus par personne.
On leur recommande a Q
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d’être prudents,
b Q
de poursuivre leur enquête,
c Q
de ne rien dire à personne.
A
C
T
T
Q Lisez le chapitre et répondez aux questions. 1
Quelles hypothèses font-ils à propos de la femm e disparue ?
2
Qu’est-ce qu’ils décident de faire ?
3
Qu’est-ce qu’ils trouvent ?
4
Où vont-ils tout de suite après ?
E n ric h iss e z votre v o c a b u la ire Q
Trouvez la signification des mots et expressions suivants. 1
2
3
4
De sorte que : a
O
afin que
b
Q
de manière que
c
O
de peur que
Laisser de côté : a
Q
prendre en considération
b
Q
souligner
c
Q
ignorer
Chuchoter : a
Q
parler à voix basse
b
Q
parler à voix haute
c
Q
crier
Se passer : a
□
arriver
b
Q
conclure
c
|
[commencer
C
T
T
É
S
G ra m m a ire
Comme —Comment Comme est utilisé pour faire des comparaisons ou dans des phrases exclamatives. Elle est blonde
comme sa mère. Comme tu es élégante !
Com m ent est utilisé dans les interrogations directes et indirectes.
Comment tu as passé tes vacances ? comment tu as obtenu ces inform ations.
Je me dem ande
Q
Complétez avec
comme ou comment.
1
...................vous vous appelez ?
2
...................il est adorable ! Je l’adore.
3
II a les yeux v e r t s ...................son frère.
4
Je voudrais s a v o ir...................tu as trouvé ce travail.
5... ...................tu as fait ce gâteau ? 6
Nous nous d em and ons....................vous pouvez le supporter.
P rod u ctio n écrite D ELF Q
Vous êtes journaliste dans un quotidien local. Interview ez la personne qui a assisté à ce vol.
Une dame de 76 ans, Edmonde, empêche un voleur de s’emparer du sac de son amie. Deux dames se promènent tranquillement dans un jardin public, où elles ont rendez-vous tous les après-midis. Edmonde va chercher une glace et voit un jeune homme qui s’approche de son amie qui est près d’un banc. Le jeune homme demande à la dame l’heure, elle regarde sa montre et se distrait... D’un coup, le jeune homme arrache le sac de la dame ; la victime se met à crier. Mais Edmonde, qui assiste à la scène à quelques mètres de distance, se jette sur lui avec ses glaces... L’homme tombe par terre, des passants l’arrêtent et quelques minutes après la police municipale le conduit au poste de police. Bravo, mamie !
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C H A P IT R E 8
Une nouvelle piste ard i m a tin , B ru n o et Lu d o vic s’a p p rê te n t à s o rtir S B
M
lo rsq u ’ils je t t e n t un coup d ’œ il1 au jo u rn al.
FIN
DU
M YSTÈRE
DE
LA
JE U N E
FEM M E
D IS P A R U E . F U G U E 2 PO U R D E S P R O B L È M E S
SENTIMENTAUX. — Dis donc, lisons un peu... — Elle n ’a donc pas é té tu é e c e tte fem m e. Pa s de m e u rtre , pas d ’assassin , pas de c a d avre ... Le jo u rn a l d it que V a lé rie P e re c , 28 ans, a d isp a ru il y a une sem ain e, ap rès une v io le n te d isp u te a v e c son fia n cé . E x asp é rée, e lle p a r t de s o n v illa g e p o u r c h a n g e r de v ie . A u b o u t d ’u n e
