Pierre-Martial Cibot Pierre-Martial Cibot
années.
À sa demande, Pierre Martial Cibot a été envoyé en Chine,, et il partit pour la Chine Chine la Chine le le 7 mars 1758, depuis le (France France), ), en 1727, 1727, et décédé à Pékin en 1780 1780,, était port de Lorient de Lorient,, sur le navire « d’Argenson », qui faisait un prêtre jésuite prêtre jésuite français, français, missionnaire missionnaire en en Chine. Chine. Il est partie d’une escadre de neuf neuf vaisseaux armés armés en guerre ; historien mais historien mais est particulièrement connu pour ses écrits il est arrivé à Macao à Macao le le 26 juillet 1759, en faisant route en botanique en botanique.. par Rio par Rio de Janeiro, Janeiro, et en séjournant quelque temps dans les Iles de France (actuelle Île (actuelle Île Maurice) Maurice) et de Bourbon (actuelle île (actuelle île de La Réunion) Réunion) ; il a rejoin rejointt Pékin Pékin le le 6 juin 1760 1760 ; il a retrouv retrouvéé là les les Jésuites qui Jésuites qui étaient à la cour 1 L’œu L’œuvr vree d’un d’un miss missio ionn nnai aire re jéjé- de l’empereur l’empereur ; à cette époque, époque, l’empereur l’empereur de Chine Chine est Qianlong ; dans les années 1740 et 1750, les persécutions suite contre les chrétiens s’intensifient s’intensifient en Chine ; après la suppression de la Compagnie de Jésus, Jésus , en 1773, le travail des jésui jésuites tes françai rançaiss à Pékin peut peut cont contin inue uerr ; c’est c’est en 1793 1793 que que meur meurtt à Pékin le dernie dernierr survi surviva vant nt (il s’agi s’agitt de JosephMarie Amiot) Amiot) de la Mission jésuite jésuite en Chine en Chine[1] .
Pierre-Martial Cibot , né à Limoges à Limoges,, en Haute-Vienne en Haute-Vienne
À l’époque où Cibot œuvrait en Chine en Chine,, et où il était au service de l’empereur l’empereur Qianlong (1735-1796), Qianlong (1735-1796), il passait une partie partie de son temps temps à constr construir uire, e, pour pour l’empe l’empereu reur, r, des des horloges mécaniques, et à dessiner, pour ce même empereur, des jardins. En fait, l'activité missionnaire directe était difficile en Chine en Chine,, depuis les années 1740. Il avait en effet été interdit en 1742 aux chrétiens chinois chinois de prendre part aux cérémonies célébrant célébrant Confucius Confucius et et les ancêtres. Cibot a décrit ainsi sa vie à Pékin [2] : « (…) fontainier et machiniste pendant cinq ans dans le Versailles de la Chine (note : il s’agit du palais impérial Yuánmíng impérial Yuánmíng Yuán, Yuán, je suis suis deven devenuu jardin jardinie ierr et fleuri fleuriste ste depuis depuis.. Les voulo vouloirs irs de l’empereur décideront de ce que je serai dans la suite. » Cibot, pendant les nombreuses années qu’il a passées en Chine,, a consacré une partie de son temps à des études Chine histor historiq iques ues et scient scientifi ifiqu ques es ; il était était modest modestee au point point de ne pas avoir signé signé un grand nombre de ses écrits ; son style était était consi considér déréé comme comme trop trop prolix prolixe, e, mais mais ses écrits écrits étaie étaient nt appréciés pour les nombreuses nombreuses informations informations qu’ils contenaient.
Qianlong , qui a régné de 1735 jusqu'en 1796, était empereur de Chine lorsque Chine lorsque Pierre-Martial Cibot était missionnaire à Pékin Pékin..
