Le
pack nnasonnerie
cloisons carrelage
Les matéri aox de corlstruction 5 Les li aots :cirrlerlt,chaux 12 Les granolats :sable etgravii lons 14 Lestechni ques de base 15
e carreau de pl âtre Les principaux types etcaractéristiques des carreauxcle pl âtre Dimer nsior nnemectcles cloismnsetrai cjissezrs Vi se en ceuvre des carreauxde pl âtre
35 36 43 45
L.A F'LAQUE DE PL/VF?E 61 Caractéri sti ques de la pl aque cle pl âtre La cloi sof nen plaques cle pl âtre Di vers types cle cloisons etleurs performances Mi se er nceuvre des pl aques de plâtre surossature métalli que
61 62 64 70
C arreler LG carrelage 77 L-A POSE AU SOt- 83 Prèriminairesetcontrôi es avantE a pose 83 La pose 88 L-A POSE VURALE 1O5 Commerltetparoù commencer? 105 Carrel erune fenêtre 111 Carrelerune baignclire 114 es cclupes particuli ères 115
Lejointoiement116
La m açonnerie
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/7rrlpcl/-larpce que Iuiontacctydê /eshommes,de tous temps.A//e#re en œuvre (%s matérlhux de construct iorbIessc)/' (/ar/ b. erpourformeraubout(/tJCompte un ouvr&ge ()t J/r / ' erlrle Ceboulr' ës/ l stante!durable,voilà quelestIe sako/h-fake dt/maçon que ((I' on reconnaît&u p/' ec/dumurpi. Cesavoir-faire repose surIhpprentissage etI'exercice c/e techniques précisez dof?rIhcquisition estaccesslble ( ')tous.Dhutantque,denosybt-/rs,/es outils et/es produits modernestnffrer?l
aupt a/l/ct // er/ r esposslbili tésetI esmoyensdefaireilrescpe?nussibienqt/e/eprofessi onneL Le monde de 1& maçonnerie est//nmerse etIesexemples de ré&llh&tions innombrables.Cet ouvrage apourl)tprdeformerIelecteurauxpcoctjd:sJebase(w/'serontF??/tsenpratique au lraversc/e quelquesexemples.Desexemples qtJ/'pourrontIuiserk'/hde modè/esdansIa conception etIafabrication des ouvrages (w )' /souhaitera m ellre Iui-même en chantieroudont11bot/c/racom prendre etsurveillerIa réall%ation.
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savoir:I 40 bars 7ll,60 bars ' ,111.80 bars. Les voici: les briques creuses courantes permettentde monterdes murs extérieurs ou des cloisonsintérieures ' ,
l esbriquestlgalandages(di tesaussi<(plâtri ères> ')serventsurtoutà l aconstructi ondecl oisonsde doublage (On peul
parexemple associerbriques creuses en extérieuretbriques plâtrières en doublage intérieur,avec unisodantentretesdeux ma- Liyomts'eoy ooL;L:ecret/sf?
téri auxout outsi mpl ementuneI amed' ai r)' ,
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Les Grecs,puis 1es Romains,coqnaissaientIa terre cuite,mais c'est seulementau VIlI''sièclequ'elle faitsonapparition en France sous la forme du carrelage.En effet,Ia possibilité de meulerI'argile afin de formerdes briquesetdes carreaux de formes géométriques régulières.a permls de disposertrèstôtde matériaux de substitution à la pierre.
Lat errecui teprodui teaujourd'huii ndustri elementdonneunpr oduittrès répandu enraisonde la facilité avec laquelle on peutIe mettre en œuvre et deson be!aspect. Les multiplespossibilités de façonnagede la pâte d'argile permettentla fabrication de plusieurstypes de briques :pleines,creuses,encarreau,en bloc,etc.Chaque grande catégorie comporle de nombreux élémeqts de taillesetdeformesdiverses répofldantauxexigences d'ouvrages divers.
LES BRIQUES 11existetroisprincipalesvariétés de briques :Ies briques pleines de parement,les briques pleines ordinaires et les briques creuses.que vous choisirezenfonctionde quelques critères.La plupartprésente des dimensionsstandard.
1es briques à rupture de
joints,appel éesai nsiparceque I ej oi ntentredeuxbri quesnese
LES BRIQUES CREUSES Des cloisons verticales ethorizontales compadimententI'espace intérieurde ces briques,ce quileura valu l'appellation de r
jouel erôl ed' isol antthermi que.Ainsi,l esbri quescreusespeuventservirà la construction des façades,avec éventuellement un doublage isolant. Ellesdoiventétre dans ce cas,recouvertesd'un enduitde mortier.contrairementauxbriques pleines qui.elles,peuventresterapparentes. 11existe trois principaux types de briques creuses,aux formats etaux caractéristiques variables,classéesselon Ieurrésistance tti'écrasement.tl
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fait pas entièrement sur leur face en contactdans la mesure oùelles présententune dépressionquiemprisonne,une foisle murmonté.une lame d'airsur toute Ia Iongueurde la rangée de briques.
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PRINCIPAUX TYPES DE BRIQUES CREUSES
BRIQUES Bri quescourantes
tCARACTIRISTIQUES EMPLOI )Longueur:22cm. Maçonneriesi ntéri eures tl ( Hp aa ui t es s ue ru: rs 10: ,4 5; c5 m. o u e x t é r i e u r e s . 4' ,7,5; Doiventétferecouverles 110,5cm.
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PBINCIPAUX TYPES DE BRIQUES PLEINES
BRIQUES Deparement Décoratives
CARACTIRI STIQUES 1 EMPLOI Colori setf ini ti onr ouges, IMursdef açades,cl oi sons,
j aunes,gri ses' ,matesou j lerasses.alées,etc. vernissées. I
1Traitementdefinitfonper- .Habillagedesmontants
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1Lesmèmescaractéristi- 'Toutouvrajedestinéà 1ques9ue1esbriquescou- êtrerecouvertd'unenduit, 1fantes 1 . 1 1 jHauterésistanceaufeu, >jSpécialementconçues
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LES BRI Q UES PLEINES Dites .çde parement,'quand elles sontdestinées à restervisibles.Dans ce cas,elles doiventêtres résistanles aux intempéries sielles sontdestinées à I'extérieur.Elles coûtentplus cherque 1es briques ordinaires.qui
el ies serventà toutesI es padi escachéesde l' Ouvrage (l esmursdevant ètr e recouvertsd' unendultparexemple), Les briques pleinespermettentde monterrapidementun muret,un petitbarbecue,etpeuventaussiservirde revêtementde sol,pourune allée
dejardi n parexemple.Danscedomai neégalement,l a normal isati onimposecedainesrègl es,comme l arésistanceaugeletaufeu(iarési stance des briques ordinaires se situe à près de 1200 OC mais pourIa construction des foyers de cheminée ou de barbecue servez-vous de briques réfrkh(ltélirll6;').
LES BRIQUES
SPéCIALES 11existe enfin desbriques de tormesspéciales.En voiciquelques-unes 'chaperons ou demi-rondsde couronnement. boutisses ou panneresses arrondies des deux côtés ou bien d'un seul,retoursd'angle intérieufouextérieur.tétesde mur,briques pourmurs cintrés,perforées
(pouraérati on).etc. éh?/' .' (f 7:tii?é;.?:l/' eF??i?E)?'k5, 'r'/' ty .. -. ' -:.ç -iF?' eé;
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LES CARRELAGES Sans entrericidans Ie détail,on ne sauraitomettre de dire que Ia terre cuiteestévidemmentI'un des matériaux traditionnelsentranldansIa tabrication de carrelages très beaux etrésistants siI'On a afffaire tlde la terre cuitegrésée.
E'LE'MENTS SPE'CIAUX Laterreculteexiste enfinsous Iaforme d'entrevousetde poutrelles,ma-
t ériauxentrantdansIaréali sati onde pl anchers(d'unusagecompl exe :i t estpréférabl edefaireinter venirunprofessionnelpourIeurmiseenœuvre), de claustras (él éments ajourés quise montentau modier,comme des bri ques),etc.
Le béton estun matériau qui,outre I'utilisation que I'on en faitpourle coulagedes dallesetautresouvrages,entre dans la fabricationd'éiéments destinés eux-mémes,après assembtage,à constituermurs etptanchers. C'estainsiquel'on lrouve desparpaings,deshourdis,despoutrellesetdes Iinteauxprêts-à-l'emploi,des blocs,etc.
LES PARPAINGS De forme parallélépipédique,comportantdes alvèoles intérieures,iIs s'emploientcourammenlpourIe montage desmursextérieursou intérieurs
(mursporteursOuderef end).1 lsexi stentenpl usl eursépaisseurs(5,10,15 ou20cm). Comme 1es briquescreuses.les parpaings apportent uneisolation thermique non
LES BRIQUES DE RE'CUPE'RATION
négiigeableenraisondeleur alvéoles intérieures. Moins chersque lesmatérlauxna-
Elles sont plus recherchées pourIeuraspectque pourIeurprixde revient,certes modéré puisqu'elles ont déjà servi.Vieillles,elses s'intègrentmieux à un ouvrage ancien que des briques neuves.Mais avantde 1es employer,tàcherde connaître Ieur provenance d'où vous déduirez Ieurs qualités et
turels, iIs sont aussi moins esthétiques etdoiventêtre, pourcette raison,recouverls
leurrésistance(ell esdoi vent
Des poutrelles en béton ferraillées de différenteslongueurs,permetlentde construire rapidementun plancher
être ingélives siellesservent
àI' extéri eur),h défaul,vous trouverezdansIecommerce des briques artificiellement vieillies sur Iesquelles vous
Ciet nerîtsspéc/at/xenJerrecclfteptlrrnetCar?l parex6wpp/e clerda//se/'urîc/ at/sl//.
d'un enduit, qui Iui-même pourra ensuite recevoirIa finition de votre choix
HOURDIS, POUTRELLES ET LINTEAUX
en Ieurassociantdes hourdis.
serez exactementrenseigrlé PournettoyerIes briques de récupération, utilisez un ciseau de briqueteur pour
LesIinteauxen béton.nécessairespourIesouvertures
enleverIes restes du vieux mortieretun nettoyantspé-
blespours'adapterauxdifférentes ouvertures. L'emploi decesélémentspréfabriqués vous tera gagnerbeaucoup de temps.
ci alpourI estaches(moull iez Ies briques avant d'appli-
querl e nettoyant).
(portesetfenêtres)sontégalementde dimensionsvaria-
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LE MARBRE Le marbre estun matériau superbe C'estune pierre calcalre dontle veinage estmisen valeurpardEfférentesopératrons de pohissage qtliIuidonnent par allleurs cetaspectbrillantcaractéristique.11en extste de différentes teintes.souventmêlées hormis pourIes blancsetles noirsqu1présentent des tons uniformes.En outre.$es marbres sontclassésselon leurtexture
(marbrescristallins.brocatetlesetcipolins)Onrencontreplusreurscentalnes de variétés de marbres,ce qu1vous obligera à faire votre choix surprésentation d'échantillonsou surcatalogue.N'hésitezpasà.prendre Iesconseilsd'un marbriercarils'agitd'un matériau onereux :autantne pasfatre d'erreur...
pierresprovenantd'tln gisementproche de votre domicile aussibien pour intégrerla constructlon au terroirque pouréviterde Iongstranspor'ts oné-
reux(Ies professionnel sétablssentI eschanti ersdetaileà proximi tédes carri ères).Voiciquel ques-unesdespri nci pal escatégoriesdepl erres.
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LES PIERRES CALCAIRES Ellessontclasséesselon leurdureté etbénéfloentd'uncoefficlentAFNOR
(lesplusdures.ditest xtrèsduresetextra-dures, à,ontI ecoeffi ci ent14)
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Ellessontforméesde grainsplusoumoinsserrés.ce quidétermine Ieur résistance Choisissez-lesenfonction del'utlllsation que vousvoulezenfaire Elles se prêtentà des décors rustiques carjeurbeauté dépend de la matière elie-même. Le calcalre estun matérlau de constructton courant:cutre Ies pjerres taillées,on Ie connaîtausslsousIaformede moellons etde pierres prétallIées :on I'emptole aussicommeagrégat. Les moeslons présentent des tormes irrégulières. contrairement aux pierres taillées.Au momentde Ies mettre en œ uvre.ilfautdonc Ies sélectionnerenfonctionde la place qu'ilsdoiventoccuperdansI'Ouvrage de maçonnerte.On a souventrecours aux moellons,parexemple pourla cons-
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LE GRANIT C 'estune roche siliceuse.D'une résistance proverbiale,le granilexiste dans desvariétés toutes très dures.Cependant.plus Ie grain de Ia pierre estfin.plus ceste dernière estdure.On en trouve daos de nombreuses
teintes(dontl egrlssouri sprovenantdeBretagne).Legrani tcependantest unepi erreporeuse(piusc)umoinssel onI esvafiét és).quiexi geparconséquentdestraitements préalablessuivantIes utillsations et1es expositions.
Lesfioi ti onspeuventdonnerà.tasurfacedugrani tunaspectbri ll ant(quk rehausseIeveinage)Oumat(adouci).Ontrouveaussidesgranitspresentantunesurf acerugueuse(obtenue parfs ammaget)uparbouchardage).
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LE QUARTZITE
QUELQUES CONSEILS AU SUJET DES DALLAGES
11s'agitégalementd'une pierre siliceuse.Le quartzite esttrèsduretimperméable. 11offre un aspectcaractéristique de par Ia présence, danssa structure,de petites particulesmétalliques.Sa résistance vous permetd'envisager son utiiisation dans
Toutes les catégories de pierres que nous avons présentées dans les pages précédentes peuvent servir de revêtement de soloù leurbeauté peutêlre misepleinementenvaleur.Certainess'yprêtentcependantmieux que d'autres,en raison de Ieurdureté etde Ieurrésistance.Vous pourrez Ieurajoutez Ies dallesen pierre reconstituée,utilisables aussibienen intérieurqu'à I'extérieur. Choisissez Ie matériau en fonction de l'emploiauqueivous Ie destinez
toutes Ies situations.
LE SCHISTE ARDOISIER L'ardoise estune roche argileuse.Comme chacun sait,elle estimper-
méable etoffre une bonne résistance (cette dernière varie suivantson épaisseur).En France les pluscélèbres sontIesardoisesd'Angers,de Deville.de Fumay,de Cattemoue,de Renazé de Sainte-Anneq,,Ellespré-
etI arégi onquevoushabi tez.évi tezparexempl elespierrestropporeuses pourl'extérieur.ot)le geIrisque de les faire éclater,ou pourla cuisine.où elles risquentd'être irrémédiablementtachées. Attention aussiaux surfaces glissantes Iorsqu'elles sontmouillées :ne 1esplacez passurunIieude passageteIqu'une allée,ousurIesbordsd'une piscine. En revêtementde sol,la pierre estprésentée en carreaux eten dalles
de formats,de formes(pastoujoursréguli ères)etd'épaisseursvariabl es. Réfléchissez bien ,' j I'appareillage que vous souhaitez donnerau dallage. Sachez qu'ilestparfois possible de faire taiilerdes dalles surmesure.
sententtoutesdesteintesvariantdans 1esgris. Remarque L'artde bâtir Longtemps /'arl Je /a construction a rés/t/é dar?s I /a sélection des (ormes
jd esp/erresdar?sf ebut cpe ces dernières s'assembientparfaitementles tkrpes aux autres.C'estIe cas de ces murs de p/ys 'res sèches, parfois .' ) pei-
ne ajust ées . 'I aJ ck perlle
1p / ao / su l sv e a/ ' t ej nulg ee nr dr d eeq/a uerélu ' o sn -I slte de Ia construction au chant du vent entre Ies
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LA LAVE
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Un matériau d'origine volcanique que I'on trouve surtoutdansIe centre deIa France,enAuvergne,dans Ia région des puits.La pierre,quipeutétre
émaillée,oflredeschaînagesparticulièrementdécoratifs.Sa posecependantprésente quelquesdifficultésen raison de Ia tragilité du matériau.
Perresdtldallane.
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thermi queetl eurfaci li té de pose.Dedi mensionsvariabl es(i Iestnécessai fede di sti nguerl es blocsport eursdecarreauxnon port eursl,i es él é-
2..V-. 'v v' ). :f.i :.72 SKQ.
Moulé encarreauxouen plaques,le plâtre estun matériau de constructiontrès largementrépandu.ilestomniprésentdans Iesaménagementsintérjeurs.
mentsde béton cellulaire présententl'undes meilleurs compromisentre la
résistance mécani queetI esperfofmancesthermi ques(épai sseurs:5,10. 15ou20 cm sel on l esrégions).Plusl e bl ocestI éger,plussa résistance mécanl que (résl stanceà l a compression)estfaibl e.maissonrendement thermsque meilleur.
LEs CARREAUX DE PLATRE ; )
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Lesblocsdebétoncell ulai resontf acil esàuti li ser.Onlesmonteàjoi nts épaisde morti er.morti er-coll e (poudrefal tedeci mentbl anc.dechaux.de
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sable etde rétenteurd'eau :toute pféparée.ilsuffitde la gâcherau mO-
LEs PLAQUES DE PLA-TRE
mentdeIapose)quidonnettlaconstructiondavantaged'homogénéité. Endehorsdesblocsetdescarreaux,le béton cellulalre se présente sous la forme d'éiements spéciaux quipermettentla llalson de deux murs en angle.Cesbiocsd'angle sontmunis de cavités cylindriquesdansIesquellœ passentles armaturesmétalliques.Cela permetde constituerunchafnage vertical. D'autres carreaux de bètoncellulaire serventà t(habiller>,cedalnes partsesde maçonnerie.comme un linteauen bétonarmé.Leuremploidans ce casdonnera ttIa construction un meilleuraspectd'ensemble.
Le béton cellulaire sera recouverl.en finition,d'tln enduitau plàtre à I'intérieuretd'un enduitépaisau modierà I'extérieur,dontla couche de finilion pourra être remplacée parun revétementplastique épais prêt-à-l'em-
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h not er,qu' iiexi ste aussides plaques isol antes :ils'agi ten fai tde plaques ordlnal res mai s doubl ées d'un i sol ant(I aine de verre,pol yur éthane.polystyrèneexpansé).L' avantageestainsid'i sol erunmurouunplafond louten disposantd'une suuace de plâtre apte à recevoirun revétement.L.e côté isolantestgénéralementcoilé contre le mur.L'épaisseurdépend de celle de l'isolant. 11existe bien d'autrestypes de plaquesde plàtre,tellesque cellesavec pare-vapeur,Ignifugées.spécialescharpentes.etc.
ploietnormalisé.(Attention :uncertainnombred'enduitsd'imperméabilisation de taçade ne peuventètre appilqués surIe béton cellulaire.Renseignez-vous auprès du détaillantotlIisez bien la notice d'emploiavant
12b'n -,ït:ïr1(?tit;-t).. '7)/lc)L?:tq/ ,()/é?(?t7t?(/il;)?Ji .t.'ë?--tri)rltp ':k6)f?L)'(?/)L)Ib'L;:'ç?!/)c a. ??ta 2) J7a4)1?eê4t/zoffpostte ';.)laLllle(2eJJ/pila)..t' LDlvstyrel:e E?. î' /.lar?se. 3).rlnarl. r-.ea:;Jtlrrwoslle olclue' :7ep/cùtre-Ja/rlederocize 4)rlari, qeat.'' --o'nposite'plazlk:e(Jep/ér .r6.z./a/rleJevelre
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Enbéton,parfois avecparementde brique.ou enpierre reconstituée,iIs permettentde monter rapidemenlpiliers,murets.dallages.etc,IIs s'assemblentau mortierou au béton,comme lesautres malériaux de maçonnerie.11sontaussifacilesà transpoderqu'à poser. Chapeauxde murets,éléments de couronnementetde pilier,taillés ou bosselés sontparticulièrementintéressantscariIs dispensentde lravaux longs etdélicats.Les éléments modulaires formentIa structure du pilier,à
!97 -.r:k5 --... J :; '4 3f w-!. : 7 .-.F . : :<. -k' , -/ lz . ' . ''. ï $ ' p r s 'r -: ' . 7 ,! ' . -. -p h k ' . ?i .. -. . '.; Présentantune épaisseurd'1 à 2 cm,Ies plaquettes de paremenlsont soitenbéton,soitenterrecuite.solten plâtre.Danslesdeux premierscas, ellespeuventétre utiliséesà l'extérieur.Ce matériauévoque.selon Iesmo-
dèl es,I a pi erre,I abrique.I emoell on(brutoutailé),l' ardoise,etc.
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furetà mesure de Ia pose des éléments quise superposentIes uns aux
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Ces plaquettes,d'un emploi très facile. permettent d'habiller rapidement une cloison ou une façade.Elles se posent un peu Comme deS Carrelages,Ce quiSuppose de préparer correctementle support,quidoitêtre plan etsain. L.a fixation se
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iité différente selon que Ia pose estenvisagée à I'iqté-
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fl eurOuàI.extérleur),Iespl a-
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quettes étant régulièrement espacées i l'aide de Cales de manière à ménager Ies intervalles nécessaires pour
réal iserI esjoints, jjj;!g....ù.âo t.o v. . ..a:llly . . Pour les sols,les pavés autobloquants en padiculier, ou d'autres éléments préfabriqués permettent Ia réalisation de terrasses ou d'allées sans qu'il soit nécessaire de coulerune dalle.il existe despavésdecouleurs de formes,de dimensionset de matériauxvariables.
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unemême roche àdominante calcaire,dans le second,mélangésselon un dosage précis.11reste que Iaproportion de calcaire étantde Ioin Ia plus impodante,Ies cimenteries sont.le plus souvent.installées à proximité des carrlères.cela pourdes raisons pratiques etéconomiquesévidentes. Mélangé à de l'eau,Ie cimentforme la pàte plastique etonctueuse que l'on connaîtetquidurcit rapidementen séchanl.11donne alnsiune très bolnne cohésion auxconstructions,ilestlmperméable etpermetd'obtenir de hautesrésistances mécaniquesetchimiques,supéfieuresà celles de Ia
chaux(voirplusI oi n).Onajoute:dusabl e(parfoisdeIachaux)pourfabrl -
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querdu mortier' .du sable etdesgraviers pourfabriquerdu béton. En additionnantaucimentdesproduitstels que Iachaux.Ia pouzzoiane, etc..On obtientdes cimentsdérivés comme le cimentde Iaitier,à la pouzzolane.auxcendres.etc.Ces différentscimentsOffrentdesqualitésetdes degrés de résistance différents.ce quiestindiqué surIessacs.Le tableau vous en donne un aperçu.Enfin notezque certalns ciments sontparticulièrementadaptés aux sols. '
CLASSIFI CATION 1 i
Les matériaux de construction sontassemblés à I'aide de produits qui,durcissanten séchant,donnentsa solidité à I'ouvrage.Ces pro-
CPA CPAL
dui tsmall éabl es(mortiersoubétons)sonteux-mêmespréparésavec
des liants hydrauliques :le cim entetIa chaux.PourIes bétons,Ie cimentpermetde (ïlierl)Iesable etIe gravier;pourIesmortiers,iIssont fabriqués avec du sable etdu cimentou de Ia chaux. Contrairementà Ia chauxou au ciment,le plâtre peutêtre employé seul,sans autre matériau.Malgré cette padicularité,le plâtre est un
DISI GNATION
1
RISISTANCE
CimentPorlsanjadificiel. 1 E CimentPortlandartificlel .250à50Obars*' .àretenir
Iaul ai ti er ,
1pourl af abri c -at i ondube 't on,
cpcA
! l ci mentPort landart i fi ciel I lauxcenjres. !
liant(à utiliserpourI'assemblagedes carreauxde brique,parexemple)à partenti ère.Noteztoutefoisquecertai nscimentspeuventêtre
CPALC
rCi mentPodlandart i fi ciel fj
employésseuls :c'estIe cas,parexem ple,desciments de scellement.
