Prère dnérer
Chacun de ces trois essais, Passions Sauf le nom, Khôra forme un ouvrage indépendant et peut se lire comme tel. Si toutefois il a été jugé opportun de les publier simultanément, c'est que malgré l'origine singulière de cha cun d'eux, e d'une même thématique les traverse. Ils forment une sorte 'Essai sur le nom- en trois chapitres ou trois temps. Trois ctions aussi. suivre les signes qu'en silence les personnages de elles ctions sadressent l'un à l'autre, on peut entendre résonner la question du nom là où ele hésite au bord de l'appel, de la demande ou de la promesse, avant ou après a réponse nom : qu'appelle-ton ainsi? qu'entend on sous le nom de nom? Et qu'arrive--il quand on donne un nom? nom? Que donne-t-on alors? alors? On n'ore pas une chose, on ne ivre rien et pourtant quelque chose advient qui revient à donner, comme lavait dit Plotin du Bien, ce qu'on n'a pas. Que se passetil surtout quand il faut surnommer, renommant là où, justement, le nom vient à manquer? Qu'estce qui fai du nom propre une sorte de surnom, de pseudonyme ou de cryptonyme à a fois singu ier et singulirement intraduisible ?
aion dit un secret absolu, à la is essen tie et étranger à ce quon appelle en général du nom de secret. Pour en venir là, il fallai metre en scène, dans la répéion plus ou moins ctve dun dun<< cec es mon corps>> et au cours dune médiaton sur les paradoes de la poitesse, lexprienc où sempore une dete incalculable : sil a du devoir, ne doi-l pas consister à ne pas devoir, à devoir sans devoir, à devoir ne pas p as devoir devoir ? À devor ne pas devoir agir agi r < conformément au devoir> devoir>> , ni ni mê me, comme comm e le dirait Kant, << par devoir devoir>>>> ? uelles peuvent en être les conséquences éiques ou poitques poitque s ? ue doon enendre enendr e sous ce no, << devoir>> ? Et E t qui peu se cager de le porter dans la responsabilié ? aufle aufle nom. l va du salut. Deux nerlocu ers senreiennen un jour dété, cest une aure ction, de ce qui tourne autour du nom, singulièreen du nom de nom, du nom de ieu e de ce qul devient dans ce quon appelle la téol t éolog ogie ie ngativ nga tiv », là où le SurNom nome no me linno linnomma mmabl ble, e, soit soit à la fois ce quon quon ne ne peut n ne it nommer, dénir ou connaître, pace que dabord ce quon surnomme alors se dérobe, sans s enir, au de lëtre. lëtre. Là où la éologie négative» seble seble ouvrr sur une << politque» à venr (aujourdui ou deman), une telle ction risque aussi quelques pas dé ritier sur sur les les races ou vestiges dun<< eran cé rubnique » (Angelus Silesius). uesce quun SurNom, ce qui vaut plu que le nom mais auss aussii ce ce qui qui vi vien entt pe du nom? nom? t se donne
til jis pour l sut du no enn au f? Pour le sut, tout sipleent, le bonjour ou ldieu?
Khôra le pus ncien des trois essis nen est pourtnt ps trice trice ou le port epreinte originire coe coe on pourrit tre tenté de le penser. Il situe seuleent une porie eeplire du tete pltonicien. Le Tiée noe khôra (locité, ieu espce ent, eplceent) cette cose qui nest rien de ce à quoi pourtnt elle prît donner lieu sns jis jis rien dnner pourtnt : ni les prdiges idéu des choses ni les copies quun déiurg insistnt lidée e sous les yeu, inscrit en ll Insnsible ipssibe is sns cruut inccssibe à rhétorique, est cel cel e qui khôra décourge ele est désre désre ls orts orts d persus persusion ion et qui qui conque voudrit voir l cœur de croire ou e désir d fir croire pr eeple u gurs tropes ou séductions du discours i sensible ni intelligibe ni étphore ni désigntion lit térle ni ceci ni cel e ceci e cel, prticipnt et ne prticipnt ps u de teres dun coupe, khôra dite ussi trice ou nour rice rice resseb ressebe e pourt pourtnt nt à un no prop propre re singuier à un no pus tôt à l fois terne et virginl (voilà pourquoi on dit ici khôra et non coe toujours l khôra) ors que pourtnt, dns une epérience quil sgit de penser elle ppelle en silence le surno quon lui donne t s tint udelà de toute gure ternl, finineou finineou théoogiqu.
t le slence au fond duqul ans khôr sembl appele son nom, mas n vété l sunom d'un pénom, ce n'est putête même plus une modalté ou une ésee de la paole. Pas plus que ce fond sans fond ne pomet la nut dun jou. l n'y a, au sujet de khôr n to loge négatve n pensée du Ben, de lUn ou de eu audlà de l'Ête. Cett ncoyable et mpobable xpénc st auss, nte autes dmensons, politiue ll annonc un pensée plutôt, sans la pomtt, une ms à l'épeuve du poltqu. t Socat, quand l fat mne de s'adesse aux autes et d pale de la politeia n passant qu'l est, dans une ve top coute), volà qu'l se met à lu essmble, à elle, khôr à la joue dans une cton qu sea toujous passée napeçue, à la gue, elle, lntangble, lsasssable, lmpobable, toute poce et n nment lontane, elle qu eçot tout padelà l'écange et et padelà le don. lle comme ce qu'il ut encoe, Nécessité sans dette.
© 1993, O CAL Ü 9 ru Liné, 7'005 Pas. e l o d ms l t rd reprod igr o l ps vrg ss oso e 'e o d Cet Cet frç r s s G-Ags, 006 'tt droit d cop 20 r !B 10: 1807.0-0 IK 13978--7800 ISS 43
Jcques Deid
Jcques Deid
Kôra
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Gllée
© Édns Galée 3 9 ru Lnné 75005 Pas
La remere version de e texte pt 1987 dans Poikii. Étu ort J-P� Vnt Paris aux éditions de lEHESS ubl ublio ions ns s i m u tan t aném émen entt aux au x édit éd itio ions ns G G deux autres essais Pion et Suf f Malgré tout e qui les sépare es ora smbnt aussi se répondre et euttre s'é à intérieur d'une seu et mme ongurt Sous la syntaxe mobile e es titres on lire troi i ur un nom donné ou sur e peut ivr u nom onné anonyat nymie aéonymie rytonymie pseuo mie) don au nom rçu voire au nom û s e qu e uttre uttre on oit (donner ou r au nom au nom de nom soit au suo au nom du voir (onnr ou rcvoi
L my m don n j n fom d
ogi 'on a n onras av a ogi d non-onadiion d io sos n logi d amig d 'éi vo d a oarié Commn fom voi fomair s oéraions d as i rnvrsn n m dans son onrair o n s mainnan à das oins d v à disan? rvnai a myoog d drs s n onsion onsa d an n s ornan vs s ingiss s ogiins s maémaiins o is i fornissn 'oi i i man mod sra d'n ogi i n srai as d a inarié d oi o non n ogi a a ogi d logos an-Pir nan Raison d my dans Mhe e soc en è ancenne 94, 250
Kôa nous arrve, et comme le nom. Et uand un nom vent, dt ausstôt plus ue le nom, lautre du nom et autre tout court, dont annonce justement lrrupton ette annonce ne promet pas encore, ele ne menace pas davant davantage age Elle Elle ne n e promet promet n ne n e menace menace personne. Ele reste encore étrangère à la personne, nommant seulement lmmnence, et encore une mmnence étrangère au myte, au temps et à 'store de toute promesse et de toutes menaces possbles On e sat ben ce ue Platon désgne sous le nom de kôa semble déer, dans le Timée cette « logue de noncontradcton des plosopes dont parle parle ernant ernant,, cette cette log logue ue « de la b b narté, du ou ou non Elle relèverat 15
donc eutte de cette « logue aute que la logue du logo» La kôa nest sensle sens le n « ntellgle ntell gle elle ap ap atent à u « tosème gene ) tton eno 48e, 52a) On ne peut mme pas de delle uelle nest n cec n cela ou uelle est à la fo cec et cela Il e sut as de apele quelle ne omme n cec, n cela ou uelle dt et cec et cela Lemaas déclaé a Tmée se manfeste autement : tantt la kôa aaît nt nt n cec J cela, tantt à la fos cec et cea Mas cette alteate ete la logue de lexclu son et celle de la patcpaton, nous eendons longuement, tent eutte à une apaence osoe et au contantes de la hétoue, oe à quelue nattude à nomme La kôa paa paaît ît étangè étangèee à lode lode d u « paa paa dgme dgme , ce modèle modèle ntellgle ntellgle et m muale Et outa outant, nt, « nsle et sans sans ome ome sensle, elle elle « pat patce ce à ll n n tellgle de faço tès emaassante, e été apoétque apoôtata 5) 5) u mons ne mentonsnous pas, aoute Tmée, du mons ne donsnous as le aux ou peuometa) en déclaant cela 16
prudnc d c rmu ngi dnn à rchir N ps mnir, n ps dir l u, sc ncssirmn dir ri? E qun si à c grd du émoinae ppns ncr cci u ir d lpprch prliminir discurs sur kôra, quil e préene, ene, n prcèd ps du loo nur u lgiim puô dun risnnmn hybrid bârd lo imô noô, ir crrmpu I snnnc cmm n un r 5b c qui qu i pu pu ussi us si bin l pri pri rr d ucidi ucidi qu lui cnrr un puir d dii nin l discurs rlèil pur un du myh? Accdrn à pns d kôra n s n ncr à lr ni loo myo si c ns ppi ai un risièm gnr d discurs? E si pur cmm dns cs d l kôra, c ppl u risièm gnr ni qu mps dun dur pur ir sign rs un gnr udà du gnr? Audà ds cgris sur u ds ppsiins cgrils qui prmn dbrd d lpprchr u d dir? 7
En sign d giud ddmi in ici dnc hmmg dun qusin i n à J nPi nPi nn nn E E s s dss dss à clui qui nus n ppis dnn pns d ppsiin myto/logo, cs, mis ussi d lincssn insin ds pôs à uu d Raion du te d Ambiguïté et renverement cmmn pns c qui, cdn l guli du logo s li, s gngi nul u lgiim, nppin pun ps, tricto enu, u myto Pdà lppsiin u d nu du logo du myto cmmn pns ncssi d c qui donnant eu à c ppsiin cmm à n dus, smb pis n plus s sum à li d cl mm qul tue Qui d c lieu Esil nmmb? nuii ps qulqu p p impssibl imp ssibl à pssibili d nm m? Y i là qulqu chs à pener, cmm nus l disins si i, à pns sn néceité
I
Lsciin dn nus nns d prr ns ps un scilin prmi durs, un scillin nr dux pôls Ell scil nr dux gnrs d scil scil i in n : l dub dub xcusi xcusin n (ni ni pricipin (à la foi foi e, ceci e cela Mis nsnus dri d rnsp rnspr r rr gi giqu qu, , l prlgiqu u mlgiqu d c sursci in dun nsmb à ur? Ell cncrni dbrd ds gnrs dn snsib inligibl, isib inisibl, rm sns rm, icôn u mimm prdigm, mis nus lns dpce rs ds gnrs d discurs (mho logo u d rppr à c qui s u n s ps ps n gn gnr rl l Un l dplcmn dplcmn n sns du ps d si Il dpnd d un sr sr d mn mnymi ymi : cl clci ci s s 19
dép n dépçn s nos ds gns d ux gns d dsous s d d un p p s s oujous oujous d d n pu hz Pon d sép s dux pobéqus qué du dsous n dbod qué d ' don p Un pu o s un no n d s donn qu' qu dbod é 'pp L dsous o ppo qu s n géné s ou é ds qué p quo s ppo Du p éon suos d'un pssg p enre, d'un gn 'u d quson ds gns d quson ds gns d dsous O dsous su khôra s uss un dsous su gn (en s u d d éns gns d gn Nous n n dons pus d u gn o en ou pup (en, ehn don hè ppî 'ouu du Timée Dns onx éo qu nous n 'nsn u d séqun su kha, nous nonons no dux gns d gn khôra s un rin n u gd d dux gns d' ub ngb oupb
n dn snsb s l sb uss déné u gd du gn sul sul Té p à son su su d è è » d nou I su un od qu nous n nous no us hâ hâon onss ps d no n o Psqu Psqu ous o us s s n np pè è ss du Timée sn à ndo su s ssous d héoqu sns s s n no og g à u su su Il Ilss pn n n q u ln d ép épho ho s s d d g gs s d opsons 1 Is n posn uun quson su don d hé oqu qu à lu dsposon un és d onps o us s ous onus su dsnon n l snsb lngbl don pésé n pnsé pnsé d l khôa n pu pus s ood don don P Pon on lss n n nd sns bgué qul pus gnd à sood po bè bè d d héo héo qu qu sngulèn sngulèn d poss possb b éé d no no n s ps on l o un pobè sso on pon n s l ps dn g à ququ dnson pédgogqu u qu pn d épho u su d l khôa pésn soun sou n : é é pho ddqu lus ou ns 2