L’écrivain Cibot a parfois utilisé un nom de plume (dans sa correspond correspondance) ance) : « L’Affligé tranquille tranquille » ; un autre autre nom a été associé au nom français de Pierre-Martial Cibot, et c’est un nom construit construit à la manière manière chinoise chinoise ; ce nom était « Han Pei-tou Kouo-Ying », et on peut « lire » ce nom de la manière suivante : Han = nom de famille (« sing ») ; Pei-tou = nom de baptême baptême (« ming ») qui est la transcription de son prénom prénom Petrus ; Kouo-Ying = nom d’honneur (« hao ») [3] .
Pierre-Martial Cibot, est né à Limoges à Limoges le le 15 août août 1727 ; ses parents parents étaient Pierre Pierre Cibot et Paule Recolet ; il a suivi l'enseignement qui était donné dans les écoles des Jésuites,, en Jésuites en philosophie et en théologie en théologie ; il a ainsi été l’élève des professeurs du collège de Limoges Limoges,, qui était alors sous la direction des Jésuites Jésuites,, et qui est devenu le Lycée Gay-Lussac ; il a rejoint la Compagnie la Compagnie de Jésus le Jésus le 7 novembre 1743, à Bordeaux à Bordeaux ; il a été ordonné prêtre ordonné prêtre en en 1756 ; il a été professeur professeur d’humanités pendant plusieurs plusieurs 1
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EXTRAIT D’UN TEXTE DE CIBOT SUR LE CHOU CHINOIS
Les écrits de l’historien et du tices de quelques plantes et arbrisseaux de la Chine ») ; les animaux de Chine (exemple : « Notice sur l'Hirondelle, scientifique sur le Cerf, et sur la Cigale ») ; les techniques pratiquées en Chine (exemple : « Notice sur le Lieou-li, ou Tuiles chinoises vernissées ») [4] . Les activités de Cibot dans les domaines de la mécanique, ou encore de la botanique, étaient connues en dehors de la Chine ; c’est ainsi que le jésuite missionnaire a été, en qualité de « egregium mechanicum, botanicum et rerum naturalium investigatorem », élu, sur la proposition du conseiller d’Etat de Stehlin, par l’Académie de St Pétersbourg, membre honoraire de cette académie, le 17 février 1766[2] .
Pierre-Martial Cibot, faisant œuvre de botaniste, a écrit et publié sur de nombreuses plantes de Chine , dont le chou chinois, le Petsaï .
Cibot a été envoyé en Chine pour faire partie des missionnaires de la cour de l’empereur de Chine ; il a passé les vingt dernières années de sa vie, en étant occupé, soit par les fonctionsde sonministère apostolique, soit par des travaux que le service de la cour attendait des missionnaires européens ; Cibot avait beaucoup de facilité pour toutes sortes d’études ; on le vit se livrer à l’astronomie, à la mécanique, à l’étude des langues et de l’histoire, à l’agriculture, à la botanique ; c’est à Pierre-Martial Cibot, ainsi qu’à son collègue, le savant Joseph-Marie Amiot, que nous devons de précieux renseignements sur l’empire chinois[1] . Beaucoup des missionnaires présents en Chine, tel Cibot, se consacraient donc à des recherches scientifiques et historiques ; les résultats de ce travail se trouvent dans l’ouvrage célèbre, « Mémoires concernant l'histoire, les sciences, les arts, les mœurs, les usages etc. des Chinois » ; cette publication, en 16 volumes (Paris 1776-1814), est une source importante pour la connaissance en Europe de la Chine ; Cibot a été l’un deceux quiont le pluscontribué à cet ouvrage. Cibot a fait des recherches sur toutes sortes de sujets : les phénomènes naturels ; les annales historiques chinoises (qui intéressaient les missionnaires car elles semblaient aller plus loin dans le passé que les récits bibliques) ; la comparaison entre les coutumes des Chinois et celles des Juifs (en se référant au récit biblique du Livre d’Esther) ; les textes classiques chinois de Confucius que Cibot a traduits : La Grande Étude (Da Xue), La Doctrine du Milieu (Zhong Yong); les idées liées au « Figurisme », courant qui trouvait dans les livres anciens chinois les vestiges d’une révélation primitive ; les anciens empereurs chinois (avec la thèse défendue par Cibot selon laquelle les empereurs chinois du passé, avant Yao, étaient des souverains de légende) ; les pratiques hygiéniques liées au Taoïsme ; les plantes chinoises que Cibot recueillaient pour constituer un herbier (exemple : « No-
Pierre-Martial Cibot est mort en Chine, à Pékin, le 8 août 1780; on a pu citer, parmi les raisons de son décès, la nouvelle de l’abolition (qui a eu lieu en 1773) de la Compagnie de Jésus, information qui est officiellement parvenue à Pékin en 1780.