1. Jeter un coup d ’œ il : re g a rd e r ra p id e m e n t. 2. Une fugue : ac tio n de s ’en aller de chez soi.
se m a in e , elle re v ie n t su r ses pas e t d écid e de re c o m m e n c e r sa v ie et de q u itte r son fia n c é . Les p a re n ts e t les am is de V a lé rie so n t soulagés. B ru n o et Lu d o vic lise n t un e x tr a it de l’in te r v ie w de la je u n e fe m m e : — Où étiez-vous p a rtie ? — E n P r o v e n c e , à G o r d e s . J ’ai u n e a m ie là - b a s q u i m ’a accu eillie. — Q u ’est-ce qui vous a fa it c h a n g e r d ’idée ? — M es p a re n ts et m es am is m e m a n q u a ie n t é n o rm é m e n t. Au début, j ’ai été te n té e de ne rien d ire à p erso n n e, m ais ap rès, la n o stalg ie a eu le dessus. Les d eux e n fa n ts s o n t c o n te n ts de la b o n n e n o u v e lle , m a is p e n s e n t et re p e n se n t en m ê m e tem p s à ce que les tro is h o m m es p e u v e n t a v o ir fa it. Sont-ils cou p ab les de q uelque chose ? S ’agit-il d ’assassin s ? Ce ne sont p eut-être que des ap p arences... P o u rta n t, ils o n t vu de leurs yeu x les tra c e s de sang. Il d oit bien y a v o ir eu quelq ue chose... Ils d é c id e n t alo rs d ’a lle r à la b ib lio th è q u e p o u r lire les q u o tid ie n s des jo u rs p ré c é d e n ts . Ils c h o is is s e n t la page des f a it s d iv e r s lo c a u x e t c h e r c h e n t d es a r t ic le s c o n c e r n a n t d ’a u tre s p e rs o n n e s d is p a ru e s . A p rè s de lo ng ues re c h e rc h e s , ils tro u v e n t un seul a rtic le sur un c lo c h a r d 1 qui a d isparu. — V o ilà, il s ’ag it p e u t- être de ce p a u v re cloch ard . — Le p rob lèm e, c ’est q u ’on n ’en p arle pas beaucoup... — L a p lu p a r t des g en s ne s ’in t é r e s s e n t p as à la m o rt d ’un clochard... — C ’est v ra i, il est p ro b a b le m e n t seul au m onde...
I
1. Le clochard : p e rs o n n e pau vre, sa n s travail, ni m aiso n.
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A
C
T
T
Compréhension é c r i t e e t o r a l e d elf
^ ^ Écoutez l’enregistrem ent du chapitre et dites si les affirm ations suivantes sont vraies (V) ou fausses (F). V
Q
1
La jeune fem m e disparue est retrouvée.
2
Elle s’appelle Valentine Ferec.
3
Elle a vingt-six ans.
4
Elle a fait une fugue après s’être disputée avec ses parents. [
5
Elle s’est réfugiée en Provence.
6
Les quatre amis vont dans une librairie.
F
Lisez le chapitre et répondez aux questions. 1
Pourquoi Valérie a-t-elle disparu ?
2
Combien de temps a duré sa fugue ?
3
Quelle a été la réaction de ses parents et de ses amis à son retour ?
4
Chez qui s’était-elle réfugiée ?
5
Pourquoi a-t-elle décidé de revenir ?
6
Où les quatre amis décident-ils d’aller ? Pourquoi ?
Qu’est-ce qu’ils trouvent dans la page des faits divers locaux ?
62
T
A
G ra m m a ire Les articles partitifs M asculin singulier
Fém inin singulier
Masc. et fém. pluriel des
du devant consonne
de la devant consonne
ou h aspiré
ou h aspiré
de I’ devant voyelle
de I’ devant voyelle
ou h muet
ou h muet
Tu veux
du jus de fru its ? Non, merci, je voudrais de Veau m inérale. des biscuits.
Nous mangeons
ATTENTION ! À la forme négative, on utilise toujours : - de devant consonne ou h aspiré ; Il n 'y a pas
-
de pain, il fa u t aller à la boulangerie.
d’ devant voyelle ou h muet ; Ils ne boivent jam ais d'eau gazeuse.
Q
Complétez avec l’article p a rtitif qui convient. 1
Le matin, je m a n g e
biscottes a v e c
confiture, et je b o is
thé au citron.
beurre e t ..
2
Le soir, elle m a n g e
3
Je ne peux pas sortir parce que j ’a i
poisson e t
légumes.
4
Il y a .......... monde ce soir !
5
J ’ai acheté .,.........chemises pour mon fiancé.
exercices à faire.
