en un seul vou· C text - ur la première fois éunis en me - ayt ayt une exstence exstence t t étendue dans dans de nombeu lgues éangè, no avons pis e pai de conseer eu éta pimiüf, quelqu t rar excepions pr.
Je parlerai de l'écriure féminine ce quel ra l fau que la femme s'écrie que la femme écrie de la femme e fse enir les femmes à écriure don eles on éé éloignées aussi iolemmen queles 'on éé de eurs corps corp s; pour es mêmes mê mes raisons par la même même loi dans le même bu morel l fau que la femme se mee au exe comme au monde e à 'hiso 'hisoire ire de son propre mouemen. ne fau plus que e passé fasse laenir Je ne nie p que es ees du passé son encore là Mais je me rese à es consoider en les répéan; à leur prêr une inamoibiié équiaene à un desin; à confondre e biologique e le culurel l es urgen daniciper Ces réexions parce queles s'aancen dans une région sur le poin de se décourir poren nécessairemen la marque de 'enreemps que nous ions celui où e noueau se dégage de ancien e plus exacemen a nouelle de lancien C'es pourquoi comme il n'y a pas de ieu doù poser un discours mais un sol millénaire e aride à fendre ce que je dis a au moins deu faces e deu isées déruire cser; préoir l'impréu projeer. J'écris ceci en an que femme ers es femmes Quand je dis " la femme je pare de a femme en sa lue inéiable aec l'homme classique; e d'une femmesuje unierselle qui doi ire adenir es 37
Je parlerai de l'écriure féminine ce quel ra l fau que la femme s'écrie que la femme écrie de la femme e fse enir les femmes à écriure don eles on éé éloignées aussi iolemmen queles 'on éé de eurs corps corp s; pour es mêmes mê mes raisons par la même même loi dans le même bu morel l fau que la femme se mee au exe comme au monde e à 'hiso 'hisoire ire de son propre mouemen. ne fau plus que e passé fasse laenir Je ne nie p que es ees du passé son encore là Mais je me rese à es consoider en les répéan; à leur prêr une inamoibiié équiaene à un desin; à confondre e biologique e le culurel l es urgen daniciper Ces réexions parce queles s'aancen dans une région sur le poin de se décourir poren nécessairemen la marque de 'enreemps que nous ions celui où e noueau se dégage de ancien e plus exacemen a nouelle de lancien C'es pourquoi comme il n'y a pas de ieu doù poser un discours mais un sol millénaire e aride à fendre ce que je dis a au moins deu faces e deu isées déruire cser; préoir l'impréu projeer. J'écris ceci en an que femme ers es femmes Quand je dis " la femme je pare de a femme en sa lue inéiable aec l'homme classique; e d'une femmesuje unierselle qui doi ire adenir es 37
femmes à eu(s) sens et eu hstoe Mais faut dre, aant tout, qul ny a pas, aujourdhu même, et magé énomité du refoulement qui es a maienues maienues dans ce noi quon essaie de leur ie econnaître comme eu attbut, une femme généale, une femme type Ce queles ont en commun commun je le dira Mas ce qu me frappe, cest lnnie richesse de leurs consttutons sin gulières : on ne peut parler une sexualté féminine, uniforme, homogène, à parcours codabe, pas plus que dun inconscent semblabe Limagnaire des femmes est népusabe, comme la musique, la peinture, lécr· ture : leurs couées de fantasmes sont nouïes Jai pus dune fois été émeeilée par ce quune femme me décrat dun monde sien quele hantat secètement depuis sa pette enfance. Monde de recherche, déa boraton dun saoir, à patr dune expérmentaton systématique des fonctonnements du corps, dune in eogaton précse et passonnée de son érogénéité Cette patique, dune ichesse nenie extaordnaie, en paricuie de a masturbaton, se proonge ou sac compagne dune production de es e s dune éritable actité eshétique, chaque emps de joussance nscri ant une ison sonoe, une compo composisiiion on,, une chose bele. beauté ne sera plus nterde os je souha tas quelle écie et pocame cet empie unique. Pou que daures femmes, daures soueraines inaouées, sécrien aors: mo auss je déborde, mes désis dés is ont nenté de noueaux déss, mon cops connaît des chas nouïs, moi auss je me suis tant de fois sente plene à expose de toens lumineux, de formes beaucoup plus belles que celes qu encadrées se en den pour toue la galee qu pue Et mo aussi je nai 38
ren dt je n'ai ren montré; je n'a pas ouert a bouche je n'a pas repen ma moté du monde J'a eu honte J'a eu peur et jai boué ma hoe et ma peur. Je me dsas tu es foe! Questce que c'est que ces moées ces nondatons ces bouées? Quele est a femme boulonnae et nnie qu n'a pas m mergée quee état dans sa naïeté mantenue dans obscurantsme et e méprs d'elemême par a grande pogne paeeconjugalephalogentrque t hon sa pusance? qui ne s'est pas surprse et horrée par e remueménage faastque de ses pusions (car on ui a fat crore quune femme ben réglée normae est d'un came diin) accusée d'être monstrueuse? qu sentant s'agter une drôle denie (de chanter décrre de proférer bref de fare sortir du neu ne s'est pas cue malade r sa maladie honteuse c'est qu'elle résse à a mor qu'ele donne tant de l à etodre. E pourquoi n'écrstu pas? Écrs! L'écrture est pour to u es pour to ton corps est à to prendsle Je sas pourquo u n'as pas écri (E pouquo je n'a pas éct aant 'âge de ngtsept ans) Pace que l'écture cest à la fois le trop haut e trop grand pour toi c'est réseé aux gands c'estàdre aux «grands hommes»; c'es de «la bêise. D'aleus tu as un peu écit mas en cachette Et ce n'éat pas bon mas pace que c'état en cachette et que tu te punssas d'écie que tu nalas pas jusqu'au bou; ou qu'écrant irrésstblement comme nous nous mastubons en cachee c'était non pas pour alle pus loin mais pour aténuer un peu a tenson juste ae pou que e top cesse de tour menter Et pus dès quon a jou on se dépêche de se 39