tumentae. Nous nous contenteons pou 'stant de a sgnae et de a stue mas est déjà ca que, tout comme a khôra et tout auss nécessaement, ee ne se asse pas facemet stue, stu e, assge à ésde ésdence nce ee est pus suante que stuée, opposton qu'à son tu fauda soustae à queque atenatve gammatcae ou ontoogque de ' ' actf et du d u passf. passf. Nous ne paeos paeos pas de métaphoe, mas on pas pou etende, pa exempe, que a khôra et ppremet ue mèe, une ouce, un éceptace, un poteempete ou de o. C'est peuêt pace qu'ee pote audeà ou en deçà de a poaté sens métaphoquesens pope que a pens de a khôra excède a poaté, sans doute anaogue, du mytho et du loo. Tee seat du mons a queston que ous voudos mette c à 'épeuve dune ectue La conséquence envsagée at a suvante : avec ces deux poa tés, a pensée de a khôra nquéteat de même de a poaté, de a po até en gééa, qu'ee sot ou no daectque Donnant eu aux oppostons, ee e se soumettat eemême 22
à aucun renversement. Et cea, autre conséquence non parce quele serat naltérablement mêm audelà de son nom, mas parce quen portant audeà de a poarté du sens (métaphorque ou propre) ele nappartendrat plus à horon du sens n du sens comme sens de lêtre. Après ces précautons et ces hypothèses négatves on comprendra que nous lassons e nom de khôa à labr de toute traducton Une traducton parat certes toujours à lœuvre, et das la langue grecque et de la langue lan gue grecque à telle autre. Nen tenons aucune pour assurée. Penser et tradure traversent c la même epérence. S elle dot être tentée, une telle epérence nest pas seuement en souc dun vocable ou dun atome de sens mas auss de toute une teture tropque, ne dsons pas en core d u n systè système me et des des manères d d approcher, pour les omm, les éléments de cett cettee « tropque » Q u elles conce concern rnent ent le nom de khôa lu lumê même me ( leu » , « p ace », « e mplacement », « régon », « contrée ») ou ce que la tradton ap 23
pel pelee les les g gu ues es compaa compaason sons, s, mages, mages, méta métaph pho oes es poposées poposées pa Tmée Tmée lulu même (« mèe , « nou nouce , « éceptacle , « po poteempente ) les les t t a d u c tons estent pses dans des éseaux dntepétaton. Elles sont ndutes pa des pojectons pojectons étospec étospectve tvess dont dont l ana ana chonsme peut toujous ête suspecté. Cet anachon anac honsme sme n est pas nécessaement pas toujous ou seuement une abesse à aquelle une ntepétaton vglante et goueuse pouat échap pe de pat en pat. Nous essaeons de monte que pesonne ny échappe. Hedegge umême qu poutant est lun des seuls à ne jamas pale de « mé tapho taphoee , nous nous paa paat t céd céde e à cet cette te éétospecton tééologque 2 conte aquelle, alleus, nous met s justement en gade. Et ce geste semble hautement sgn sgncat pou ll ensemble ensembl e de de son son questonnement et de son appot à l« hstoedelaphl toedelaphlosoph osophee . Ce qu vent dête dt de la hétoqu que e de la ta tad ucton uct on ou d l anach anachoonsme tééologque pouat ae nate un malentendu. Il aut le dsspe sans eta etad d.. Nous Nou s ne pétendons pétendons jamas jamas po 24
pose le mot jute pou khôra, n lappele enn, eemême, audelà de tous les tous et détous de la hétoque, n en enn abode abode,, eemême, pou ce quelle qu elle aua été, hos de tout pont de vue, hos de toute pespectve anachonue Son nom nest pas un mot jute. l est poms à neaçable même s ce qu nomme, khôra ne se édut édut pas, p as, sutout pas, à son nom La topue et lanachonsme sont névtables Et tout ce que nous voudons monte, cest la stuctue qu, les endant ans névtabes, en at aute chose que des ac cdents, des ablesses ou des moments povsoes Cette lo stuctuale paat ne pas avo été appochée comme tee pa toute lhsto des ntepétatons du Timée l sagat ben dune stuctue et non de quelque essence de a khôra, la queston de essence nayant plus de sens à son sujet Comment, nayant pas dessence, a khôra se tendatelle datelle audeà audeà de de son nom ? La khôra est aachroique, elle elle est » ana anachone dans lête, meux, lanachone de lête Elle anachonse ête Toute lhstoe des ntepétatons, 25
venonsnous de de On népuse jms lmmense lttétue conscée u Timée Timée depus lAntquté. I est hos de queston de tte c dns son ensemble. semble . Et suout de pé pésu supp ppos ose e unté ou homogénété de cet ensemble, l possbté même de e totse dns quelque ppéhenson ppéhenson odonnée. Ce que nous pésupposeons en evnche et on pout encoe ppee cel une hypothèse de tv ces c estt que pépésompton dun tel ode (ssembement, unté, totté ognsée p un telos un en essentel vec lncho nsme stuctul dont nous pons l un nstnt. Il set névtble eet podut p quelque hose omme khôra qu nest ps quelque chose, et qu nest omme en, ps même comme ce set làbs làbs udeà de son nom, nom , ele set elemme Rches, nombeuses népusbles es ntepéttons vennent en somme nome sgncton ou veu de khra. les consstent toujous à lu doer doer foe o e en l détemnnt, ele qu unt ne n e peut peu t s s o o ou se pomette pomette quen se soustynt à toute détem 26
naton à toutes es maques ou mpessons auxquees nous a dsons ex posée à tout tou t ce que nous nou s voud v oudons ons u donne sans en espée ecevo d ' ee . . . Mas Mas ce que nous nous avan avanço çons ns c c d e ' ntepét ntepétat aton on de a khôra - du texte de Paton su a khôra en paant de fome donnée ou eue de maque ou d'mpesson de connassance comme nfomaton etc tout cea puse déjà à ce que que e texte texte dt dt u u mê même me de a khôra, à son dspostf conceptue et heméneutque. Ce que nous venons pa exempe pou 'exempe d'avance au ujet de (( khôra dans e tete de Paton epodut ou epote smpement avec tous ses schèmes e dscous de Pato Patonn au suj s ujet et de la kha. Cea jusque dans cette phase même où je vens de chèm hèm.. Les kh khme sev du mot de c mata sont es gues découpées et mpmées dans a khôra, es fomes qu ' nf n foment. Ees E es u even evenne nent nt sans u u appaten. Des ntepétatons vendaent donc donne fome à khôra en y assant a maque schématque de eu em pente et en y déposant e sédment de 27
u appt. Et putant khôra smb n jamas s ass mêm at tn u tuch nc mns n tam sutut pas épus pa cs types tauctn tpqu u ntpéta t. On n put mêm pas qu'l u funss suppt 'un substat u 'un substanc stab. Kôra n'st pas un sujt. C n'st pas sujt. N sbjetile. Ls types hménutqus n punt nfm s n punt nn fm à kha qu ans la msu naccssb mpassb amph » amorpho 5 a) t t tuj tuju us s g 'un gnté acalmnt l à l'anhpmphsm semble eoir cs typs t lu doer lie as s Tmé l nmm écptac dekhomeo u lu khôra cs n ésgnnt pas pas un ssnc ' ' êt stabl stabl 'un eidos pusqu khôra n'st n ' 'eidos, ' eidos, n l' s mmêms s mags l' eidos qu n nn nnt nt s'mp s' mpm m n qu qu ans ans st pas n'appatnt pas aux ux ns 'êt cnnus u cnnus. El n'st pas t c npasêt n put qu aoer c'stà auss bn n pas 28
s ass pn ou concvo, à avs s schèms anhopomophqus u reeoir ou u doer Kôra ns pas, suou pas, un suppo suppo ou un suj suj qu qu doerait u n cvan ou n concvan, vo n s assan concvo Commn u én c sgncaon ssn écpac aos qu c nom mêm u s onné pa aon Cs Cs c. u uê ê navonsnous navon snous pas nco pnsé c qu vu reeoir cvo c écpac, c qu dekhomai dekhomeo uê sc khôra qu nous commncons à ap app pn n à c cvo, vo, à c cvo vo c qu son nom app cvo, snon à compn, à concvo. n aua éjà maqué, nous sons mannan khôra non, comm a oujous vouu a convnon, la kha ou nco, comm nous auons pu fa p a péc pécauon, auon, m o , concp, a sgnc sgn caon aon ou a vau kha Ca pou pusus asons on a pu pa son sans ou éjà évns. Lac én pésuppos snc un chos, éan khôra auqu, à a 2
ves un nm cmmun, l seat facle de se éfée. O ce qu est dt de khôra, cest que ce nm ne désgne aucun des tpes détant cnnus, ecnnus u, s ln péfèe ence, rçu pa le dscus phlsphque, cestàde pa le loo otoloiqu qu fat la l dans le Timé khôa nes n sensble n ntellgble. Il a khôra, n peut même sntege su sa phyi et sa dyami, au mns s nte ntege ge pvsement pvsem ent à leu leu égad, égad, mas ce quil qu il y a là nest pas; et nus evendns plus ln su ce que peut dnne à pense cet il y a qu dalleus ne do en en nnant leu u n dnnant à pense, en qu l sea squé d v léquvalent dun ibt, de ce ibt qu este sans dute mplqué dans tute thélge négatve à mns qul ne lappelle tujus, en sn hs e chétenne. Au leu de la khôra, se cntenteatn als als d e de pud p udem emmen mentt le mt, le nm cmmun, le cncept la sgncatn u la valeu de khôra Ces pécautns ne suaent pas, elles pésuppsent des dst d stnctns nctns (mt ( mtcn cn-cpt, mtcncept1 chse, sens1 éfé 3
, sgcato valu, o omab, tc.) qu plqut llsmês la possblté, au os, du état déteiné, dstct du aut t ds acts qu vst, u ou so ss, à tavs ds acts d agag, désgatos gat os ou o u sgasatos. Tous cs act acts applt à ds gééaltés, à u ordre ds ultpctés g, spèc, dvdu, typ, schèm, schèm, tc tc O c c qu ous pouvos , sbltl, d khôr das l Timée, cst qu ququ chos », qu st pas u chos, mt caus cs pésuppostos t cs dstctos : « qulqu qulqu chos » st ps u ch chos t s soustat à ct od ds mutplctés. Mas s ous dsos khôr t o l kh, ous fasos b co u om U om pop, cts, as u ot, tout comm pot qu o comu, u mot dstct d a chos ou du cocpt Daut pat, om pop paat, com toujous, attbué à u pso, c à u fm Put êt à u fm, putôt à u f Estc qu qu cla agg aggav av pas pa s s s squs dathopomophs cot lsquls 31
us vus us gad Cs squs ss pas cuus pa a u mêm quad l smb cmpa cmm d khôra à u mè u à u uc vau d écpac s pas auss asscé cmm a maè passv vg à éém ém pécsém das a cuu gcqu Cs bcs bc s s pas sas vau. ua s khôra pés b cas caacès du m cmm m pp sac qu pa sa ééc appa à d uqu ( a das Timée pus pus guusm guu sm das passag du Timée qu us ab ds pus ad e ele khôra cs b as qu us ds a quu s dvsb s éé d c ééc pua xs ps a pas s caacès du éa ds pa à du éa vab da d ass tliqe à sav sav d u a a gb g b ssb a kha mas la kha xs pas Lacm d ac dva pu sa sus d a déma ds ds gu ms vsbs (us cs u m d a das passag du Timée 32
ne sachant pas encoe ce qu'l veut de et comment le détemne) et a éféence à quelque chose qu n'est pas une chose mas qu nsste dans son uncté s éngmatque, se asse ou se fat appele sans éponde, sans se donne à vo, concevo, détemne. Pvé de éféent ée, ce qu en eet essemble à un u n nom pope se touve auss appee appee u n X qu a pou popété, pou phyis et pou dyami da le texte, de n'avo en en pope et de este nfome Cettee tès snguèe mpomp oamorpho) Cett pété, qu justem j ustemen entt n' n ' est en, volà ce que khôra dot, s 'on pet de, ardr voà ce qu'il qu' il faut lui ardr, ce qu'l ou faut lu gade. Pou cela, l faut ne pas la confonde dans une généaté en u attbuant popement des popétés qu seaent toujous celes d'un étant détemné, 'un des étants qu'elle « eço eçott » ou dont don t elle eç eçot ' mage mage pa exempe un étant du gene fémnn et c'est c'est pouquo a fémnté émnté de de la mèe mèe ou de a nouce ne lu l u sea sea jamas attbuée en pope. Ce qu ne veut pas de, nous y evendons encoe qu' s'agsse là de smples gues de héto 33
que Kôra ne dot pas ecevor pour ee ne dot donc pas reeoir seuement se lasse prêter es poprétés de e) quele reçot. Ee ne dot pas ecevo, elle dot ne pas recevor ce quee eçot. Pou évte toutes ces nfus nfusons ons,, l convent c onvent,, parad paradox oxaement aement,, de ormalser son appoche et de tenr son sujet toujous le même angage è oo, oo, 5 b) b ) . Non pas tant de lu donner toujous e même même nom nom » comme on ta tadu dut t so souuvent, mas de parler d'ele et de lap er de la même faço aço.. dèement en mme, même s cette foi est réducbe à toute aute. Cette façon » estee unque ou typque Atele a snguaté dun événement domatque u a génératé régée d'un schème utement dt, cette éguarté trouveee dans le texte de Platon, ou putôt das ele el e séque séquence nce du Timée, son unque meleure fomuaton ou ben lun de exempes, s prvégé sotl En qu, en quel sens daton du Timée q u est est exempla exemplare re Et s mpo mport rtee que ppeatio peatio este la même, putôt que p e om pouraton remplacer, eayer 34
