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RECHERCHE SUR LA DELOCALISATION
PLAN Introduction I. Définir les délocalisations et secteurs touchés II. facteurs des délocalisations délocalisations III. Les effets des délocalisations IV. Cas du Maroc Conclusion
Introduction Au cours des deux dernières décennies, la réduction des barrières au commerce et à l’investissement, conjuguée aux progrès technologiques dans les domaines du transport et des communications, a favorisé la mondialisation
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des processus de production ce qui illustre bien la tendance en hausse de la délocalisation à l’échelle mondiale, surtout des pays industrialisés vers des pays émergents. Ce phénomène est motivé par plusieurs facteurs, et présente aujourd’hui une grande importance en raison de son impact sur l’emploi, la productivité et les revenus. Ces débats autour les délocalisations ont soulevé de nombreuses questions : Comment définir les délocalisations ? Quels sont les secteurs touchés ? Quelle est la nature des emplois concernés par les délocalisations en termes de qualifications ? Quels sont les principaux facteurs et effets des délocalisations ? Le Maroc a-t-il joué ses chances avec les délocalisations ? I. Définir les délocalisations et secteurs touchés
Deux formes de délocalisations sont détaillées ici : les délocalisations au sens strict et les délocalisations au sens large. Distinguer ces deux types de délocalisations s’avère nécessaire puisque l’utilisation sans distinction de ce terme peut prêter à confusion. Au sens stricte :
Selon l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), une délocalisation au sens strict répond nécessairement à trois critères : > Fermeture totale ou partielle des unités de production de l’entreprise dans dans le pays déclarant avec réduction des effectifs. > Ouverture à l’étranger de filiales (ou d’unités de production) qui produisent les mêmes biens et services. Cette production pourrait également être réalisée par des filiales existantes. > Dans le pays déclarant, l’entreprise qui a délocalisé sa production importe des biens et services en provenance de ses propres filiales à l’étranger, qui auparavant étaient consommés à l’intérieur de ce pays, tandis que les exportations pourraient diminuer du fait qu’elles seraient partiellement ou totalement effectuées à partir de l’étranger et seraient destinées aux mêmes marchés que les exportations du pays déclarant.
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Les trois conditions précédentes doivent être réunies afin que soit constatée une délocalisation au sens strict. De plus, ce type de délocalisation concerne exclusivement les firmes multinationales dans la mesure où sont impliqués des investissements directs. Les firmes multinationales impliquées dans cette catégorie de délocalisations peuvent être soit des sociétés mères contrôlées en principe par les résidents du pays déclarant, soit des filiales sous contrôle étranger. Au sens large :
En résumé, on peut dire que ce type de délocalisation «correspond au recours à la sous-traitance internationale sans investissement direct ». Elle peut aussi bien être pratiquée par des firmes multinationales que par des PME et consiste à l’utilisation par une entreprise de la capacité productive d’une entreprise étrangère tierce afin de diminuer ses coûts de production. Selon l’OCDE, quatre critères sont généralement liés à ce type de délocalisation : > Arrêt partiel ou total d’une activité de production de biens ou de services dans le pays déclarant avec une réduction des effectifs. > La même activité arrêtée partiellement ou totalement sera sous-traitée de manière régulière auprès d’une autre entreprise non affiliée ou d’une autre institution à l’étranger. > L’entreprise qui a donné l’ordre et sous-traite à l’étranger des biens ou des services importe ensuite ces biens et ces services qui auparavant étaient produits au sein de cette entreprise pour satisfaire la demande intérieure du pays déclarant. >Dans le cas de la sous-traitance à l’étranger, il est possible qu’une firme délocalise certaines de ses activités à travers un processus d’externalisation sur le marché intérieur. La firme domestique qui a reçu l’ordre de sous-traiter les activités peut ensuite les sous-traiter à l’étranger et importer elle-même les biens et services sous-traités pour les livrer ensuite à la première firme qui lui a donné l’ordre. Dans de nombreux pays, les délocalisations pendant une longue période ne
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concernaient que les secteurs traditionnels de l’industrie manufacturière dont la partie de la production la plus intensive en main-d’œuvre peu qualifiée était transférée vers les pays à plus bas coûts. Aujourd’hui les délocalisations ne se limitent plus à l’industrie manufacturière, mais elles concernent aussi de plus en plus les services eux-mêmes. Le développement rapide des technologies de l’information permet désormais d’importer différentes catégories de services, et notamment des services destinés aux entreprises, centres d’appel et activités de services «offshore ».
