…:: Géo-morphologie ::..
Morpho : forme logos : relief / / géo : terre Géomorphologie : quelque chose d’extrêmement vivant.
Introduction : Géomorphologie : s’inscrit dans la géographie comme un support de la présence • des hommes sur la terre, le support émergées et immergées. Correspond aux formes du relief et est à la base de toute la vie humaine. Fondement naturel de l’aménagement de territoire de la géographie.
I.
Qu’est ce ce qu que la la gé géomorphologie : 1. Une science science méconn méconnue ue et indispe indispensable nsable à l’aména l’aménageme gement nt du territoire.
C’est quelque chose de méconnue. Pendant très longtemps la géomorphologie est restée un sous produit de la géologie Confusion (jusqu’en 1950) Hors ce n’est pas du tout pareil, les géologues ce sont appropri é cette science. Géologie : étude des matériaux de l’écorce terrestre et de leur transformation (éruption volcanique, tremblement de terre.. etc.). S’intéresse aux phénomènes qui transforment ces rochers et à la datation de ces roches. La géomorphologie : la formation des reliefs terrestres est permanente, s’intéresse à l’évolution du relief terrestre. En constatant et en comprenant ce qui s’est usée et en essayant de prévoir ce qui va se passer (but de la géomorphologie).
L’aménagement du territoire fait que la géomorphologie est devenu une science reconnue et indispensable. C’est utile (aux hommes) humaniste. Géomorphologie : Conseiller pour d’autre branche de la géographie, en particulier l’aménagement du territoire. La climatologie et géomorphologie vont ensemble. 2. La géomo géomorph rpholo ologie gie struc structur turale ale.. C’est tout ce qui concerne la nature et la disposition de plusieurs éléments. C’est la nature et la disposition des terrains (de quoi il i l est fait et comment il agencé). Vision brut, vision primaire du relief. Physionomie de la roche Ce que c’est dans le globale : élément de patrimoine. Elle se lit dans le paysage de la manière nette.
3. La géomorphologie climatique : Des phénomènes direct ou indirect qui agissent vite ou non sont liés à des effets climatologiques. Climatologie # météorologie Prévisions du temps à très court termes Raisonne sur des statistiques La géomorphologie étudie les effets du climat sur la terre. La géomorphologie climatique se focalise sur du climat. Structure de détails du relief, agent (vent neige, froid/chaud…) en interaction, en succession. Durée des phénomènes très importants et répétitifs. La possibilité de valorisation par les hommes (aménagements territoriales) : Patrimoine.
Bibliographie : – R. Maury, J. Palettant, H. Rougier, Initiation à la géographie. (PARIS, éd. Ellipses, 1986) – J-L Chaput, Introduction à la géomorphologie (Paris, éd. Ellipse, 1999) – A. Frémont, Aimez vous la géographie (PARIS, 2005) – P. Georges, Dictionnaire de la géographie. – G. Watermax, Dictionnaire de géographie – Encyclopédie de la « pléiade », (vol. «Géographie Générale »)
I.
Notions élémentaires :
C’est une science qui étudie les formes de la surface terrestre. Tout ce qui apparait devant nos yeux. Crête Vallée
Versant
Interfluve Talweg
Vallée : Zone située entre deux crêtes. Crêtes : Ligne reliant les points les plus hauts. Talweg : Ligne reliant les points les plus bas. Versant : Ligne reliant la crête au talweg. Le versant est caractérisé par une pente s’exprimant à l’aide d’une valeur. On ne dit pas « pente » mais versant, qui s’exprime en valeur : Entre 0 ,1° et 3 ° on parle d’une pente Insensible De 3° à 10° on parle d’une pente faible De 10° à 27° on parle d’une pente moyenne De 27° à 40° On parle d’une pente forte De 40° à 89° On parle d’une pente très forte. Sommet : terme génériquement tout point culminant par rapport à ce qui est autour. Le pic : pointe en forme qui a une configuration généralement conique. Aiguille : Section effilée dans la crête qui s’inscrive de manière beaucoup plus vigourezurse par rapport au îc proprement dit (parfois dit flambeau).