Complétez avec un article p artitif. 1
Il n’y a plus ..........lait.
2
Il y a .......... bons restaurants dans cette ville ?
3
Tu as assez ..........argent pour acheter cette voiture
4
Je voudrais ..........pain a v e c ........... miel.
5
Tu a s ......... argent à me prêter ?
6
Nous avons a c h e té ..........fraises pour ce soir.
63
A
C
T
T
P rod u ctio n écrite d e lf Q
Lisez l’article et dites si les affirm ations suivantes sont vraies (V) 01 fausses (F).
Des frères jumeaux courageux Deux jumeaux de 16 ans aident la police à arrêter un cam brioleur.
Dimanche dernier, Marc, un garçon de 16 ans, rentre de la p iscin e avec son frère jum eau P ierre. Il est h uit heures du soir, leurs parents sont sortis, les rues sont presque désertes. Mais Marc et Pierre entendent des bruits qui proviennent du jardin de Madame Lamie, une voisine qui habite dans la maison d ’en face et qui est partie en vacances. Quelques instants plus tard, les deux garçons entrent dans le jardin de Madame Lamie en passant par-dessus la haie. Une fenêtre est ouverte : ils aperçoivent un homme à l’intérieur. Pendant que Pierre reste dans le jardin pour ne pas perdre l’homme de vue, Marc appelle le commissariat avec son portable. La voiture de police arrive quelques minutes plus tard et arrête le cambrioleur qui n’a pas vu les deux jeunes. Chapeau, des garçons ! V 1
Le fait divers raconté se passe un samedi soir.
2
Les deux garçons rentrent de la piscine.
3
Ils ont peur parce que leur voisine est seule chez elle.
F
4
Les deux garçons n’ont pas le même âge.
□ □ □ □ □ □ □ □
5
Ils découvrent un cambrioleur.
□
□
6
Un des frères appelle la police, l’autre ne perd pas □
□
□
□
□
□
de vue le cambrioleur.
à la salle de gym.
7
Madame Lamie est
8
La police ne croit pas les deux frères.
64
■
e len d e m ain , les deux frè re s re n tre n t à m idi et dem i. Ils o n t fa im et d e m a n d e n t to u t de su ite à leu r grandm ère si le d é je u n e r est p rêt. — Oui, il est p rêt..., je vo u s ai p ré p a ré une belle ta r te
aux ép in a rd s b P a r les te m p s qui co u ren t, il v a u t m ieux m a n g e r des légum es 2 p lu tô t que de la v ian d e . — Tu as raison, M arie-C laud e. On ne p eu t pas fa ire c o n fia n c e 3 aux bouch ers, on risq ue de m a n g e r n ’im p o rte quoi..., lui dit son m ari. — Q u’est-ce que ça v e u t dire « on ne peut pas fa ire co n fian ce aux bouchers » ? dem and e Bruno.
1. Les ép inard s : légu m es riches en fer. 2. Les légu m es : p a rtie d ’u ne p la n te utilisée p o u r se nourrir. 3. Faire co n fian ce à : c o m p te r sur.
65
VÉM
mm — R eg ard e dans le jo u rn a l d ’a u jo u rd ’hui, tu co m p re n d ra s... Bru n o p ren d le jo u rn a l et le fe u ille tte h — C h erch e dans les fa its d ivers. Il c o n t in u e à f e u i l l e t e r e t a p p e lle s o n f r è r e . A u b o u t de quelques in sta n ts , ils tro u v e n t un titre qui a ttir e leu r a tte n tio n .