cupabiise pou se faie padonne; ou doublie dentee jusquà la pochaine Écis que nul ne e eienne que ien ne taête ni homme ni imbécile machine capitaiste où les maisons dédition sont les usés et obséquieux elais des impéati dune économie qui fonctionne conte nous et su noe dos ni même ais textes de femmes des textes aec des sexes de femmes ç ne eu fat pas plaisi ç eu fait peu ç les écœue Gueue des lecteus chefs de collecion et patons tônant écis femme: i faut que la femme écie la femme Et homme homme n ne touea donc ici quo bique éexion es homme auquel il eient de die ce qui en est pou ui de sa masculinité et de sa féminité : cela nous egadea quand is auont ouet leus yeux pou se oi Ees eiennent de loin de toujous: du «dehos ) des landes où se maintiennent en ie es socièes den Ils ont encore tout dire, les hommes sur leur sexualité et tout écire. Car ce qu'ils en ont énoncé pour la plupa, rel�ve
de l'opsition activité/p ivité, du rappot de force où l se fan tme une vrilité obigatoire envahiante colonisatrice, la fem me donc étant fantmée comme contnent noir» pénétrer et " pacier (on sait ce que pacier veut dire comme opération sco tomisante de laute et méconnaince de soi) À conquérir on a vite it de séloigner de s bords de se perdre de vue et de corps L çon qu'a lhomme de sortir de lui-même dans celle quil prend non pour lautre mais pour sienne le prive le saitil de son propre teritoie corel À se confondre avec son pénis et se jeter laaut on comprend quil ait le reentiment et la crainte dêtre pris par la femme dtre en ele perdu, absorbé ou seu
dessous en deçà de a «cuture; kn e nns qu'ils ont tant de ma à eur ire oubier qu'ils condamnent à ïn pace Emmurées es petites les aux corps «ma éeés Conseées intactes d'eesmêmes dans a gace Frigidiées Mas qu'estce que ça remue làdessous! Ques eorts i eur faut ire aux i du sexe toujours à recommencer pou barrer eur mena çant retour De part et d'autre un te dépoiement de foces que a utte s'est pour des sièces immobiisée dans l'équiibre tremblant dun point mor
oià qui reiennent es arriantes de toujours
parce que linconscient est imprenable Ees ont erré en ond dans l'étroite chabre à poupées où on les a bouées où on leur a fait une éducation déceean meutrièe n peut en eet incarcérer raentir réussir mais pou un trop longtemps le coup de temps seuement. n nom commencent à parler en meme temps que eu ron est noie pace que tu es que tu es noire Ton continent est noir noi est dangeeux Dans e noir tu ne ois rien tu as peur Ne bouge pas ca tu isques de tombe. Sutout ne a pas dans a foêt Et l'hoeu du noi nous 'aons intériorisée. Contre es femmes is ont commis le plus grand crime ils l ont amenées insidieusement iolemment à haï les femmes à ête eurs propres ennemies à mobiiser eur immense puissance contre elesmêmes à être les exécutantes de eur iile besogne s eur ont fait un aninarcissisme! un nacissisme
qui ne s'aime qu'à se faire aimer pour ce qu'on n'a p! Is on briqué 'infâme logique de l'aniour =Nous es précoces nous es refouées de a culure es beles bouches barrées de bâilons poen haleines coupées nous les abyrinhes les échelles les espaces foués les oées nous sommes noires e nous sommes beles rageuses ce qui es nôre se déache de nous sans que nous redouions de nous aibir nos regards s'en on nos sourires len les rires de oues nos bouches nos sangs coulen e nous nous répandons sans nous puiser nos pensées nos signes nos écris nous ne es reenons p e nous ne craignons pas de manquer Bonheur à nous les omises es écaées de a scène des héries nous nous inspirons e nous nous expi rons sans essouemen nous sommes parou! Nous es arriées de oujours qui désormais si nous disons pourrai nous inerdire? I es emps de libérer la Nouele de lcienne en la connaissan en l'aiman de sen irer de dépasser cienne sans reard en allan audean de ce que a Nouele sera comme a èche quie a corde d'un rai rsemblan e séparan les ondes musicalemen an d' plus qulmme e dis quil u: puisquil ny a p eu encore à quelques rares excepions près d'écriure qui inscrie de a féminié Si rares qu'on ne peu en silonnan es iéraures à raers emps langues e culures reenir querayé de cee presque aine baue on sai que le J n arl c qu la lac ré la fmm ar l
mon ocal
nombre de femmes écrivains (ou en ayan augmené rès peu à parir du XX' sièce) a oujours éé dérisoire Savoir inuie e leurran si de cee espèce décrivanes on ne dédui pas dabord immense majorié don la facure ne se disingue en rien de lécriure masculine e qui soi occule a femme, soi reprodui les repré senaions classiques de la femme (sensibleinuiive rêveuse, ec) Jouvre ici une parenhèse: je dis bien écriure m culine e souiens, sans équivoque, quil y a des écri ures ma rqus que lécriure a éé jusquà présen, de façon beaucoup plus éendue répressive quon le soup çonne ou quon lavoue gérée par une économie libidi nae e culurelle donc poliique ypiquemen mculine , un lieu où ses reprodui pus ou moins consciemmen e de façon redouable car souven occué, ou paré des charmes mysians de la cion, e refoulemen de la femme; un lieu qui a charrié gros sièremen ow l sign de lopposiion suee (e non de la diérence) e où a femme na jamais eu sa paroe, cela éan dauan plw grave e impardonnabe que jus emen écriure est poibi me du cngent lespace doù peu sélancer une pensée subversive, le Alos qulks son les éciUes don on pouai! die qu'elles
so féminines*? Je ne feai ici que désigne des exemples: il udai1 en poduie des lecUes qui se sugi dans leu signi ance ce qui s'y épand de fémini1é Ce que je feai ailleus E Fance a1on né noe innie pauve1é en ce champ? Les pays anglosons on eu des eouces neemen plus impoanes) pou feuille1e ce que le X siècle a jusquà pésen [] laié sécie e c'es1 bien peu je nai vu inscie de la fémini1é que pa Colee, Magueüe Du e Jean Ge
mouement aancoureur d'une trsformation des sructures sociales et cultureles