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! aulaitieretauxcendres. : E ! . ' Ci men!deI ai tieraukl in- 1 50à300bars. .1
Ct.x
iCimentde laitieràla
!100à250bars. '
Ichaux,
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CM Le clmentestune poudrequiforme une pàte aucontactde I'eau etdurciten sechant.ce quilutpermetde solldarlserles matériaux de construction entre eux.11en existe deuxcatégoriesprincipales :Ie cimentnaturelet Ie cimentadiflciel La premièrecomprend uncertaifnnombrede produits qui diffèrenlparIeurcomposttion elparIeurréssstance. Le plus connu des ciments estIe cimentPodland artiflciel.quitlre l'orlgine de son nom de I'île de Porttand d'oùestextfaite la roche calcaire entrantdans sa composition.Le cimentesten effetun mélange de calcaire. d'argsle,de feretde magnésie (ces deux derniers constituants en faible
quantité).LadltférenceentreI eci mentarti fici eletlecimentnaturelti entau faitque ces divers composants sont,dans Ie premiercas.contenus dans
CN '
ker. Ci
mentàmaçonner. Cimentnaturel.
I I E
i100à.250bars. I160bars 1 .
I-Etlé?reb':1t'rlrl. :. ?L i àiernestlrl. q(ht.. ' J?res/sz/pc.' ?rTf/qlalhkltve //. . )af'z'.3)2lkgt'r'l tes. c' é-. '. :,. %ss'. ';'I r 'w1. f''S t
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INFORMATIONS UTILES Lessacsde cimentpodent
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gnentsurlesconstituantsdu
pr odui t(voirtableaupageci contre)tandi s que Ies chi f-
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normes(tousI esproduitsne sontpas normal isés)repérableauxfettresNF(Normes Françaises).CelabelestdéIivré par I'AFNOR.D'autres lettres parïois viennent accompagnercesdernières,révélantqu'un autre organisme a approuvé le ciment. Par exemple VP, pour Ville de Paris,
1
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Dans Ies trois premiers cas.ilestdonc utiiisé pur' ,dans Ie derniercas.
i lestmélangéàdusable(i Iexistedesmorti ersprêtsaugâchagequidis-
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fresindiquentIa résistance à la compression exprimée en bars.Enfin,Ies sacs portent le Iabel de conformité aux
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CIM ENTpo
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pensentde Ie mélangerau sable ' .bien pratiques mais à réserverpourles
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petitesquanti tésenraisondel eurcot )tpl usél evé).
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Paratlleurs.certaines qualités de cimentpeuventêtre employées uni-
f,y. ;-, ,
quementenpoudresurl emodi er(chape)pourenaccél érerI apri se.
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Enfin, ilfaut noter que les proportions données plus hautpeuventvarierselon le
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typede ci mentuti li sé etl 'usagequ' on l ui Aitentio'n --y..- ..-.-... .- ..destine :Ies fabriquants fournissentgéné- ) ------'Gar e à--I, hum idité ! 1 r a l e me n t l e s r e c o mma n d a t i o n s n é c e s s a i r e s . S i Danstouslescas.sii kot/s devez srtlcker i aquanti tédeci ment i détermine sa résistance.ilne fautpasdé- 'des sacsde cl&?e?pl,neles 1
sr
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passer2volumesdecimentpourunvolume
posezpascorlfre un rnt-?/-!
de sabIe. Pour le foyer d,un barbecue Ou d,une cheminée,utilisezdu cimentréfractaire.
,niJkecfemenlsur /e sol. ! rrlalà Couchez-les s&ruiîe ' I . pa/ ! . elle. :
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I'b/larquage c/e classificatlon c/es sacs c/e c:ruenr.
La chauxestun Iiantdentl'emploiestconnu depuis des siècles.Avant Ia mise aupointde Iiantsprésenlantdesqualités mécaniquessupérieures, lachauxétaitutilisée enquelque sorle comme un Iiantd'appolnt,pourdonnerà unmurde pierres,parexemple,une meilleure tenue.Ellese présente sousforme de poudre qui.mélangée à cle l'eau,donne une pâte souple et onctueuse quidurcilen séchant.Cette poudre estproduite à partirde cal-
UTILISATIONS ET
PROPORTIONS X PRIVOIR
cai reetd' argil e(seul ement10ood'argi le)cui ts, ' jhatl tetempérature.
Lecimentsertauxscellements et aux rebouchages
La chaux estun liantquiprésente moins de résistance que Ie ciment:
ell edoitêtreréservéeauxconstructionssujetesàpeud' efforls.
(3 vol umes de ci mentpeur 1 volume d'eau),aux join-
Les mortiers préparésuniquementavec de ga chaux,dits (tmortiers de chaux)),sontd'tln emploipltls facile :plussouples,ilsdurcissentpit?s lentement,mais attention une fois secs,ils ne sontpas Imperméables.
toiements de carreiages,ou
bafboti ne (1 volume de ci mentpour1/2volumed' eau), à la préparation de modiers
(1 vol ume de ci ment pour 2 à 3 volumes de sable seIon Iesdestinationset1/3 de
vol umed'eau).
Dépose Lz' ey 'a tmrbofi ne e/$pfntoementJe carrelage.
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UTILISATIONS En maçonnerie,on utilise de la chaux hydraulsque,quifutcommerciali-
séepourI apremlerefoisen1853.etsurt outI achauxgrasse (chauxvi ve éteinte parhydratatlonen usine ;attention :Iachauxvsve.dangereuse.ne
doitpas étreemployée).Aprèshydratati on.Iachauy grasse (ou 4 :chaux
j.aT 1. C ' , fk Q -;!ï l /) llK--2 ;II1II/ '1ku-,5, r :llk-' &) NS4 '1 'd..., 7êJT Ik,',1l 1 ' !1ur 1 . 11.> Q----q' f. k . SzxB l.. -12 .JE T (IR A 3.TIl,I-. O N FS
blutée,h,4'hydrate de chaux),ou encore,techniquement,
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ChauxAérienne iteinte pourl e Bàtiment)estrédui te à I' étatde poudre Sous Iequelelle estcommercialisée Cetle chaux estsurtoutIntéressante pourla réalisation des enduits car elle estimperméable tlI'eau de plule touten IaissantIa maçonnerie respirer.Son imperméabilité peulêtre renforcée parI'incorporation d'une résine d'accrochage à l'eau au momentdugàchage.En outre.la chaux présente peu de retraitau séchage et,pourcette raison,ne se fissure pas.Le sable incorporé à la chaux Iuidonne un aspectcoloré etlégèrementgranuleux qu,donne à l'enduituncaractère rustique trèsesthétique. Pourobtenjrun modier facile à travailler et présentantde plus une bonne résistance.on procède souvent, 'jun mélangede chauxetde ciment dans des proportlons variables selon Ia destination du Iiant.NImortierde ciment.nimortierde chaux,mais un peu des deux,le résultatestappelé ï(mortierbàtard>'.
NORMES ET CONDITIONNEMENT La chaux estdlsponible en sacsde 50 kg Ie plussouvent.Vouslrouve-
rezcependantdesconditi onnementscontenantunequanti té (4kg)adaptée pourles petits travaux.Chaque sac pone des indicatioqs renvoyanttl une normalisation précise.Ces lnformationsportentaussibien surles qualités du produitque sur Ia référence à Ia norme établie par I'AFNOR. Cholsissez tes sacs présentantcette mention.
Note
N6 AvistechniquesetDTU LesJltl/ zr/ esfrarnal tes1/ V/L )sontcl asséesen troi scatégonès:expikp k menla/es,enregistrées elhomologLiées.Un ce/-laph nombre d'entre elles
so/ n!oblù3tares.celestral tantenpart/ ct plèrdeproduit soud' apparet ll age
dontia miseerpp/àcepeutëlce source de dangers.
LesDTO (Docunîents t echrl i questk rpl /és)sontdestextescéd/pispar descclr prr/l sszr? sde spéaà/sl es,surdesprcdtptsetdesst éel st raitant desöornaînes lracllrnne/s du bâtiment.zqprèsleuréîaboration,ces(A ct/-
merîtssontptzt n/és dal, s/ es Cahiers dt p CSTB (Centre Soentit ique et Tec/ lf ?/t weduébl rr pent. Le Chalnp otkk'erler?lce I'Invention d'un produitetsa normalisation est cclt/k'ertpart/r?.tavs rec/lrljcpe>érrarlar?ld'une commlYsion de contr6le. L'iaws de cette comrrlpàs/c)rpestpriser?compte parIesAssurances.
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Leci mentetIachauxnesontuti lisabl esseuls( di luésdansdel' eau) que pourdes utilisations bienspécifiques etsurde faiblesépaisseurs. Le plus souvent,ilfaut Ieurassocierdu sable etpadois du gravier,et même des cailloux pourdonneraux matériaux de construction une
I iaison plussol ide.11s' agi tde ceque I 'onappel legranul ats(ou agrégats),desmatériauxqui,agglomérés parIe cimentet/ou I a chaux, vontformerIes mortiers etIes bétons. Le choix du granulatn'estpas du toutsecondaire.11doitêtre parfaitementrésistant au gel,à l'humidité1à l'abrasion.Vous aurez par conséquentintérêtà vousprocurerles granulats auprès d'entreprises spécialisées.Ces matériaux doiventêtreeneffetcalibrésprécisément: Ieurgranulométrie estmesurée avantIeurcom mercialisationTce qui permetde Ies classerselon Iesdidérentes utilisations. Pour toutes ces conditions,ilest préférable de s'adresserà des spécialistes plutôtque de ram assern'impode quoi.
LE SA BLE 11ne fautpasutllisern'importe quelsabie.etsurtoutpas de sabje d'origine argileuse.dontla composition chimique attaqueraitIe ciment. On peututiliserdu sable de rivière etdu sable de carrjère.parfaitement propres etdébarrassés de limon,de vase etde scories de toutes sorles. Pourvous rendre compte de l'étatde propreté du sable avantde I'utiliser. frottez-leentre vosdoigts.S'ilylaisse destraces,iIfautIe Iaver:c'estI'une desconditionsessentiellespousobtenirensuite un béton ou un mor-tierhomogène etdonc solide. Généralementle sable commercialisé esttoulours un peu humide.Certains fabricants proposentcependantdu sable sec en petitconditionne-
ment(1, 5 kg).maîsquin'estpasdestiné àIaf abri cati ondumodieroudu béton.
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HUMIDITE' ET FOISONNEM ENT DU SABLE Soyez attentifau degré d'humidité du sabie carcela peutavoirdes conséquence sur Ies propodions,Entreposez le sable sous abri,surun plastique ou une plaque de tôle,en attendantde l'utiliser. Le sable se
x' U.' e'.
chargetoujoursd' unpeud'humidi téausi mplecontactdel' air.cequiapour effetd'enaugmenterIe volume,Ce phénomène estappelé xrfoisonnement'h. Le foisonnementcourantdu sable estde I'Ordre de 20 %:c'est-à-dire quei'humiditéen augmente Ie volumed'uncinquième.11fauten tenircompte au momentdu mélange aveclecimentetIesgraviersquand onfabrlquedu
Lesgravillonsentrentdans la composition du béton,en plus du ciment
etdusabl e(etdeI 'eaubienentendu),l IsIuidonnentsaconsi stance.saso-
Iidité etsa résistance.Compacité etsolidité du béton varientselon Ia granulomélrie du gravier que l'on classe sous trois catégories :grosse, moyenne etpetite.PourIes bétonscouranls,Ie grosgraviersuffit. Onutilisedu gravillon de carrière Oude rivière,blanc,marron Ou gris,de 3tt5 mm.Outre sOn emploidans Ie béton.ilpeutservirà rendre ulns(7lanlidéfapant:pourcela,On l'intègre à la couche supérieure desdalles,avantséchage, Remarque
parpr ojecti on.
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béton(avecducimentseulquandonpréparedumorti er).
'm k .c-. g.u fo -gyà. Ak' .1L ix. t.o N. 3
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Gâcherdu plâtre ou du morlier,préparer etcoffrerIe béton,monterun m urde briques faitappelà quelques techniques de base dont la maîtrise vous permettra d'envisagerensuite des réalisations plus complexes.
h premi èrevue,ri en de plusfacil e que de gâcherdu pl âtre ou du
mortier;ilsuffitde mélangerIe matériau,quise présente en poudre, à de I'eau.Mais un gâchage malfait donne des mortiers qui,en séchant,se fendillentetse craquèlent;des plâtres quiadhèrentmal, s'écaillentou s'effritent. '
sesco/orants
Le gravierutilisé pourla fabrication du bétondoitètre correctementIavé,pourêtre débarrassé de la gangue argiieuse.Ces impuretés nuiraientà l'homogénéité du béton.La particularité du béton que réalise l'amateurestde présenterune granulométrie tçdiscontinue ').c'est-à-dire qu'iicom-
//eslposslble Je coIOrer LlanS Ia rnasse, le.%ciments, tlélclfls, endutt .s, fâtres; etc,ce quipeut ter certajr?s travous pvj vaux de petbture. Lescoloraots se présententsous
portedesagrégatstrèsfins(sable)etd'autrespl usgrosetdedi fférenlscal i bres(gravi ers),Cette vari ation entre I es di ff érents
I a j(?rrf;edepoudres (/ u' j / jatt i vcorporer aox ? ' r?éI anges. O?7peutaj/-ls/co-
granulatsne se retrouve pas dans les bétonsfabriqués industriellement,à granulométriecontinue,plusrésistants ' ,maisle béton à granulométrie discontinue offre une résistance suftisante.
Iorer sa/ps peine leS enduits de façade ou (#,lhtérieul Jes dalle.% Je 'erras'se, /es so/s de garages, elc.
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CIMENT OU CHAUX :LE CHOIX DU LIANT Les modiers de cimenlsonttrès résistants mais i1s manquentde plastlclté etsont.pourcette raison,difficiles à mettre en ceuvre :eq séchant,IIsdeviennentimperméables mais ils se fissurentassezfacilement. lispeuventêtre utllisés potlr1es sceliements. Lesmortiers de chaux se caraclérisentaucontraire parIeurgrande plasticité ,lIssontgras.onctueuxetfaciiesà metlre enœ uvre.En séchant, IIs restentpermeablestlp'eau etsontassez friables.Les mortiers dechaux étaientautrefois Ies seuls à ètre utllisésdans la construction.IIs conviennentbien'' kI'assemblagede brlquespourles murelsOuIespetitsOuvrages. Les modlers bàtards sonlfaits à base de ciment etde chaux.IIs conluguentIesqualltés desdeuxIiants :plasticité etrésistance.IIsIaissent respirer la maçonnerse.Ce sont Ies plus utilisés pour I'assemblage des briques ou desmoellons.
C'estI'eau quiprovoque la prise du produit.L'auge danslaqueile le mortierestpréparé ne doitpas I'absofbersous peine de voirIes propodions modifiées.C'estpourquolilfaututiliserune auge en plastique. 11faututlliserde I'eau propre etfroide,carIa chaleuraccélère la prise desitants.L'eaudu robsnetconvient
LES BONNES PROPORTIONS Onparleradepropodlons,c' est-à-dire durapportentre1 esvolumesdesdl ff érents composants.cari ln' estpassimpledepeser! esprodui tssurunchanti er. Ledosagedesi ngrédientsent rantdans I acomposi ti ondumorti erdépenddeI' uti li sationprévuepourcederni er, doncdela réslstance exlgée
Entrant dans Ia fabrication du mol-tier.le sable Iui donne sa consistance. On
doltutiliserunsablefin(plus ilestfin etplus ilfaudra de
csment)etpal fai tementpropre,sans trace de boue ou de terre. Sivous avez des
doules sur Ia propreté du sable,tlfautcommencerpar Ie laver a grar nde eau Les sables les plus employés sontIessablesdecarrière et de rivlère.
Nofe
L.esatn/ede (nera'atètre p/-o/lbé ttcause Je . '
sasalh/lè(saufs'?est/ofpgt-larlenllavéé)I'eat.lJot/ce). sal ir ?esse( gra/ nstropf/ hs).
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Itai nsjol ntoi ements Jéco!
1ratt fs.' zot ?s, oourrezc/p(?/ s/ r Idecolorer/ i?mortj e:poj w z l lrat/rt imoworerl e ice/a,i
antau momentde le portebeaucoupdeUs namo bl ert: s e9 r 1e gs ro tsmo st el rnc sor mé- icol préor pa ratondumorf/ br(l a sistantqu' unmorti erfabrlquéavecunepro- IdoseJéper?ddel' i ntens/ té .
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podi ondeci mentpl usi mpodante.
iJel ateint edés/rtje).Pour
Le foisonnemen!du sable ou le tasse- IObtelltr deS Couleurs ' ment du ciment. I lestpréfératl/e ,i i nfg uence deI'humi di té 1lfdraencsheesser atmosphérique, kfr de ciment . tant de facteurs quipeuvent modifier les 1 volumes etIa qualité du mortier.AussiIes proportions indiquées ne sont-elles qu'approximatives. Pourdoserleplus correctementpossible.utilisez le même récipsentpour Iesdifïérentscomposants.Servez-vousparexempled'un seau oud'un pot de yaoud selon Ies quantités de produits que vous devez fabrlquer.Cer-
tai nstabri cantsproposentunsac-doseurbi enprati que(Sb Merci er), On pourra retenirIesdosages suivants :
Pour10 kg de ciment/chaux
TRAVAUX 1 VOLUMEDESABLE(enlitres) M .y-j urnoniorteur(br lques,pierresoupar-. 4 20à25 paings). Murporteur( bfi quesouparpaings) 15à20 Brlquescreuses,
-
1tésc ' l/ at /rol i enlle)outl er ' -
l aquali tédeS ' eausontau- Itl anc
QUEL SABLE EMPLOYER ?
-
Remarquv -I Mortiercoloré I Pourl eS CréDISfpr/e-
-..
30
Les quantités de sabte peuventêtre un peu plus importantes pourIes endults car IIsn'ontpas besoin de présenter1esqualités de résistance mécanique exigées pour un mortierqu1solidarise des matériaux de construction ' ,Ia couche d'accrochage de
Remarque '
1 sesmortiersprêts-à. âcher 1J' IIs yous éviterontd'erfectLier/esmélanges k'otps1 pe ce quiestétlrlap. mér
l 'enduit(gobeti s)doi têtre néanmoi ns as-
1 préci abl e.rnérr? es?ce/ a .rfloalrp/s's che: Uotys ne !
sez fortementdosée en cimentpourbien adhérerau support. PourIeschapes.on a besoin d'un mortlertrès résistant.donc d'un produltforte-
1ferezpas(:/'erreurJe o' o1sag'e etvous aurez ,a gai tied'otteniron ton oo1ran !vrage.,4 conselller Jtlr?c
mentdoséenliant(génératement10kgde cimentpour10li tresdesable).
1pour/ esper/ resquantités
1e?auxdtbotant s.
Quand on en a peua pre-
parer(pourIes scellements (7tlIespetltstravauxderépa-
ratloo).Ie modserestgàché dans une auge en rnatlère pjastlque blen propre pour evlterquaucunelrnparete qe vieflne se mèlerttla pàte S'iiestnécessaire de gàcher plusieurs sacs de cimenten même temps.ilfaut te falresurte solen illterposantune feudlle en matière phastIque assez epa1sse (ce qukévIte de saI!rIes sc)is cimentés ou la petouse etce qulpréserve 1es produllsen-
trantdanslemort ier).Vetlez
LELIEU DEGM HAGE
tlce qu'aucuq brin d'herbe ou parcelle de terre ne vlenne
soulller le mélange (1lfaut
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toutefois ic1faire exceptlon etciter'parexempie tesrnalsolls eq bauge normandes. dontOr '7procède à Ia rénovationdesfaçadesavec unerrduitfaltde chaux,de terle et de fibres végétales tels que
Iesjoncs( )uI apal ile).
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11existe ausslde grallds bacs plats en matlère plastjque.trèspratiques.qulpermettentde gâcherde grandesquantités. D'une manière genérale. le Iieude gachàge doltse sttuer près du chantler peur que Ie mortier solt rnis er) œ uvre rapidement.
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Le modier doilètre onctueux etnon grumeieux ' ,il doitaussitenirsurla truelle penchée sanscouler.Le dosage en eau estsurtoutune question de coup d'œil,Vous commencerezparincorporer moinsd'eau que nécessaire,
LA TECHNIQUE DE GA-CHAGE Versezsurl' air e (oudans I'auge)lesable etIeciment toulachaux).Mélangezavec une pelie ou d'une truelIe
(pourIes peti tes quanti tés). Pourque Ie modiersoithomogène, 1es deux composants dopventètre parfaite-
pouren ajouterau furetà mesufejusqu' àobtenirI' onc-
tuosité voulue.11est partoss souhaitable de surdoser Ie mélange en eau,parexempIe pourIa couchede finition des solsclmentésou pourIe
mentr 'nélangès.Remuez Ionguement. Ménagez ensuite uncratére au centre dutas.
Versez l'eau de gàchage dansIe cratère.surla poudre
joi ntoiementde dalesou de
Rejetez peu L ipeu le mé-
carreaux de sol.Un mortier surdosé en eau présente un
lange de sable etde ciment dans 1'eau avec la peI1e. Lorsque loute i'eau est recouverle. malaxez Ionguemenlavec ia pelle,en hachantde Ia trarlche de I'outil pourque l'eau pénètre bien. Trop d eau rend le morlper poreux ' ,pas assez.insupl-
sammentcompact.Uobj ecti f
estd'obtenir une pite oqctueuse. 11sse et qu1t$enne d'eIle-même sur la truefIe. Vous pourrezalouterun peu d'eau en cours d'utilisation pourconserversa consistance au r'néiange.âtcondition que la prise ne soltpas commencée.
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fortretraitau séchage.alors qu'un mortiersous-dosé risque de s'effriter. Selon le type de liantutilisé,Ie temps d'ouvedure est variable. Pour ne pas avoir de mauvaises surprises,considérez que vous disposez d'unedemi-heure après Ie gâchagepourIa mlse en œuvre. Pourgàcherde grandes quantités de modier ou de béton. vous aurez besoin d'une bétonnière. qu'i! est plus économlque de Iouer saufsiI'on a de grostravaux à entreprendre et cela sur une longue période.
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Enpl usdumaléri eldéjàmenti onné,untami sttmailesfi nesvousper-
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mettra de passerIe sable etIe ciment,etun seau calibré de doser1es proporlions.Prévoyez aussiune taloche surlaquelle vous poserez une petite quantité de mortierde réserve que vous aurezà portée de main.
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FABR!C)' UER LE BFTO N
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IJexistedestypesdebétontrèsdifférentsselonIecimentutilisé.latechnique de gàchage,ie dosage etIa mise en œ uvre.
LEs COMPOSANTS DU BE'TON -
Les agrégats.Les détaillants proposentdes graviers calibrés qui
convi ennentparfaitement.évi tez d' empl oyern' import e quelsgravi ersqui peuventêtre malpropres ou ne pasprésenterune résistance supisante. Le ciment.Le béton doit présenter une bonne résistance méca-
nique ' ,c' estpourquoion util ise l eplussouventIescimentsCPA(Por ll and ani fi ci el s)decl asse250ou325. L'eau.Le volume nécessaire dépend de l'humiditédu sable,maisaussides quaIités recherchées pourIe béton. Essayez d'obtenirun mélange assez onctueux,qui
Remarque Béton toutprêt 11estintéressantde se faire Iivrerdkectementdu tlértlrlpréparé/'r?J&st#e//ementpar une entreprise e?n bâtimentquand on a à Construlre une grarlde Jd//e bétonnée ou d'ir' nportarltes éondal/bns. Or) pevt ainsid/sm ser d'un béton de qt/alté dontles caraclér/' sl/qtkes correspogder?lexactemertt aux besoins.11fautalorspréciserl'heure exacte de Ia Iivralsoo, el tout préko//' pourûlre prètpourIa crlàe
necomporlepasdegrumeaux(signed'une
excessi ve sécheresse).Un excès d' eau
rend parailleurs Ie béton difficile à mettre enœ uvre.Si,aprèsle malaxage,vous estimez que votre béton est trop sec,vous
pouvezaj outerunpeud'eau,mai saj outez alorsquelquespoignéesde cimentpourne pas compromettre la résistance du matériau.