BO UCHER A R R ÊT É AVEC S E S CO M PLICES. VACHES ABATTUES CLANDESTINEM ENT SANS AUCUN CONTRÔLE HYGIÉNIQUE. — R eg ard e, Lu do vic. Ils lisen t ra p id e m e n t l’a rtic le et ils d é c o u v re n t q u ’un b o u ch er de Bo u rd e ille s a été a rrê té : il a b a tta it des v a c h e s é le vée s p a r des am is en é v ita n t to u t c o n trô le h yg iéniqu e. Les n o rm e s à ce propos so n t trè s sévères, s u rto u t ap rès le s can d ale de la v a c h e folle. En lis a n t l’a rtic le , ils se re n d e n t co m p te to u t de su ite que la b o u c h e r ie e s t c e lle d a n s la q u e lle ils s o n t e n t r é s . L e s t r o is h o m m es n ’é ta ie n t p eu t- être pas cou pables d ’un m e u rtre , m ais ils é ta ie n t cou p ab les quand m êm e. — V o ilà d ’où v e n a it le sang ! s’écrie Bru n o . — Le sang ? d e m a n d e le grand-père. — M ais q u ’est-ce que tu dis ? lui d em a n d e sa g rand -m ère. Tu te sens bien ? — Éco u tez , on v a vo u s e x p liq u e r plus ta rd , nous avo n s rendezvo u s a v e c nos am is et nous d evo n s y aller. Les g ra n d s- p a ren ts ne c o m p re n n e n t rien. Bru n o et Lu d o vic p re n n e n t un m o rce a u de ta r te et s o rte n t en co u ra n t. Ils se p ré c ip ite n t à la p e tite plage c a r ils d o iv e n t d o n n er la n o u velle à leu rs am is.
1. F eu illeter : to u r n e r ra p id e m e n t les pages.
66
Compréhension é c r i t e e t o r a l e d elf
Q
Écoutez l’enregistrem ent du chapitre et cochez la bonne réponse. Les deux frères rentrent a []
à minuit,
b | | à minuit et demi, c Q
à midi et demi.
La grand-mère a préparé a Q
de la viande,
b □
une tarte aux artichauts,
c
une tarte aux épinards.
Bruno a O
lit le journal,
b Q
regarde la télé,
c Q
écoute la radio.
Le fait divers dont il est question a
□
n’a rien à voir avec l’histoire du trou et du sang,
b Q
est étroitem ent lié à l’histoire du trou et du sang,
c Q
n’attire pas l’attention des :
Les grands-parents a Q
com prennent l’histoire de petits-enfants.
b □
ne com prennent rien.
c Q
téléphonent à la police.
Bruno et Ludovic a
Q
b
Q
décident de sortir. décident de rester à la maison.
c Q
ne veulent plus voir leurs amis.
68
T
A
Q
Lisez le texte et complétez les phrases suivantes. 1 2
La grand-mère dit qu’il est m ie u x ............................... Le fait divers dont il est question concerne u n .......... q u i................................... parce qu’i l ............................
3
Les deux frères se rendent compte tout de suite que
4
Bruno comprend d’où v e n a it .....................................
5
Les deux frères veulent retrouver leurs amis pour
E n ric h iss e z votre v o c a b u la ire Q
Retrouvez la signification des mots ou expressions suivants. 1
2
3
4
5
Faire confiance à :
Feuilleter :
A battre (ici) :
Un coupable :
Un m eurtre :
a
□ b □ c □ a
respecter croire à se fier à chercher des feuilles
□ b □ c □
tourner les pages
a
démolir
referm er
□ b □ c □
tuer
a
un responsable
détruire
□ b □ c □
un préposé
a
un vol
□ b □ c □
un complice
un assassinat un accident
69
Ç
T
T
V
G ra m m a ire Les pronom s interrogatifs
Le pronom
que
que
et
qu’est-ce que
exige l'inversion en tre le sujet et le verbe.
Que voulez-vous fa ire ?
Le pronom
qu'est-ce que,
qui a le m êm e sens, refuse l'inversion.
Q u’est-ce qu’il veut fa ire ?
Q
Complétez les questions avec que ou qu’est-ce que selon les cas. 1.... .........................vous avez l'intention de faire ? 2... .........................veut-il acheter ? 3... .........................ils t ’ont dit ?
Q
4
.........................avez-vous trouvé ?
5
.........................elle t ’a préparé à manger ?
6
.........................vous préférez ?
Posez les questions qui ont déterm iné les réponses suivantes en utilisant que ou qu’est-ce que. 1
? Il est journaliste.