taduie khôa pa d'autes noms en s'eoant seulement de veille à la égulaité de l'appellation à savoi d'un discous Cette question ne peut pas ne pas ésonne quand nous nous savons pis dans une telle scène de lectue d ' avan avance ce compis compis dans dans l'l ' i mmense histoie des des inin tepétations et éappopiations qui viennent au cous des siècles s'aaie autou de kha, la penant en chage ou la suchageant d'insciptions et de eliefs en lui donnant fome en y i m pimant des types pou y poduie de nouveaux objets ou y dépose d'autes sédiments. Cette inteminable théoie des exégèses semble epoduie ce qui à suive le discous de Timée se asseait non pas avec le texte de Platon mais avec khôa elemême. Avec khôa eemême, si du moins l'on pouvait pa le ainsi de cet X (x ou khi lequel ou laquelle doit n'avoi aucune détemination pope sensible ou intelligile matéielle ou fomelle et donc aucune identité à soi. Tout se passe comme si lhistoie à veni des intepétations de 35
khôra état davanc éct, vo psct daac rproduit t rééchi dans ququs pags du Timé « au sujt » d llmê mêm m » Avc ss ancs kha « ll ncssants ls échcs, s sumpos tons, s sumpssons t émpssons, ctt hsto sac davanc pusqul s pogamm, podut t éécht pa antcpaton. Un hsto psct, pogammé, poductc, ééch, ééch, stc nco un hsto? mons qu l concpt dhsto n pot n u ctt pogammaton tééologqu qu annu n l consttuant. En décaant caant « volà commnt commn t on ntvot khôra khôra d faon dcl, apoétqu t comm n êv » , qu qulqu lquun un (Tm (Tmé é,, Platon, tc tc ) auat dt n n somm voà voà à quo ssmblont désomas touts s ntpétatons, t pou létnté, d c qu j ds là. Ells ssmblont à c qu j di d khôra t donc c qu j ds d khôra commnt davanc t déct a o d tout hsto d lhménutqu t ds nsttutons qu s constuont à c sujt, su c sujt. Rn d fotut à cla. Kôra ot, pou lu donn lu touts ls dét 3
mnaons mas ee nen possède aucune en pope. e es possède, ee es a, pusqu'ee es eço, mas ee ne es possède pas comme des popéés, ee ne possè possède de en en en pop pope. e. e n' n ' es es » en aue que a somme ou e pocès de ce qu ven ven s'nsc s' nsce e su su » ee, e e, à son suje, à même son suje, mas ee n'es pas e u ujet jet ou e u uppor port préent en t de oues ces nepéaons, quoque, néanmons, néanmons, ee ne se é édus du see pas à ees. ee s. Smpemen ce excès nes en, en qu so e se dse onoogquemen. Ce Ceee abse absenc ncee de suppo, qu q u o onn ne n e peu adue en suppo absn ou en ab sence comme suppo, povoque et é sse à oue déemnaon bnae ou daecqe o aasonnemen de type phosophque, dsons pus gou eusemen du ype ontoloique Ce ype se ouve à a fos déé e eancé pa cea même qu sembe u donne eu. ncoe devonsnous appee pus on, en y nssan de façon pus anayque, que que i l y lieu ou, ou , seon noe dome, lieu donné donne eu c ne even pas à fae pésen dune pace. L'ex pesson donner lieu ne envoe pas au 37
gs d'un suj donau suppo ou ogn d qulqu chos qu vnda à ê donné à qulqu'un Malgé lu caacè mdmn pélmna cs maqus nous p mn puê d'nvo la slhou u d'un d' un « log ogq qu u » don la fo fo-malsaon paaî à pu pès mpossbl. C « lo log gqu qu » , s sac c nco nco un logqu « un un fom d logqu logq u » pou pnd l mo d Vnan quand l logq qu u » du pal d ' u n « fom d log myh myh q u l s' s ' aga ga d « foul foul vo vo fomals omals » ? Un ll ll logqu logqu du myh myh xs sans dou mas no quson vn : la pnsé d khôa, qu n lèv évdmmn pas d la « logqu d noncon nonconad adc con on ds ph ph lo loso soph phss » appanll pou auan à l'spac d la pnsé myhqu? L loos « bâad » qu s ègl su ll sc nco un mythos Donnonsnous l mps dun long déou Consdéons la anè don la dalcqu spéculav d Hgl nsc la pnsé myhqu dans un pspc 38
tve tééoogque O peut de de cette daetque quee est et qu'ee t pas ue ogque de a ocotad Ee tège et relèe a cotad comme tee De a même maèe, ee eève e dscous mthque comme te das e phosophème a phosophe e devet séeu dapès Hege, et ous pesos a après Hege et après u, qu'à pa du momet où ee ete das a ve sûe sûe de a ogque c ' estàde ap ap avo abadoé, dss putôt eevé sa fo mthque mthque apès Pato Pato,, av ave Pato. La ogque phosophque vt à eemême quad qu ad e cocept se éve éve de so somme mthoogque Sm me et éve ca évéemet coste e u smpe smpe dévoemet dévo emet expct expcta a to et pse de oscee du ph sophème eveoppé das sa pussace vtuee Le mthème aura été qu péph éphosophème osophème oet et pom p omss à Auebu daectque Ce futu até eu tééoogque essembe au tem d'u éct mas c'est u ét de a ote hos du ét. maque a de cto aatve Hege expque 3 39
prenant a déf défense de son son « am Creuer et de son lvre Symbolik un My thologie e alten Vlke, besones e Giehen 80-82 Le logos mythoogque certes peut émettre a prétenton d être une espèc espècee du « phl ph loosopher>> pher>> (p. 1 8) Des Des phlo ph loso soph phes es ont pu se servr des mythes pour rapprocher es phlosophèmes de l'magnaton Mas « le cont conten enuu du myth mythee Phantasie). Mas est la pensée>> (ibi). La dmenson mythque reste formelle et extéeure. S le les myt mythe hess de Plat Platon on so sont nt « beaux s la « présentaton> présentaton> > Dastelung) my my thque de la la pensée es est « bele on aurat aura t tort tor t de cro crore re que les mythes mythes sont pus pus « émn émnen ents ts>>>> (voteiche) que le mode mode abstrat de le l expresson>> . En vérté Paton ne recourt au mythe que dans la mesure de son « mpussance> mpussance > > Unvegen) à « s'exprmer dans la pure moda modal lté té du pen pense serr>> Mas c ' est en par par te auss parce qul ne le fat que dans l ntrod ntroduc uct ton on aux aux dal dalog ogue uess et une une ntroducto ntroductonn n' n ' est jamas purement phph losophque on sat sa t ce que qu e Hege Hegell pense pense des nroductons et des préfaces en gé néral Quand l en vent à la chose 4
mêm u sujt prncpl Plton sxprm tout utrmnt. Pnsons u Pa ménie pr xmp x mpl l : ls smp s mpl lss détrmntons d l pnsé s pssnt dmg t d myth. L schém dlctqu lct qu d Hgl concrn concrn c uss bn b n l mythqu l gurtf o l symbo lqu. L Paénie st sérux » l rcours u myth n lst ps tout à ft. Tll qull commnd ncor ujourdhu tnt tnt d d évlutons évlutons t non non sulmnt dns l pnsé dt nglosxonn l'opposton du sérux t du nonsérux rcouvr c cll d l phlosoph comme tee t d s dérv ludcomytholo dcomythologqu g qu L valeu d l pnsé phlosophqu cstàdr uss son séieux, s msur u crctèr non mythqu d s tnur. Hgl soulgn c l vlur l sérux l vlur du sérux Arstot st son grnt Cr près vor déclré qu l vlur d Plton n résd toutf tou tfos os ps dns d ns ls myths De Wet Platon liegt abe niht in en Mythen p. 9) Hgl ct t trdut Arstot. Il convnt d sy rrêtr. On st rpplonsl u pssg vnt dbordr drctmnt c problèm d 4
que pods pèse l'ntepétaton astotécenne du Timée, notamment au sujet de khôa, dans l'hstoe des ntepétatons Hege tadut, donc, ou paaphase la Métaphysique m:pt j v V U KÇ oqnOÉVV OÙK � OV E 1uôfç K01ev Von enen, welche my-
thisch thisch phil philosophie hieen, en, ist es nic nicht ht e Mühe Mühe qu phwert, esntlich zu haneln ceux qu losophent en ecouant au mythe ne vaent pas la pene qu'on les tate sé eusement. Hege semble osce ente deux ntepétatons Dans un texte phlosophque a foncton du mythe est tantôt un sgne d'mpussance phosophque, ' nc n capac apacté té d ' accé accéde de au conce concept pt en tant que tel et de s'y ten, tantôt 'ndce d'une pussance dalectque et sutout ddactque, a maîtse pédagogque du phosophe séeux en pene possesson du phlosophème. Smutanément ou successvement, Hegel sembe econnaîte che Platon et cette mpussance et cette maîtse Ces deux évaluatons ne se contedsent qu'en appaence ou jusqu'à un cetan pont Eles ont cec en commun la subodnaton du 42
myh, comm foe dscusv au ontenu du concp sgné, au sns qu n pu pu ê, ê, dans dans son so n ssnc ssnc, , qu qu phlosophqu E l hèm phlosophqu l concp sgné, qul qu'n so la péentation foml mlll phl phlos osop oph hqu qu ou myhqu myhqu s s oujous oujous fo focc d lo, la mas ou la dynas du dscous On pu vo pass c l l d no quson s khôa n'a pas d sns o u d'ssnc, s c ns pas un phlo sophèm s pouan ll n's n l'obj n la fom d'un éc fabulu d yp myhqu, où la su dans c schéma? Appammn conadco, pofondémn cohén, c évaluaon logco log cophlo phlosophq sophqu u n' n ' s pas appliqé à laon. Ell lèv déjà d'un can « plaon plaonsm sm » Hg Hgl l n n l l pas pas la lao o dpus Aso à l'su d laon, comm comm s' s ' l déch déch a a un u n paqu don l sns sa s séé naccss nac cssbl bl à l ' auu d u Timée Un can pogamm d c évaluaon paaî déjà lsbl dans c œuv, comm nous allons l vé Mas puê à un ésv pès, c ésv supplémna poua 43
ge bte et de ce ft uss déb de ledt pgmme. pgmme dbd. csmogne du Timée pcout le cycle du sv su tutes choses. S n encyc pédque dt mque e teme le te/os dun logos u sujet de tut ce qu est « i KCi ÉOÇ m;p O 1VàÇ VV
àv Myov ÏV ÏV <EV EV xev » (« Et
mntennt déclns que nous vns ttent le teme de nte dscus su e Mnd Mnde. e. » ) (92c) (9 2c) . Ce logos encycopédque est une ntoge génée t tnt de tus les types dête ee cmpote une thége une cosm ge une physge une psycholge une ologe. Motels ou mmotes humns et dvns vsbles et nvsbes y sont stués. En e ppent en cncu son on epend dstnctn ente e vvnt vsble p exempe le deu sen sbe et e deu ntellgble dnt l est lmge (eikôn) e cosms est le cel (ouanos) comme vvnt vsble et deu sensbe. Il est unque et seul de s ce « mngène » Et putnt à mpcus du cyce e dscus su khôa nutl ps u 44
vet ete e sesble et tellgbe, appa appat te ea att à l u à ll aute, doc au cosmos comme deu sesble au deu d eu teg te gble ble u espace espace appaem appaem met met vde be be qu qu e so sot t sas doute pas le vie? Nat pas ommé ue ouvetue béate u abîme ou u chasme? N estce stce pas depus ce chasme, « e lu que ce cvage ete le sesbe et et l telgbe voe vo e ete et e le cop copss et âme peut avo leu et pede pace? Ne appochos pas top vte ce chasme ommé khôa de ce chaos qu ouve auss la béace de abme. Évv tos dy pécpte a fome athopo mophque et le pathos de eo. No pas pou stale à sa pae la sécuté due assse, l« exact coespodat de ce que Gaa epésete pou toute céa tue dès so appato à loge du mode : ue assse stable et sûe ja mas sopposat à ouvetue béate et sas fod de Chaos 4 Nous eco teos pus tad ue bève alluso de Hedegge à khôa o pas cele du Timée, mas hos de toute ctato et de toute éféece pécse cele qu che Pato désgeat e leu (Ot) ete 45
éan éan e e ' ' êe êe S a « d éence » de le l euu
ene es deux L concluson onoogcoencycopédque du Timée semble ecouv e chasme ouve au meu du ve e qu'ee ecouva alos, feman la bouche bée du dscous quasmen ned su khôa, ce ne sea peuêe pas pas seuemen ' abîm abîmee ene ' nelne lgbe e e sensbe ene l'êe e e nan ' êe êe e le monde monde êe, n même peuê peuêe e ene l'l ' êe e l'éan l' éan,, n même encoe ene logos e mythos mas ene ous ces ces coupes e un aue qu ne sea même pus leu aue. S ' y a ben ben un chas chasme au ml m leu eu du lve lve,, une soe d'a d' abîme « dans dans » equel on ene de pense ou de de ce chasme abyssal que sea khôa l'ouve veu uee d' d ' u n leu « dans dans » lequel lequel ou ou venda à la fos pende plae et se échi (ca ce son des mages qu s'y nscven), es nsgnan qu'une mise en abyme ègle un cean ode de compos composo onn du dscou dscous s?? e qu'e qu 'el lee èg ègee jusqu'à ce mode du pense ou du de qu do êe semblable sans êe denique à ceu ceu qu' qu ' on paque su les les bo boss 46
du chas chas m e ? Es Es nsgn ns gnan an que que cee cee mise en abyme aece es fomes dun dscous su es places noammen es paces poques une poque des places ou enèe commandée pa a consdéaon des eux (poses dans a socéé, égon, eoe, pays) comme eux assgnés à des ypes ou à des fomes de dscous?