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Lebétonestunmorti erdeci mentauquelon a ajoutédusabl e etdes
gravillonsdontIa section estcomprise entre 6,3 et25 mm selon Ia norme. Onpeutrenforcé le bétonen yincorporantdesfers.On l'appelle alors (
,Lesbétonsutilisésdans Ie bâtimentse caractérisentparIa pré. senced'agrégatsdetoutes grosseurs,alorsque Ie béton préparé artisanaIementempioie des graviers calibrés d'une seule grosseur,etdu sable.
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LE GA -CHAGE A' LA BETONNIERE
S'il est possible de gàcherle béton à Ia main,sur unefeuilleenplastlque ou sur un bac à maçonnercomme pourle modier,le gàchage mécanique procure un meiiIeur mélange des composantsetrend Ie travailmoins fastidieux. 11se pratique à I'aide de bétonnières électrij ques ou à moteurthermtque
Dépl acez l amachine(el ie estmontéestlrroues)leplus près possible du chantier pour éviter le transpod du béton.Avantutilisatlon,vérifiez qtle la cuve estpropre. VersezdansIacuvel'eau. le sable,le cimentetIesgravlersdanslespropodionsqécessapres.Inclinezensuite ta cuve à l'horizontale eq manœuvrantIe Ievier,etfaitesia tourner.Le temps de malaxage est assez courl : il faut compter environ deux outroisminutes pourObtenir une homogénéité satisfaisante. Un temps de malaxage trop long a pourinconvénientde séparerIes agré-
gats (sousl' effetdeIaforce centri fuge).Pourverser l e béton frais dans le seau ou dans Ia brouette,ilsuffitde basculerIa cuve à l'aide du volant.
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Les coffragespourbéton doiventêtre étarlches etrigldes,condltion de la planéité des surfaces de i'ouvrage.IIs sontréallsés essentlellementen bois.On utilise généralementdespranchesde pin solides etrabotées sur le côté tourné vers I'intérieurdu moule.On peutégalementse servirde
contreplaqué spéct alcoff rage (quali téCTB-X)quidcnne detrès bonsrésul tats(elquilal sseunesurf aceparfai tementl isseaubétonsec). Les coffragesdoivenlêtre solides.On 1es assemble parclouage eton
I esrenforceavecdesétai setdesserre-j oi nts(I ebét onestI ourdetpeutfacilementpllerune planche trop mince).Les clousdu coprage sontenfoncéssimplementijdemlafindefacillterledéclouage.Vériflezque lesangles du coffrage sonlparfaitementà 1'équerre etque 1es planches sontrigou-
reusefnentj oi ntl vespourévi terl escouluresduproduitparl esIntersti ces. L'knstallationd'uncoffrageetson jmmobilisation durantletempsde prise etde séchage du bétc)q rendentnécessaire l'emploide chevilletles etde
serre-joi nt sJemaçon Cesi nstruments.entt èrementmétall i quesdol vent,pour
La maîtrtse du coffrage vous donnera Ia possibilité de réaliserde nombreux ouvrages dtfférents.La réalisation de daltes,de Ilnteaux.de piliers, de marches.etc.Implique erleffetIa constructionde coffrage.Le principe en estsimple puisqu'llne s'agltque d'exécuterun moule dans lequelle bizlon es1couté On démoute après séchage.Certainscoffragessontcependanttresdifficllesà réaliseretdemandentdetenircompte de Ia résistance des matériaux.
LES COFFRAGES tIexiste autantdecollragesqtle deformes particulièresauxotlvragesde maçorpnerle
tenir.étre planlés dansia maçonnerie à I'alde d'une massette. Enfln,I'emploid'une hulle de Jécoffrage estindispensable Erle doitêtre appllquéesurIesfacesIrltérieuresducoffrageen unfiim égaletcontinu.Elle autorise Iedémontage ducoffragequand le bélon sera sec
LE COULAGE Coul eztoutI e bétonenuneseul efol s ($1vautmi euxenavoi rpl usque pasassez).Frappezsurl espl anchesducoffrageàcoupsde massetteou de mailletpour(
coffrageelqu'ilnesubsistepasdepochesd' air.CoulezI ebétc;njusqu'àce que le coffrage soitplepn,puls égallsez avec une règle de maçon,en déplaçanlcette dernière surleschanls supérieurs du coflrage.
LE DE'COFFRAGE
Exemplede décoffrage d'un linteau deportedegarage
Le temps de séchage avant Ie décoffrage est généralementde 48 heures:ie béton estalors solidifié,méme s'ilq'estpas tout à fait sec.Sile soleilest violent, vousdevezprotégervos ou- A . vrages en béton d'une bâche v' % pour empêcher une évapol ' ' =* ' ' e* / mz '''ration raptde de l'eau de gâchage.ce quientraîneraitun éi7??, IL?kzï?zirL)''é7/)()J' (a -@iç/6)t2L?.r1' (32.y(1f/7!1n affaiblissement et des craQ' quèlements. vlker$zez-'.zco'sdtp'o. 'eo'.V'ep ' b/ zw-/sey'lcur .LiecolieîJ'es rl/Ji .1)cl/' 7é?E).
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LE BéTON ARMé Le béton est très résis' .' <. ' tant.à telpotntquilrempla. ce souventIa plerre.Mais il a Parfois besoln d'ètre ren''. forcé. surtout s'Il dcllt être -'' ' soumls à des efforts lmpor. ' '. . . tants.Onutillse pourceiades j fers darmatur,e spéciaax. .. ç - ': ' * Les fers d armature sont * enrobés pour rester lnsensibtes à la roulile.ce quIaurattpourconséquence Iaformation de tachesà Ia surface dubèton etdes risques d'éclatement.
Lesfers,ii ssesoutréfll és(de3 a40mm dediamètre).sontt ordussel onlaformedeI' ouvrageetIi ésentreeuxpafdesfil sdeterspéci aux(Ii gatures).II sdol venti ' itredisposésà3cm aumoi nsdel asurfacefini eetsont mai ntenusdi stantsdufondducoffrageavecdescal esdeboi s(quisontenlevéesaumomentducoul age)oudesbondinsdebéton. Pour étre totalemer)t efficaces. ces fers doiventêtre formés selon Ia pièce ttmourer.On doitemployerpourcela une griffe à plier,etquelques
SC ELLEM ENTS AU M O RTIER Pourdes petitstravaux.vousvousservirez de cimentPrompt.11permet
de réparerunedall e,de colmaterune voied' eau,de réparerI ajoncti on entre deuxcanalisations,de fixerune pattede suspension,etc..Saupoudré surIe modier.ilpermetaussid'en accélérerla prkse.11esttrès utile aussi pourpositionnerdes poteaux dans teurs trous de scellementavantrempiissage de cesderniers au béton. Nettoyezetmoulllez Ie supportavantla mise en ceuvre de ce mortierde
scell emeqtdontI apriseestextrêmementrapi de(entre2et4mi nutesentre IedébutetIati odeIaprl se),Or1peutI' util iserenpâtepure(3vol umespour unvolumed' eau),enmorti er(2volumesdeci ment.undesabl e.3/4dev0Iumed'eau).c)uerlbéton(4volumesdeciment.3degraviers.2desable et1volume 1/4d' eau).
LES SOLS EN BETON
goujonsreti ennentl ef erpendantsonpli age.PourunIinteauouunpili er parexemple,quatre fers sontréunis pardesfers pliésen carrés pourformerune sorte de pafrallélépipède en volume.Pourune dalle,on se contente de fabrsquerune sode de grille à I'aide de ferscroisés etréunis par desIlgatures
11suffitle plus souventde rénoverou d'adapterle plancherexistantau revêtementqu'llestappelé à recevoir.C'estalnsique I'on doitparexemple modifierla surfaced'un planchersiI'on veuttransformerIapkèce encuisine ouensallede bainscomme ilarrive fréquemmentlorsde Ia rénovationdes anciennes demeures. Pourtant,i!estparfois tndispensable de cféerun nouveau plancheren béton.Dansce cas,i!fauts'assureraupréalable que Ies structures porteusesde la malson peuventsupporlerIe supplémentde charge.Le béton employé dans la fabrication de Ia dalle représente en effetun poidsimporlant.Paraiileurs.le nouveau plancherprenantappuisur les murs.ilfautausslvérifierla solddlté de cesderniers.
LES ZONES SUR LESQUELLES PORTER SON EXAMEN -
La naturedes murs,quidoiventêtre capablesde suppoderlacharge
suppl émentai re,d' autantqu'àI adall edebétonpeutveni rs' ajout eruncarrelage :tous Ies matériaux ne présententpas la mème résistance. L'étatdes murs,dontla maçonnerie a pu ètre fragilisée avec Ie temps.parexemple parI'humldité quipeutêtre à l'origlne de fissures. Généralemen!peu Importantes,ces dernières risquentde s'aggraversli'ori-
gi nedumaIn' estpastrai tée(i nfil trati ons,mauvai sdrai nageen sous-sol, etc,). Prenez conseslauprès de spécialistes pourdécelerles causes de tels problèmes etfaites-les éventueslementinlervenirpourles résoudre.avant
decommencervostravaux.11k' autmi euxperdreunpeudetemps(etd' argent)au pointdedépar'tmalstravailterensuite dansde bonoesconditions.
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DIFFE'RENTS TYPES DE SOLS EN BEATON Unedalle enbétondoitformerunsoIdebonne qualité surtoutsielle doit servjfde supportà dtlcarre/age ou du dallage en pierre.Son exécutjon exige beaucoup de soin,mass lesconditionsde sa réalisation sontégalementtrèsimportantes,etsontdifférentesselon qu'ils'agitde coulerla dalle suruntefre-plein,survide sanitaire ou en étage.
DALLE SUR TERRE-PLEIN 1estpossi bl e deréal iserunedall e surterre-pl ein (surunsoIenterre
battue.comme Iorsqu'on entreprend la rénovationd'une maison à Ia cam-
pagne,oudansI ejardin,quandonpasseà I aconstructi ond' uneterrasse oud' uneall ée),à condi ti onqueI a natureduterrainIepermete ouqu' ell e
soitcorrigée quand une telle intervention reste réaliste.Les matériaux de maçonnerie étantporeux,iIs ne peuventconstituerune barrière salisfaisanteà I'humidlté.lls Ieurfautdes auxiliaires,
établi run solsurun terre-pl ein n'estpossi bleque siI e terrai n estde bonnequalité etbiendrainé,Sinon,1es remontéescapillaires risquent,à Ia longue,dedétériorervotre ouvrage sivous n'avezpas pris la précautionde remédierau mieux à ce handicap.
Pourévitertoutrisque,ilestnécessairederéaliserunhérisson(couche decaill asses)de20cm d'épai sseur,dansl equelserontéventuelementincorporéesIescanallsationsde plomberie siIe solestà l'intérieur. Pourcombattre Ies remontées d'humidité on peut avoir recours,en complément,à une feuille de polyéthylène étalée surtoute Ia surface du soi,avantde coulerIa dalle.Pourque ce système soitparfattementOpérant,faites remonter Ie polyéthylène de quelques centlmètres contre Ies
murs(voi rpage25),
R emarque Contre Ies rem ontéescapillaires 11existe des produits quiconstituentde véritab/es tarrières corlrre /es remontées capj//akes,appe/ées aussiht/frl/d/ré ascensbrpae//es. Ces pro(jud.ssontinjectésdansle murJar)slequelIIs se poIymérisent. // se forme ainsi (/r?e résine (?tp'repotksse /'eat?.
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DALLE SUR VIDE SANITAIRE Une daile survide sanitaire présente de nombreuxavantages :elle repose surIesmursde fondationsavec Iesquelselle présente une bonne Iiaison telle ne souffre pas d'uncontactdirectavec la terre.ce quicontribue àIa préserverdesremontéesd'humidité ' ,entin,ellegarde Iescanalisatioqs d'évacuation visitables,cequipeuts'avérertrès utile. La dalle repose icisur les mêmes fondations que tes murs porteurs. C'estune solution quiestplus difficile à mettre en œuvre,carelie rend ie
coftrageetIeferrailagedeI adall eindispensables(contrai rementàl 'exempI eprécédent).Mai sl àn'estpasl apri ncipal edi ffi cui té. Uqe dalle de bélon armé d'1 mssUr 15 cm d'épaisseurrepréselnte un poids de près de 400 kg,sans compterla charge que Ia dalle sera elle-
mêmeappel éeàsupporter(revêtement).Pourquecele-cinesubl ssepas de déformations,un certain nombre de règles sontà respecter.Voicites principales : I'épaisseurde la dalle doitétre proportionnelle à sa porlée,celie-ci se mesurantdepuis la face intérieure d'un mut'd'appuià Ia face correspondantede I'autre mur.Parexemple.pourune portéede3 m,Ia dalle aura 12cm d'épaisseurmaximum ' ,pour4 m.14 cm,etc.11estévidentquel'avis d'un professionnejestindispensable. Ia dalle doitêtre ancréedans les murs,à des pfofondeurs val'iables selonlanaturede lamaçonnerie.Cescaiculsse compliquentdèsqu'ils'agit
d' impl anterune cheminée(etuncondui tdefuméecorrespondant)quireprésentera une charge ponctueile supplémentaire. Cespointséclaircis,Ia mise enœ uvresera plussimple,mémesiellefait intervenirla construction d'un coffrage complexe.
PLANCHER EN B/TON SUR POUTRELLES 11présente principalementI'intérétde dispenserdes longs travaux préparatoires de coffrage. Les poutrelles sont iciI'élémentporteur intermédiaire du plancher.Cespoutrelles,entreillismétalliqtles,erlbétonarmé ou en béton précontrainterlforme de T,Ou encore en terre cuite,comportent un canalcentraloù du béton a été coulé. D'autres produits isolants que votls trouverez dans tous Ies commerces spécialisés,vousaideroqtà réaliserunouvrage de qualité et bien protégé de I'humidité : parexemple,despanneauxisolantsen polystyrène,que i'onpose,dans Ie cas d'une dalle sans vide sanitaire,sur Ie hérisson. par-dessus Ie film de polyéthylène. Pour faciliterla pose,on peutalors égaliserIa surface du hérissonavecdusable,
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LE HE'RISSON 11 constitue une couche
Une dalle en béton peutêtre coulée à I'intérieurcomme à i'extérieurde lamaison dans Ies conditions iqdiquées plushautetune foisles préparatifsterminés. SiIa dal'e doitétre coulée à I'intérieur,commencez pardéterminerquelquesrepèressurIes mursde Ia pièce.Le sOlétantpourI'instantinégalet provisoire,servez-vousd'un niveau à fioles pourprendre ces repères,qui doiventôtre situés à 1 m du solfini,Dans voscalculs.tenez compte dufait qtl'ilfaudra inslallerun hérisson sivous intervenez surun soIenterre bat-
tue' ,ajoutezàcel aI' épai sseurdel adall e(souvent8cm)etceledelachapeenci menl(2cm)qu'ilfaudracouierpar-dessus. Tracez ensui tesurIesmurs(aucordeauàpoudre)Iaii gnereli antI esfepèrespfisà 1 m du sO1fini. Cespréparatifs vontvouspermettre.dansun premiertemps,de creuser
Iesolafi ndedisposerlacouchedegravi ersOudetout-venant(grossegra. nulométri e)quivontformerI ehéri sson.Sivousdevezi ncorporerI esfl ui des (canali sati ens).prévoyezleurempl acementmaintenant.
drainante (prévenant1 esfemontées capi ll aires) et un supportenmêmetemps.Sile plancherne doitpassuppor1erde charges trop lourdes, vouspourrezremplacerlehérissonparune couche desabIe etde graviers,bienratis-
séeetbiendamée(tassée). Remplissezblen I'excavationdepierres,degraviersou de tout-venantetde sablesur environ 10 cm.Comblez Ies vides et tassez fortement
pourqueI'ensemblesoitbien ferme ethomogène.
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LE COFFRAGE
PRE'PARATION DU BE'TON
11estindispensable siIa dalle doitreposer sur deux
L'empioid'une bétonnière estindispensable vu Ia quantité de béton nécessaire.Faitesvos calcuisàpartirdel'épaisseurde Ia dallevoulueetvous vousen rendrez vite compte !Cecalculvouspermettradedéduirelesquantités de ciment.de sable etde graviers nécessaires.Prévoyez 0,50 m3de
appui sI atéraux (au-dessus d'unvi desanitai re)ousiell e
est située à I'extérieur. L.e coffrage soutlentetcontient le béton pendant tout Ie temps de séchage. 11 doit être solide touten ne compodant qtl'un minimum de
j oi nts ' ,stable.étanche.résistantà I'humidlté contenue dans le béton. 11doit aussi correspondre exactement auxdimensionsde Iadalle à couler.
Utilisez des feuilies de contreplaquéspécial(quallté
marlne ou CTB-X).Mi eux vautse servirdegrandesplaquesdebois poséessurdes traverses plutôtque d'avoir
pl usi eurs joncti ons qu$demanderaierlt beaucoup de
tempsdepréparatl on(cl ouage) et quipourraient pré-
senterdesdéfautsdeliaison. d'où une mauvaise étanchéité.
sable.0, 75msdegravieret300à350 kgdeciment(cimentPodi andartlfi ciel )parmètrecubedebéton.
FERRAILLAGE DU BéTON 11n' estpas toujours nécessairedecoffrerune dalle. Lesfers renforcentIa rigidité du béton etsont,pourcette raison, surtout utiles si ia dalle estsuspendue au-dessusd'un vide sanitaire ou située erlétage,ou encore si elje doltsubirdes efforls importants.Dans ce cas,elle estcoffrée etferraillée.Une
alée de jardinen béton de 50 cm de large doitêtre coffrée maisn'apasbesoind'être
ferrai ll ée.h l' i nverse,pourun
chemin de roulement,prévoyez une dalle armée de 10cm d'épaisseur.Une telle épaisseur.renforcée de I'armature, résislera au poids d'une voiture. L'armature estconstituée de fers disposés perpendiculairemerltIes uns parrapportaux autres etligaturés
ensemble (l es I igaturesdoi ventêtre tourrlées vers l'inRemarquem Un tlor? ylayage do/r
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COULAGE DE LA DALLE
cez I'armature sur Ie film, Lesfersdoiventêtre en effet
bien enrobés dans ie béton
(à3cm deI a surf acefini e). Pour cela, placez par enlroitsquelques petitescales poursuréseverI'armature.Par ailleurs,silada6leestcoprée.
nemettezjamai sl' armature
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en contactavec Ie coffrage. Là aussi, piacez quelques cales pourles désolidariser. Cescales.impossibles à retirefaprèsle coulage du béton,serontquelques petites pierres de calibre adapté ou des boudins de mortier ra-
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Comblez Ies vides ainsi créés en vous déppaçant;à reculons dans I'espace 1ibére (-1' Sivous avez prevtl une chapede tpnktltln,llssez sommalrernelltàiataloclle 'darqs ce cas.ha chape de ciment viendra.ernfinltlon rattraper les petites Inégalttes.
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DE'COFFRAGE
lIéoère per?le etprévoi r1 i'' écoulenî e:ït des eaux. k t ! l sev, ra cf e I' or-1 qce d;elr cefepgen zte .aot vm. 1 u j
Le décoffrage Intervientlorsque ie bijton ...-- -..----asuffisammentdurciLe tempsdeséchage peutvarserselon Iescondltions atmosphérlqtles.Stla température n'est pas desceqdue au-dessous de 8 =C.vous pourrez décoflrerla dalle 8 Jours après Ie couiage.Ces délais peuventêtre rédults s'ilfaitchaud.S1le temps estsec ()u s'$Ifaitdu vent. protégez la dalle en Ia recouvrantcarl'eau contenue dans Ie béton s'évaporeraittrop rapidement.ce qulpeutnuire à Ia qualité de Ia conslructior!.
Undécoffragetroprapl de provoquedesépaufrures(peti tescavl tes)et Ia formatlon de petltes fissures en surface :un décoffrage trop tardlfest piusdifficile.
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Note S1 . le bétfnl'îesl c(()(J((' Ja. r's tlf? coth'c ygle. 'i dr-l// èt/' e k' //a/'t:? a/i' n de lljer? renîolz'!()t//PJ' espace,sans zdi?.e!d'ètle ?.?/eJ'?L)L ï)133-
pact. Cela s'oblreflf er' (rafïpant d 'cnr/erp?e/-?r f 'i?s z'obtés c/'tlcofl'age avect/?? fnalllet.
Une chape de cimenta pourfonction de rattraper Ies inégalilés de Ia dalle.Cette dernlère.quoique de nlveau etplane.n'a etè que sommairementIissèe.La chape estdonc,en queique sorte.la couche tinare de la dalle.Une chape estfaite de modierquise prépare avec du cimentetdu sable.Dans le cas de rénovatlood'une dalle ancienne.c)n peutaussiutili-
serdesproduitsautellssants(dltsaussider'ragreageh>)facilestlpreparer (mél angeavecdeI' eauetmalaxage)etàapplquer(vol rpl usl oln) Une chape estla semelle surlaquelle le revêtementdescljestposé.Elle dottprésenterune epaisseurde 2 cm Pour Ia realiser.prchcédez de ia même façon que pourIa dalle.Mettez en place des Iattes guldes ou deS cales deniveau.Basez-voussurlesrepères de niveautracésau débutdes travaux(voirplushaut)ettouloursenplace. Déversez ie mortier.tirez-le aIa règle de maçon,etIissez-te.Laissez sé-
cherhui tj ours.TenezI apièceaérée etarrosezI eso1detempsentemps
s'ilfaitchaud .'une évaporatlon trop rapsde peuten effetentraînerla formatton de flssures dues atIcraquèlement.
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k ...... Pottezuncasc/t kee!desahat /ssuresrep ?) iforcées (p/voosp/o/tityero/r!desc/pt/les depltsj ires etautres maténàt/x, Parmesure c/e pruden- . . ' ice,conservezcebétzt// l pernen!dt/r arltlesér apes t
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LES M U !qS EN PAR PA lN GS Lesparpai qlgssontlargementutil i sés(parf oisabusivement1 )pourIes murets extérieurs gros œ uvre.comme pourde nombreuses séparatlons intérieures.11estvraique ces èiémentssontmosns chers que les brsques. qu'iissontlégers etdonc faciles ttmanipuler.etque leurs dimensionspermettentde travalllerrapldemellt Les principesgénéraux de mlse en œ uvre sontIes mèmes que pourIes
bri ques.Lesparpaingssonttoujoursmontésàjointsrompus(oucroi sés)et au mortler.
y j-v Jya us
Les chants des éléments sontprofilés ce quipermet d'obtenirfacilementd'exceiientes liaisons entre Iesrangées.11estindlspensable de contrôserI'horizontalité etta vedicalité pour chaque é1émentmis en place.Lacoupe des parpaings se fait à Ia m assette etau clseau.ou au martelet.
IMPLANTATION D'UNE CLOISON INT/RIEURE MARCHE hSUIVRE
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Rem arque -- .-if'rrac.at' / ?e de niveakiréftke/nce 7 r'? c?'es/ pas 'mpérattf. rpa/' . s //peutpar la S'uite rnrésterl/e?-u'r7grand J 'rnltkéfsivous Jysjr'ez poserLirle c/lc apf je jil/l/()r1 Jyrl carrelaoe'etc. -x- *..''. -'
Note Le caleplnage .'c'est l'actlon de relevez ca/cu/ec reporter et lracer /es mesures Ja/ls /e dorfmine de pa construct'on.