2
? Je voudrais un coca.
3
? Il dit qu’il est très occupé.
4
? Il me faut un stylo rouge.
5
? Dans ce sandwich, il y a du fromage et du jambon.
70
'e s t p r e s q u e l’h e u re du d în e r . B r u n o e t L u d o v ic 1 5 ® v ie n n e n t de re n tre r lorsque le té lé p h o n e sonne. C ’est le grand -p ère qui répond. — Allô, M o n s ie u r M a rtin ? — Oui, c ’est moi. — B o n jo u r ,
M o n s ie u r .
C ’e s t
l ’in s p e c t e u r V o lla n d
du
c o m m is s a ria t de B ra n tô m e . — Q u ’est-ce qui se passe ? — R ie n de g ra ve , M o n sie u r. So y e z tra n q u ille . Je v o u la is to u t sim p le m e n t re m e rc ie r vo s p e tits- e n fa n ts p our leu r aide. — Pa rd o n , je ne co m p ren d s pas. Q uelle aide ? — Ils ne vo u s o n t donc rien d it ? — Non, rien. — Ils nous o n t d onné des in d ica tio n s im p o rta n te s à propos de
71
l’a f f a ir e des v a c h e s a b a ttu e s sa n s a u c u n c o n tr ô le h y g ié n iq u e . V ous avez lu dans le jo u rn a l, n ’est-ce pas ? — Bien sûr... L ’in s p e c te u r ra c o n te alo rs le rôle jo u é p a r B ru n o , L u d o vic et le u r s a m is . L e g r a n d - p è r e
é c o u te
a v e c a tte n tio n
c e tte
c o n v e rs a tio n télép h o n iq u e et je t t e des coups d ’œ il à ses petitse n fa n ts qui o n t to u t de su ite co m p ris a v e c qui il est en tra in de parler. Q u and il ra c c ro c h e h il e st un peu b o u leve rsé. — D ites donc, les e n fa n ts ! Po u rq u o i vo u s ne nous avez rien d it ? — On a v a it p eu r de vo u s c a u se r des soucis. Le grand -p ère ra c o n te à sa fe m m e ce qui s ’est passé et le fa it que les e n fa n ts on t co n trib u é à l’a rre s ta tio n du b o u ch er et de ses com plices. — V ous avez été cou rag eu x , les e n fa n ts ! Je suis fiè re de vous, m êm e si vo u s avez pris des risq ues et que je n ’aim e pas ça. P lu s t a r d , J e a n e t P a u l r e jo ig n e n t les ju m e a u x c h e z le u rs g ra n d s - p a re n ts . Ils s o n t to u s t r è s c o n te n t s . C e tte a n n é e , les v a c a n c e s so n t e n co re plus belles que d ’h a b itu d e !
1. R accrocher : m e t tr e fin à u ne co n v e rs a tio n té lé p h o n iq u e.
C
T
V
T
Compréhension é c r i t e e t o r a l e d e lf Q
Écoutez l’enregistrem ent du chapitre et dites si les affirm ations suivantes sont vraies (V) ou fausses (F). V
F
□
□
□
□
□
□
grand-père est en train de parler.
□
□
La grand-mère est très fâchée.
□
□
1
Le grand-père téléphone à la police.
2
L’inspecteur VoIIand parle avec le grand-père de Bruno et Ludovic.
3
Madam e M artin n’écoute pas la conversation entre son mari et l’inspecteur.
4
5
Q
Les deux frères ne com prennent pas avec qui leur
Lisez le chapitre et répondez aux questions suivantes. 1
À quelle heure Bruno et Ludovic rentrent-ils chez eux ?
2
Que dit l’inspecteur VoIIand au grand-père de Bruno et Ludovic ?
3
Est-ce que le grand-père est au courant de ce qui s’est passé ?
4
Quel est l’état d’âme du grand-père après sa conversation avec l’inspecteur ?
5
Pourquoi les deux frères n’avaient-ils rien raconté à leurs grandsparents ?
6
I
Que leur dit leur grand-mère ?
.......................................................................
