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FEDERATION EUROPEENNE DES ECOLES EUROPEAN FEDERATION OF SCHOOLS Organisation non gouvernementale dotée du statut participatif auprès du Conseil de l’Europe NGO enjoying participatory status with the Council of Europe

UE D - TECHNIQUES PROFESSIONNELLES

Master Européen d’Informatique UC D41.2 - Développement

Corrigé

Type d’épreuve : QCM et Exercice pratique Durée : 3 heures Session : Juin 2012

© Fédération Européenne Des Ecoles - European Federation of Schools - Juin 2012 UC D41.2 Développement - Corrigé

1/ QCM : 45 minutes

Partie 1 : Langages & Développement

1. Pour transformer un code lisible en code compréhensible par la machine, on utilise un : a. b. c. d.

compilateur éditeur de lien assembleur débogueur

2. Java est un langage : a. b. c. d.

compilé interprété compilé et interprété ni compilé no interprété

3. Pour avoir un commentaire sur une ligne d’un code Java, on place en début de ligne : a. b. c. d.

/**/ // # %

4. Dans le langage java, lequel de ces identificateurs est incorrect ? a. b. c. d.

CpChar nb_premier loop$ 5_line

5. Quelle proposition n’a pas sa place parmi ces choix en langage Java§ ? a. b. c. d.

instanceof while select new

6. En langage Java, pour déclarer une variable de type booléen de valeur « Vrai » on écrit : a. b. c. d.

boolean bool = new bolean(true) ; enum boolean = {true, false} ; boolean bool = true ; int bool = 1 ; boolean bool = true;

7. Laquelle de ces affirmations est correcte ? a. b. c. d.

une classe doit implémenter plusieurs classes mais ne peut étendre qu’une seule interface une classe peut implémenter plusieurs interfaces mais n’étend qu’une seule classe une classe doit implémenter une seule interface et étendre plusieurs autres classes une classe peut implémenter une seule classe et étendre plusieurs autres classes


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8. Quel mot est réservé dans Java ? a. b. c. d.

struct union template static

9. Quel mot clé utilise-t-on dans la déclaration d’une méthode pour l’empêcher d’être redéfinie ? a. b. c. d.

finally const private final

10. De quel type primitif est le littéral 2.25 en Java ? a. b. c. d.

short double long int

11. Dans Java la déclaration d’une variable locale se fait dans : a. b. c. d.

une classe une méthode un objet une interface

12. Une évolution de la notion de module, permettant de réunir au sein d’un classifieur la structure et le comportement d’un type donnée, serait : a. b. c. d.

héritage interface polymorphisme encapsulation

13. Le mot réservé « native » utilisé dans une déclaration d’une méthode en java permet de : a. b. c. d.

spécifier que le corps de la méthode se trouve dans un autre fichier java indiquer que l’accès à la méthode n’est permis qu’à la classe dans laquelle elle est définie indiquer que cette méthode n'est pas codée en Java spécifier que la méthode est à l’origine codée en Java

14. public class true{} marque une erreur car : a. b. c. d.

il manque un point-virgule à la fin « true » est un mot réservé la classe « true » doit contenir au moins une méthode il n’y a aucune erreur

15. Que signifie XSL ? a. b. c. d.

Xml Stylesheet Language Extensible Stylesheet Language Executive Symbole Language Extensible System Language


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16. Que signifie « simplexml_load_file » ? a. b. c. d.

une instruction XML qui permet de charger tout fichier une fonction PHP qui permet de parser ou convertir un fichier XML une instruction XML pour charger un fichier PHP aucune signification

17. A quoi sert la déclaration : ? a. b. c. d.

une déclaration de feuille de style une déclaration de type de document interne une déclaration de type de document externe un commentaire

18. Quelle est la ligne correcte ? a. b. c. d.

Titre Titre Titre Titre

19. Que définit l’élément « sequence » ? a. b. c. d.

un groupe d’éléments une structure de choix entre plusieurs éléments possibles un à plusieurs éléments devant obligatoirement apparaître dans un ordre prédéfini une liste par dérivation de types de données atomiques existants

20. Un document XML a obligatoirement un : a. b. c. d.

ou plusieurs éléments racine seul élément racine élément racine sans attributs ou plusieurs éléments racines avec attributs