Ainsi on peut voir que les postes de travail touchés par les délocalisations ne concernent plus les emplois peu qualifiés seulement, mais aussi les emplois plus qualifiés, ce qui veut dire qu’aucune des catégories de qualifications n’a été épargnée. II. facteurs des délocalisations 1. « L’avantage géographique »
Les stratégies de délocalisation des entreprises, et plus spécifiquement des groupes pratiquant une activité internationale, intègrent cet élément géographique afin d’optimiser leur gestion : ainsi, là où « l’avantage géographique » existe, il conditionne la répartition internationale de chaque activité (conception, financement, production, commercialisation) de manière à exploiter au mieux les spécificités productives de chaque lieu d’accueil.
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La décision d’une entreprise de délocaliser tout ou partie de sa production obéit autant à une logique d’offre — qui renvoie, d’une part, à l’étude de la structure des coûts de production et, d’autre part, aux conditions de rentabilité de l’investissement — qu’à une logique de demande tenant à la nature de la production ainsi qu’à la taille et à la structure des marchés. 2. Délocalisation et offre
Dans une logique d’offre, le choix de délocaliser résulte, le plus souvent, d’une comparaison des prix relatifs des facteurs de production dont l’entreprise cherche à tirer avantage, qu’il s’agisse du coût des matières premières (une entreprise peut avoir intérêt à délocaliser sa production le plus près possible de sa source d’approvisionnement en matières premières, notamment si le coût du transport est tel qu’il grève de façon substantielle le coût de production et donc, in fine, le prix de vente payé par le consommateur), du coût du capital (meilleure ( meilleure rémunération de l’investissement, existence d’avantages fiscaux divers) ou du coût de la main-d’œuvre. Ce dernier point est le plus fréquemment avancé pour contester le mouvement de délocalisation, car il met en exergue les contradictions existant entre la stratégie mondiale des firmes et la territorialité qui conditionne la conduite d’une politique économique d’un État. La faiblesse du coût du travail explique en effet en partie le choix d’une délocalisation, mais elle ne peut s’envisager indépendamment d’autres éléments. Le poids de la réglementation sociale, le le montant des prélèvements obligatoires entrent également en ligne de compte. En outre, le rapport salarial ne s’envisage pas exclusivement à l’aune de son coût : l’examen de la productivité du travail, le niveau de formation et de qualification de la main-d’œuvre sont tout aussi importants. 3. Délocalisation et demande
Dans une logique de demande, les délocalisations peuvent obéir à des motifs variés, tenant à l’avantage que procure une présence sur tel ou tel marché (c’est alors un moyen de se positionner dans la compétition internationale qui oppose les entreprises entre elles) ou relevant de la nécessité, puisque certaines activités exigent, en effet, une étroite proximité entre lieu de
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production et lieu de commercialisation ; c’est le cas notamment du secteur du bâtiment et des travaux publics ou encore de l’automobile, activités où les coûts de transport élevés incitent à la délocalisation. 4. L’incitation à la délocalisation
Le choix d’une implantation à l’étranger peut, à l’inverse, s’analyser non comme une obligation, mais comme une « invitation ». Il en est ainsi des États qui, désireux de constituer sur leur sol des gisements d’activités, aménagent des zones franches où subventions à l’implantation, qualité des infrastructures et fiscalité réduite ont un effet attractif incontestable. Ces comportements ne sont pas seulement le fait de pays émergents, mais sont également pratiqués dans de nombreux pays industrialisés. La figure 3et la figure 4 donne une illustration des principales motivations des entreprises pour délocaliser : Selon une enquête du cabinet A.T.Keamy (2003) ( 2003) sur des grandes entreprises
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III. Les effets des délocalisations délocalisations
Les études récentes sur les délocalistions montre qu’il s’agisse de bien ou service, c’est la structure de l’économie qui y détermine les bénéfices de la délocalisation des activités. Certes dans tout les cas à court terme, il y a des risques de perte d’emplois, mais les l es bénéfices tirés des délocalisations pourraient être à l’origine à la création de nouveaux emplois. La différence principale entre les effets des délocalisations sur l’emploi à court et à moyen terme est que les effets à court terme sont majoritairement directs et négatifs, tandis que les effets à moyen terme sont indirects et majoritairement positifs. Les bénéfices des délocalisations n’apparaissent pas immédiatement et ne concerne pas directement les personnes dont l’emploi a été affecté. En conséquence la plupart des effets positifs sont perçus sans aucun lien l ien avec les délocalisations et seuls les aspects négatifs y sont directement associés. La complexité du phénomène, et la difficulté d’identifier de manière autre qu’approximative l’ampleur des délocalisations constituent sans doute d’importants obstacles pour quantifier les bénéfices et établir des relations de cause à effet. Brièvement, on peut présenter les principaux effets comme suit : 1 Effets positifs : Accroissement des revenus des consommateurs
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L’importation de biens et services délocalisés à un prix inférieur à celui qui serrait appliqué si les mêmes biens et services étaient produits à l’intérieur du pays déclarant accroît les revenus des consommateurs de ce pays. L’accroissement du revenu fera croître la consommation et éventuellement l’épargne. Amélioration de la compétitivité et la productivité des entreprises