74
E n ric h iss e z votre v o c a b u la ire Écrivez les m ots suivants sous les dessins qui les représentent, sonner
un annuaire
décrocher
un combiné
un portable
G ra m m a ire Le passé récent Form ation du passé récent sujet + ven ir + de + infinitif Il vien t de trouver un bon travail. Nous venons d'acheter un studio sur la Côte d'Azur. Elles vien nent de préparer des gâteaux.
75
A
Q
C
T
T
Transform ez les phrases suivantes au passé récent. 1
lia visité le Louvre.
2
Nous avons téléphoné à nos amis.
3
Ils sont rentrés chez eux.
4
Elles sont parties pour Londres.
5
Elle a eu un enfant.
6
J ’ai envoyé un courriel.
P rod u ctio n orale d e lf Q
Imaginez une conversation téléphonique entre un de vos professeurs et votre père/mère. Choisissez la situation que vous préférez. 1
Votre professeur téléphone pour inform er votre famille des excellents résultats que vous avez obtenus à l’occasion d’un concours. Il s’agissait de proposer des mesures pour rendre plus agréable la vie dans les villes. 2
Votre professeur téléphone pour signaler votre com portem ent qui dernièrem ent n’a pas été très correct. Vous avez en effet l’habitude d’arriver souvent en retard et vous ne semblez pas trop intéressé(e)s par la vie scolaire.
T
Q
E
S
T
F
I
N
A
L
Rem ettez dans Tordre les phrases et écrivez le résum é de l’histoire. a
Ils décident donc de se rendre à la boucherie indiquée sur la boîte d’allumettes. Là-bas, il reconnaissent l’un des hommes mystérieux.
b
La police remercie Bruno et Ludovic de leur aide.
c
Bruno et Ludovic sont deux frères jum eaux qui passent leurs vacances dans le Périgord, chez leurs grands-parents.
d
Un matin, pendant qu’ils vont à un rendez-vous avec leurs amis à la plage des saules pleureurs, ils aperçoivent quelque chose d’inquiétant : des individus bizarres sont en train d’enterrer quelque chose.
e
Plus tard, en compagnie de leurs amis, ils découvrent avec horreur des traces de sang près du trou que les hommes viennent de creuser. Seul indice : une boîte d’allum ettes retrouvée par hasard sur le lieu du crime et qui va peut-être les m ettre sur les traces des assassins.
f
La jeune fem m e disparue est retrouvée, mais les jeunes détectives poursuivent leur enquête et apprennent qu’un clochard est porté disparu depuis quelque temps.
g
Les jeunes détectives se rendent donc à la police et les agents les invitent à être prudents.
h
Mais quelques jours plus tard, les quatre amis découvrent un autre trou et encore du sang... ils se rendent de nouveau au commissariat.
i
Le m ystère se dénoue quand les deux frères lisent un article dans le journal.
j
Le lendemain, ils apprennent qu’une jeune fem m e a disparu dans les environs. Est-ce que c’est elle la victim e des assassins ?
Q
Cochez la bonne réponse. 1
Bruno et Ludovic sont deux fr è r e s ........................ a Q
2
jumeaux.
b D
gémeaux.
I l s ........................ leurs vacances d’été chez leurs grands-parents. a
passent
b
laissent
77
T
3
sortent
b
servent
s’amusent.
b
s’ennuient.
voient
b
font
un trou.
b
] une trousse.
un briquet.
b
j une boîte d’allumettes.
dans une boucherie, b
au supermarché.
aide la police.
b
entrave les recherches de la police.
Leurs grands-parents apprennent la vérité par un coup de fil
a
Q
L
Leur cu rio sité ........................ a
10
A
Après des recherches, les quatre amis se re n d e n t........................ a
9
N
Le seul indice qu’ils trouvent e s t ......................... a
8
I
Dans le champ, il y a ........................ a
7
F
Un jour, il s ........................ des traces de sang suspectes. a
6
T
Ils ......................... a
5
S
Ils ........................tous les jours avec leurs amis. a
4
E
de la police.
b
des leurs petits-enfants.