21. Perl est un : a. langage de programmation interprété adapté au traitement des fichiers textes et tâches d’administration des systèmes et des applications b. langage générique qui permet de définir différents espaces noms c. langage basé sur le concept d’appel procédural uniquement, permettant la réutilisation du même code à différents emplacements d. environnement de développement de logiciel

22. Que sera le résultat de l’exécution de ce segment de code en Perl ? $msg = « ‘zeus a été a suez’ !» ; $msg =~ s/(‘\w+’)/reverse($1)/e ; Print $msg Exit 0 a. ! zeus a été a suez b. erreur c. zeus a été a suez ! d. ! ‘zeus a été a suez’


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23. Quelle expression est vraie ? a. b. c. d.

‘0’ 0 ‘00’ ‘’0 ‘’

24. Soit @s = (10,1,2,"age",20), que résulte de cette affectation : « ($a, @t, @u, $b) = @s; » ? a. b. c. d.

a = 10, @t = (1,2,"age",20), @u = (), $b = undef. $a = undef, @t = (10,1,2,"age"), @u = (), $b = 20. $a = undef, @t = (10,1,2), @u = ("age",20), $b = undef. $a = 10, @t = (1), @u = (2,"age"), $b = 20.

25. Soit @t=(1,7,8,4,3,0) quelle est la valeur de @t après l’exécution de l’instruction : « unshift(@t,5,6); » ? a. b. c. d.

@t=(1,7,8,5,6). @t=(1,7,8,4,6,3,0). @t=(1,7,8,4). @t=(5,6,1,7,8,4,3,0).

26. Le logo Linux est un : a. b. c. d.

manchot remard gnou spirale

27. Le compilateur C du projet GNU est : a. b. c. d.

gcc gdb gdc gnc

28. Sachant que : attributs== 130 et vrai == 0, que vaut « nombre » après ces deux itérations : nombre = (vrai || attributs >= 100) ? 20 : 30; nombre = (nombre == 20 && (vrai && attributs >= 100)) ? 40 : 50; a. b. c. d.

20 30 40 50

29. Laquelle de ces boucles n’existe pas en C ? a. b. c. d.

for repeat do… while while


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30. Combien de fois le message "Bonjour" sera-t-il affiché ? int compteur = 15; do { printf("Bonjour\n"); compteur++; } while (compteur < 15); a. b. c. d.

0 14 1 15

Partie 2 : Modélisation & Conceptualisation

31. En UML, le diagramme qui présente les instances de classes utilisées dans le système est le diagramme : a. b. c. d.

de classes de composants d’objets de déploiement

32. Un diagramme de séquence : a. est une représentation simplifiée d'un enchainement de séquence se concentrant sur les échanges de messages entre les objets b. permet de décrire les enchaînements possibles entre les scénarios préalablement identifiés c. est une représentation séquentielle du déroulement des traitements et des interactions entre les éléments du système et/ou de ses acteurs d. permet de décrire les variations séquentielles d'une donnée au cours du temps

33. Quel est l’intrus ne rentrant pas dans la modélisation d’un diagramme UML ? a. b. c. d.

objet entité nœud paquetage

34. Quel est le nombre des diagrammes UML ? a. b. c. d.

13 15 10 4

35. Lequel de ces diagrammes n’est ni structurel ni statique ? a. b. c. d.

diagramme de composants diagramme d’objets diagramme de structure composite diagramme d’activités

36. Le diagramme d’interaction : a. b. c. d.

est une variante du diagramme structurel est une variante du diagramme d’activité englobe le diagramme d’interaction est un cas particulier du diagramme de séquence


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37. Quelle affirmation est fausse ? a. b. c. d.

le Stéréotype est une généralisation qui montre que l'objet est une variété d'un modèle le classeur permet de regrouper des unités ayant le même comportement ou structure chaque classe ou objet se définit précisément avec le signe « : » un paquetage regroupe des diagrammes ou des unités

38. Laquelle de ces vue ne fait pas partie d’UML ? a. b. c. d.

vue de déploiement vue des fonctions vue logique vue des cas d’utilisation

39. Lequel de ces éléments de modélisation n’est pas de type relation ? a. b. c. d.

association généralisation réalisation initialisation

40. Quel est le souci avec les outils logiciels de modélisation UML ? a. b. c. d.

aucun d'entre eux ne respecte strictement aucune des versions d’UML il n’y a aucun outil logiciel de modélisation UML il n’y a aucun souci, plusieurs outils existent et sont conformes à la version UML 2 leurs pictogrammes ne sont pas normalisés