Les différents sommets : Sommet : Cela désigne tout point culminant. Il en existe deux grandes sortes : – Le pic : Sommet de forme conique – Aiguille : Section effilée qui s’inscrit de manière plus saillante que le pic. On peut également employer les termes de dent et de flambeau. Il ne faut pas confondre les termes, par exemple la colline de Fourvière et de la Croix rousse ne sont pas des collines. Mont du Lyonnais : basse montagne qui a la forme de colline (dénivèlement pas trop forte). C’est une Montagne car la végétation change.
PARTIE I : LES RELIEFS DANS LES STRUCTURE SEDIMENTAIRES Qu’es ce qu’une structure ? Matière et disposition Organisation des roches dans l’écorce terrestre. On distingue d’abord les structures massives dans les plutonites notamment, et les structures sédimentaires dans lesquelles la disposition des couches ou strates permet d’étudier leurs déformations. Les déformations de l’écores terrestre sont classées en deux types : – Les déformations souples, dans les roches sédimentaires uniquement, donnant les structures plissées ou structures de plissement. – Les déformations brisantes dans toutes les roches, donnant les structures faillées. L’association de ces deux types de structures, dans une même espace, permet de définir espace, permet de définir un style structural (ex : style alpin, carpatique, etc.). •
Qu’est ce qu’un bassin sédimentaire ? Dépôt de matériaux allogènes qui subissent une modification Aire de sédimentation marine subsidente, généralement peu à l’intérieur d’un craton. Les sédiments s’y entassent en couches peu épaisses qui peuvent dessiner des auréoles de la périphérie vers le centre (sédimentation régressive). Les dépôts sont très variés et correspondent souvent à un cycle sédimentaire. •
WIKIPEDIA : Un bassin sédimentaire est une dépression de la croûte terrestre située sur un
continent, un plateau continental, ou dans un océan, formée par subsidence ou tectonique et qui recueille d'importantes quantités de matériaux sédimentaires qui, par des phénomènes de diagenèse, se transforment en roches sédimentaires. Des accumulations de charbon se déposent parfois sur les bassins sédimentaires. Les couches de roches les plus profondes sont les plus anciennes. Si le bassin sédimentaire est immergé ou non, le type de roche formé sera totalement différent. Sur les bords du bassin, les couches de roche peuvent être inclinées à la suite d'une subsidence ou de mouvements tectoniques et forment un relief en cuestas. En revanche, au centre du bassin, les couches sont horizontales et donnent un relief de plateaux plus ou moins entaillés par les vallées fluviales. Ils sont classés en différents groupes : bassins cratoniques, bassins de type rift, bassin de marge passive, grands bassins océaniques, bassin demarge active, bassin de ceinture plissée. Les bassins sont régis par des facteurs internes et externes : la tectonique, la subsidence, les degrés d'insolation, la circulation atmosphérique et la circulation océanique entre autres.
A l’échelle de la planète, on a une succession de creux et de bosses, qui n’a aucune uniformité. La croute terrestre est faite d’aire émergées et immergées. Les premières sont en altitude au dessus du niveau de mer, et l’autre en dessous. Dans cette topographie variée se produit depuis des millions d’année, un « cycle de l’érosion », qui se fait en 3 parties : – 1 : (E) Erosion : processus de dégradation et de transformation du relief , et donc des roches, qui est causé par tout agent externe (donc autre que la tectonique). Un relief dont le modelé s'explique principalement par l'érosion est dit « relief d'érosion ». Les facteurs d'érosion sont : le climat ➢ la pente ; ➢ ➢ la physique (dureté) et la chimie (solubilité par ex.) de la roche ➢ l'absence ou non de couverture végétale et la nature des végétaux ➢ l'histoire tectonique (fracturation par exemple) l'action de l'homme (pratiques agricoles, urbanisation). ➢
L'érosion agit à différents rythmes et peut, sur plusieurs dizaines de millions d'années, araser des montagnes, creuser des vallées, faire reculer des falaises.
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2 : (D) Transport : 3 : (A) Accumulation :
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Système générale de l’érosion : Erosion (1) (2) Transport ABLATION (3) Accumulation
Il y a un déplacement des accumulations entrainées par les éléments (vents, ... etc.) qui les font déplacé dans le fond. Il y a un alourdissement au niveau des fonds des océans et un allégement de la terre (qui a fait l’objet d’ablation. Ce qui est allégé va monter, c’est l’isostasie Ce qui est alourdi va s’enfoncer. C’est la subsidence. Tout va dépendre des sédiments qui viendront s’y déposer. Tout va dépendre Xxxx Tout …XXxx On verra alors se déposer des roche différente qui viendront se déposer les unes sur les autres, donc on va avoir une accumulation d’éléments sous forme de couches. On a des phases calmes et des phases agitées (tremblement de terre) car tout bouge. Il y a là formation d’un gigantisme ?galiot? durant des centaines d’années La bassine s est une gigantisme… en creux où se déposent de multiple couches… dans laquelle vont se former …..XX Va alors se former une morphologie structurale.