Presque toute 'histoire de l'écriture se confond aec 'histoire de a aison dont ele est à a fois eet e soutien et un des alibis piiégiés Ele a été homogène à a tradition phalocentrique Elle est même le phalocentrisme qui se regarde qui jouit de uimême et se félicite Sauf exceptions i il y a eu ss quoi je n'éci as pa (jefemm escapée) des atés ds l'énorme machine qui tourne et répète sa «érié depuis des siècles I y a eu des poètes pour ire paser à tout prix queque chose dhétérogène à la tradition des hommes capabes d'amer l'our d'amer donc autres et de les ouoi de penser la femme qui ésisterait à écraement et se constituerait en sujet superbe égal «impossible donc intenable dans e cadre sia réel cee femmelà e poète ne la pu désirer qu'à briser les codes qui la nient Son appaition entanant nécessaiement sinon une réolution car le bastion était immuabe du moins de déchiranes explosions Pafois c'est d'ai eurs dans la cassure que cause un tremblement de terre à 'ocion de cette mutation radicale des choses pa un bouleersement matériel quand toutes les structures sont un moment désorientées et qu'une éphémère sauagerie balaie l'ordre que le poète it paser pour un bref enretemps de la femme ainsi t Kleist jusqu'à moui de ouloi que ient les sœusanes llesmateneles mèressœurs qui nont jamais bassé 44
la êe Après quoi, dès les palais de magistrature redressés il ut payer immédiate et sanglante mise à mo de c éléments incontrôlables poètes seulement, pas les romanciers solidaires de la représentation poètes parce que la poésie nest que de prendre force dans linconscient et que linconscient lautre contrée sans limites, est le lieu où suient les refoulés les femmes ou, comme dirait Homann, les fées l faut quelle sécrie parce que cest linention dune écriture nve ine qui dans le moment enu de sa libération, lui permettra deectuer les rup tures es transformations indispensables ds son histoire dabord à de niea insépaables a) m iiduellemen) en sécriant la femme fera retour à ce corps quon lui a plus que consqué dont on a it linquiétant étranger dans la place le malade ou le mort et qui si souent est le mauais compa gnon, cause et ieu des inhibitions À censurer le corps on censure du même coup le soe la pao _&ristoi: il ut que ton corps se sse entendre ors jailliront les immenses ressources de lincon cient Notre naphte, i a répandre sans dollas or o noir, sur le monde des aleurs non cotées qui chang ro les règles du ie jeu Écrire, acte qui non réalisera le rap port décensuré de la femme à sa sexualité, à son être femme, lui rendant accès à ses propres forces; qui lui rendra ses biens, ses plaisirs ses organes, ses immenses territoires corporels tenus sous scellés; qui larachera à la structure surmoïsée dans laquelle on lui réseait toujours la même place de coupable (coupable de tout,
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à ous es coups: avoi es ésis e ne pas en avoi d'être frigide dêtre trop� chaude» de ne pas être es deux a fois d'êre op mère e pas ae; davoir des enns e de ne pas en avoir; de noui e de ne pas noui.) pa ce avai de echeche, danyse, d'ilu minaion ce aranchissemen du exe meeieux delemême qu'i ui fau d'urgence apprendre à parer. Une femme sans cops, une muee, une aveuge ne peu pas êre une bonne combaae. Ee es réduie à êe a seane du miian son ombe. fau ue a fausse femme qui empêche a vivane de respirer ns· crire le soue de la femme enière b) ace aussi qui marquera a Prse l Paro par a femme, donc son enée fasane d lHoire qui s'es oujous consiuée sur son uen Écrie pour se forger 'arme aniogos Pour devenir enn parie prenane et iniane à son pou son droi à ee, dans out sysème symbolique dans tout procès poitique est temps que a femme maque ses coups dans a angue écie et orae Toute femme a connu le tourmen de a venue à a paoe oe, e cœu qui bat à se ompe, pafois a chute dans a perte de langage, le sol, a angue se déo ban tan pae est pou a femme je diais même ouvrir la bouche, en pubic une émérité, une trans gession Doube déresse, car même si ele transgresse sa paoe choit pesque toujous dans a soude oreile mascuine, qui n'entend dans a angue que ce qui parle au mascuin C'est en écrivant depuis et vers a femme, et en relevant e dé du discours gouverné par e phlus, que a 46
femme armera la femme autrement qu' a pace ele réseée dans et par le symboe c'estdire le sience Qu'ele soe du silence piégé Qu'ele ne se aisse pas reler pour domaine la marge ou e harem. Écoue parer une emme dans une asemblée (si ee n'a pa douloureuseme perdu e soue): ele ne parle» pa elle ance dans 'air son corps tremblant ele se che ele voe, c'est ou enière qu'elle pase dans sa voix, c'es avec son corps qu'ele souie vitement la " ogique» de son discours; sa chair dit vrai Ee s'expose En vérité ele matériaise charnelleme ce qu'ee pense, ele e signie avec son corps. D'une ceaine manière ele insc ce qu'ele dit parce quele ne rese pa a pulsion sa part indiscipinabe et pa sionnée a paroe Son discours, même théorique» ou politique, n'est jamais simpe ou linéaire ou objectivé généraisé: elle enaîne dans l'hisoire son histoire. ny a pas cee coupure, cee division qu'opère 'homme commun entre la ogique du discours oral et a logique du texte, tendu quil est par son antique appor asseissant, cacuateur, la maîrise. D'où e dis cours mesquin du bou des lèvres et qui n'engage que a lus petite aie du le Dans a parole éminine comme dans l'écriture ne cesse r_[e qui, de nous avoir jadis traversé, rcepiblement, proondément, garde le pouvoir aecter le chan a première mupremière voix d'amou wue oue sique, celle emme prése Comment ce rappor privilégié la ix? Pce qu'aucune emme n'empile autant de antipulsionneles qu'un homme Tu