Partie 3 : Bases de données relationnelles

41. Qu'est-ce qu'une base de données ? a. b. c. d.

un logiciel une collection d’informations structurées une collection de documents reliés entre eux par des liens hypertextes un système assemblant des tables qui contiennent des cellules reliées par des formules

42. L'utilisation des systèmes de gestion de bases de données ne permet pas : a. b. c. d.

l’utilisation d’un langage de requête déclaratif une description globale et unique des données dans une base de données l’indépendance totale par rapport au système d’exploitation car il en inclut un une sécurité d’accès aux données et résistance aux pannes en limitant les dégâts

43. Une contrainte d’intégrité est : a. b. c. d.

une propriété qui permet de spécifier qu'un utilisateur est intègre une propriété à respecter par les données pour que la base de données soit cohérente une instruction qui permet d’intégrer des données dans une table de la base de données une condition qui permet d’effectuer une transaction

44. Une clé étrangère est un : a. champ de table spécial qui est présent dans toutes les tables d’une base de données b. ou plusieurs champs de table qui font référence à un ou plusieurs champs, clé primaire dans une autre table c. champ de table appartenant à une table d'une autre base de données d. champ de table ne portant pas le même nom que les champs des autres tables


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45. Lequel de ces SGBD n'existe pas ? a. b. c. d.

PostgreSQL MySQL MyTinySQL Microsoft SQL Server

46. Une transaction est : a. une unité d’exécution qui effectue une lecture/écriture sur une base de données en respectant certaines propriétés b. une commande de validation « commit » c. une opération commerciale ou boursière d. un accord conclu sur la base de concessions réciproques des parties

47. Quelle est le modèle de données inexistant ? a. b. c. d.

hiérarchique relationnel parallèle réseau

48. Quelle étape ne fait partie du processus de conception d’une base de données ? a. b. c. d.

le passage du schéma logique vers le schéma physique analyse des données et construction du dictionnaire mise en relation des entités et déduction du schéma structuration des données et détermination des entités et associations

49. Quel mot clé doit-on utiliser pour récupérer des enregistrements sur plusieurs tables ? a. b. c. d.

multiset union join ALL

50. L’acronyme ACID associé aux transactions fait référence à : a. b. c. d.

Atomicity, Consistency, Isolation, Durability Action, Commit, Integration, Data Association Composée et Intégrité de Données Aaron Coleman and Ivan Davis


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2/ Exercice pratique : 2 heures 15 

Dossier 1 - Langages & Développement

Question 1 Lequel ? Expliquez clairement. 12 points Le problème de cette solution réside dans le fait que dans le processus Client, l'instruction Signal(mutex) doit suivre Signal(Sclient) et non pas la précéder. La conséquence de cette erreur est qu'on peut avoir une situation où plusieurs processus clients arrivent au salon, alors que le coiffeur est endormi, et lancent chacun un signal(Sclient) qu'aucun ne parviendra au Coiffeur ; ce qui constitue un manquement par rapport aux contraintes du problème.

Question 2 Ecrivez en Perl le programme correspondant, qui affiche à la fin la liste des noms des fichiers qui contiennent le mot recherché ainsi que le nombre d’occurrences de ce mot et les numéros de lignes où il apparait. 32 points use strict ’vars’; unless (@ARGV) { print ("Question 2 : ’recherche de mot, ses occurrences et numéros de lignes’ \n"); exit(); } my $mot = $ARGV[0]; my %GrepResult=(); my %Sorted=(); # Constitution du tableau associatif # (la clef est le nom des fichiers qui contiennent le mot recherché). Grep(’.’); # Constitution d’un hash dont la clef est le nombre d’occurrences # et la valeur est une liste des fichiers qui contiennent ce mot nb_occurrences fois. foreach (keys(%GrepResult)) { my @liste = @{$GrepResult{$_}}; my $nb = $liste[0]; push(@{$Sorted{$nb}}, $_); } # Présentation du résultat dans l’ordre décroissant. my $occur; foreach $occur (sort {$b <=> $a} (keys(%Sorted))) { foreach (@{$Sorted{$occur}}) { # $_ contient un nom de fichier qui contient le mot recherché $occur fois. my @liste = @{$GrepResult{$_}}; print ("$_ $liste[0] @{$liste[1]} \n"); } } sub Grep () { my ($Dir) = @_; my (@fichiers,$fic); opendir(DIR,$Dir) || return(0); @fichiers=readdir(DIR);