I.
Les reliefs en structures concordante inclinée
L’empilement des couches présente une grande variété de valeur (voir roches sédimentaire). Calcaire Argiles Calcaire marneux Marnes Calcaire récifale Grès Erosion sélective :
_RD_ = _3_ RT 1
__RD__= _1_ RT 3
A. Les reliefs de côtes (cuestas) Relief de cuestas, un relief en structure concordante, qui correspond à une forte érosion dans les couches tendres, et à fait l’objet d’une mise en série des couches dures. Le résultat est la succession de gigantesque marches d’escalier, de zone semi-tale en forme de plateau que l’on appelle revers, de talus plus ou moins raides (que l‘on appelle front) et de dépression qui reçoivent un certains qualificatifs : XXX Pendage : inclinaison sédimentaire à l’intérieur du sol. Avec un pendage faible : Le profil de la cuesta varie peu. Xxx
Olistolithe : grumeaux. Problème hydrographique. L’écoulement de l’eau correspond à son cheminement L’écoulement parallèle au front orthogonal au pendage subséquent La rivière transperçant le relief, elle modifie le pendage des côtes La rivière traversée Cuesta Rivière conséquente Il y a alors une rivière qui nait : une rivière penne conséquente qui ne traverse pas l’ensemble. Subséquent : lorsque la rivière traverse l’ensemble. Pressente : Lorsque l’a rivière nait en
L’on peut passer de l’hydrologie à la géomorphologie à l’étude de la topographie et vice et versa. On a alors tout la démonstration de la logique d’e l’interface entre el nature et l’home.
Festement tracé des cotes comme ci-dessus Excluent pratiquement les lignes droites. B. Les reliefs liés aux failles :
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Failles et Fractures : Il faut dissocier la faille de la fracture : Fracture : rassure qui n’entraine pas autre Faille : fracture qui entraine une Ill y a alors un versant qui nait, au regard de la faille, mais aussi une dénivellation des blocs, que l’on appelle le rejet.
FEUILLE ANNEXE
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Escarpement des Failles p. 172 – 158 :
Escarpement : versant rocheux à très forte pente (généralement supérieur à 45°). Dans ce cas
Etape A : Nous sommes dans la logique des bassins sédimentaires. Nous retrouvons le système terrestre des cotes, avec un escarpement de la faille originale. Etape B : On voit au niveau de B la poursuite de l’érosion des terrains sédimentaires. Par rapport à a nous avons ici une période longue, il y a une stagnation. Il n’y a pas de prise d’isostasie (stabilité de la couche terrestre, grâce à la viscosité. Il y a alors un escarpement de faille érodé. Etape C : L’escarpement radical regarde de l’autre coté. Les roches se trouvent dan le compartiment les plus dures. Il y a une mise en relief des roches dures, elles s’enfoncent. Escarpement de la ligne de faillez inversé. Mise en relief due à l’érosion, qui va déterminer l’évolution. Etape D : vient alors un nivèlement, on ne distingue plus dans l’espace, le compartiment inférieur du compartiment supérieur. C’est la Pénéplanation. (Il se peut que 2 roches soient cote à cote). Etape E : L’érosion poursuit son W. un coté en relief, l’autre en bas. Il se peut que dans la même couche, il y ait des irrégularités et une variation de consistance : irrégularité au moment de la sédimentation. L’escarpement a le regard tourné dans le même sens que l’original. Cet escarpement lié à l ligne de failles, est appelé escarpement de la ligne de faille conforme. Etude de la carte de Structures plissées :
Ce voit alors différente couches, elles sont différenciables par l’ancienneté des couches.
I.
Les reliefs en structures plissées.