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n'étayes pas, tu ne maçonnes pas comme ui tu ne téloignes pas aussi «prudemment» du plaisi ême si a mystication phalique a containé généraement es bons rapports, a femme n'est jamais loin de la «mère» comme «mère que j'eends hors nonnom e comme source Toujours en ele subsiste au moins un peu du bon laidemère Ele écrit à 'encre blanche
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Fme ur femm : en a femme oujours se main
tient la force productive de 'are en particulier de 'aue femme. E elle, matriciele, berceusedonneuse elemême sa mère et son enfant ellemême sa lesœur. Tu me dis et cele qui d'une mauvaise mère est l'hystérique progéniture? Tout sera changé, lorsque a femme donnera a femme à 'autre femme. En ele atente, toujours prête il y a source; et ieu pour 'aue. me aussi es une métaphore: il faut, il su quà a femme soi donné par une autre e meileur d'eemême pour que la femme puisse s'aimer et rendre en amour e corps qui ui est «né» Toi si tu le veux, touchemoi, caressemoi donnemoi, toi a vivante sans nom, même moi comme plus que le rapport à l'enfance ('enfant qu'elle qu'ele es quele it, refait, défait au lieu où, même elle s'autre), le rapport à a mère» e que délices et violences nest coupé Texe mon corps: traversée de coulées chananes entendsmoi, ce n'est pas une «mère colante, attachante; c'est, e touchant l'équivoix qui taffecte te pousse depuis on sein à venir au langage, qui 48
anc a orc cst rythm qui t it; lintim dsi naai qui nd possibs t désiabs touts s méta phos, corps ( s, pas pus dsciptib qu diu lâm ou Au; a pai d toi qui ntr n toi ts pac t t pouss à inscrir dans a angu ton sty d mm ans la mm il y a touours pus ou moins d a m qui épa t alimnt t ésist à a sépaation, un n s aiss pas coupr mais qui ssou pnsons a mm dpuis ous s s orms t tous ls tmps d son corps We are a ksbia nous appl ls Améicains cstàdi, nabaiss pas a mm n ui ais pas c quils tont ait. Parc qu son économi pulsionnl st po digu, l n put pas, n prea a pao n pas tansom dictmnt t indictmnt ous s sys tms déchangs ondés su épagn mascuin. Sa ibido poduira ds ts d manimnt poitiqu t social baucoup pus radicau quon n vut pns Pac qu d touous, l aiv vivant, nous somms au commncmnt dun nouvl hisi, ou plutôt dun dvnir à pusiurs hisirs s tavr sa s uns s auts En tant qu sut à histoi, a mm s pass touous simutanémnt n plusius liu El dépns histoi uniant, odonnatric, qui homogénéis t canalis s orcs t ramn s contradictions dans la patiqu dun su champ d batai En la mm s coupnt lhistoi d touts s mms, son histoir prsonnl, histoir natio nal t intnational. En tant qu combattant, cst avc uts s ibéations qu a mm ait cops E doit voi oin Pas d coup pa coup E pévoit qu sa
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béaton ea pus ue mode es appots de oce ou envoe la bale dans 'aute camp; ee entaînea une mutaton des eatons humanes de a pensée de outes les patues; l ne s'agt pas seuement de a utte des classes u'ele entaîne en at das un mouvement pus vaste. Non ue pou ête emmeen lutte(s) l ale sot de a utte des classes ou a déne; mas aut ouv la ende la pousse 'empl de a utte ondamentale; an d'empêcher ue a utte des casses ou toute autre utte de béaton d'une classe ou 'un peuple n'opère comme nstance reouante pétexte dérer 'névtable 'altératon boueve sante des appots de oce et de producton des nd vdualtés Cette altératon est déj aux UA pa exempe où des mllons de taupes sont en tran de ae sauter a ame et de désntége toute a socaté amécane Elle arve a nouvele hstoe ele n'est pas un êve mas ele dépasse lmagnaton masculne e pour cause ele va es prve de eu othopéde concep tuele ele commence par runer eur machne eures mpossbe de ir une patue émnne de 'écrture dune mpossbté u se mantendra car on ne poura jamas héoser cette patue eneme a code ce u ne sgne pas u'ele n'exste pas Mas ee excédea toujous e dscous ue rég e sstème phalocentrue; ee a et aua leu aeurs ue dans es Mais ei 'iée d'e ôe éoome-métahy
sie do a imte ae 'ee ese o aaysée o hé sée aêea baea ( mois du hagemet atueemet imossibe évoi) ès vie a otée du mouveme
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erritores subordonnés la dominaion philosophique héorique Elle ne se assera penser que par es sujets casseurs des auomasmes, es coureurs de bords quau cune autorté ne subjugue jamas
D'où a nécessité d'armer ses essos, d'en inormer les passages les voies proches et ontaines En com mençant par rappele 1) que 'opposton sexuee qui s'est toujours aite au prot de 'homme, au point de réduire l'écriture auss ses ois, n'est qu' un e mite toco-cuture/ I y a, l y aura de plus en pus or et vite mainenant une ction qu podura des eets de émnité rréductbles 2 que c'est par méconnaissance que la pupart des ecteurs, crtiques, écivains des deux sexes, hésitent admettre ou nient carrément a possi bilité ou a pertnence dune distnction écrtue ém nine/écriture masculine On dra couramment, évacuant ansi la diérence sexuele sot que oue écrture dans a mesure où elle se t jour, est éminine; et inversement, mas ça revent au même, que le geste de 'écriture est 'équivaent d'une mascune masturba ion (et aors a emme qui écrt, ee se tae un pénis de papier); ou encore que lécriture est bisexuele, donc neutre, expusant a dérenciation. Admettre quécrre c'est justement travaier (dans) l'ere, nterroger e pro cès du même et de l'autre sans eque ien ne vit, déaire e travail de la mort, c'est d'abord vouor le deu et es deu, 'ensemble de l'un et lautre non pas gés dans des séquences de lutte et dexpuson ou autre mise mort, mas dynamsés 'inn par un I