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closedir(DIR); foreach $fic (@fichiers) { if (($fic ne ".") && ($fic ne "..")) { if (-d "${Dir}/$fic") { Grep("${Dir}/$fic"); } else { unless (open(FIC,$fic)) { print ("Impossible d’ouvrir $fic : $! \n"); next; } my $lig = 0;; while () { my $count = 0; $lig++; my $chaine = $_; if (/$mot/) { while ($chaine =~ $mot) { $count++; $chaine = $’; } ${$GrepResult{$fic}}[0] += $count; push(@{${$GrepResult{$fic}}[1]},$lig); } } close(FIC); } } } }

Question 3 Que fait chacun des programmes suivants ? 25 points (5 points par programme) 1) Le père crée des processus fils tant qu’il n’y a pas d’échec. Le père et les processus créés se transforment en prog. 2) Le processus père tente de créer un fils et rentre dans la boucle. Si la création a échoué, le processus père se termine (p<0). Sinon il sort de la boucle car l’expression (i—) devient égale à 0. Il exécute ensuite j+=2 ; i*=2 ; j*=2 ; et enfin, il affiche les valeurs 0 et 24. Le fils ne rentre dans la boucle car i=1 mais p=0. Il exécute ensuite j+=2 ; i*=3 ; j*=3 ; et enfin, il affiche les valeurs 3 et 36. 3) pour i=2, le père crée un pipe puis un fils. Il dirige sa sortie standard vers le pipe puis il se met en attente de données du clavier pour les déposer sur le pipe. Ensuite, il se termine. Le fils dirige son entrée standard vers le pipe puis crée un autre pipe et son propre fils (i=1). Il dirige sa sortie standard vers le deuxième pipe créé puis se met en attente de lecture de données du premier pipe. Les données lues sont déposées sur le deuxième pipe. Ensuite, il se termine. Le petit fils dirige son entrée standard vers le pipe. Il se met en attente de lecture de données du second pipe. Il sort de la boucle car i devient nul. Les données lues sont affichées à l’écran. Enfin, il se termine.


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4) Le père tente de créer un fils. S’il ne parvient pas il se termine. Sinon, il affiche i =8, j=24. Le fils affiche i=12, j=36 5) Le père tente de créer 5 fils. S’il parvient, il se transforme en prog. Sinon il se termine. Les fils créés se transforment en prog.

Question 4 Que donne l’exécution du code PHP suivant ? Ecrivez un code PHP qui affiche les Types de familles existant dans le fichier XML « famille_atome.xml ». Ecrivez un code PHP qui apporte certaines modifications sur le fichier « famille_atome.xml » : - supprimer l’attribut « type » de l’élément « famille », - modifier le contenu de l’élément « atome » de façon à ce que la valeur de l’élément « Nom » contienne : la valeur de l’élémnet « nom » + la valeur de l’élément « symbole » entre parenthèse : Nom_atome (symbole_atome) , - supprimer les éléments « symbole », « numero » et « masse » et leurs contenus. 31 points : 13 points pour l’exécution du code PHP 8 points pour le code PHP affichant les types de famille 10 points pour la modification du fichier « famille_atome.xml » (2 points pour chaque instruction en rouge) L’exécution du code PHP donne : symbole : He, nom : hélium symbole : Ne, nom : néon symbole : Ar, nom : argon symbole : Li, nom : lithium symbole : Na, nom : sodium symbole : Be, nom : bérillium symbole : Mg, nom : magnésium symbole : B, nom : bore symbole : C, nom : carbone symbole : N, nom : azote symbole : O, nom : oxygène symbole : F, nom : fluor symbole : Si, nom : silicium Le code PHP affichant les types de famille est famille as $famille) echo "type : {$famille['type']}
"; ?>


