r
M zribi cheker Correction de la la série : les mutations des structures structures économiques Niveau : Bac éco Exercice n°1 : a)On a)On a PIB = 31993,2 MD Part SI = (4489,2 / 31993,2) x 100 = 14,03% Le secteur primaire occupe 14,03 % dans le total du PIB en Tunisie en 2005. Part SII=(11916,4/31993,2)x100=37,24% SII=(11916,4/31993,2)x100=37,24%Le secteur secondaire contribue par 37,24 % dans le total du PIB en Tunisie en 2005. Part SIII = (15587,6 / 31993,2) x 100 = 48,72% 48,72 % du total du PIB en Tunisie en 2005 provient du secteur tertiaire. b) On a population active occupée = 2825,2 mille de personnes Part SI = (461,3 / 2825,2) * 100 = 16,32% Le secteur primaire emploie 16,32 % du total de la population active occupée en Tunisie en 2005. Part SII = (969,2 / 2825,2) * 100 = 34,30% 34,30% du total de la population active occupée en Tunisie en 2005 travail dans le secteur secondaire. Part SIII = (1394,7 / 2825,2) * 100 = 49,36%Le secteur tertiaire emploi 49,36% du total de la population active occupée en Tunisie en 2005. c)On constate que le secteur tertiaire domine la production du PIB et les emplois ce qui reflète le phénomène de tertiarisation de l’économie tunisienne. Exercice n°2 : La mécanisation consiste à i ntroduire des machines dans le processus de production, dirigée directement par les travailleurs. Cette technique a permis une production de masse dans les entreprises. On a assisté à la réalisation des économies d’échelles, source de la baisse des prix de vente suite à une baisse des coûts unitaires moyens. Ceci stimule donc la compétitivité-prix. compétitivité-prix. Exercice n°3 : La robotisation consiste à employer des machines automatiques reliées par un système informatique qui permit de remplacer l’effort physique et quelques activités intellectuelles des travailleurs. Cette technique intègre le progrès technique et a réussi d’améliorer la qualité ainsi que différ encier les produits selon la demande, ce qui a permis l’amélioration de la compétitivité structurelle. Mais cette technique a amélioré aussi la réalisation de la compétitivité -prix. En effet, la robotisation a réussi de remplacer les travailleurs, ceci a permis aux entreprises de baisser ses charges (salaires et cotisations sociales). En plus, le progrès technique incorporé a permis aussi aux entreprises de produire en masse et de réaliser ainsi des économies d’échelles. Donc il en résulte une baisse des co ûts qui contribuent à baisser les prix de vente ce qui améliore la compétitivité-prix. Exercice n°4 : La flexibilité est une capacité de l’entreprise à s’adapter rapidement aux changements de son environnement en employant des techniques de production ajustables et des travailleurs flexibles. Ses objectifs consistes à répondre à une demande changeable (en volume, différenciation…) et imprévisible ainsi aux urgences (pannes des machines et absentéismes…). Exercice n°5 : La concentration est une croissance externe de l’entreprise. Elle se fait par un regroupement d’une entreprise avec d’autres entités afin d’agrandir la taille. Exercice n°6 : La concentration volontaire est une stratégie d’une entreprise qui vise à accroître la taille afin d’entamer plusieurs mobiles : C’est un accord entre les entreprises pour se réunir ensemble. Mais la concentration involontaire est une phase d’élimination d’un certain nombre d’entreprise en difficulté en cas des crises par exemple. Ce n’est pas un choix, ni un accord mais suite à une situation de faillite surtout pour les petites entreprises qui vont disparaitre pour laisser place aux grandes entreprises. Exercice n°7 :
Concentration horizontale : regroupement des entreprises ayant des activités similaires, des produits concurrents afin de dominer un marché des biens e services. Concentration verticale : regroupement des entreprises complémentaires qui forment une filière d’activité. Cette forme peut se diviser en amont (avec fournisseurs) ou en aval (avec clients). L’objecti f final est de contrôler une filière d’activité. Concentration conglomérale : regroupement des entreprises qui n’ont aucun lien technique apparent. Cette concentration vise à maximiser les profits et minimiser les pertes.
r
M zribi cheker Correction de la la série : les mutations des structures structures économiques Niveau : Bac éco Exercice n°8 : Opérations
Formes de concentration
Objectifs
Acheter des firmes concurrentes
Concentration horizontale.
- Amélioration Amélioration de la qualité du produit finis. - Réduire les coûts de production (économie d’échelle). -Diversifier la gamme des produits.
Intégrer les activités des fournisseurs
Concentration verticale en amont
-Contrôler les coûts de production. -Garantir, sécuriser, régulariser et assurer une meilleure qualité de la matière première.
Achat d’une entreprise cliente Diversifier les activités
Concentration verticale en aval Concentration conglomérale
-Améliorer la promotion des produits. -Maîtriser les distributions. -Diversifier les produits. -Réduire les risques. -Augmenter les profits.
