1- Int ntro rodu duccti tion on : Microbiologie, est un domaine d’études s’intéressant aux organismes de taille microscopique, en particulier aux bactéries, aux protozoaires, aux virus ainsi qu’à certains champignons (levures) et algues unicellulaires de petite taille. Tpes Tpes de micro!organismes "n groupe sous le nom de micro!organismes les #tres vivants constitués d$une seule cellule et, dans la ma%orité des cas, invisibles à l$&il nu. 'u sens strict, cette déinition rassemble les bactéries, les algues, les champignons unicellulaires et les protozoaires ( animaux unicellulaires *). +ar extension, on a%oute les virus qui, incapables de se reproduire seuls (sans parasiter une cellule vivante), ne ont pas à proprement proprement parler partie du monde vivant. +ar commodité, et bien qu$ils n$appartiennent pas au vivant, on peut également ranger dans le groupe des micro!organismes les prions, de simples protéines déectueuses, ainsi que les virodes (non illustrés illustrés dans ce tableau), composés de matériel génétique ('-) dépourvu de protéines. /a microbiologie englobe l’ensemble des disciplines biologiques qui concernent ces micro!organismes, notamment la bactériologie, la virologie et la parasitologie. /a microbiologie, microbiologie, qui s’est développée de concert avec la microscopie, étudie non seulement la morphologie des micro!organismes, mais également leur mode de vie, leur métabolisme, leur structure moléculaire, leurs éventuelles propriétés pathog0nes et leurs caractéristiques antigéniques (propres à susciter une réponse du sst0me immunitaire). /a naissance de la microbiologie correspond à la découverte, gr1ce au microscope, de l’existence d’une vie minuscule, notamment dans des gouttes d’eau ou autres suraces 2 c’est le naturaliste hollandais 'ntonie 3a 3an /eeu4enhoe5 qui, le premier, en 6789, observe de tels micro!organismes (bactéries et protozoaires), qu’il baptise animalcules *.
2- But : /’isolement /’isolement de micro!organismes à partir du sol.
3- Principe : /’isolement consiste à réaliser a partir d’un échantillon des suspensions dilution. :es derni0res sont ensemencées sur milieu de culture solide. 'u terme de l’incubation, les germes contenus dans le sol seront développés. :haque germe sera à l’origine d’une colonie, le comptage des colonies permet par méthode de calcul simple d’estimer la quantité de germes contenue dans le sol étudié.
4- Mode opératoire : +récautions générales de travail 2 ! ! ! !
Tous les ob%ets utilisés doivent #tre stériles. /es mains lavées a l’alcool. /a paillasse doit #tre lavée à l’eau de %avel. /e travail doit s’eectuer dans la zone de protection du bec benz0ne, à l’abri des courants d’air. ! ;l aut lamber les goulots des tubes et lacons apr0s leur ouverture et avant leur ermeture. ! /es boites de pétri doivent #tre ouvertes en maintenant le couvercle a l’oblique avec ouverture du coté de la lamme. "n prenne deux échantillons diérents de sol le premier est de sol cultivé (<6) et le deuxi0me de sol nu (<=) et on aire pour tous les deux manipulations suivantes 2
a! >ilution 2 /e sol est tr0s riche en micro!organismes c’est pour ?a on aire cette dilution pour acilité le comptage de ces micro!organismes, lorsque la dilution augmente le pourcentage de colonies diminué. ! 6@g de sol tamisé est pesé et mélangé à A@ml d’eau distillé la dilution 6@ − est ainsi réalisée. ! 6ml de cette dilution est prélevé et mélangé à Aml d’eau distillé stérile, la dilution 6@ − est ainsi réalisée %usqu$à la dilution 6@ − . 6
=
8
b!
+our chaque tube on ait deux répétitions.
B
8
5- Calculs et résultats : 6! la concentration du sol en germes 2 /e comptage 2 ome internationale 2 9@@ E nombre de colonie E9@ >ilution
= 9
B
G 7 C 8
:alcul de la concentration 2
6@ × 67B @.6
I 67B@@ colonies dans la dilution 6@ −
6
;l a 67B@@ colonies dans 6g de sol. 67B@@ × 6@ I 67B × 6@ germes dans 6g de sol. 7
8
>onc il a 67B
× 6@ 8
germes dans 6g de sol (67B
× 6@ 8
germesK6g de
6@ × =7= @.6
I =7=@@ colonies dans la dilution 6@ −
8
=7=@@ colonies J colonies JI
6@
−6
×
6@ − 6@ −
6
=7=@@
6@
8
−8
I =7=
× 6@
A
colonies
;l a =7= × 6@ colonies dans 6g de sol. =7= × 6@ × 6@ I =7= × 6@ germes dans 6g de sol. A
A
7
>onc il a =7=
6G
× 6@ 6G
germes dans 6g de sol (=7=
× 6@ 6G
germesK6g de
= L /a description macromorphologique 2 :rit0res :olonie
/a couleur
/a orme
D 2 @6 D 2 @=
lanc cassé circulaire Naune clair irréguli0re
D 2 @9
lanc cassé
D 2 @B
/’aspect
/a taille
/’élévation
lisse ' centre plissée ' bord plissée plissée
@.7Gcm @.Acm @.Ccm 6cm @.Ccm @.=cm @.Gcm
convexe +late :artes orme :rates orme
6- Interprétation : /orsqu’on observer les boites de pétri apr0s une semaine on a trouve que 2 /es deux échantillons sont riches en micro!organismes. • /es diérents dilutions divers au nombre des colonies (germes). • /es bactéries se développent plus que les champignons. • /e sol nu contient des micro!organismes beaucoup plus que le sol • cultivé.
7- Conclusion : Malgré les deux échantillons aant une activité biologique mais le sol nu est le plus riche en micro!organismes que le sol cultivé c$est!à!dire qu’il a une ertilité du sol au sol nu par contre le sol cultivé est moins ertile c’est qu’on doit conclue qu’il a une utilisation des engrais qui inlues au vie du micro! organismes et au biologie du sol .