I
Mise en abyme du dscours sur kha leu de la poltque poltque des leux telle serat donc la structure dune sur mpresson sans fond mée on dscute À louverture du Timée sur les gardens de la cté les cultvateurs et les artsans, la dvson du traval et léducaton. Notonsle au passage ben qul sagsse dune analoge de structure form formell ellee et extéreure extéreu re ceux quon élève comme des gardens de la cté nauront ren en propre (iion) n or n argent ls recevront de ceux q u ls l s pro protè tège gent nt le salare salare de d e leur leu r grade grade ( 1 8b) 8b) Na N aor ren en pope, pas même l or qu qu on peut seulement lu l u comp compar arer er (5a) nestce pas auss la stuaton du ste la condton de khôa Cette queston peut être posée même s on ne 49
souhate pas la prendre au seeu : s ormelle quelle sot lanaloge est peu contestable. On peut en dre de même pour la remarque qu sut mmédatement ( 18c) et touche à léducaton des emmes au marage et surtout avec lnstance la plus marquée à la communauté des enants. outes les mesures dovent être prses pour que personne ne pusse connaître et reconnatre comme les sens propres (iia) les enants qu vennen ve nnentt à naîtr naître (8cd). (8cd). Dans la procréaton (paiopoiia, toute attruton e proprété naturelle ou légte dot se trouver eclue par le mleu même de la cté S lon tent compte du at quun nstant aupara vant on avat prescrt une éucaton semblable pour les hommes et pour les emmes qu qu dov doven entt êtr êtree préparées au mêmes actvtés et au mêmes onctons on peut encore suvre le l dune analoge ormelle celle de ladte « compa omparason » de khôa avec la mère et sgne supplémentare depropraton ton avec la nourrce une telle compa rason ne lu assure aucune proprété au sens du gént subject ou au sens 50
du génf objecf n les popees dune génce (elle nengende en e na dalleus aucune popéé du ou n la popéé des enfans les mages dun pèe qu nen es dalleus pas plus popéae. C'es ase de lm popéé de lade compaason. Mas nous sommes peuêe déà en un leu où la lo du pope na plus aucun sens Consdéons mêm m êmee la la sa sage ge polq pol qe e des maages. Elle manfese un appo de éexvé abyssale e analogque avec ce qu sea d plus lon de kha des cbles ou des ms secoués e ou sélec sélec seiomena 5 2 e 5 3 a) pou e onne le gan e les semences ; la lo du melleu se cose avec un cean hasad O dès les pemèes pages du Timée dans un dscous pu emen polque on déc des dspo sfs desnés à machne en seet las somen des maages pou que les enfans enfans nassen avec avec le mel me lle leu u nauel possble. E cela ne va pas sans age au so k/éos 18de). Pé Pécsonsle cson sle dès manena man enan n Ces ana ana loges fomelles ou ces mises en abme anées subles (op subles pense 51
on ceans), nous ne es consdéons pas c, en pemie lieu comme des aces, des hadesses ou des seces de composon fomee : a de Paon 'écvan Ce a nous néesse e deva e fae encoe davanage, mas ce qu nous mpoe c même, e dabod, ndépendammen des nenons supposées d'un composeu, ce son es conanes qu podusen ces anaoges. Donsnous quees consuen un po gamme? une logique don 'auoé s'es mposée à Paon? Ou, jusqu'à un cean pon seuemen e cee me appaaî dans 'abîme même : êepogamme du pogamme, sa sucue de pénscpon e de pescpon ypogaphque fome e hème expce du dscous en abyme su khôa Ceec gue gue e eu d' d ' nscp scp on on de tout e qui au mone se maque. De même 'êeogque de a ogque, son logos essene, qu' so va, vasembabe ou myhque, fome e hème expce du Timée nous auons encoe à e pécse. On ne peu donc appee anquemen, sans aue fome de pocès, po gamme ou logique a fome qu dce à 52
Paton a o une tee composton pogamme et ogque y sont appéhenés, comme tels fûtce en êve et ms en abyme. Cette pécauton pse au sujet aaoges qu pouaent paaîte mpu entes, appeons e ta e pus généa qu assembe et autose a fos ces épacements, un eu a aute « an ans » e e « même même » eu eu I I t t évent, top évent même pou qun e emaque, et sa généaté na ans e aute mte queemême c est péc pécséme sément nt cee u genos u gee en tous genes, e a éence sexuee e a généaton es enfants, es genes ête et e ce tton genos quest (n (n sensbe sens be n ntegbe, « comme comm e une mèe ou une nouce, etc) Nous venon ve nonss e fae aus a uson on à tous ces ce s gen ge n e genes, nous navons pas encoe paé u genos comme ace 6 peupe, gou communauté, anté e nassance naton, etc Nous y voc Encoe ouvetue u Timée n appee une convesaton antéeue, un scous (logos) e Socate su a poltei et su son meeu gouvenement So 53
crate en fat le résu résumé mé ce sont les les thèmes dont nous venons de arl a rler er.. Au assage assage il du o khô ( 19a) pour désigner désigner la place assignée aux enants : l faut élever les enfants des bons ) transporter les autres autres en secret dans un autre pays continuer à les maintenr ma intenr en observaton et opérer une nouvelle opération ration de d e cribla cribl age en attrbuant attr buant à chacun sa place (khôran) Après ce rappel, So crate se dit d it ncapable de fare léloge de cette cté et de ses hommes. En cela l se sent comparable aux poètes poèt es et aux imtateurs. Et voc le genos ou l' et ethnos. Socrate dit ne rien avoir contre le peuple ou la race, la gent des poètes (poêtkon geno). Mais compte tenu du lieu et des condtions de nassance nassance auss ben que d'éducaton, la naton ou la race race des mitateurs (mimêtikon ethnos) aura du mal imiter ce à quo elle est e st restée étrangère à savor ce qu se passe en actes et en paroles (ergos, (ergos, logois) plutôt qu'en spectacles spectacles ou en smulacres. Il y a aussi le genre ou la gent des sophi stes sophistôn genos) Socrate prvlége (tôn sophistôn ic encore la situaton, le rapport au leu l eu : e genre des sophstes se carac caractér térse se «
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par labsence de leu propre déconomie de domicle xe; ces gens n'on pas de domesicié, aucue maiso qui leur sot popre (oikê l s erent erent oi kêseis seis idias). idias ). ls
de leu en leu de vlle en vlle inca pables de comprendre ces hommes qui on t li lieu eu,, c'est ph ph losop losophes hes et poltques poltq ues ont àdre agssent par le geste et par la parole dans la cté ou à la guerre Poiêtikon genos mimêtikon ethnos, tôn phistôn genos après cette énumération que restetl? Eh ben vous à qui je parle en ce moment, qu êtes auss un genos (19e) et qu appartenez au genre de ceux qu ont lieu, par nature et par éducaton Vous êtes donc à la fois de phlosophes et des poltques. La stratége de Socate opèe elle même depus une sorte de nonleu, e cest ce qu la rend déoutante, snon aolante En commençant pa déclaer qul est un peu comme les poètes, le mtateurs et les sophstes ncapable de décrre les phlosophespoltques So crate fent de se ranger parm ceux qu fegnent Il aecte dappartenr aux genos de ceux dont le genos consste à aecter : à smuler lappartenance à un 55
eu et à une communauté, pa eempe au genos des vas ctoyens, phosophes e t potques, au vôte » Soate fat don semblant dappaten au gene de eux qu font semblant d'appaten au gene de eux qu ont leu, un leu et une éonome popes Mas, en dsant cea, Socate dénonce ce genos auque fat sembant d'appaten pétend de a vété à son sujet sujet en vété ces gens n'ont pas de eu, ce sont des eants. Don, mo, qu leu essemble je n'a pas de leu mo, en tout cas, je eu sus sembae, je na pas eu, mas que je eu sos sembabe ou essembant, cea ne sgne pas que je sos eu sem babe bab e Mas cet cette te vété, vét é, savo qu'eu qu 'eu e mo, s nous sembons appaten au même genos sommes sans eu pope, je 'énonce, pusque cest une vété, depus vote eu à vous, qu êtes du côté du va logos de a phosophe et d a potque e m'adesse à vous depus vote pace pou vous de que je n'a pas de pace pusque je essembe ceu qu font eu méte de a essembance, es poètes, es mtateus et es sophstes, gene de ceu qu nont 56
pas d plac. Vous sls av liu t pouv dir à la fois l liu t l nonliu n vérité, c'st pourquoi vais vous rndr la parol. n vérité vous a donnr ou vous la laissr Rndr lassr, donnr la parol à l'autr, cst dir vous av liu, a liu, vn La duplicité d ctt auoxclusin l simulacr d c rtrait jou sur l'ap partnanc au liu propr, comm liu politiqu t comm habitation. Sul ctt appartnanc au liu autoris a vérité du logos c'stàdir aussi son ctivité politiqu, son cinc pragmatiqu, praxiqu, qu Socrat assi régulièrmnt au logos dans c contxt C'st l'ap C' l' appa part rtn nan anc c d ' u n genos à u n liu prop propr r qui garantit la vérité vérité d d son logs (rapport ctif du discours à la cho mêm, à l'aair, pagma t d son action (paxis egon). Ls Ls spécialists spécialists d u nonliu t du simulacr (parmi lsquls Socrat act alors d s rangr n'ont mêm pas à êtr xclus d la cité comm ds phaakoi ils s'xclunt d'uxmêms, comm l fait Socrat ic n rnd rndan antt la parol. parol. Il Ilss s ' xclunt xclunt d ' ux mêms, ou fignnt d l fair, aussi 57