Exercice n°9 : La concentration facilite la production en masse ce qui réalise par la suite les économies d’échelle. Il en résulte donc une baisse des coûts moyens de la production. Aussi, la concentration permet de contrôler les activités des fournisseurs, ce qui réduit les coûts des approvisionnements en matières premières. Exercice n°10 : La concentration horizontale :
Augmentation de la part du marché économie d’échelle baisse des CM compétitivité des prix. Amélioration de la qualité des produits finis en partageant le savoir et le savoir-faire compétitivité structurelle. Elargir la gamme des produits vendus différenciation améliore la compétitivité structurelle.
La concentration verticale :
Contrôler les activités des fournisseurs (en amant) afin de réduire les coûts d’approvisionnements compétitivité prix et assure la bonne q ualité des matières premières compétitivité structurelle. Contrôler les activités des clients (en aval) afin d’augmenter les moyens bénéficiaires, aussi pour contrôler les activités de commercialisation et de marketing ceci permet d’améliorer la compétitivité structurelle.
La concentration comglomérale :
Diversifier les activités pour réduire les risques de perte et de maximiser les profits. Cette diversification améliore la compétitivité structurelle.
Exercice n°11 : Croissance interne - Stratégie par laquelle l’entreprise étend sa
taille en réalisant des investissements par autofinancement. - Modalité lente pour grandir. Exercice n°12 :
Croissance externe - Stratégie par laquelle l’entreprise étend sa taille en se regroupant avec d’autres entreprises déjà existantes.
- Modalité rapide pour grandir.
Remonter la filière : concentration verticale en amont (avec les fournisseurs) Contrôler les activités des fournisseurs : - Baisser les coûts des approvisionnements, Améliorer la qualité. Descendre la filière : concentration verticale en aval (avec les clients) Contrôler les activités des clients : Augmenter la masse bénéficiaire, Contrôler les activités et les conditions de vente. Exercice n°13 : a)
TCPIB réel/h = TC BIB réel – TC POP
En 2002: TCPIB réel/h = 4,05 % – (16,7 % - 5,8 %) = - 6,85% En 2003 : TCPIB réel/h = 7,50 % – (17,1 % – 6,1 %) = - 3,5 %
r
M zribi cheker Correction de la la série : les mutations des structures structures économiques Niveau : Bac éco En 2004 : TCPIB réel/h = 9,39 % – (16,8 % – 6,0 %) = - 1,41 %
b)
Le niveau de vie tunisien s’améliore entre (2002 – 2004).
Exercice n°14 : La croissance économique permet d’améliorer le niveau de vie moyen. En effet, la croissance économique permet de créer les emplois et distribuer plus de revenu. En plus, la croissance économique génère des gains de productivité qui sont, une fois répartis, permet de baisser les prix et d’augmenter les salaires et mettre à la disposition d es ménages des services collectifs qui contribuent à l’amélioration du niveau de vie. L’amélioration du niveau de vie permet d’améliorer à son tour la croissance économique. En effet, toute amélioration du niveau de vie va inciter la consommation et l’épargne. Pour la co nsommation en masse, la production va augmenter ce qui améliore la croissance économique. Pour l’épargne ceci est considéré comme une source pour financer les investissements augmenter créant ainsi des emplois et augmentant par la suite, la production, les revenus… ce qui améliore la croissance éc onomique. Exercice n°15 : On remarque d’après ce tableau que :
La part consacrée à l’alimentation dans le total du budget diminue d’une manière continue lorsque les prix augmentent entre la période (1970 – 2000) en France. Ceci justifie la loi N° 1 d’Engel . La part des biens normaux (moins essentiel) varie peu lorsque le revenu augmente ce qui vérifie la loi N° 2 d’Engel (cette part est respectivement : 24,9 % - 24,8 % - 26,5 % et 24,1% pour les années 1970, 1981, 1992 et 2000) La part des services augmente en continue lorsque le revenu augmente ce qui confirme la loi N° 3 d’Engel (cette part est respectivement 20,5% - 24,5 % - 26,3 % et 31,9 % pour les années 1970, 1981, 1992 et 2000).