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Dispositiondesmatériaux
LES JOINTS Pour les joints,on Iaisse un intervatle de 1 à 2 cm entre Ies briques 1 cm sur des murs en briques apparentes.non destinés tl être enduits ,1.5 cm pour1es briques ordinaires :2 cm pour les murs en parpaings,qui sera endult.
F7:)tjrë't.(;rrpi?nti,rr'is()lé,t.:;n (supprlmerIespontstherml-
ques),certasnstabri cantsont prévu Ie positionnement,entre deux rangées de brsques.d'une bande de
n
Iat nederoche.Dansce cas.l ejoi ntseferadepadetd'autredeI a bande isolante.
POURAVOIR DESJOINTS R/GULIERS S' ildoi ventresterapparents,lesjoint sdoi ventétfe régul ierspourprézncfzk' c/à
senterun beIaspect.Le mieux estd'utiliserdes petltes baguettes de sectioncarrée que l'0n place surle bord de Ia rangéeque l'onvientde metlre
enplace(unedechaquecôté).ParI asui te,onpeutainsirempl irau morti erl' intervall e entreI esbaguetles.OtezcesbaguetesdèsqueIemot li er commence à prendre.soltenviron45 minutesaprèsIa pose.On peutégalementutiliserdes petites calesde 1cm de hauteurque I'on meten place
pourchaque brique.Les professi onnelstravai ll entévi demmentau juger parce que I'utilisation des baguettes faitperdre du temps.Elle donne ce-
pendantI ' avantaged' obtenlrdesjointsparfai tementréguli ers.
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LA FINITION DES JOINTS
Lorsque I e murestentièrementmonté.I esjointssonten creux(vide %* t'. y x
ùformeriejoi nt.Lesjoint speuventètrecircul airesencreux.erlsi ffl et(en bi aish.enrefend(droits),oumoul urésselondiff érentsprofil s.I$ snedoi veqt jamaisfairesail ii e.Pourfairelejoint.commencezparbl ' osseri efondavec
- ç..-.. .,t. 5 IR:R> .-.s 1' '
i> x
..
une brosse dure puis ttIe mouiller,Déposez ensuite un cordon de morlier
.
;x'sx <
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>
ciseau de briqueteur. d'un boncoup de massette. Un disque à tronçonner estlrès appréciable pouria coupe desmatériauxcreux son emplosest. 'krecommanderàceuxquin'auralentpas encore l'expérience du mar-
)
#
. (.
.
1. 4#-w , ..
'
qtl'else contrfbue à renforcerle mur.
Fai testombertevi euxmortierdesj oi ntsavecunburin(e1unemassett e)
telet.
suruneprofondeurde 1à 2 cm environ.Brossezenstlite pourfaire tomber touteslespoussièresetarrosez Ie murcopieusementpourque la maçon-
neri esèchen' absorbe pas l 'eau degâchagedu nouveaumodierdejointoi ement.Bourfezenstl i te1esjoi ntsdtlnouveaumorti er,enlebz ezl' excédent etformeziesjointscommeindiqué précédemment.
*r '.
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*
-
xx
*
1.t. w xaU --.-. ,-.A-.. ,..t,. 4w'I : cvzt-, ... :7 ..' .Jw o, . c. z o Latechnique estla même que pous'un mUrdebriquespielnes.Letravail estcependantplusfacite etvaplusvite puisqueIeséiémentssontplusgfos. Lesconstructionsdebriquescreusessontdestinèesà êtreenduites 7onpeut donc adopterune épaisseur
Remarque
L.,appareiliage se faità Ia nrecquetiointsrompus).puisque - les br - iques cr 'euses se
pari/ ssestparfasstk rI esparemerllsJes mtkrsenbr/ ty/ es,pi erres.tl él tlnetmêrre pl ât re.1s' ag/!Jese/ stCorl tenusJé7/lsI e
posentloujoursen l ongueur (en panneresse), jamai s eq i argeur(enboutisse). Vu la
modlèr()t#remontentilr?sulface pors d(? séc/?ap' e .'ils st w?t vèhiculés pa/'/'eatp qua?lLlce//e-o s'#raptnre.Pourles erp/eveç ()5 peutesséi-ker Ie /ahzape à I'eau claire (7(7//es (Xssot/r.S?Ies eff/orescencespersistent,tkll/sezde I'eau ac/d/rrllpée d'ac/de chlorhyt ïlriqLle , f)5 t?tlIO %.1
hp t : lsuit e(/ecetrai tement,r/ncezabon-I
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2. x.
+..
de2cm pourI esj oi nts.
Pour /? combattrelesefflorescences s' ap/'!JeslracesIllartchâtres (?Lpap-
largeurdesbriques. on pose undouble cordon de modier onctueuxdechaquecôtéde ta rangée Snfél.ieure. et 0r1 place Ies briques dessus en Ies calantà petits coups du manche de 1a trueite
pour1 es cl oison.s inté-
Jarnrpepf(' )I'eaL)c/ahe.//fautkfkz/lerzwe C j rieures. les briques creuses . 1'eat/J?c/c/t/iiene ptln#lr' e trop or ' tl/tlndë- sontmontées soitau plâtre, mentJar?spamaçonnerie. soitau mortier.
/< +
Ies deux morceatlx avec le
Wsà. t.< %' .ax. ' -> >- -> . T.;>.. - > .
Les travaux de rénovation entra?nentinévitablemenl Ia réfection des
joi nts.Uneopérati oq quia toutà Iafoistln butesthéti queetutil e pui s-
>.
Y
-
LARINOVATION DES JOINTS
X
'---.
Colnlmencezparmarquer Ie traltde ia coupe à lacraie etcreuseztlneentaille sur@es quatre taces kttpetits coups de la panne du marteletde briqueleur.Séparez ensuite
*
mentfe plusvite possible ' .ellesserontplus factlesttélimjner.
ol .v. <. x.. '.
'
I
POUR COUPER UNE BRIQUE
laisséentre 1esbaguettes).Potlrobtenirun effetdécoratif.on doitdonc exécuterunjoint oi ementdefi ni ti onconsi stantà.placerunpeudemorlieret
findansI ecreux.eldonnez-luisaformeenli ssantavecunferàtj oi nt.Pour cert ainsmursdécorati fs,onutili seunmcl rti erblanctoucol orédedi verses nt lances).Nettoyez Ieparementdesbri quesdetoutes1 esbavuresdeci-
h..
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4
LEDEGRV DESTABILITVAUFEU (S F) C'estIe temps pendantIequelun élémentpodeurassure sa fonction
(sarési stancemécani quesousunecharge).
LEDEGRVPARE-FLAMME(P.F.) C'estletempspendantIequelunélémentdeconstructioneststable au feu,étanche aux flam mes,aux gaz chauds ou inflam mables.
LEDEGR:COUPE-FEU (C F.) C'estle tem ps pendantIequelun élémentde construction eststable aufeu,pare-flamme eloù l'élévationde température.côté non exposé au feu,ne dépasse pas 140 QC en moyenne ou 180 OC en un point.
De parl es quali téspropres àsonconstituantpri nci pal(1e plâtre)1 sonmodedefabricati onindustriel(stabil itésdimenti onnelles,équerrage,emboîtementsextrêmementpréci s)sastructuremicroporeuse, samiseen œuvre aisée etI'obtention d'une surface de paroipropre et
l isse(prêteàêtredécorée),l ecarreaudeplâtreoffredesqual itéstrès importantes de sécurité etde confortdans Ie domaine du bâtiment, que Ia construction soitneuve,en réhabilitation ou en rénovation. Ses principales qualités sont: la protection contre l'incendie, I'isolation phonique, I'isolation tberm ique, Ia régulation hygrométrique, - l a facilité etIa rapidité de mise en œ uvre, l'aspectdes surfaces.
Lesfabricantsde carreauxde plâtfe I'appellentqqaffaiblissementacoustique ''.C'estun indice quicorrespond à une mesure effectuée en Iaboratoire etquiexprime I'isolementcorrespondantt!un seulélémentde Ia construction.La valeurde cetindice estgénéralementexprimée en
dB (A)r.
C'estla forte densité naturelle du cafreatlqtliIuiconfère une bonne isolation sonore.
A ti tre d' exemple,un cl oisonnementdoubl e prenanter lsandwi chune laineminéraleentraînera,outreUrlebonneisolationthermique,I'obtention d'une isolation phonique confodable voire exigente. * CSB = Décibel.c'esti'unrté de mesuredubrult
JB (A)= DécibelA estunemesure physFoioglquequëpermetdequantlflerunn1veau de brudteiquttiestperçu parI'orelise LedB #A)exptime parune vafeurun niveauJebruitoudIsolemeqt
Lecarreau de pftitre estincom bustible etoffre une grande résistance auxflammes.Les molécules d'eau qtl'ilcontlents'oppose à I'élévation et à Ia propagation de la chaleur.Cette spécificité Iuiconfère des performancesexceptionnelles telle sa réaction au feu.ilestclassé M0 incombustible.
LE COEFFICIENT DE CONDUCTIVIT; THERMIQUE
LA RE'SISTANCE AU FEU
deconducti vitéthermique.11s'exprimeparl alettrelv(Lambda).
Letempspendantiequellesélémentsdeconstructionconserventleurs caractéristiques mécaniques etd'isolation détermine la résistance au feud'un matériau.
C'estIa m icroporosité naturelle due au gàchage etau séchagedu carreau Iorsde safabrication quiconfèreà ce matériau sonfaible coefficient h en W/m O(3 Plus Lam bda estpetit,plus Ie matériau estisolant.
LA RéSISTANCETHERMIQUE C'estIa capacité de résistanced'un matériau au passage du froid ou de la chaleur.Elle s'exprlme parla iettre R. IR = valeurrésistance thermique en m?ocMl Plus R estgrand,plus Ie m atériau estisolant. Nofe I-ln carreau de plntre Je 1O cm d'tipa/sset//'correspond e5 isolation
f /lerm/ kgi). : )(1nmurerpbét ol )de50cm.
Gràce à Ia porosité du plàtre.ie carreau estun très bon régulateur d'hygrom étrie.11esten effetcapable d'absorberl'excès d'humidité ambiante maisausside la restituerlorsque S'airambiantesttrop sec.
De couleurblanche,iiexiste en 6 épaisseurs différentes permettant Ia réalisatlon de ( contre-cloisons de doublage, cloisonsde distribution Lafabrpcation industrielle descarreauxde plâtre Ieurconfère un équerrage padait,urlegrande stabilité dimensionnelle,desem boîtementsà rainuresetIanguettestrèsprécis,permettantune mise en œuvre simple, rapide.avec urloutillage réduitau minimum
.
.
C'estgrâce aux qualités énumérées au paragraphe précédentetavec un peude soin lorsde la pose.que I'onpeutréaliserdes cloisonsou des parois padaitementrectilignes etverticales.
En outre.I esfaces des carreaux étant(parfabri cation)parfaitement lisses,( )narri ve.en soignantlejointoyage,àobteni rdessur facespar-
faitementplanes etIisses pouvantrecevoiraprès un tem ps de séchage trèscourt(24tt48 hetlres')toutes formesde revétementmtlrai:carrelage, papierpelnt.peinture.etc
.
En épaisseur40 mm :ilsera réservé,associé ttun isolant, au montage d'une contre-cloison de doublage. En épaisseur50 et60 mm ilsera utilisé encontre-cloison de doublage eten cioison de distrtbution. En épaisseur 70, 80 et 100 mm :ilsefa utillsé encloisoo de distribution eten cloison séparative. Pour la cloison séparative,i!faudraitprivilégierle 100 mm.
g c l a o i n s e t s c é h p n a i q r u t e v s . ,D
TABLEAUX DES DIM ENSIONS OU SURFACES LIM ITES ENTRE POTEAUX,PAROIS PERPENDICULAIRES,
PRINCIPALES CARACT/RISTI Q UES DU CARREAU STANDARD
RETOURDECLOISON OU éLéMENTS RAIDISSEURS lpaisseurdu carreauenmm
Di mensl on encm
40
50
Poi dsmoyenenkg at ,m..
!
60 j 70 i 80 t ;
100
DIMENSIONNEM ENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUX STANDARD
66x50I66x50i :66x50j 1 I50x60ë j 50x50 !66x50; .50 x60!66x50j i 166x38 1.. -.. -) -, . --.-9 . i
-
po i dsmoyenenkg d'uncarreau
1
i ;
.
I i
;
. a4 j -
j
ë 23 j i 21 j
1 l ; ! r j t 40 j 50 60 $ y 70
j aj
enshore( E )
t-- l--2-6h 2 j ; y 80 : ! 100
egrécoupe-feu
j
(
Indiced'affaiblissementacoustique
CI B(A)
Rési stancethef.oc/w mi quemê
Repri seeneau e npoi dsaprès 2hd.i
mmersi on
l !
: 30 : : :31à33;
j ! 0,11 i 1 0,14 .
3h :
'
g .
3h
I
Hauteurtolérée maxlmum
enm Di
0, 29
ë
--
,
stamnceenho i zont al emaximu mr .
-
1
4
5
!
3
' 6 8
'
. i'
4
j 8 i
STANDARD
j 1 @ d j ' >50% j>50cl k1 >50% ; E>50% >50% I >50% 1 i j
2.60 :
TOLIRANCES DIMENSIONNELLES DESCLOI SONS EN CARREAUX 4h
38
j.....y...- ) l l q 20 r 0,23 I 0,17 j q 0,
! :
2.60
11esttoutefois possibie de dépasserces hauteurs ou distances horizontales sous réserve de respecter Ia surface entre éléments raidisseurs
épal sseurenmm
ë 34 . 2 j34à37'
40 '50et60 !70et80 1 100
'
1
' ' 1 1h ' 2 h 2h
Hauteurstandard en m Distance horizontale
entreraidisseursenm
t
Dur etésuperficiele 255 i 'z55 a55 z55 z55 jz55 Résistance aufeu d
éPaisseurenrnm
E
.. .
... . . .
40
50et60 70et80 . : 100 .
s;i ......... -.... éi k :
Surface maximum entre raidisseurs en m'.
:
Yg 2 3,90 5.20 (D ; . sm ps j g . ,g j gy 1 , (;gtl j % .j . g j 5, i , : t:j q '-' D u?
t... --........ j I ! 1
..
: .
11estpossible toutefois pourcertains types de carreaux,de dé-
passercestolérancesdimensionnell es( voirpages44 et56).
Ahentj of?I
--
. ---. -=
I-o/'sdeJkacolîs:ructond't/rpec/oison.?/fautrespecterdesJ/r7?e/?s/or?s i
//)7p'lesen hat/letpc en distal?ce kltlrr/2' (?rlra/i?ou en stp/-face.(;ult zanerllen 1 t
toil ct iondeI' tpaisseuretr l?lypeJecarreaux( ' Jl//sés.
1 1
Fot?lL' lépassementJes ppatylet-//'s ou distances /#'n//es,honkoIltales (')t./i e/Jsulface dekzr' a bmpèrativeînentlllégrer( sor?Jes rallhssekîrs.//1 ')/a c?' oF i
enexl ste3rkres(' volrct? ap/ rrepoteau. f/' a/ d/sseurs.paç?e4, 7.
i
Exemple .des carreaux standard cle 60 nlm permettentde réallser desclossonsJusqu'à 3.40 m de haut t' )L.:
desclolsonsde 5,75 m de Iong st
da sdlrface entre raidisseufsne depasse pas 13 m . Dansnotre exemple.siI'on a tlrle hauteurà clolsonnerde 340 rn.orl ne pourra dresserla cloison que surune Iongueurde 3.80 m sll'olqn'kntercale pasde raidissetlr.pourrespecter1es 13 m de surface nqaxirriLlr'n entre raldisseurs. 3.40 x X = 13
X = ..1 ..3 ....= 3.82 3.40
PRINCIPALESCARACT/RISTIQUES DU CARREAU HYDROFUGZ '
épaisseurducarreauenmm
De couleurbleu clair ilexiste en 4 épaisseurs différentes.Créé pour les pièceshumides privatives,ilesthydrofugé dans la masse,Sa prise erleau après 2 heuresd immersion estinférieure à 5 %. 11estpréconisé pourtoutes Ies cloisons de doublage etde distribution dans Ia salle de bainsetIa cuisine. 11estégalementrecclmmandé en cloisonnem entpourtous 1es locaux pouvantétre exposés à I'hum idité sans ruissellementde Iongue durée :cave.garage,sous-sol,etc. 1!peutêtre utilisé en habillage de baignoire.en supportd'évierou de Iavabo.en plan de travail.
50 1 60 1 i i
Poidsmoyenen kg au m? Duretésuperficielle . -
. -
.
nés d istanceaufeu
egrécoupe-feu
tion (rupture de cartallsa!or?. déljïorde:lîent d'tpr?
Indiced'affaiblissement
lavabo, fllite c/'tkr? /ak/ejtnge' /(?/ée d'urlchallffeeat/ '. elc.7,de poser des carreatyx /Jycfrtlftpgtjs pour ctqmst/lt/erIa prerp/ère ran-
Résistancethermique maocm
acousti quedB(A) Reprise en eau en poids ,
après2hdimmersion
(2de (rallnée tlasse)de la
1 34
h
d'uncarreau
.
100
j50x50 166x38 jsoxetl 1
i
Poidsmoyenenkg
enshoreC
,
1 I j66xso 66x50 !66x50 (66xso 1sos50
Di mensionencm
Remarque 11 est f()l-lelre/ll conse///ë,en prtéïze/-lf/t)s d'f-/r? iiye?ltuelr/st/t-/e d'/hor?t/a-
70
51
t y 25
7 : ; ; @ 60
25 31 102
72
L-
255 jj z55 rj z55 255 j j- j y..-. 2ln p ! 2h , 3h 1 4h 30
;
;
l
j
1 ë 33
1 j 34
1 1 38
i-
, - - - -- -
1-
--
( )j4 1 ()j7 l ()x (l ' i ' )I ' ,1i yzg ' .
yo i $ <5o yo 1 /o <5o,?t <5o 1 <5o ( t I
t()tLj1:!6i (/4?:1 (?l()ILîtlr?tr tirll (?b'' L;l/' /t;t?1/t)/'1,(T/é?S;ii/rhéi/'éttliïït) c't/Lle dclt/fn/ape avantou
apr#s pe cclt//atye Jeschapes.
*
TABLEAUX DES DIM ENSIONS OU SURFACES LIM ITES
ENTREéL/MENTSRAIDISSEURS DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUX
HYDROFUG/S
épaisseurenmm Hauteurstandardenm
iitancehori zontal e Note
Le collage d6). s carreaux tlydrclétkgés doitse fal/e ak'ec une C0//& splol a/ te pcltu'rcarreaux hydrofugés.
entrerai di sseursenm
50 i 60 l 70 1 , 100 j . --.-I k 2, 60 .;i 2, 60 1 3 , 4
q l q k j q 1 , a
= l = t %' 1 ,
K LCRANCES DIMENSI ONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUX HYDROFUGtS lpai sseurenmm s0 : 60 i 70 l 100 ; 1 i Hauteurtoléréemaximum
enm
Lpt!-- .. . -.
Distance horizontaie maxi-
I
rai di sseursenm2
I
3, 40 l 3,40 ! 3, 90 l 5,20 i .- . I ë ' :
mum en m - -
r:7 k--.--.- -Su/acemaximum entre
1
13
I
5'75 ,i 6, 90 - ---- 1 13 @ ! 18
'
PRINCIPALESCARACTéRISTIQUES DU CARREAU HAUTEMENT HYDROFUG/ épai sseurducarreauenmm Dimension en cm
!
2 ! :i 32
j
De couleurvert clair.il existeen2 épaisseurs. Cfèéspijcilsquementpour résisterà un usage intensifàI'eau.ilesthautem ent hydrofugé dans Ia masse. Sa reprise en eau. après 2 heures d'rmmersion, est Inférleureà 2,5*,0.
Poi ds moyen en kg d,un carreau
70
'
66 x50 50x 50 28 21
10û 66 x50 50 66 x50 x38
; ;
40
30 30
Poids moyen en kg au m2
84
120
Dureté superficielle en shore C
> 80
Résistance au feu degré coupe-feu
3h
'
> 80
I ndi ced' affaibl issementacousti queCIB (A)
35
' i
39
Résistance thermique m''OC/W
0.14
i
0.20
i --
4h
.
Reprise en eau en poids après2 h d'immersion
< 2,5 %
5% . < 2.
TABLEAUX DES DIM ENSIO NS OU SURFACES LIM ITES
ENTREéL/MENTS RAIDISSEURS
11est surtout prèconisé pourIes bâtiments collectifsetindustriels. 11estcapable de résister à une forte exposition tl I'humidité alnsi qu'à des ruissellements directs, mais sans pression. pou-
DIMENSIONNEMENTSTAjDARDDESCLOISONSENCARREAUX
vantatt etndrejusqu' à3heu-
TOL/RANCESDIMENSIONNELLES DESCLOISONS EN CARREAUX HAUTEMENTHYDROFUG/S
res parpérkode de 24 heures sous réserve qu'ilsoit revêtu de carrelage. Enoutre,sa haute densité$uiconfère(Jnefor'te résistanceaux chocs.
HAUTEMENT HYDROFUGES
épai sseurenmm
70
i
10n
' 2
Hauteurstandard en m
3
Distance horizontale entre raidisseurs en m
6
épai sseurenmm Note
Le coliage cfes carreaux hautement byc/roftppés doitse fo/r'e avec une co//e hydrofuge.spéalqt/e aux carreaux hat/tementhydraft/pés.
-''-- '
4 i
8
70
100
Hauteurtolérée maximum en m
3,90
5,20
Distance horizontale maximum en m
6 90 ,
k.--..1
Surïace maximum entre raidisseurs en m;'
18
i I j
' 1
920 .
32
TABLEAUXDESDIMqNSIONSOUSURFACESLIMITES ENTREELEMENTSRAIDISSEURS
11estcommerc/alàsé en2 versions différentes : de couleurblanchedans savel-sion standard. de couleurbleu clairdanssa version hydrofugée. 11existeen 3épaisseurs.quioffrentulngainde poids de20 à 30 % par rapped à un carreau de piàlre massif.11estallégé pardes évidements
bi encal cul éscapabl esdeconjuguerI égèreté etsolidité. parlouto61I' ondoi tévi terlasurchargedesstructures(aménagementde combl es.redi st rp buliondevol umesurdespl anchersancjens).
PRINCIPALES CARACTéRISTIQUES DU CARREAUALV/OLE Epaisseurdu
Carreaue1)mm
Dimensi on encm
. . .. ..-.--..-.---.-.-.--.-.. .. . -.---
Poi dsmoyenenkg
d,uncarreau Poids moyen en kg
aum? Durelé superficielle
enshoreC Résistanceaufeu
degrécoupe-feu
1
60 ë
è
j 70
mentacoustique
d:(A)
Ré si ta thermi qsu enmce 'O C/W Repri seeneau en poids après
213d'immersi on
100
y -..1.--; ---. ---.-.-- ---j .... . ----i -j. 8-( j ' 1 8 i . j 17 ë 13 j 17 ( 13 I 25 . 25
..-------.---
j
j
r
l
75
-
2255 t q z55 1 ' 255 . i
1h I 2h 3h j l . 32 ( ..
Indi ced.at faibl isse-
60 t . 70
j l 66xso7' E 66xsok 66x50i i ( 66 x s o 6 6 x 50 l 940x60( h40x60p66xso
r ' sl I 54
32 à34,
'
t
60
Hatlt etlrstacdardenm
2,60 ) 3 2 @ 4
enm
5
70 I 100
1 6
1 8 j
k
!
TOLCRANCESDIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUX ALV*OL*S épai sseurenmm 60 p 70 i 100 i ! Hauteurtoléréemaximum enm 3, 40 l 3, 90 i 5, 20
)
Distance horizontale maximum en m
5,75 i 1 6,90 i ! 9, 20
Surf acemaximum entreraidi sseurs
! 13 l 18 ) 32 r )
Versionhydrofugée =
100
épai sseurenmm
h .