ncssan échangmn d 'un r laur su diérn n s connaissant s rcommnçant qu' partir du bord vvant d 'aur: parcours muipl inépu sab mlirs d rncontrs transormations du mêm dans 'aur dans lr d'où a mm prnd ss orms ( homm d son côté; mais c'st son autr histoir) a précisé «bisxul donc nutr» par réérnc la concption csique d a bisxualté qu ployé sous l sign d a pur d a casration l'ad du antasm d'un êtr «oal» (mas i d dux motiés) vu scamotr a diérnc éprouvé comm opéraon p comm marqu d sécabé rdoutabl À c bisxualté sonnl açan qui vu conurr a casraion ('écrvan qui ach c on écri bisxul y a gros parr alz vor qu'l ns ni 'un ni l'aur) j'oppos !aue bualié c do chaqu sujt non nrmé dans l ux héâtr d la rprésntaton phallocntrqu nsu son unvrs érotiqu. Bisxualté c'stdir rpérag n soi ndiv dulmn d a présnc dvrsmnt manst nsstant slon chaqu un ou un ds dux sxs nonxcusion d la dérnc ni d'un sx parr d c «prmsson» qu l'on s donn muplcaon ds ts d'inscripton du désir sur ous s parts d mon corps d 'autr corps Or c bsxuaité n transs qui n'annu pas s diérncs mas s anim ls poursut s aou l s trouv qu' présnt pour ds rasons hsorcocuurls cst a mm qui sy ouvr n bénéc d'un cran açon «a mm st bsxu L'homm c nst un scr pour prsonn éan drssé vsr la S2
glorieuse monosexualité phlique. À force d'armer le primat u phalus, e de le mettre en œuvre, lidéo logie phocratique a fai plus dune victime : femme, ai pu être obnubilée par la grande ombre du sceptre, et on ma dit adore-le, ceui que tu ne brandis pas Mais du même coup on a i à lhomme c grotesque et, songes-y, peu enviable destin dêt réduit à une seule idoe aux couiles dargie Et come le notent Freud et s suivants, avoir si peur dêtre une feme! Car, si la psychanalyse sest consttue depuis a mme, et à refouler la féminité (refoulement qui, les homes le manisent, nest pas si réussi que ç), de la sexuaité mascuine, elle rend un compte à présent peu ré tabe; come toutes es sciences " huaines», elle re produit le masculin dont ele est un es eets Ici nous rencontrons inévitabe hommeauroc dressé tou raide dans son vieux champ eudien, tel quà le repoer où la linguistique e conceptualise à neuf, Lacan le consee dans le sanctuaire du Phllus � à abri du manque t caton! Leur smbo lique», il existe il a le pouvoir nous, les désordon naes, nous e savons trop bien Mais rien ne nous obige à déposer nos vi à @ anques du manque; à penser la constitution du SUjet en termes de drame à répétitions blessantes, à renouer sans cesse la reigion du père Puisque nous ne e ésirons pas Nous ne tournons pas en rond autour du trou suprême Nous navons aucune raison de fmme de ire allégance au négatif Le féminin les poètes le soupçonnèrent) arme «[ . }and ys 1 aid ye 1 wil Ye » Et oui, dit Moll en emportant Usse au-deà de tout livre vers a nouvelle écriture, ai dit oui, e vex Oui S3
e « Coe oi» s i oi i ia b Il I n'est encore neploré que parce qu'on nous a fait
core qu' état trop nor pour être eplorabe Et pace qu'on veut nous fare crore que ce qui nous ié· resse c'est le continent blanc avec ses monuments au Manque Et nous avons cru On nous a gées entre deu mythes horrants entre a Méduse et 'abîme. I y aurait de quoi ire éclater de re a moité du monde s ç ne contnuait pas. Car a reève phalo· ogocentrique est et militante eproductce des vieu schémas ancrée dans e dogme de la castraton Ils n'ont ren changé ls ont théorisé leur désir pou de a éalté! Qu'ls tremblent les prêtres on va eur moe nos setes! Tant ps pour eu s'ls s'eondrent découvir que les femmes ne sont pas des hommes ou que a mèe n'en a pas Mais est·ce que cette peur ne es arrange pas? Estce que le pe ce ne serat pas ce n'est pas en vérité que la femme nest pas castée qul lu sut de ne plus écouter les srènes (ca les siènes cétaent des hommes) pour que 'hstore change de sens? I sut qu'on regarde a Méduse en face pou la vor et ele est pas mortele Ee est bele et ele rt Ils dsent qu'l y a deu représentabes la mort et le see fémnin Ca is ont beson que a féminté sot assocée a mot; s bandent par toule pour eu· mêmes! is ont beson d'avor peur de nous Regade les Pesées temblants avancer vers nous bardés d'apo· topes reculons! Jols dos Plus une mnute perdre ortons Hâtons·nous le contnent n'est pas dun no impé nétable J'y sus souvent alée J'y ai un jour rencontré 5
avec joe ean Genet Cétat dans Pompesèbres y état arrvé, mené par son ean I y a des hommes (s peu) qu nont pas peur de la fémnté 1 /De a fémnté es femmes ont presque tout écrre de leur sexuaté cestdre de nne et mobe compexté, de leur érotsaton des gntons gurantes de tele nmemmense régon de eurs corps non du destn mas de aventure de telle pulson, voyages, tra versées chemnements brusques et lents éves, décou veres dune zone naguère tmde tout lheure surgssante. corps de a femme aux mlle et un foyers dardeur, quand ele e assera fracassan es jougs et censures artculer le fosonnement des sgntons qu en tous sens e parcourt cest de ben plus dune angue qul va fare retentr a vele angue maternele un seul sllon. Nous nous sommes détournées de nos corps, quon nous a honteusement apprs gnorer, frapper de la bête pudeur; on nous a fat le coup du marché de dupes: chacun amera aure sexe e te donnera on corps e o tu me donneras e men. Mas quels sont les hommes qu donnent aux femmes e corps quelles eur remettent aveuglément? Pourquo s peu de textes? Parce que s peu de femmes encore regagnen eur corps I faut que la femme écrve par son corps, quele nvente la langue mprenabe qu crève les cosonne ments, cses et rhétorques, ordonnances et codes, quele submerge, transperce, dscours� e y comprs ceu qu se r davor dre
Cf Jean Genet Pom � nMm, dan Œuvm com /t�
t Par Galimard
953 p. 85-86 55
le mot «silence» ceui qui visant impossible sarrête pile devant e mot impossibe» et écri comme n> Tele es a puissance éminine quempoa a synte rompant ce eux (juste un out petit disentis) qui se aux hommes de substiut de cordon pour sassurer sans quoi is ne jouissent pas que a vieile mère es bien toujours derrière eux es regarder aire phalus elles ion impossibe.