Exercice n°16 : a/ complétez le tableau :
millions d’euro Total des dépenses = 792.2 millions Coefficients budgétaires en 2001 : W alimentations = (145 / 796.2) x 100 = 18.2 % W habillement habillement = (39.1 / 796.2) 796.2) x 100 = 4.9 % W logement = (241.5 / 796.2) x 100 = 30.3 % W santés = (28.7 / 796.2) x 100 = 3.6 % W transport = (141.1 (141.1 / 796.2) x 100 = 17.7 17.7 % W loisirs = (76.9 / 796.2) x 100 = 9.6 % W autres biens = (15.5 / 796.2) x 100 = 18.2 % Total des Coefficients budgétaires = 100% L’utilité du W : Chiffrer les dépenses de consommation d’une rubrique dans le total des dépenses. Permet d’appréhender l’évolution de la structure de consommation dans le temps et dans l’espace. b/ Interprétation des chiffres soulignés :
21.4% : en 1980, 21.4% des dépenses de consommation sont consacrées à l’alimentation, boissons, tabac. 7.2% : en 1980, 7.3% des dépenses de consommation sont consacrées aux loisirs, culture, éducation. 192 : indice du pouvoir d’achat du salaire moyen Le pouvoir d’achat du salaire a augmenté de 92% en 1980 (par rapport à 1960) 223 : indice du pouvoir d’achat du salaire moyen Le pouvoir d’achat du salaire a augmenté de 123% en 2001 (par rapport à 1960) c/ Vérification de la loi d’Engel :
Part de l’aliment ation ont tendance à diminuer (36% 21% 18.2%) lorsque le revenu moyen augmente (de 92% à 123%). Part de l’habillement et logement subie une légère variation (stagnation) : en 1960 leurs parts = 29.8%, en 1980 leurs parts = 34.3%, en 2001 leurs parts = 35.2% Part de superflu subi une augmentation continue et importante. Donc la loi d’Engel est vérifiée .
-
Exercice n°17 : a)
b)
Pays A : TCG PIB / h (1990 -2000) = [(PIB /h (2000) – PIB / h (1990)) / PIB / h (1990)] X 100 PIB / h (1990) X 0,102 = 8200 - PIB / h (1990) PIB / h (1990) X [1 + 0,102] = 8200 PIB / h (1990) = 8200 / 1,102 PIB / h (1990) = 7441, 01PPA/h Pays B: TCG PIB / h (1990 -2000) = [(7000 –6100) / 6100] X 100 TCG PIB / h (1990 -2000) = 14,75 % Niveau de vie A 2000 > Niveau de vie B 2000
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M zribi cheker Correction de la la série : les mutations des structures structures économiques Niveau : Bac éco
c)
Justification PIB / h 2000 de A > PIB / h 2000 de B Le pays B profite d’une meilleure amélioration de niveau de vie que le pays A. Justification TCG PIB / h de B > TCG PIB / h de A
Exercice n°18 : a)
TC PIB réel / h (2000 – 2003) = TCPIB – TC pop TC PIB réel / h (2000 – 2003) = [(27400 – 24600) / 24600] * 100 – 9,6 % = 11,38 % - 9,6 % = 1,78 % Le niveau de vie a augmenté de 1,78 % entre 2000 et 2003.
b)
Cette amélioration a transformé le mode de vie par Augmentation spectaculaire de la consommation concernant toutes les rubriques et surtout les services. Différenciation du mode de vie suite aux plus grand choix disponible pour les consommateurs vue que leur pouvoir d’achat à augment er. Transformation des habitudes de consommation (voyage, restauration, activité sportive et culturel…).
Exercice19 Les gains de productivité sont des revenus supplémentaires issus de l’amélioration de l’efficacité des facteurs au cours de la croissance économique. Ces revenus vont être répartis sur les agents économiques participent ainsi à améliorer le niveau de vie. Aussi, ces gains de productivité sont source de la baisse des prix ce qui va permettre une augmentation du pouvoir d’achat et donc amélioration de niveau de vie. L’amélioration du niveau de vie contribue à transformer les modes de vie. D’abord, par accès plus important aux biens durables et aux services collectifs offerts par l’Etat vue que son recette s’est améliorer. Ensuite, avec un niveau de vie éle vé, on assiste à une différenciation des modes de vie vue que le consommateur va avoir un plus grand choix des biens de consommation. Enfin, les gains de productivité permettent de baisser énormément le temps du travail et donc augmentation du temps libre. Les travailleurs vont consacrer ce temps libre afin d’accéder à des nouvelles habitudes de consommation (mode de vie) tel que des voyages, activités culturelles, sportives…
Exercice n°20 : 1)
Pays X : X :
TCPIB réel/h = TCPIB – TCPOP
Indice du PIB réel = 102 càd TCPIBréel = 2% Indice de la la POP = 104 càd TCPOP = 4%
Donc TCPIB réel/h = 2% - 4% = -2%. Le niveau de vie diminue de 2% dans le pays X e ntre (2000-2008) Détérioration du niveau de vie. Pays Y :
Indice du PIB réel = 103 càd TCPIBréel = 3% Indice de la la POP = 104,5 càd TCPOP = 4,5%
Donc TCPIB réel/h = 3% - 4,5% = -1,5%. Le niveau de vie diminue de 1,5% dans le pays Y entre (2000-2008) Détérioration du niveau de vie. 2)
Malgré que les deux pays présentent une détérioration du niveau de vie, toutefois le pays Y présente une meilleure situation que le pays A. (Niveau de vie de Y > Niveau de vie de X)
Exercice n°21 : Si la croissance démographique augmente à un rythme plus rapide que celui de la croissance économique, on assiste dans ce cas à une détérioration du niveau de vie.