'
Version standard
ALV/OLES
Distancehorizontal eentre rai disseurs
11estparticulièremerltadapté auxtravaux de réhabilitation ou de rénovation etdestlné auxcloisonsIégères de distribution oudedoublage
r
DIMENSI ONNEMENTSTANDARDDESCLOI SONSENCARREAUX
'
en m2
Dimensions etsurfaces limites sontIesmémes pourla verslon alvéolée que pourSa version standard.
i 51 1 54 75 j i i u55 ( 2:55 ' k55
1h 1 2h 3h q r j ! 32 ( 30 :32 à 34
0,20 k 0,23 I 32 0,20 4 23 j j0 (), j j 0, 32 i 0,23 I 0, ,z: l 1
! j > 50 % i> 50oo'> 50% < 5%
h j l t 1 1 o )< 5% I< 5 z' o
I I
1 I
Q
TABLEAUX DES DIM ENSIONS OU SURFACES LIM ITES
ENTREéLéMENTSRAIDISSEURS DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUX
HAUTE DENSIT/ Decouleurrose,i)exisle
épai sseurenmm .. .Hauteurstandardenm
en 2 épaisseurs.Son exceptionnelle dureté superficielle,sa résislance à Ia compressionetsatrèshaute densité le destinentplus particulièrementà la réalisatlondecloisonsde distribution.dedoublage etde séparation soumises à des passages fréquents :bâtiments collectifs,industriels, scolaires.ùospitaliers.
70.-.- ; 100 7 3 t 4 i
-- -.
Distancehorizontaleentreraidisseursenm
ipaî sseuren mm . -
. .
Hauteurtolérée maximum enm .. . .
.
Wsi
. .,
Surface maximum entre raidisseurs en m''
PRINCIPALESCARACTéRISTIQUES DU CARREAU HAUTEDENSIT;ouTR/SHAUTEDURETE
Di mensi onencm Poidsmoyen en kg d,un carreau
70
I lcc # .... ---.. -.-.. .-. i 66x50 66x50 l 66x38 j 28
i 1 .
4 30 0
poidsmovenenkgaum2 Duretésuperfi ci ell eenshoreC Résistanceaufeudegrécoupe-feu lndiced' aff aibl issementacousti quedB (A)
84 2:80
Rési stancethermi quem2OCIVI
0,14 1 0'20
Repriseeneauenpoidsaprès2h j'immersion
1 ;
8
TOLCRANCESDIMENSIONNELLES DESCLOISONS EN CARREAUX HAUTE DENSIT/
Distance horizontale maximum en m
lpai sseurducarreauenmm
6
3h
35
i 12o 1 . ! 2:80 l 4h t -. -.--.... ------.. -1 41 --..-- -...-----.---- -----
< 30%
1 1 < 30% I
Ils sont: de couleur violette pour les carreaux à âmes isolantes, de couleur beige pour Ies carreaux allégés dans Ia masse. 1Is sont disponibles en 4 épaisseurs :60.70,100 et 150 mm et sontcomposéssuivantiesfabricantsde 4 isolantsdipérents : Ie polystyrène extrudé Ie polystyrëne expansé, Ia Iaine de roche, Ies billesde polystyrène.
,
70
;
3,90
l 5,20
6,90
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32
DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUX
PRINCIPALESCARACT/RISTIQUES DESCARREAUX LéGEBSETISOLANTS
L/GERS ETISOLANTS
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l f Lescarreaux Ségersetisodants présententun gain de poidsde plus de 50 % parrapportà uncarreaustandard. Ils sontparticulièrementadaplés à Ia réalisation de doublage de murs
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ou réhabili tati on(cl oi sons i égèresséparativesen combl es,cl oi sonsisoj antesentrepièceshabitéesetpiècesnonchauffées,etc). Ces4 typesde carreaux offrentde bonnes qualitésthermiques.
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TOLéRANCES DIMENSIONNELLES DESCLOISONS EN CARREAUX L*GERS ET I SOLANTS . @ P :. z
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etdecloisonnements isolantslégers enconstruction neuve rénovation
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Silasudace (etdoncIadi stance hori zontat eou i a hauteurl imi te)est
supérieureauxdimensions autorisées,ilfaudra intégrerà Ia cloisondes raidisseurs. 11enexistetroistypes : Ies raidisseurs
,2
Lechapitreprécédentdonne(sousformedetabl eaux),pcl urchaquetype decarreaux,une hauteuretunedistance horizontaledecloisonnement standard etune tolérance limite. Note
11estrotlàeftl/à possible (:g Jépasser/es tolérances /l7?/res dimension-
nell esc/ar?s/ e casde c/ tl /scrsdegrandes hauteurs( parexenwl e cage J'esca//er),cesdîmenslonsseronrdonrtéeser?f/hdec/pap/t/ee.papes56e! 57), Lesdimensions lim ites d'une cloison varienten fonction : de I'épaisseurdu carreau etde son t'ype, de Ia hauteurde cloisonnement. de Ia distance horizontale de cloison. ou de Ia surface de cloison entre éléments d'appui . murpe fpendiculaire .fetourdecloison . pot eaux .ou éléments raidisseurs
(voirexempledecalcul,page37)
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en bois (1),
z.k
Ies raidisseurs
métalliques(2), les raidisseurs en carreaux de plâ-
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tre(3). k ' /t? yiptr r /e Lesdeuxpremiers COk seront d'une épaisseur correspondant a I'épaisseurdu carreaude plâtre utilisé. iIs seronl implantés
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(surl etraçageausol) avantmonlage de la cloison et fixés en partiebasse à Ia dalIe eten partie haute au pjafond par des
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équerresmétalliques .
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CAS PARTICULIERS CAS DES CLOI SONS N'ALLANT PAS JUSOU' AU PLAFOND Un raidisseurhorizontalsera positionné surIe dessus de la cloison dans Ie cas où cette dernière seraitmontée : avec descarreauxd'Une épaisseurinférieure tt100 mm, etd'une longueursupérieure à 2 m.
CAS DES CLOI SONS DF GRANDE HAUTEUR Les hauteurs etsurfaces données ci-
1
aprèssofntvalablespourtous les types de carreaux de plâtre,à l'exception des carreaux légers isolants. Voirausslmise en œ uvre d'une cloison de grande hauleur,pages 199 et200.
1t
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Ce raidissetlr horizonta! sera constitué soit par un profilé métallique.soit par un tasseau en bois d'une épaisseurd'au moins 3 cm etd'une iargeuridentique à ''èpaisseurducarreaa.1)sera fixé en boutpar2 équerres au gros ceuvre.
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entre raidisseurs
Ce tasseauhorlzontalsera renforcé par 2 Iattes de 4,5 cm dehauteur,visséesIatéralementde paf'tetd'autre du tasseau de manière à constituerun U . Ce raidisseurhorizontalalnsiconstitu# sera fixé surIe hautde Ia cloison tous Ies mètresenviron parchevillesetvis.
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CAS DES CLOISONS EN SURPLOMB Ce sont!es clpisons quiviennenten bord de trémle' en bord de mezzanine.etc.
Ellescécessitenttln renfod plaqué surl'épaisseurde la dalle etdébordantsurle premierrang de carreaux. Cettesortedebutéepeuttrèsbienêtrecoqstftuéepartlrleplanchedont l'épalsseurserad'au moins 15 mm ,ets0n débord surIe carreau d'envlron 100 f'nm.Cette planche sera sofidarisée SufIe chantde la datfe etstlr!eS carreauxparchevillage etvissage.
CAS DES CLOISONS
EN éPI -- *#*
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Un raidisseurdottobligatoirement être fixé en boutde cloison en épi.
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.i' . .w,#.b omb I 1e doi venten auz a ;.. ,w ' tpl lt , l '-Yo ' .#*# re dressées . ' )cun cas êt ' eS carfeaux d'une ; #t ' . .. Iavec O' '
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l sseur inférieure â @épai t70 mm .
INSTRUM ENTS DE GUIDAGE VERTICAL ET D' A PPUI .
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-s m e d i p r ( ' 6 u o n a v C t h e r p c d ê s l 2 g o n é a ) f t è , u e i d m y r o l p n 3 s ) q é e a t ( c O I d u r è o g n i p f s v m e l a ' r u d f o i n t g é x e s , l a p c t o . i r d n e é f m s ( u g c p x q o t i r n v , e a é I ' m à u l g r b s t n a e o i p m d ( l c u g t r v a e i o . p s n l d b , é t z a o v 2 p n e g r i c 1 è s q 0 u l V ' à a t b e m n i o r 2 p , v c l s d 8 q g a 0 u e t n m é ) r l . x4cm parexemple)etparfai tementrectili gnes.
Dans ce cas,après 1es avoircoupés à une Iongueur correspondant, 'jla hauteursous platond moins 5 mm environ.vousassurerez leurblocage ausoietsousplafond parde petitescales biseautées.
OUTILLAGE ET USTENSILES DIVERS 11setrouveprati quementcheztous1esbonsbri coleurs.A défaut,1peut s'acquérirà peu de trais. 1règledemaçonenalumini um de 1,50à2m (quipermettradevérl fi erl 'aii gnementdesrangéesencoursde montage,etdetracer). 1cordeauàpoudre (pourl estraçagesaus0Ietaupl afclnd). -
1double m ètre, 1fiIà plom b.
-
INSTRUMENTS DE TRACAGE ET DE MESURE
-
-
- 1crayon. - 1 niveau à bulles.
Marteau de m açon,hachette de plâtrier,burin. Truelles,Iisseuse,spatule. - Scie à grosse denture.
Augeouseau.
- Quel quespeti tsserre-joi nts.
1
LA BANDE X JOINT (oU CALICOTIET BANDEh CUEILLIE LE U EN P.V.C. 11estcommercialisé en 40.50,60.70. 80 et100 mm d'épaisseuravec deux hau-
(Altenfiot;l-. SlIa cb/sorla une /c)/?gueur( ' / ponàrrll a/e)supér/èJ?'e iL b. 3,50 m,pe U er? Rttc.J?e pet-lt pas tll/'e utilisé.
.-
teurs d'aile.25 et85 mm. En privatif,dans Ies pièces hum ides, la pose d'un U en P.V.C.évite les remontées capillaires dans ia première rangée de carreauxde la cloison.11protège égalementd'éventuellesdégradations,Ie basde cloison. En domaine privatif pour Ies pièces
humides.Ia posed'un U en plastique n'est pas nécessaire dans le cas de l'utilisation de carreaux hydrofugés ou hautementhydrofugés.
. '
Enrouleauxde75 mm de Iargeur,iIs servirontà la finition des angles rentrants verticaux,età la finition des liaisonssous plafond.
CORNI/RES D' A NGLES SAILLANTS En métal galvanisé ou en aluminim de 25 mm x 25 mm x2,50 m,elles assureronten finition la protection des angles saillants. 11existe égalementde la bande arm ée en rouleau
(appel éeaussiFl exCorner), LA BANDE RE'SILIANTE EN LIE'GE Elle existe en 40,50,60.70.80 et100 mm de Jargeurpourune épaisseurde 10 mm. Cetle banderésiliante perm etd'absorberleséventuelles dilatations,
elleassure Iamèmefonction que précédemmenl.
LA PATTE X VISSER ET LA PATTE A' SCELLEM ENT
chocs,vibrations,légèresdéformations,etd'éviteralosi!esrisquesultérieursde fissurage,
La bande résiliante se colle en liaison entre (e
j--
*.
Ie plafond etle hautde Ia cloison, entre Ie dessus des huisseries de portes en bois etIeurs retombées verticales sur20 à 30 cm, sur toute la hauteur de part et d'autre des raidisseurs métalliques ou en bois
entre le murd'appui(grt?s œuvre ouport eur)etIacl oison surtoute I a hau-
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teurdans le cas d'une liaison avec une structure particulièrement déformable
(parexempl estructuremétali que)oudans
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Ie cas d'une cloison morltée sous une terrasse.
j.J$ '. :)ccj. tzéko.x io .,,, jn)uq.. erj ., v 2./Daïtes'asciz//e'r'reclJet 1 ./ 6T5()7
Elle sertà solidariser Ie dorm antdes huisseries en bois avec Ia cloison.3 ou 4 pattes à vis sontnécessaires parmontantvertical.Cette pièced'attache en Lest vissée d'un côté dansle dormant,etclouée de I'autre dans Ie carreau. Le positionnem entdes pattes se faità hauteurdes paumelles de la porte.Eiles
sontfi xéesauniveaudesjointsdescar-
reaux,progressivement,au fur età mesure de l'élévation de la cloison. La solidarisation des huisseries métalliquesavec Ia cloison estréaliséequant à elle avec des pattes àscellementcou-
iissantes(el lessontgénéral ementli vrées avecI' huisseri emétali que).Voi rpage52.
lianteetIe hautde Ia cloison seracomblé parunmélange constitué à 50 % de colle à carreau et50 % de plâtre.
LES LIAISONS AVEC LE SOL
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Sile solesttrop irréguIierou pashorizontalilfaudra réaliserun solinen bé,
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can!aIépai SSeUrdUCa. rreaU depl âtre util isé.
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Leso/pr?peo'tijjya/e/nerllélreconstituéparun assemblagedelasseats. rformantt?fJU.
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Enhabi tations pri vati ves,dans 1 es piëces dites humides(salede bai ns,cui si ne W.C.),i lestfoëementconseilléde réali serau moi ns I a première rangée de lacloisonen carreauxhydrofugés.Dansce casIes
carreauxsontdi rectementcol léssurI esol(avecl acol l espécial epourcarreauxhydrofugés),Voiraussiremarquepage38. Sivousdécidez d'utiliserIe carreau standard,ilsera dans ce cas posé dans un profilé P.V.C.en U à la condition que la longueurde la cloison n'excède pas 3,50 m.
LES LIAISONS AVEC LE PLAFOND
PLAFOND EN DALLEDEBéTONOUPOUTRELLES AVEC HOURDIS OU BRIQUES La Ilaisonpeutse faire de 2 manièresdifférentes : Parcollagesousplafond d'une banderési liantedeIi ège(del argeurégaleàI'épaisseurducarreauutilisé).L'intersticeentreIabanderési-
..îl e. : j tw%..è r.:.; 1. .;. ,. -.*s7.v..--..r ,x.*.,'... s.. .t. '.Yzu zvat--zr.tiz.
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Après durci ssement (15 à 30minutesenviron),I' excé-
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dentseragratté ttla Iisseuse ensuivantla face ducarreau
(voi rphotospage55). La finitionserare'alise'e par' !apose d'une bande a'cueillie.
tond'unejargeurcorrespon-
Si Ie sol est constitué par un plancher ancien,il faudra mettre en place une lisse en bois d'une largeur aumoins égale àI'épaisseur ducarreau utilisé.
.
e.
Parinjectiondemousse de poly1 uréthane entre Ie hautde Ia cloison etIe 1 uelqueso/ !/ emat é-' ( plafond.11n'est,dansce cas pasnéces1I.làu compcsanlJe plafond. 1 sai poserune bande résillante enllège. r 1 /espace entre f e pl afond 1 l rlelede , ' z égalementà ce que Ie hautde la !et/acl erni èrerangéede l Vei Icarceauxnedoi tpaspf? . e I cloisonetIe plafond soientdépoussiérés.
J enùon! t'At Qt ' -
à 3 heures aprèsI'expansionde Ia mousls gpéri eur. )2. )t?cmma-1I 2se. l'excédentsera coupé au cutterou à la ximum .
Note Pourune bonne tenue de Ia c/tnàon,/7es!lhîportant cgtpe /e collage de Ia tlarpde résiliante se fasse st/r un p/afcmd parfaitemer?t dépoussiéré. 11 en est Je même, lors du bourrage de I'interstlùe, que ce dernjer se fasse sur une rangée de carreavx fora/emer?lem mpte de '
spatule.Unjoi ntoyageseraréali séavecde l acoleàcarreauxouàjointsetIafiniti on parIa pose d'une bande à cueillie.
I DLAFONDEN PLAQUEDEPLATRE La pose d'une bande de Iiège n'est pas nécessaire, I'interstice sera comblé par bourrage d'un mélange 50 % colle, 50 % plâlre. La mousse polyuréthane est prohibée en raisondu risque de trancherdans les plaquesdeplâtre Iorsde Iacoupe de l'excédentde mousse expansée. La posed'unebande àcueillieterminera Ia finition.
Astuce
Pourfaclllterja m?àe ep p/aceduderrlferrang Je carreaux,a/r?-s/cy/e/e remplissagede I'intersticeentre lep/aécwdetle hautdescarreaux,on peut tallleren biseau Ie c/narlfde ces derniers. Remarque
Enrcmcl/cm de/a hauteurrestantenlrepeplafond et/' avant-jernièrerangéede carreaux,//esttot/àà faitposs/tl/e,6)1mêrneconseillé,depositionner?escarreauxk'ert/ca/e/perpl.
LES LIAISONS VERTICALES
UNMURENBRI QUES
LE!LI AISONSAVEC DESCLOI SONSENCARREAUXDE
OUENB/TON Sil emurestbrut,l e
PLATRE
carreau sera collé directe-
rz-#.
mentsurIa bri que ou l e
béton(dépoussi éré). Silemurestdéj à en-
Vd . i f P g e I E é a u n r v l i t p c e s o n u é f ' ( t l r 2 e d a ) : , g c q v o e r t u x n l i s d . ! o ' r e n a c t , é r h s a e l o v u i n t c r a e o s l d n é 1 v ( t e a 3 s u ) r . c m é : i e L t a n d p i è t r c e a n s t
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duit,ilfaudra Ie ''piqueter'h '.
(I e pi quetage permet une 'wA bonneaccrochedel ac0lel. . LES LI AI SONS AVEC UNE CLOISON EN
.
'z Z z' Jv '
Par pénétration à mi-carreau 'une rangée surdeux.le carreau traverse à mi-épaisseur Ia cloison. Toutes les surfaces en contactserontencellées. La paqie de lenon quis'encastre sera sciée etenlevée.
Réalisation de l'entaillage à mi-carreau : TracezaucrayonIasaignée surla hauteurducafreau,la Sargeurcorresp/fadra à l'épaisseurdu carreau,plus 0,5 cm (3). -- Tr acez Ca profondeurde la saignée à mi-épaisseurdu chantdu car-
reau(3).
-
Sci ez/ es t'cl rcisdelasai gnée surletracé (pl usi eurs sci agesj ntermédi ai resfacil iterontI edégagement)(4et5). Dégagez I'entaille au burin etau marteau (6).
-
PLAQUEDEPLATRE Lescarreauxserontcollés directem entsur Ia plaque sicette dernière estbrute. SiIa plaque de plâtre est enduite peinte,etc.,ilfaudra Ia gratter. Note Tous Ies angles rentrants serontg'arrpt s'.en //-
niti on,t j't mebarï deàjoi nt collée.
,
Rem arque Ltlrs do n'ltmfage de /a cloiso'î. vous couperezles carreaux de le//e marnèrtlQpeI'intervalleentreIemt/rd'appui etle car/'eatp soitd'7cm maxilnum,Ce tje/r/e/-sera iùourré.fl/a colle. & I'intervalleesrcomprlà erllre ?el 3 cm rpamhstyfr?,tlsera corrlblé ayec tm mèlangemoitiécolle,f'r/ctr/éplâtre. S?'I'intervalle est/rrlportanl,11rat/dra découper t/5 morceau de carreatz
l 1L ) l èn c/ épot/ssxri jà i ntercaleren prëvoyantun p ëty a'' environ 7cm rruz' /àr/fa'? .'rl pour?acole.
LES LIAISONS AVEC LES HUISSERIES Un soin padiculier sera requis pour Ia réalisation des Iiaisons avec les huisseries, qu'elles soientmétalliquesOu en bois,en rai-
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sonde Ieurexpositionévidente auxchocs. <
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af/h dIen assurer (:7 /?une par/.son bon encrage etde donner dautre part,une bonne
''r..k..;-.= * ..A c'' ' ,';..;. .> +
/ ? k/ d/ lëelvnt30l?rrl arti enàl a() /()/ t s()r? .
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Le choix de I'épaisseurde I'huisserie devra correspondre à l'épais-
seurducarreauutil isé(ex.:pouruncarreaude70mm d' épai sseur,i lfaudraunehuisseried'épaisseur70mm). - Li aison avec 1es huisseriesen bois Le carreatlSera encollé sur toute sa haut d eur etencastré dans 1@s montants eL l'huisserie. asolidarisation de l'huisserie avecleS fs de Carreaux se fera par rangs successi 'i ntermédiaire de pattes à Vi sser(3Ou 4I s u f i s e n t p a r mo n t a n t ) f i x é e s nri ve u des joints des carreaux à haau uteu da es es (voi rchapi tre
Remarque
/1 es( retlommandé, pour pa///.6'r /es éventuefs risquesdl de ô' sstpral/bq de garniç/ cun e bande résiIlànte e f orrrtarttJe J'/yujssef/. e. Sur tovte ja lonjojnagta a/ ng.zl eulefpp, ' Rrt s?qble &tJ/-20 j L)c cm 1es atyaux. rrlontarlts j
Le premiertravailà.effectueravantla pose de totllcarreau estIe traçage.1!esttrèsimpodant,cardecetracédépendronlI'implantation etl'alignementde votre futurectoison,ainslque I'emplacementdes huisseries
LE TRACAGE 1, 4 1f?rn/n/acer?pent soz'?/)a/te. 'ra.cez a?.
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mentl ecarreau(iai ssezreflueriacole).La
solidarisation de I'huisserie avec Iesrangs successifsdecarreaux,se fera parI'intermédiaire d'une patte métallique coulis-
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4.
Le traçage d'une cloison perpendiculaire pose padoisqueiques problèmes,pourêtresûrd'avoifun angle droitpadait surtoutsil'on ne possède pasd'équerre suffisammentgrande.L'astuce,danscecas.consiste ttappliquerde maniére pratique unedes propriétésdutriangle rectangle,àsavoirIe théorème de Pythagore. Le carré de l'hypoténuse est ëga/à Ia somme des carrés des cltgs de I'angle droit.
Exemple de contrôle d'un tracé d'angle droit,enapplication du théorème de Pythagore Tracez un repère à30 cm sur un descôtés (1). - Tr acezun repèreà 40 cm sur
I'autrecôté(2). MesurezIa distance entre 1es 2 repères,ellesdoitètre de 50 cm t3j.
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En pratique, comm ent se servirde ce théorème ? Le pointA est le départde votre cloison perpendiculaire à tracer. BC2=AB2+AC2
Marquez un point C à 30 cm du pointA. - Tr acez une Iigne A1-A2 parallèle tlAC ttunedistance de
40 cm. Tracez une ligne CB de
50cm delong,demanièreàce
MISE EN G UVRE DES CARREAUX
qu' ell e coupe Ia l igne A1-A2./
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-cl ofson
l'intersection de ces 2 lignes, vous obtenez le pointB.11vous suffitde relierle pointA au point B pourêtre sûrd'obteniruntracé de votrecloisonparfaitement à angle droit. Cette application du théorème de Pythagore vous permet de faire deux choses : - d' une part,de tracerun angle droitsans équerre, maisaussi,d'autre pad, de vérifier si un tracé fait à l'équerre, par exemple, est correct.
En application utilisez des Iongueurs simples,comme par exemple : - 30, 40 et50 cm . 60y80 et100 cm. 1,20)1,60 et2 m. 3,4 et5 m .
2.PosisniwezIesp/gesde mantèreparia/lerrerqlverhcale a/'ade(7' urln/kzeautjhulles.
1.
.: 1.Lhplomb Je ka clolso' r?sefa d(7/l/ld. :)pardeux
p/ges (prl/tles ctlnsllrut' )s îlar ( 3+27. : fers tlacri?t? coullssanti'u/7 c/ar?s l''akitre etmonîes sta' rres-
stlrfs/'.Ces p/gt as pet//er?!ètre remp/actjes par detptasseaoxe/7LlL/l. '?r7eborm e. '9e&l/' ()l9.plkrta/l6'n?e/?!r' ccl//fg/nils.//sseronlmk?przlt?rluscltm scecas pardesrlelflestla/esbîseautees.