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Modification du fichier famille_atome.xml». famille as $famille) { unset($famille['type']); foreach ($famille->atome as $atome) { $atome->nom = "{$atome->nom} ({$atome->symbole})"; unset($atome->symbole); unset($atome->numero); unset($atome->masse); } } ?>



Dossier 2 - Modélisation, Conceptualisation & Bases de données relationnelles

Question 1 Déduisez le schéma relationnel de la base de données correspondante. Vous préciserez les clés primaires des relations en les soulignant ainsi que les clés étrangères en les signalant par un # et en précisant à quoi elles font référence. Vous donnerez des explications claires et concises du passage au relationnel. Vous préciserez notamment pourquoi et comment vous créez ou modifiez certaines relations (1 ligne maximum par relation). 100 points : 36 points pour les relations (4 points par relation : 9 relations) 28 points pour les attributs soulignés de la clé primaire (2 points par attribut) 18 points pour les attributs précédés de # indiquant la clé étrangère (2 points par attribut) 18 points pour les explications concernant la création de chaque relation (2 points par explication) Le modèle relationnel déduit de la modélisation ci-dessus est le suivant. Les clés primaires sont soulignées. Les clés étrangères sont précédées d'un '#'. Client(ClientID, Nom, Prénom, Adresse, DateNaissance) Cette relation est déduite du passage au relationnel de l'ensemble d'entités (ou classe) CLIENT. CD-ROM(CdRomID, Editeur) Cette relation est déduite du passage au relationnel de l'ensemble d'entités (ou classe) CD-ROM. Question(QuestionID, Intitulé, Réponse, NiveauDifficulté, Thème) Cette relation est déduite du passage au relationnel de l'ensemble d'entités (ou classe) QUESTION. Serie(SerieID, #CdRomID) Cette relation est issue du passage au relationnel de l'ensemble d'entités (classes) SERIE. En modélisation E/A, l'ensemble d'entités Serie étant un ensemble d'entités faibles de CD-ROM, la clé primaire de la relation Serie est composée de l'identificateur de la série et de l'identificateur du CD-ROM auquel la série appartient.


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ContenuSerie(#QuestionID, #SerieID, #CdRomID, Numéro) Cette relation est déduite du passage au relationnel de l'association CONTIENT. Le couple d'attributs #CdRomID,#SerieID fait référence à la clé primaire de la relation Serie. L'attribut #QuestionID fait référence à la clé primaire de la relation Question. Il ne faut pas oublier l'attribut Numéro qui caractérise l'association CONTIENT. Seance_Code(SeanceID, Date, Heure, #CdRomID,#SerieID) Cette relation est issue du passage au relationnel de l'ensemble d'entités (classes) SEANCE-CODE. Le couple d'attributs #CdRomID est une clé étrangère qui fait référence à la clé primaire de la relation Serie. Ce couple d'attributs a été ajouté lors du passage au relationnel de l'association EST_DIFFUSEE_PENDANT, une seule série (d'un CR-ROM donné) étant diffusée pendant une séance de code (cardinalité 1:1). Participation(#ClientID, #SeanceID, NombreFautes) Cette relation est issue du passage au relationnel de l'association ASSISTE_A. Les attributs #ClientID et #SeanceID sont des clés étrangères qui font respectivement références aux clés primaires des relations Client et Seance. En effet, un client peut assister à plusieurs séances et, lors d'une séance, il y a plusieurs clients. Il ne faut pas oublier l'attribut NombreFautes qui caractérise l'association ASSISTE_A.

Examen_Code(PassageCodeID, Date, Heure, LieuExamen) Cette relation est déduite du passage au relationnel de l'ensemble d'entités (ou classe) EXAMEN_CODE. PassageCode(#PassageCodeID, #ClientID, NombreFautes) Cette relation est déduite du passage au relationnel de l'association EST_AUTORISE_A_PASSER. Les attributs #PassageCodeID et #ClientID font référence aux clés primaires des relations Examen-Code et Client.