fquand Le Reoué de leur cuture et de eur sociéé i revient cest dun retour exposi a bsolumet ruinant renversant dune orce encore jamais ibérée a mesure de a pus rmidabe des répressions : car au terme de lépoque du Phus es emmes auro été ou anéanties ou portées a pus haute et vioene incadescence. Au ong sourdi de eur histoire eles ont vécu en rêves en corps mais us en siences en révotes aphones E avec quele orce dans eur ragiité " ragiité vunérabilité a mesure de eur incomparable inensité Eles non pas subimé Heureusemen eles ont sauvé eur peau eur énergie. Elles nont pas travailé aménager limpse des vies sans avenir. Eles on habité rieusement ces corps somptueux: admirabes hystériques qui on ait subir Freud an de voluptueux et inavouables moments bombardant sa statue mosaïque de eurs charnes e psionnés mosde corps e haa de eurs inaudibes et oudroyantes dénonciations pus que nues sous les sept voiles des 56
ders ébloissantes Cees i en n se mot d cors ont inscrit immense vertige dne histoire déta chée comme ne èche de tote histoire des hommes de a société bibicocaialiste ce so elles les si ciées dhier i devance les noveles femmes celes arès eseles ls acne relation inersbjecive ne orra être la même Ces oi Dora oi indomtable le cors oétie a vraie ma1resse » d Signi6an Ton ecacié on va a voir œvrer avant demain and a arole ne sera ls renrée la ointe reornée on sein mais sécrira à lencontre de lareS cos: s e homme invité ax résses sociaes à a sbimaion es femmes sont cors Ps cors donc ls écritre Longems cest en cors ele a réond ax brimades à enrerise mi ialeconjgale de domesicaion ax rééées eaives de a ctrer Cee i a orné dix mile fois se fois sa ange dans sa boche ava de ne as arer o ele en es more o ele connat sa ange et sa boche miex e os Maienan jefemme vais faire saer a Loi écatemen désormais ossible et inéctabe il se fasse to de site d a ange e nos laissons as iéger ar ne analyse ég gée des anciens atomaismes il ny a as à ( craindre en e langage se cache n adversaire invin � cibe arce e cest la ange des homm ler grammaire ne fat as er aisser n ie i nest as s à ex ses e nos ne sommes à ex Si a femme a tojors fonctionné dans » le dis cors de homme signian tojors renvoyé à lad verse signian i en annihile énergie sécie en rabat o étoe les sons si diérents i est ems ee
1
J'
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sloque ce «dans», quelle lexplose, le retourne et sen saissse, quelle le asse sien, le comprena, le pre na dans sa bouche elle, que de ses des elle elle lui morde la langue, quelle snvee une langue pour lu rerer dedans E avec quelle aisance, u verras, elle peut, depus ce «dans où elle était tape somnolee, sourdre aux lèvres quelle va déborder de ses écumes. l ne sagi pas non plus de sapproprier leurs nsrumes, leurs concepts, leurs places, ni de se voulor en leur postion de maîtrse Que nous sachons qul y a un rsque dideicaton, cela neraîne pas que nous succombons ssons aux inquets, langoisse mas culine e son rapport obsessionnel au onctonnement domner, au savor " comme ç marche» an de «re marcher >. Non semparer pour iérorser, ou manpuler, mas traverser dun trai, e " voler» yo, ces le geste de la emme, voler dans la langue, la are voler Du vol, nous avons oues appris lart aux maes echnques, depus des sècles que nous navons accès lavor quen vont; que nous avons vécu dans un vol, de voler, trouva au désr des psages étrots, dérobés, traversas Ce nest pas un hasard s « voler» se joue ere deux vols, joussa de lun e laure et dérouant les ages du sens. Ce nes pas un hasard: la emme te de loiseau e du voleur comme le voleur te de la emme e de loiseau illes passent, illes le, illes joussent de brouiller lordre de lespace, de le désoreer, de changer de place les meubles, les choses, les valeurs, de aire des cses, de vider les struc tures, de chbouler le propre. Quelle es la emme qu na pas volé? Qu n'a pas senti, rêvé, accompl le gese qu enraye la socialé? 58
Qu ps boué toué e éso be e sépto scrt vec so corps le éretel peroré e système es coupes e oppostos utu pr erre ue tsgesso e success echîé e mu e ccoso? U texte ém e peut ps e ps êe plus que subvers: s sécrt cest e souevt vocque l vele croûte mmobère porteuse es vestssemets mscus et ps utremet l y ps e plce pour ele s ee est ps u l? S ele est eeee ce est qu tout cser mee e pèces les bâts es sttutos re suter l o e lr torre " vérté» e re Prce quele e peut ps ès quee se rye sa voe s e symboque e ps e re le chosmos u " persoel e ses prooms e ses oms et e s cque e réérets Et pour cuse: y ur eu cette ogue hstore e gyoce comme le svet les colo sés her les tvleurs les peuples les espèces sur esques Hstore hommes t so or ceu qu ot cou lgome e persécuto e tret ue ture e obstée eve e greur es eermés cosset meu que leurs eermeurs e goût e lr bre Grâ eur hstore es emmes svet (re et voulor) ujouhu ce que es hommes e surot peser que beucoup pus tr: e s quele boule verse e " persoe» comme o lu pr los mesoges chtges mrge touours extorqué so ot eemême e même temps que so om elle s le mouvemet même e éto moee pu vor e plus près té u " propre» mesquere réuctrce e écoome subjectve mscuecouge 59