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51.Fl,collez 7a banje resf//carl!12. (a' zeclaco//eàcarreauxi. 52.CoVe'z- /a bande rés//ét. lr)li? sots leplafonzl 53 Schu/wez etclclrrtl/ez I'. 'l1terstç ize enlre pe c'/afcb'7tJ.elle 'f paty! de la cloiso'è avec u/?n nîtjya;,. ge ccvpsr/lc/e t 'l5L) % zie colle et 50?r .pdep/érce,o'es2ccllésJeIa f Jl&r'tA'
gaz,éi ectricitéxaa).
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Exemple de construction dtune gaine techniqueé2 faces
55
Exemplede construction d'une gaine techniqueâ3 faces
Cette gaine techqique pouvant contenir des matières inflamm ables,ilest
par conséquent im pératif qulelle puisse garantirune résistance au feu et pour cela,ilestnécessaire de respecterun montage obéissantà certaines normes : Ses dimensions intérieuresdoiventêtre inférieures ou égales à 60 x 120 cm. Sa hauteur ne doit pasdépasser3,50 m entre deux étages. Elle peut être réalisée en carreaux standard de 50 à 100 mm . Elle peut être montée en 2,3 ou 4 faces. Les an:les sontréa-
Iisésparharpage(voirdessi nsci-contre). Les joints des carExempledeconstruction d'une gainetechnique J4 faces
reaux sont décalés une cangée surdeux. La bande résiliante de liaison entre Ie hautde Ia dernière rangée de carreaux et Ie plafond sera d'une épaisseurd'1 cm et d'une m asse volumique égale à 300 kg/m3.
Les pages 36 tl 42 développenl potlfchaque type de carreaux Ies dimensionnements standard autorisésainsique Iestolérancesdimensionnelles,11esttoulefoisp0ssible.dans certains cas particuliers telle tlne cage d'escalier, de dépasserces hauteurs uIim ites>' à la condition expressque Ia surface entre m urs d'appuiou entre raidisseurs ne soitpas supérieure à celle donnée par ie tableau cidessous.
Jttention-
I T l ,ous I es t ypes decarreaux ,d une épalsseur éga/e ou stppë-
!n 1 eure. ' )6cmpeuverttJ' lreuti l isésj pov:rone cloison de grande hao-
I teur. ' jI'exceptiondescarreaux 1 1léqersisolants. ! 1 -''
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épaisseurdescarreauxenmm
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Surfacemaxi mal eentrerai di sseurs
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Hauteurmaximale en m
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enm2
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1 12 t
Application pratique
Supposonsquevotrecl oisondoi tsedressersur8.20 m (rez-de-chaussée.premi erétage.mezzanineencombl es). Vousoptez pourun carreau standard de 80 mm d'épaisseur.
Le premi erraidisseurdevrasetrouverà1,70m du murd'appui(voi r aussicalcul,page37). Commenttrouvercette distance ?
Dimensionsdes saiqnéesautorisées pourdescarreaux d'épaisseur60 70et80mm
Explication parIe calcul Hauteurà clolsonner
8,20 m
Longueurmaxlmum de Iaclolson e( nàtrd eét raidisseur
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Note Les safgnées pratiquées dans
du carreau Iéger isolantferol?t/1/7-
jetJu Jépc èld'un ccgdco de colle erp pourtouretdar)s le
f or? tfde / àsal nnèe atl moment de Ia rnjse en place Jt/ Conöuit.
TABLEAU DESPROFONDEURSMAXIMUM AUTORIS/ES EN FONCTION DE L'éPAISSEURDESCARREAUXUTILISES épaisseurdeI acl oison
enmm Profondeurmaximum de
( asaîgnéeenmm
Diamètreextérieurmaximum desconduits en mm
i 50 1 60
j
20
;
j 20
70
20
16 l é 16 r 16 1
100 j
25 20
Laméthodedefi xati ond'objetssurunecloi sorlencarreauxdepl àtredépend du type de charge. On peutconsidérerqu'ilya 2 typesde charges :la charge ponctuelle etIa charge filante. La charge ponctuelle
C'estI a charge maxi mal e (à ne pasdépasser)enunpoi nt. Lepoidsde I 'Qbjet(enkg)multi pl i é parI adistance (en m)del' axe de I ' objetàIacloi sondoi tètre i nférieurouégalà 30 kg parmètre. e =0,30m P = 1* kg M =exP s;J0kgim
%#
La charge filante C'est la charge répartie
o l.-0,.#..g..m. .
4y.
- .- - - ..
surl' ensembl e de I' objetà v '
- - - .- . ....
oa
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fixer.
Elledoitêtre inférieure ou égale à 15 kg pour 1 m linéairede cloison.
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LA FIXATION D'OBJETS LOURDS (supérieursà30 kg)
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.'r' a ..
G. ..+,.qq ''j
62 e =0,20m p =75 kg M = e x 15kglm
consok steporr
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ra bourré au plâtrejus.
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LAFIXATION D'OBJETS LéGERS (iusqu'à 15 kg) Encarreauxpleins elle se fera parI'intermédlairede crochets àtableaux maintenus par1à 3 pointes en acier. 1pointe en acierJztirrr'el t2f.?e suspecslLïm tJ6?5 kg. 2 pointes en acierpermettent Llne susptwptî/tlr?de 10 kg. 3pointes en acierpfgl'rpefle/'l! tv'Ile stysper/srp Ue 15 kg.
Elle peut être réalisée de 2 manières différentes : . Par une f ixation traversante métallique comme Ie montre le dessin.L'évidementdu mur côté plaque se fera au burin ou avec un vieux ciseau à bols.Le creux restantse-
qu'à affleurement. Par une incorporation d'untaqueten bois dans Iecarreau.La profondeur de l'évidementne devra pas être supérieur à ia moitié de l'épaisseurdu carreau.L'évldement tailIé entrapèze toutcomme Ie taquet,sera bourré au plâtre.
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tcqvetenb&s . ws . a,boo . .-
LA FIXATION D'OBJETS DE POIDS MOYENS
j0ï50, j
ùusqu'à30 kg)
I 1
En carreaux pieins, elie sefera parl'intermédiaire de chevlllesclassiquesou à expansion,ou pardeschevitles autoforeuses.
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g a/pâtre
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1 C/ltf?k'W/sQ-vosslLittes elq 'l
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2.(Dletzlzr esa(,r/o/'eë. /ses. 1.
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IL ïi, kLé?r?:9;)t;li71'. ''?(;()'/E;r9. c:7!/t9?-:(;$' ttr' ?!(T?(' /t''tï?l(?/?,ljtt'??t;
Note Les fixations,pourdes charges supérieures J) l5 kg,dans Ies carreaux
aVyptjs inolants s'e feront par taqueten bols #lcchrporè. Les lkat/tvps,pourdes cturpes supèrieures /1 ?5 #p,Jar?s Jes carreaux a/vèo/ésse ferontparbkations traversantes ot/par fatw ers erttno/ls.
La plaque deplâtre résistantau feu est,quantàelle,decouleurrose.
Laplaquede plâtreprésentedesbordsIongitudinauxamincis(surla facebei ge-l vol re)spéclalementconçuspourfacl i ktefl etrai tementdesjoints entre2pl aquesconsécutives D' 0ùlenom deB.A.(bordaml ncls)sul vid' un nombrequiindiqueI'épaisseurdeIaplaque (B.A.13.B.A.18,etc.) Piusieurstypes de plaques existent) Ia plaque standard. -
-
laplaquehydrofugée toumarine),
Ia plaque spécialcintrage, deux plaquesprenanten sandwich une structure alvéolaire, Ia plaque pourrénoverun sol, Ia plaque associée à un isolantcollé (plaque de plàtre + polysty-
rène expanséc)uextfudéoumoussepol ytlréthanec) uIai neminérale). -
Elle estcommercialisée en plusieurs Iongueurs,Iargeurs etépaisseurs.Elle est constituée d'une âme en plâtre protégée par2 parements en carton spécialquiluidonnent rigidité et sudace plane et Iisse. Créée i!ya 50ans environ,elle n'estconstituée que de matériaux na-
turels(pl âtreetcar lon)sansdangerpourS asanté,Sacomposl ti onI uiconfèredesquali téscertainesàI'i sol ationthermi queetphoni que(associ ée àUnisolant)etàIa protectioncontreI'humidité. Sasurfaceétantpl aneetIi sse,ell eoffre,apfèstrai tementdesjoi ntset application d'une sous-couche de pelrlture,une face prête à recevoiren finition un revêtementm ural,papierpeint,tissu,fibre,peintufe Oucarfe.age.
La plaque de plàtre présente 2facesde couleursdsfféfentes : une face recouverte d'un carton de couleurbeige-ivoire,c'estla
faceavantouextéri eurede I apl aque(celequirecevraenfini tionl adécofatl o n ) ' une face recouverte d'un carton de couleurgrise.c'estIa face ar-
rière ouIntéri eurede I a pl aque(ceil equiseraadosséepourvissage àla stfucture métallique). La plaque bydrofugée estde couleurvertclairpoursa face avantet gris-vertpoursa face arrière,
Ia plaque rainurée décorative pourla correction acoustique. la plaque résistantau feu,etc.
L'objetduprésentchapitren'étantquedetrai terlescl oisons(dans I edomainepri vatif),seulsI es3typesde pl aquessuivantsserontabordés : Ia plaque standard, la piaque hydrofugée, Ia plaque spécialcintrage.
PRINCIPALESéPAISSEURS,DIMEjSIONSETPOIDS DES PLAQUES DE PLATRE
! lpai 1 sseurs @ 1Dimensionsl Poids !courantes l enkg I enmm 1 ( enm 5j aumz
Typesdeplaques j l E
:. A6
)1,apxa,ca ! . s,2
B. A.lo BA lo
.1,2ox2,00 i i r1aox2,401
I BA.lo ;
k I
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à réaliser.
B. A lo r1, 20x2, 60 j BA 13 *-' ,.1,2o x2, 1 -40 --. y - - .- -- - ...
1 1
BA.13
1 j !
BA 15 .. B.A.15
l1,20x2,s0l
-. -
/-loirtis (7' ar7sa' etixca/'s ilorizo/îta.t/x :' .solet,r.l. ?aJr;/lL'b. Lc'/'s(2tJe fa hauteurstlë/sDlafonljes!plus l'rrlportante.
! 10,2 j 0,90x 2,50 l i .
j1,20x2,50 i j jz j j1,20x3,00 é '
r --.. -. -BA.----y-- -. 18----1 20. x 2,5. j1, 0 rj y4,g B. A.18
- .- --
Pl aqueshydrofugées I 1 oumarines(pour ( Iespiècesd,eau - h salle de bains -
l
cui si ne - W.C.)
:
B A.23 B. A.23 B.A,23
11, 20x2,50 J090x2,50 1 1 , j )0, 90x3,00
.
B,A.13 B.A.13 B. A,13
--.
B.A.13
-- 1 . ! 11,20x2,50 1 j 1,20 x2,60 )
)
PourtousIesexemplesdemontagesdecloisonsdécritsauxpages64 à 68,destableauxdonnent1es hauteursmaximalesdecloisonsà respecter -
j 1,20x3,00 j j
l0,60x2,50 1 i
!
ëPlaques :Cloison j y---------.--.
; j
Panneauconsti tuéde; 9,5 2l-- 50 .i 20x2,50 i ,1, , x.a
2 I arq de lâtre l 9-, s.- -1 o j i ,6oxa,s j-- ''' àp bo du se as mi ncp i s y --1 -- s 'o ---o -j' prenantensandwich C 12'5 1 ( 72
unestructure al véolaire 'Eparsseurreeile 121 5rnnn
) ! ï )
; :
,l'stl/' a alors . l'liècessa/re J'e rigidifier I'ossature o'?;. )?'(.)ctt't. -ïéqd: '?(('. 7. (?. 117174,)1ï 1r?Ié)/'t?é)ti/!. 'é?/-)lé' ?' ..-. r éduire I'entraxe de 2 montants verticaux consécutifs é 40 cm. doublerIes m ontants verticaux en Ies positionnantdos ., :1dos d /lou'/clursavec t?/'elitrazede (q()c??)). réduireI'entraxedes montants verticaux li40cm touten Ies doublantt't7'c)s à (J'os7.
21, 20x3, 00
.
j t 1 t
Pool''e '-f'' ?t.)/prage d't/? '?e s?r?,p/' (:?ciolson (7/e p-lase ôtptlr/t;'t '. 1 2.(î0 . n-,r le haut .etkr/.Ies montants verticaux s(l/Tluniques
elJ/spclst)sa t/')enfraxe de 60 cm.Ct?sc/ercp è/'ssoîîterz'-
!1x xapo 5 1, j 10,2 (1, 20x2, 80 j t1, 20x3, 00 j 1 $ l1, 20x3, 60..). .t . --. . -.--. -... @O,60x2,50 1
.
La réalisation de cloisons avecdes plaques de plàtre consiste à visser cesdernièressurune ossature métallique constituée pardes rails ho-
ri zontauxetdesmontantsverti caux(profi l ésenaci ergal vani sé),assembl ésparvissage suivantcedainesrègles(di stanceappel ée entraxeentre mofltantsverti caux)dépendantessentielementdeIahauteursousplafond
j1, 2ox2, 50!
1 B.A.13 1 BA. 1 B. ,3 1 A.13 1 B.A.13 Pl aquesstandard ) J A.13 ----.....-.--B. I B.A.13
PRINCIPE
! f 1,20x2,50 i
E : !
i 1 I h
22,4
Note Les rrlclr/taqts de Ihrgetkrs 48, 70 et90 mm
perrrlelter)lde réailnerpar emboîtementun Jf-/l?crec(angulake (?tJ aora 1& rësistance J't?rq molqtant double tout6' n présentant I'encombrement d'tlrl montartts'Fmp/e.
Ceffe astuce per/wer égalementp /b/ alenl/aqd'urt montantJ'er7rtycé,dans Ie casdemontaged'ht-psserie avec pclrtep/ejne.
Avantd'aborderle problème des diverses possibilités de réalisation de cloisons en fonction des pedormances qu'on en attend,voyons Ies différents profilés standard disponibles surIe marché,nécessaires à Ia construction de I'ossature surIaquelleviendrontse visserIesplaquesde plâtre.
LEs PROFILéS EN ACIER GALVANIS; :RAILS ET MONTANTS '
DIFFERENTESLARGEURS ETLONGUEURS DESPROFILéS Rails
1 Larq eursenmm i ! ''' 1 a6
i
a
1
48
1
3
1 p
zo
r q-. - - -- 3 -----.-----
l i
36
j l
p l
48
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Montants
uongueursenm
1
l 1
j ' i j
70
1
90
l
1
2, 49- 2,59- 2, 79
i 2, 99-3,19-3, 39 l 2, 49- 2,59- 2, 7g 2,99 - a,19- 3,39
E'
i I !
3,59- 3, 99 2'49 - 2,59- a,g9
1
2, 49- 2,99- 3, 59
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3-99
a,s9 - a,(s
1..Deuxr ln ' f nr qré t. rl rsaeAt?/ ' 7)r 7l tEy'ptl()Jt Gsd'os:.?dtls(7' J7r)s ù.,')ra:1c' e/ -Q cf'rl'; @ :%/ to' .î((?. ou s.:s//?4,t 'n2/ e.', 'L-Iea?L OJ/47.' n
e,'nk boitesûatz. rv tprlrail'de ac.,)q?.?)
2 '/?'s at/l. :?J3erceuses 7.TI-'C I-l-ôïe 'rtorl7pe/''eJDo/rlleo'-'lokij'. :?. '' VZf': (tLlt(?r)i?rtl(lt/élé?tq Vf-'Lî.rrcnf7 r'FB 'c)' ' ?/e . f7' ()r# .wr ta 1? .) u4e /V7(î -5 .i .,, brlou ': 'rp' aj4aqlolî'Jesra./? .settl'tt ?s nlf Lvîtbzl? '?ts
r
u. . h .
LACLOISONDEDISP IBUTIONCONFORTjN72MM
D'/PAISSEUR MONTEE SUR OSSATURE METALLIQUE DE 36 MM SANS LAINE MIN/RALE Les 2 exempl es (desst n
railde56mm.-...
LA CLOISON DITE DE fqDISTRIBUTION COURANTE'.
de gauche et dessln en
page de droi te),montrent
Elle sertà diviserun espace intérieurd'un même logem ent. L'exigence d'isolation acoustique n'estpas prioritaire. '
LA CLOISON DITE DE t'DISTRIBUTIO N CONFORT', Touten étantdestinée à diviserl'espace d'un m ême logement elle apportedespertormancesplusgrandesenmatièrede : résistance mécanique. rigidité. i sol ementacoustique(1 aparol e,àni veaudeconversati onnormal e, estrenduetlpelne perceptl bleeti ninteli gi bl ed' unepi èceàl' autre).
..
deuxconstructioqsquasiment identiqueshormlsque,dans Ia coflstruction de droite,un panneau semi-rigide isolant acoustique en laiqe mknérale
moltknt
des6mm.
N
..
'
LA CLOISON DITE DE 'IDISTRIBUTION GRAND CONFORT', Uadjonction d'une laine minéral e (pri seensandwich)amél iore très senskbl ementI'i sol ati onacoustique(tavof x,étniveaudeconversationnormale,n' estpl usperçued'une pièce' jI'autre).
)
te avec uneossature constp-
4pl s ue:&%
LA CLOISON DITE (tSE'PARATIVE D' APPARTEM ENT'' Destinéeà séparerdeux logementsdans un mëme bâtiment.elle est construitesurIe principe de2 ossatures parallëlesnon reliées cequiassure uneindépendance m écanique aux2côtésde la cioison.Cette particularité de constructionfaitcroître 1esperformances acoustiques,les brullsde lavie courante ne sontpasperçusd'un iogementà I'autre.
La mlse en œuvfe de la
mi l de z*mm.
Elle estessentiellementdestinée à cacherl'incorporation totale de toutes les canalisations d'arrlvées d'eaux sanitaires et d'évacuations
LA BANQUETTE TECHNIQUE Ce n' estpasàpreprementparlerunecl ois/n,ptli squ' ell e serajouteen appuià un murou à une autre cloisen. Elle permet.essentiellementen rénovation d'assurerIesmèmesfonc-
t' onsquelacl oisontechni queavecenpl us(questi onde goùt.., )Iacréation d'unetablette.
tuée de rails de 36 mm d'épaisseuretdesmontants de 36 mm d'épaisseur.Deux plaques de plâtrede 18 mm d'épaisseurviennents'y visser.
LA CLOISON DITE 44TECHNIQUE>' (W.C..lavabo.bi det)etdepermettrelafi xationdessani tairessuspendus.Iavabo,bi det.W C.avecrésefvoi rencastré.cuvettesuspendue(avec i ntégratl ondelacol onned'eauvanne).
aétéinséréentrelesplaques (je plâtre,cequimodlfieconsidérablementIes isolations acoustiques et thermiques (voirtableau comparatifcicontre). CONSTRUCTI ON Cette cloisonestconstrut-
PRINCI PAUX AVANTAGES
cloison plaque de plâtre vissée surossature métalllqtle sera décrite pages 70 à 75.
LACLOIP N DEDISTRIBUTIONGRAND CONFORTEN 72MM D'EPAISSEURMONT/ESUR OSSAJURE MCTALLIQUE DE 36 MM AVEC LAINE MINERALE CARACT/RISTIQUES
LA CLOISON DE DISTRIBUTION CONFORT EN 98 MM
D'éPAISSEUR MONT/E SUR OSSATURE M/TALLIQUE DE 48 MM SANSLAINE MINéRALE
DEs CLINSONS
Lfj.
Cpai sseurenmmU ï 7a '' Poidsen kg/m z
I 30
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Ha uteurmaximum j en m I Montant simple
I 1 9 1
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kqnq j M l?l2rJ e ..
l
sans laine minérale
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ISOLATION ACOUSTIQUE -
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double i .entra e0,60 j 3,1 . entraxe 0,40 $ 34 j I
RendB ( A)
CONSTRUCTION Cette cloison estréalisée
'
:
xx-
. entraxe 0,40 1 i 2'9
Montant-
.
de 36mm
.entraxe0, 60 I2,6 -
tont dMo els .m. 's
.
vonbnf
.
-
Comme precédemment. Ies 2 exemples ci-contre de constructlon sonttdentlqtpes hormis qtle celuide droite comporte une laine minérale de 45 rnm d'épaisseur.
rail #e(8mn,.-.
milde: 65mm.. -..
avec des raiis etdes montants de 48 mm d'épaisseur. Deux fois 2 plaques B.A.13de parletd'autre de l'ossaturevlennents'y visser.
.
.; . ..
2?l avh :. A. , 15
1
4pkqueô.A.dô
...-
i : ; 39
avecIaine ) minérale de ) ! 30 mm (1) j 44 ISOLATION THERMIQUE K en W/m2K o l ; sanslaine j minérale j 1 2,1 -
-
avec laine
,
mi néral ede 30 n)n)(1)
j !0 9
rall de56mm.-.
citésavecenplusunetrèsbonne isolationacoustique.Pourne pas rompre Ie niveau acoustique acquis,ilestfortementconseillé de mettre en place
9
(1)Panneauacousttquefauleou serrljvrrgide R =0.77m'K' 'W
cetteparoiFIs'exprrmeeflm K&, 'f R=1/K PjusRestgrand,meilleureestIapedormancethermique
'
PRINCIPAUXAVANTAGES . Tous l es avantages précédemment
,
12)Laperformancede lapatt?,estca. racterkseepariart' skstancethefml. queBdëcetteflarol.Stlmmedesré. ststancesdesdlfferentséltrrlentsde
railde#8mm
PRINCIPAUX AVANTAG ES .
desportespl ei nesavecdesjoi ntsiso.
phoniques. Le niveau d'isolation thermique perrnetun chauffage modulé pièce par pièce.
.
Performancesplus élevées quecellescitéesen pages 64 colonne de droite et65colonne degauchesurIe plande l'isolation acoustique et thermique. Possibilltéde réalsserdescloisonsde4 m dehauteur(sousréserveblefl sûrde doubler!es montants verticauxetde Ies placerà un entraxe de
40cm).
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d' r..fq.
.
.
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W. k '.p., ,
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LA CLOISONDEDISTRIBUTION CONFORTqN 120MM
LA CLOISON DE DISTRIBUTION GRAND CONFORT EN
D'éPAISSEUR MONTéE SUR OSSATURE METALLIQUE DE 90MM SANS LAINE MIN/RALE
98MM D'iPAISSEUR MONTéESUROSSAJURE
MéTALLIQUE DE 48 MM AVEC LAINE MINERALE
CONSTRUCTION Cettecloisones1réalisée
r///yeSomm.
tail(/ e48mm...
CARACT*RISTIQUES DEs CLOISONS
épai sseurenmm l ! 98
#y.
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poidsenkg/mz
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(miMc16 m>i/ Wm. s
Hauteurmaximum y
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1 1 (
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sontdoubl és(dosàdos).
. ntant
L'ossature estparée d'une piaque de plâtre B.A.15 de chaque côté.
& s0mm.
,
avec des montants et des railsde 90 mm d'épaisseur. Les montants verticaux
Montant simple . entraxe 0,60 i 3
.entraxe0,40.n 1 3,3 ! Montant. ! double 'l . entraxe 0,60 I k 3,6
.entraxe0,40 j 4 ISOLATION ACOUSTIQUE
RendB ( A) -
-
j
sans laine
J
minéral e
I 42
avecI ai ne minérat ede
j (
45mm (1)
; h
-
sansIaine mi nérale
k i I 1,9
-
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minéralede 45 mm (1)
! ; 0,7
f1)ParlfvatlDCOUStIQVIPfotilé()t; seml.l/glile F?= 1.07rn K/'W
' ,.