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Extrait d’un texte de Cibot sur le chou chinois
Page extraite de : Pierre-Martial Cibot, « Notice du Petsaï », Mémoires concernant... les Chinois, vol. IV (Paris 1779) pp. 503–510. (ce texte est disponible sur le site Internet de la Bibliothèque Nationale de France : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k114459w.image) : « Les Pe-tsaï tiennent un rang distingué parmi les plantes potagères de Chine, et méritent bien le cas qu'on en fait. Dans l'incertitude où nous sommes si l'on a cette plante en France, ou même si elle y est connue, nous nous hasardons à en donner une petite notice (note : Pe veut dire blanc, et Tsaï légume, ainsi le Pe-tsaï est un légume blanc). (…) Les Pe-tsaï les plus estimés à Pékin, sont ceux des environs de la petite ville de Ngan-sun ; ce sont ceux, en effet, qu'on préfère pour la table de l'Empereur, et pour toute sa maison. Les friands d'Europe voudraient bien des choses pour les cuire et les assaisonner d'une manière qui pût flatter leur délicatesse. Ceux de Chine au contraire, soit préjugé, soit finesse de goût, raisonnent sur les Pe-tsai, comme eux sur la venaison et le gibier, prétendant que, plus on leur donne d'assaisonnement, plus ils perdent de leur propre saveur. Nous avouons candidement notre profonde incapacité et ignorance sur ce grave sujet, et nous nous bornons à raconter qu'étant de service au Palais, nous avons trouvé très bons et très délicats des Pe-tsaï de Ngan-sun, cuits simplement au bouillon, et sans autre assaisonnement que du sel. Nos Européens de Canton appellent les Pe-tsaï choux Chinois. (…) L'acquisition des Pe-tsaï n'est pas nécessaire à notre jardinage, on peut s’en passer à l'avenir, comme l'on s’en est passé précédemment. Qu'il nous soit permis néanmoins d'en faire la remarqueque, si l’on a fait l'accueil dans notre
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Sujets traités par P.-M. Cibot dans les « Mémoires… »
siècle aux oreilles d’ours, aux jacinthes d'Hollande, et à tant d'autres fleurs de mode, les Pe-tsai, ce me semble, mériteraient bien autrement la faveur du public. Si la culture des Pe-tsaï était introduite en France, et prenait dans toutes nos provinces, elle procurerait au peuple, comme aux riches, une plante potagère qui est fort aisée à cultiver, croît promptement, et est aussi bonne et aussi délicate que les meilleurs choux, dure autant, semble plus saine et pourrait se prêter à plus d'assaisonnements, non seulement pour les tables des riches, mais encore pour les gens de la campagne. Si les Pe-tsaï sont déjà dans nos îles de Maurice et de Bourbon, il est plus court d'en prendre des graines là et de les porter en France. A tout hasard, nous envoyons des graines de Ngan-sun, qui, comme il a été dit plus haut, est l'endroit de tout l'Empire où ils sont meilleurs. »
juillet 1775 », Mémoires concernant... les Chinois, vol. II (Paris 1777) pp. 365-574. •
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Œuvres de Pierre-Martial Cibot