aquele ee résste doubement d'une part, ele s'est consttuée nécessarement en cette «personne » capabe de perdre une parte d'eemême sans ête pedue Mas secètement, senceusement, en son or ntéreur, ele s'étend et se mutpe, ca, d'aute pat, ele en sat sur vve et sur le rapport entre l'économe pusonnele et la geston du mo, beaucoup pus ong que tout homme. À la déence de 'homme qu tellement ent à son e e ses tes, bouses de vaeus, tête, couronne et tout ce qu est de son che, a emme se moque ben de a peur de la décaptaton (ou casta ton), s'aventurant sans e mascun tremblement dans l'anonymat, auque ele sat se ondre sans s'anéant parce qu'ele est nnee. 'aura beaucoup à dre sur toute la trompeuse pro bématque du don. emme n'est évdemment pas cette emme rêvée par Neche qu ne donne que pour Qu peut penser le don comme donquprend snon l'homme justement qu voudat tout pende? 'l y a un «prope de a emme, c'est paradoxale ent sa capacté de se dépropre sans cacul corps sans n, sans «bout' sans «pates pncpaes, s ele est un tout, cest un tout composé de partes qu sont des touts, non pas smples objets partels, mas ensembe mouvant et chgeant, llmté cosmos qu' Éros parcout sans repos, mmense espace astra non organsé autour d'un solel plusastre que les autres JCea ne veut pas dre qu'ele est un magma ndérencé, mas qu'ele ne monarchse pas son corps ou son désr. Que a sexuaté mascune gravte autour du péns, engendrant ce corps (anatome poltque) centrasé, sos la dctature d pa mme, ele, n'opère 60
p su eemême cette gonsaton au pot du coupe têtesexe, qu ne snsct qu nteu de ontè. Sa bdo est cosmque, comme son nconscent est mond son ctue ne peut auss que se pousuve, sans jamas nsce ou dscene de contous, osant ces taveses vetgneuses daute, phmèes et passon ns sjous en u ees, eux, quee habte e temps de les egde au pus pès de nconscent, dès eu eve, de es ame au pus pès de la pulson, e ensute pus on, tou mpgne de ces bèves decatoes embassades, ele va, et passe nn Ee seue ose et veut connaîte du dedans, do ele, lexcue, na pas cess dentende sonne lavantlangage Ee lasse pale laute angue mlle langues, qu ne connaît n e mu n la mot. À a ve, ee ne ese en. Sa lgue ne content p ele pote elle ne etent pas, elle end possble Où ç snonce touble, meele dête plu seus, ele ne se dend pas conte ses nconnues quele se supend se pecevo ête, joussant de son don dtablt e sus Cha spaceuse chtte, su a quele sente nu sat quel(e) je pus ou mons human mas dabod vvant pusquen ansomaton cs! e Ton exe chechant se connaît plus que cha et sang, pâte se ptssant, levant, nsuecton nee, aux ngdents sonoes, pams, combnason mouvemente de coueus volantes, eulages et euves se jetant a me que nous mentons Ah! a vo sa me, me da, aute qu me tend son bassn pen deau de la pette mèe phalque do nave p se spe Mas vo, nos mes so ce que nous les f sons, possonneuses ou p, opaques ou tanspentes, ouges ou noes, hautes ou plaes, totes ou sans 6
rvs, nous somms nousmêms mr, sbls, coru, gus, plgs, mrés, nguss, nfs, vgus Plus ou mons vgum mr, rr, c, qu mtèr nous rbr? Nous svons os ls prlr. Hétérogèn, ou, à son bénéc joyu l s éro gèn, l s éogénété d lhéérogèn; c nst ps à lmêm qul , ngus érnn, volus Dspsb, prodgu, éourdss, désrus t cpb dr, d lut fmm qul sr, d r fm qul nst ps, d lu, d j Fmm n pur n durs, n d mêm, n dutr Ms yu, m ngu ms orls mon nz m pu m bouch mon corps pour ()u, non qu l désr pour m bouchr un ou, pour pr à qulqu mn défut, ou onné dstnm pr fémnn lous ; non pc qu j sus rîné, dns l chîn ds substtutons qu rmèn ls substts à lultm obt Cn st t ds cos d pt pouc, du Pennd qu nous chuchotèr s vls grndsmèrs ogsss ss d lurs lsptrns. Quls cont, qus bson, pour fr cs dumêms, d cror qu nous crvons dnv, qu nous somms c trou bordé dnv d ur péns, cs ur mmémor r ndénblm (nous vérons à nos dépns ms uss à nor musm) cst d nous svor quls bndnt n qu nous s ssurons (nous mîtrsss mtrns d ur ptt sgn d poch) qus n so, qus s o nco, qu 6
ls homms n s structurnt qu d s'mnnr. Dans nant c n'st as l ns qu la mm dsr c nst c amux morcau autour duqu grav tout 'homm gstaton n'st as rcondut sau dans s limites hstorqus d 'cn à ds atats à cs mcanqus substutons qu mt n lac l'nconscnt d'un trn� jaous» n au Penneid; n au narcsssm n à un homosxuat à a
mm n l'homm à chor nuctablmnt dans s schmas à rchargr l crcut d la rroducton. S' y a rsqu l n'y a d èg nvtab qu sur la mm n vnn sr sous couvrt d rs d conscnc un sulmnt d'ntrdts Tu vux un goss ou tu n vux as êst ton aire. Qu nu n t mnac qu'à la ur d'êtr «rs» du tms jads n succèd as la ur n satsasant ton dsr d dvn comc d'un socat Et l'hommiastu auss comtant d tous 'avumnt t a assvt crandr qu l'n an 'f e un èr t donc qu a m m s ass d'un goss bn us d'un mauvas cou ngndrant à a os 1nant a mèr èr la aml? Non À to d romr s vux crcuts I y aura our a mm t homm à rmr 'ancn raort t touts ss consquncs à ns ne ment d'un sujt nu n v avc damlasaton Dmatratrnasons utôt qu our arr à la rcuraton d a rocraton rvr a mm d'un assonnant oqu du cors. Dtchsons. Sortons d a dactqu qu vut qu bon èr sot èr mort ou 'nant la mort ds arnts L'nant c'st 'autr mas 'autr sans vonc sans assag ar a 63