. .--
1f. d1506*1* V
PRINCIPAUX AVANTAGES . Dans unmême I ogementc'estIacloisOn hautde gamme.Ses performances acoustiques permetteqtde séparerlesacti vi tésjour/nui t.L' util isation deportespl einesàjointi sophonpque estfortementrecommandé.
.
.
LaIimitedehauleurd'emploiestélevée. La bonne isolatlon lhermique permet decouperle chauffagedansune pièce sansperturberle confortetIa régulation de l'autre.
--'--
tat' lde5t )mm.. -''
raild648mm. ''''
f 48
ISOLATION THERM IQUE
Kenw/mzK
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PRI NCIPAUX AVANTAGES .
. . .
Tous Ies avantages descloisons précédentes, La fode inertie des montants permetà ce type de cloison des hauteurs limitesd'emploitrèsèlevèes. Polds au m'relativementfaible.
Unebonneisol ationacoustique(voi rtableauci -contr epage67cos onne degauche).
l' ) 1.
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LA CLOISON SéPARATIVE D'APPARTEMENT EN 140 MM
LACLOISON DEDISTRIBUTION9RANDCONFORT
EN 140 MM D'/PAISSEUR MONTEESUR OSSATURE MITALLIQUEDE90 MM AVEC LAINE MINéRALE
Poidsen kg/m2
tnildeb0mm...
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enm ! j I ! Mo n t a n tf ' simple ' ! '--.-..7 &. 1 i3 I . entraxe 0,60 1 , 1 7 I4, 4 .entraxe0,40 1 4,1 ! I 4,9 -
Montant' 3.O '
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double - 4 ..,1 I é I .entraxe0. 60 i4,4 !5, 2 1 4,8 . entraxe 0,40 1
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de S0mm.
à/ be ip/ rérd/ e
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avecIai ne minéral ede 100mm (1)
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aveclaine minérale de
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(1)Pafnseaklatrtlstlqtlilrtltalé()LJSeml.rlglde R=2.65r'l'K/W
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Monhnt t i ISOLATION ACOUSTIQUE
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avec laineminérale ' de70 mm (1) t 60
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ISOLATION THERMIQUE
K enW/maK
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CONSTRUCTION La cloison ci-dessusestréalisée avec des montants etdes rails de 90 mm d'épaisseur. L'ossature estparéede deuxfois
deux plaquesde plâtre de 13 mm.
PRINCIPAUX AVANTAGES . Très grande haut eur limite d'emploi. . Très bonnes per formancesd'isofation acoustique etthermique. . l mportanlvlde Interne permettantde placerde nombreuxréseauy sanitairesetélectriques.
'
raf l( 8e90 mm.-..-,
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avecIaineminérale de 70mm f1) 0,55 41hPaflrleauacoustgque roule c)u
semi-rlt llcje Fè=1.67m'KJW
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ISOLATION THERM IQUE
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rai l4îx S0.m.
double *-.--= j entraxe0,60 i 3 l 3,
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ISOLATION ACOUSTIQUE
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CARACT/RISTI QUES DE LA CLOISON ; = -'Epaisseuren mm i 140
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Hauteurmaximum 1
METALLIQUEALTERNéEAVEC RAILSDq90MM ET
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CARACT/RISTIQUES DES CLOISONS
D'#PAISSEURMONTéESURUNEOSSATURE
MONTANTS DE 70 M M AVEC LAINE M INERALE
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CONSTRUCTION
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PRINCIPAUX AVANTAGES
Lacloisonci-dessus estréaiisée avec un railde 90 mm dans Iequel sontvissésdes montants verticaux de 70 mm de manière aiternative
.
L'alternance des montantsverticaux faitque 1es parements opposés sontmécaniquement indépendantsI'un de l'autre.
(unmontantprendappuisurI agau-
.
Le poids,pourune épaisseur de cloison de 140 mm,n'est que de 46 kg au mE!
che de I'aile du railIe suivantprend
appuisurI adroi teetainsidesulte).
AUTRES EXEMPLES DE CLOISONS SéPARATIVES
LACLOISON SIPARATIVED' APPARTEMENTEN200MM
D' #PAISSEURMONTEESURUNEDOUBLEOSSATURE METALLIQUE INDéPENDANTE DE2 X 70MM AVEC
D' APPARTEMENT * '
1et2:CLOI SONSS/PARATI VES / OSSATUREALTERN/E 3,4et5:CLOISONSS/PARATIVES XOSSATUREDOUBLE 5 : 1 j . ' 2 , -E ii!% E i s cj/ i ru m . EXEMP LE S j o t $ v ! : r' ' j q gw DE 2: 9s 13 G s l. 4 2g E 3= = t n w. E
LAINE MIN/RALE CARACT/RISTIQUES
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DE LA CLOISON
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CONSTRUCTION La ciolson ci-dessus estréalisée avec 2 ossaturesparaltèles etindépendantesde 70 mrnd'#paigseurespacées J'1cm. 2 x 2 plaques de B.A,13 viennenten
En aménagementdes combles ou en rénovation,la double ossature permetde s'adapterauxéventuelles differencesde niveau des planchers ou des plafonds.
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Les per-formancesacoustlquesetthernltquessontsenslblemenlaméllorées parles 80 mm de lame d'air. L'inerlie des montants autorise une Iimited'emploiélevée.
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LA CLOISON TECHNIQUE CONSTRUCTION La cloison estréaiisée surune double ossature comportarltdes monlaqtsspéciaux renforcés de 48 mm etdes supportssanitairesspécifiques. 2x2pl aquesde B.A.13hydrofugées(marl ne).
LA BANQUETTE TECHNIQUE CONSTRUCTION Ell eestidenti queàceledeiacl oi sontechnique(mêmesprofi l ésetsupports)à l adi fférenceprèsqu' ell eestaccoll éeàunmurotl41unecl oi son sansalerjusqu' àplaf ond.
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PRINClPAUX AVANTAG ES . .
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R utes 1es canalisationssontencastrées. La cloison peutrecevoir,quelque soitIe fabricant.des appareils sa-
ni tai ressuspendus(sousréservequ' il ssoi entconformesauxnormes européennes). Lacioi sonpeutsupporterdeschargessupéri euresà400kg(apparei ls sani taires). Trèsbon isolementaux bruitsd'écoulementdesfluides. Grande sécurlté enambiance humldegrâce auxplaqueshydrotugées.
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PRINCIPAUX AVANTAG ES . De gr andes possibilitésd'aménagementsurmesure. . En r énovation elle permetI'encastrementdes canalisationssanitaires. . La banquet tetechnpquepermetde recevoir,quelquesoltIefabrlcant des apparel jssani tairessuspendus(conformesauxnormeseuropéennes).
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MANUTENTION DES PLAQUES
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La plaque de piâtre se transporte sur chant,c'est-à-direverticalement,sa grande longueurparallèle au sOl,Paurle Jéplacementàunepersonne,d'une plaque,i!existe un accessoire spécialementconçu,conslltué d'une ffpoignée-manche )'reliée à un crochet.Le déplacementtt2 personnes $
djunepl aquesefai ttoujourssurchant.
..
deI arge,espacéesaupl usde40cm ( dans ces conditions,ilestpossible de superpo-
serjusqu'à5pi lesdepl aques).
COMM ENT COUPER UNE PLAQUE ? Cela peutse faire de 2 m anières :au cutterouà ia scie égoïne.
AU CUTTER JXCOJL1(.tCr'( 3/tJJ)tzù-)SL'ICCOL.,470.S . 7'tis' (. '77LZ) t)t/fi)El(li?tif/'él6à:l./Zh()6)/J?C1/'ri(?;TL?(Ir?i? */'Li(?é? o'r')e r'eg/t?/??e?J1//. '()tze.ylvet''Ie . '-'t/$? 'e;'erl :7 .r?/:)tttt',((j ?t//ti/dl?:2é?''762(2/7kïï' r?/ti/t'?/' c;??(?L.)?/t. :? iïql7!Ji/lJi?zèrrtq'trLï1qr(:1. ,7i?t, /firlI(' îr(' ç?t:/(: i?b '2é()(Tï? hetge(?elaplaplle. ''I) qï!t. /t?é,' .1;t;/' ,.t ;/r -?(. 7.33t? -.@rt;/' .'il)f?tc' .?t)/f?. L?1.)/'/)é?i. i?n?. ' .z menlJrar/o' e.p/ac(?zja p/aque en ! '. 7tJ/'!ea-fauv.e1)ba/t' .. /b' .fe latvt? é: ?!'casê. xt .)z ( 1t7/' coo.osecJ'2')
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A'LA SClE E' 1'NE ' ..k. L '
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STOCKAGE DES PLAQUES . w'u / ' Lespl aquesdoiventtottours*tre stockées àplatàl'abridesintempéries,sur unsolparfaitementhorizontal.Lapiledoit reposersurdescarletsd'au moins 10 cm
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tl?rk. x sotis t/()l''e /. ))1Lit-zu' a e. . lcc' ... ) îl. c' .r?z z 'g'b') t7().wr3 se(' )ca./'ak-f ta . L-îe i/t-'. ît,0 I 'olz-j'l'ïs tgcls/. b/(4/4I?f?(?s)( t -'ëtlfiiré;(?u léi:'')(tJ' t?L/wkrt .. 'i?t' L?. :E/' L?/Ji JOI 'It )L/6.CJf ( :l CJSSI?L Or&lot.d r/b(i. 7k'.7D' 6)(f J'/tl. w (7t:f?;L), bf?zi'p; 1/'Lïr)r cvr?'()/* t:?'t?/ëi?f);'lélu 'A 't&?i?!t. -(;Lp'. ()(? .krc-iï'6?t-' -1e :g':7t?t)/rlçq?(7c '1r-,çï ?'a(4I'1 'i;; 'u'' .'; n
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Sila pose de Ia plaque doitcomporterdesdécoupesenangies(passagedepoutresoudecanaf lsations) celles-cise ferontbien évidemment à la scie.
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Note l-es travaux de cloisonnement ne peuvent ilre entrepris tpe Iorsluu /es plafotm ssontposëse!/es
DéCOUPEDES BOîTIERS éLECTRIQUES
doublages de mtzrsextérieurs lerrrl/hés.
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La 4èco(17e se faità la scie cloche.Vous uliliserezdes boîtiers à griffes spécialement conçus pouf Iaplaquedeplâtre lnterrupteurs.prlses de courantou petites boîtesde connexionsutlfisentIemémeboîtler
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DISPOSITION DES PLAQUES LeSpl aquessonttoujoursdi spoSéesdemanlèret lceqUeI esjoints en correspondance avec Llrlm#me montantsoientalternésd'un parementà l'autre
Remarque Les plaqves de p/llrc se coupenl J) hauteur sotls plafond mo/r?s 1cr4?.Lesplaow es da/esl
t ovcherI e p/ afor lct/ ei ell(1Cr T? J eslIatsée/:c' a/-l/'ebasse.Lorsde /a pose. // faudra lrrlerca/er tz'rpe ca/e (:/'7crp entre le soIetIe tlds öe /a piLznt-'e (7t/titîlYer tpr? (7:.//. ,/'
spécialappef résotllèvep/atpe.
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Lors du montage d'une cloison àdouble parement, Iadeuxième plaque estdécalée parrapportà la première.
Cloison simple
Cloison double
parem ent
parem ent
entre ellesde 30 cm etsont disposéesà 1 cm minimum desbords de plaque. Lorsque Iesmontantssont doubles,le vissage se fait alternativementsurchaque
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LES LIAISONS AVEC LE SOL Eq domaine privatif,dans Ies pièces humides ilestforlementrecom-
mandé d'utili serdesplaques hydrofugées(di tes mari nes).Ell es sontincontournables pourles parois soumises au ruissellement.
Lajonction entre2 plaquessetai ttoujourssurun montant. Les vis sont espacées
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Exenw les dem ontaqes,enpied decloison,pouruneparoi non soumise au ruissellement
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VISSAGE DES PLAQUES Utilsezdesvi sautoperceusesdetypeT.T.P.C.(TèteTrompettePointe CIou).
LES LIAISONS EN T ET EN ANGLE
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Exem plesdem ontages,enpiedde cloison,pouruneparoi soum iseauruissel?em ent
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Envissage surprofilé métallique,la Iongueur de Ia vis doitêtre égale à I'épaisseurde la pla-
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LES LIAISONS EN L
LES LIAISONS AVEC UNE HUISSERIE MET * ALLIOUE
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Sui vantfefabricant,certaineshuisseri esm af .
d'unmontant(!). SiI'huissefienepossèdepascecontre-profil,IaIiaisonseferaparI'intermédiaired'untasseauen boisencastrédansIacloison(2),elvisséà l'ossatureoudansl'huisserie(3). -.-
LES LIAISONS AVEC UN PROFILE ' ME'TALLIQUE OU EN ARRE -T DE CLOISON
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Arrétde closot)par'tprle balàde c?e Ia/atltki?.
LES LIAISONS AVEC UNE HUISSERIE EN BOIS La solidarisatlon de chaque montanlde l'huisserie à I'Ossature sera assuréepar4visdont1enpied.
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LE CINTRAGE DES PLAQUES DE PLA-TRE La plaque de plâtre ne permetpas uniquementde réaliserdes cloisons rectilignes,elle offre égalementIa possibilité de créerdesarron-
disparlaréal isati ondecloisonscourbes(oudesvoûtescintrées,maisce n' estpasI' objetduprésentouvrage). àI 'i nverse de Ia cl oi son rect' Nole Setp/es 3 Jpasselprs de plaques ccmkfeflser?fetpermeflenl fe cintrage :Iap/acpespéok'?ic/htrage e/n 6 f'nf'n e! 1es p/atwes standard en 10 rr?rrle!13 mrr?,
line oqj la longueurde la plaque estgénéralementdisposéeverticalement,en cloison courbe le déveIoppementdu cintrage sera réaIisé avec des plaques mises en œ uvre horizontalement.
Un rayon m inimum de cintrage esttoutefois conseillé,ilestde :
?-ï:. 'Jtr:)f?J'/(? 4)(?'' ;ï3() .r7(;$. t)ti/t7 .?J'i? .. 3' 1/ê:(7./13. '' é;(91.J.
0,90m (pl aqueàl 'étatsec).0, 65m (àI' étathumi de)et0,40m (à I 'étathuml deavecpréformage),pouruneB.A.6, 1,60m (à l' étatsec),1,20m (à l ' étathumi de)et0,70rrl(. jl' ' état humi deavecpréformage),pouruneB.A-10 2m (àI' étatsec),1,50m (àI 'étathumi de)et0,90m (àI ' étathumideavecpréformage),pouruneB. A.13 etcedansI esensdeI al ongueur
Plus le rayon de cintrage estpetit,plus la mise en œ uvre de Ia pla-
Le reportdu pointC au plafond se fera à I'aide du filà plomb.Ce point
queestdéli cate.hl' évi dence,ilestbeaucoupplusai sédeci ntrerunepla-
marquéaupl afond,tracezsurcedernier,toujoursavecvotrecompas,l' arrondihautde Ia cloison. Lestraçages bas ethautréalisés,ilvousreste à fixerIes profilésde soletde plafond quimaintiendrontles montants verticaux. Ces profilés pourrontêtre soit : un railquisera cisaillé surune aile etIe fond tous les 8 à 10 cm
quedeIargeurréduite.La B.A.13 étantfabriquée en Iargeurde 0,60 m . ilfaudra donc,de préférence,privilégierce choix. POz1l'un rayon supérieurâ 2 m,le cintrage de Ia B.A.13 se ré?/! sansprécaution particulière.lcluplffos,l'entraxem axim um desmontants verticaux /?respectersera de 40 cm.
P( )tk ' ? 'unrayoncomprise ntre 2m et1,50m,IaplaqueB. A.13
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mentécarlés.etmouiléeparpro-
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seraposéesurztréteaux/égêre-
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J/f/(je Lb/'éponge.L'entraxe entre montants verticauxse/' a de30 cm
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x'Nx N xx ' x x %N xx x Nx N. xx xX N N Nx XN .
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au maximum .
Ptlur un rayon compris entre
1,50et0,90m,toujoursenmouil-
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Ianteten aidantau préformage delaplaque.l'entraxe entre montants verticaux sera de20 cm au maxim um.
0 1
MISE EN G UVRE DEL'OSSATURE MéTALLIQUE EN COURBE Letraçage au solde l'arcondide fa cloisonseraeffectué avec Uncompas
detort uneréal iséavecuncl ou(Ouvi s)etunefi celereli éeàuncrayon(le cl ououIavisservantdepoi ntesèche).
DITERMINATI ONDUCENTRE DE L'ARC DECERCLEA TRACEB ProlongezIetracédescloisons,I'intersectiondesIignesA-O etB-O détermi neI e poi nt0.Prenezcomme rayonIadi stanceO-AouO-B (quidoi t êtrel amême)dansI al imi temi nimum de0,70m (pouruneB. A.10). Tfacez un 1. ''arc de cercle A1A2,pointe ducompasde fortuneen A. Tracez un 2* arc de cercle B182, pointe du compas en B. L'intersection des 2 arcs de cercle A1-A2 et B1-B2 vous donne le centredeI'arcde cerclede votre fu-
tur e cl oisoncintrée,I epointC. Ce centre C trouvé tracez,touj oursavecvotrecompas,l' arcA-B.
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deuxcornièrespositionnées face à face de manière ttformerun U,etentailléestous1es8 à 10 cm suruneaile comme Ie montrentles dessins 2 et3. Le cisaillagevousdonnera automatiquement un cintrage naturel,ilne vous reste plus qu'à fixer
parvi ssage(1vlsentre2entas rl es), Ie raiiou Ies cornières en suivant padaitementIe tracé au soIetau plafond,précédemmenteffectué, Les montants verticaux position-
nèsdans,esprefiésbasethaut(au b0nentraxe),Ievissagedespl aques
peutcommencer.Pour cela,positionnez et maintenez provisoirementvotre plaque avecdes petits
serre-jointsetdémarrezl evlssage
à I'une des extrémités eten progressantmontantaprès montant àraison de 2vis minimum parmontantet3 en bout(4).
Remarque - -- -Pour/'tltnre/?r/br? d'une pa/-fa/le contlnuité Ja/'?s /a ceurbure, il est recommandé d'assembler /es bouts dtlplaque er?partie
rec//l gr?e(1 7.1 ' 1estJéccl r:sellé d'effectuer t#? raccord en part/e cirltrée,car /e méplat ainsi criitj e&l très J//f/c//e tj rattraper, rr/lrne e?7 chargeal?t at.k
joi btoyage. E' / 1 cl oisons cj/plrtjt?s at/ec parement
double (2 p/a4uessuperpclséesyl, Ies ytl/rlls verti-
cau' xsontO/ ii /kaltl kfr? er p/ décalés d'at./ moins ul? mtl/-lta/l/.
MIIEEN GUVRED'UNECLOISON EN PLAQUESDE
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PLATRE SUR UNE OSSATURE MéTALLIQUE
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AVANT-PROPOS
Quelle quantité de carreaux acheter? l-cr?pt/etFr.4lar' ge/, ''o'e,' a prece vollst?or7rpera ya surface tn'e Ia Jl/t?c().c'est fa base de la
commande,? ?7 ( a/s'?, %Li(majorerct all e, . ' 7ase. pa/-l' ??'6?ca.&l/()rl.de 5 J 10 %,pourIes rta/scllps st//'tzét/ll6? .s .' - ? totllbreLlses coupes - chut es ' :/tacoLlpes7/lt?s&, ()/tl. rla/xe. s. q
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casse,
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é'ztarlfëke/' s défauts, impossibilité de racheterdes ca/wealz (?'tk' cllïthlne/(a1C)u 'iarrf)lo'' (7r)6)fadlr/ca//tlrl, i?!rfserve de ClLiellue.' ?ca/Teaë/vvpc)&/'t/r? p'elpp/acerpe/ep/fuburde carreaux cassgs ()Liprd-'sel?tamldt. ?séclatsslllteé)f ïles tl/lt''-
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teS(/'otllr (?/s.
GrecsetRomains recouvraientdéjà I eursol de mosaïques...!C'estdire que le carrelage n'est pas un matériau récent.L'homme a de touttemps utilisé 1es carreaux de céramique ou Ie dallage en pierres naturelles,pour des questions d'esthétique ailiées au pratique.
X
Pour bien choisir son carrelage 11fautsavoirqu'un carrelage ne se cholsitpas qu'à l'œ ispoursa beauté,mais qu'ildoitaussi répondre tt d'autres critères en fonction de I'endroit:couloir,salle à manger.salon,cuisine.salle de bains.W .-C.,terrasse.balcon. escalier,etc. etdu lieu où ilsera posé :'ntériet/rOu extérieur. En epet,selon leurméthode de fabrication et de finitions.Ies carrelages présententdes caractéristiquestrèsdiKérentes de résistance à
l'usure(trafi cdespersonnes,encrassement), aux poinçonnements etchocs,tlI'eau (et doncaugel )etauxagentschimiques. C'estainsique pourfaciliterIe choixdesparli-
culi ers,I ' AFNOR (Associ ati onfrançai sedenormal i sati orl )enconcertati onavec# esfabri cants. adéfi niun cl assement(appelé UPEC)sel on descritèresde résistaneedu matériau parrapportatlx tfagressions'?extérieures.
Le classem ent UPEC Ce classementestfondé surquatre critères symbolisés par quatre lettres.Chaque cri-
tère(doncchaquei ettre)sedécl ineensuitepar unchiffre endifférentsniveauxquicorrespon-
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Quelquesrègles de base //'Jati1s'atzc'/rh'ue Iesgrands carreaux t?//7! é)?-tlsér'' zé?/'(?i '-lx grar?cïes st.rr/aces etablx p/ect?s a'e grar/des c?'p rflle/ls/tl/Ds Er?effe! ptlses c/aps ul,ep/ilce ou t?. q coLijoiî'ex/pu' : ou o' ar?s un /:)srecr//?settfrzh/'tlc/?er?le. r?ls.I '/seJqcal/?Iî?Lt' ltlol ' . e traà'leraler)fc/'e nolnbre:fses.e/stlt/kzerplinesthétiques coupes. Les petitscarreaux stlrlt .çt/arnla euxp/t/rtf)r tïes//rpd' s aux petitespièces. p' /rpt/!p/'/'//.@g/er,'es carreaux c/ajrs pot-/r?es pièces som bres (-?/1es plus petites,//. S Lfonr f?r()?)!Ilillusion G?tu?!eséc//arrcp/elL1e r /esag/' éir').) q' hr
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C :pourI'emploide substanceschimiquesOu dedétachantsdomestiquespouvantprovoquer
dent4 la capacité de résistance du produit ainsiqu'aux exigencesauxquelles doitsatisfaire la réalisation.Plus le chiflre estgrand, plus le produitestperformant. Ce classementestie suivant' . U :pourusage du matériau.donc Ie changementd'aspectdflà l'usure parlefrottementdes pieds etI'encrassement.Les chiffres affectés à cette lettre vontde 1tt4.
des taches.
Les chipres afïectés à cette Iettre vontde 0 tl3. *C0 correspond à une présence d'agents chimiquesexceptionqelle. *C1 correspond tlune présence d'agents chimiques occasionnelle ou accidentelle. .C2correspondà une présence ou àIa manipulationd'agentschimiquescourante. @C3 cgrrespondà ane présence constante de produitsspéciaux. Fortdecesrenseignementstechniques,somme toute un peu abstraits stlrle classement UPEC,voilàcequ'i!recommandeenoutrepour des piècesbien précises.
*(-12correspondLiunusagernodéré * U2s* correspond à un usage modéré maisdequalité supérieure, *173correspondàunusagenormat.voire impodant. *U3s*correspondà urltlsagenormal.koire important,mais de qualité supérteufe. * U4 correspond à un usage intense. Note :$: fillt.t.t'lllir1l kj(?!t.