Dites si les affirm ations suivantes sont vraies (V) ou fausses (F). V 1
Bruno, Ludovic et leurs amis aident la police à arrêter un tueur en série.
2
La jeune femme disparue est l’une des victimes de l’assassin.
3
La boîte d’allumettes ne représente pas un indice important.
4
Pour trouver des indices, les jeunes détectives se rendent aussi à la bibliothèque.
5
Les grands-parents des jum eaux sont au courant de l’enquête que leurs petits-enfants mènent.
78
F
T
E
S
T
F
I
N
A
L
Complétez le courriel que Bruno envoie à un ami parisien après la conclusion de son aventure avec les mots proposés. détectives
grands-parents
aventures
nouvelles
vacances
amis
retour
histoire
Cher Philippe, Voici enfin de mes 1.........................! Je passe mes 2.......................... avec Albert chez nos 3.......................... comme tous les étés. Ici, nous avons beaucoup d’ 4 .........................et nous nous amusons beaucoup. À mon 5........................ . je te raconte nos dernières 6.......................... C’est incroyable ! Une véritable 7..........................policière... Tu sais, nous sommes de vrais 8 .........................!!! À bientôt Bruno
Q
Testez vos connaissances ! Cochez la bonne réponse. 1
La Dordogne est
a b c
2
Le Périgord est sitüé
a
dans le
b c
3
Le Périgord peut être
a
divisé en
b
□ □ □ □ □ □ □ □
Le chef-lieu du Périgord est
a b c
une grotte. une spécialité gastronomique. Sud-Est Sud-Ouest
de la France.
Nord deux trois
parties.
quatre
c 4
un départem ent.
□ □ □
Bergerac. Périgueux. Sarlat.
79
t
e
s
f
t
5 À Périgueux, on trouve
a
6 Une des spécialités gastronomiques du
7
8
n
a
l
des vestiges romains,
b
des grottes,
c
des catacombes.
a
la choucroute,
^
Périgord est
i
le foie gras,
c
Les grottes de Lascaux
a
ont été peintes
^
le cam embert. □
au Moyen Âge. à la préhistoire.
c
□
à l’époque des Romains.
La découverte des grottes
a
□
après de longues recherches,
de Lascaux a lieu
^
par hasard.
c
après un éboulement du terrain.
9
Aujourd’hui, les touristes
a
peuvent adm irer
^ c
la grotte originale. □
une copie de la grotte. seulement des photos de la grotte.
10
Les grottes de Lascaux se
a
trouvent dans la vallée de la
^ c
11
Les grottes de Lascaux
a
ont été découvertes en
^ c
12
Les peintures des grottes représentent
a ^
Vézère. Vesunna. Durance.
1950. 1940. [ J 1970. des dessins géométriques. des animaux et des dessins géométriques.
c
80
des hommes et des femmes.
Enigme en Périgord /
B r u n o e t L u d o v ic s o n t en v a c a n c e s d a n s le P é rig o rd . U n jo u r , ils s u rp re n n e n t des h o m m es su sp ects d ans un bois et... des tra c e s de san g . De q u o i s ’a g it- il ? Q u e lle e s t c e t t e é n ig m e q u i v a o c c u p e r to u te s leu rs jo u rn é e s ? R é u ssiro n t- ils à m e n e r ju s q u ’au b ou t c e tte en q u ê te ? D éco u vrez une région p lein e de ch a rm e , avec ses g ro ttes p ré h is to riq u e s et ses sp écialités. des ex ercices de g ra m m a ire , de c o m p réh e n sio n et d ’ex p re ssion é c rite et o rale ; des a c tiv ité s ty p e D E L F ; des d ossiers : B ie n ve n u e en P é rig o rd ! et L a v a llé e des P re m ie rs H om m es y un p ro je t In te r n e t ; un te s t fin a l ; un CD au dio avec l’e n re g is tre m e n t in té g ra l du tex te.
Niveau Un Niveau Deux Niveau Trois Niveau Quatre
■ ■ ■ ■
CECR CECR CECR CECR
A1 A2 B1 B2
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