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Œuvres présentes dans les catalogues Pierre-Martial Cibot, Lettre de Pékin sur le génie de la langue chinoise et la nature de leur écriture symbolique, comparée avec celle des anciens Égyptiens, Bruxelles, J. L. de Boubers, 1773 Pierre-Martial Cibot (et autres auteurs), Mémoires concernant l'histoire, les sciences, les arts, les mœurs, les usages des Chinois, par les missionnaires de Pékin, les PP. Amiot, Bourgeois, Cibot, Poirot, 16 volumes, numérotation : T. 1 (1776) à T. 16 (1814), Paris, Nyon aîné, 1776-1814 (note sur les auteurs : Joseph-Marie Amiot (1718-1793) ; François Bourgeois (1723-1792) ; Pierre-Martial Cibot (1727-1780), Aloys de Poirot (1735-1814))
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Sujets traités par P.-M. Cibot dans les « Mémoires… »
(cette liste est extraite du document : http://132.187. 98.10:8080/encyclopedia/en/cibotPierreMartial.pdf Biographie de Pierre-Martial Cibot par Claudia von Collani dans l'Encyclopedia Stochastikon) •
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« Essai sur l'antiquité des Chinois », Mémoires concernant... les Chinois, vol. I, 1776, pp. 1-271. « Traduction du Ta-hio (Da Xue) », Mémoires concernant... les Chinois, vol. I (Paris 1776) pp. 432-458.
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« Traduction du Tchong-yong (Zhong Yong) », Mémoires concernant... les Chinois, vol. I (Paris 1776) pp. 459-489. •
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« Remarques sur un écrit de M. P. intitulé : recherches sur les Egyptiens et les Chinois. Péking, 27
« Sur les vers à soie sauvages », Mémoires concernant... les Chinois, vol. II (Paris 1777) pp. 575-597. « Notice du frêne de Chine, nommé hiang-tchun », in : Mémoires concernant ... les Chinois, vol. II (Paris 1777) pp. 598-601. « Sur les cotonniers : le cotonnier arbre et le cotonnier herbacé », Mémoires concernant... les Chinois, vol. II (Paris 1777) pp. 602-622. « Sur le bambou. Culture et utilité du Bambou », Mémoires concernant... les Chinois, vol. II (Paris 1777) pp. 623-642. « Le Jardin de See-Ma Kouang », Mémoires concernant ... les Chinois, vol. II (Paris 1777) pp. 643-650. « Serres chinoises », Mémoires concernant... les Chinois, vol. III (Paris 1778) pp. 423-436. « Notices de quelques plantes et arbrisseaux de la Chine », Mémoires concernant ... les Chinois, vol. III (Paris 1778) pp. 437-498. « Requête à l'empereur (22 avril 1767) pour la cérémonie du labourage, Péking 3 nov. 1767 », Mémoires concernant... les Chinois, vol. III (Paris 1778) pp. 499-504. « Doctrine ancienne et nouvelle des Chinois sur la piété filiale », Mémoires concernant ... les Chinois, vol. IV (Paris 1779) pp. 1-298. « Mémoire sur l'intérêt de l'argent en Chine », Mémoires concernant... les Chinois, vol. IV (Paris 1779) pp. 299-391. « De la petite vérole », Mémoires concernant... les Chinois, vol. IV (Paris 1779) pp. 392-420. « Notice du livre chinois Si-yuen. Examen des cadavres par la justice criminelle », Mémoires concernant... les Chinois, vol. IV (Paris1779) pp. 421-440. « Notice du Cong-fou des Bonzes Tao-see. Pour opérer des guérisons », Mémoires concernant... les Chinois, vol. IV (Paris 1779) pp. 441-451. « Observations de Physique et d'Histoire naturelle de l'Empereur K'ang Hi », Mémoires concernant... les Chinois, vol. IV (Paris 1779) pp. 452-483. « Quelques compositions de recettes pratiquées chez les Chinois, ou consignées dans leurs livres, et que l'auteur a crues utiles ou inconnues en Europe », Mémoires concernant... les Chinois, vol. IV (Paris 1779) pp. 484-492. « Notice sur le Che Hiang. Cerf qui donne le musc ; une planche”, Mémoires concernant... les Chinois, vol. IV (Paris 1779) pp. 493–499.