L’amélioration de la compétitivité des entreprises se traduit d’abords par l’amélioration de compétitivité prix. Si les variations du taux de change ne font pas réduire les coûts des biens et services importés, l’entreprise peut soit augmenter se marges sans baisse significative des prix, soit répercuter totalement la baisse des prix à l’importation sur les ventes et accroître ses parts de marché et indirectement ses bénéfices. Un autre effet important sur les entreprises est l’amélioration de la productivité des entreprises, ce qui favorise l’investissement dans des technologies nouvelles, et indirectement la création d’emplois plus qualifiés. Accroissement des exportations
L’accroissement des revenus des pays de délocalisation qui s’intègrent davantage à l’économie mondiale crée une demande supplémentaire qui pourrait être satisfaite par de nouvelles exportations de la part des des pays qui sont à l’origine des délocalisations. Maîtrise de l’inflation
La réduction des coûts est une des principales justifications des délocalisations. Cette réduction va contribuer à une meilleure maîtrise de l’inflation et une modération de l’évolution des prix à la consommation. Cela favorisera une politique monétaire souple et le maintien du taux d’intérêt réel assez bas. De manière indirecte, le faible niveau du taux d’intérêt va stimuler l’investissement et par la suite la création d’emplois. Meilleure rémunération du capital
Dans les pays de délocalisation, la masse salariale est relativement faible par rapport à l’excédent brut d’exploitation. En d’autre terme, il y a un rendement
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plus élevé des investissements. Ainsi les dividendes et les bénéfices rapatriés, dont l’ampleur dépend également de la stratégie des entreprises, impliquent une meilleure rémunération des détenteurs des capitaux. A partir de ces résultats, il est toutefois très difficile à prédire l’impact probable sur l’emploi. 2 effets négatifs : Baisse des salaires réels de certaines catégories
En fonction de la nature des délocalisations, l’importation de biens et services à des prix inférieurs aura comme conséquence la baisse des salaires des travailleurs qui produisaient ces biens et services. Dans une première phase où les délocalisations concernaient majoritairement des biens et services de faible valeur ajoutée, c’était la main-d’œuvre faiblement qualifiée qui était concernée. Les salaires relatifs réels de ces travailleurs ont fortement baissé et leur chômage a augmenté. Il est probable que ce phénomène a incité certains pays à instaurer des salaires minima. En revanche l’augmentation de la main-d’œuvre qualifiée est meilleur marché à l’étranger et les délocalisations concernant des biens et services nécessitant une telle main-d’œuvre, a également pour conséquence la baisse des salaires réels des travailleurs qualifiés dans les pays qui délocalisent. Détérioration des termes de l’échange
La délocalisation des activités est en général avantageuse pour un pays dans la mesure où elle fait baisser davantage le prix des biens et services importés. Toutefois, cela pourrait détériorer les termes de l’échange de ce pays, d’autant plus que les biens et services exportés sont d’une gamme similaire. La principale cause sera le gonflement de l’offre mondiale à de bas prix des biens et services qui normalement sont exportés par le pays en question. Possible affaiblissement de la capacité d’innovatrice
Ce cas s’applique essentiellement dans le cas de délocalisation de laboratoires de recherche-développement. Ces délocalisations ont lieu le plus souvent dans le cadre de restructurations de groupes, ou à la suite d’une fusion, et concerne le plus souvent les entreprises sous contrôle étranger. La mesure de cet effet
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dépend de la nature de la recherche effectuée par les laboratoires. Perte de recettes fiscales
Des pertes de recettes fiscales peuvent avoir lieu en cas de délocalisation des sociétés mères ou des quartiers généraux des multinationales, dans la mesure où une grande partie des bénéfices des groupes concernés sera transférée et taxée dans d’autres pays. Effets régionaux
Les conséquences de la délocalisation pour une région particulière peuvent être grave, notamment lorsque le chômage de cette région est élevé et l’entreprise délocalisée constituait le principal centre de l’activité économique de la région. Dégradations environnementales
La délocalisation des activités industrielles polluantes vers les pays en voie de développement à une double conséquence. D’abord elle permet le développement, dans les pays occidentaux, d’activités à haute valeur ajoutée, dans le secteur tertiaire notamment, nécessitant un environnement de qualité. Elle laisse ainsi la place au développement d’activités nécessitant de la maind’œuvre plus qualifiée. Par ailleurs, la délocalisation de certaines activités revient à une exportation des pollutions vers des pays où les acteurs y sont sans doute moins sensibles (le niveau de richesse étant un des déterminants dont ont perçoit les dégradations environnementales). IV. Cas du Maroc
Les délocalisations au Maroc progressent depuis quelques années du fait que le royaume offre plusieurs avantages aux multinationales, notamment en terme de coûts et d’infrastructures. C’est ainsi que plusieurs centres d’appels européens ont été délocalisés au Maroc, en plus des activités de l’offshoring et d’autres secteurs. Offshoring : le Maroc en quête de valeur ajoutée
Grâce à la stratégie développée dans le cadre du plan Emergence, le Maroc
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est maintenant positionné sur le marché mondial et ultra concurrentiel de l’offshoring. La quête de valeur ajoutée passe désormais par un développement de la qualité et des ressources humaines. Plusieurs critères entrent en ligne de compte dans le choix des destinations. Les coûts de personnel d’une part, mais aussi un package global qui inclut la proximité géographique des marchés émetteurs, les ressources humaines et les compétences linguistiques. Les atouts du Maroc dans ce domaine ont fait de l’offshoring un des huit moteurs de croissance du Plan pour l’Emergence Industrielle qui devront générer 70 % de la croissance industrielle d’ici 2015.