ben be n pa pace ce qu qu s n n ont tou tout smpement smpement pas de pace. I ny a pas de pace pou eux dans e eu potque où on pae et tate des aaes agoa en que e nom sot déjà pononcé 19a) a queston de khôa comme eu généa ou éceptace tota (panekhs) nest cetes pas encoe posée Mas s ee nest pas posée comme tee ee at sgne et ponte déjà a note est donnée. Ca dune pat a poyséme odonnée du mot compote toujous e sens de eu potque ou pus généaement de eu inveti pa opposton à espace abstat. Kôa « veut de » : pace occupée pa quequun pays eu habté sège maqué, ang, poste poston assgnée tetoe ou égon. Et de at khôa sea toujou tou jouss déjà occupé occupée e nveste même comme eu généa et aos quee se dstngue de tout ce qu pend pace en ee. où a dcuté de a tate comme espace vde ou géométque voe cest ce quen da Hedegg Hedegge e com comme ce qu qu « pép pépae » espace catésen extenio de a es extena Mas daute pat, en ce eu pécs et su ce eu maqué e dscous 58
de Socate, snon le dscous socatque pocède ou aecte de pocéde depus leance, depus une place oble u non aquée, en tout cas deus n esace declus q cot neulsé. Poqo nu S Socate fent de se ange pa eu dont le ene est de navo pas de leu l ne sassle pas à eu, l dt qul leu eemble l se tent donc dans un tosèe gene, en quelque sote celu des sophstes, poètes poètes e t aute autess i i tateus (ont il pale), n celu des ph losophesoltqus auquel il parle en lu poposant seuleent de lécoute Sa paole nest n son adesse n ce quelle adesse Elle aive dans un tosèe gene et et dans ll espa espace ce neute d un leu sans leu un leu où tout se aque as qu sea en luêe non aqué Ne essebletl pas déjà à ce que dautes, plus tad, ceulà êes la paole appelleont à qu qu l onne l onne la Sple esseblance, sans doute. Seul un dscous du gene sophstque sophstque auat auat lndécence den abuse. Mas abuse dune esseblance, nestce pas la pé sente coe une dentté nestce pas 59
ame On peu au 'neoge u e aon de a eemblance comme ele. Nou omme dan e péambule, noe péambule u e péambule du Timée. Pa de phoophe éeue dan e noducon, u au plu de a myhologe, da Hegel. Dan ce péambue, n'e pa encoe queon de khôa du mon de cele qu donne eu la meue du como. Pouan u un mode ngue, a place même du péambue fa place, u le eul un aemen de la pace, une agnaon de eu pace aux nelocueu qu eon amené en ae pu lon E cee agnaon de place obé un cèe cèe celu de a place du genos au egad du lieu pope. O, dune ee me en cène on n'a jama emble enu compe, ce compec Ele dbue le eux maqué e e leux non maqué elon un chéma analogue celu qu odon nea pu on e dcou u khôa. Socae s'eace eace en lu ou e ype, ou e gene, au ben ceux de homme d'mage e de muace 60
auxques il feint de essembe un mment que celui des hommes d'actio et des hommes de paoe phiosophes et poitiques auxquels il sadesse en seffaçant devant eux Mais en seaçt ainsi il se situe ou sinsttue e d nata écpt disons en épa tout ce qui va désomais sinscie S paole eçoit en son événement mêm plus quele ne donne. l se dit cela p et paé disposé vr tot ce u' on lui lu i o oia. ia. Les mots mot s de ko et de n de n kh khom omno nonn ne sont pas tè mpe -e oùv KeKO!Ivoç ' K VWV ûl!OÇ rv ôxe Me voici tout pêt ' acce accept pte e et pe
d entain entain pou ecevoi ecevoi tout ce que qu e vu vu m ' o oi ie ezz » (2 ( 2 c ) . Une Une fois fois de pu puss question question evient evient : que qu e veut die vr Que veut die die kkhoma homa ? l sagit min avec cette question en fome de qe veut veut di diee ? » , de médi médite te su su e JnJ de telle ou telle expession que de emque le pli pli d' d ' une immense immense dict dictéé e appot si ancien si taditionne si déteminant ente la question du sns ou du sensible et cele de la éceptivité en généal. Le moment antien ic 61
quelque rvlège ms vnt ême que lintuitus l intuitus eivativus ou l sensbté ure ne soent détermnés comme récetvté, le rort ntut ou ercet u sens inteligible tojours comorté chez lêtre n en génér une rréductble récetvté. C est vr a fotioi our lntuton ou l er ceton sensbles. Dekhomai qu détermner le rort de khôa à tout ce qu nest s elle et quelle reçot (ele est panekhs ) joue sur to t ou t e une gmme de sens et de connottons : recevor ou cceter (un déôt un sre, un résent) ccuellr recuelr, vore ttendre r exemle le don dune hostlté, en être le destntre comme cest c le cs our Socrte dns une scène de don et de contredon. Il sgt de rendre (antapoiômi) e don ou hostlté des dscours. Socrte se dt rêt à recevor en échnge les dscours dont l devent e destntre ccuellnt récet, reconnssnt (2bc). Nous sommes encore dns un système de don et de dette. Qund nous en vendrons à khôa comme panekhs, udelà de toute n 2
thrpmrphe nus entreverrns peut être un auelà e la ette. Scrate nest pas khôa mas l lu ressemblerat beaucup s elle état quelquun u quelque chse n tut cas l se met à sa place, qu nest pas une place parm dautres mas peut être la plae mme l rrempl rremplaça açable ble place rremplaçable et mplable plae depus laquelle l reçt la parle de ceux devant lesquels l seace mas qu la reçvent auss de lu car l les fat parler. t nus auss, mplacablement. Cette place ntruvable, Scrate ne oupe pas mas cest celle depus laquelle, dans le Tmée et alleurs, l répon à on nom. Car l faut tujurs cmme khôa, « l app appel eler er de la même même façn » t cmme cmme l n n est pas pas sûr que Scrate lumême, celuc, st quel quun u quelque chse, le jeu e nom pope devent plus abyssal que amas questce que le leu? À qu et à qu dnnetl leu Questce qu a leu sus ces nms Qu estu, Kôa?
prmuttion ubtitution dé pcmnt n touchnt p umnt d nom. mi n èn dépo lon un nchâmnt d dicour d typ nrrtif rpporté ou non dont origin ou prmièr énoncition mbl touour rlyé print d prîtr mêm où ll pprît Lur imnion mythiqu t prfoi xpoé comm tll t l mi en bym donn rééchir n imit. On n it plu où prfoi l ntimnt d r tig ur qul bord urfc d qull proi cho chm kh Qund l touchnt xpicitmnt u myth l propoition du Tim mbnt tout ordonné un mo Dn duplicté mêm contiturit l phioopèm du m 65
thèm t qu d Pton g nou oyion tout à hur intr. 1 . Dun D un prt prt myt myth h rè rè du du ju On n prndr donc p u ériu Pton préint ini Aritot i udnt d objction ériu dAritot t fit mêm ug d oppoition oppoition ju1ériu (paiia1spoué) u nom du ériu phioophiqu. 2 Mi dutr prt dn ordr du dnir qund on n put prétndr à un logos frm t tb qund on doit contntr du rimbb myth t d riguur i contitu riguur u poib. C du motif nchêtrnt nécirmnt c qui donn u ju on éru t u ériu on ju. I nt p intrdit i nt p mêm dici d dicourir ialogisasthai 59c u ujt d corp qund on chrch umnt rimbnc. On put or contntr d form ( iean) d myth rimbb (tôn eikotôn thôn) Dn c momnt d récrétion on bndonn rionnmnt u ujt d êtr étrn on chrch rimbb u ut du dnir On put 66
lor y prndr un piir (hènèn) rmord ouir modérémnt t rio nblmnt du u adan, 59d Tmé multipli propoition d typ diour mythiu limg rimbbl pr u mond nib luimêm pp 'img. dnir nibl t u img un mbln t l myth u img d tt im murg formé omo à l l mag mag du prdigm étrn ui ontmpl. lgs u pport à img êtr ô niu doit êtr d mêm ntur : u lmnt ri rimbl mblbl bl ( 2 9b 9b d d I n n fut ptr dn domin domi n l myt ri r i mb mb bl bl » (n ka myhn e n p hrhr plu oin (29d ui 44d 48d 57d 72d Si lnylopédi omoontoogiu du Tmé prént omm un myth ri rimb mbb b » un réi réitt ordon ordonné né à loppoition hiérrhié du nib e d lintligib d limg n dir t d lêtr étrnl ommnt y inrir ommnt y itur l diour ur kh Il n t bin un momnt inrit m il port ui ur un lu dnscp
ont il t clirmnt it quil xcè ou pécd, n un orr 'illur logiqu t chroniqu nchroniqu ui l oppoition contituti u mythologiqu comm tl u icour mythiqu t u icour u l myth. D'un prt n rmblnt à un rion nmnt onqu t bâad c icour fit pnr à un ort myth n l myth à un bm ourt n l myth géné générrl. l . Mi utr utr prt onnnt à pnr c qui n'pprtint ni à l'êtr nibl ni à lêtr intlligibl ni u nir ni à l'étrnité l icour ur khôa n't plu un icour ur l'êtr il n't ni ri ni rimblbl t prt onc hétérogèn u myth u moin à l mythologiqu à c philoophomythèm qui oronn l myth à on /o philoophiqu 'bm n 'our p 'un ul coup u momnt o l thèm générl khôa rçoit on nom u bu miliu u lir. Tout mbl r comm - t l comm nou import ici l frctur ct bm 'nnonçit fçon our t ourrin préprnt t propgnt pr nc imulcr 68
t mi n abym : un éri ti mythiqu nhâé un n utr oniéron bor n mi n èn u Tmé è ébut qu Mrx pp moè égyptin rtin rtin motif motif qu q u on pourrit pourrit nmmr nm mr ypmphqus y ntiipnt équ ur kmagn portmprint mtièr toujour prêt à roir m print, ou nor ur 'mprint u mêm rif imprimé kpôma) utnt tour pour pprh énigm khôa Pmè ccunc éc pur nfan. T qu nou print prt pr un éri ri tinn qu nou nyron pu oin pr u iux prêtr égyptin ègu nt tu éritur I oppo u myth tut impmnt. ou Gr iti Soon ou êt omm nfnt ou nz p trition érit Apr un tym ou z ou rn ntr. hz nou n Égypt tout t érit (pana ggammna pui palau au)) (2 tmp tm p pu nin nin (k pa t mêm otr propr hitoir à u 69