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« Notice du Mo-kou-sin et du lin-tche », Mémoires concernant... les Chinois, vol. IV (Paris 1779) pp. 500–502. « Notice du Pe-tsaï », Mémoires concernant... les Chinois, vol. IV (Paris 1779) pp. 503–510. « Notices sur différents objets, Vin, eau-de-vie et vinaigre de Chine », Mémoires concernant... les Chinois, vol. V (Paris 1780) pp. 467–480.
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« Raisins secs de Hami », Mémoires concernant... les Chinois, vol. V (Paris 1780) pp. 481–485. •
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« Notice du Royaume de Hami », Mémoires concernant... les Chinois, vol. V (Paris 1780) pp. 486–491.
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« Remèdes », Mémoires concernant... les Chinois, vol. V (Paris 1780) pp. 492–494 ; « Teinture chinoise », Mémoires concernant... les Chinois, vol. V (Paris 1780) pp. 495–504.
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« Abricotier sauvage », Mémoires concernant... les Chinois, vol. V (Paris 1780) pp. 505–513.
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« Armoise », Mémoires concernant... les Chinois, vol. V (Paris 1780) pp. 514–518.
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« Essai sur les pierres sonores de Chine », in : Mémoires concernant... les Chinois, vol. VI (Paris 1780) pp. 255–274. « Essai sur le passage de l'Ecriture hiéroglyphique à l'Ecriture alphabétique, ou sur la manière dont la première a pu conduire à la seconde (Péking, 15 oct. 1770)", Mémoires concernant... les Chinois, vol. VIII (Paris 1782) pp. 112–132.
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« Essai sur la langue et les caractères des Chinois, 20 oct. 1764 » (I), Mémoires concernant... les Chinois, vol. VIII (Paris 1782) pp. 133–185.
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« Notice sur les objets de commerce à importer en Chine », Mémoires concernant ... les Chinois, vol. VIII (Paris 1782) pp. 267–270.
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« Notice du sang de Cerf, employé comme remède », Mémoires concernant ... les Chinois, vol. VIII (Paris 1782) pp. 271–274. « Notice sur la poterie de la Chine », Mémoires concernant... les Chinois, vol. VIII (Paris 1782) pp. 275–277. « Du Kong-Pou, ou du Tribunal des ouvrages publics », Mémoires concernant ... les Chinois, vol. VIII (Paris 1782) pp. 278–282.
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« Essai sur les jardins de plaisance des Chinois », Mémoires concernant... les Chinois, vol. VIII (Paris 1782) pp. 301–326.
ŒUVRES DE PIERRE-MARTIAL CIBOT
« Essai sur la langue et les caractères des Chinois, article second », Mémoires concernant... les Chinois, vol. IX (Paris 1783) pp. 282–430. « Description de l'inondation de la ville de Yentcheou-fou (Yan-zhou, Shandong) et de son territoire en 1742 », Mémoires concernant... les Chinois, vol. IX (Paris 1783) pp. 454–471. « Pensées, Maximes et Proverbes extraits et traduits de divers livres Chinois », Mémoires concernant... les Chinois, vol. X (Paris 1784) pp. 144–174. « Des bêtes à laine en Chine », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 35–72. « Mémoire sur l'usage de la viande en Chine », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 78–182. « Observations sur les plantes, les fleurs et les arbres de la Chine », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 183–259. « Le Pêcher », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 280–293. « Notice sur le Mou-chou-kuo-tsee sorte d'acacia, le Cheou keou, mûrier, et le Tsee-tsao », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 294–297. « Notice sur le cinabre (vermillon), le Vif Argent et le Ling-cha », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 304–314. « Notice sur le borax, venu du Thibet », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 343–346. « Notice sur le plumails (plumeaux) chinois », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 355–360. « Diverses remarques sur les Arts-pratiques en Chine (ouvrages en fer, peinture sur glace, peinture sur pierre) », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 361–370. « Mémoire sur les chevaux », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 388– 469. « Notice sur la pivoine », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 470–492. « Notice sur le Tsao-kia ou fébier (févier) chinois », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XI (Paris 1786) pp. 493–500. « Essai sur la longue vie des hommes dans l'antiquité, spécialement dans la Chine », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XIII (Paris 1788) pp. 309–375.