Les centres d’appels
Les activités des centres d’appels délocalisés au Maroc ont le vent en poupe! Depuis 2000, le Maroc a bénéficié, dans ce secteur, d’une forte vague de délocalisations. Plus d’une cinquante de centres d’appels spécialisés dans le marketing, les services de relations clients, cli ents, ont été créées. Le secteur Avec une croissance de 13 % en 2009 sur un marché concurrentiel, l’activité de la relation client se porte bien.
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Aujourd’hui le secteur emploie 27.000 personnes d’après l’Association Marocaine de la Relation Client (AMRC). Principal vecteur de pérennité : la qualité, portée par les ressources humaines. Aussi la proximité géographique et culturelle; la main-d’œuvre jeune, qualifiée, disponible a faible coût ; le modèle social souple qui permet une flexibilité au niveau des horaires de travail; et la qualité des infrastructures de télécommunications. L’aéronautique : un pôle en développement
«Depuis quelques années, de grandes entreprises du secteur aéronautique, comme EADS ou SNECMA, ont réussi à constituer un pôle aéronautique au Maroc. Ces entreprises, qui ont délocalisé leurs l eurs activités de maintenance de moteur ou de première monte, ont une visibilité. Leurs investissements conséquents témoignent de leur satisfaction et de leur détermination à se développer davantage au Maroc. Ces entreprises ont choisi le Maroc plutôt que les PECO (Pays d’Europe centrale et oriental), pour la proximité géographique et culturelle. Aussi, parce que la main-d’oeuvre est moins chère », explique Bertrand Vincent, Responsable Industrie et Services aux entreprises auprès de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Meaux.
Conclusion Il faut avoué que le phénomène des des délocalisations est très complexe dans sa définition, et son processus est en expansion et semble gagner potentiellement tous les secteurs, et tous les catégories d’emploi en terme de qualification, d’où la nécessité de mieux mesurer les effets des délocalisations sur l’emploi et sur l’activité économique sans oublier son impact sur l’environnement, afin
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de mieux orienter l’action politique, poli tique, tenant compte que les délocalisations ne sont qu'une partie visible d'un phénomène beaucoup plus profond, soit la mondialisation économique.
Bibliographie Ouvrages : AGOSTIME (Serge) et MONTOUSSE (Marc), « l’indispensable en économie et histoire des sociétés contemporaines :2eme année », Édition. BREAL 2004 SERFATI (Claude), « Mondialisation et déséquilibres déséquilibres nord-sud », Édition. P.I.E PETERLANG PETERLANG 2006 « Les délocalisations et l’emploi », Édition. OCDE 2007
Revues et Magazine : Anne-Sophie Colly, « Offshoring : le Maroc en quête de valeur ajoutée », Conjoncture, N° 921 – Décembre 2010 Calista Cheung et James Rossiter, Rossiter, «REVUE DE LA BANQUE DU CANADA », AUTOMNE 2008 Samuel Vallée et Corinne Langevin et et Antoine Flandrin, « délocalisations », Conjoncture, Conjoncture, N° 856 Janvier 2005 Encyclopédie Encarta 2008
Rapports et actes de colloques : OMC « Rapport sur le commerce mondial 2008 »
Sites web : Philippe Hurteau, « Mondialisation et délocalisations d’emplois », Avril 2009, www.irisrecherche.qc.ca Michel Lasserre, « Délocalisations : du secteur industriel à celui de la recherche et développement », Mars 2006, http://www.mlasserre.com/textes/ http://www.mlasserre.com/textes/
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delocalisationsrecherche.htm Jean-Marc Siroën, «Mondialisation, délocalisations et développement», Mars 2005, http:// www.dauphine.fr/siroen/hem.pdf Roger Schindelholz, «Délocalisations : chance ou menace ? », http://www.jeco.ch/ftp/ dossiers/1104402816EclairageDelocalisations.pdf
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