-La lettre S qutaccompagne parfoks le tlhlffre Clofrespond à un surclassementqualltatl tdans lacatégor3e
tq.,;';'.f!t!t1, .,t('! .1:,dt-..It' P ;pourIe poinçonnementdthgénéralement ., .-t.ryh,'rlts .@t, s.)1 (h).,1 à t'écrasementsousIe poidsdes piedsdumot.t',t.c ;.)I.@. -:!(!Lit%:. ))'k) bilieretauxtalonsaiguilles, .l tieltt-s ..lyrtli,ttpt. 'ntt'1 Leschiffresaffectésà.lalettre vontde 1tl4. .p ':ntllits ft-)t.plïkx(t@i.,t,It,). @'P1 correspond ,' j des docaux sans pléli#
tn.' rlt ''kIl yaI ' . dï) ,:!I ' o.:l ktlt -:ltl Fu
,it't. ).:t.ll.lrtxt-rhrl.f.4)1:,It,. .rt,k..t''1tdtz;)t;L)I1.'i'E'plp ! ..
1.'i21(1tLt' nt)l1hvlE1l' 15t'1A.CU';h1
t/(lqtr,t,lt., t' .,. (.::)sst.r'lio;)t ('ht..r!'Atâ2 .
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Endroitsetlieux
Pièoes d'eau ou deservice
rl i)rr lt)rlt(tlirt ltl1ë 1ti t)r'rtl()ti li llrli,3.
* 172 correspond à des Iocaux où $es contraintesstatiques ne dépassentpas 20 kg YU Orll2.
* P3 correspond à des locaux soumis à deScirculations dechaises à roulettesou
endérivésde bois.
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chaussée.ettoutes
:balcon). /Escatlerdontserevéfe- ' : menlde marchehabille E !
casi onnell e(nettoyr agehti mi de). *E2correspondà.uneprijsenced'eauré(Jtllitlr(). *E3cofrespondttuneprésenced'eautrès fréquente ou constante
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j ièc es sa acc à 1 1P l'ex tér ieu rn ,cs oul oè irs de i iclrculalionen étage, escalier.
()i(1()r)t(liiil
('?.)t gs,.r 1leârI r t' . tztte:( )rtls;
''l;hlIt'.?'Ih.iïIt;)1.iî1k.rtï hth(t%!Tsehl1: q1.l!)tN!1ltR ,7l(1i@4 t;?kt:;)(' .tr''''-E1lthrtyta't.t4t .l lt ''L.('..'Isn:..il'r''kl.1
jle nezde mafche
Les chitfreS affectés à Cette lettre Vontde ()tl:3 @E0 correspond à une présence d'eal.laC*E1correspond à une présent;e d'eau OC-
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I l0. qP rieur(jarciin'terrasseou E :u2s:2E1C .
L . ': a(è. )1 l cIs t'ar:rlsst pt,t't'à plusou moi nsfréquente d' eau toud'humi di lé > F .. I rlr Lt 'estt>t('t1Arx lth l1 !/l i n. Ii tj()ttt' (?r)1r( lti lrl)6)t prI i)ï;()1
')r'tlkè:t@e '4(::'ï
. : !1.)2 P2E3 C1. !
jpiècescomportantune t 7 orte donnantsurS'exté- @
't httl) kit' I'brlt'ilt411 * P4 Corfespond à des tocaux trés solrici'rè îtL!,t' . l'.t1 .1..i''1rirtlltc ta'? ;)1t'tct' tés Sans être toutefois Induslriels. pp',ta!.1'., tj'','ip r.371Itö,' E :poureau.Cette lettre lndique la présenca
('t.j'kltj:!''ttit*1111tRt1t'tlIt%!.
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lCulsi neetcoi ncui sine,tU2sP2E2C2. Piècesdi tessèches 1?en Satl l e à m a n g e r , s a l on. j rée.coutoifenrez-de- (
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Extérieur
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Réglem entation surles bruits Le classement UPEC a élé renforcé par Ie Centre Scientitique etTechnique du Bàtiment
(CSTB)parI ' adjoncti ondeIa I ettreA quii n-
diquera Ia conformité durevêtementàIa réglementation surles bruitsd'impacts.Cette donnée pfend en compte Ies capacjtés du revêtemenlttabsorberIe bruitdes impacts.
L. ebrui testcalcul éendéci beis(dB).Lanorme française se base surI'indice delta L etes1ex-
priméeen(JB (A).
La norme européenne se base sur l'indice desta Lw etestexprimée en dB.
Le classem ent PEI Ce classem ent ne s'applique qu'aux grès émaillés. 11existe une simplification du classement UPEC,c'estleclassementPElquiintroduitune notion de cjasse.Ainsiles carrelages ontété classés parcatégorjes en fonction de l'usage de la pièce. - La cl asse Icomprend les carrelagesdestinésaux pièces n'ouvrantpas surI'extérieur
(éventuell ement1 essall esdebains). -
La classe 11inclutsensiblementles revêtements destlnés aux mêmes pièces que Ia I mais enplus performant.
-
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1
La classe IIlcomprend les carrelages plus spécialementprévuspour1eschambres. La ciasse IV correspond aux matériaux Ies plus résistants et donc ceux soumis aux contraintesIesplus fortes.
Les divers tvpes,caracte'ristiques et qualite's de carrelage La terre cuite
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C'estI'un des types Ies piusanciensdesrevétements de solen carreaux. Sa relativementfaible température de cuisson
(envi ron900*C)nei uiconfèrepasiacapacit é de vltrification quila rendraitimperméable. De ce fait elle présente I'inconvénientd'être poreuse,ce quiia rend sensible à l'infiltra-
tiond'eau(gareauge1!)etauxtachesdeIiquides de toute nature.L'autre inconvénient 'N.4 est sa relative fragilité quiIa rend sensible t'. tg aux chocs.De parsa perméabilité,ilestdonc ..*>X déconseillédeI'utiliseren extérieuràcause du gel. Pourune utilisation en intérieur,11esttoutefois possible de lui appliquer uo traitement de s; produits spécifiques quiIa fendra beaucoup moinssensibleauxtaches elà l'encrassement en général,à condition de renouvelerrégulièrementcette opération,Parcontre la rusticité du produit,iesdiversesformes ettaillesdes carreaux commercialisés. les nombreuses couleursetnuancesdesflammages en font un outilde décoration offrantde très larges possibilités, surtout dal)s Ies styles campagnards, ..w v p.C . .. La terre cuite grésée 'y.. %4.. . .' . .h * El l eestaussiappel éedemi-grès.Satempéra- .. k''k. '' * g -' ' k '
ture de cuisson estde l' Ordrede1000*C.ce quine la vitrifie que partiellement.Pourcela, elle estessentiellementdestinée à un usage intérieur.Sa relative mauvaise résistance à I'abrasion Ia destine àdessolspeufréquentés Ou à un recouvrementmural, Toutefois,taillesdescarreaux,nombreusescouIeurs,impressiondemotifs.rendus brillants,satinés ouflammés luiconfèrentdes intérêlsdécoratifs rlon négligeables.
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La richesse de sesaspects,de ses formatset de saréslstance luipermedentde s'intégrerà tous Ies styles de décoration età toutes 1es surfaces.
Le grès étiré Obtenuparunefabficationdifférente(façonné parétirement)dugrèscérame,i lprésentedes qualitésde résislance légèrementinférieures à ce dernier.11fautsakfirque.de parsa fabrication,ilpeut préseoterdes tolérances di-
mentionnell esetdesformatsirrégul iers(pas Jérangeanten pose clans le style rustique, maisproblématique sil'on désire une pose et
desj oi ntsparf aitementali gnés).
La faibnce Elle estobtentle parune cuisson supérieure à 1000 OC suivie d'un émailIage.C'estl'émall.seul,quila rendimperméable,mais pasà cœ ur,De ce faitefte n'estpas adaptée à une pose en extérieurO(1l'humidité infiltrée feraitécsaterle cafreau en casde ges. L'émailétantrelativementtendre,ilrésiste m aIaux chocs,ne supporte parIes chargesjmpodantes etestsensible à l'usure parfrotlement. La faïence estdoncà poseressentiellementen revêtementmuralen cuisineouensalledebains.Uni,imprimé peint,enrelief,multicolore.brillant, satiné ou mat.i'nultitormat.le carreau en faïence estI'élémentquasiincontournable de décoren revêtementmural.
Le grès céram e Mélange d'arglle etde silice,ilestobtenu par une cuisson à environ 1300 OC quivitrifie Ie matériau.Ce malériau est réduiten poudre,
moul ésoushautepressi on( environ500kgau cm'')à la forme etauxdimensionssouhaitées puisrecuit.
C'estdesafabrication pafticulièrequ'iltireses très grancles qtlalités :résistance à l'usure résistance aux chocs etrésistance aux infiltrations d'eau etagents chim iques. Ce produitestdonc totltà faitdestiné à une utilisatiorlen extérieurcomme en intérieur en revêtementde sol.
11se déclinedans une Iarge gammede coloris mouchetés,unis.nuancés,avec reliet,ou décoré parimpression,et,dans de nombreuxformats.
On feliendra que,malgré sa moins bonne résistance à l'usure etaux agents chimiques,je grèscérameestunboncarrelageenextérieur commeenintérieurenposeausol.
Le grès ém aillé C'estun grèscérame ou étiré dontIa sudace a été recouvede d'une couche d'émailcuit 'jenv , iron1000LC parunetechniqueappelée mono-cuisson.L'émaillage reste une couche relativementfragile rendantcertesIecarreau imperméable,mals ne présentant pas une très grande résistance à l'usure.Sison emploiestpossibleenextéfieur,ilvaudraitmieux, quand méme privilégierson utifisationen revêtementm ural,d'autantplus que I'émaillage permetdedéclinerIe produitdansde multlples coloris etaspects.
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-- LeCARRELAGE
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La pâte de verre
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lmperméable ettrès résistante,else estdestinée tlun emploiaussibien en extérieurclu'en intérieur.Elle estcommercialisée en panneaux coastituésd'élémentsde petitesdimensions.Sa capacité à réaliserdes mosai'ques ou des frises estremarquable.
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carreaux.Utilisables aussibien en extérieurqu'en intérieur,i1s permettent de réaliserde superbes sols unis ou de m agnifiques compositions de
mosaïques.Mai s...l epri xes1proport ionnelàleurbeauté..!
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Les pierres naturelles
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si onsextérieures(c'estsurt outvraipourlesmarbresetIegrani t).Larési stanced'unepierreestfoncti ondesaqual ité (grainsplusoumoinsserrés)maisaussidesonépai sseur.Lorsde l ' achat,i lfaudravousfalrebi en conseillerparle spécialiste du magasin.
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I age.doi ventrépondre, kuncertainnombredecri ' tères:dureté(compressi on),usure(frottements),capi llari té(gei,tenueauxprodui tschi mi queset aci des,produi tsménagers,tachesetsali ssuresménagèresdi verses). Ainsi.pourune pierre de même nature,suivantsa région de provenance, elle peutprésenterdesdegrés trèsdifférents de résistance auxagres-
t oy .
11estimpodantde savoirque Ies pierres naturelles.toutcomme te carre-
Le m arbre
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Les ém aux de Briare Trèsprochesde Ia pàte de verre,ils sontim perméables ettrès durs.lls se présententégalementsous forme de panneauxconstituéspardespetits
C'estcertainementle revêtement Ie plus connu etI'un des plus nobles. Suivantsa provenance.ilprésente des degréslrèsdiflérentsde dureté et de porosité. Pierre calcaire.Ie marbre estsensible aux acides :cela peutfaire sourire...Ce ne sontpasdes produitsque I'ontrouve courammentchez Ie particulier,certes...Mais rares ne sontpas Ies régionstouchées parlespluies acides,d'où la nécessité de ne pas utiliserIe marbre en extérieur.
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C A R R E IA G E
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Deparsastructure(mêmepol ie)présentantdesporesminuscul es,l emarbre laisse assezfacilements'infiltrerles salissures etI'eau.C'estun matériaurelativementtendre. Essentiellementdestinéaux revêtementsde sols intérieurs,iltrouve égalementtoute sa placeen revêtementmural.Ondénombfe pltlsd'une cen-
tainedecol oris(etdequali tés)di fférents. Malgrésanoloriétéetsalargediffusion,ilresteunmatériaucher(cequiest beauestcher,c'estbienconnu..,!). Le marbre.suivarltsonveinage ousa couleur.peuts'harmoniserà tousIes styles.
L'ardoise Appelée aussischiste ardoisier,c'estune rocheargileuse imperméabie présentantune bonne résistance.Lescarreauxc)uladalle sontcommercialisés
avec surfacepoli eoustructurée(avecreli ef).Endall e,iltaudraaccepter unecerlaine tolérancedimentionnelle pourl'épaisseurde Ia pierre quisera compensée pafune épaisseurmoindre ouplusimportantede Ia colleou du mortier.
Elle convientpadaitementen extérieurcomme en intérieur,touten étanl conscientqu'else estsenslble auxrayures.
Le calcaire Pierredetailieparexcellence,i!sedéclineencolorisetengrainstrèsdivers. Résistantà I'usure,i!esttrèssensible au geIetauxagressions environne-
mental es(plui esaci des,mousses,Ii chens,etc.).h réserverà uneposeen intéri eurouàdessurfacescouvertes(terrasse.préau). Le grès Pierre sédimentaire présentantdesteintestrès diversesen fonction de sa
régi ondeprovenance:roseà.rouge.jauneougri s,àpresquenol r.
Les grès sontassez résistants aux intempéries età l'usure parfrottement malgré Ieurtexture sableuse. Legrèsseposeaussibienenintérleur(couloir,entrée,salleà.mangercam-
pagnarde)qu' enextéri eur(gareauxgli ssadesenpériodedege1..,!).
Lapierredegrèsestcommercialiséesoitendallessciéesparfaitementéquerréesetcaiibréesouendallesbrutespolygonalesdetaillestrèsdifférentes avec desépaisseurspouvantvarierde 0 à 10 mm entre elles.
Le granit C'estune roche magmatique trèsconnue Offrantune grande résistance aux iqternpéries. LateintelaplusconnuedugranilestIegrisclairàbleuâtredeBretagne.Mais ilseprésente aussisuivantsa provenance sousdesteintesde :vertfoncé.
rougeâtreàbruf ),rougefoncé (rougeroyal).jauneàterredeSi enne,bi anc à beige.
Commerci ali séendalesàsurfacepoll eoustructurée(I égerreli efdûaugrai n delapi erre),I egrani testgl i ssantpartempsdepi ui e.
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Lecarrelage se pose surune surface rigoureusementhorizontale etparfaitementplane,donc exempte detoutesaspérités etde touscreux. Fortde cela.le premiercontrôle à effectuerestl'horizontalité de Ia chape,de ladalleou du plancherengénéral.
Contrôle de I'horizontalité
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CeContrbleSe réalise 3VQC LIIIO rè@lode maçorl en aluminium posée de Chantet Surmontée d'un niveauà bbllie.Sile sOfprésenteUnepente etc'estlecaSde notre exem/le ilfaudra Supprimeretrattrapercette pente en comblant ie dévers en cotllantun produità base de cimentappeié ragréage.La technique proposéeci-aprèskrt-ls permettrade tracere1dtlnc de matérialiserexactementla hauteurà comblerpourarriverà I'horizontale.
Ibus!esprofessionnelsI'utilisentetyfontréférence.Cette Iigne horizon-
taleestàtracerà1m au-dessusduniveaudu((soIfini'(c' est-à-di re augmenté de l'épaisseurd'une chape éventuelle,du carrelage ou de tout
autrerevétementde solfutur).La méthodeIaplussimpl e estdeIatracer
avec un niveau à bulle surmontantune règle de m açon en alumjnium. S'ilfautdécaleretreporterplusieursfoisIa règle ce n'estpas la solution Ia plus précise,outre Ie faitqu'ilfautétre sûrque Ie niveau tlbulle est rçJgste '),etc'estloin d'être le cas de tous1es niveatlx...!
L'autremétlnodeproposéeestl'ulilisationduniveauàfiolesdemaçonbien plusprécisetquipermetdetracerdesrepéragesoudestraitsde nlveau précissurdegrandesIongueurssousréservequeletuyaurerianlles2fiofessoit assezIong,
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2*m éthode :m aniem ent du niveau à fioles Basée sur le principe des vases communiquants,son utilisation estsimple.ilfauttoulefoisètre à 2 personnes. SiIes fiolesviennentd'être achetées,reliez Ie
tuyautrarlsparenl(permetdevérifi erqu' i ln' ya pasdepochesd'airdansle tuyau unefoisrem-
p1id' eau)auxextrémi tésdesfioi esetrempl issez avecde l'eau.
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3,m éthode :Ie niveau Iaser Accessibie désormais au grand public,certains niveaux Iasersontdésormais à moinsde 30 rn. C'estl'outilidéalperm ettant de matérialiser des repèrespourréaliserdestracésprécis.Placésurun trépied à téte pfvotante avec système de calaged'horizontalité etd'aplomb,ilpermetparrotation sur360% de balayerles murs d'un fin rayon de couleurrouge.41 suffitdoncde superposerttcemarquageparrayon un traitde crayon,pourobtenirde loin en Ioin,autantde points de repères que désirés.
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Quelle quesoitla méthode utilisée pourtracerIa Iignehorizontasedes1 m, vous pourrez,à présent en mesurant dans les quatre angles de la pièce, à partir de cette ligne,calculerIa hauteur exacte du sol.
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Texte :M arcelGUEDJ LES TECHNIQUES DE BASE PréparerIe mortier Cimentou chaux:le cholx dt1liaîpt Quelsabke empioyer?
LESMAT/RIAUXDECONSTRUCNON La terre cuite t-es briques Les carrepages
Eeau Les bonnes proportions
Le Iieu de gâchage La technique de qâchage FabriquerIe béton Les composants :ju béton Le gâchage à la bétonlnière Le coffrage du béton Les coffrages Le coulage Le décoffrage Le bétonarmé Scellements au motlier Les sols en béton
(I émentsspéci aux
Les briquesde récupération Le béton t-es parparngs Hourdis.poutrelies etlinteaux La pierre Les pierrescalcaires t-e marbre L.e granit Le quaroite Le schlste arcloisier La Iave
Leszones surlesquelles porterson examel?
Quel quesconseil sausujetclescl alages
Di pérentsNpes(jesolsenbéton
Les blocs de béton cellulaire Le plâtre Les carreauxde plâtre Les plaquesde plâtre Les éléments modulaires Les plaquettes de parement
LES LIANTS :CIMENT,CHAUX Le ciment Informations utiles Utiiisations etproporttons ttprévoir La chaux Utilisatfons Normesetconclitionnement
LES GRANULATS :SABLE ETGRAVILLONS Le sable Humidité etfoisonnementdu sable Les gravillons
Coulerune dalle en béton Le hérisson Le coffrage Préparation du béton Ferraillage du béton Coutage de $a dalle
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Oécoffraoe Dresserune chape Lesmursenparpaings lmkllantation d'urle cloison intérleure Lesjoints La pose des briques creuses Poarcouperur)e brique
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Texte :AlainTHIéBAUT LECARREAU DEPLZTRE
35 35 35 35 36 36 36
La protection contre I'incendie L'isolation phonique L'isolation thermique La régulation hygrométrique La facilité etIa rapidité de m ise en œuvre Uaspectdes surfaces
LESPRINCIPAUXW PEM ETCARACTéRIW IQUES DES CARREAUX DE PLATRE
36
Le carreau standard
Le carreau hydrofugé Le carreau hautementhydrofugé Le carreau alvéolé Le carreau haute densité appelé aussitrès haute dureté
RH.D.)
Poutillage Matériaux etmatérielcomplémentaires La réalisation des différentstypes de liaisons La pose descarreaux Cas particulierde Ia mise en œ uvre d'une gaine technique vedicale Cas padiculierde Ia mise en œ uvre d'une cloison de grande hauteur La pose de conduits électriques en encastré Méthodes de fixation des charges Iégères à Iourdes
LA PLAQUE DEPIATRE
Les carreaux Iégers etisolants
DIMENSIONNEMENT DES CLOISONS ET RAIDISSEURS Poteaux raidisseurs
36 38 89 40
MISE EN G UVREDES CARREAUX DEPLXTRE
Caractéristiques de Ia plaque de plâtre La cloison en plaques de plâtre Divers types de cloisons etIeurs pedormances Mise en œuvre des plaques de plâtre surossature métallique
Bibliographie Doc.umentationstechni ques Caroplatre @ dePl atresLAMBERTetGuide Placopl atre@ ( GroupeBP2PIaco) , . SyndicatNationaldes Industries du Plâtre.
Pource chapitre,rem erciem ents Uécllteuretl'auteurremercienttoutparticulièrement: - L a sociélé PLACOPLATRE LAMBERT S.A.pourl'autorisation cie reproductionsCje données techniquesetde textes concernant1escarreaux de pltktre etIes plaques de plàtre ainsique Ieurs modes de mises erlœuyre, -
L' entreprise dePl âtreri e HUBERe!fil sdeNeuve-Egli sepouri eurpart ici pationàI aréal i sati ondesphot osdescl oi sonsencarr eauxde ptâtre. L'entreprise de Plâtrerie GONZALES de Sundhoffen pourIa réalisation des photos ciescloisons en plaques de plâtre La société SPIELMANN Matériaux de Cofmarpourleursprécieux conseils etIe prètde malérielsetde matériaux. Le magasin MR BRICOLAGE de Colmarpourle prêtde l'outillage.
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LE CARRELAGE Pourbien choisirson carrelage Le crassementUPEC iRéglementation surIes bruits Le classementPE$ Les divers types,caractéristiques etqualités de carrelage La terre cufte La terrecuite grésée La fai 'ence Le grès cérame t-egrès étiré L.eqrt)s émaillé La pâte de verre Les émauxcle Briare Les pierres naturelles Le marbre Uardoise L-eqranit Le clalcaire Le près
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LA POSE où débuterla pose La pose en diagonale La pose droite Com mentencollerune surface ? LeScoupes périphériques etIesfinitions Les outilscle coupe Tracerrapiciementelpréclsémentune coupe Exécuterune coupe à la carrelette Tracerune coupe en angle rentrafnt
88 89 90 93 94 94 94 95 95 96 98 99 100 103 103 104
Ajustementd' uncarreauàunel nuisseri eenboi s
Découpe d'unesurfacecourbe La barre de seuil L ejofntoi ement L.a pose desplinthes Carrelerun escalier UOS ClO11eS
I FOSEMLM LE
I FCSErLSûL
COMMENTETPAR00 COMMENCER?
PRELIMINAIRESETCONTRCLESAVANTLAPOSE Contrôle de I'horizontalité Traçage de la Iigne de 1 m ètre go..myjtjyotje 2r'métinocie 7maniementdu niveau àfioles :3 mèthocie :le niveaulaser
Préparation du ragréage Les principaux genres de pose des carreaux
83 83 83 83 84 85
105 111 114 115
Carrelerune fenêtre Carrelerune baignoire Les coupes particulières
116
Lejointoiement
Pource chapitre
Crédi tphotographique:photosSAER/Al ai oTVIéBAUT,
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V .
C onna-ltre Ies m ate'r' Iaux de construction, Ies proportions,Ies techniques de base, savolrcouler une dalle dresserun m uren parpalngs ou en briques,m onterune clolson et re'allser des Ilalsons en carreaux ou en plaques de pla -tre1 @OSOr Un Carrelage au SOIOu au m ur, SaVOIrOU Com m encer,executer IeS COUPOS,
taire Ie jo1nto1em entjetc* L'essentlelde ce que vous devez savolr pour exe'cutercorrectem entun traval 'lde m açonnerle, de clolsonnem entou de carrelage se trouve expllque slm plem ent,m als de m anlere preclse, dans cetouvrage. '' '-
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