es Grecs. ous ne sez s d'où ient otre cité ctuee cr ceux qui sur ient ux fréquentes ctstrohes meurent eur tour sns oir été cbes de s'exrimer r écrit (23c. Priés d'rchie écrite ous recourez dns os généogies des mythes enf enfntin ntinss » (2 ( 2 3 b . ous n' n ' ez ez s 'écriture i ous fut e mythe. et échnge ne s sns queques rdo rdoxes xes forme formes. s. Comme Com me e e mythe de son origine mémoire d'une cité se oit conée non seuement une écri ture mis 'écriture de 'utre u se crétrit d'une utre cité e doit insi s'aée deux fois our se suer et i est bien question de sut de sauve une mémoire (23 en écrint sur es rois des temes. mémoire inte doit s' s ' exier dns es estiges estiges grhique grhiquess d'un aue lieu, qui est ussi une utre cité et un utre esce oitique. Mis suériorité technogrhique des Égytiens gytiens n' n ' en est s moins subordonsubordonnée u serice du lgs grec ous es Grecs ous surssie surssiezz tous es homme hom mess en toutes sortes de quités comme i sied des reetons et des éèes des 70
dux. Nombux gnds fun xpos ux d o é s n p é (gegrammena) on d m m » (2 ( 2 4d. 4d . mémo mémo dun u u s sonné s ss ppop p un u u pup pup o o p p un u n u u uu phénom phé nomèn èn bn bn onnu on nu d hso ds uus n n uh d oonson. Ms f p fo sgnf mémo déposé s oné n dép su s gs dun pup qu dé du mons son dmon dé dn s subodnon. gypn s ppopé uu du m g u u dépnd mnnn mn nn d hypmnèse d éu d s d s monu mo numns mns : Tho Tho mès omm on oud d d ous ous du d u pê ou n n pè pè ég égp p s d s'n s' n p pè è n n g g ds Gs. Suon ms u dsous sr du du m d s s su s dux mémo Secne ccence recevir e pe er lenfance. s ppo don é d Soon qu ppo umêm é quun pê égypn u 7
u uet e l fonction myhologque prciment n l mmoire e Athnien Plu prciment encore : riti rpète un rcit quil it à fit l eille et u cour uquel il rpportit un entretien entre Solon et riti on rrièregr rrièregrnp npère ère entretien entretie n ont il it eu luimême l reltion qun il tit enfnt e on ïeul riti qui tenit luimême e Solon l reltion e lentretien que qu e ce ce ernier t t eu e u en Égypte ec le ieu prêtre celuilà même qui lui lu i epliqu epliquit it en omme om me pourquoi pourquoi tou tou le Grec ont lir à l reltion orle à l trition orle qui le print criture le etin à l'enfnce per ptuelle! oilà onc une reltion e reltion orle une un e chîe e trition orle pr lequelle ceu qui y ont uetti 'epliquent comment un utre enu un py 'criture leur eplique orlement pourquoi il ont etin à lorlit. Autnt 'enfnt grec onc eu l et petitl rchint entre eu mi grâce à l mition un utre à foi trnger et complice uprieur et infrieur l mythopotique mythopotique e l reltion orle orle Mi M i 72
nco un fois cl n nous f ps ouli (puisu c'st cit u tout cl st cit n c liu ui ç tout ns c cs soi l Tmé t n lui ss clui qui comm nous vnt nous tout, ns ctt tho cptions Soct. À l n cs cits cits, p cs ltions nscits ls uns ns l uts u point uon s mn u nt ui n niti n l isu ui pnd l pol t qui l i jun itis cont commnt commn t il s s u int tout cl Rcit su l ps lit li t u c ctt popo poposs su login, l ogin, ll n fnc l mmoi t lcitu omm j l fs l plus sount j cit un tuctio tuctionn cou cou nt nt (ic (i c cll cl l Riu Riu ition Bu n l moint u n mntionnnt l mot gc u s nt contt lig « Cst Cst pq mm l a dt dt r r h tt d st n srtant d j l a appté dnt m svnais ps ap ls av ttés n y sngant tt nt a tvé qasi tt l st ant l t mm n l dit à }6 q ns avns apps dans lnfan
73
dmure dans la mémire de ma nière surprnante (9uJn6v lc n ). Pur mi n et e ne sais si e purrais retruver le suvenir de tut ce que jai uï dire dire hir hir mai maiss ce que j ' ai ente entendu ndu il y a très lngtemps je serais bien étnné é ' si quelque chs m'n avait échappé Javais alrs tant de paisir tant de jie enfantine à l'entendre t le vieillard m'instruisait de si bn cœur tandis que je ne cessais de l'interrgr que cette histire est demeurée en mi cmme si elle était peinte à la cir en caractères ineffaçabes &m: { ÈyKOUJ: ivEKÂUu yqÇ ËJOV Ot yyovcv) (26bc) ,9Jt)
Dn lepce de mémore dte nturee pontnée nte 'org nre e conerert meux enfnce ncrrt plu durlement dn cette cre que e temp ntermédre nterméd re.. e f fcement gurert ctégore du mi liu, à fo pour lepce et pour le temp. Il n'ectert que le mpre on econde econde ou econdre econdre moyenne ou médt méd te e Ine In eçle çle ert ert l m m pre preon on orgnre orgnre une u ne fo o qu q u ' ele ' ' et et enfoncée dn cre erge Or que pésn une cre erge toujour erge précédnt oument toute mpreon poe toujour plu 74
iill prc qu intmporll qu tout c qui mbl ctr pour prndr form n l qui ç nénmoin t pour mêm mêm rio rionn toujour pl un un infnt mêm chroniqu t nchr niqu i indétrminé qul n up port mêm p l om t form d cir? ion ctt qution un u juquu momnt où i y ur u rnommr khôa Mi il flit d fir pprîtr homologi c chèm c c l contnu cont nu mêm m êm d ré réits i ts n éri érité té chqu contnu n nrrtif f ulux ctif légndir ou mythiu pu pu mport mport pour pour i in nt tnnt di din ntt on tour contnnt un utr rit Chqu récit t onc écpacl d utr. Il ny qu d récptc d récptc nrrtif. Noublion p qu récptcl liu dccui ou dhé gmt (hypkhè) ct l dérmntion plu initnt (n dion p ntil pour d rion dé i dnt d khôa Mi i khôa t un récptc i l onn liu à tout l hitoirs ont logiqu ou mythiqu quon put contr u ujt d c qull roit e 75
mêm c à uoi ll rmb mi ui n fi prn pc n ll khôa lmêm i on pu ir n int objt ucun éc u'i p pour ri ou pour fbulux. Un crt n crt rt à jmi impénétrbl à on uj Sn êtr un lg ri prol ur khôa nt p ntg un myth rimblb un hitoir u'on rp port t n lul un utr hitoir prnr pc à on tour Rprnon cho plu hut. Dn c ctio ctionn u u t l ' nmbl éc u ilogu intitulé Tmé on pr bor bor 'u ' u n i iog ogu u u u urit urit u liu con con l ill khh 7 . ction (F2 un contnu l moèl ctf ctf un cité ié iéle le ( 7c 7c u trou trou écrit ur un mo nrrtif. Un tructur incuion fit ction nclu hèm n ulu ort l ction ntériur ui n t l form ncluan l contnnt cpb ion l récp tcl Socrt ui nou on noté fit gur tintir génér cpbl tout ntnr onc tou 76
rcoir (comm nous ci mêm fct 'intrrompr lors ct nchîn mnt mythopoétqu. Ms cst r l rlncr plus b props d c Éa poitia qu o a décr, u sr d s j'a éro s égar égardd . . . C C prs prss s rss rss l l à cl u l rssra, quad, aa vu ulqu par d aux êrs vvas zôa ka/), gurés pur hypo graphè so ré v, as s a r, o épruva désr d s vr s r ês uv cur r ul u lqu qus su uss ds xr xrc cc css qu q u parass parass o o r à ur crps. Và c u j rsss o auss à lgard d lÉa d ous avo curu pa : jaras à dr rao qu cs us qu su u Éa, l l fr, u auss, cr daurs Éas Qu arch, c fau, à a aall qu da la gurr, s r dg d l's d léduca doé aux cos das ss péras, so das ss égao au rg rgard d d chacu ds aurs Éas » 1 9) Eh apprz r a
Dsir Socrt clui qu rot tout un fois plus onnr o onnr t moumnt à un grap ni mrr un un oog oogr rphi phi utrmnt utrm nt oir s ' nim 77
dit un rprénttion pictur d cription ou 'incription mort du i i mi c't ui nt. Donnr i gurr. t donc mort C déir t ui poitiqu. Commnt nimr ctt rprénttion du poitiqu? Commnt mttr n moumnt c'tdir n mrch un rprénttion mort d plea n montrnt cité n rpport c d'utr cité. On décrir ini pr pro pr pintur dicuri moumnt d orti hor d oi d'un Étt. Grâc un ecne cn gaphque, on ortir d prmièr gaphé. Cci étit pu mort moin int qu cond dn mur où décrit cité n mêm uddn d'mêm n pix c propr in tériorité dn on économi dom tiqu ti qu poibiité d gur gu rr r fit fit or mg grphi grphiqu qu dcr dcript iption ion tir ' i mg d cité idé; non p ncor dn ré int int t mobi mobi mi dn dn un mi mi ur img un img int d c ré int t mobi tout n montrnt un fonctionnmnt intériur inté riur 'é ' épru gurr. À tou n n d c mot mot c' c 't t un expn écve d cité . 78
Au momnt où i dmnd u'on ort nn d ctt hucintion gr phiu pour oir 'img d cho mêm n moumnt Socrt déign n dénoncr poèt t ophit : pr dénition i ont incpb d or tir du imucr ou d ' hinion mimétiu pour décrir réité po itiu. Prdoxmnt c't dn mur où i ont touour dhor n iu propr t n domici x u c mmbr du mmkon hnos, du gnos ôn sophsôn ou du poêkon gnos rtnt impuint incpb d pr r d réité poitiu n tnt u' mur ahos, préciémnt 'épru d gurr. Du mêm coup ctnt d rn gr du d u côté d ct ct hnos ou d c gnos Socrt conf u'i t ui ui in cp cpb b d ortir ort ir pr pr uimê uimêm m d ui ui mêm d on rê mythomimético grphiu pour donnr i t mou mnt mnt à cité. cité. ( J m conni conni z pour oir u n r mi c pb d fir comm i fut éog d c hommà t d ur cité n gurr n négocition n i n mou 79
mnt]. Pour o oii cl cl n n ri rinn d éton éton nnt. Mi m ui fit l ê opin opinio ionn u u utt d d po poèt . 1 9d. 9d . Ironi uppléntir : Socrt n contnt p d rngr un momnt prmi l hom du iulcr zoo grphiqu il dit n p méprir lur gens ou lur ehns Cl confèr u u ntr l txt t l thè ntr c qui fit t c qui décr comm ntr incluio incl uion n ucci ucci d « récp tcl à thèm t à thè un truc tur n origin indiiib. Dn c théâtr d l'ironi où l cèn mbotnt dn un éri d récptcl n n t n fond commnt ior un thè ou un thè quon ttriburit piiblnt à l « philoophidP philoophidPt ton on o oir ir à la philoophi comm cho pltoni cinn? C rit méconnîtr ou dénir iolmmnt l tructur d l cèn tx tul croir réou tout qution d topologi topologi n générl générl y copri cl d liux d rhétoriqu rhétoriqu t croir croir comprndr c qu rcoir ctàdir coprndr ut dir Ct un pu tôt. Comm touour.