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« Notice sur les Abeilles et la Cire », Mémoires 6 Voir aussi concernant... les Chinois, vol. XIII (Paris 1788) pp. 376–385. 6.1 Articles connexes « Première et deuxième notice sur les pierres de yu Lycée Gay-Lussac (Limoges) (Jade), Péking 12 sept. 1771 », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XIII (Paris 1788) pp. 388– Mission jésuite en Chine 395. Qianlong « Notice sur le Lieou-li, ou Tuiles chinoises vernis Joseph-Marie Amiot sées », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XIII (Paris 1788) pp. 396–397. •
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« Notice sur l'Hirondelle, sur le Cerf, et sur la Ci- 6.2 Liens externes gale », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XIII sur la base IdRef,Le référentiel desautorités Sudoc : (Paris 1788) pp. 398–416. Pierre-Martial Cibot « Traduction de quelques pièces de poésie chiBiographie de Pierre-Martial Cibot par Claudia von noise », Mémoires concernant... les Chinois, vol. Collani dans l'Encyclopedia Stochastikon XIII (Paris 1788) pp. 516–534. •
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« Parallèle des mœurs et usages des Chinois, ou les mœurs et usages décrits dans le livre d'Esther ; extrait d'un Commentaire sur ce Livre », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XIV (Paris 1789) pp. 309–516. « Suite du Parallèle des mœurs et des usages des Chinois avec les mœurs et usages décrits dans le livre d'Esther », Mémoires concernant... les Chinois, vol. XV (Paris 1791) pp. 1–207.
Références
[1] Louis-Gabriel Michaud, Biographie universelle, ancienne et moderne, Paris, C. Delagrave, 1870 [2] Jean-Charles Roman d'Amat, Michel Prevost, Henri Tribout de Morembert, Dictionnaire de biographie française, Paris, Letouzey et Ané, 1932-1994 [3] Joseph Dehergne, Répertoire des Jésuites de Chine de 1552 à 1800, Rome, Institutum historicum S.J., Paris, Letouzey et Ané, 1973 [4] Article de l'Encyclopedia Stochastikon : http://132.187. 98.10:8080/encyclopedia/en/cibotPierreMartial.pdf •
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Joseph Dehergne, Répertoire des Jésuites de Chine de 1552 à 1800, Paris, 1973 Louis-Gabriel Michaud, Biographie universelle, ancienne et moderne, Paris, C. Delagrave, 1870 Louis Pfister, Notices biographiques et bibliographiques sur les Jésuites de l'ancienne mission de Chine 1552-1773, Chang-hai, 1932 Camille de Rochemonteix, Joseph Amiot et les derniers survivants de la Mission française à Pékin (1750-1795), Paris 1915
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Texte Pierre-Martial Cibot Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre-Martial_Cibot?oldid=123949688 Contributeurs : Gzen92, Selvejp,
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Fichier:Portrait_of_the_Qianlong_Emperor_in_Court_Dress.jpg Source : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/59/ Portrait_of_the_Qianlong_Emperor_in_Court_Dress.jpg Licence : Public domain Contributeurs : Royal Academy of Arts, part of the The Three Emperors, 1662 - 1795 exhibition which ran from 12 November 2005 - 17 April 2006 in London. Website might be taken down at some point in future. Artiste d’origine : Anonyme Qing dynasty court artists
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