pete, la lutte O e a mae des euemets, de a fabque de œuds, tujus etahe d a tae de a astat qu se tasmet et géagse Nus 'avaes pus euls us 'als pas efue queque hse d'auss smple que 'eve de ve Pus ae pus aae, puls vae, tutes les puss st s bes fes et pam ees a pus de ges· tat tut mme eve d'ée: ue eve de se vve dedas ue eve du vete, de a ague, du sag Nus als pas, s ea us hate, us ese es dées due gssesse tujus daleus damatsée u esamtée, u maudte, das es textes assques Ca s' y a u efué patue, 'est be qu e tuve tabu de la femme eete qu e dt g su a pussae dt ee paaît as veste; 'est qu' supçe depus tujus queete, a femme seulemet dube sa vaeu mahade, mas sutut se vase e tat que fmm ses ppes yeux et sexe I y a me façs de vve ue gssesse; dav u pas ave et aute ee vsbe ue eat due aute testé Et s tu 'as pas ette eve·, ea e sge pas que tu e maques Chaque ps dstbue de faç sguèe sas mdèle, sas me, a ttaté e et hageate de ses déss Déde pu t de ta pst das 'espae des tadts ù pas et éaté s'éteget Mets laute e ve a femme sat vivre e détahemet; auhe est pas pede, saugmete C'est ajute a ve gééale u aute. e êve? e méas? Vus, es déseus de la " thée "• les béuu du Cept eô· eus du phaus (mas pas du pés) aez e ee
i
un os à déasm », ou pr ncor vous az m crachr qu j sus mystqu ''· Et a bdo aors? stc qu j n'a pas u Sgn caton du phalus»? Et la séparaton l bout d so dont pour naîtr tu subs racontntls un abaton quà jamas ton désr commémor? D'allurs n voton p dans ms txts qu péns crcu qu j u donn lu arat Crts J vux tout. J m vux ntèr avc lu ntr. Pourquo m prvrasj dun part d ? J vux donc tout d nous Bn sûr qu'll a nv d'un «nv a mant t non jalous Non parc qu'll st châtré parc qu' st ctt dmnué qu vut s comblr ctt blessé qu vut s consor t s vngr. J n v pas un péns dont jornras mon corps. Mas j désr autr pour autr tout nr out ntèr parc qu vvr c'st voulor tout c qu st tout c qu vt t voulor n v straton? À d'autrs Qu'stc qu'un désr s'orgnt dun manqu? Un bn ptt désr mm qu s lass ncor mnacr par a grand phal mprssonné par l crqu d l'nstanc phaqu mné tambour battan par un matr Loyal cst a mm d'hr Els xstnt ncor cls nombruss vcms d la pus vll ds pharcs so qu'ls son dstrbués dans a prmèr t mu vrson t qu sur lurs corps s drs à l'ancnn l monumnt théorqu au phallus d'or qu'lls n vont jamas tans allongées sous ls montagns qu'ls ont par urs rémssmnts s'érgr Sot qu'aujourd'hu sortant d lur pérod inns ls s vont soudn salls par ls bâtssurs d l'mpr analytqu t dès qu'ls ormunt nouvau désr nu ss 65
o e tout gai dapparatre les voilà prises au ai par es ouveaux vieillards et hop! oique frigué de o derité le déo de 'iterprétatio eur ved sous i quas sigias e êes eo e autres echa aes reloques deièe versio ' éclairée de leur pudique aaieet Quelle tratio prér? Leque tu aies ie ceui du père ou celui de la ère? 0 es ois eux ties oie petite lle achète oi es luees e tu verras a VéritéMoie te dire tout ce que tu devr croire. Chausseles à to e et e e coup d'œi du fétichiste (que tu es oi l'autre aalste e e lappreds) sur to corps et le corps de 'autre Tu vois? No? Atteds o va tout t'expiquer et tu sauras e à quee espèce de évrose tu es appa retée ouge p o va te faire to portrait pour que tu te ettes ie vite à ui resseler. Oui ees sot ecore légio les aïves au preier et au deuxièe degré ouvell arrivantes si el oset créer à l'écart du théorique so iterlées p es i du Sigiat chées rappelées à 'ordre qu'ees sot supposé savoir; assigées par force de ruse à ue pace précise das a chaîe qui se aioe touours au prot d'u� sigiat» priviégié. O o reere au l qui s'il e raèe p au NoduPère pour faire pus euf vous raèe à sa pace à a èrephaique Aie gardeoi du sigiat qui veut te recoduire à 'auorié d'u sigié! Gardeoi des diagosti qui voudraie réduire a puissace géératrice Les os cous» aussi so des os propres qui raais set a siguarité e a rageat das 'espèce. Rops les cercles; e reste p das a ôre pschaal tique fais u tour et traverse!
E s nous sommes légon c'es ue l guerre de lbé rton n' ouvert encore u'une mnce brèche Ms les femmes s'y pressent je es vues celles u ne seront n domestues n bernées celes u n'uront ps peur du rsue d'être femme D'ucun rsue d'ucun désr d'ucun espce en core neploré en elles ere eles e d'utres ou leurs Ele ne féchse ps ele ne déne ps elle ne h ps ele obsee ee pproche ee cherche à vor l'utre femme lenfn l'mn non pour consoder son nrcsssme ou vérer l sodté ou l besse du mtre ms pour meu fre l'mour pour nventer LmourAutre:
Au commencemens sont nos dérences nou vel mou ose lutre le veut s'emble en vols vergneu enre connssnce e nvenon Elle rvne de oujours ele ne rese ps elle v prou elle échnge ele es le désrudonne (Non enfermée dns le prdoe du don u prend; n dns 'luson de son unenne On n'en est pus à.) Elle entre ele ereee mo et o enre 'utre mo où l'un es toujours nnmen pus dun et pus ue mo sns crndre d'endre jms une me: jousseuse de nore devennce Nous n'en nrons ps Ele rverse les mours défensfs es mernges e dévorons: udeà du nrcsssme vre dns 'espce mouvnt ouver trnstonnel elle cou ses rsues; udeà de remseenlt de l ue à mor de 'mourguerre u prétend gurer 'échnge ele se r dune dynmue d' Éros ue l hne lmener hne hérge encore un rese un ssessemen dupn u phus Amer regrderpenserchercher 'ure dns l'ure 67