A. La notion de plissement : •
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Orogénèse : oros > la montagne Il y a « surrection » des reliefs qui provoque des boursoufflements de l’écorce terrestre (bosses et creux) Tectogénèse : tecto > agencement Mise en place des structures issues de la déformation des orogénèses : travail de fignolage. Les plis (p. 331) : Ondulation d’une couche d’ampleur et de formes variables. Lorsque les couches les plus anciennes se trouvent au milieu du pli, on a affaire à un pli anticlinal. S’il s’agit des couches les plus récentes, c’est le pli est syndical. Le plan axial d’un pli est le plan de symétrie qui le divise en 2 parties égales. La charnière est l’intersection du pli avec le plan axial, si elle se trouve au point le plus élevé du pli elle forme sa crête, mais charnière et crête ne coïncident pas toujours. L’axe du pli est la ligne d’intersection du plan axial avec le plan horizontal. Les flans sont les parties qui plongent de part et d’autre du plan axial. L’altitude de l’axe peut varier le long du pli : il peut s’abaisser ou se relever, le pli se termine dans la direction de son axe par une terminaison qui correspond soit à la retombée de l’anticlinal soit au relèvement de l’axe synclinal. Les styles de pli : Droit coffré déjeté en genou Déversée renversé couché
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Il peut y avoir une série de plis organisation superposé des plis, on aura alors de nouveau styles : Style congruent : Style Ejectif : anticlinaux pincés et synclinaux larges Sqtyle déjectif : synclinaux pincés et anticlinaux larges Style isoclinal Style en éventail
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La disharmonie :
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Dissection morphologique :
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A. Les reliefs conformes : •
Cela concerne l’orientation du regard et l’escarpement : C’est le rapport entre les plis par le biais de la dissection différentielle. L’évolution de morphogénétique, va rester fidèle à la disposition d’origine des plis, inversion de … Ex de reliefs conformes : Coupe du Jura - Le massif Jurassien. Les anticlinaux et les synclinaux ne changent pas (il n’y a aucune modification). L’érosion s’attaque directement au démentiellement de la montagne. Les couches supérieures vont être les premières attaquées par l’érosion (décapage).
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Rappel : Synclinal : disposition structural en charnière à partir de laquelle des pendages (Pente d’une strate/couche d’un plan de faille) convergent. Anticlinal : disposition structural en charnière à partir de laquelle des pendages divergent.
A. Reliefs inversés :
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Reliefs Préalpes soit inversés : la structure des couches est identique à la structure précédentes (couches calcaire, argileuse… etc.), mais la mis en place c’est fait différemment : La Tectogénèse, a été ici beaucoup plus vigoureuse. C’est un style soit éjectif, soit émaillé. Le synclinal (creux entre les 2 versants d’un même plateau /---ici---\) est alors en hauteur, dit perché (familièrement appelé « fond de bateau »). On a ici un volet de synclinal perché. Sur des distances linéaires assez conséquente, les couches peuvent être différents (taux de minerais différents) cela induit des Tectogénèse différents. Il est à noter qu’il existe plusieurs types de synclinaux perchés : -
L’on peut expliquer la formation des synclinaux et déterminer les strates, avec les coupes stratigraphiques. On a ainsi le facies des différentes couches (elle renseigne sur le visage de la couche). Il est intéressant d’étudier les coupes géologiques : Synclinal
____ Maurice Gidon ____________________ Il ne faut pas confondre le pli-faille, pli faillé, et le faille-pli : Pli-faille, se fait lorsque la cassure se produit la mise en place. Pli-faillé, se fait après la mise en place, lorsqu’il provient une faille en plus. Faille-pli, la faille a déformé la couche et a ensuite produit un pli
Conclusion Générale de la Partie I : Les structures sédimentaires se prêtent la géomorphologie-structurelle parce qu’elles permettent d’étudier dans des progressions qui vont ensembles, des reliefs ilpole avec des variations et des complications, qui ne manquent pas. Ce qui est essentiels dans ces reliefs, c’est la compréhension des styles des plis, la XXX, des failles, et la maitrises de tout ce qui se rattache avec dissection différentielles ; que l’on appelle l’érosion. On a alors une lecture extrêmement facile et nette de l’interprétation du la géomorphologie. XXXXX. Les fronts de glissement peuvent parfois se superposer, les jeunes peuvent prendre le dessus sur les anciens. L’on trouve ainsi des klippes, ou erratiques structuraux, soit de bloc (morceau) allogène sur XXXXXX. XXX.