Question 2 Ecrivez les requêtes suivantes en SQL : 1) Clients ayant un compte et un emprunt à “La Rochelle” 2) Clients ayant un compte à l’agence “Paris-Etoile” et nom de la ville où ils habitent 3) Emprunteurs de l'agence “Paris-Rambuteau” classés par ordre alphabétique 4) Nombre de clients de l'agence “Paris-Bastille” n'ayant pas leur adresse dans la relation CLIENT 5) Supprimez de la relation AGENCE toutes les agences sans client 6) Clients ayant un compte dans une agence où “Claude” a un compte 7) Clients ayant un compte dans au-moins une agence d'“Orsay” 100 points : 15 points pour la première requête 10 points pour la seconde requête 10 points pour la troisième requête 10 points pour la quatrième requête 15 points pour la cinquième requête 20 points pour la sixième requête 20 points pour la septième requête Première requête select CLIENT.Nom from CLIENT, AGENCE, COMPTE where CLIENT.Num_Client = COMPTE.Num_Client and AGENCE.Num_Agence = COMPTE.Num_Agence and AGENCE.Ville = “La Rochelle” intersect select CLIENT.Nom from CLIENT, AGENCE, EMPRUNT where CLIENT.Num_Client = EMPRUNT.Num_Client


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and AGENCE.Num_Agence = EMPRUNT.Num_Agence and AGENCE.Ville = “La Rochelle” Deuxième requête Première solution : select CLIENT.Nom, CLIENT.Ville from CLIENT, AGENCE, COMPTE where CLIENT.Num_Client = COMPTE. Num_Client and AGENCE.Num_Agence = COMPTE.Num_Agence and AGENCE.Nom = “Paris-Etoile” Deuxième solution : select Nom, Ville from CLIENT where Num_Client in ( select Num_Client from COMPTE where Num_Agence in ( select Num_Agence from AGENCE where Nom = “Paris-Etoile”)) Troisième requête select Nom from CLIENT where Num_Client in ( select Num_Client from EMPRUNT where Num_Agence in ( select Num_Agence from AGENCE where Nom = “Paris-Rambuteau”)) order by Nom Quatrième requête Première solution : select count(*) from CLIENT where Ville = NULL and Num_Client in ( select Num_Client from COMPTE where Num_Agence in ( select Num_Agence from AGENCE where Nom = “Paris-Bastille”)) Deuxième solution : select count(*) from CLIENT, COMPTE, AGENCE where Ville = NULL and CLIENT.Num_Client = COMPTE.Num_Client and COMPTE.Num_Agence = AGENCE.Num_Agence and AGENCE.Nom = “Paris-Bastille” Cinquième requête delete from AGENCE where Num_Client not in ( select Num_Client from COMPTE where COMPTE.Num_Agence = AGENCE.Num_Agence) and Num_Client not in ( select Num_Client from EMPRUNT where EMPRUNT.Num_Agence = AGENCE.Num_Agence) Sixième requête Première solution : select Nom from CLIENT, COMPTE where CLIENT.Num_Client = COMPTE.Num_Client and Num_Agence in ( select Num_Agence from CLIENT, COMPTE where CLIENT.Num_Client = COMPTE.Num_Client and Nom = “Claude”) Deuxième solution : select Nom from CLIENT where Num_Client in ( select Num_Client from COMPTE where Num_Agence in ( select Num_Agence from CLIENT, COMPTE where CLIENT.Num_Client = COMPTE.Num_Client and Nom = “Claude”))


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Septième requête Première solution : select Nom from CLIENT where Num_Client in ( select Num_Client from COMPTE where Num_Agence in ( select Num_Agence from AGENCE where Ville = “Orsay”)) Deuxième solution : select CLIENT.Nom from CLIENT, COMPTE, AGENCE where CLIENT.Num_Client = COMPTE.Num_Client and COMPTE.Num_Agence = AGENCE.Num_Agence and AGENCE.Ville = “Orsay”


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GRILLE DE NOTATION - D41.2 Développement : Exercice pratique NOM DU CORRECTEUR__________________________________ Prénom du correcteur___________________________________ N° de candidat____________ Dossier

Note attribuée

Dossier 1 - Langages & Développement

/100

Dossier 2 - Modélisation, Conceptualisation & Bases de données relationnelles

/200

TOTAL

Observations obligatoires

/300

Appréciation générale :

Je soussigné,____________________, certifie avoir corrigé la copie d’examens en suivant le corrigé d’examens en ma possession et en respectant la procédure de correction des examens.

Fait à _______________________________________ le ____________

Signature :


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