V
Driton Driton dè dè or or ' ' intrdir d d ppr d l phioophi d Pton d 'ontoogi d Plton oir du ptonim Nullmnt t il n'y urit n dout ucun rrur princip à l ir ulmnt un inéitb absci Planisme oudrit dir dn c condition l thè ou thèm quon ur pr rtic méconninc t b trction trit du tt rrché à ction écrit d Plton Ctt btrction trction un u n foi u u rinti rint i t dépoyée dépoyée on 'étndr udu d tou pi du tt d ru urdétrmintion rér qu'l indr rcourir t diimur. On ppr c ptonim ou phioopi d Plton c qui n · t ni rbi rbitr trir ir n i ilégitim pui qu'on rcommnd ini d'un cr 8
tin forc btrction thtiq à lœr jà n l txt htrogèn Plton ll trill t rnt jtmnt o l nom hiloohi Sil nt illgitim t rbitrir ll l lrr comm com m ll ll ll ll c t q iolnc rbitrir on btrction conit à fir l loi jqà n crtin oint t nnt n crtin tm à ominr lon n mo qi t jt mnt tot l hiloohi tr mo tif n qi ont i à lœr n l txt r r xml cx q i no intrnt ici r riilèg t à rtir n tr it itt tio ionn io ion n or fir it n tr ittion htoque bin q lhitoir n l l ont n on conct ct hritg hiloohiq lto nim t onc crtinmnt n t txt ign Plton, nnt longtm lt ominnt t or rion ncir mi ct t tro tojor rtorn contr l txt tt rrion iolnt oit ooir êtr nly on qon io à n momnt onn n l grn l ciit o nox intrmnt 82
nt ctt tchnologi ou ctt m thooogi un noul itution un nou xpérinc un utr rapp oint êtr poibl. ion c tro mot (itution xpérinc rppo compémnt pour n p étmn trop it t pour nnoncr nou qution trr ctt ctur ka Dr pr xmpl itution ou tooi lêtr xpérinc lê ou rp à lê, c rit putêtr trop i intllr n lpc ou pr qution u n êtr n on higgrin. Or qunt intrr tion higgrinn khra, no qu tion oint rr ui cin éciion écii on i i gg ggr r t ur horion mêm c qui form lhorion qution u n êtr t époqu rérion iolnt ont nou non prlr t toujour intéré intérnt. El trou nturl mnt à œur n ct nmbl n imit qu nou pplon ici l En contruint n pont ou form ominnt un momnt onn (ici l thè pltonicinn l philoo 8
phi ou lontologi l txt 'y nu tli ngouit utotuit ou i imu i mul l : inglmnt inglmnt ptillmnt poioimnt poioim nt foc foc ini inhi in hib b ontinunt nttni un ctin o l'incohnc potntill t l hto htog gn nit it n n l'l ' ognit ogniton on thè ll y intouint u pi tg l clntinit l nti loqui t utout un ton gnl ngtion quon put ppn p coi n y xçnt on oill ou u « plt plton oni im m » n' n' t p ul ul mnt un xmpl c moumnt l pmi « n » tout l'hitoi l philoophi Il l commn il com mn toute ctt hitoi Mi l e tout » ctt hitoi t conictul htogèn il n onn liu qu hgmoni ltimnt tbilibl Il n totli onc jmi n tnt qu tll t 'hgmoni un phi loophi it è lo toujou « pl tonicinn » D'où l ncit conti nu tnt pn c qui liu chz Plton c Plton c qui 'y mont c qui qu i y y cch cch pou po u y ggn ggn ou pou y p 84
Ro Ro u Timée. Au pit où ou omm, commt rcoîtr préset u rcit? Qui y pésete? Qu y tit l icour? À qui pro t l ti? Socrt, toujour, ou o jà iit ur ctt iguièr iymtri; mi cl rt cor trop itrmi, pr itio c poit oc, troi itc cti txtul ot iclu u utr, u comm cotu iform rcp tcl lu lutr F l l Timée uimêm, uit à ici à coupr, F2 trti il L Répbliqe, Po !iteia o coît c bt, F o rum prt, l criptio l po!iteia i Mi c fit qu commcr ( 7 9b 9b . D Dt t l tbu mort mort,, So So crt m oc quo p à i, u moumt t à rlit, pour prlr phioophi t poi tiqu, c ot l mimêtiko ethos poiêtiko geos t tô sophistô geos ot, u pu comm Socrt, ic pbl. Il r à itrocutur 85
comm un utr genos t ctt po troph l ir prlr n ur rcon nint pour c l droit t l compé tnc nécir. n 'çnt t n rndnt prol Socrt mb ui induir t progrmmr l dicour d dtintir dont il ct d d nir on tour lécoutur ou récp ur Pr lur bouch déormi qui prlr? ux l dtintir d So crt? ou Socrt lur dtintir? genos d cux qui pr ntur t pr éduction prticipnt ux dux ordr phioo ph ioophi phi t poitiqu (
rin ui uri u c Soon rin u cour uu c rnir r (F6 on our un nrin ui ur u c un rêr gyin u u uu c rnir rl (F7 à on r Ahèn Ahèn rè rè c c- origin ur gyinn. Or c n c rnir réci ( prmir n ri énmn nrif l rnir êr roré c rion rion u rv l réfrnc lcriur égypinn. cour cour c c rmirrnir réci réci pu pu myhiu n form il gi rr ux Grc ui on r nfn ul fu nfnc Ahè Or Ahèn gur un ci ui pu n oir p p u l bon ug ug criur nn moin ri moè ci égyinn on l rêr iu onc r rig igm m xmlir xmlir u u ui lul n omm il nc réci iu ui mb inirr o rouir l rci onc our modè un ur liu Ahèn. Ahèn ou on ul ui prn inir ou récc u réci n rin ini rè l rêr mêm ém 87
tu pouctu ou inpitu l infomtu Dn Dn l ctio ctionn F llmêm écite n loublion mi élopp ini un un théoi théoi ou un un pocion l éci tu noynt pa écit à un oigin plu iill qullmêm (F. Au cnt nt F3 t F4 un ot tounmnt un cttoph p pnt t lppnc ct quon coit lo p à l élité nn oti u imulc En éité tout t nco conné n lpc l ction zoo gphiqu On mu lioniqu ingé nuité quil fut à Soct pou féli cit p ux cho éiu xcé l pintu innimé pou o nn l éénmnt él Il ppluit n t loqu iti lui nnonc quil ppêt à cont c qu on gnpè lui it qu lui it it Solon u ujt c qu lui it coné un pêt égyptin millux xploi ccompli p ctt citéci (20 un c xploit étnt l plu gn tou (pantôn de hen megiston) onc ionnou n mimnt lgumnt int Anlm 88
à moins que ce ne soit celui de Gunion, un éénement qui dot i é l sns qi i neût ps été e pu grnd de tous Voià qui est bien p répond Socrte dns enthousise lgis Et de dender ussitôt que cet exploit, cette œure ctiv qu ne fut ps rpportée seue comme une ction ue fbe un quelue chose dont o se cntente de prler (u lgmnn) ms come hut fit i t réelement (ntôs) ccompi cette cité, jdis et dont Soon entendu prler Nous derions donc don c prler enn d d f (gn) értblement réeet (ntôs) ccompi comp i Que Qu e se psseti Remrquons dbord ue essentie nous iendrit de l boche de on lumême cité pr deux génértns de rits Or qui est Solon? On sempresse de le préseter comme un poète géni i urgence politique lui it is e oisir de se conscrer à son génie i et surp surpssé Hésio Hésiode de ou Ho Homè mère re (2 b b q ue So Socr crt tee eni enitt de dir d iree d Après ce que poètes près le tournt réiste 89
qu'on a ent de prendre ce surcroît d ' rone déstalse enore davantae l ermeté des thèses et des thèmes Il accen accentue tue la tenson dynamque entre entre l'l ' e et thétque et la cton textuelle, entre la phlosophe phlosophe ou la poltque poltque qu qu lu est e st c c as assocée ée cont conten enus us de sen sens dentales et transmssles comme dentté dentté d'un sav savo orr et d d autre tre pa part une dérve textuelle qu prend la orme d'un mythe, en tout cas d'un dt legoenon) dont l'orne paraît touours ndéne, reculée, conée à une responsalté sans cesse ajournée, sans suet xe et détermnale De relaton en relaton, l'auteur s'élone touours Le dt mythque ressemle alors à un dscours sans père létme Orpheln ou âtard, l se dstnue ans du logos phlosophque qu, comme l est dt dans le Phe dot avor un père responsa ponsale, le, un pèr père qu répo éponde pour pour lu et de lu e shème amlal depus lequel on stue un dscours, nous le retrouverons à l'œuvre au moment de stuer, s l'on peut encore dre, le leu de tout ste, à savor hôa D'une part, cellec serat le réceptacle et comme 90
l nouice de toute nissnce ( ev yvwç wç 'ooxJv &Hv oov Nouice elle elèe elèe insi 9vv 49) Nouice
de ce ttium quid dont l logique commnde tout ce qui lui est ttibu Dute pt un peu plus loin une ute « compison conenble nous est popose popose « Et i l conie con ient nt de comp e (poikaai ppi) le ceptcle une mèe le pdigme à un pèe et l ntue intemdiie ente les deux un enfnt (kgonon) (50d) Et pou tnt à suie cette ute gue et bien q u elle n n it plus l plce de l nouic nouicee mis celle de l mèe khôa ne fit ps couple ec le pèe utemnt dit ec le modèle pdigmtique Toisième gene (48e) elle npptient ps à un couple dopposition p eemple ce lui que le pigme intelligible fome ec le deeni sensible et qui q ui essemble essemble plutôt pl utôt à un couple pèe pèej ls L « mèe � seit à pt Et comme ce nest quune gue un scème donc une de ces dtemintions que eçoit kha, celle ci est pa plus une mèe quune nou ice et ps plus quune femme e titon titon gno gno n est ps ps un un gno et dbod 91
prce ue cest un indiidu uniue Elle n pprti pprtient ent ps à l rce des femmes (enos ynaikôn 9. Kôa mrue une plce à pr, lespcement ui grde un rpport dissymétriue ec tou ce ui, en elle à cté ou en plus delle, semble fire couple ec elle Dns le couple ors du couple cette mère érnge ui donne lieu sns engendrer, nous ne pouons plus l considérer comme une un e origine Elle écppe écppe à tou tou scème ntropoéologiue à oue istoire à oue rééltion à oue é rité Préoriginire, aant e ors de oue génértion, elle n même plus le sens dun pssé, dun présent pssé Aant ne signie ucune ntériorité temporelle e rpport dindépendnce, le nonrpport ressemble dntge à celui de linterlle ou de lespcement u regrd de ce ui sy loge pour y être reu E pourtnt le discours sur khôa, conduit pr un risonnement bâtrd e oi imô mô ti n i nothô; sns père légitime o 52b se troue inuguré pr un noueu retou retourr à l origine origine : nouelle nouell e surencère dns l régression nlytiue 92
Tot l Timée st insi scndé p d tos n iè tmps pop st ticlé p ds momnts qu pnnnt d pls pl s ht h t nco nco ls l s cho déjà tités pls ht Ainsi « D apr après cla cla s ll on vu vutt r r rllm wç comnt l Mon st n l at ar ntrvnr ans l rct lspèc a c rrant ( Kd 16 tfç ÀVWÉVTÇ h la natur son mouvmnt propr o aut ncor rch iÀ, rvnr n ar rprnr pour cs êm phnomèn nouvau ut appropr (p]Ku · px]v t comm nous lavons at ans c nous avons tui jusquc rconcr cs ats ncor par l concnt ù mp ttw it ŒpKt pK tÉo &' px 48a>
On n commnc commnc ps commn commn cmnt On n mont ps comm i st péc pécisé isé ssitôt ss itôt pès pès x pmi pincips o élémnts d tots cho (stoikeia tou pantos ft ll ps loin pnd tot c qon it pu consid considé é jsq jsq ici ici comm ll oigin oigin ni ni n dçà dçà ds pincips élémnti élémnti cstàdi d lopposition d p digm t d s copi Et losq po c fi fi on nnonc q on n co co 93
à es rmtion rmtionss risemblb risemblbles les ( v v v eh6 eh 6v v Àyv Ày v v V o enore 48 e) es estt por por à v dK6 dK 6v v c6y c6 y 48e) propo propose serr ssi ssi e « iise iiserr nt ntge » le prin prini ipe pe 48e) 48 e) : « Or e omme ommennement noe iisonsle pls m plement e notre premier ébt ébt Alors os ions istingé e formes 8v si'81) être Mintennt il nos ft en éorir n troisime genre ( pov p ov ÀÀO À ÀO yvoç yvoç v v À À ov ov)) .
Reprenons les hoses e pls ht el pet se trire insi : reenons en eçà isors ssré e philosophie i proe pr oppositions prinipielles et ompte e ll origine origine omme e n coupl noal. Nos eons reenir ers ne préoge i nos prie e ette ssrne et reiert même op n isors philosophie impr mené btr hybrie es trits ne sont ps négtifs Ils ne isréit réitent ent ps n isors is ors i serit serit sim sim plement inférier à l philosophie r s i l nest ertes ps ri selement risemblble il ne it ps moins le néessire sjet e l néessité ift insolite e tot e tete tient en 9
eet à l distinction ente ces deux modlités le i et le nécessie. Ludce consiste ici à emonte en deçà de loi l oi gine, ou ussi ien de l nissnce, es une net ui nest ni génétice ni engendée et ui pote l philosophie pécde (nt le temps ui sse ou le temps étenel nt lhistoie et eçoit l eet eet ici l i mge mge des op op sitions (intelligile et sensile l phi losophie. ette nécessité khôa en t le sunom pît si iege u'elle n même plus l gue d'une iege. Le discous su khôa joue donc pu l philosophie un ôle nlogue à celu ue joue kha ellemême pou ce dont ple l philosophie, à si le cosmos omé ou inomé dps e pdigme est dns ce cosmos un puise nénmoins les gues popes mis mis nécessiement nécessiement indéutes in déutes à d d cie khôa éce éceptcle, ptcle, poteempeinte poteemp einte me ou nouice es gues ne sont même ps de ies gues De ce uelles ppochent, l philosophie ne peut ple diectement, su le mode de l igilnce ou de l éité (i u isemlle. Le êe est ente les 95
deu ni lun ni laute La philoophie ne peut pale philoophiquement de ce qui eemble eulement à a « mèe a « nouice on « éceptacle ou on « pote oteemp empei eint ntee En tan tantt que telle telle elle ne pale que du pèe et du l comme i le pèe lengendait à lui tout eul Homologie ou analogie au moin fomelle une foi de plu : an de pene khôa il faut eeni à un commencement plu ancien que le commencement à aoi la naiance du como tout comme loigine de Athénien doit leu te appelée padelà leu pope mémoie Dan ce quelle a de fomel péciément lanalogie et déclaée : un ouci de compoition achitectua achitectuale le te uelle hitologique) et mme oga nique e péente comme tel un peu plu loin l appee le moti mo tiff oganicite oganicite d u Phède : un logo bien compoé doit eemble à un cop iant Timée : « Aini Aini mainten maintenant ant comme de con contucteu (tektoin) nou aon pt à oue no matéiau [hylè : matéiau boi matièe pemièe mot dont Platon Platon ne et et jamai jamai ei pou qualie quali e khôa 96
sot dt au passage pou annonce le poblème posé pa lntepétation aistotélcenne de khôa comme matièe ce sont les espèces de la cause [cause nécessae, cause dne] Aec eles i nous aut achee de noue a tame synyphanthènai) du aisonnement (logo) u nous este à ae Reenons donc encoe une ois bièement au début pain ep'akhên) et etounons apidement au pont mme doù nous étons paenus c Et tâchons de donne comme n (teeutên) à note histoie tô mythô) une tte (kephaèn) qui saccode aec le début an den couonne ce qu qu p pécède » 69a) 69 a)
Notes
1 Su e oin un des us sensies de
oémaiue, nous eséons eeni soue guemen en esuissan ue isoie e ue des ineéaions de khôra ou u uad eeons de déie a oi de es aado eus aoies Noons seuemen ou !insan dans es deu ouages ui e angue façai soianedi ans dineae oosen un au d'enseme e onuen a ue ineéaio g néae de oues es ineéaios asses e r méa-inguisiue ou méaineéai à es ae de méaoe de omaaiso ou d'image amais ineogé ou ui-mme Auune u su a éoiue ineéaie 'es osée, e iuie dans e u'ee emune éessaieme une eaine adiion aOniienne (a mao es un déou sensie ou aéde à un ses ie igie) e ui a endai eu a à oui méaangage ou ineéaion de Pao aiuie dun exe aussi isoie ue e ge ge d u Tme su khôra Riaud ae ainsi due « f de omaaisos e de maoes don a a su sue ennd > ( ( 29) 2 9) de méa éao oe ess e e d d imag imag aoées à une idé idéee >>>> e ee e du en uoi ( ) mme si one Zee, i efuse de < n oi
es forue or uess de Paton Paton que des taphores taphores . >> p 308 ( horie de la WP et a cosogonie du Tie », dans Le Problème du det,enir e la noion de maère chap. v 1905 Luc Brisson pare à son our de la << aphore du rêe dont Plaon se sert pour illusrer sa descrp ion ion >> (Le même e l'aure dans la srucure onologique p . 1 9 cf cf. aussi pp. 206, 20 6, du Ti m de Pla Plaon 9 p. 20 l systaise êe le recours opraoire au concept de taphore et propose de casser oues esdies taphores au oen de dteriner ce q uï uï appe appelle lle <<<< a naur nauree onologique onologique du ileu ileu spa spa tial >> nous reiendrons sur ce ire sur e proe qu qu dcrit) << . . Cea [d [dte ter rin iner er la << natur naturee on too toogique giq ue >> du d u << ieu spaia spaiall >>] pose un u n problè problèe e considrable, car Paton ne parle du iieu spata quen usant dun angage otaleent aphorque qui chappe à toute echnici. Voil purquo nous anays anaysero erons ns ou d'abo d' abord rd deux squenc squencees d' d ' age ages : une portant sur es relatons seuees e autre, sur l'acti l'actiit it ar arsa sana nale le >>>> p 208, 208, cf. cf. aussi aussi pp. 2 1 1 , 212, 2, 21 222 Bien entendu l ne s'agi pas ic de criiquer usage des ots de taphore, de coparason ou d ' age. l est souen sou en iniabe, iniabe, e pour des rais raison onss que nous tenerons deplquer c. nous arriera d'y recourir à l'occasion ais y a un pont, sebe il où la pertinence de ce code rhtoriue rencontre une liite et doit être interroge coe tele deenir un hèe et cesser dtre seuleent opratoire C'es prcisen le point où les concepts de cette rhto rque paraissent construis à partir d'oppositions << paon paonc ce enne nness » intelgb intelgbes esens ensb be, e, être être coe eidosi age etc.) auquees se soustra prcsen khôra. L ultpct apparene des aphores ou aussi bien des ythèes en gnral) sgne en ces
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leux non ps que le sens propre ne peut deenr ntellgble quà trers es dtours ms que lop poston enre le propre et le gur sns perdre e eur renontre une lmte 2 I le f f t en puler dns un u n bref bre f ps psge ge en rt une prenthse de son Inodon méaphyq L rfrene à e pssge du T 50de] n'est ps seulement destne à lrr onnext du �pqvv et du v du o-pprre d M ch ch nn) nn) et de l'être omme stblt lt ms elle dot en même temps ndquer quà pr de phosophe pltonenne 'est-àdre dns lnte on d lt o É (vob� l tnsformton pr lquelle, à l'essene à ne soupçonne du leu O 67ç et de l xw s substtue l'esp l'espe · Ram dn pr l'extenso pourrt-l ps oulor oulor dre Adhnng Xwp� ne pourrt-l e qu se spre, de de toute hose pe e qu s'ee e qu ns dmet ustement ue hose et u • f pe Plaz mach mach))? ) » (pp 5 5 1 tr trd rnç nçse se G Khn, pp pp 76-77 76-7 7 Prm Prm tot tot les questons que derent nous poser e texte son ontete, l plus gre portert sns doue sur toutes les dsons mplques pr le se ppre • vo vo .. 3 Vol Volngn ngn ï ï d Gchch hch d d Phlooph Phlooph Enlng B 2b Vhln d Phlooph z R lgon Werke 8, Suhrkmp p 103
4. Mre Detenne e en-Perre Vernnt R d l' l ' nlgnc nlgnc la la mé d c p. 66. G est oque p le prête gypten du Tm dn un dsours sur eque nous eendons Cest u moet o eonnt l plus gnde nenne de l t hnenne qu n' pourtnt de mmore que mythue et don l'rhe rte se troue om dpose en gypte (23de) C. uss Hedee
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p 3 50 ra rad d fr fraçais çaisee p 27 2 7 4 . « Ca Caos os xoç, xivw igie e bâileme da Ghnn) le béa ce ui se fed e deux Aunandrkland) Nous eedos xoç e éroie coexio aec ue ierpréaio origiele de 'essece de r6&l: e a a ue l'l ' abîme bîme ui s'ouv s' ouvre re cf cf Hésiode hogon représeaio du Caos cez Niesce a pour focio de préveir ue umaisaio rmn hung) de 'éa das sa oalié L" umaisaio compore aua l'expicaio morale du mode à parir de a résoluio d'u Créaeur ue so ex plicaio eciue à parir de 'acivié d'u grad arisa Handwrkr) e Démiurge) » 5 C 'es Pao Pao ui doe doe l ' ier ierpr préa éaio io dé ermiae magbnd Duung) pour la pesée cideae. l di u'ere éa e 'êre i a bh le xplc�; T x sigie ledroi Or) Plao eu dire ue léa e 'êre so e des edrois diéres L'éa e l'êre so diéremme mis à edroi nd vrhdn gor) Si doc Plao cosidre e xwp1Ç a diérece dedroi de l'êre e de éa i pose alors la uesio du ou aure edroi nah dm ganz andrn Or) de l Êre Êre par par com compa para raisiso o ae aec ceui ceu i de éa a.. » Quapp-n pnr? pp 74-75, rad fraçaise A Bec Becer er e G Grae! Grae! p 26 1 Plus ard ous reiedros ogueme sur ce passage e sur so coexe 6 C ' es u des des moif moi fs ui reie ce essai à ceui ue ous cosacros à Ghlh cez eidegger. Cf 'iroducio à ce essai « Ghlh diérece sexuele diérece oologiue >> i Pyh nvn on d laur Galilée 987 7 . Capal Quarime Secio XIV v Das u aure coe coexe xe ceui d d u sémiaire eu eu à Écoe ormale supérieure e 970 hor du dour Nzh
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hlo hlosohque : les ond ondon on d d nr nr o onn d x hl hlosohe olq ol que ue leem leemle le du ma marralm alm c exons su le Tm oisaien daues uesi
u esen à laièelan e su lesuell evenda ailleus Daues exes aen udi aule eux de Max de egel u'il sagi du ao à la oliique de Plaon en gnal de la division du aval du myhe de la hoiue de la maèe e 8. a ossi os sib blili de la guee guee fai fai e eaio a ionn ldal dans la desion dal de la ié idéae dans l'esae mme de ee on ou de e eésenaon a vene de ee oblmaiue e nous ne ouvons suve i aa des lus i Elle oua nous onduie en aiulie vers fome oignale de ion qu'es Du onra Selon Rousseau J'a de guee ene les a eu donne lu à auun do u uemen ii el elui u doi gne à l'inieu de l'Éa e si elle a son do oginal le doi des gens nr. gens eule ehne) la guee nous fa evei une soe de sauvageie siue lle fa sor e ona soial de lumme Pa e susension ele en mone auss les lmes; ele laie d'un ea jou les fonèes du ona soial lu-mme du disous hoque ou fabuleux ui le di es-e à la n du lve e de ee ion déae ue Rousseau abode en uelues lgnes les oblèm uil ne aiea as l fauda aalyse de ès e onluson es onsidaions su la guee le ao sngule u'elles eneienen ave l deda du ona soal au momen o elles ouven su son dehos Rao hmaue mas auss a fomel oblme de omosion : Rousseau semble se foe les yeux ou evo le dehos de fable ou de la enèse idal Il ouve les yeux mas
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l erme e ivre : ha x , Conlon Arès avoir osé es vras rces u rot oitiqu et tâché e oer l tat sur sa base i resterat à lauer ar ses relatios eteres ce qu comrerat e rot es ges l commerce le rot e a guerre et les coquêtes e rot ubic es gues es égo ciat ciatio ios s les traés traés etc Mais tout cela orme orme u ouve obet tro vaste our ma courte vue : jauras û la er toujours lus rès e moi » Nicoe e ora orau u <<<< Sur a a rac racee es es emmes emmes » 9 C Nico as Enfan dAhéna 9 1 5 sq Das le cotete que ous éimitos ci o reira auss as as le chaitre récéet << autochtoe autochtoe ue to que q ue athéee athéee ce ce qu cocer cocere e e e artcuier Athe Athess << à a os ourrice ophos atrie atrie et mre mre » (Panégque socrate) et e t es << ôes rivau rivau et comlémetares logos et myho » qu < se arta artage gett a scèe théâtrale as larotemet mais aussi as la com comic icititéé » ( 6 6 ) Qua uat à a race es hommes gno nhop e rêtre égte u ie u » : ce sot es ieu ie u Tmée l u assge es << ieu roces à la mémore la coservatio es archves lécrture et à a tratio ces zons temrées qu rotèget e a estructio ar les ecs u chau et u roi (e3a)
DU MÊM AUTUR Aux Éditions Gallée L' ARCH AR CHÉÉOOG l E DU FRI FR I VOE ( roduc roducti tin n L'ESSAI SUR ORIGIN DS COASSACES HMAES, de ndiac) 1973. AS, 94. ÜEE COMME PAS UN, péf EFAT AU HIE ASSS de Js Jet 1980 UN TO POYPTIQUE ADOPTÉ NUÈR EN PHIOSOPH, 983. ÜTOBIORAPHES. ESEGEMET DE EZSHE ET
198 CAN 986
LA POTIQUE DU OM ROPRE HBBOETH OUR AUL
RAES, 1986. SSE RAMOPHOE EUX OS POUR JOYE,
198.
E ESPRT IDGG ET A QESTIO, 1987. SYCHÉ :VETIOS E AUTRE, 1987 ÉMOIRES OR A E A, 1988 LMTED N, 990 ARCHÉOOIE DU FRIVOE, rééditi 990 Du DROIT À A PIOSOPHIE 990 ONER E TMPS A AUSSE MOAE 9 9 . Ê jst av Fd , das ESER LA OIE
(Essa r M. ocl, ol 1992.
OTS DE SUSPSO TRETIES, ASSOS 993 AU E E NOM 199 KHÔRA, 993.
992.